Un nouveau document révèle que l’effet des émissions de carbone d’origine humaine sur le climat est « non détectable »

De temps en temps, un géant de la science moderne devrait être autorisé à s’exprimer dans un langage que nous comprenons tous. Dans le film informatif « Climate : The Movie » (https://dailysceptic.org/2024/03/21/watch-the-game-changing-new-film-that-explodes-climate-change-and-net-zero-lies/ ), le lauréat du prix Nobel de physique de 2022, le Dr John Clauser, a déclaré : « J’affirme qu’il n’y a absolument aucun lien entre le changement climatique et le CO2 – tout cela est de la foutaise, à mon avis. » Tout en ne s’exprimant pas dans des termes aussi francs, le scientifique grec Professeur Demetris Koutsoyiannis pourrait être d’accord. Il a récemment publié un article qui soutient que c’est l’expansion récente d’une biosphère plus productive qui a conduit à une augmentation des concentrations de CO2 dans l’atmosphère et au verdissement de la Terre. Il est largement admis que l’évolution des isotopes du carbone atmosphérique prouve que la plupart, sinon la totalité, du réchauffement récent est causée par la contribution humaine de 4 % provenant de la combustion d’hydrocarbures, mais cette implication anthropique est rejetée par Koutsoyiannis comme étant « non décelable » ( https://www.mdpi.com/2413-4155/6/1/17 ). Koutsoyiannis est professeur émérite d’hydrologie et d’analyse des hydrosystèmes à l’Université technique nationale d’Athènes.

L’argument des isotopes existe depuis un certain temps et a été utile pour clore le débat sur le rôle du CO2 d’origine humaine et son effet supposé sur la cause d’une « urgence climatique ». et les niveaux récents de 13C, qui représentent 99% du carbone dans l’atmosphère, sont utilisés pour promouvoir l’idée qu’il est causé par la combustion d’hydrocarbures. Mais Koutsoyiannis soutient que la biosphère plus productive a abouti à « amplification naturelle du cycle du carbone en raison de l’augmentation de la température ». Il suggère que cela pourrait être un « facteur primaire de la diminution de la signature isotopique 13C dans le CO2 atmosphérique ».

Les remarques de Clauser, ainsi que les contributions d’un certain nombre d’autres scientifiques éminents, ont conduit à des tentatives généralisées d’interdire le Climat de Martin Durkin : Le Film dans les médias traditionnels et sociaux. Si Clauser et des scientifiques comme Koutsoyiannis ont raison, il n’y a pas besoin de la collectivisation globale Net Zero. Des billions de dollars peuvent être retirés du Climate Industrial Network pour être utilisés pour résoudre des problèmes environnementaux et sociaux plus urgents. Dans de tels cercles, l’idée que les humains contrôlent le thermostat climatique est considérée comme peu à l’écart de la pseudoscience. Dans le film, l’ancien professeur de Princeton, William Happer, dit qu’il peut vivre avec la suggestion descriptive « canular », bien qu’il préfère le mot « escroquerie ». Ignorer le rôle des forces naturelles et promouvoir une hypothèse vieille de 50 ans – la science parle pour une « opinion » – qui ne peut même pas s’accorder sur le degré de réchauffement causé par des niveaux plus élevés de CO2 – n’attire guère ces esprits scientifiques sceptiques.

Au cours du film de Durkin, il est évident que le réchauffement de l’« opinion » ne peut expliquer aucune des observations sur le changement climatique observées au cours des 500 millions d’années de vie sur Terre. Comme le Daily Sceptic l’a noté à de nombreuses reprises, il serait utile qu’il y ait au moins un document examiné par des pairs qui prouve de manière concluante que les humains ont causé tous ou la plupart des changements climatiques. Un « consensus » fabriqué politiquement et les appels à l’autorité de l’ONU ne comptent pas.

Koutsoyiannis fournit une partie du contexte historique de l’évolution de l’histoire des isotopes et de son utilisation pour promouvoir le récit scientifique « établi » autour du CO2. L’hypothèse généralement acceptée « peut refléter une approche dogmatique ou un effet idéologique postmoderne, c’est-à-dire blâmer tout sur les actions humaines », observe-t-il. Par conséquent, dit-il, l’hypothèse nulle que tous les changements observés sont principalement naturels n’a pas été sérieusement étudiée. Pour ajouter du poids à son affirmation, M. Koutsoyiannis répète l’infâme affirmation faite récemment lors d’une réunion du Forum économique mondial par Melissa Fleming, sous-secrétaire générale aux Communications mondiales aux Nations Unies : « Nous possédons la science, et nous pensons que le monde devrait le savoir. »

L’article de Koutsoyiannis est long et détaillé et il utilise des données obtenues du Scripps Institute de Californie qui mesure les signatures isotopiques depuis 1978, ainsi que des données proxy remontant à cinq siècles. L’auteur conclut que les données isotopiques instrumentales du carbone des 40 dernières années ne montrent aucun signe perceptible d’émissions humaines d’hydrocarbures CO2. Il a également constaté que l’enregistrement moderne ne différait pas en termes de signature isotopique nette des sources et des puits de CO2 atmosphériques à partir des données proxy, y compris les carottes de glace de l’Antarctique, remontant à 500 ans.

L’absence, ou non, d’une signature isotopique du carbone d’origine humaine est une branche intéressante de la climatologie à étudier, bien que, comme nous l’avons vu, elle soit limitée par les exigences politiques régissant le récit scientifique établi. En 2022, trois professeurs de physique dirigés par Kenneth Skrable de l’Université du Massachusetts ont brisé les rangs et examiné la traînée atmosphérique laissée par les isotopes. Ils ont découvert que la quantité de CO2 libérée par la combustion d’hydrocarbures depuis 1750 « était beaucoup trop faible pour être la cause du réchauffement planétaire » ( https://journals.lww.com/health-physics/abstract/2022/02000/world_atmospheric_co2,_its_14c_specific_activity,.2.aspx ). Les scientifiques ont constaté que les allégations de domination des combustibles fossiles anthropiques dans le registre des isotopes avaient impliqué une « mauvaise utilisation » des statistiques. Ils ont déclaré que l’hypothèse selon laquelle l’augmentation du CO2 est dominée par la composante anthropique ou égale à celle-ci « n’est pas une science établie ».

Ils ont averti que les « conclusions non étayées » de l’implication humaine « ont de graves implications sociétales potentielles qui font pression sur la nécessité de mesures correctives très coûteuses qui peuvent être mal dirigées, actuellement inutiles et inefficaces pour freiner le réchauffement planétaire ».

Chris Morrison est le rédacteur en chef du Daily Sceptic’s Environment.

Note. Cet article a déjà fait l’objet d’un commentaire sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/03/21/non-lechauffement-contemporain-du-climat-nest-pas-provoque-par-le-co2/

Source: traduction par votre serviteur de : https://dailysceptic.org/2024/03/21/watch-the-game-changing-new-film-that-explodes-climate-change-and-net-zero-lies/

L’Occident sombre dans le totalitarisme fasciste

Avant-propos. Le qualificatif nazi est une contraction des mots nationalisme et socialisme. Il ne s’applique donc pas à l’Union européenne qui est une sorte de magma de pays très divers qui ne peuvent pas revendiquer un quelconque nationalisme puisqu’ils ne sont plus des États souverains dans la mesure où ils ont abandonné leur monnaie nationale (dans la zone euro) et également abandonné une partie de leurs réglementations propres et pourtant mises au point avec patience pendant des siècles. Tous ces États faisant partie de l’Union européenne ont adopté des attitudes sociales afin de maîtriser les classes laborieuses pour le plus grand profit du monde de la finance qui est l’unique ordonnateur de cette organisation supra-nationale qu’est dans les faits l’Union européenne. Les directives européennes sont claires : tout doit être privatisé ! Les irréductibles seront pénalisés ! C’est ainsi que l’Allemagne ne peut pas tolérer les monopoles d’État comme EDF en France et ce pays n’a cessé d’oeuvrer afin de fragiliser le fleuron de l’énergie électrique qui fait partie du trésor français constitué par les impôts des citoyens de l’Hexagone. Dans la mesure où tout doit être financiarisé et privé on rejoint alors les conditions idéologiques de l’Italie de Mussolini qui construisit son système politique sur la base des corporations ou « fascio » en italien qui lors de l’apparition du fascisme italien autour des années 1920 étaient toutes la propriété de grandes familles de capitalistes. Il pourrait paraître contradictoire d’affirmer qu’il n’existe pas de différence entre fascisme et nazisme puisque toutes les grandes corporations allemandes étaient contrôlées par des banquiers d’affaires y compris nord-américains. À mes yeux le fascisme à la Mussolini peu ou pas du tout raciste contrairement à l’idéologie d’Hitler paraît plus acceptable.

Et ce racisme allemand qu’on retrouve aussi bien en Ukraine qu’aux États-Unis : la haine des slaves russes d’un côté et la haine des afro-américains et des « chicanos » ou des Amérindiens de l’autre, est, pour un ancien biologiste, une aberration scientifique. Les quelques 200 races de chiens présentent la particularité d’être génétiquement homogènes à plus de 99 %, ce qui n’est pas le cas par exemple entre des afro-américains et des « hispaniques » car leur homogénéité génétique ne dépasse pas 85 %. Le racisme qui est intégré dans l’idéologie nazie n’a donc aucun fondement biologique. Donc il serait préférable de parler de fascisme en Europe et utiliser le terme totalitarisme englobe cette idéologie dénuée, on peut le souhaiter, de l’exécrable racisme.

Propos du présent article. L’entrevue de Jérôme Blanchet, auteur et journaliste québecois, rédacteur en chef de « Libre Média » sur la chaine d’information alternative « Tocsin » créée par Clémence Houdiakova avec beaucoup de courage et de ténacité démontre clairement que Justin Trudeau, « Young Leader », a résolument choisi d’établir un régime totalitaire (liens en fin d’article). On se souvient de l’affaire des camionneurs canadiens avec la suspension des comptes bancaires des manifestants. Il s’agit clairement d’une première mise en œuvre concrète du pouvoir que veulent se réserver les décideurs politiques avec les CBDC (central bank digital currency), l’outil imparable qui soumettra le peuple au bon vouloir de ces dirigeants politiques. Le contrôle de la parole et des écrits doit, selon Trudeau, être préventif y compris dans la sphère privée afin d’éviter tout débordement potentiel de la liberté de parole ou d’écrit avec un encouragement à la délation. La faisabilité de cette évolution idéologique date de l’épidémie de coronavirus au cours de laquelle Justin Trudeau comme les gouvernements australien et néo-zélandais se sont remarquablement illustré en décidant de mesures de privation de liberté jamais imaginées depuis le régime soviétique stalinien. Klaus Schwab, le gourou du progressisme socialiste mondial, s’était félicité de cette fenêtre d’opportunité pour établir un nouveau monde.

Le coronavirus a alimenté la peur et quand les peuples ont peur ils deviennent dociles et perméables à n’importe quelle propagande mensongère. Le réchauffement du climat « ne paie plus » puisque cet hiver 2023-2024 a connu des taux d’enneigement jamais constatés depuis … depuis les années 1950-1960 de l’ouest de la Russie jusqu’à la Sierre Nevada dans le sud de l’Espagne sans oublier les Rockies et les plaines centrales des USA jusqu’à Tokyo, ville localisée dans une plaine littorale à une latitude identique à celle d’Alger qui a connu trois épisodes neigeux cet hiver, et enfin jusqu’à la banquise antarctique totalement reconstituée quoiqu’en pensent les membres de la mafia climatique supra-nationale (deuxième lien en anglais). Il a été envisagé par l’OMS l’apparition d’une nouvelle épidémie déjà appelée X probablement créée de toute pièce comme ce fut le cas pour le SARS-CoV-2 et ses vaccins à ARN messager tueurs qui ont été mis sur le marché avec la complicité des gouvernements occidentaux sans qu’ils aient été testés en respectant les protocoles pourtant admis et imposés internationalement. L’ « urgence vaccinale » était un leurre pour mettre en place toutes ces mesures de privation des libertés individuelles et bafouer puis punir les médecins prescripteurs et tous les professionnels de santé refusant d’être injectés par un produit expérimental.

Aujourd’hui les politiciens, à court d’arguments, brandissent la menace nucléaire pour régler le conflit ukrainien. Il reste cependant une grande consolation et une immense lueur d’espoir : l’Occident représente 1/8e de la population mondiale et sa production de richesse atteint à peine 30 % de celle de tous les autres pays réunis. L’arrogance idéologique et la volonté hégémonique de l’Occident sont condamnées au déclin. Tous les marqueurs de la décadence occidentale, LGBT, idéologie woke, mariage entre homosexuels hommes ou femmes, théorie du genre, désaffection des religions traditionnelles, bref une déconnection entre ces idées fantasmatiques occidentales et la réalité de la vie à laquelle sont confrontés les 7/8es restants de la population de la planète, en Afrique, en Asie et la majeure partie de l’Amérique latine … Le renouveau de l’humanité émergera de la « jungle » que mentionnait Josep Borrel et le « jardin occidental » deviendra un roncier à l’abandon et impénétrable !

Complément. L’entrevue d’Annie Lacroix-Riz datant de quatre années décrit les raisons pour lesquelles l’idéologie totalitaire fasciste progresse aujourd’hui dans les pays de l’Occident global, c’est-à-dire l’Europe, l’Amérique du Nord hors Mexique, la Corée, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon, ce dernier pays étant gouverné par le même parti politique, le Parti Libéral Démocrate, depuis la fin de la guerre et sous tutelle des Américains, il faut nommer par son nom la réalité : https://www.youtube.com/watch?v=RYG80xxDRnc&ab_channel=caudevillenicolas

Brève. La crise financière en gestation

Chez les mammifères placentaires dont les êtres humains font partie une gestation se termine toujours par une mise bas, un accouchement si vous préférez. Pour le CO2 considéré à tors comme le grand perturbateur du climat, la teneur en CO2 atmosphérique augmente toujours APRÈS une augmentation de la température. Les études des carottes glaciaires l’ont démontré sur une période passée de plusieurs centaines de milliers d’années. Cette latence est de l’ordre de 1000 à 3000 ans et on assiste peut-être de nos jours à une conséquence de l’Optimum Médiéval du climat durant lequel les températures moyennes dans l’hémisphère nord étaient de 2,5 degrés supérieures à celles d’aujourd’hui. Et ces températures élevées ont provoqué un dégazage des océans.

Dans le domaine de la finance la situation est identique : des signes précurseurs annoncent une crise financière et le premier d’entre eux est une perte de confiance des banques qui ne se prêtent plus entre elles. Il suffit d’observer ce graphique. Il ressemble aux alternances de périodes glaciaires brièvement interrompues par des climat cléments favorables au peuple et à son bien-être comme ce fut le cas lors de cette courte période médiévale vite oubliée car elle fut suivie de rigueurs météorologiques difficiles. Rassurez-vous néanmoins car le Morvan et les Vosges, en France, commenceront à être couverts de glaciers dans 1500 ans !

Par contre une nouvelle crise financière globale (GFC, global financial crisis) se prépare indubitablement :

Au cours des années passées toutes les crises financières ont succédé au tarissement des prêts interbancaires. Tous les va-t-en-guerre occidentaux qui parlent de détruire la Russie à coup de bombes nucléaires le savent, cette crise en gestation est arrivée à terme sera certainement pire que celle de 1929 et la « GFC » indiquée dans ce graphique fera paraître celle dite des sub-primes comme une anecdote. En tant que retraité je me retrouverai dans la misère et Bernard Arnault verra sa fortune s’effondrer de 90 %, tant pis pour lui … les montagnes de monnaie papier serviront à se chauffer au coin de la cheminée et à faire cuire des haricots dans une grosse gamelle pendue au dessus de ce feu. Qu’elle va être belle la vie dans quelques mois ! Illustration figurant dans la dernière revue de presse de Pierre Jovanovic.

Des scientifiques tentent des expériences risquées dans l’air et l’eau dans l’espoir d’arrêter le changement climatique !

Traduction d’un article de Mish Shedlock paru sur son site https://mishtalk.com . Les inserts entre crochets précisent quelques points et ne sont pas de Mish mais de votre serviteur.

Les scientifiques qui cherchent désespérément à enrayer ou à renverser le changement climatique déversent des produits chimiques dans l’océan et pulvérisent de l’eau salée dans l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? Je parle du court et du long terme.

Rejeter des produits chimiques dans l’océan ? Pulvériser de l’eau salée dans les nuages? Injecter des particules réfléchissantes dans le ciel ? Les scientifiques recourent à des techniques autrefois impensables pour refroidir la planète parce que les efforts mondiaux pour contrôler les émissions de gaz à effet de serre échouent.

Ces approches de géo-ingénierie étaient autrefois considérées comme taboues par les scientifiques et les régulateurs qui craignaient que le bricolage avec l’environnement pourrait avoir des conséquences involontaires, mais les chercheurs reçoivent maintenant des fonds publics et des investissements privés pour sortir du laboratoire et tester ces méthodes à l’extérieur.

Modifier le climat

Augmenter la brillance des nuages marins. Des chercheurs à bord d’un navire au large de la côte nord-est de l’Australie, près des îles Whitsunday [d’Airlie Beach, Queensland, située au fond de la baie Pioneer des bateaux sont disponibles pour aller voir la Grande Barrière de corail], pulvérisent un mélange saumâtre à travers des buses haute pression dans l’air afin d’essayer de rendre plus lumineux les nuages de basse altitude qui se forment au-dessus de l’océan. Les scientifiques espèrent que les nuages plus grands et plus brillants refléteront la lumière du Soleil loin de la Terre, ombrageront la surface de l’océan et rafraîchiront les eaux autour de la Grande Barrière de corail, où le réchauffement des températures océaniques a contribué à la mortalité massive des coraux [encore une remarque issue de la propagande car le blanchissement des coraux est provoqué par des attaques virales qui apparaissent et disparaissent sans explication]. Le projet de recherche, connu sous le nom d’éclaircissement des nuages marins, est dirigé par l’Université Southern Cross dans le cadre du programme de restauration et d’adaptation des récifs, d’une valeur de 64,55 millions de dollars, soit 100 millions de dollars australiens.

Solutions Stardust : En Israël, une startup appelée « Stardust Solutions » a commencé à tester un système pour disperser un nuage de minuscules particules réfléchissantes à environ 60000 pieds (20000 km) d’altitude, réfléchissant la lumière du Soleil loin de la Terre pour refroidir l’atmosphère dans un concept connu sous le nom de gestion du rayonnement solaire, ou SRM (solar radiation management).

Jeter de la soude dans l’océan : Au Massachusetts, des chercheurs de la Woods Hole Oceanographic Institution prévoient de verser cet été 6000 gallons d’une solution liquide d’hydroxyde de sodium (soude) dans l’océan à 10 miles au sud de Martha’s Vineyard. Ils espèrent que la base chimique agira comme un gros comprimé pansement réduisant l’acidité d’une parcelle d’eau de surface et absorbant 20 tonnes de dioxyde de carbone de l’atmosphère, le stockant en toute sécurité dans l’océan. Cela me rappelle une idée ratée des années 1960 dont nous avons discuté à l’école primaire. À l’époque, l’idée était de vaporiser du charbon de bois sur la glace de l’Arctique pour arrêter le refroidissement mondial.

A-t-on besoin des volcans ? Les expériences visant à refroidir l’atmosphère en réfléchissant la lumière du soleil loin de la Terre sont une tentative d’imiter ce qui se passe quand un volcan entre en éruption. En 1991, le mont Pinatubo, un volcan actif aux Philippines, a déversé du soufre et des cendres dans la haute atmosphère, abaissant la température de la Terre d’un demi degré Celsius pendant toute une année. Mais jusqu’à il y a quelques années, de nombreux scientifiques s’opposaient aux interventions humaines, craignant une pente glissante qui permettrait à la société d’éviter de prendre des décisions difficiles sur la réduction des émissions et pourrait finalement se retourner contre l’humanité.

Oui, jetons de la cendre en l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? De la soude dans l’océan ? Pourquoi pas ? Si on a trop de cendre dans l’air et de soude dans l’océan, on peut l’enlever, non ?

Lignes directrices de la Maison-Blanche

Ne vous inquiétez pas, le président Biden a des lignes directrices sur la modification du rayonnement solaire : https://www.whitehouse.gov/wp-content/uploads/2023/06/Congressionally-Mandated-Report-on-Solar-Radiation-Modification.pdf . Le présent plan de recherche a été préparé en réponse à une exigence énoncée dans l’exposé des motifs conjoints qui accompagne la section B de la Loi de 2022 sur les crédits consolidés et dirige le Bureau de la politique des sciences et de la technologie (OSTP, Office of Science and Technology Policy) avec le soutien de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), pour fournir un plan de recherche pour « les interventions solaires et autres interventions climatiques rapides ». Non seulement nous avons besoin de nuages plus brillants, mais nous avons besoin de plus de cendres dans le ciel pour l’assombrir. Je suis certain que si nous pouvons dépenser des milliards de dollars pour éclaircir les nuages en pulvérisant de l’eau salée dans l’air tout en assombrissant le ciel, tout ira bien. Plus sérieusement, quelqu’un pense-t-il vraiment que cette idée peut éventuellement s’étendre à l’échelle mondiale? À quel prix ?

Risques à court et à long terme

Ironiquement, le risque à court terme est que l’un de ces plans soit effectivement couronné de succès. Et gardez à l’esprit que les données seront manipulées pour montrer le succès, ne serait-ce que pour obtenir plus de financement. Ensuite, nous augmenterons les dépenses à hauteur de dizaines de milliards de dollars, en jouant avec mère nature, pour ensuite faire face au risque à long terme. Le risque à long terme, c’est que nous faisons quelque chose de vraiment stupide, comme jeter du charbon de bois dans l’Arctique, comme on l’a proposé dans les années 1960, pour faire fondre la glace dans l’Arctique.

Autres nouvelles liées au climat…

Pourquoi les panneaux solaires sont-ils 44 pour cent moins chers en Chine qu’aux États-Unis?

https://mishtalk.com/economics/why-are-solar-panels-44-percent-cheaper-in-china-than-the-us/ Le 6 février, j’ai remarqué que les coûts réels de la carboneutralité deviennent impossibles à cacher : https://mishtalk.com/economics/the-true-costs-of-net-zero-are-becoming-impossible-to-hide/

Bloomberg annonce une hausse de 48% des coûts Les plans d’énergie éolienne de Biden sont admirés mais morts dans l’oeuf. Même avec des subventions massives, ces projets ne sont pas économiques.

Le plus gros outil de Biden

Le porte-parole de la Maison-Blanche, Michael Kikukawa, a déclaré que M. Biden « a utilisé tous les outils disponibles pour faire progresser l’industrie éolienne offshore américaine en pleine croissance ». En effet! Son plus grand outil de persuasion est un paquet de mensonges commençant par une affirmation que ces projets sont moins chers et vont se payer eux-mêmes.

Commentaire contrarien de votre serviteur. Puisqu’il a été question dans cet article de Mish Shedlock, analyste financier de son état, de l’Océan qui est le « puits de CO2 » majeur sur notre planète, le règne végétal arrivant loin derrière, et puisqu’il a été également évoqué les éruptions volcaniques une façon de modifier le climat en intervenant au niveau des océans existe déjà ! Il s’agit d’un objet de débats vifs alimenté par les écologistes qui ne comprennent définitivement rien. Il y a des dizaines de milliers de bateaux qui sillonnent les océans jour et nuit. Ces bateaux sont propulsés par de gigantesques moteurs diesel mis au point pour utiliser un résidu pétrolier dont on ne sait que faire. Lors d’un trajet à bord d’un porte container de 270 mètres de long entre Le Havre et Pointe-à-Pitre en Guadeloupe j’ai pu visiter la salle des machines de cet énorme navire. C’était passionnant. Le responsable des machines m’a expliqué dans les moindres détails le fonctionnement de ces moteurs entrainant un arbre d’hélice d’une vingtaine de mètres de long. Il y avait deux moteurs et deux arbres d’hélice et une multitude de groupes électrogènes pour alimenter en particulier les groupes frigorifiques maintenant des températures adéquates dans un multitude de containers. De mémoire les moteurs diesel deux-temps de propulsion comprenaient six cylindres en ligne d’une cylindrée totale de plus de 500 litres. Ils sont couplés directement à l’arbre d’hélice et la vitesse de rotation ne dépasse par deux-cent tours/minute (toujours de mémoire). Les dizaines de mètres-cube d’huile de lubrification du carter sont centrifugés en continu, l’une des utilisations essentielles des groupes électrogènes.

La controverse liée à ces très gros navires concerne la nature du carburant et les dégagements de fumées (et naturellement de CO2). Puisqu’il s’agit de moteurs deux-temps inévitablement les gaz de combustion contiennent des poussières et la combustion du carburant est loin d’être parfaite. Par conséquent le navire ne peut pas être « propre ». Le carburant est constitué d’une fraction visqueuse riche en soufre (jusqu’à 5 % en poids) que seuls ces moteurs diesel sont capables d’utiliser comme carburant car ils ont été conçus pour l’usage spécifique d’un tel carburant qui doit être maintenu à une température suffisante, 50 à 60 °C, pour ne pas « figer ». Pour les obsédés du réchauffement du climat ce carburant présente pourtant des avantages que Shedlock n’a pas mentionné et pour cause : les écologistes ne veulent pas en entendre parler et c’est là que leur stupidité se révèle. La combustion de ce carburant dégage des quantités massives de poussières et également des oxydes de soufre. Il a été question de poussières dans l’énumération de Shedlock et des éruptions volcaniques. Très bien mais la question est la suivante : tous les navires en circulation sur les océans ne représentent-ils pas, réunis, à une importante éruption volcanique continue chaque jour de l’année ? Ah ! Mais les éruptions volcaniques sont des phénomènes naturels alors que ces gros bateaux sont des destructeurs d’origine humaine de l’environnement. Et pourtant ils contribuent au refroidissement du climat …

Réflexions sur le scepticisme scientifique encore appelé le « doute cartésien »

L’auteur de cette citation que voici « Le scepticisme scientifique est une insulte pour ceux qui prennent la science comme une religion » est formel, seul le doute fait progresser la science. Je pourrais compléter cette citation par la science politisée ou encore la science financiarisée, encore que dans ce dernier cas il existe des situations pour lesquelles une découverte scientifique n’est valorisée que dans la mesure où un investissement non négligeable est nécessaire, politisation et financiarisation provoquant une immobilisation définitive de cette évolution, chaque acquis scientifique devenant alors un dogme. Cependant transformer une découverte scientifique en une application industrielle est une évolution normale comme c’est le cas par exemple de la société chinoise Betavolt qui a été mentionnée sur ce blog il y a quelques jours n’est pas synonyme d’acquis définitif de la science car toute valorisation industrielle d’une découverte peut et doit évoluer. La politisation et la financiarisation de la science au sens large du terme a traversé un inimaginable paroxysme avec l’épisode de la soi-disant pandémie du SARS-CoV-2 et la campagne de vaccination imposée à des pays entiers. Les chercheurs spécialisés dans l’infectiologie, la majorité d’entre eux médecins, ont été cloués au pilori. Il était obligatoire de suivre les arguments des décideurs politiques qui par un mécanisme que je n’ai toujours pas totalement élucidé ont piétiné ces spécialistes en particulier ceux des virus. La médecine, une science évolutive par excellence de par les techniques innovantes d’approche et d’analyse dont elle profite, ne peut en aucun cas relever d’une quelconque idéologie politique.

Les virus sont une excellente illustration du scepticisme des scientifiques qui à la fin du dix-neuvième siècle et au début du siècle suivant considéraient qu’il n’existait pas de microorganismes pathogènes (pour l’homme) plus petits que les bactéries jusqu’à la découverte du virus de la mosaïque du tabac en 1898. Il s’agissait d’un agent pathogène pour une plante et s’ensuivit alors un enchainement de découvertes de virus que le monde scientifique de l’époque continuait à ignorer voire à remettre en cause leur existence. Il s’agissait d’un scepticisme scientifique caractérisé qui fut un facteur stimulant la curiosité et la recherche.

Lorsque j’ai débuté ma carrière de recherche les enseignants dont mon directeur répétaient inlassablement que tout protocole expérimental imaginé pour tenter de vérifier une hypothèse pouvait prêter à contestation partant du principe que la science n’est jamais définitivement acquise. Avec l’arrivée de nouvelles techniques d’analyse que malheureusement je n’ai jamais connu ni utilisé durant ma carrière, les limites de la science, en particulier la biologie, se sont considérablement distendues et les nouvelles découvertes s’accumulent maintenant quotidiennement. La publication d’un article dans une revue à comité de lecture de réputation internationale doit toujours comporter une rubrique « matériels et méthodes » suffisamment détaillée afin de permettre à n’importe qui dans n’importe quel laboratoire correctement équipé de reproduire les expériences décrites. Cette exigence a pour but de se prémunir contre le scepticisme des spécialistes étudiant le même domaine scientifique que celui détaillé dans la publication. En conséquence le scepticisme constitue un facteur stimulant paradoxalement la recherche et son évolution. Pour éclairer ce point particulier il est intéressant de se remémorer la fraude de Seralini au sujet de ses travaux devant prouver l’effet cancérigène du glyphosate. Pour prouver son hypothèse plus idéologique que scientifique cet individu utilisa une lignée de rats utilisée dans de nombreux laboratoires de recherche en biologie notoirement connus pour développer des tumeurs multiples en vieillissant, glyphosate ou pas ! À vrai dire cet activiste anti-glyphosate fit preuve d’une naïveté digne d’un enfant de 7 ans pour dissimuler sa fraude, résultat il fut rejeté de la communauté scientifique …

Mais revenons aux virus. On considère qu’il existe sur la Terre des centaines de millions d’espèces de virus encore inconnues. L’estimation de la biomasse planétaire virale est estimée à 3,3 fois celle de l’humanité toute entière avec ses quelques 8 milliards d’individus ! Songez qu’en parasitant les cellules hôtes pour se multiplier ils obligent celles-ci à respirer, ce qui représente pour ces seuls virus 3,3 fois tout le CO2 que l’humanité rejète dans l’atmosphère chaque seconde de chaque journée en respirant … Les virus se trouvent partout. Ce sont des parasites cellulaires obligatoires et ils concernent toutes les formes vivantes existantes depuis les archéobactéries jusqu’à l’homme. Le schéma ci-dessus que j’affectionne particulièrement et que je fais figurer sur ce blog périodiquement devrait rendre l’homme très modeste, ce n’est malheureusement loin d’être le cas, les virus affectent tout le reste du premier diagramme et naturellement celui qui concerne les animaux dont l’homme détaillés sur le deuxième diagramme. Les virus sont les maîtres du monde ! Et quand des politiciens pervers et mégalomanes ordonnent à des scientifiques de procéder à des modifications génétiques de tel ou tel virus dans le but de dominer le monde toutes les règles de morale et d’éthique disparaissent (cf. la nouvelle maladie X).

Le scepticisme du début du 20ème siècle a donc été battu en brèche avec le progrès des technique mais il a aussi favorisé les avancées scientifiques à tel point qu’aujourd’hui des dizaines de nouveaux virus sont découverts quotidiennement. La contestation persiste car l’idéal pour un expérimentateur est d’être capable de cultiver l’un ou l’autre de ces virus nouvellement découverts afin de réaliser des études de leurs génome et de leur mécanisme de fonctionnement. Par exemple dans le laboratoire du Professeur Raoult à Marseille plus de 1000 cultures de virus SARS-CoV-2 ont permis d’accumuler des séquences nucléotidiques au cours de l’évolution de la maladie liée à ce virus afin de prouver qu’il ne cessait de muter comme tous les virus dont le patrimoine génétique est porté par un acide ribonucléique contrairement aux virus dont le patrimoine est un acide désoxyribonucléique. La différence entre l’ARN et l’ADN est évidente : la structure de l’ADN est une double hélice très stable (cf. Francis Crick) alors que la structure de l’ARN d’un virus est désordonnée. De plus le système enzymatique effectuant la copie de l’ADN est très peu susceptible aux erreurs de lecture et inversement l’ARN polymérase accumule de son côté les erreurs en raison, entre autres facteurs, de cette différence de structure. Lorsque le Professeur Raoult a annoncé que le SARS-CoV-2 « variait » selon les analyses de séquences nucléotidiques le scepticisme s’est emparé de la communauté scientifique et les décideurs politiques qui par définition n’y connaissent rien ont apporté leur soutien à ces contestataires souvent auto-proclamés qui rejetaient les affirmations de Raoult.

Le contre-exemple de l’évolution d’un virus pathogène au cours du temps est par excellence celui du virus de la variole dont le bagage génétique est un ADN en double hélice particulièrement compact et dont de surcroit les extrémités sont terminées par des boucles en épingle à cheveux le rendant très solide. Depuis la caractérisation de cette maladie à la fin du dix-septième siècle en Europe (on ignorait qu’il s’agissait d’un virus) il fallut près de 100 ans pour découvrir un nouveau « variant » à l’origine de l’épidémie de variole hémorragique qui décima l’armée française lors de la guerre de 1870-1871 tuant beaucoup plus de soldats que les affrontements contre l’armée prussienne puisque ce « variant » était un impitoyable tueur, la « vaccine » n’étant pas efficace contre ce variant et encore peu répandue dans les armées. À cette époque les réactions sceptiques n’eurent pas lieu d’être car on ignorait quel était l’agent pathogène mai le scepticisme envers la « vaccine » était presque universel. Il est possible d’en conclure d’ailleurs que ce scepticisme scientifique apparaît pourtant aujourd’hui malgré une accumulation de connaissances scientifiques incontestables.

Venons-en aux « climato-sceptiques ». Alors que j’avais acquis à l’Université de solides connaissances en thermodynamique, discipline de la physique essentielle pour étudier la chimie, dès que j’ai prêté une petite attention à cette histoire de réchauffement du climat provoquée par l’activité humaine j’ai tout de suite compris qu’il y avait un problème avec ce CO2 qui provoquait une rétro-radiation dans les longueurs d’onde de l’infra-rouge des couches élevées de l’atmosphère vers le sol. Il s’agit d’une affirmation non seulement absurde mais en totale contradiction avec la deuxième loi de la thermodynamique décrivant l’issue fatale de l’énergie vers une forme dégradée appelée entropie. En me documentant j’ai également découvert que jamais les tenants du réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine ne mentionnaient la dynamique de l’atmosphère soumise au champ gravitationnel terrestre comme vous et moi. Jamais les « scientifiques » des instances onusiennes en charge de l’évolution du climat n’ont mentionné ce fait appelé gradient adiabatique auquel est soumise l’atmosphère. Et pour cause : il remet en cause cette rétro-radiation.

Les observations populaires sont les plus proches de la réalité : n’importe quel randonneur a constaté que lorsqu’il décide de gravir une montagne même insignifiante, quelques centaines de mètres de dénivelé, il constate que l’air est « plus léger » et qu’il fait « plus frais » que dans la plaine sans jamais avoir ouvert un livre de physique de sa vie. Et alors ce randonneur pourra aussi se poser cette question dérangeante pleine de bon sens s’il en a assez des histoires de réchauffement déversées jusqu’à la nausée par les médias de grand chemin : « je me demande comment cet air frais de la montagne peut bien réchauffer la plaine ? Ou encore : « je n’ai jamais vu qu’un glaçon pouvait me réchauffer les mains ! ». Le tour est joué : il est devenu sans le savoir un « climato-sceptique » et son scepticisme constitue une véritable insulte pour les spécialistes du climat auto-proclamés de l’IPCC. D’ailleurs ces mêmes spécialistes ont déclaré que la science du climat était définitivement acquise (« settled »), donc incontestable, donc dogmatique. Cette attitude ressemble étrangement au crime de contestation de l’existence de Dieu au Moyen-Âge, en d’autres termes les fonctionnaires onusiens du climat ont transformé « leur » science du climat en une nouvelle religion.

Le rôle de l’eau dans le climat a été de même totalement occulté par ces spécialistes et pourtant le bon sens populaire sait que l’eau est un acteur très important au moins de la météorologie, il suffit encore d’être observateur. Pourquoi la montagne située au centre de l’île de Tahiti est toujours dans les nuages et les précipitations annuelles cumulées y atteignent 10 mètres ? Il s’agit d’une conséquence directe de ce gradient adiabatique. Et que se passe-t-il ? Les alizées, au niveau de la mer venant du Chili sans jamais avoir rencontré d’obstacles, chargés de vapeur d’eau puisqu’ils ont caressé au cours de ce long trajet la surface de l’Océan Pacifique chauffé par le soleil tropical, buttent sur une montagne de plus de 2000 mètres d’altitude. Ils doivent monter sur la montagne comme le randonneur et se refroidissent, d’où l’apparition de nuages. De même que les vieux paysans qui partaient autrefois tailler leur vigne gardaient leur bouteille de vin dilué de moitié sorti de la cave au frais toute la matinée, les bouteilles « thermos » n’existaient pas ? Il ne s’agissait pas d’une croyance mais d’une réalité mettant à profit la nature physique de l’eau qui peut exister à l’état solide, liquide ou gazeux. Bien qu’ignorant cette information ces vieux paysans savaient qu’en entourant leur bouteille de vin d’une bonne couche de toile de jute imbibée d’eau, celle avec laquelle on faisait des sacs pour les pommes de terre, ce geste anodin permettait de maintenir durant toute la matinée cette boisson au frais et je l’ai parfois vérifié lorsque j’étais un enfant pas encore scolarisé à l’occasion de la générosité de ces vieux paysans qui me faisaient goûter leur breuvage.

Jamais les fonctionnaires richement rémunérés et dotés d’un passeport diplomatique de cette officine genevoise n’ont mentionné le rôle essentiel de l’eau dans l’équilibre thermique de l’atmosphère en raison de sa propriété unique de changer d’état selon la température. La conséquence est d’une importance extrême car la théorie de l’effet de serre et des gaz à effet de serre devient insoutenable pour une raison très simple : l’eau en s’évaporant refroidit les océans en se chargeant en énergie, comme elle refroidit la bouteille de vin du vieux paysan qui taille sa vigne, quand cette vapeur d’eau se condense en gouttelettes de pluie microscopiques pour former des nuages elle libère de l’énergie qui va se perdre dans les hautes couches de l’atmosphère plus froides et enfin quand ces gouttelettes deviennent de la glace ou de la neige une troisième fois de l’énergie est libérée et se dissipe dans l’atmosphère à des altitudes encore plus élevées. Dans les diagrammes colorés que publie l’IPCC ce processus largement prépondérant n’est symbolisé que par une toute petite flèche.

La science du climat est devenue une véritable religion et l’humanité toute entière doit être punie pour sa faute qui est de produire des gaz à effet de serre qui n’existent que dans l’idéologie climatique mais pas du tout dans la réalité. Progressivement cette théorie de l’effet de serre a été reprise par les politiciens et la finance apatride de l’ombre pour imposer à l’humanité, surtout les pays occidentaux car tous les autres pays s’en moquent, des restrictions en tous genres, la pénitence comme celle imposée par la religion chrétienne pour que les croyants expient leur péché originel qui n’a jamais existé autrement que dans l’esprit dérangé des pères de l’Église dans le but de rançonner leurs ouailles. C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui avec l’effet de serre d’origine humaine qui est une pure invention politique, une fraude, afin de satisfaire les puissances financières car il y a très gros à gagner en prenant pour exemple le Vatican. La science du climat, la virologie et la médecine sont devenues des préoccupations politiques quasi-religieuses et afficher son scepticisme est une insulte dirigée contre ces puissances de l’ombre et les décideurs politiques qui ne sont que des méprisables exécutants. Bienvenue dans un monde meilleur où vous ne posséderez rien mais serez heureux … Lien : https://en.wikipedia.org/wiki/Virus . Comme vous l’avez compris l’auteur de la citation est le Professeur Didier Raoult lors d’une entrevue sur le site Legend et que je conseille très vivement à mes lecteurs de regarder : https://www.youtube.com/watch?v=IPXwi6UybIE&ab_channel=LEGEND

Petite remarque. À Papeete le mois de février est le plus chaud de l’été comme le mois d’août dans l’hémisphère nord. Afin de supporter la température de l’air je me refroidis avec les lingettes humides posées sur les épaules. Comme le vieux paysan qui gardait sa bouteille au frais, l’eau dont est imbibée cette lingette s’évapore en subissant la chaleur du corps. En effet l’enthalpie de changement d’état liquide → gaz est de – 241 kJ/mol ou 18 grammes d’eau ce qui est considérable. La vapeur d’eau est donc un gigantesque réservoir d’énergie …

La VRAIE transition énergétique se profile à l’horizon

J’ai regardé avec effarement un reportage au sujet des catastrophes naturelles, sécheresses, inondations, cyclones, tremblements de terres et autres éruption volcaniques durant l’année 2015 (lien en fin d’article) et ma surprise fut que tout était plus ou moins provoqué par le réchauffement du climat, du moins ce réchauffement dominait le tableau « climatique ». Pourtant des situations comme des cyclones, des inondations ou des périodes de sécheresses prolongées n’ont rien à voir avec le climat puisqu’il s’agit de météorologie, des situations momentanées qui dûment répertoriées permettent de se faire une idée au sujet de l’évolution du climat avec des tendances générales. C’est ce que décrivit Emmanuel Leroy-Ladurie en se limitant par exemple à l’évolution du prix du pain et du blé au cours des siècles dans son ouvrage célèbre « Histoire du Climat depuis l’An Mil » paru en 1967 ! La dendrologie ou étude de la croissance des arbres déduite des cernes de croissance, parfaitement corroborée récemment par une étude de la croissance des stalagmites dans une région d’Allemagne du sud pour laquelle la dendrologie jusqu’à 1000 ans était disponible à peu de kilomètres de distance (lien en fin d’article). Le climat évolue selon des tendances longues, plusieurs décennies ou siècles et millénaires, et c’est précisément ce qu’Emmanuel Leroy-Ladurie a démontré. Aujourd’hui les pays occidentaux se focalisent sur les gaz dits à effet de serre car la consommation de combustibles fossiles ne cesse d’augmenter sans pour autant d’augmentation significative de la croissance économique. Selon la loi classique de l’économie dans une telle situation le prix du baril de pétrole brut devrait augmenter. Il y a cependant un problème avec ce prix libellé en dollars sur le marché international : si les États-Unis acceptaient que le cours du pétrole sur le marché international puisse être coté en une autre devise comme par exemple l’euro ou le renminbi des sommes gigantesques de dollars chercheraient alors à s’échanger contre des euros et contre la devise chinoise. Or il n’y a pas assez d’euros pour qu’une telle opération soit réalisable, si j’ai bien compris les mécanismes de l’économie e quant au renminbi les Chinois ne veulent pas entendre parler de dollars. Le fait que l’Arabie saoudite se soit entendue avec la Chine pour être payée en renminbi convertibles en or pour toute livraison de pétrole n’a pas rendu les Américains furieux comme le fut leur réaction avec l’Irak et la Libye paraît surprenant. Et pourtant malgré ma totale ignorance des mécanismes de l’économie je suspecte que les Américains ont laissé faire pour encourager d’autres pays à faire de même, donc pas seulement la Chine, afin que les dollars servant de devise pour acheter du pétrole reviennent aux États-Unis et soient investis dans l’économie domestique et embellissent l’indice boursier de Wall Street. Et le même mouvement provoquerait également l’embellie des indices boursiers européens. Ces mouvements massifs de dollars ont certainement été un facteur inflationniste aux USA alors la FED a augmenté ses taux directeurs provoquant une chute de la valeur de revente des T-bonds et puisque ces T-bonds sont aussi « liquides » que le dollar devise cette conjoncture a accéléré une sorte de début de dé-dollarisation. De nombreux pays vont suivre l’exemple de la Chine.

Revenons donc au pétrole. Les critères ESG ont provoqué une chute des investissements dans le secteur pétrolier, encore un autre paramètre qui normalement aurait du contribuer à une hausse du prix du baril et pourtant ce n’est pas le cas. La seule explication qui reste est une manipulation des cours par les grandes banques américaines. Malgré le fait que le cours de l’or soit également manipulé par les banques américaines dont en particulier JP Morgan depuis 2000 de 250 dollars l’once l’or a atteint 2040 dollars aujourd’hui, ce qui correspond à une perte de valeur du dollar d’un facteur 8 ! Le dollar est donc une monnaie de singe que les producteurs de pétrole (ou de gaz) cherchent à éviter et il en est de même des T-bonds. Tout s’explique donc avec la logique d’un néophyte et je n’éprouve aucune honte à me classer parmi les néophytes en économie. L’industrie du pétrole se répartit majoritairement entre les dix premières plus importantes compagnies :

Rosneft (russe) ne figure pas dans ce classement et Patrick Pouyanné, PDG de Total, la sixième dans ce classement, a déclaré à Davos que la production de pétrole brut diminuait chaque année de 3 à 4 %, l’équivalent de celle de Total, opérateur dans de nombreux pays dont par exemple le Gabon mais aussi la Russie où il n’est qu’extracteur équipementier des gisements. Il est impossible de trouver quelle est la production de pétrole de Total, seules les données comptables sont accessibles. Mais quand Pouyanné a précisé que la production globale de pétrole brut mondiale diminuait de l’équivalent de celle qu’il dirige et qu’il a ajouté qu’à partir de 2030 la production de Saoudi Arabian Oil Co (ex Aramco et maintenant cotée à la bourse de Riyad) allait diminuer, les résultats de l’injection d’eau de mer dans les gisements pour les activer devenant de moins en moins efficace, il est clair que les dirigeants saoudiens veulent préparer leur avenir et ne plus dépendre d’un dollar dévalué pour réaliser tous les projets dont rêve MBS pour son pays. Il faudra donc que le monde change de paradigme. Et si le climat commence à se refroidir la seule mesure actuellement intelligente de réduction des émission de CO2 paraîtra être celle de l’isolation thermique des logements et de tous les autres bâtiments publics et industriels. La zone intertropicale ne sera à l’évidence pas concernée. Quel pays se préparent à cette échéance inévitable ? Pour l’instant seules la Russie et la Chine investissent massivement dans l’énergie nucléaire, surrégénérateurs et réacteurs à haute température en pensant aux générations futures comme la France lors de la décision de créer un parc électronucléaire moderne … gouverner c’est prévoir.

La production mondiale de pétrole n’a jamais atteint le niveau pré-coronavirus ces dernières années et elle a tendance à baisser depuis novembre 2022. Total n’est pas le principal producteur de pétrole car l’essentiel de son chiffre d’affaires se situe dans l’activité de recherche de nouveaux gisements et de l’exploitation de ces derniers pour le compte de société nationales.de plus Total est étroitement associé à deux autres entreprises françaises de niveau international que sont Schlumberger pour les activités de logging et l’Air Liquide pour la liquéfaction du gaz naturel qui est inévitablement associé au pétrole dans les mêmes gisements. On peut ajouter que l’Air Liquide est ainsi devenu le premier producteur d’hélium. L’hélium (He-4) présent dans le gaz naturel provient de la désintégration du thorium et de l’uranium de la croute terrestre produisant des particules alpha. L’hélium est un gaz stratégique pourtant présent parfois dans le gaz naturel jusqu’à 5 % du total de gaz. L’utilisation de l’hélium dans les réacteurs nucléaires à haute température a pour but de résoudre la solution de production d’hydrogène à partir de l’eau par le procédé « iode-soufre » qui nécessite la mise en œuvre d’étapes à haute température. Il s’agit alors d’un hydrogène plus conforme aux désirs de réduction des émissions de CO2 comme ce n’est pas le cas du cracking du méthane à 1100 °C qui la première source industrielle d’hydrogène.

Patrick Poyanné prévoit donc une baisse inévitable de la production de pétrole et le fameux « pic pétrolier » est vraisemblablement déjà atteint. La réduction des émissions de CO2 deviendra alors non pas une décision autoritaire des gouvernements pour la plupart occidentaux mais un fait incontournable. Une autre conséquence également inévitable sera une augmentation du prix du baril de pétrole quelle que soit la devise utilisée pour évaluer son cours sur les marchés internationaux et cet « état de fait » réduira la croissance économique et il sera alors nécessaire d’imaginer d’autres scenarii pour les sociétés telles qu’on les connait aujourd’hui habituées à la croissance économique. Quel dirigeant politique oserait déclarer publiquement que la croissance économique fait maintenant partie de l’histoire et qu’il faudra s’habituer à une longue période de vaches maigres compte tenu d’une énergie moins abondante et plus coûteuse. Certes il reste d’immenses réserves de charbon qui devront être exploitées mais ce ne sera qu’un outil pour aider cette VRAIE transition énergétique (et non pas un rêve des écologistes) à être vécue en douceur.

Un pays sans agriculture est-il viable ?

Alors que la Commission européenne a conclu des accords de libre échange avec des pays comme le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Brésil, accords approuvés par le Parlement européen, ces accords ont été assortis de mesures démagogiques consistant à réduire le cheptel bovin dans des pays comme les Pays-Bas, l’Irlande et la France car les émissions de méthane par ces bêtes à cornes sont préjudiciables pour le climat. Les accords de libre échange conclus avec les pays sus-nommés entrent donc dans la logique du sauvetage du climat en délocalisant la production de ces gaz néfastes. De plus le renchérissement du prix des engrais azotés accroit les tensions dans le monde agricole européen et enfin l’Allemagne dont l’économie s’effondre cherche à faire des économies en réduisant les avantages fiscaux dont bénéficient les agriculteurs au sujet du carburant diesel. Autant dire que toutes ces mesures n’auront qu’un seul effet : accélérer la désertification des campagnes et la paupérisation des consommateurs déjà malmenés par une inflation toujours présente malgré les déclarations de Madame Lagarde. L’Europe se trouve donc aujourd’hui à un tournant mortifère provoqué en grande partie par les écologistes qui, eux, seront les seuls satisfaits car l’Europe sera le meilleur élève pour sauver le climat.

La bande de Ghaza, l’un des lieux le plus densément peuplé du monde, disposait (il faut parler au passé) d’une agriculture, la banlieue résidentielle de Tokyo, ville de 18 millions d’habitants, est parsemée de cultures maraîchères et tout le sud de la préfecture de Chiba qui jouxte celle de Tokyo est l’une des principales source de fruits et légumes pour la conurbation de Tokyo. Les moindres parcelles favorables à la culture du riz sont exploitées. Le bon sens devrait dicter une politique de soutien à l’agriculture et non pas l’ouverture sans limite du marché des produits agricoles. Il s’agit de priorités d’abord au niveau national et dans un proche avenir concernera l’existence même de l’Union européenne. Et les instances syndicales représentant les agriculteurs l’ont compris : c’est l’avenir de l’Union européenne qui se joue aujourd’hui. Et cet avenir est bien sombre …

Respirer est-il perturbateur pour le climat ?

Comme les lecteurs de ce blog le savent bien je continuerai à dénoncer l’escroquerie du dérèglement du climat par l’activité humaine ainsi que les visées totalitaires de l’OMS qui désire contrôler la santé des citoyens de toute la planète. Vivant maintenant depuis dix-huit mois à Tahiti parler de réchauffement du climat ici est une blague et en ce qui concerne la santé des Polynésiens, certes ils ont payé un lourd tribut lors de l’épidémie de coronavirus, pour des raisons génétiques et alimentaires, des aliments tels que les bananes à cuire le fruit de l’arbre à pain ou encore les patates douces sont très riches en sucre et comme ceci a été prouvé maintes fois c’est le sucre qui provoque un sur-poids et non les graisses animales. Puisqu’il est question d’alimentation les diététiciens répètent et répètent encore qu’il faut déguster des mets riches en fibres supposées faciliter le transit intestinal. Voilà une riche idée ! Une récente étude parue dans la revue PlosOne a jeté un pavé dans la mare de la certitude des diététiciens. L’étude a consisté à analyser les exhalaisons d’un échantillon de personnes soumises à un régime carné, un régime n’incluant de la viande que deux fois par semaine et un régime végétarien strict. Il n’y avait aucune corrélation dans la teneur des exhalaisons ( respiration normale) pour ces trois groupes en ce qui concerne les teneurs en méthane ou CO2 alors que la teneur en oxyde d’azote N2O semblait être liée à la propreté de la dentition ! L’étude s’est donc focalisée sur les exhalaisons de méthane et de gaz carbonique qui sont considérés comme particulièrement dangereux pour le climat.

En effet (!) la teneur en méthane dans l’air rejeté lors de la respiration outre le CO2 varie entre 12 et 20 ppm, c’est énorme, c’est une catastrophe pour le climat … tandis que les émissions d’oxyde d’azote restaient stables à un petit détail près, elles augmentent avec l’âge. L’être humain n’est pas directement fautif dans cette histoire, ce sont les bactéries intestinales qui font leur travail, tout simplement. Et si l’homme dégage du méthane c’est une conséquence de la dégradation par ces bactéries d’aliments contenant de longues chaines carbonées, l’excès de méthylènes et de méthyles étant éliminés sous forme de méthane. Il est opportun de rappeler que lors d’une expiration normale la teneur en CO2 est de l’ordre de 4,4 % soit 10000 fois plus que dans l’atmosphère. Ce CO2 provient de tous les mécanismes d’oxydation produisant dans la cellule de l’énergie comme par exemple le glucose : C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O. Sans ces mécanismes d’oxydation toute vie est impossible car non seulement les être humains en dépendent mais également tous les animaux, toutes les bactérie et tous les champignons ainsi que les végétaux au cours de la nuit. Va-t-on instituer une « taxe-carbone » en raison de cette exhalaison de CO2 ? Cela serait synonyme de taxe sur la vie, et un tel raisonnement explique le penchant malthusien des responsables onusiens du climat reprenant les thèses du Club de Rome.

Il reste une petite consolation pour les hommes : ils dégagent statistiquement moins de méthane que les femmes et ceci ne peut que s’expliquer par une différence de microbiome intestinal entre l’homme et la femme. Il faut toutefois rester optimiste car cette étude mentionne que tout le CO2 exhalé par les britanniques ne représente que 0,05 % de l’ensemble des émissions de ce même gaz répertoriées dans le Royaume et pour le méthane seulement 0,1 % par ce même calcul. Pour conclure sur une note d’optimisme le massacre de tous les bovins britanniques et des mesures vexatoires de taxation de la vie n’auront strictement aucun effet sur l’évolution naturelle du climat. Source : https://doi.org/10.1371/journal.pone.0295157

Météo et climat : il faudra choisir entre asservissement et liberté

La température chute en Europe, en Amérique du Nord ainsi qu’au Japon, 7 degrés ce dimanche 26 novembre. Si ma mémoire est exacte, je crois qu’elle l’est, lorsque j’étais jeune adolescent la rentrée des classes avait lieu le premier octobre et souvent elle coïncidait avec les premiers frimas d’automne et parfois les premières et timides chutes de neige. Les paysans de mon hameau natal avaient commencé les vendanges et les vaches seraient bientôt à l’étable. Il s’agissait bien sûr de météorologie et non d’une variation du climat, le cycle normal des saisons. Au cours de l’optimum médiéval du climat qui dura tout de même trois siècles il y eut également des fluctuations météorologiques très bien analysées par Emmanuel Leroy-Ladurie en étudiant les fluctuations année après année du prix du blé et par conséquent du pain. Et ce prix du blé était l’indicateur du bien-être des populations. Cet optimum médiéval était ponctué de variations météorologiques qui par voie de conséquence perturbaient la vie quotidienne. Il y avait comme aujourd’hui des catastrophes, des évènements météorologiques violents, des inondations, des sécheresses …

Les glaciologues qui ont mis en évidence les cycles glaciaires réapparaissant avec une périodicité d’environ 100000 ans en reconstituant l’évolution des températures des océans soit de l’Atlantique Nord soit de l’Océan Antarctique avec le « proxy » oxygène-18 plus lourd que l’isotope 16 donc s’évaporant un peu plus facilement si la température est plus élevée, ces glaciologues, donc, ont déduit que les périodes de glaciation se succédaient : il s’agissait de climatologie et non de météorologie. L’étude des cernes de croissance des arbres ne concerne que la météorologie car cette croissance est sensible à ce que l’on pourrait appeler la qualité du printemps et de l’été favorisant cette croissance. Un été pourri ou un printemps trop froid affectent cette croissance des arbres et il paraît hasardeux d’en tirer des conclusion relatives au climat. C’est d’ailleurs ce que les vrais climatologues ont affirmé.

Si l’optimum médiéval du climat a été sciemment éludé par les fonctionnaires de l’IPCC il s’agit d’une omission sur commande ou d’une faute scientifique grave, je pencherais pour ces deux raisons reprises sans cesse d’où est née l’idéologie dogmatique du changement du climat et la confusion est entretenue et reprise par les grands médias, sur ordre de l’IPCC, par une interprétation abusive de faits presque quotidiens relevant de la météorologie que ces fonctionnaires attribuent faussement à un dérèglement du climat. Comme si l’alternance des saisons était une conséquence du changement du climat ou comme si les grandes marées de pleine ou nouvelle lune étaient des conséquence de cet hypothétique changement du climat. Ainsi l’homme ose interpréter à sa manière la rotation de la Lune autour de la Terre et le fait que l’axe de rotation de la Terre sur elle-même n’est pas perpendiculaire au plan de l’écliptique. Enfin les fluctuations de l’activité solaire ne sont jamais prises en considération car elles contredisent ce dogme du changement du climat. Il est assourdissant de constater que ces stupides fonctionnaires de l’IPCC croient que l’humanité, dans la mesure où elle interprète faussement ces phénomènes astrophysiques, peuvent avoir une influence sur l’évolution non seulement de la météorologie mais également du climat est très présomptueux ou relève de la démence intellectuelle …

Les périodes les plus froides de l’année sont décalées d’environ six semaines par rapport aux solstices : le mois le plus froid est habituellement février et le plus chaud août dans l’hémisphère nord, il y a des gelées prolongées en février ou des sécheresses voire des orages violents et des inondations en août et le climat n’a rien à voir avec ces événement météorologiques. Tout est donc faussé par des raisons qui nous échappent mais suivent des ordres issus des puissances financières qui ont trouvé que le climat était un excellent moyen de rançonner tous les fainéants qui refusent de faire le moindre effort pour réaliser que leur avenir est en danger non pas à cause du climat mais de la volonté de leur domination (par ces financiers) sur la totalité de l’humanité. Les « 0,1 % » veulent dominer le monde : l’essai, comme au rugby fut le coronavirus et il va être transformé avec cette légende du changement du climat provoqué par l’activité humaine. Nous devrons expier ce deuxième péché originel, notion religieuse à laquelle je ne crois absolument pas, pas plus que ce changement, dérèglement, réchauffement … du climat. On peut ainsi écrire que manifester un doute au sujet de cette nouvelle religion du climat relève de l’hérésie et s’il fallait brûler en Place de Grève un de ces hérétique, je serais volontaire car à mon âge être brûlé vif m’importe peu car j’ai déjà dépassé l’espérance de vie officielle des Français !

Je redoute en effet de vivre encore plusieurs années pour assister à la terrible décadence et l’insupportable misère sans espoir de jours meilleurs auxquelles mes petits-enfants seront confrontés à cause des élucubrations des fonctionnaires de l’ONU, encouragés par les puissances financières de l’ombre et repris par les organisations écologistes également aux ordres de ces mêmes puissances financières. Il faudrait que les jeunes générations de tous les pays se préparent à la révolution et massacrent au sens littéral du terme tous ces malfaisants : c’est leur avenir qui se joue déjà car ce processus deviendra irréversible dans peu de mois. En Europe la Commission organise une censure contre les climato-sceptiques et c’est très significatif d’un coup monté qu’il faut dissimuler, la Commission met en place la carte européenne d’identité numérique comprenant des données bancaires, de santé avec la complicité de l’OMS et les données de style de vie avec dans peu de temps un « pass-carbone » répertorié automatiquement pour chaque personne physique qui oserait voyager en avion ou utiliser son véhicule automobile avec un moteur à combustion interne, la monnaie numérique permettra un contrôle en temps réel de chaque individu avec les GAFAM+ qui sont contrôlés par ces mêmes puissances financières. Tout est déjà ficelé et il est peut-être déjà trop tard. Je suis trop vieux pour courir afin de fuir la police anti-émeutes aux ordres de gouvernements et comme je suis fondamentalement un non violent je ne me serais, plus jeune, jamais confronté à une police également aux ordres du gouvernement ni à une justice dont le statut d’indépendance vis-à-vis du pouvoir exécutif n’a jamais été aussi battu en brèche.

Tous ces éléments indiquent que les démocraties dites occidentales se préparent à cette grande remise à zéro dont rêve ce fou de Klaus Schwab également aux ordres, consentantes d’approfondir leur asservissement aux puissances financières, tout cela au nom de mensonges et d’anti-science ! L’avenir de l’Occident est donc particulièrement sombre car la grande majorité des autres pays dans le monde ne se préoccupent pas de cette histoire de changement d’origine humaine du climat mais sont pénalisés par les critères ESG qui découragent tout investissement dans les sources d’énergie « carbonée » comme si le péché originel des Occidentaux devait être expié par le Burkina-Faso, le Mali ou le Kenya. Le monde occidental est devenu un monstre inique …

Réponse à Tromby72 et à tous les autres lecteurs de ce blog au sujet du climat.

En 2013 j’ai commencé à lire quelques articles et regarder quelques reportages relatifs au réchauffement du climat dont l’origine était censée être l’activité humaine moderne. Ayant suivi de longues études universitaires pour obtenir une maîtrise de chimie il était inclus des disciplines comme la thermodynamique, la physique nucléaire, la spectroscopie, … J’ignorais tout du climat, du système Terre-atmosphère-océans et en particulier de l’atmosphère ainsi que de la mécanique céleste qui, je le découvris au cours de ces investigations, jouait un rôle fondamental dans l’apparition des longues périodes glaciaires. Ce fut une sorte d’apprentissage et je fus immédiatement interpellé par le fait que si on effectuait une marche en montagne la température diminuait au fur et à mesure que l’on montait. Je fus alors surpris à partir de cette simple observation qu’il devait pourtant exister un effet de serre provoqué par la présence de gaz carbonique ou d’autres gaz qui furent incriminés ensuite. L’effet de serre de ce CO2 consistait à observer un réchauffement des basses couches par celles situées à une altitude supérieure. Cet effet était, selon ce que la presse et les grands médias présentaient à la suite des mises au point réitérées par l’IPCC, un organisme onusien dépendant de l’Organisation Météorologique mondiale, une irradiation de ces basses couches de l’atmosphère et du sol provenant de ces hautes couches de l’atmosphère. Je fus surpris de constater que cette affirmation était dénuée de tout fondement scientifique car elle entrait en contradiction flagrante avec les lois fondamentales de la thermodynamique : puisque l’air en altitude est froid la vibration des molécules constituant l’atmosphère est énergétiquement inférieure à celles situées dans les basses couches de l’atmosphère. Selon la deuxième loi de la thermodynamique, ces photons réémis se perdent en entropie et ne peuvent pas « échauffer » le sol, plus chaud en moyenne. Il n’en est pas de même pour les photons émis en direction de l’espace car l’atmosphère est soumise au champ gravitationnel terrestre et selon le gradient adiabatique décrivant les variations de pression, de densité et de température de l’air en fonction de l’altitude, ces photons réémis vers l’espace pourront éventuellement « échauffer » les molécules de l’atmosphère situées à des altitudes élevées.

La conséquence est que l’affirmation par les fonctionnaires de l’IPCC qu’il existe un effet de serre intrinsèque au sein de l’atmosphère est un non-sens scientifique et ce quelle que soit la nature du gaz considéré. Il reste la vapeur d’eau qui dans certaines conditions de température se conforme aux lois décrivant les gaz parfaits comme l’oxygène ou l’argon. Dans l’atmosphère la vapeur d’eau présente la particularité de changer d’état et du plus chaud au plus froid chaque changement d’état provoque une libération d’énergie thermique. Combinée au gradient adiabatique ces changements d’état se manifestent par la formation de nuages et de couches aux altitudes élevées d’un voile de cristaux de glace renvoyant le rayonnement solaire vers l’espace. Outre les transferts d’énergie à chaque changement d’état physique la vapeur d’eau est un paramètre d’une grande importance dans l’évolution des températures à la surface du sol. Le système Terre-atmosphère est donc d’une complexité redoutable qu’aucun modèle mathématique ne peut reproduire. On se trouve donc dans une situation dans laquelle non seulement la théorie de l’effet de serre du CO2 et d’autres gaz est invalidée par les lois physiques fondamentales, le rôle de la vapeur d’eau est considéré comme mineur à tort comme d’ailleurs celui des aérosols. Il paraît donc pour un scientifique non spécialiste du climat que la pression exercée sur les décideurs politiques relève d’un agenda politique déconnecté des réalités scientifiques.

Pour conclure cette réponse adressée à un certain nombre des lecteurs de ce blog je déclare honnêtement que je ne peux pas m’approprier le droit de mettre en cause toutes les décisions prises par les gouvernements, surtout occidentaux, mais bien que n’étant pas un climatologue je suis en droit de contester l’ensemble de la problématique du changement, du dérèglement, du réchauffement du climat d’origine humaine car il s’agit d’une fausse science. Les conséquences sociétales, économiques et financières tant des mesures de « protection » du climat que de la transition énergétique me paraissent plus de relever du dogme, une idée qui ne peut que faire bondir n’importe quel scientifique et j’ajouterai que la science du climat n’est pas du tout figée (« settled » en anglais) comme toute autre discipline scientifique.