Brève. Les bases aériennes militaires : conservatoires de la biodiversité !

En ces temps troublés voici une petite goutte de fraîcheur bucolique permise paradoxalement par des installations militaires. Notez l’ironie de ma remarque mais elle pourra peut-être nous remonter le moral. La base aérienne de Solenzara sur la côte ouest de la Corse a été créée en 1950 par l’armée américaine. L’OTAN et ses GI’s la désertèrent à la suite de la décision du Général de Gaulle de quitter l’OTAN. Il avait tout compris bien avant l’heure ce très grand homme, pas seulement par la taille de son anatomie mais par son analyse visionnaire trop vite oubliée. Malgré le retour de la France au sein de l’OTAN décidé par le Président Sarkozy cette base aérienne n’a jamais retrouvé son activité d’antan au profit des grandes installations italiennes de cette organisation criminelle. Cette base aérienne est devenue paradoxalement un paradis pour les botanistes comme d’ailleurs un certain nombre d’implantations militaires en Europe. Il s’agit en effet d’étendues jamais visitées par les populations et ainsi très peu perturbées.

Sur une surface de 550 hectares la diversité des plantes est remarquable, en particulier en bordure des deux pistes utilisées par les aéronefs où la végétation est régulièrement tondue. Une équipe de botanistes de l’Université de Montpellier a minutieusement exploré et quantifié en particulier la présence d’une orchidée strictement protégée, Serapias neglecta :

Là où l’herbe est régulièrement tondue cette orchidée est particulièrement abondante en raison du peu de compétition rencontrée. Parmi les 552 taxa répertoriés et représentant 74 familles sur cette base aérienne seulement 8,6 % sont considérés comme rares ou très rares, en particulier Serapias neglecta dont la population sur cette base militaire est pourtant spectaculaire. Si on considère que les implantations militaires représentent environ 2 % des terres émergées de la Terre il y a encore beaucoup de ces sanctuaires de la biodiversité à explorer. Un des très rares bons cotés de l’activité militaire.

Source en accès libre et illustration : https://doi.org/10.3897/BDJ.10.e76375

L’Occident est tombé bien bas …

Outre les sanctions décidées par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et moins véhémentement d’autres Etats européens à l’encontre de la Russie il y a maintenant la chaine d’information et de télévision RT qui est censurée. Selon la Charte des Nations-Unies toute sanction émanant d’un pays à l’encontre d’un autre pays doit être approuvée par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Par conséquent les Etats-Unis violent cette Charte allègrement comme également la Grande-Bretagne. Les exemples sont multiples, inutile d’en écrire une liste ici. Quant à la censure depuis deux ans de pandémie coronavirale de nombreux médias en ont fait les frais. Il ne fallait pas parler d’hydroxychloroquine ni d’Ivermectine au risque d’être censuré.

Je disais hier au seul ami que j’ai encore ici à Tenerife qu’à propos des évènements d’Ukraine lorsque toutes les chaines de télévision et de radio tiennent le même discours on peut se poser quelque question : on dit communément « il y a un lézard » comme ce qui se passe pour le « réchauffement climatique », l’écologie et l’environnement. C’est exactement ce à quoi on a pu assister depuis la « révolution » de Maïdan entièrement fomentée par la CIA. L’OTAN a armé les commandos Azov pour tuer le maximum de russophones à l’est de l’Ukraine comme le fit l’Allemagne nazie avec les juifs et les slaves. Les Occidentaux ont prétendu unanimement qu’il s’agissait d’infiltrations russes et que les Russes alimentaient une guerre larvée contre l’Ukraine. Les positions occidentales se sont durcies quand la population de la Crimée a décidé de son rattachement à la « mère patrie » après une consultation populaire à laquelle la Russie n’a pas participé. Zelinski, le « pantin à roulettes » pour reprendre une fameuse expression de H16, a pris contact avec le Président Vladimir Poutine. Ce dernier a été très clair : démilitarisation de l’Ukraine, dissolution des commandos nazis Azov, neutralité de l’Ukraine et formation d’un Etat fédéral. Impossible de savoir si cet ancien bateleur a compris le message et s’il connait au moins la Suisse, un Etat fédéral neutre qui compose avec quatre langues et au moins deux religions, le protestantisme et le catholicisme.

À mon humble avis personnel Poutine ordonnera rapidement à ses troupes de quitter le pays tout en laissant des observateurs que les Nations-Unies, si cet organisme servait encore à quelque chose, auraient mieux fait d’envoyer il a de nombreuses années. Puis la Russie pourra oeuvrer pour une dissolution de l’OTAN qui est un organisme nuisible et criminel, c’est toujours mon opinion personnelle.

J’ai montré cette photo à mon ami français hier après-midi. On y voit le drapeau rouge et blanc avec la croix gammée (swastika), la bannière des commandos Azov avec l’insigne de la Schutzstaffel et les couleurs de la bannière de l’Ukraine, dédoublé sur les uniformes de la Waffen SS, et, insulte pour l’OTAN, la bannière de cet organisme, encore que ça se discute car les commandos Azov semblent considérer que l’OTAN pourrait bien être aussi une organisation nazie. C’est naturellement oublier que les Britanniques, les Américains et les Russes ont combattu le nazisme lors de la seconde guerre mondiale mais seuls les Russes qui ont perdu plus de 20 millions de combattants contre l’Allemagne nazie se sont souvenu et ont compris que ce régime ukrainien ultra-violent était insupportable à leur porte. Belle analyse des Occidentaux qui nient en bloc la réalité de la situation ! Cette photo dont l’authenticité pourrait être mise en doute résume tout.

Note. Après avoir rédigé ce billet j’ai découvert ce matin cet entretien avec Emmanuel Leroy :https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuel-leroy

La prochaine étape dans l’agenda du WEF

Article de Roger Koops paru sur le site Brownstone Institute le 20 février 2022. Profil de R. Koops en fin de billet.

Il est évident depuis le début de 2020 qu’il y a eu une sensibilisation organisée des adeptes du « culte du Covid » (lien en fin de billet) qui a imprégné le monde dans son ensemble. Il est possible que cela se soit formé à partir d’une erreur gigantesque, enracinée dans une ignorance soudaine de la biologie cellulaire et une longue expérience de la santé publique. Il est également possible qu’un virus respiratoire saisonnier ait été déployé par certaines personnes comme une opportunité de prendre le pouvoir à d’autres fins. Suivez les sentiers de l’argent et de l’influence et cette dernière conclusion est difficile à rejeter.

Les indices étaient là tôt. Même avant que l’OMS ne déclare une pandémie en mars 2020 (avec au moins plusieurs mois de retard sur les faits réels d’une pandémie) et avant tout confinement, il y avait eu des campagnes éclair dans les médias pour parler de la « nouvelle normalité » et parler de la « grande réinitialisation » (qui était rebaptisé « Build Back Better »). Des sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer, Johnson & Johnson, Moderna et Astra-Zeneca faisaient activement pression sur les gouvernements pour qu’ils achètent leurs vaccins dès février 2020, soi-disant moins d’un mois après la mise à disposition de la séquence génétique (ou séquence partielle) par la Chine. En tant que personne qui a passé toute sa carrière professionnelle dans le développement de produits pharmaceutiques et de vaccins, j’ai trouvé le concept de passer de rien à un vaccin prêt à l’emploi en quelques mois tout simplement absurde.

Quelque chose ne collait pas.

Je connaissais les noms avec lesquels tout le monde s’est familiarisé. Bill Gates, Neil Ferguson, Jeremy Farrar, Anthony Fauci et d’autres avaient fait pression ou poursuivi les stratégies de verrouillage pendant de nombreuses années. Mais encore, la portée des actions semblait trop grande pour être même expliquée par ces seuls noms. Ainsi, les questions fondamentales que je me suis posées ont été pourquoi et qui ? Le « pourquoi » semble toujours revenir à des questions autres que la santé publique. Bien sûr, le « Qui » avait des acteurs évidents tels que l’OMS, la Chine, le CDC, le NIH/NIAID et divers gouvernements, mais il semblait y avoir plus que cela derrière. Ces acteurs ont été connectés à l’aspect « santé publique » mais cela ne semblait faire qu’effleurer la surface. Je ne suis pas un journaliste d’investigation et je ne revendiquerai jamais ce rôle, mais même moi, je peux faire quelques recherches simples sur Internet et commencer à voir des modèles évoluer. Les recherches que j’ai faites ont donné des « coïncidences » très intéressantes.

Si je vous donne les noms des personnes suivantes – Biden, Trudeau, Ardern, Merkel, Macron, Draghi, Morrison, Xi Jinping – que pensez-vous qu’elles ont en commun ? Oui, ils sont tous choyés et trébuchent sur eux-mêmes, mais ce n’est pas non plus le lien. On peut voir très rapidement que ces noms se rapportent certainement à des pays de confinement et à des individus qui ont ignoré leurs propres lois et/ou ont tenté d’une manière ou d’une autre de les usurper. Mais il y a plus que cela et je donnerai un indice en fournissant un lien avec chaque nom.

Joseph Biden, président, États-Unis

Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni

Jacinda Ardern, PM de la Nouvelle-Zélande

Angela Merkel, ancienne Premier ministre de l’Allemagne

Emmanuel Macron, président de la France

Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Xi Jinping, dirigeant du PCC, Chine

Mario Draghi, Premier ministre italien

Scott Morrison, Premier ministre d’Australie

Ils sont tous associés au Forum économique mondial (WEF), une organisation privée « à but non lucratif » créée en 1971 et dirigée par Klaus « Vous ne posséderez rien et serez heureux » Schwab et sa famille. Il s’agit d’une organisation privée qui n’a aucun rapport officiel avec un organe de gouvernance mondiale, malgré l’implication de son nom. Elle aurait tout aussi bien pu s’appeler « l’Église des Schwabies ». Le WEF a été à l’origine du « Great Reset » et je suppose que c’était l’origine de « Build Back Better » (puisque la plupart des noms ci-dessus ont utilisé ce terme récemment).

Si vous pensez que l’adhésion au WEF se limite aux dirigeants de pays, voici quelques noms supplémentaires :

Gavin Newsom, gouverneur de Californie

Jay Inslee, gouverneur de l’État de Washington

Anthony Fauci, directeur du NIAID

Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants

Permettez-moi de présenter davantage le WEF en donnant une liste de noms pour le conseil d’administration.

Al Gore, ancien vice-président des États-Unis

Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action climatique

T. Shanmugaratnam, Ministre d’Etat à Singapour

Christine Lagarde, présidente, Banque centrale européenne

Ngozi Okonja-Iweala, Directrice générale, OMC

Kristalian Georggieva, Directrice générale, FMI

Chrystia Freeland, sous-ministre du Canada

Laurence Fink, PDG, BlackRock

Vous pouvez voir là un échantillon représentatif de dirigeants politiques et économiques du bureau du WEF. Le chef de l’organisation, c’est-à-dire le chef du conseil d’administration, est toujours Klaus Schwab. Il s’est construit un nombre impressionnant d’adeptes.

Si vous voulez vraiment voir l’étendue de son influence, rendez-vous sur le site Web ( https://www.weforum.org/partners ) et choisissez la dénomination sociale de votre choix. L’étendue et l’influence du WEF sont énormes, même au-delà du réseau mondial des leaders. Par exemple, nous savons tous ce que Bill Gates a fait de sa richesse via la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF). Mais le Wellcome Trust est à la hauteur de la tâche. Qui est le directeur du Wellcome Trust ? Un nommé Jeremy Farrar, haut conseiller de SAGE (Scientific Advisory Group for Emergencies), dont la renommée a été les confinements – sans doute l’architecte des confinements mis en place au cours de l’année 2020 – est étroitement associé au WEF.

En ce qui concerne les conséquences qui peuvent se produire, permettez-moi de donner quelques exemples de la seule BMGF (Bill & Melinda Gates Foundation), et cela vient du temps que j’ai passé en 2020 à lire leur longue liste de financement. Il y a quelques années, la BMGF a décerné à l’Institute for Health Metric Evaluation (IHME) un prix de près de 280 millions de dollars sur dix ans. L’IHME (associé à l’Université de Washington à Seattle) était à l’avant-garde de la modélisation informatique qui conduisit aux confinements et aux interventions non pharmaceutiques en 2020. Les gens ont souvent vu leur nom imprimé ou sur MSNBC ou CNN (chaines de télévision américaines). En 2019, l’IHME a décerné au rédacteur en chef du Lancet (le Dr Richard Horton) un prix de 100 000 $ et l’a décrit comme un « rédacteur militant ». Le Lancet, autrefois considéré comme l’une des meilleures revues médicales, est à l’avant-garde de la censure des points de vue scientifiques opposés depuis 2020 et de la publication d’« articles » qui n’étaient pas aptes à être publiés. Je n’ai jamais pu comprendre ce que cela signifiait d’être un éditeur « activiste » dans une revue scientifique/médicale respectée parce que, je dois être stupide, j’ai toujours pensé que le premier travail d’un éditeur était d’être impartial. Je suppose que j’ai appris en 2020 à quel point j’avais tort. Bien sûr, le Lancet est également fortement financé par des sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer (également membre du WEF).

Mais la portée du BMGF va bien au-delà de l’IHME et ces connexions sont tout à fait reconnaissables. Voici quelques exemples d’organisations et d’argent reçus au cours de la seule année 2020 ventilés par domaines.

Bill Gates a également investi massivement dans Moderna et ses investissements lui ont rapporté beaucoup de dollars. La BMGF a également donné près de 100 millions de dollars à la Clinton Health Access Initiative.

Il faut maintenant se poser des questions. Est-ce le début d’une société autoritaire contrôlée entrelacée via le WEF ? La panique du Covid a-t-elle été mise en scène pour préparer le terrain ? Attention, je ne suis pas un « Covid Denier » puisque le virus est bien réel. Mais, un virus respiratoire saisonnier normal a-t-il été utilisé comme excuse pour activer le Web ? Les prochaines questions, pour ceux d’entre nous qui prétendent au moins vivre dans des sociétés « démocratiques », doivent être :

Est-ce ce que vous attendiez et/ou souhaitiez des personnes que vous élisez ? Combien de personnes connaissaient les « affiliations » des personnes pour lesquelles ils avaient voté ? (Je ne connaissais certainement pas ces affiliations jusqu’à ce que j’aie fait les recherches, mais peut-être que je suis simplement déconnecté). Pouvons-nous anticiper leurs prochains actions? Il peut y avoir quelques indices.

Le prochain coup

Jeremy Farrar de The Wellcome Trust a récemment écrit un article pour le WEF avec le PDG de Novo Nordisk Foundation, Mads Krogsgaard Thomsen, (https://www.weforum.org/agenda/2022/02/antibiotic-resistance-amr-subscription-payment-model-superbugs/ ). Il s’agit du résumé d’un article plus vaste écrit et publié par le Boston Consulting Group ( https://www.bcg.com/publications/2022/model-for-tackling-antimicrobial-resistance ). Dans cet article, ils proposent que le moyen de « résoudre » le problème des bactéries résistantes aux antibiotiques passe par un service d’abonnement. Autrement dit, vous payez des frais et lorsque vous avez besoin d’un antibiotique, un antibiotique efficace sera vraisemblablement disponible pour vous. Je suppose qu’ils ont la même philosophie pour les vaccins et cela semble certainement être l’approche avec le coronavirus. Continuez à payer et à prendre des boosters. Compte tenu de cette philosophie, les obligations vaccinales ont du sens. Rendez la société « accro » à une intervention vaccinale, efficace ou non, puis continuez à la rendre obligatoire. Cela devient particulièrement efficace si vous pouvez aussi entretenir la peur. Cette approche est tellement de courte vue, d’un point de vue scientifique, qu’elle m’étonne. Mais, comme pour une grande partie de l’histoire récente, je pense que la science n’a pas grand-chose à voir avec cela. L’objectif n’est pas fondé scientifiquement mais fondé sur le contrôle des personnes.

Après la découverte de la pénicilline il y a près d’un siècle, des scientifiques ont averti que l’utilisation d’antibiotiques devait être considérée avec beaucoup de prudence dans la pratique, car les pressions évolutives conduiraient à des espèces de bactéries résistantes aux antibiotiques. À cette époque. Ces scientifiques étaient considérés comme des scientifiques voyous. Après tout, n’avons-nous pas soudainement eu un remède miracle pour de nombreux problèmes mortels ? Depuis le moment de la découverte, il a fallu plus d’une décennie avant que les méthodes de fermentation ne soient développées pour produire des quantités suffisantes d’antibiotiques pour être répandues à grande échelle. Ces méthodes ont permis l’utilisation de la pénicilline sur le champ de bataille vers la fin de la Seconde Guerre mondiale et ont sans aucun doute sauvé de nombreuses vies à ce moment-là et plus tard dans les guerres suivantes (Corée et Vietnam) en prévenant les infections graves résultant de blessures subies pendant la bataille.

Cependant, il n’a pas fallu longtemps avant que les autorités médicales ne distribuent des antibiotiques comme des bonbons. J’en ai moi-même fait l’expérience quand j’étais enfant dans les années 1960. Il semblait qu’à chaque fois que nous allions chez le médecin, quel que soit le problème, on me faisait une série (pas une seule) d’injections de pénicilline. Il n’y a jamais eu de tentatives pour déterminer si j’avais un virus, une bactérie ou même une allergie. La réponse était : avec la seringue. Je ne peux pas compter combien de fois j’ai été « piqué » quand j’étais enfant. Il n’a pas fallu longtemps pour que des espèces résistantes commencent à apparaître. Le résultat a été que de plus en plus d’argent a été injecté dans la R&D pour les antibiotiques. Lorsque j’étais à l’université dans les années 1980, un moyen sûr d’obtenir un financement du NIH était de lier la recherche à la recherche « d’antibiotiques ». Les antibiotiques sont devenus une très grosse affaire.

Nous avons maintenant plusieurs classes d’antibiotiques qui sont utilisés pour des cas spécifiques. Nous avons les Aminoglycosides (Streptomycine, Néomycine, etc.), les Bêta-Lactamines et Céphalosporines (quatre générations dont Céfadroxil-G1, Céfaclor-G2, Céfotaxime-G3, Céfépime-G4, Bêta-Lactamines Pénicillines (dont Ampicilline, Amoxicilline et Pénicilline), les autres Bêta-Lactamines (Méropénème), les Fluoroquinolones (Levofloxacine, Gémifloxicine, etc.), les Macrolides (Azithromycine, Clarithromycine, etc.), les Sulfamides (Sulfisoxazole, etc.), les Tétracyclines, et autres comme la Clindamycine et la Vancomycine (typiquement réservées aux bactéries multi-résistantes. Au total, les médecins ont plus de 50 choix différents d’antibiotiques.

L’hôpital est l’endroit le plus courant où l’on rencontre des bactéries résistantes aux antibiotiques. La plupart des personnes qui contractent une sorte d’infection dans la routine normale de la vie, comme une infection des sinus ou une infection cutanée, ne rencontreront probablement pas une espèce résistante aux antibiotiques. Sauf qu’il y a eu une autre source de problème et c’est l’approvisionnement alimentaire. Les antibiotiques sont devenus très populaires auprès des installations de production de viande à grande échelle de tous types, y compris le bœuf, la volaille, le porc et même le poisson. Il s’agit notamment des fermes réelles où les animaux sont élevés ainsi que dans la transformation de la viande. L’utilisation excessive d’antibiotiques dans ces industries a également produit des formes résistantes de bactéries.

Par exemple, dans les tentatives de limiter les bactéries E. coli, commun aux mammifères, des antibiotiques ont été utilisés, ce qui a entraîné certaines formes résistantes aux antibiotiques d’E. coli. Une infection par E. coli (résistant aux antibiotiques ou non) peut être évité par une cuisson et une manipulation appropriées des viandes. Cependant, parfois cela ne se produit pas et il y a E. coli (également à partir de légumes mal lavés qui peuvent utiliser de l’eau d’irrigation contaminée). Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’expérience E. coli (résistant ou non) n’est qu’un inconfort passager qui comprend des crampes intestinales, de la diarrhée et d’autres troubles gastro-intestinaux. Selon la quantité de contamination, une personne peut souffrir pendant un jour ou deux ou pendant plusieurs jours. Mais, chez certaines personnes, cela peut être grave ou mortel (comme chez les personnes âgées en mauvaise santé et les jeunes enfants). Si cela se produit, la présence d’une forme résistante aux antibiotiques peut être un problème grave. La présence d’une forme non résistante peut être traitée plus facilement.

Il y a quelques années, j’ai eu une pneumonie, un cas relativement bénin. On m’a donné le choix entre un traitement hospitalier ou ambulatoire et c’était une évidence. Si je voulais m’assurer que ma pneumonie pouvait être traitée par le cours normal des antibiotiques (on m’a donné une quinolone), il était important de rester à la maison et loin de l’hôpital. Je savais que la pneumonie nosocomiale pouvait être une situation beaucoup plus grave. Alors, je suis resté à la maison et j’ai facilement récupéré. Cela ne voulait pas dire que j’étais assuré d’avoir une forme résistante plus grave à l’hôpital mais j’ai compris que le risque était beaucoup plus grand.

Produire plus d’antibiotiques et les donner sur abonnement aux utilisateurs n’est pas la solution. Cela ne fera que conduire à des formes plus résistantes et il y aura cette boucle continue d’utilisation d’antibiotiques. Mais, si l’objectif réel est la dépendance sociétale aux antibiotiques par peur, tout comme la dépendance aux vaccins universels Covid par peur, alors cela a du sens. Trouver quelques antibiotiques universels qui traitent les formes résistantes est important et il est également important de les utiliser avec parcimonie et uniquement en dernier recours. De plus, une meilleure gestion de l’utilisation des antibiotiques dans notre société contribuerait grandement à atténuer le problème.

Il n’y a rien de particulièrement controversé dans cette observation. Il a été accepté par presque tous les professionnels de la santé responsables il y a seulement deux ans. Mais nous vivons maintenant à différentes époques d’expérimentation extrême, comme le déploiement de confinements mondiaux pour un virus qui a eu un impact très ciblé, avec des résultats catastrophiques pour le monde. C’est le WEF du 21 mars 2020 qui nous a assuré que « les confinements peuvent arrêter la propagation du Covid-19 ». Aujourd’hui, cet article, jamais retiré et encore moins répudié, se présente comme probablement la suggestion et la prédiction la plus ridicule et la plus destructrice du 21e siècle ( https://www.weforum.org/agenda/2020/03/why-lockdowns-work-epidemics-coronavirus-covid19/ ). Et pourtant, le WEF en a rajouté, suggérant cette même année qu’au moins les confinements réduisaient les émissions de carbone (https://www.weforum.org/agenda/2020/09/emissions-fell-during-lockdown-keep-that-way/ ).

Nous pouvons facilement prédire que l’appel du WEF en faveur d’un plan d’abonnement universel et obligatoire pour les antibiotiques – poussé avec l’intention manifeste de renforcer la capitalisation financière des principaux fabricants de médicaments – connaîtra le même sort : de mauvais résultats pour la santé, encore plus de pouvoir pour les élites établies, et toujours moins de liberté pour le peuple.

Roger W. Koops est titulaire d’un doctorat. en chimie de l’Université de Californie, Riverside ainsi que des diplômes de maîtrise et de licence de l’Université Western Washington. Il a travaillé dans l’industrie pharmaceutique et biotechnologique pendant plus de 25 ans. Avant de prendre sa retraite en 2017, il a passé 12 ans en tant que consultant axé sur l’assurance/contrôle de la qualité et les questions liées à la conformité réglementaire. Il est auteur ou co-auteur de plusieurs articles dans les domaines de la technologie pharmaceutique et de la chimie.

Lien : https://brownstone.org/articles/the-covid-cults-attack-on-science-and-society/

Les exactions répétées de l’OTAN … jusqu’à l’Ukraine

En raison de l’évolution des évènements je tenais à mettre en ligne ce billet écrit il y a plus de deux jours. Je ne suis donc pas certain d’assurer ma fidélité ce vendredi.

Entre les mois de mars 1998 et juin 2020 l’OTAN a abondamment bombardé la Serbie qui tentait de mettre fin à des exactions des Albanais du Kosovo sur le territoire de ce qui était encore la Yougoslavie. Cette agression sans mandat de l’ONU fut applaudie par les démocraties occidentales. L’intervention de l’OTAN n’entrait pas dans le cadre de sa mission puisqu’il s’agissait d’évènements d’ordre civil qui ne la concernaient pas. Depuis 2011 la coalition occidentale s’est efforcé d’alimenter une guerre civile par djihadistes interposés financés par l’Occident pour tenter de mettre à genou le régime légitimement au pouvoir à Damas en Syrie sans aucun mandat des Nations-Unies. Cette guerre civile dure toujours et après une litanie de mensonges, la spécialité des Anglais et des Américains, la situation semble stabilisée mais reste très fragile. Il faudra que le gouvernement de Damas attende encore pour retrouver ses frontières originelles. Qu’est-ce que l’OTAN avait à faire dans ce conflit ? Enfin l’intervention, encore une fois de l’OTAN, en Libye est exemplaire. Sous le prétexte fallacieux d’un conflit potentiellement meurtrier entre des dissidents opposés au régime en place dénoncé par BHL, le grand analyste géopolitique que tous les Français connaissent, une coalition franco-britannique avec le soutien des bases américaines situées dans le sud de l’Italie attaqua la Libye encore une fois sans aucun mandat des Nations-Unies. On connait ce qu’en fut le résultat.

Aujourd’hui la situation se répète en Ukraine. Après avoir fomenté un coup d’Etat à Kiev dont le souvenir est la Révolution de Maïdan en février 2014 organisée par les services secrets britanniques et américains la situation dans ce pays n’a jamais cessé d’être perturbée. Le renversement du régime pro-russe de Kiev qui était à l’origine la raison d’être de cet événement a conduit la partie ukrainophone et catholique du pays à alimenter une guerre civile pour éradiquer les russophones de religion orthodoxe de l’est du pays. Les habitants de la péninsule de Crimée, péninsule qui abrite la très importante installation militaire russe de Sébastopol ont vite compris qu’ils devaient craindre une invasion des forces ukrainiennes néo-nazies et ils ont organisé une consultation populaire qui a conduit cette province à se rattacher à la Russie.

Les Occidentaux n’ont toujours pas compris qu’ils avaient mis le feu aux poudres en février 2014 dans un pays divisé entre les habitants de l’ouest et du centre du pays et les russophones de l’est, essentiellement du Donbas. L’armée ukrainienne n’a jamais cessé de bombarder les villages et les villes de cette région. Le sort de la Crimée, sans cette consultation populaire et son rattachement à la Russie, aurait été identique. Comme en Yougoslavie, comme en Syrie et comme en Libye il s’agit de guerres civiles. Le cas du conflit en Arménie est exemplaire de la mauvaise foi de l’OTAN et plus généralement des Occidentaux. Bien que chrétiens les Arméniens ont été attaqués par l’Azerbaïdjan et la Turquie. Il est vrai que l’Arménie ne se situait pas dans le rayon d’action de cette organisation militaire agressive mais il a fallu l’intervention de la Russie pour mettre fin à ce conflit ethnique et religieux. Les frontières de l’Arménie ont été modifiées puisque l’Azerbaïdjan a annexé une partie de l’Arménie sans que qui que ce soit en Europe occidentale s’en émeuve.

Alors, devant ces exactions peu glorieuses et répétées des membres de l’OTAN, Moscou a décidé d’agir pour protéger les populations russophones du Donbas et mettre un terme aux agressions des commandos néo-nazis de Kiev. Il est tout à fait remarquable de constater que les Occidentaux inversent la situation qui fut créée par les événement de Maïdan par eux-mêmes. Contrairement à ce que les médias répètent en boucle ce ne sont pas les russophones du Donbas qui bombardent les ukrainiens de l’ouest mais très exactement l’inverse. Le pouvoir russe a décidé de nettoyer l’abcès et de mettre ainsi fin à cette guerre civile qui dure depuis maintenant 8 ans. Jusqu’où ira la Russie ? Nul ne le sait pour l’instant. Mais en tout état de cause les sanctions infligées à la Russie seront contre-productives. Fermer la Russie à l’accès au système SWIFT n’aura aucune conséquence sur l’économie de la Russie mais sera lourde de conséquences pour des pays comme l’Allemagne. Qui plus est, confrontée à ces dures sanctions le Kremlin pourrait décider d’arrêter tout transit de gaz par le réseau ukrainien et éventuellement arrêter celui de Nord-Stream-1, pourquoi pas ? Les Américains ne diront rien puisque ce sera tout bénéfice pour eux. Mais ce sera vite la panique totale en Europe occidentale : chacun récolte les graines qu’il a semé … Cette vidéo à voir absolument :https://www.youtube.com/watch?v=Qv1-s0IYHeE&ab_channel=SudRadio

Note. Plus personne ne parle du vol MH17 qui, selon la réthorique occidentale, fut imputé aux forces du Donbas pro-russes sans aucun commencement de preuve. Encore une fois les Occidentaux, Néerlandais compris, se sont ridiculisés car l’enjeu politique depuis le tout début de la Révolution de Maïdan était l’occupation, au sens littéral du terme, de l’Ukraine par l’OTAN pour menacer directement la Russie. J’ai écouté l’allocution de Biden ce soir et j’ai constaté que seules maintenant les sanctions financières et commerciales sont les armes qui restent aux USA pour contrecarrer les visées de la Russie. Comme Obama Biden est un « fils de pute ».

Les hauts fonctionnaires français : à quoi servent-ils ?

L’Etat a dépensé en 2021 la coquette somme de 1,5 milliard d’euros en faisant appel à des cabinets de consultants, comprenez des vendeurs de vent (pour faire tourner les éoliennes ?) qui ne servent à strictement rien. Quand Pierre Mesmer et Marcel Boiteux ont mis en place la nucléarisation de la production d’électricité française avaient-ils fait appel à des consultants ? Non, car ils avaient su s’entourer d’ingénieurs de haut niveau pour les conseiller. C’est à croire qu’il n’existe plus aucun ingénieur de haut niveau ou même de médecin digne de ce nom pour appuyer le gouvernement dans ses décisions. Devant le déclin intellectuel des fonctionnaires et de la population éduquée en général le gouvernement doit faire appel à des cabinets de consultants, surtout aujourd’hui des consultants anglo-saxons. C’est inquiétant car on ne peut que constater que le pouvoir français est totalement déliquescent, mais ça ne date pas d’aujourd’hui.

Si le gouvernement français gouverne mal c’est parce qu’il est mal entouré par une administration au niveau intellectuel affligeant. Il ne faut pas s’étonner alors que ce pays régresse et n’ait plus rien à voir avec la France des « 30 Glorieuses ». Modeste blogueur j’ai encore une mémoire, un peu déclinante je l’avoue, l’ensemble des connaissances que j’ai acquis à l’Université. Mais aujourd’hui qu’enseigne-t-on à l’Université et dans les grandes écoles d’ingénieurs ?

Il ne faut pas s’étonner si la Chine est maintenant en avance sur tous les autres pays du monde dans le domaine scientifique. Il est vrai qu’il y a beaucoup de Chinois mais ce n’est pas une raison pour que le gouvernement français arnaque les contribuables en faisant appel à des « experts » étrangers. C’est inadmissible. À croire que tous les hauts-fonctionnaires grassement payés ne servent à rien … car ils sont incompétents. Dans les faits ils ne pensent qu’à leur porte-feuille. C’est la raison pour laquelle il leur arrive souvent d’aller proposer leurs services dans une grande entreprise privée puis réintégrer leur poste originel. On appelle ça des conflits d’intérêt. Ces portes tournantes devraient être interdites. Si un haut fonctionnaire obtient un détachement dans une entreprise privée il devrait perdre définitivement son statut de fonctionnaire et ne plus pouvoir réintégrer la fonction publique.

À propos de conflits d’intérêts il est tout à fait éloquent de constater qu’aucun des membres du fameux conseils scientifique de « guerre » qui se réunit à huis-clos régulièrement pour imaginer de nouveaux moyens de coercition de la population n’a déclaré ses conflits d’intérêt, c’est secret défense. Il ne faut pas prendre les contribuables pour des imbéciles. La Présidente de la Région Ile-de-France candidate à la présidence serait actionnaire d’Alstom-Energie via son époux. C’est elle qui signe les contrats pour la fourniture de tramways pour sa région et son époux n’a pas quitté son poste après la vente d’Alstom-Energie à GE. Il y a comme une forte odeur de conflit d’intérêt. Finalement le gouvernement français, tous ses conseillers, et la grande majorité des hauts-fonctionnaires sont tout aussi corrompus que les membre du monde politique ukrainien, un bel exemple de corruption. 

Lorsque Nicolas Fouquet, surintendant des finances de Louis XIV, à peu près l’équivalent de Bruno Lemaire, un homme hautement corrompu qui se servait abondamment dans les caisses de l’Etat fit de l’ombre au monarque avec son somptueux château de Vaux-le-Vicomte celui-ci l’enferma à Pignerol jusqu’à sa mort. Les temps ont changé depuis le Roi soleil, il est difficile d’imaginer le Président de la République jeter en prison un de ses plus proches collaborateurs, je pense par exemple au secrétaire général de l’Elysée, pour mélange des genres, c’est-à-dire pour prise illégale d’intérêt. Et d’alleurs jusqu’à quel point le Président lui-même n’est-il pas corrompu … Tout ce court récit pour faire ressortir que l’ensemble de la classe politique française avec tous ses hauts fonctionnaires mérite un « grand remplacement ». 

Nouvelles du Japon. Histoire d’eau tritiée

La centrale nucléaire de Fukushima-Daichi a été endommagée par un tsunami géant le 11 mars 2011 et les assemblages de combustibles ont fondu dans les réacteurs. Ce « corium » dégage de la chaleur et les eaux de refroidissement contiennent divers produits de fission et aussi du tritium, l’isotope radioactif de l’hydrogène. L’élimination des produits radioactifs est effectuée à l’aide d’échanges d’ions mais il reste le tritium qu’il est impossible de séparer. Les autorités de TEPCO (Tokyo electric power Co) ont tenté des techniques innovantes sans succès et devant l’hostilité des pêcheurs des préfectures voisines et de divers pays riverains de l’Océan Pacifique ils ont construit des réservoirs qui stockent actuellement 1,4 millions de mètres-cube d’eau tritiée. Au cours de ce prochain été la capacité de stockage sera atteinte et il faudra alors décider de rejeter cette eau peu radioactive dans l’océan. Une équipe de 11 experts internationaux de l’IAEA vient de rendre son verdict. La compagnie TEPCO a été autorisée à rejeter en mer cette eau que n’importe qui pourrait boire sans danger à la seule condition de creuser un tunnel sous-terrain de 1000 mètres de long depuis le site de la centrale pour déverser cette eau en profondeur dans l’océan.

Pourquoi pas un tuyau ? Mystère. Mais ce n’est pas le plus surprenant dans cette histoire. Les autorités de l’IAEA ont autorisé le déversement de cette eau seulement à partir de la première moitié de l’année 2023, la direction de TEPCO ayant fait valoir que ce tunnel ne serait achevé qu’au courant de l’année 2023. Cette histoire n’est pas sans rappeler la gestion de l’épidémie de coronavirus qui provoqua une sidération généralisée des populations. Mais contrairement au virus le tritium est sans danger. Le tritium se trouvant dans ces eaux de refroidissement provient des traces de lithium utilisé pour former le combustible nucléaire sous forme de petits cylindres de céramique. Le noyau de bore dans l’eau de refroidissement, le bore-10 étant un excellent ralentisseur de neutrons, capture un neutron pour former deux noyaux d’hélium-4, stable, et un noyau de tritium avec éjection d’un neutron peu énergétique. Dans son fonctionnement normal l’eau de refroidissement d’un réacteur nucléaire ne contient pas de bore et la production de tritium est négligeable mais dans le cas de la centrale endommagée de Fukushima-Daichi il est probable que du bore soit ajouté à l’eau de refroidissement. Ce bore sera récupéré sur des résines échangeuses d’ions et recyclé.

Les autorités japonaises ont été tellement traumatisées par le grand tsunami du 11 mars 2011 qu’elles veulent que tout soit parfait et que rien ne leur soit reproché.

Il y a des limites. Donnez-moi un verre d’eau tritiée, je le boirai devant vous sans crainte. Le tritium de désintègre en hélium-3 avec éjection d’un électron (rayonnement beta-moins) très peu énergétique et d’un anti-neutrino dont on se moque complètement. Cette très faible énergie conduit à des problèmes de détection au laboratoire car il faut utiliser un liquide scintillant pour mesurer quelque chose et ce liquide scintillant est infiniment plus dangereux pour la santé. Outre le toluène, solvant des agents scintillants, les principales molécules utilisées pour les mesures de radioactivité faible sont le 2,5 diphényloxazole et le 1,4-bis(5-phényloxazole-2yl)benzène et il est écrit sur les flacons de ces poudres « toxique ». Donc la perfection n’existe pas et un jour ou l’autre toute cette eau contenant du tritium sera rejetée à la mer sans aucune espèce d’effet sur la faune et la flore marines. Enfin je voudrais ici rafraichir les mémoires. Les ogives thermonucléaires contiennent du tritium sous pression, or après 12 ans la moitié de ce tritium s’est désintégré en hélium-3, un isotope dont j’ai dit un mot sur ce blog il y a quelques semaines. Or, pour qu’une bombe thermonucléaire fonctionne correctement il faut replacer ce tritium environ tous les six ans. Même la France est en retard dans cette « maintenance » de son arsenal. Image TEPCO.

Eric Zemmour candidat anti-Davos ? Bon courage !

À la suite du long billet sur ce blog relatif à l’action d’ampleur internationale qu’entreprend le World Economic Forum, forum qui n’a plus rien d’économique mais s’est paré d’une image résolument totalitaire qui semble curieusement illisible pour tous les analystes économiques et politiques, c’est le sujet central de la nouvelle d’Edgar Poe : on refuse de constater l’évidence. Le WEF a tissé sa toile internationale pour disséminer son projet. L’idéologique néo-nazie du Forum économique mondial de Klaus Schwab, c’est-à-dire la mise en place de régimes politiques rabaissant les citoyens à des valeurs marchandes exploitées par des grandes multi-nationales que l’on nomme globalement les GAFAM, outils et clients des visées multinationales du WEF mais pas seulement, cette idéologie, donc, est contraire aux libertés individuelles fondamentales. Pour les hommes de Davos il y aura deux sortes d’êtres humains : les dominateurs, une infime minorité, et les dominés, le reste des peuples, quelle soit le confession religieuse ou la couleur de leur peau.

Cette posture consiste à homogénéiser les peuples en un ensemble facile à soumettre et toutes les techniques que George Orwell avait imaginé seront mises en œuvre pour dominer ces peuples. Puisque l’intégration d’une minorité ethnique ou religieuse est difficile à atteindre, les hommes de Davos ont imaginé une « déshumanisation » de l’individu qui ne sera plus désormais qu’un numéro. Si Hitler était toujours vivant il serait follement partisan d’un tel projet dans lequel chaque individu, donc chaque numéro, est espionné en permanence, sa culture abaissée au strict minimum, c’est ce à quoi on assiste aujourd’hui avec les livres scolaires qui ne sont rédigés que pour endoctriner les jeunes pousses. Zemmour met en avant la nécessité pour chacun de s’approprier la culture du pays, la France, sa langue, son passé littéraire, historique et artistique. Les hommes de Davos ne veulent pas en entendre parler.

Dès l’âge de 11 ans on inculque aux jeunes écoliers la théorie du réchauffement climatique, c’est aussi un objectif des hommes de Davos, un moyen détourné de mieux surveiller la consommation énergétique de chacun avec l’institution de la taxe carbone. Zemmour ne croit pas au réchauffement du climat et il a déclaré mettre un terme à tout nouveau projet éolien qui ne sert qu’à dilapider l’argent public tout en favorisant la corruption et une augmentation incontrôlable du prix de l’énergie électrique. Pour arriver à leur fin les hommes de Davos sont des partisans convaincus de la globalisation. Zemmour veut que la France retrouve sa souveraineté économique. Comme la toile idéologique des hommes de Davos a profondément pénétré la Commission européenne, pour mener à bien son projet d’uniformisation de tous les citoyens européens, le seul point incontournable pour que la France retrouve sa souveraineté est de quitter la zone euro pour s’affranchir des diktats de la Commission européenne. Sera-ce suffisant ? Ce n’est pas du tout évident.

Voici quelques entités influentes du Club de Davos pour vous faire une idée de l’ampleur de la toile de l’organisation de « Monsieur S » : Abbott Laboratories, Astra-Zeneca, Biogen, Johnson & Johnson, Moderna, Merck, Novartis, Pfizer, Serum Institute of India, BASF, Mayo Clinic, Kaiser Permanente, Bill and Melinda Gates Foundation, Wellcome Trust, Blackrock, CISCO, Dell, Google, Huawei, IBM, Intel, Microsoft, Zoom, Yahoo, Amazon, Airbus, Boeing, Honda, Rakuten, Walmart, UPS, Coca-Cola, UBER, Bank of China. Bank of America. Deutsche Bank, State Bank of India, Royal Bank of Canada, Lloyds Banking, JP Morgan-Chase, Equifax, Goldman-Sachs, Hong Kong Exchanges, Bloomberg, VISA, New York Times, Ontario (Canada) Teacher’s Pension Plan … Il est évident de constater que la gestion de l’épidémie de coronavirus a été télécommandée par le WEF. Il fallait habituer les individus à obéir aux ordres gouvernementaux et se soumettre sans protester. Car la mise en place du nouvel ordre mondial ne pourra qu’être facilitée par la docilité des foules. C’est l’une des raisons qui explique la réaction extrême de Trudeau à Ottawa et c’est ce qui explique la censure par Google et Facebook de toutes les voix discordantes. 

Et comme Zemmour n’est pas un homme de parti politique ni une personnalité issue du monde économique ou financier, et il n’a pas été adoubé par les hommes de Davos, il n’acceptera pas, contrairement à ses concurrents dans la course à la présidentielle, de se commettre à l’une ou l’autre des entités listées ci-dessus. De plus il n’acceptera pas de voir se fondre dans une identité numérique toutes les tendances religieuses ou ethniques, ce qui est l’un des piliers de l’idéologie des hommes de Davos, car il en sera alors fini de l’identité de la France. Par conséquent Zemmour est le candidat anti-Davos et il ne sera jamais dévoyé par cet organisme néo-nazi et c’est peut-être pour cette raison que ses chances d’être le futur président français sont minces, mais je peux me tromper.

Brève. Les évènements d’Ukraine, suite et fin ?

Contrairement à ce que la presse occidentale anglo-saxonne affirme ce n’est pas la Russie qui envahit l’Ukraine mais les habitants du Donbas qui fuient vers la Russie voisine. L’armée néo-nazie anti-slave de Kiev bombarde sans interruption les villes des deux républiques sécessionnistes sans discernement, hôpitaux, écoles et habitations civiles. L’épuration ethnique a bien commencé et les pays occidentaux continuent à accuser la Russie de velléités d’invasion de l’Ukraine. S ‘il existe encore quelques dizaines de milliers de personnels militaires du côté russe de la frontière c’est pour prendre en charge les réfugiés et les évacuer aussi vite que possible vers l’arrière pour qu’ils soient en sécurité. L’Ukraine est en guerre civile depuis 7 ans et les Britanniques et les Américains refusent de reconnaître cet état de fait en désignant le coupable, la Russie de Poutine.

Les Occidentaux inventent toutes sortes de prétexte pour alimenter des guerres civiles dans le cas de l’Ukraine mais également en Syrie. Dans ce dernier pays ils ont soutenu financièrement et militairement les opposants au régime de Damas. Des Français ont combattu l’armée régulière syrienne. Y aura-t-il des volontaires pour participer au génocide des russophones du Donbas ?

Des convois d’autobus arrivent dans les zones bombardées pour évacuer les populations, la conduire vers une station de train et dans quelques semaines tout le Donbas sera vidé de sa population, les quelques rares industries encore opérationnelles seront définitivement abandonnées et le régime incroyablement corrompu de Kiev se débrouillera pour quémander des aides internationales afin de faire encore vivre le pays. Dans une vidéo captivante Xavier Moreau démonte point par point un morceau de propagande occidentale au sujet de l’armée du régime corrompu de Kiev. Encore une fois cette guerre civile qui dure depuis 7 ans n’intéresse pas Moscou car la Russie n’a pas l’intention d’intervenir militairement. Poutine est venu en Syrie dans le cadre d’accords bilatéraux antérieurs aux évènements. Il s’agit également d’une guerre civile fomentée par les Occidentaux qui n’a toujours pas pris fin. Il est amusant de voir à quel point les Occidentaux se ridiculisent dans ces histoires. Inutile de revenir sur le conflit qui conduisit ces même Occidentaux à bombarder la Serbie. 

Le charlatanisme criminel des laboratoires pharmaceutiques

La thérapie génique à l’aide d’ARN messager abusivement appelée vaccin sensée protéger de l’infection par le coronavirus a été étudiée beaucoup trop rapidement sur un nombre insuffisants de volontaires lors des essais dits en phase 3 conduit maintenant à des catastrophes qui étaient pourtant prévisibles. Lorsque qu’on est infecté par le SARS-CoV-2, ce qui fut mon cas à la fin du mois de mars 2020, une analyse sanguine révèle quatre paramètres anormaux caractéristiques : chute des lymphocytes à moins de 50 % de leur comptage normal, augmentation de la CRP, augmentation du taux d’éosinophiles et forte augmentation des D-dimères. Pour les non-initiés (dont je fais partie puisque je n’ai jamais été médecin) l’augmentation de la CRP (C-reactive protein) est normale puisqu’on est en contact avec un agent infectieux. L’augmentation du taux d’éosinophiles indique une réaction inflammatoire, le taux de D-dimères est un marqueur de troubles de la coagulation sanguine pouvant conduire à des thromboses mais le plus inquiétant est la chute spectaculaire du comptage des lymphocytes. Or si le virus entier provoque de tels symptômes qu’en est-il du pseudo-vaccin à ARN messager ? En 2020, certes, les conséquences de l’infection par le SARS-CoV-2 étaient encore largement inconnues mais il eut été raisonnable pour les fabricants de ces ARNs messagers de suivre les paramètres hématologiques des sujets enrôlés dans les essais cliniques. L’ont-ils fait ? Personne ne le sait.

Il apparaît aujourd’hui que la vaccination à répétition conduit à une condition immunitaire alarmante comme le révèlent les études rassemblées par l’autorité de santé britannique (UKHSA). La performance du système immunitaire est mesurée par le nombre de lymphocytes circulants chez les triple-vaccinés. Selon leur âge on constate que plus les sujets sont jeunes plus la chute des lymphocytes est élevée. En d’autres termes cette « vaccination » conduit à une immunodéficience avec toutes les conséquences que l’on connait maintenant très bien depuis l’apparition il y a 40 ans du HIV provoquant le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA). Ces conséquences sont nombreuses, allant d’une forte susceptibilité aux agents infectieux, c’est le cas avec la nouvelle souche du coronavirus appelé omicron pour laquelle la « vaccination » a provoqué plus de morts chez les personnes vaccinées que chez les non-vaccinées. Cette pathologie d’immunodéficience provoquée par le « vaccin » a provoqué une très forte augmentation du nombre de cancers puisque l’organisme se défend moins bien contre les cellules cancéreuses nouvellement apparues. Il s’agit de pathologies bien décrites chez les malades souffrant du SIDA.

On se trouve donc devant un cas évident de charlatanisme : ce pseudo-vaccin ne protège pas contre la maladie, il aggrave les symptômes de cette maladie dans la tranche d’âge des moins de 60 ans ne souffrant d’aucune comorbidité, il provoque une lymphocytopénie pathologique avec toutes les conséquences déjà observées en dehors de tous les effets secondaires également observés tant au niveau cardiaque que circulatoire. Les laboratoires pharmaceutiques ayant fabriqué ces pseudo-vaccins à ARN messager codant pour la protéine spike sont donc des charlatans criminels qui doivent être poursuivis devant la justice et les campagnes de « vaccination » doivent être immédiatement arrêtées car elles mettent en danger la population.

Sources : https://dailyexpose.uk/2022/02/20/triple-jabbed-brits-weeks-away-from-having-aids/ ethttps://www.globalresearch.ca/the-incidence-of-cancer-triggered-by-the-covid-19-vaccine/5758110

Davos et la conspiration de La Lettre Volée

Article de F. William Engdahl paru le 16 février 2022 sur le site New Eastern Outlook ( https://journal-neo.org ), traduction de Réseau International 

La célèbre nouvelle d’Edgar Allen Poe, « La Lettre Volée », décrit bien l’agenda de Klaus Schwab, fondateur il y a quelques 50 ans de ce qui est aujourd’hui l’influent Forum économique mondial (WEF) de Davos – caché au grand jour. Schwab a publié en 2020 un livre intitulé « La Grande Réinitialisation », qui appelle les dirigeants mondiaux à profiter de « l’opportunité » de la pandémie de COVID-19 pour réorganiser fondamentalement l’économie mondiale en une version dystopique descendante de l’Agenda 2030 technocratique de l’ONU. Pour ceux qui sont prêts à faire des recherches patientes, le WEF de Schwab révèle un degré étonnant de l’agenda mondialiste actuel pour un totalitarisme technocratique. Plus encore, il a développé des cadres triés sur le volet pour mettre en œuvre ce programme pendant trois décennies, avec une « école de cadres » mondiale sélectionnée pour devenir les « futurs dirigeants mondiaux ». En fait, il s’agit de ce que nous pourrions appeler la Conspiration de Davos, des agents promus dans le monde entier pour infiltrer les cercles politiques supérieurs et faire avancer le sinistre programme de la Réinitialisation de Davos.

L’une des caractéristiques les plus étonnantes de l’hystérie de peur de la pandémie de COVID est la mesure dans laquelle les politiciens du monde entier ont emboîté le pas, avec les médias mondiaux et les principaux acteurs de la santé, pour adopter un programme sans précédent de destruction économique et humaine au nom de la lutte contre un virus. Il s’avère que la plupart des acteurs clés ont tous quelque chose en commun. Il s’agit de diplômés, ou « anciens » comme il les appelle, triés sur le volet, de l’école des cadres de Davos de Klaus Schwab, de son programme annuel intitulé « Young Global Leaders » et de celui d’avant 2004 intitulé « Global Leaders for Tomorrow ».

Depuis que le premier groupe de cadres de Davos a été sélectionné en 1993, plus de 1400 « futurs leaders mondiaux » ont été formés selon un processus hautement secret qui est rarement mentionné dans la biographie des diplômés de Davos. Avec la patience d’une araignée tissant une vaste toile, Klaus Schwab et ses riches bailleurs de fonds du Forum économique mondial ont créé le réseau d’acteurs politiques le plus influent de l’histoire moderne, ou peut-être de tous les temps.

Dans une vidéo de 2017 avec David Gergen à Harvard, Schwab se vante d’être fier de « pénétrer les cabinets » avec le cadre Young Global Leader de Davos. Schwab déclare : « Je dois dire que lorsque je mentionne des noms comme Mme Merkel… et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global Leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant avec la jeune génération comme le Premier ministre Trudeau, le président de l’Argentine et ainsi de suite, c’est que nous pénétrons les cabinets… C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France maintenant… »

La Grande Réinitialisation

La Grande Réinitialisation, telle qu’elle est expliquée par Schwab dans le livre du même titre qu’il a coécrit en juin 2020, et élaborée dans son intégralité sur le site Web du Forum économique mondial, est à la disposition de tous les curieux. Il expose un programme visant à réorganiser l’économie mondiale de haut en bas, en utilisant les perturbations du COVID pour promouvoir, entre autres, un agenda vert sans carbone, l’élimination des protéines de viande et de l’agriculture traditionnelle, l’élimination des combustibles fossiles, la contraction des voyages aériens, l’élimination de l’argent liquide au profit des monnaies numériques des banques centrales et un système médical totalitaire de vaccinations obligatoires.

Lors du sommet virtuel de Davos des leaders mondiaux, en juin 2020, intitulé à juste titre La Grande Réinitialisation, Schwab a déclaré : « Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une “Grande Réinitialisation” du capitalisme… Il existe de nombreuses raisons de poursuivre une Grande Réinitialisation, mais la plus urgente est le COVID-19 ». La Grande Réinitialisation, poursuit-il, exige que « les gouvernements mettent en œuvre des réformes attendues depuis longtemps qui favorisent des résultats plus équitables. Selon le pays, il peut s’agir de modifications de l’impôt sur la fortune, du retrait des subventions aux combustibles fossiles… Le deuxième volet du programme de la Grande Réinitialisation consisterait à s’assurer que les investissements favorisent les objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité ».

Ce que Schwab ne mentionne pas, c’est que c’est son réseau de « leaders mondiaux » de Davos qui a été au cœur de l’avancement de l’agenda draconien du COVID, des confinements inutiles aux vaccinations forcées en passant par le masque obligatoire. La pandémie a été la première phase nécessaire de la Grande Réinitialisation. Sans elle, il ne serait pas en mesure de parler de changements mondiaux fondamentaux.

Ici, l’agenda de Schwab est la redistribution mondiale des richesses pour créer l’infâme Agenda 2030 de l’ONU sur l’économie « durable » : « Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également des plans de relance économique ambitieux. Plutôt que d’utiliser ces fonds… pour combler les fissures de l’ancien système, nous devrions les utiliser pour en créer un nouveau qui soit plus résilient, plus équitable et plus durable à long terme. Cela implique, par exemple, de construire des infrastructures urbaines « vertes » et de créer des incitations pour que les industries améliorent leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) ». Il ajoute : « La troisième et dernière priorité d’un programme de Grande Réinitialisation est d’exploiter les innovations de la Quatrième Révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux ».

La Lettre volée
La nouvelle de 1844 de l’auteur américain Edgar Allen Poe, « La lettre volée », raconte qu’une lettre volée de la reine de France est utilisée pour la faire chanter par un ministre sans scrupules. Lorsque la police parisienne fouille méticuleusement la maison du voleur présumé sans résultat, un ami de l’inspecteur en chef parvient à trouver le document volé en le cherchant, « caché à la vue de tous ».

Ainsi en est-il de ce qui est sans doute la conspiration la plus éhontée et la plus criminelle des temps modernes, la Grande Réinitialisation. Tout est là, accessible à quiconque a la patience de parcourir les pages des communiqués de presse et des pages web du WEF. Il convient de noter que les acteurs mondiaux, les « cadres » de Davos soigneusement choisis au cours des trente dernières années pour être préparés à occuper des postes de pouvoir afin de mettre en œuvre le programme de la Grande Réinitialisation, sont ouvertement nommés sur le site Web de Davos, que l’on peut trouver avec un peu de patience. Des listes partielles sont apparues, nommant une petite poignée de « Young Global Leaders » de Davos. Une recherche plus exhaustive de quelque 1400 noms dans les classes annuelles de l’école des cadres depuis 1992 révèle une conspiration étonnante et détaillée. Le site web du WEF indique que les leaders mondiaux sont « formés pour être en phase avec la mission du Forum économique mondial », qui est de « stimuler la coopération public-privé dans l’intérêt public mondial ».

Ce qui suit est le résultat de l’examen de chaque classe de futurs leaders mondiaux du WEF depuis 1993. Ce qui est le plus frappant, c’est que des acteurs clés liés à Schwab sont impliqués dans les mesures décisives qui ont fait de la « pandémie » de COVID-19 le processus économiquement et physiquement destructeur qu’il est. Les anciens du WEF sont au cœur de tout ce qui concerne le COVID.

Davos, Gates et les vaccins à ARNm

Au cœur de l’agenda du COVID-19 se trouve clairement le déploiement à vitesse grand V de concoctions expérimentales non testées à base de gènes modifiés, faussement appelées vaccins, par deux sociétés pharmaceutiques – Pfizer (avec BioNTech en Allemagne) et Moderna aux États-Unis.

Bill Gates (WEF 1993) et sa Fondation Gates sont au cœur du déploiement des vaccins à base d’ARNm ainsi que Tony Fauci du NIAID américain. Bill Gates a été sélectionné par Schwab avant même la création de la Fondation Bill et Melinda Gates, en 1993, pour faire partie du premier groupe de cadres du WEF avec Angela Merkel, Tony Blair, Gordon Brown et d’autres. Schwab a-t-il eu une influence sur la décision de Gates de créer la fondation ?

L’argent de la Fondation Gates, des centaines de millions, a en fait acheté le contrôle de l’Organisation mondiale de la Santé de l’ONU, une organisation corrompue, selon la dénonciatrice de l’OMS, l’épidémiologiste suisse Astrid Stuckelberger, qui a déclaré dans une interview récente : « L’OMS a changé depuis que j’y étais… Il y a eu un changement en 2016… C’était spécial : Les organisations non gouvernementales – comme GAVI – Global Alliance for Vaccine Immunization – dirigée par Bill Gates – elles ont rejoint l’OMS en 2006 avec un fonds. Depuis lors, l’OMS est devenue un nouveau type d’organisation internationale. GAVI a gagné de plus en plus d’influence, et une immunité totale, plus que les diplomates de l’ONU ».

La fondation de Gates, ainsi que le WEF de Schwab, ont créé l’Alliance mondiale pour les Vaccins et la Vaccination (GAVI) en 2000. Un autre ancien élève tristement célèbre de la classe des leaders mondiaux du WEF de Gates, José Manuel Barroso (WEF 1993), – président de la Commission européenne de 2004 à 2014, ancien directeur de Goldman Sachs International, membre du comité directeur de Bilderberg – a été nommé PDG de l’alliance vaccinale GAVI financée par Gates en janvier 2021, au moment où les vaccins à ARNm étaient déployés. Barroso supervise désormais les dépenses mondiales consacrées aux vaccins à ARNm pour Gates et l’OMS.

Albert Bourla, président-directeur général de Pfizer, est un contributeur à l’agenda du WEF. Son vice-président de Pfizer, Vasudha Vats (WEF 2021), est une recrue du WEF parmi les « leaders mondiaux ».

L’autre grand fabricant de vaccins à ARNm est Moderna, dont le PDG, Stéphane Bancel (WEF 2009) est un autre ancien de Davos. L’année suivante, en 2010, Bancel a été choisi pour devenir le PDG d’une nouvelle société, Moderna, dans le Massachusetts. En 2016, alors qu’aucun produit à base d’ARNm n’avait encore été approuvé, Moderna a signé un accord-cadre pour un projet de santé mondiale avec la Fondation Bill et Melinda Gates afin de faire progresser les projets de développement basés sur l’ARNm pour diverses maladies infectieuses. La même année, Bancel a signé un accord-cadre de projet de santé mondiale avec Tony Fauci et le NIAID. Dans un discours prononcé en janvier 2018 lors de la JP Morgan Healthcare Conference, plus d’un an avant que le monde n’entende parler du COVID-19 en provenance de Wuhan, Gates a déclaré : « Nous soutenons des entreprises comme CureVac et Moderna sur les approches de l’ARNm pour le développement de vaccins et de médicaments » Prescience ?

Les politiciens de Davos

Le deuxième élément clé de l’agenda de Davos sur la pandémie a été un rassemblement international de politiciens de premier plan, notamment dans l’UE et en Amérique du Nord, qui ont soutenu les mesures de confinement et de vaccination forcée les plus draconiennes de l’histoire. La plupart des acteurs clés sont des leaders mondiaux du WEF de Davos.

En Allemagne, la chancelière Angela Merkel a dirigé l’un des plus sévères confinements du COVID jusqu’à sa retraite en décembre 2021. Elle faisait partie de la première promotion du WEF en 1993. Son ministre de la Santé, Jens Spahn (WEF 2012), était également un ancien de Davos. Spahn a contraint à des injections massives d’ARNm et a poussé à des confinements et masquages inutiles. C’est un ancien lobbyiste de l’industrie pharmaceutique. Philipp Rösler, ministre de la Santé de 2009 à 2011, a été nommé directeur général du WEF par Schwab en 2014. En décembre, une nouvelle coalition a été formée sous la direction du chancelier Olaf Scholz, qui a été invité par Schwab à prononcer un discours spécial lors de la réunion de Davos de janvier 2022. La nouvelle ministre allemande des Affaires étrangères, la leader des Verts Annalena Baerbock (WEF 2020), a été choisie comme leader mondiale juste avant de devenir candidate à la chancellerie. Le choix controversé de Baerbock en tant que secrétaire d’État pour la diplomatie du changement climatique, la chef de Greenpeace, Jennifer Morgan, une citoyenne américaine, est une contributrice de l’agenda du WEF et une amie proche d’Al Gore, membre du conseil d’administration du WEF. L’ancien chef du parti vert allemand, Cem Özdemir (WEF 2002), est le nouveau ministre de l’Agriculture et de la Nutrition.

En France, le président Emmanuel Macron (WEF 2016) est mystérieusement passé d’un obscur ministre à la présidence de la France en 2017 sans parti, un an seulement après avoir été sélectionné pour rejoindre le programme Global Leaders du WEF. En tant que président, Macron a institué certaines des mesures COVID les plus draconiennes au monde, notamment des passeports intérieurs et des vaccins obligatoires.

Parmi les autres politiciens européens du club de Davos figurent le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis (WEF 2003) et le Premier ministre belge Alexander De Croo (WEF 2015). Tous deux ont imposé des mesures COVID sévères. Sanna Marin (WEF 2020), Premier ministre de la Finlande, a invoqué l’état d’urgence en Finlande, avec de sévères fermetures et d’autres mesures drastiques. Au Royaume-Uni, l’ancien Premier ministre travailliste, Gordon Brown, (WEF 1993) a été nommé par l’OMS en avril 2021 pour promouvoir un programme de 60 milliards de dollars pour la vaccination COVID dans les « pays pauvres ». Brown est devenu ambassadeur de l’OMS pour le financement de la santé mondiale en septembre 2021.

En Amérique du Nord, le gouvernement canadien de Justin Trudeau, qui fait actuellement l’objet d’une révolte populaire massive contre ses sévères mandats de vaccination et autres mesures, est criblé d’agents de Davos. Trudeau lui-même est un contributeur à l’agenda du WEF de Davos et un orateur fréquent à Davos. Schwab a présenté Trudeau en 2016 en déclarant : « Je ne pouvais pas imaginer quelqu’un qui puisse représenter davantage le monde qui sortira de la Quatrième Révolution industrielle ». L’acteur clé du COVID pour Trudeau est la vice-première ministre et ministre des Finances Chrystia Freeland, qui fait partie du conseil d’administration du WEF et dirige la réponse de Trudeau au COVID. Les autres agents du WEF à Ottawa sont la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly (WEF 2016), la ministre de la Famille Karina Gould (WEF 2020).

Aux États-Unis, les principaux responsables nommés par l’administration Biden sont Jeffrey Zients (WEF 2003), coordinateur de la Maison Blanche pour le coronavirus. Le secrétaire d’État aux Transports, Pete Buttigieg (WEF 2019), qui a soudainement annoncé sa candidature à la présidence après avoir été choisi par Davos, en est un autre. L’agent de l’État profond américain Samantha Power (WEF 2003) est la chef de l’USAID de Biden, la principale agence d’aide étrangère étroitement liée aux activités de la CIA à l’étranger. Rebecca Weintraub (WEF 2014), professeur à Harvard, qui milite pour une vaccination totale de tous les habitants de la planète, avec des vaccins obligatoires même pour les enfants, est conseillère auprès du comité consultatif national sur les vaccins du département de la Santé et des Services sociaux.

Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom (WEF 2005), a imposé certains des verrouillages et des mandats de masques les plus sévères de la nation, tout comme Jared Polis (WEF 2013) gouverneur du Colorado, avec un ordre de santé publique qui a fait du Colorado l’un des premiers États à exiger une preuve de vaccination complète pour être admis dans les grands événements intérieurs.

L’Australie et la Nouvelle-Zélande ont été deux des régimes de tyrannie COVID les plus sévères au monde. En Australie, le ministre de la Santé Greg Hunt était directeur de la stratégie du WEF en 2001 et leader mondial du WEF en 2003. Il contrôle les politiques gouvernementales extrêmes du COVID-19. En Nouvelle-Zélande, la Première ministre Jacinda Ardern (WEF 2014) a rencontré Bill Gates à New York en septembre 2019 en tant qu’orateur vedette de la conférence annuelle sur les objectifs de développement durable de la Fondation Gates, juste avant les événements COVID de la Chine et quelques jours avant la « simulation de pandémie » de l’Événement 201 d’octobre du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates. En tant que Première ministre, Ardern a imposé des vagues de confinement, supprimé la plupart des droits civils et pratiquement interdit les voyages internationaux.

Principaux groupes de réflexion et universitaires

Ceci est loin d’être l’étendue du réseau mondial de Davos soigneusement cultivé et promu derrière l’orchestration des mesures mondiales de lutte contre la pandémie de COVID-19. Des rôles instrumentaux sont joués par la Fondation Rockefeller dont le président, Rajiv Shah (WEF 2007), était une figure de proue de la révolution verte en Afrique à la Fondation Gates, ainsi que des programmes de vaccination. En tant que chef de l’influente Fondation Rockefeller, Shah joue un rôle clé dans la promotion de la Grande Réinitialisation de Davos où il est contributeur à l’agenda du WEF. Un autre groupe de réflexion politique très influent aux États-Unis, le New York Council on Foreign Relations, est profondément engagé dans l’agenda du COVID-19. Thomas Bollyky (WEF 2013) est le directeur du programme de santé mondiale du CFR et est un ancien consultant de la Fondation Gates et de l’OMS. Il a dirigé le groupe de travail du CFR, Améliorer la préparation aux pandémies : Leçons de COVID-19 (2020).

Jeremy Howard (WEF 2013) est un Australien qui, au début du COVID-19, a organisé une campagne mondiale en faveur du port obligatoire de masques. Mustapha Mokass (WEF 2015) a développé un système de passeport vaccinal pour l’agenda de la 4ème Révolution industrielle de Schwab.

Les médias grand public de Goebbels

Le rôle des médias administrés a été au cœur de l’offensive de propagande sans précédent de la pandémie de COVID-19. Davos et le WEF de Schwab sont également au cœur de cette offensive.

CNN est l’un des organes de propagande les plus connus, qui encourage la peur et préconise les injections à base d’ARNm tout en s’attaquant à tout traitement curatif éprouvé. CNN et Davos sont bien connectés.

Le Dr Sanjay Gupta (WEF 2010), correspondant médical en chef de CNN, a joué un rôle clé dans la promotion du récit officiel de l’événement COVID-19. Le Dr Leana Sheryle Wen (WEF 2018) est chroniqueuse au Washington Post et analyste médicale à CNN. En tant que « contributrice médicale » de CNN, Wen a suggéré que la vie soit « dure » pour les Américains qui n’ont pas reçu de vaccin contre le COVID-19. Anderson Cooper (WEF 2008), un ancien « stagiaire » de la CIA qui fait froid dans le dos, est un animateur important de CNN. Jeffrey Dean Zeleny (WEF 2013) est le correspondant en chef des affaires nationales pour CNN.

Alors que CNN produit des commentaires unilatéraux sur les piqûres d’ARNm et le COVID, les propriétaires très influents des sociétés de médias sociaux s’engagent dans une interdiction sans précédent de toute opinion critique ou contraire, dans une censure qui ferait rougir Goebbels. Parmi eux, Mark Zuckerberg (WEF 2009), propriétaire milliardaire de Facebook, soutenu par la CIA, et Martha Lane Fox (WEF 2012), membre du conseil d’administration de Twitter, membre du comité conjoint britannique sur la stratégie de sécurité nationale et du comité COVID-19 de la Chambre des Lords. Larry Page (WEF 2005) est le milliardaire cofondateur de Google, sans doute le moteur de recherche le plus censuré et le plus utilisé au monde.

Marc Benioff (WEF Board of Trustees) milliardaire propriétaire du magazine Time et de Salesforce cloud computing, est également lié à The Giving Pledge de Bill Gates. Dawood Azami (WEF 2011) est rédacteur multimédia à la BBC World Service, l’influent radiodiffuseur public britannique. Jimmy Wales (WEF 2007) est le fondateur de Wikipedia qui, de manière notoire, modifie le contenu des entrées liées au COVID pour promouvoir l’OMS et l’agenda de Davos. Lynn Forester de Rothschild (WEF 1995) possède, avec son troisième mari, Sir Evelyn Robert de Rothschild, le magazine The Economist, qui promeut l’agenda de Davos du COVID ainsi que la future réinitialisation verte. Elle a été présentée à Sir Evelyn par Henry Kissinger lors de la conférence Bilderberg de 1998 en Écosse.

Parmi les autres figures de l’écurie des futurs dirigeants mondiaux de Davos figurent Jamie Dimon (WEF 1996), PDG de JP Morgan Chase, Nathaniel Rothschild (WEF 2005), fils et héritier présomptif du baron Jacob Nathaniel « Nat » Rothschild. David Mayer de Rothschild (WEF 2007), un milliardaire britannique défenseur de l’agenda vert avec une fortune estimée à 10 milliards de dollars.

Parmi les « partenaires » stratégiques du WEF qui aident à encadrer les leaders mondiaux de Davos figurent la Barclays Bank, la Fondation Bill & Melinda Gates, la Deutsche Bank AG, la General Motors Company, le Goldman Sachs Group Inc, Google Inc, HSBC Holdings Plc, McKinsey & Company et UBS AG, entre autres.

Cette concentration du pouvoir mondial est-elle une simple coïncidence ou fait-elle partie d’une véritable conspiration ? Une lecture de l’actuel conseil d’administration du Forum économique mondial pourrait aider à répondre à cette question.

Note. F. William Engdahl est un journaliste américain résidant en Allemagne. Il est très controversé car il va à l’encontre des idées reçues dont son « climato-scepticisme ». Il a été très critiqué pour son analyse de la géopolitique menée par les Etats-Unis consistant à étrangler les économies de la Chine et de la Russie en 2014 … prémonitoire si l’on considère la situation actuelle.