La liberté des médias ? Une illusion

La liste ci-dessous explique l’emprise des médias sur la censure sévissant au sujet des effets secondaires des vaccins. Cette liste non exhaustive illustre l’ampleur du pouvoir de la “soft power” américaine. Il ne s’agit que des médias financés par Bill Gates, le plus grand mégalomane de l’ombre. Je laisse à mes lecteurs le soin de découvrir l’emprise tentaculaire de Bill Gates sur le monde et les médias : https://katehon.com/en Note : NPR = National Public Radio USA

Et pour approfondir l’emprise de Bill Gates sur le monde des médias : https://katehon.com/en/article/documents-show-bill-gates-has-given-319-million-media-outlets-promote-his-global-agenda

Néonicotinoïdes, nucléaire, changement du climat, coronavirus : les écolos ne savent pas de quoi ils parlent !

Les « chevaux de bataille » des écologistes sont toujours invariablement le nucléaire, les pesticides et les plantes vivrières génétiquement modifiées, ainsi que le changement du climat d’origine humaine. L’ONG maintenant tentaculaire et supranationale Greenpeace fut créée dans le but de s’opposer aux essais nucléaires planifiés pour être mis en œuvre dans des îles désertes du sud-ouest de l’Alaska. Le mouvement prit naissance en Colombie britannique en rassemblant quelques hippies fumeurs d’herbe qui eurent le génie d’organiser leur propagande. Le mouvement attira la sympathie de toute une population se reconnaissant dans ce combat, l’utilisation du nucléaire à des fins militaires n’offrant pas vraiment de perspective réjouissante. À ce propos je suis moi-même opposé à l’usage de l’atome à des fins de destruction massive. D’ailleurs aucun pays « nucléarisé » n’osera utiliser ce type d’armement car en quelques heures ce serait l’apocalypse et la fin de l’humanité.

Bien que consciente de ce fait Greenpeace a continué à militer cette fois contre le nucléaire civil pendant de nombreuses années car cette organisation n’a jamais voulu assumer un changement de doctrine contestataire au sujet de l’atome. C’est ainsi que cette organisation non gouvernementale accompagnée de bien d’autres mouvements activistes comme le Sierra Club et une myriade d’autres groupes tels que Les Amis de la Terre ont orienté leurs actions vers les énergies dites renouvelables puis par extension l’écologie en général, la protection de l’environnement et des écosystèmes. Ainsi l’écologie, organisée politiquement en partis dits « verts » très puissants et influents, a maintenant la main-mise sur de nombreuses décisions gouvernementales, le monde politique étant devenu l’otage de ces mouvements pour des raisons bassement politiciennes et électoralistes.

Prenons le cas de l’Europe occidentale dont l’actualité est occupée par les problèmes d’énergie qui concernent l’ensemble de la population et la totalité du tissu économique. Les partis politiques écologistes ont gagné leur pari consistant à détruire l’économie de ces pays en infléchissant leur politique énergétique, en particulier l’Allemagne et la France, outre Rhin en exigeant l’abandon total de l’énergie nucléaire depuis l’accident de la centrale nucléaire nippone de Fukushima-Daiichi et en France en exigeant et obtenant avec succès la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et l’abandon d’une grande partie du parc nucléaire de l’Hexagone au profit des énergies renouvelables. Les cadres de ces organisations écologistes savent pourtant parfaitement que les économies avancées ne peuvent pas fonctionner avec des sources d’énergie peu fiables et de faible intensité. Un laminoir, une unité de production d’aluminium ou une cimenterie ne peuvent pas fonctionner si la source d’énergie est intermittente ou de faible intensité.

Un simple exemple illustre la totale inadaptation des énergies intermittentes dites renouvelables pour alimenter l’un des processus industriels le plus énergivore. Il s’agit de la production d’aluminium par le procédé Héroult-Hall qui nécessite un courant continu de 5 volts avec une intensité de 300000 ampères pour électrolyser la cryolite, un fluorure mixte d’aluminium et de sodium, obtenue à partir de la bauxite. Combien faudrait-il de moulins à vent et de panneaux solaires pour alimenter une seule cuve d’électrolyse ? Aucun organisme écologiste ne peut répondre à cette question, ni d’ailleurs les décideurs politiques qui autorisent l’implantations d’éoliennes y compris dans des biotopes protégés. Il faut en effet disposer de redresseurs de puissance alimentés par du courant électrique alternatif à haute tension. En outre de nombreuses applications industrielles et commerciales de l’aluminium contiennent du magnésium. Or le procédé de production de ce métal fait également appel à une électrolyse à haute température du chlorure de magnésium obtenu par un procédé chimique classique.

Les mouvements écologistes ont, au cours des années, diversifié leur domaine de lutte anti-civilisation. L’agriculture fait aussi partie de l’un de leurs chevaux de bataille, un véritable cheval de Troie pour tromper les peuples et les réduire à la famine. L’utilisation de pesticides, de plantes génétiquement modifiées et d’engrais azotés de synthèse fait partie de leurs cibles. Tous les arguments anti-scientifiques aussi fallacieux et mensongers les uns que les autres ont été avancés pour convaincre le grand public qui n’y connait fondamentalement rien contrairement à votre serviteur. J’ai en effet travaillé pendant près de 15 années au sein de RP-agrochimie et 3 ans dans l’énergie nucléaire auprès d’EDF. Les progrès de l’agrochimie réalisés depuis la fin de la seconde guerre mondiale dans tous les pays développés ont été rendus possibles par la recherche tant universitaire qu’industrielle. Ces progrès ont permis à une main d’oeuvre rurale d’alimenter le secteur industriel car le nombre d’exploitants agricoles a considérablement diminué dans ces pays, ce secteur industriel étant acteur de cette immense reconversion en participant à la mécanisation de l’agriculture tant au niveau de la production agricole elle-même que de l’élevage. Les pays occidentaux développés sont ainsi devenus exportateurs nets de denrées alimentaires vers des pays dont ce secteur de production était et est souvent toujours traditionnel. Grâce à ces progrès considérables le monde peut aujourd’hui nourrir 10 milliards de personnes sans aucun problème. Malheureusement cette simple constatation déplait aux écologistes qui se sont enduits d’un vernis malthusien sous prétexte de sauver la planète et les écosystèmes, l’homme étant considéré comme un animal nuisible.

Puisque j’ai pris les exemples de l’aluminium et du magnésium pour démontrer la non-faisabilité des énergies renouvelables dans diverses applications industrielles, je prendrai donc un exemple relatif aux pesticides. D’abord il faut que les esprits soient clairs. Une « peste » pour un agriculteur englobe les mauvaises herbes aussi appelées adventices (ne pas confondre avec adventistes), les champignons phytopathogènes, certaines bactéries et les insectes ravageurs. À cette liste il faut ajouter les maladies infectieuses dites zoonoses pour les éleveurs, domaine dans lequel d’immenses progrès ont été réalisés avec la mise au point de vaccins et d’antibiotiques dédiés au combat contre ces zoonoses. Dans le domaine agricole stricto sensu deux pesticides préoccupent les écologistes : les herbicides et les insecticides. Selon les écologistes il s’agit de graves perturbateurs des écosystèmes. Or l’utilisation de ces produits est strictement règlementée et les protocoles d’utilisation doivent être scrupuleusement respectés pour atteindre une agriculture dite raisonnée. Les engrais azotés de synthèse n’entrent pas dans ce cadre puisqu’ils sont considérés comme ne perturbant pas sensiblement les écosystèmes mais ils ne doivent pas non plus être utilisés abusivement.

Comme c’est leur stratégie habituelle les écologistes utilisent des arguments fallacieux pour obtenir l’interdiction de tel ou tel produit phytosanitaire. L’exemple emblématique est le glyphosate, l’herbicide le plus efficace actuellement connu et le plus économique à produire. Les écologistes, par un stratagème scandaleux et opaque, ont obtenu la classification de ce produit parmi les produits cancérigènes. Qui dit produit cancérigène sous-entend un défaut de la duplication de l’ADN au cours de la division cellulaire. Les molécules les plus mutagènes connues sont capables de s’intercaler entre les bases puriques et pyrimidiques de l’ADN provoquant ainsi des défauts lors de la duplication de l’ADN. Or le glyphosate est une petite molécule chargée négativement et ne peut en aucun cas interagir avec l’ADN ni directement ni indirectement, l’ADN étant également chargé négativement. Clamer que le glyphosate est cancérigène est une incroyable « fake-news » !

Quant aux néonicotinoïdes la position des écologistes qui veulent à nouveau interdire son utilisation en agriculture ne s’appuie sur aucune justification, qu’elle soit scientifique ou environnementale. Les progrès de la chimie ont permis une telle diminution de leur apport par hectare, passant d’une dizaine de kilo à quelques grammes par hectare, qu’ils n’ont plus qu’un effet systémique durable dans la plante elle-même puisque ces progrès ont été permis par l’enrobage systématique des semences pour industrialiser l’ensemencement des champs à l’aide de machines qui peuvent plus aisément utiliser ces semences enrobées. Au niveau des fleurs ou des graines la teneur en ces insecticides est tellement faible que le combat mené par les écologistes est purement idéologique et ne s’adosse sur aucune évidence scientifique, je le répète, car c’est leur manière mensongère d’agir habituelle …

Pour terminer ce plaidoyer en faveur du progrès technique il est inutile de revenir sur la fermeture de l’usine NERSA de Creys-Malville dont la finalité était de se débarrasser des déchets des centrales nucléaires à haute activité constitués de transuraniens fissiles à durée de vie longue. Lorsque Jospin, alors premier ministre sous la présidence de Chirac, fortement influencé par les écologistes soutenus par Corine Lepage, avocate activiste à la solde des écologistes allemands, décida de la fermeture de Super-Phénix la France avait 20 ans d’avance sur tous les autres pays du monde en ce qui concerne la gestion de ces déchets de haute activité. Outre le fait que l’on pouvait produire de l’électricité avec ces derniers, la France pouvait se débarrasser avantageusement de ces déchets pas très encombrants mais dangereux. NERSA était un projet européen et d’autres pays étaient intéressés par cette technologie mais les écologistes ne l’entendaient pas de cette oreille parce qu’ils ne comprennent rien à cette problématique comme d’ailleurs en ce qui concerne l’agriculture.

En conclusion la position des écologistes en ce qui concerne les plantes transgéniques me consterne profondément : pourquoi ces écologistes ne se sont pas unis contre l’utilisation de la thérapie génique à ARN messager supposée protéger contre le coronavirus. Il s’agit pourtant d’une modification de l’appareil cellulaire d’êtres humains pour produire une protéine étrangère comme c’est le cas pour les plantes transgéniques ? En effet le maïs de Monsanto résistant au glyphosate sur-exprime la cible de cet herbicide, le produit de Pfizer ou Moderna, peu importe, induit une sur-expression par les cellules du sujet qui a subi cette injection de la protéine spike du coronavirus pour hypothétiquement le protéger contre ce virus, n’y a-t-il pas un parallèle troublant avec la plante transgénique de Monsanto ? Je serais très intéressé par la réponse des écologistes à cette question alors qu’ils sont restés sans voix à ce sujet !

Le mécanisme premier de l’oppression gouvernementale est évident

Article de la journaliste Caitlin Johnstone paru sur son blog le 2 février 2020

J’ai beaucoup écrit sur les secrets gouvernementaux et l’importance des lanceurs d’alerte et des éditeurs d’informations ayant été révélées dans la presse, et il y a une bonne raison à cela : les gouvernements qui peuvent cacher leurs actes malveillants de la responsabilité publique le feront chaque fois que ce sera possible. Il est, en effet, impossible pour le public d’utiliser la démocratie pour garantir que son gouvernement se comporte comme il le souhaite s’il n’est pas autorisé à être informé de ce qu’est ce comportement.

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Ces choses reçoivent beaucoup d’attention dans les cercles conspirationistes et les factions politiques dissidentes. De nombreux yeux sont fixés sur le voile de l’opacité des gouvernement et la persécution de ces braves âmes qui tentent de faire la lumière sur ce qui se passe dans l’ombre. Pas assez d’yeux, mais déjà pas mal.

Ce qui retient moins l’attention, à notre détriment, c’est le fait que le principal mécanisme de notre oppression et de notre exploitation se déroule sous nos yeux.

La campagne incessante menée par des politiciens vendus, des médias propriétés de grands groupes financiers et des plateformes de médias sociaux manipulées pour contrôler les récits dominants sur ce qui se passe dans le monde contribue beaucoup plus à la maladie de notre société que le secret gouvernemental.

Nous le savons par expérience : chaque fois qu’un lanceur d’alerte expose des informations secrètes sur les actes répréhensibles de gouvernements puissants comme la surveillance de la NSA ou les «meurtres collatéraux», nous ne constatons ni de responsabilité publique, ni d’exigences de changements systémiques pour empêcher que de tels actes répréhensibles ne se reproduisent, mais un fouillis de déclarations de la classe politique et médiatique.

Les opinions sont manipulées

Cette gestion narrative est utilisée pour détourner l’attention de ces informations révélées et sur le fait que la personne qui les a révélées a enfreint la loi ou s’est mal comportée d’une manière ou d’une autre. C’est utilisé pour convaincre les gens que les révélations ne sont pas vraiment un problème, ou qu’elles étaient déjà de notoriété publique de toute façon.

Et tout ce mécanisme sert à manipuler l’attention du public sur le prochain scoop de la journée et à troubler sa mémoire dans le murmure doucereux des médias. Et rien ne change.

Nous avons vu ça se répéter encore et encore. La machinerie de gestion des informations est devenue si efficace qu’elle a pu passer complètement sous silence la récente révélation selon laquelle les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont presque certainement bombardé la Syrie en 2018 pour une raison complètement fausse (lien). Quelques bonnes astuces de manipulation et une panne totale des médias, et c’est comme si tout cela ne s’était jamais produit.

Ce que cela nous apprend, c’est que notre premier problème n’est pas le fait que des complots se déroulent derrière un rideau de secret gouvernemental, mais le fait que la façon dont les gens pensent, agissent et votent est activement manipulée de plein droit. Le secret gouvernemental est en effet un aspect du contrôle par les élites politiques de l’information, mais le contrôle de l’accès du public à l’information n’en est qu’un aspect. La plus grande partie de cette problématique consiste à contrôler la façon dont le public appréhende l’information.

La raison pour laquelle les gens n’utilisent jamais le pouvoir que leur confère leur nombre supérieur pour forcer un réel changement, même s’ils sont exploités et opprimés de multiples façons par la classe dirigeante, c’est parce qu’ils ont été soumis à la propagande afin d’accepter une sorte de statu quo comme étant souhaitable (ou au moins normal).

La propagande de la classe politico-médiatique est donc la première ligne de défense de l’establishment. C’est son arme la plus puissante et la plus fondamentale.

Il est important pour les dissidents de tous bords de comprendre cela, car ça signifie que nous n’attendons pas simplement passivement un autre Manning ou Snowden ou un Ian Henderson pour nous donner des informations que nous pouvons utiliser pour combattre la machine d’oppression.

Ces personnes ont rendu un excellent service au public, mais la bataille pour éveiller la conscience humaine à ce qui se passe réellement dans notre monde ne se limite en rien aux fuites et aux dénonciations des lanceurs d’alerte. Si on est accoutumé à un type de média, on s’est déjà engagé dans la « matrice » (Matrix, voir le lien) narrative qui maintient le public anesthésié et complaisant. Peu importe que l’on ait un compte Twitter, un compte Youtube, des tracts de propagande ou une bombe de peinture : si on est capable de diffuser n’importe quel type de message, on peut alors influencer directement le mécanisme de notre propre oppression.

Vous êtes en mesure d’informer les gens qu’on leur ment, vous pouvez expliquer pourquoi et vous pouvez leur indiquer où ils peuvent trouver plus d’informations. Et c’est extrêmement stimulant. Vous n’avez pas besoin d’attendre en espérant que des informations explosives parviennent à passer les différents contrôles de sécurité et autres spin-doctors et déclenchent alors un véritable réveil social. Vous pouvez être cette information. Vous pouvez devenir un catalyseur pour cette prise de conscience.

La clé pour faire virer le navire de bord n’est pas cachée quelque part derrière un voile d’opacité du gouvernement. C’est en nous-même. Cela réside en chacun de nous. Nous pouvons commencer à réveiller nos semblables en ce moment en attaquant la gestion de l’information par la machine de propagande qui se trouve juste en face de nous, sans armure et à découvert.

Liens. Source : CaitlinJohnstone.com

https://thegrayzone.com/2020/01/22/ian-henderson-opcw-whistleblower-un-no-chemical-attack-douma-syria/

https://medium.com/@caityjohnstone/society-is-made-of-narrative-realizing-this-is-awakening-from-the-matrix-787c7e2539ae

Quarante cinq déclarations sur le contrôle de la population humaine (première partie)

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En prolongement d’un billet récent sur ce blog, voici un florilège de déclarations relatives au contrôle des naissances et du problème induit par le volume de la population de la planète sur l’évolution du climat analysé par les élites mondiales. Cet état d’esprit existait bien avant l’apparition du réchauffement global et du changement climatique. Beaucoup de personnalités au sommet de la pyramide sociale mondiale rêvaient d’abattre le troupeau humain de manière spectaculaire. Voici les 23 premières déclarations ( source : themostimportantnews.com). Suite dans un autre billet.

1. Charles Darwin (son oeuvre est à la base de beaucoup de théories scientifiques actuelles) : « Dans une époque future pas très éloignée si on la mesure en siècles, les races humaines civilisées, selon toute certitude, extermineront et remplaceront dans le monde entier toutes les races sauvages. Simultanément les grands singes anthropomorphiques, comme l’a remarqué le Professeur Schaaffhausen, seront sans aucun doute exterminés. La césure se sera élargie, plus que si elle intervenait entre l’homme caucasien civilisé comme on peut l’espérer et des singes aussi vulgaires que le babouin plutôt que comme à présent entre des nègres ou des Australiens (aborigènes) et les gorilles ».

2. Bill Gates : « Le problème est que la population croit d’autant plus rapidement là où les gens sont le moins capables de s’en rendre responsables. Ainsi c’est dans les contrées les plus pauvres que la population triplera vers 2050 (…) et nous devons nous assurer d’aider ces peuples avec des moyens leur évitant d’avoir dans le futur une situation impossible ».

3. Bernie Sanders : « Dans les pays pauvres où les femmes n’ont pas forcément envie d’avoir beaucoup d’enfants et où elles peuvent avoir accès à des moyens pour contrôler le nombre d’enfants qu’elles veulent avoir, je soutiens entièrement ce type d’action ».

4. Boris Johnson : « Le principal défi auquel notre espèce est confrontée est la reproduction de notre espèce elle-même. Il est grand temps d’avoir une discussion au sujet du nombre optimal d’êtres humains dans notre pays mais aussi sur la planète entière. Il est évident que nous avons les moyens de réduire la croissance de la population et la pauvreté en promouvant l’alphabétisation, l’émancipation des femmes et l’accès au contrôle des naissances ».

5. Sir David Attenborough, présentateur à la télévision britannique : « On ne peut plus laisser croître la population humaine de manière incontrôlée. Si nous ne prenons pas en charge la taille de notre population, la nature s’en chargera ».

6. Paul Erlich, ancien conseiller scientifique de George W. Bush : « Résoudre le problème de la population ne résoudra pas les problèmes de racisme, de sexisme, d’intolérance religieuse, de guerres, d’inégalité économiques évidentes. Mais si vous ne résolvez pas le problème de la surpopulation, vous ne résoudrez aucun de ces problèmes. Quel que soit le problème qui vous préoccupe, vous ne pourrez le résoudre que si vous résolvez également le problème de la population ».

7. Dave Foreman, fondateur de Earth First : « Nous les humains sommes devenus une maladie, l’ « humanpox » (la variole humaine) ».

8. Ted Turner, fondateur de CNN : « Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 % par rapport au niveau actuel, serait l’idéal ».

9. Taro Aso, vice-premier ministre du Japon à propos des patients atteints de maladies graves : « On ne peut pas bien dormir quand on pense que tout ça est payé par le gouvernement. Cela ne sera résolu que si vous les laissez vite mourir ».

10. David Rockefeller : « L’impact négatif de la croissance démographique sur tous nos écosystèmes planétaires devient de plus en plus évident ».

11. Richard Branson : « La vérité est la suivante : la Terre ne peut pas fournir suffisamment de nourriture et d’eau potable à 10 milliards de personnes sans parler des maisons, des routes, des hôpitaux et des écoles ».

12. Roger Martin, militant écologiste : « Sur une planète finie la population optimale offrant la meilleure qualité de vie pour tous est clairement beaucoup plus petite que la population maximale assurant une simple survie. Plus nous sommes nombreux moins il y a à partager, moins de gens signifie une vie meilleure ».

13. Bill Maher (HBO) : « Je suis favorable au choix, je suis pour le suicide assisté, je suis pour le suicide tout court, je suis pour tout ce qui permet de faire bouger les lignes, voilà ce pour quoi je suis. Il y a trop de monde sur la planète, elle est surpeuplée, et nous devons faire la promotion de la mort ».

14. Al Gore : « Ce que nous pourrions faire pour la planète c’est changer les technologies, réduire la pollution, stabiliser la population, et sur ce dernier point il faut éduquer les jeunes filles et les femmes. Nous devons mettre en place un contrôle des naissances omniprésent pour que les femmes puissent choisir le nombre d’enfants qu’elles désirent avoir et espacer les naissances. Il faut éduquer les filles et rendre les femmes autonomes. C’est le facteur d’effet de levier le plus efficace et lorsque cela se produit la population commence à se stabiliser et alors les sociétés commencent à faire de meilleurs choix plus équilibrés ».

15. Penny Chisholm, professeur au MIT : « Le vrai truc pour tenter de stabiliser la population mondiale à 9 milliards est de faire chuter les taux de natalité dans les pays en voie de développement aussi vite que possible. Cela déterminera alors le niveau auquel les humains se stabiliseront sur Terre ».

16. Julia Whitty, chroniqueuse pour Mother Jones : « La seule solution connue au dépassement écologique consiste à ralentir la croissance de notre population plus rapidement qu’elle ne le fait aujourd’hui, puis à inverser la tendance. En même temps nous ralentissons et inversons la vitesse avec laquelle nous consommons les ressource de la planète. Le succès de ces deux projets résoudra nos problèmes mondiaux les plus pressants : changement climatique, pénurie alimentaire, approvisionnement en eau, immigration, soins de santé, destruction de la biodiversité, voire conflits armés. D’un côté nous avons déjà réalisé des progrès sans précédent en réduisant la fécondité mondiale de 4,92 enfants par femme en 1950 à 2,56 aujourd’hui, une réussite de nombreuses tentatives parsemées d’erreurs parfois brutales, mais aussi une réussite au niveau des femmes prises individuellement pour faire leurs propres choix. La vitesse de cette révolution de la natalité qui s’oppose encore à la programmation biologique est peut-être notre plus grand exploit collectif à ce jour ».

17. Philip Cafar, professeur à l’Université du Colorado, dans un article intitulé « Ethique du climat et politique de la population » : « Mettre fin à la croissance de la population humaine est presque certainement nécessaire (mais non suffisante) pour prévenir un changement climatique catastrophique à l’échelle mondiale. En effet, réduire significativement la population humaine est peut-être nécessaire pour qu’il en soit ainsi ».

18. Eric R. Pianka, professeur à l’Université du Texas à Austin : « J’ai deux petits-enfants et je veux qu’il héritent d’une Terre stabilisée. Mais j’ai peur pour eux. Les Humains ont surpeuplé la planète et ont ainsi créé un terreau idéal pour que les bactéries et les virus se développent et prospèrent. Nous nous comportons comme des bactéries qui se développent sur une boite de gélose, en plein essor jusqu’à ce que les limites soient atteintes ou jusqu’à ce qu’un autre microorganisme les colonise et prenne le relais, les utilisant alors comme source de nourriture. Outre notre densité de population extrêmement élevée, nous sommes sociaux et mobiles et ce sont exactement les conditions qui favorisent la croissance et la propagation des microorganismes pathogènes. Je pense que ce n’est qu’une question de temps avant que les microbes assument de nouveau leur rôle de contrôle de la population humaine car nous ne pouvons ou ne voulons pas les contrôler nous-mêmes. Les écologistes souscrivent à cette idée depuis au moins 40 ans, ce n’est pas nouveau, mais les gens ne veulent tout simplement pas les écouter ».

19. Kofi Annan, Secrétaire générale des Nations-Unies de 1997 à 2006 : « L’idée que la croissance de la population garantit une vie meilleure – financièrement ou non – est un mythe et seuls les vendeurs de couches pour bébés, de poussettes et d’articles similaires ont le droit d’y croire ».

20. Thoraya Ahmed Obaid, secrétaire général adjoint des Nations-Unies de 2000 à 2010 : « Nous ne pouvons pas faire face aux défis énormes de la pauvreté, de la faim, des maladies et de la destruction de l’environnement si nous ne réglons pas les problèmes de santé de la reproduction de la population ».

21. Bill Nye : « En 1750 il y avait environ un milliard d’êtres humains dans le monde. Maintenant il y en a plus de 7 milliards. Ce nombre a plus que doublé durant ma propre vie. Tous ces gens qui veulent vivre comme nous dans les pays développés produisent beaucoup plus de dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre qu’il y a deux siècles. C’est la vitesse de ce changement qui va poser problème à beaucoup de ces populations concentrées dans divers pays du monde ».

22. Cameron Diaz (actrice) : « Je pense que les femmes ont peur de dire qu’elles ne veulent pas d’enfants parce qu’elles vont être déconsidérées. Mais je pense que cela change maintenant. J’ai plus de copines qui n’ont pas d’enfants que de copines qui en ont. Et, honnêtement, nous n’avons plus besoin d’enfants, il y a beaucoup trop de gens sur cette planète ».

23. Steven Rattner, stratège démocrate : « Nous avons besoin de conférences de la mort. Pas exactement des comités de la mort, certes, mais si nous ne commençons pas à cibler les soins de santé avec plus de discernement, à les rationner – appellons les choses par leur nom – le coût de l’assurance-maladie submergera le budget fédéral américain ».

Évolution populaire de la sémantique scientifique

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Depuis quelques années n’importe qui, attentif aux écrits et discours de la presse influente dite « main-stream », a pu constater qu’il existe une dérive progressive et insidieuse dans les termes utilisés pour qualifier un produit. Je ne prendrai que trois exemples pour illustrer mon propos de ce jour, trois exemples sans lien mais trop significatifs pour ne pas les rappeler ici. Il s’agit du lait de vache, du CO2 et du glyphosate.

J’ai sévi à l’université dans la recherche en biologie durant un peu moins de 38 ans avec une interruption totalement fortuite pour m’intéresser à l’énergie nucléaire durant 3 années au sein d’EDF. C’est la raison pour laquelle quand j’écris un billet relatif à la biologie en général je sais de quoi je parle et il en est de même pour l’énergie nucléaire. Ma solide culture scientifique m’a également permis d’être capable (encore aujourd’hui) de comprendre ce qu’il en est quand je lis un article compliqué relatif, par exemple, au climat.

Prenons d’abord l’exemple du glyphosate car il s’agit d’une molécule que je connais très bien pour avoir travaillé sur un sujet connexe pendant plusieurs années. Le glyphosate, de par sa nature chimique, ne peut pas être cancérigène car il ne peut tout simplement pas interagir directement avec l’ADN pour des raisons électrostatiques : l’ADN est recouvert de charges négatives – c’est un acide comme son nom l’indique – et le glyphosate est également chargé négativement (trois charges négatives) et, comme chacun ne l’ignore pas, deux molécules chargées négativement se repoussent, point barre.

Ce produit, découvert et commercialisé par la firme Monsanto, a été classé « cancérigène probable » par l’organisme onusien IARC il y a quelques années sans que cette vague affirmation ait été étayée par des évidences scientifiques incontestables et la dérive journalistique a transformé ce produit en « cancérigène » non plus probable mais « certain ». Donc il faut en interdir l’utilisation sans aucune autre forme de débat. Les conséquences de cette interdiction sont le cadet des soucis des politiciens qui s’en tiennent aux déclarations véhémentes des associations de préservation de l’environnement toutes puissantes. Pourtant ces conséquences sont immenses en particulier dans le domaine agricole. Mais les politiciens, aveuglés par les argumentations sans fondement scientifique des écologistes, ont décidé qu’à très court terme ce produit serait interdit. Les agriculteurs seront alors contraints d’utiliser d’autres désherbants infiniment plus toxiques et surtout beaucoup plus coûteux. Qu’à cela ne tienne, la politique a ses raisons (surtout anti-scientifiques) que la raison ignore.

Prenons le cas du lait. Je veux parler ici du lait de vache entier stérilisé par le procédé UHT qui préserve les qualités organoleptiques et nutritionnelles du produit originel ainsi que sa teneur en vitamines, en particulier B1, B6 et B12. Mon médecin « référant » à défaut de dire « traitant » m’avait mis en garde il y a des années que boire un litre de lait entier chaque jour allait me précipiter dans la tombe. Certes, l’homme est le seul animal sur la planète Terre capable de boire du lait provenant d’une espèce différente de lui et quand il le peut, c’est-à-dire quand il dispose de l’enzyme clé capable de couper le lactose en deux sucres élémentaires, le glucose et le galactose, boire du lait de vache, de brebis, d’ânesse ou de chamelle, il ne s’en porte que mieux. Le lait était d’abord considéré comme mauvais pour le taux de cholestérol, puis carrément toxique. D’un liquide bénéfique il est devenu un poison : encore une dérive sémantique inexplicable. Au sein de la paranoïa anti-nucléaire omniprésente personne ne mentionne que le lait contient du potassium-40 et qu’il est radioactif, ce serait affoler les populations … pour rien, d’autant plus que le lait maternel est lui aussi radioactif ! Mais depuis quelques années – et ce processus de diabolisation du lait de vache s’accélère – l’élevage bovin est devenu de surcroit mauvais pour le climat. L’élevage, la viande, le lait et les fromages sont devenus des poisons non pas pour notre santé mais pour le climat. La dérive sémantique s’est accélérée !

Le cas du CO2 est encore le plus emblématique de la dérive sémantique dont il a fait l’objet ces dernières années au point d’alimenter aujourd’hui des mouvements sectaires et violents dans tous les pays de l’OCDE à l’exception de la Russie, de la Chine et de la majorité des pays en développement. Le CO2 est la source de nourriture fondamentale et irremplaçable de tous les végétaux et du plancton océanique, ce dernier étant la source majeure de l’oxygène atmosphérique. Sans CO2 il n’y aurait pas de vie sur la Terre et les océans seraient des déserts, tout simplement. Ce gaz est donc synonyme de vie. Depuis la fin des années 1970 des scientifiques à la petite semaine ont ressorti la théorie de l’effet de serre d’Arrhenius qui a pourtant été démentie à plusieurs reprises après sa publication en 1896. Cette théorie jamais vérifiée expérimentalement depuis cette date a permis l’échafaudage de la plus grande imposture scientifique de la fin du XXe siècle reprenant les propos d’Arrhenius qui prétendait qu’un doublement de la teneur atmosphérique en CO2 provoquerait un réchauffement planétaire généralisé de 5 °C. Toutes sortes d’effets secondaires du CO2 ont été imaginés et depuis lors le CO2 est passé d’un gaz essentiel à la vie à un gaz toxique pas seulement pour le climat mais aussi pour nous-mêmes, êtres humains. Nous sommes devenus coupables de produire du CO2 en brûlant des combustibles fossiles, coupables de détruire l’équilibre – paraît-il précaire – de la planète comme s’il n’existait aucune résilience de l’ensemble des systèmes biologiques existants. Voilà une autre dérive sémantique qui défie le bon sens.

Il y aurait tellement d’autres exemples à apporter pour abonder ce phénomène journalistique et malheureusement scientifique de dérive sémantique que j’en suis découragé d’avance. Mes lecteurs en trouveront bien d’autres par eux-mêmes.

Illustration : glyphosate, les trois groupements hydroxyle (OH) sont en fait ionisés en O- et un proton H+ ce qui explique que le glyphosate est fortement électro-négatif.

L’ « Anthropocène » : une vaste supercherie ? Pire, une fake-news !

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Les géologues spécialisés dans l’étude des roches et des sédiments qui deviendront aussi un jour eux-mêmes des roches compactes ont défini les périodes géologiques passées et la dernière en date est l’Holocène, période géologique qui débuta il y a 11700 ans avec la fin de la grande glaciation de l’hémisphère terrestre nord. Cette période coincida avec l’apparition de l’agriculture et la sédentarisation de l’homme. Le bouleversement du climat provoqua la disparition d’espèces animales comme l’emblématique mammouth laineux, disparition que l’on a imputé un peu vite à l’activité humaine. Ce sont donc des spécialistes qui ont nommé les diverses époques et périodes géologiques passées. C’est leur travail car à chacun sa spécialité scientifique. L’Holocene est la troisième époque de la période quaternaire, elle succède au Pleistocene, époque elle-même divisée en « âges », le Gelasien, le Calabrien, le Chibanien et le Tarentien.

Ces noms un peu byzarres se réfèrent à des profils stratigraphiques bien identifiés et ont été attribués par un comité international de géologues. Les paléontologues et les paléoanthropologues ont ensuite détaillé chacun de ces âges pour classer plus aisément leurs propres travaux. Il parlent par exemple de l’Aurignacien, une période temporelle du Paléolithique supérieur se situant entre 43000 et 28000 ans avant le présent et pour les géologues l’Aurignacien se situe dans la deuxième moitié du Tarentien (126000 -11700 avant l’ère présente). Ainsi tout est plus simple à référencer pour de nombreux spécialistes tant de la géologie que de la paléontologie ou encore de la climatologie.

À l’issue d’une conférence organisée à Amsterdam en 2001 relative au programme international Géosphère-Biosphère (IGBP) le concept d’Anthropocène fut proposé par le spécialiste de l’atmosphère Paul Crutzen, nobélisé pour ses travaux, revendiquant qu’un nouveau système global pour les sciences environnementales était nécessaire. Pour Crutzen il était opportun de créer une nouvelle époque géologique permettant d’alerter le public au sujet du degré catastrophique d’altération du « système Terre » par l’activité humaine. Cette intervention de Crutzen fut totalement en opposition à la mission de la Commission Internationale de Stratigraphie (ICS) et pour enfoncer le clou idéologique Crutzen publia un article dans la revue Nature pour proposer cette nouvelle époque géologique. Le rédacteur en chef de la revue Nature pria même les géologues d’accepter cette proposition, outrepassant ses fonctions, avançant l’argument fallacieux que l’homme était devenu, de par son activité, un acteur du « temps géologique ».

Si l’ICS accepte cette proposition – il n’y a pas eu de progrès depuis 2003 à ce sujet – ce sera un retour soudain vers l’obscurantisme scientifique du géocentrisme de Ptolémée, de la Terre plate et de la création de l’humanité en sept jours. Le Darwinisme sera foulé aux pieds par ces activistes arrogants qui n’ont d’autre mission que de culpabiliser le bipède moyen que justement Darwin considérait comme un acteur mineur dans l’évolution des êtres vivants, évolution qui a toujours connu des extinctions et l’apparition de nouvelles espèces.

Les temps géologiques échappent à l’imagination de l’homme et l’insignifiance de l’homme lui échappe par voie de conséquence. Considérons que l’âge de la Terre est de 4560 millions d’années et que chaque million d’années soit matérialisé sur une route par 1 kilomètre. Le « temps géologique » s’étalerait sur une route reliant Washington DC au campus de l’Université de Seattle (Etat de Washington). Les dinosaures apparaîtraient à mi-chemin et disparaîtraint quand vous vous trouveriez à une centaine de kilomètres de Seattle ! Vous arriveriez dans la ville de Seattle lorsque l’explosion des différentes espèces de mammifères apparaîtrait. et à proximité du parking de l’Université quand les premiers humanoïdes apparaîtraient. Plus encore la distance entre l’assassinat de Jules César et aujourd’hui serait de 1,20 mètre. L’Anthropocène tel qu’il a été proposé par Crutzen ne représenterait que les derniers 6 centimètres de cette route de 4560 kilomètres, même pas l’épaisseur du siège du conducteur de la voiture …

Cette élucubration que constitue la formulation de l’Anthropocène nie toute résilience du système Terre-océans-atmosphère dépendante de l’activité solaire. Pour illustrer cette résilience l’IUCN (International Union for Conservation of Nature) a officiellement annoncé en 2017 que parmi les 24230 espèces de plantes examinées depuis les années 1500 environ 118 ont disparu et 35 sont éteintes dans la nature mais survivent dans des serres et des réserves spéciales. Pour que l’on assiste à une extinction massive de plantes (70 % disparaissant), à ce rythme-là il faudrait attendre au moins 70000 ans. Pour les insectes la situation est encore plus claire : sur 25250 insectes surveillés trois espèces seulement ont officiellement disparu !

Parmi les 67222 espèces animales répertoriées depuis les années 1500 seulement 748 d’entre elles ont disparu.

Et pourtant si on entre sur Google « sixth mass extinction » il existe 4290000 pages web pour cette rubrique. Comme on peut le constater la propagande va bon train alors qu’elle n’est basée que sur des théories et non sur la réalité des faits. L’Homme se regarde dans un miroir tel Narcisse et des entités financières apatrides se sont emparé de cette nouvelle religion pour s’enrichir alors que la planète Terre continue sa trajectoire autour du Soleil, l’astre de vie, sans qu’un quelconque effet significatif de la population humaine, négligeable de par son importance – seule l’importance que l’homme se donne à lui-même – n’y changera rien. Rien ne changera à moins d’appuyer sur le « bouton rouge » de l’arme de destruction massive et la vie continuera …

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Pour contrecarrer les élucubrations des tenants de l’ « Anthropocène » l’ICS vient d’annoncer que la sous-commission internationale sur la stratigraphie vient d’ajouter trois sub-divisions de l’Holocène : le Greenlandien, le Northgrippien et le Meghalayen. Ces « âges » ont été définitivement adoptés à l’unanimité et font donc maintenant autorité pour les spécialistes de la géologie. Les deux premiers « âges » font référence à des études de stratigraphie effectuées au Groenland et corrélées aux carottages glaciaires et le Meghalayen fait référence aux études stratigraphiques effectuées dans la grotte de Mawmluh en Inde corrélée aux carottages glaciaires du Mont Logan au Canada. Le début de cet « âge » coïncide avec la période de grande sécheresse qui sévit tant au Moyen-Orient qu’en Asie il y a 4250 années avant le temps présent.

Source : https://thebreakthrough.org/index.php/journal/no.-9-summer-2018/welcome-to-the-narcisscene , illustration Echo et Narcisse, John William Waterhouse (1903)

Les vieux ours polaires …

Depuis quelques jours circule sur le WEB la (les) photo d’un vieil ours polaire qui n’a plus la force de se déplacer et attend donc la mort.

Comme tous les animaux les ours meurent un jour et ce n’est pas parce que « un » ours a été photographié à l’agonie qu’il faut tout de suite en profiter pour incriminer le fameux (et fumeux) réchauffement climatique d’origine humaine. Cet ours s’est probablement gavé de bébés phoques comme cette femelle qui dorlote son petit …

Les incroyables mensonges de la CIA

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Le recomptage des voix à la suite du scrutin dit présidentiel du 6 novembre dernier aux USA a conduit à un nouveau désastre pour le clan Clinton. Dans l’Etat du Wisconsin, des voix « pour » Trump avaient été oubliées … Dans l’Etat du Michigan ce recomptage, du jamais vu dans l’histoire des USA, a clairement montré qu’au contraire les urnes électorales avaient été truquées au profit d’Hillary. Cette mascarade odieuse a donc pris fin et à n’en pas douter il va y avoir de sérieuses poursuites judiciaires dans quelques mois à l’encontre de ces individus, Hillary et Bill, intimement mêlés dans ce scandale de corruption politique.

Ce n’est pas tout, la rumeur qui avait été mise en avant par les journaux et les médias à la solde du clan Clinton, que ce soit Fox News ou le Washington Post et CNN, à savoir l’interférence de la Russie dans l’organisation de ce scrutin, rumeur émanant de la CIA, risque bien elle aussi d’entrainer de lourds dégâts dans le marigot nauséabond de Washington. Il faut se rendre à l’évidence l’Amérique est l’un des pays les plus corrompus du monde avec la collaboration de toutes les administrations fédérales dont justement la CIA main dans la main des grandes compagnies industrielles de l’armement . À en croire les dernières informations le FBI serait sur le point d’ouvrir une enquête au sujet des agissements plutôt louches de cette agence, ce qui constituerait une première dans le fonctionnement des institutions américaines, mais attendons de voir.

Il faut remonter la filière de cette incroyable mise en scène de la CIA qu’aucun auteur de romans policiers n’aurait pu imaginer et que quelques courageux journalistes d’investigation ont eu le mérite au péril de leur vie de révéler mais il ne faut pas en parler en Occident, surtout pas en Europe, surtout pas en France ni en Belgique et encore moins au Canada, un conglomérat informe de pays esclavagisés par les USA avec l’OTAN et encore une fois la CIA : pour reprendre les propos du Président des Philippines, tous les chefs de gouvernement européens sont des « enfants de putes » …

L’Ukraine est la cour de récréation de la CIA depuis les évènements de Maiden (janvier 2014) à Kiev. Tout y est minutieusement organisé pour discréditer la Russie depuis l’avion malaysien assurant le vol Amsterdam-Kuala Lumpur MH17 abattu par l’armée ukrainienne dans le but de durcir la position des Européens à la suite du vote démocratiquement organisé en Crimée pour réintégrer ce territoire à la Fédération de Russie. La guerre civile conduite par les fascistes mis au pouvoir à Kiev par la CIA pour massacrer systématiquement les habitants russophones du Donbass, guerre financée par les USA et par voie de conséquence par l’Union européenne via l’OTAN, et donc par les contribuables des pays européens, a fait plusieurs centaines de milliers de morts, la plupart innocents, et anéanti le tissu industriel de cette région. Aujourd’hui encore des chefs d’Etat hautement corrompus comme Hollande et Merkel soutiennent le maintien des sanctions économiques contre la Russie alors que de nombreux autres gouvernements européens considèrent qu’il s’agit d’une erreur funeste pour l’économie de leurs pays.

Je disais donc que l’Ukraine est devenue la cour de récréation de la CIA et de plus en plus d’informations naturellement ignorées des médias occidentaux, en France Le Monde, Le Figaro ou encore Le Point et en Espagne El Pais ou El Mundo, mais aussi La Libre Belgique ou La Tribune de Genève, font état de l’origine ukrainienne de ce prétendu hacking à grande échelle qui aurait nui au bon déroulement des élections présidentielles américaines. De quoi s’agit-il au juste ?

Il faut faire quelques rappels en ce qui concerne l’Ukraine. C’est un pays artificiel où tout oppose deux communautés qui doivent depuis la fin de la deuxième guerre mondiale tenter de vivre ensemble. Il y a d’une part les habitants de la partie occidentale de ce pays qui parlent l’ukrainien, une langue proche du polonais, sont catholiques et ont hérité de l’idéologie fasciste (nazie) mise en place par Stepan Bandera au début des années 1940. Dans la partie orientale du pays, la plus industrialisée et la plus riche, la population est majoritairement de religion orthodoxe et russophone. L’industrie du Donbass a toujours maintenu des liens étroits avec la Russie y compris après la chute du mur de Berlin et la désagrégation de l’URSS. Il y a enfin la péninsule de Crimée où s’est toujours trouvée une importante base militaire terrestre et navale russe datant de l’époque de Staline, territoire qui fit toujours partie de la Russie jusqu’à des arrangements stupides de « Monsieur K » qui incorpora à l’Ukraine ce territoire pourtant russe depuis des temps immémoriaux. Les vues stratégiques des USA sur ce petit bout de terre ont provoqué ce que l’on sait, les sanctions économiques à l’encontre de la Russie décidées par l’Union européenne suivant servilement les injonctions de Washington …

Aujourd’hui c’est la CIA qui gouverne en Ukraine et aide le gouvernement fasciste de Kiev a jeter le discrédit sur la Russie, et toutes le occasions sont bonnes à saisir surtout quand il s’agit de protéger les copains corrompus des rives du Potomac dont le clan Clinton et les entreprises de l’armement, beaucoup d’entre elles se trouvant en Virginie toute proche. L’occasion était rêvée pour Obama, agissant au nom du clan Clinton, d’accuser Moscou de hacking des systèmes informatiques électoraux américains. Naturellement c’est la CIA qui lui dictait ses déclarations tonitruantes. Ce n’est pas Moscou qui était à l’origine de cette incroyable mise en scène relevant du plus pur machiavélisme gouvernemental américain. Tout est venu de l’Ukraine ! Et il y a beaucoup à parier que c’est la CIA elle-même qui est à l’origine de ce couac repris par les médias corrompus de l’ensemble des pays occidentaux, cette même CIA qui ose accuser ses propres agissements, tout à fait invraisemblable mais pourtant vrai !

Des journalistes ukrainiens ayant eu vent de ce coup monté ont été interdits d’activité par le régime de Kiev. Pas moins de 4500 personnes se sont vues du jour au lendemain privées de leurs droits civiques et ne peuvent plus exercer leur métier d’information. Au coeur de cette machination organisée par la CIA se trouve une dénommée Alexandra Chalupa, une politicienne de Kiev haute en couleur, fondatrice d’un mouvement politique ultra-nationaliste fasciste prônant la guerre – tout simplement – contre la Russie et qui a alimenté un lobbyisme intense auprès des gouvernements de l’Union européenne pour la mise en place des sanctions économiques à l’encontre de la Russie et fait appel à l’OTAN pour protéger son pays d’une éventuelle attaque russe en obtenant le déploiement de fusées anti-missiles et de radars puissants sur le sol ukrainien. Chalupa, depuis le début de la campagne électorale américaine, était viscéralement opposée à la candidature de Donald Trump en particulier quand ce dernier nomma Paul Manafort, son manager de campagne électorale, ouvertement ouvert à une collaboration avec la Russie. Elle inventa de toute pièce l’information reprise par tous les médias occidentaux (sur ordre de la CIA et de l’OTAN) que Manafort était un « homme de Moscou » …

Il s’ensuivit l’apparition de cette rumeur infondée de hacking et d’interférence électronique de la campagne électorale américaine et du trucage des votes lors de l’élection du 6 décembre dernier, rumeur organisée par Chalupa, très probablement un agent de la CIA bien qu’aucune information crédible ne puisse conforter cette hypothèse. Toujours est-il que depuis le début de l’année 2014 les pays européens dans leur ensemble ont été manipulés par la CIA via l’Ukraine et ses dirigeants fascistes et ça ne date pas de ces fameux évènements de Maiden mais de bien avant. La mouvance fasciste ukrainienne date de la collaboration avec le régime d’Hitler et a été largement utilisée par les services secrets américains tout au long de la « Guerre froide » puis très largement, et alors ouvertement, à la suite de l’effondrement du mur de Berlin.

Si Donald Trump, le prochain président américain, manifestait quelques velléités de vengeance à l’encontre de la CIA, il sera très probablement assassiné (comme le fut JF Kennedy) par cet organisme qui est, somme toute, un état dans l’Etat collaborant étroitement avec l’OTAN et donc imposant ses vues hégémoniques à l’Union européenne et échappe à tout contrôle tant du Sénat que de la Chambre des Représentants. Triste image d’une démocratie supposée être exemplaire pour le monde entier, mais aussi triste constat de la déliquescence de la politique étrangère européenne, en particulier de la France et de l’Allemagne mais aussi des Pays-Bas empêtrés par l’affaire du vol MH17, consternant, tout simplement. The Donald devra prendre soin de lui-même, je lui souhaite longue vie.

Source : eXiledonline.com

Quand l’AFP est prise en flagrant délit de désinformation

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Japon: un puissant typhon à proximité de Tokyo, transports très perturbés

Tokyo – Un typhon, Mindulle, le neuvième de la saison en Asie, a accosté lundi près de Tokyo, avec de puissantes rafales de vent et des pluies diluviennes, forçant les compagnies aériennes japonaises à annuler des centaines de vols et perturbant la circulation sur les routes et voies ferrées.

Le typhon, dont les pointes de vent peuvent atteindre 180 km/heure, est arrivé à la mi-journée sur la côte à Tateyama, au sud de Chiba, préfecture limitrophe de Tokyo. Il est assez rare que les typhons accostent en cette partie de l’archipel. Souvent, ils balayent d’abord une partie plus à l’ouest.

Mindulle est accompagné de fortes précipitations qui devraient particulièrement toucher la capitale et sa banlieue dans l’après-midi et en début de soirée.

Au moins neuf cours d’eau des régions de Tokyo, Kanagawa et Chiba ont atteint le niveau d’alerte qui oblige à conseiller ou ordonner aux riverains de partir, a précisé la chaîne publique NHK dont l’antenne est presque entièrement consacrée aux informations sur ce cyclone tropical.

Des avis de préparation à l’évacuation concernant des dizaines de milliers de foyers ont été lancés pour plusieurs localités où risquent de se produire des inondations et des glissements de terrain, y compris dans une partie du centre-sud de Tokyo.

Des trains ont été stoppés ou retardés aux heures de pointe et ceux qui circulaient étaient ralentis et bondés.

Les millions de salariés de la capitale craignent des perturbations encore plus importantes lors des trajets de retour.

Au moins 425 vols ont été annulés par les compagnies aériennes, en majorité par les deux principales, Japan Airlines (JAL) et All Nippon Airways (ANA). Ce nombre pourrait encore augmenter au fil des heures, ont-elles averti sur leurs sites internet.

Des pluies terribles sont redoutées dans toute la partie est du pays avec des vents extrêmement forts, selon la NHK dont les journalistes enchaînaient les directs depuis les différentes régions concernées.

Entre 20 et 30 typhons balayent chaque année l’Asie, la moitié environ affectant le Japon.

(©AFP / 22 août 2016 07h09)

Coutumière du fait quand il s’agit de météorologie ou de climat, l’AFP patauge dans la désinformation. En ce moment même il n’y a pas de puissant typhon sur l’agglomération de Tokyo mais une simple dépression tropicale avec des pluies un peu plus intenses que d’habitude en cette période de l’année et des rafales de vent dépassant à peine les 80 km/h dans les zones périphériques découvertes. Pour preuve voici l’aperçu ci-dessus ( tropic.ssec.wisc.edu ) et ce qui se passe en temps réel à Shibuya : https://www.youtube.com/watch?v=6q36pnzcw70

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Vol MH17 : Une intéressante dépêche de l’agence ATS (Suisse)

Comme nul ne l’ignore le mystère reste entier au sujet du crime de guerre perpétré à l’encontre d’un avion civil au dessus de la zone en conflit à l’est de l’Ukraine il y a maintenant près de deux ans. La patate chaude a été confiée par la CIA aux Néerlandais. Le texte de la dépêche copiée-collée ci-dessous en dit long sur les agissements des services secrets américains et de l’OTAN dans cette affaire qui dépasse l’intelligence limitée d’un Porochenko de toutes les façons manipulé par ces mêmes services secrets.

Le plus dramatique dans cette histoire est le fin mot de la dépêche : on attend les informations de la Russie … La Russie a déclaré officiellement à la fin de l’été 2014 qu’aucun missile BUK n’était en possession des séparatistes pro-russes du Donbass. Personne ne peut affirmer que c’est effectivement un tel missile qui a abattu l’avion de la Malaysia Airline. Pourquoi deux chasseurs ukrainiens se trouvaient dans ce secteur au moment où l’avion a été abattu ? Qu’a découvert ce détective allemand ? Peut-être bien qu’on ne connaîtra jamais la réalité car elle est trop lourde à assumer pour la Maison-Blanche !

Crash du MH17: perquisitions après l’enquête d’un détective privé

Des perquisitions ont été menées au domicile allemand d’un détective privé, engagé pour enquêter sur la cause du crash de l’avion MH17 dans l’est de l’Ukraine en 2014. Son coffre-fort zurichois a également fait l’objet d’une perquisition.

Parmi les objets saisis mercredi dernier en Allemagne se trouvent des « papiers apparemment explosifs ». Grâce à eux, les enquêteurs « espèrent se rapprocher des responsables du crash du Boeing 777 » de Malaysia Airlines, informe le quotidien populaire néerlandais De Telegraaf. Selon le journal, le détective privé en question aurait reçu une récompense de 17 millions d’euros (18,6 millions de francs) – contre 30 millions promis – de la part d’un riche donneur d’ordre inconnu. Et il aurait commencé à enquêter deux mois après la catastrophe ayant fait 298 morts le 17 juillet 2014.

« Nous attendons des informations à ce sujet. C’est pourquoi nous avons mené une perquisition à son domicile », a expliqué Wim de Bruin, porte-parole du parquet national néerlandais. Il assure ignorer, où se trouve actuellement ce détective.

Contenu du coffre inconnu

Après des fouilles à son domicile de Bad Schwartau (nord de l’Allemagne), un coffre bancaire a fait l’objet d’une perquisition à Zurich et son contenu a été saisi. « Nous ignorons actuellement ce que contient ce coffre. Le juge en Suisse doit maintenant décider si son contenu peut être transféré au ministère public néerlandais », a précisé Wim de Bruin.

Contacté par l’ats, le Ministère public de la Confédération confirme « avoir exécuté une demande d’entraide judiciaire formulée par les autorités néerlandaises ».

Selon la requête de la justice néerlandaise aux enquêteurs suisses que s’est procurée De Telegraaf, « il est plausible que des co-auteurs présumés des tirs contre le MH17 aient pris contact » avec le bureau du détective privé.

Missile sol-air de fabrication russe

Les enquêteurs ont distribué lundi un magazine aux proches des victimes, afin de les informer de la manière dont est menée l’enquête. Des photos des fragments d’un missile sol-air BUK de fabrication russe, retrouvés sur place y ont été affichées, dont un de taille plus importante, comme l’avait dévoilé un précédent rapport.

Coordonnée par les Pays-Bas, une enquête internationale sur les causes du crash avait affirmé en octobre qu’un missile sol-air de type BUK de fabrication russe avait été tiré sur le Boeing 777 de Malaysia Airlines en route pour Kuala Lumpur, depuis une zone tenue par les séparatistes pro-russes.

L’enquête pénale cherche à identifier les responsables du crash et l’endroit exact du tir. Mais de nombreux experts doutent que les auteurs du tir de missile seront un jour arrêtés et poursuivis. Les premiers résultats sont attendus après l’été, car les experts internationaux attendent des informations de la part de la Russie à propos des installations de missiles BUK.

(ats / 07.06.2016 18h25)