La thérapie génique contre le SARS-CoV-2 aurait-elle atteint son but ?

Lorsque le Docteur Jessica Rose (MD, PhD) entreprit d’analyser les données de l’organisme qui centralise les données relatives aux effets indésirables des vaccins en général et maintenant de la thérapie génique susceptible de protéger contre le SARS-CoV-2 elle découvrit que les données de cet organisme (VAERS- CDC) étaient caviardées. Elle examina alors les données centralisées par Département de la Défense américain. Elle découvrit que la banque de données VAERS sous-estimait d’un facteur 49 les fausses-couches provoquées par l’injection d’ARN messager codant pour la protéine spike-1 du coronavirus. Rassemblant ces données le Docteur Rose conclut que le nombre de fausses-couches provoquées par le « vaccin » avait en réalité atteint 416186 aux Etats-Unis depuis la mise en place de la « vaccination » anti-coronavirus.

La vérification indirecte a été apportée par une clinique pratiquant des fécondations in vitro à Singapour. Normalement, en routine, une ponction ovarienne permet de disposer d’une quarantaine d’ovules et la fécondation in vitro conduit alors, toujours en routine, à trois à cinq embryons qu’il faut implanter ensuite dans l’utérus de la mère car introduire un seul embryon réduit presque à néant les chances de réussite, un fait clinique encore inexpliqué. Sans avoir questionné les couples ayant été contraints de choisir ce protocole de fécondation in vitro au sujet de leur statut « vaccinal » contre le coronavirus, devant les échecs répétés les médecins ont alors élargi leur enquête et ils se sont rendu compte que toutes les femmes avaient reçu au moins deux injections de « vaccin ». Ils en déduisirent qu’il y avait peut-être une relation entre ces échecs répétés et le fait que la majorité des embryons n’étaient plus viables in vitro au delà de 4 jours, du jamais vu. De plus les implantations dans l’utérus étaient suivies de fausse-couche dans pratiquement tous les cas.

Les médecins de cette clinique de Singapour ont contacté divers autres établissements similaires en Amérique du Nord qui ont confirmé leurs observations. Ce qui paraissait mystérieux était la très faible viabilité des embryons en dépit du strict respect du protocole. D’autre part le défaut d’implantation dans l’utérus restait mystérieux. Les personnels de ces cliniques n’aiment pas du tout rendre publiques de telles informations et si une personne rapportait ce genre d’information elle serait immédiatement mise à pied. Pour se protéger les biologistes de la clinique de fécondation in vitro de l’Université nationale de Singapour publia un article (lien ci-dessous) infirmant toute relation de cause à effet entre leurs bévues et le statut vaccinal des couples consultant pour une fécondation in vitro. La publication scientifique était visiblement malhonnête et masquait la relation de cause à effet pourtant observée entre la « vaccination » et les problèmes rencontrés.

La supercherie s’explique par le protocole de dosage de la présence d’anticorps dirigés contre la syncytine, une protéine vitale pour l’implantation de l’embryon dans l’utérus et possiblement dans les processus de maturation des gamètes, voire dans le mécanisme de fécondation lui-même. La présence d’anticorps anti-syncytine est mesurée à l’aide de la technique dite ELISA. Pour bien comprendre la mystification utilisée pour masquer la cause des échecs répétés rencontrés dans cette clinique il faut se pencher sur la technique ELISA elle-même et la signification du seuil de positivité fixé par le fabricant. L’illustration ci-dessous illustre cette mystification.

D’abord l’évaluation de la présence d’anticorps neutralisants est exprimée en pourcentage avec un seuil de positivité fixé à 30 %. Pourquoi dans le cas de la recherche de réactivité croisée avec la syncytine les résultats sont exprimés en unités d’absorption à 492 nanomètres, la couleur qui se développe après ajout du second anticorps anti-anticorps humains auquel a été adjoint un enzyme qui développe une coloration à cette longueur d’onde ? Et enfin pourquoi le seuil de positivité est arbitrairement fixé à 0,9 unités d’absorption à cette longueur d’onde ? Bien des questions se posent et laissent perplexes ceux qui connaissent cette technique. Les auteurs de l’article ont délibérément choisi de ne pas montrer clairement le risque considérable qui apparaît après une « vaccination » avec l’ARN messager, en l’occurence à Singapour la mixture de Pfizer.

Contrairement à ce qui est affirmé par les médias et les gouvernements cette technique nouvelle d’immunisation n’est pas anodine, en particulier sur la reproduction. Il faut espérer que les quelques milliards de personnes soumises souvent sous la contrainte à cette thérapie auront un taux d’anticorps croisant avec la syncytine qui décroitra avec le temps afin de retrouver une situation normale dans leurs fonctions de reproduction. Dans le cas contraire la stratégie de « vaccination » aura atteint son but : provoquer une diminution brutale de la population, une sorte de génocide dissimulé par des prétextes sanitaires. Il faudra attendre quelques années pour observer si oui ou non les taux de natalité chutent ou restent normaux. Bill Gates se réjouit peut-être trop …

Source : https://unglossed.substack.com/p/what-happened-in-singapore et

doi: https://doi.org/10.1101/2021.05.23.21257686

Note. Je me sens bien placé pour analyser les travaux relatés dans ce billet. À l’époque où je poursuivais mes travaux de recherche au sein d’un laboratoire du Salk Institute sous la direction d’un Prix Noble de Médecine la technique ELISA n’existait pas et le deuxième anticorps était « marqué » avec de l’iode radioactif. Il s’agissait des radio-immuno-essais, ancêtres des ELISA. Cette technique était extraordinairement sensible, l’iode étant un facteur d’amplification de la réponse liée à la fixation du deuxième anticorps « marqué » avec de l’iode, l’isotope 125 hautement radioactif. Cette technique a été abandonnée lorsque ce deuxième anticorps a été modifié par greffage d’un enzyme permettant de quantifier sa présence à l’aide d’une réaction colorimétrique, l’iode radioactif étant plutôt dangereux. Je ne suis pas du genre à être leurré par des articles scientifiques visiblement truqués.

Les Canadiens veulent reconquérir leur liberté …

Et ils ont bien raison. Le leader politique Justin Trudeau, comme son homologue français, déborde de testostérone et dans ces conditions il n’est pas possible de gouverner sereinement un pays. Des « young leaders » adoubés par Klaus Schwab ne devraient jamais diriger un pays. Les conducteurs de poids-lourds canadiens, les « truckers », se sont vu imposer des « pass » sanitaires pour circuler d’un Etat canadien à un autre dans une certaine mesure mais surtout pour franchir la frontière avec les USA. Ils n’ont pas aimé ! Ce samedi 29 janvier 2022 par des températures largement en dessous de zéro ce sont plus de 100000 truckers qui filtrent les ronds-points d’accès aux autoroutes et qui convergent vers Ottawa, la capitale fédérale, une agglomération de près d’un million d’habitants au sud de l’Ontario, pour réclamer leur liberté après deux ans d’oppression, le Canada comme l’Australie ayant pris les mesures les plus strictes au monde pour juguler l’épidémie coronavirale sans grand succès d’ailleurs.

Unanimement la population soutient les truckers. Quand les Européens vont-ils se rebeller, assiéger toutes les capitales, Berlin, Paris, Rome, … et surtout Bruxelles, siège de l’inique commission européenne ? Que tous les « truckers » européens revêtent un gilet jaune et organisent un mouvement massif de protestation ! Il n’y a aucun mouvement politique derrière cette manifestation, une collecte a été organisée pour les soutenir matériellement, elle a réuni plus de 5 millions de dollars, la solidarité du peuple a donc fonctionné. Que les Européens sortent de leur léthargie et refusent en bloc les décisions stupides de leurs gouvernements, ça suffit.

Regardez le petit documentaire, c’est un plaisir … Capture d’écran : « stop aux obligations sanitaires, liberté contre la peur » :

https://rumble.com/vtj4h0-we-are-standing-at-the-battle-line..html

Voir également ceci : https://www.youtube.com/watch?v=Er2mDij2AG8

Les secrets du Golfe de Cariaco

La baie de Cariaco se trouve au nord du Vénézuéla. Elle est protégée des courants par un chapelet d’îles, Tortuga, Margarita, Cubagua et Arya. Il s’agit d’un bassin situé à 10° nord très peu soumis aux courants en provenance de l’Atlantique Sud mais recevant les eaux de ruissellement de plusieurs rivières. Ce bassin est situé à l’est de Caracas et les eaux de l’Orénoque qui se termine par un immense delta au sud de l’île de Trinidad se déversent directement dans l’Atlantique Sud sans perturber cette baie. Ce Golfe de Cariaco présente la particularité d’une condition anoxique stricte des eaux au delà d’une profondeur de 250 mètres car il n’existe aucun courant susceptible d’apporter de l’oxygène. C’est donc un lieu idéal pour étudier les variations de la position de la zone de convergence inter-tropicale. De plus ce bassin est soumis aux vents alizés d’est qui provoquent un phénomène de remontée des eaux profondes appelé up-welling qui pourtant n’influe en rien sur le manque d’oxygène des eaux profondes au delà de ces 250 mètres de profondeur. Tous ces facteurs font que l’étude de cette zone est très importante pour connaître l’évolution du climat.

Il est en effet crucial de connaître la variation de cette zone de convergence (ITCZ, intertropical convergence zone) pour se faire une idée de l’évolution passée du climat et peut-être du climat à venir. L’approche consiste à étudier tous les éléments composant les sédiments recueillis à une profondeur de 893 mètres, éléments comprenant des foraminifères, des grains de pollen, des squelettes de coccolithes et enfin des métaux provenant des eaux de ruissellement. Une étude internationale répartie entre les USA, la Suisse et l’Allemagne a donc étudié pour la première fois ces sédiments au niveau de deux métaux : le fer et le titane. Ces métaux proviennent des eaux de ruissellement et leur abondance déterminée par fluorescence sous irradiation par des rayons X permet de préciser l’abondance des précipitations. Si le Vénézuéla est l’un des pays du monde les plus arrosé avec en moyenne 1,5 mètre d’eau par m2 ces marqueurs ont cependant permis de mettre en évidence une variation de ces précipitations qui est directement dépendante de la position de la zone de convergence inter-tropicale. Le choix du titane est justifié par le fait que sous forme d’ion il est peu dépendant des conditions d’oxydoréduction des eaux marines et comme les eaux sont strictement privées d’oxygène alors le titane retrouvé dans les sédiments est un bon marqueur de l’évolution de la pluviométrie puisque sa teneur est indépendante de la micro-faune marine de surface et inexistante à ces profondeurs.

Schématiquement si l’ITCZ remonte vers le nord les précipitations sont moins abondantes et inversement. Européens que nous sommes pensons à tort que nous ne sommes pas concernés par les variations de l’ITCZ au niveau du bassin de Cariaco. Pourtant tout le passé climatique est inscrit dans les sédiments de ce bassin.

Après la « rupture » du Dryas récent (Younger Dryas) qui mit fin à la dernière grande glaciation il y eut un spectaculaire réchauffement synonyme de précipitations abondantes appelé maximum climatique de l’Holocène qui dura environ 5000 ans, entre 11000 et 5000 ans avant aujourd’hui. L’ITCZ se trouvait beaucoup plus au nord et les fortes précipitations favorisèrent un verdissement total de ce qui est aujourd’hui le désert du Sahara. Depuis l’optimum de cette période la quantité de titane dans les sédiments du bassin de Cariaco n’a jamais cessé de diminuer avec une forte période d’instabilité au cours des 2000 ans précédant l’ère commune. On retrouve l’optimum climatique minoen, suivi par l’optimum romain lui-même précédant l’âge sombre des invasions venues de l’est du continent eurasiatique en raison d’une chute durable des températures et enfin celui de l’optimum médiéval 1000 ans avant aujourd’hui et pour conclure une période caractérisée par une chute spectaculaire des températures lors du « petit âge glaciaire ». 

La situation est donc claire : en dépit des affirmations sans cesse répétées par divers organismes et reprises par les médias la tendance générale du climat est orientée vers un refroidissement et une baisse sensible de l’abondance des précipitations. Les alizées de la frange nord de l’ITCZ pourraient remonter également vers le nord et la conséquence sera alors catastrophique pour l’Europe : un affaiblissement du Gulf Stream. Alors le climat de Europe risquera d’en subir les graves conséquences directement. D’ici là les conditions climatiques européennes vont traverser une période d’instabilité puis elles s’orienteront vers un refroidissement inexorable et profond du climat quoique puissent être les décisions en particulier de réduction des émissions de carbone. Enfin il faut rappeler qu’aucune activité humaine « parasite » n’a provoqué le réchauffement de l’Holocène. Rien à ajouter.

Source : DOI: 10.1126/science.1059725

Retour sur la « dégradation » de LLG et H4

Pour les non-initiés dont je fais partie LLG c’est Louis-le-Grand et H4 Henry IV. Ce sont deux des plus prestigieux lycées de France en particulier dans le domaine de la réussite aux concours d’entrée aux grandes écoles scientifiques, commerciales et littéraires. Blanquer, le ministricule de l’éducation nationale a décidé de casser le système de sélection des élèves sur dossier pratiqué par ces deux lycées car c’est trop élitiste et pas assez conforme aux idées de la « gauche ». À la bonne heure ! Dès la fin de l’année, lorsque ma fille séjournait ici à Tenerife, je fus informé des dispositions qui allaient être prises par le recteur académique de Paris pour plaire à son collègue Blanquer. Je ne disposais pas de toutes les informations pour écrire un billet sur ce blog qui serait en quelque sorte un scoop mais je ne recherche pas la notoriété, cela m’indiffère. Je n’ai pas compris ce que m’expliquait ma fille ni ce que soutenait son époux et j’ai eu tort de ne pas jouer en quelque sorte le rôle de journaliste qui m’était offert. Quelques jours avant la publication de l’article de Marianne ma fille me déclara que tout allait devenir de mal en pis pour elle et pour son époux. Je n’ai toujours pas compris et j’ai oublié de rappeler à ma fille que depuis des années je lui suggérais de créer une école privée spécialisée dans la préparation aux grandes écoles. Elle s’en souvient certainement aujourd’hui après l’entourloupe de Blanquer.

Tout d’abord quel est le travail des enseignants des classes « prépa » ? Il consiste à classer des centaines de dossiers scolaires d’élèves provenant de toute la France et aussi des lycées parisiens y compris de LLG et H4. Ensuite les professeurs doivent préparer leur cours qui est en permanente évolution, rédiger des énoncés de problèmes nouveaux puisque tous ceux qui ont été posés aux élèves durant les années passées ont leur solution disponible sur internet. Ensuite les professeurs, en particulier en mathématiques, font passer des examens oraux rapides tout au long de l’année, les fameuses « colles », ce qui demande non seulement une présence dans le lycée mais également une préparation à la maison. Enfin régulièrement les élèves sont soumis à des devoirs surveillés dont les professeurs doivent préparer de nouveaux sujets, problèmes et exercices, imitant les conditions des concours. La correction des copies peut prendre beaucoup temps de travail à la maison, souvent le samedi et le dimanche. À ces devoirs surveillés s’ajoutent enfin les devoirs à la maison également corrigés. Les professeurs de mathématique travaillent 70 heures par semaine …

Rappelons la situation que j’ai exposé brièvement dans un précédent billet sur ce blog. LLG et H4, à Paris, bénéficient du privilège de recruter les élèves des classes « prépa » sur dossier à l’entrée de la classe de seconde pour les élèves de ces lycées, c’est-à-dire trois ans avant le fatidique baccalauréat qui n’est pas distribué dans ces deux institutions de la République comme des cadeaux. Ces élèves proviennent de toute la France et s’ils veulent accéder au sommet, c’est-à-dire aux classes « prépa », ils doivent avoir encore une fois les meilleures notes car leur dossier est alors examiné minutieusement. Je schématise mais c’est à peu près ainsi que ça se passe. La décision de Blanquer va donc inévitablement abaisser le niveau intellectuel général des élèves désirant entrer en classe « prépa » puisqu’ils bénéficieront d’un accès pratiquement libre à LLG et H4. Quel est le but réel de cette manœuvre ? Discréditer ces deux lycées d’excellence au profit de « Ginette » et d’autres établissements privés puisque seules les familles aisées consentiront à payer une scolarité à leurs enfants dans ces écoles privées.

Pour la petite histoire (mais je ne devrais pas en parler) ma fille enseigne en MP* à H4, la section la plus difficile de la « prépa » scientifique. Mon gendre enseigne en MP* à LLG. Ils se rendent compte peut-être aujourd’hui que les conseils que je leur prodiguais il y a une dizaine d’années de créer leur propre école privée de prépa pourrait devenir une réalité par la force des choses et compte tenu de la situation vicieuse de Blanquer ils vont peut-être reconsidérer leur avenir au sein de l’EducNat qui est complètement pourrie, institution qu’ils devraient fuir le plus vite possible.

Personnellement je suis consterné par l’accumulation des mauvaises décisions prises par des Ministres (je ne sais pas pourquoi j’ai écrit une majuscule) incompétents dans un domaine de la République qui doit préparer l’avenir du pays en transmettant le savoir aux générations futures. Mais parlons un instant de la dite sélection qui est considérée comme anti-sociale en France. Je dispose d’éléments de comparaison que Blanquer ne peut pas réfuter. Ma petite-fille franco-japonaise, 14 ans, travaillait avec acharnement il y a un an pour intégrer un lycée privé de jeunes filles. Elle avait également projeté d’intégrer un lycée-université également privé mais elle échoua au concours d’entrée. Quand elle choisira d’entrer à l’université elle devra à nouveau passer par les fourches caudines d’un concours car au Japon l’entrée à l’université comprenant également l’équivalent des écoles d’ingénieurs n’est accessible que sur concours et la sélection est très rude.

En France la sélection au cours du cursus scolaire existe-t-elle encore ? La réponse est définitivement non. Et si ma fille et mon gendre lisent ce blog ils devraient décider rapidement de reconsidérer le conseil que je leur confiais il y a maintenant dix ans ou plus, je le répète, de motiver quelques collègues, réunir leurs économies et créer leur propre institution privée car ils disposent d’une immense qualité : ils aiment leur métier et sont capables de transmettre leur savoir aux générations montantes à qui, malheureusement, je souhaite, une fois leur diplôme en poche, de vite s’expatrier car la France a signé son arrêt de mort, et pas seulement dans le domaine de l’enseignement … 

Retour sur la table ronde mentionnée dans un précédent billet

J’ai noté quelques données citées par plusieurs intervenants en ce qui concerne la thérapie génique mise en place massivement dans le monde entier pour protéger théoriquement les populations contre une infection par le coronavirus. De nombreuses interventions au cours de cette table ronde ont insisté sur le fait que ce traitement ne prévenait pas contre une infection et qu’il ne présentait aucun bénéfice en ce qui concerne la gravité de l’évolution de la maladie. Ce qu’ont déclaré les intervenants est incontestable puisqu’il s’agissait de praticiens hospitaliers. Ils étaient au contact des malades et ils savaient quel était précisément leur statut vaccinal. Dans les services de soins intensifs de l’hôpital où exerçait l’un des intervenants il fut rapporté que 77 % des patients étaient complètement vaccinés et qu’ils étaient tous testés positifs pour le coronavirus. Dans l’Etat du Wisconsin plus de 90 % de la population est « vaccinée ». Il est impossible d’expliquer pourquoi les 23 % de malades restants puissent être exclusivement des non « vaccinés ». Statistiquement c’est improbable.

Cette simple observation prouve indubitablement que la « vaccination » est totalement inefficace et qu’elle ne réduit pas la gravité de la maladie contrairement à ce qui est avancé communément. Il s’agit d’un pur argument de marketing sans fondement qui n’est plus tenable si on considère les effets indésirables et la létalité de cette thérapie génique. Le tableau ci-dessous est édifiant et mérite quelques commentaires. Pour les non-anglophones flu = grippe et Tylenol = paracetamol.

Les effets indésirables des 5 traitements mentionnés et répertoriés sans interférence gouvernementale depuis 1996 dans le monde entier sont présentés dans ce tableau (capture d’écran au cours de la table ronde dont le lien figure dans un précédent billet) et en regard le nombre d’effets indésirables et de décès répertoriés en 13 mois pour le « covid vaccine ». Compte tenu du fait que sur recommandation des autorités de santé les médecins ne transmettent leurs observations que dans au mieux 2 % des occurrences il est plausible de multiplier les données en rouge dans ce tableau par un facteur 40 à 50. Choisissons donc un facteur multiplicatif de 41 comme cela a été mentionné au cours d’une étude réalisée il y a quelques semaines dont j’ai fait mention sur ce blog. On arrive alors à des chiffres tout à fait alarmants : plus de 43 millions d’effets indésirables pour le monde entier et plus de 827000 morts en 13 mois, c’est-à-dire depuis le début de la campagne de thérapie génique massive. Les tenants de la « vaccination » généralisée rétorqueront qu’en regard du nombre de doses injectées ce n’est rien, c’est négligeable, c’est le prix à payer pour la protection des populations, ben voyons ! En 25 ans les vaccins contre la grippe saisonnière n’ont tué que 77 personnes par an en moyenne mais pour un rapport bénéfice/risque très favorable encore que contesté par certains spécialistes car le virus de la grippe mute très facilement. À l’examen de ces données la thérapie génique par ARN messager aurait du être interdite très rapidement, dès le début de l’année 2021 … et on continue à rendre obligatoires des injections de « rappel ». Il s’agit d’actes criminels qui devront un jour ou l’autre être punis.

Complotisme et corruption ? Allons-y !

Au sujet de l’épidémie de SARS-CoV-2-x tout porte à croire qu’il s’agit d’un virus confectionné dans un laboratoire. Un virus destiné à tuer le plus de personnes possible après des manipulations génétiques dites de « gain de fonction ». Les Américains ont été les premiers à s’intéresser à ce nouveau coronavirus et en particulier le Docteur Fauci, chef du service des maladies infectieuses du NIH déjà dans les années 2000. L’armée américaine a été également sollicitée pour appuyer ces recherches. Devant leur réticence, car pour l’armée si on développait une arme biologique la règle fondamentale était qu’il fallait aussi disposer d’un antidote, ce qui n’était alors pas le cas à l’époque de l’apparition de la toute première version du coronavirus qui provoqua l’épidémie de SRAS puis de MERS, Fauci, malgré le fait qu’il a nié en bloc ses interventions lors de ses auditions sous serment au Sénat américain, a fait appel aux services du tout nouveau laboratoire de haute sécurité P4 installé dans la ville de Wuhan en Chine. L’armée américaine comme le NIH savaient que ce laboratoire s’intéressait aux virus véhiculés par les chauve-souris. Un peu de dollars et le tour était joué. Il suffisait alors d’attendre des résultats probants et de profiter des jeux olympiques militaires qui étaient prévus dans cette ville au cours de l’automne 2019 pour disséminer le virus dans le monde entier, pour ensuite accuser les Chinois. Cette analyse est de mon cru et je ne la partage qu’avec moi-même.

Des laboratoires pharmaceutiques largement financés par le gouvernement américain avaient été priés de préparer un antidote, en d’autres termes un vaccin. Il est plus que vraisemblable que la séquence complète du SARS-CoV-2, objet de toutes les attentions dans le laboratoire de Wuhan était connue des services américains avant l’apparition de la pandémie et ils la communiquèrent à quelques laboratoires pharmaceutiques américains dont Pfizer ou encore J&J. Si le virus modifié en laboratoire était mis en circulation alors il faudrait rapidement protéger avant tout l’armée et ensuite la population américaine.

Comme par définition un vaccin ne peut être administré à toute une population que s’il n’existe aucun traitement efficace pour juguler une nouvelle maladie inconnue jusqu’alors, la mise au point rapide d’un « vaccin » ne pouvait être réalisée qu’en faisant appel à la technique consistant à injecter un ARN messager dans le corps des patients-cobayes afin de leur faire synthétiser la molécule dite Spike supposée être l’antigène le plus accessible du virus (voir la note en fin de billet). La mise au point d’un vaccin est en effet une longue et coûteuse entreprise car il est impératif de s’assurer que le rapport bénéfices /risques est avantageux pour la protection des personnes. Par conséquent s’il existe une thérapie pour traiter une maladie émergente alors la mise au point d’un vaccin est secondaire voire inutile. C’était le cas pour le SARS-CoV-2 car les biologistes chinois avaient déjà identifié l’effet anti-viral de plusieurs molécules durant les 20 dernières années de recherches sur le SRAS. Alors comme les laboratoires américains étaient sur le point de produire massivement une thérapie génique capable, selon eux, de faire apparaître des anticorps susceptibles de protéger les personnes il était hors de question d’entendre parler d’hydroxychloroquine ni d’Ivermectine quelques mois plus tard.

Ces interdictions de prescription et de vente furent mises en place au cours du printemps 2020 par les décideurs politiques de divers pays occidentaux, lourdement encouragés par les laboratoires pharmaceutiques qui avaient atteint la fin de la phase II d’évaluation de leurs produits à ARNs messagers et ces derniers médicaments bien connus ne seraient réservés qu’à l’armée américaine au cas où les travaux des laboratoires pharmaceutiques failliraient à leur mission. Les laboratoires pharmaceutiques mandatés par le gouvernement américain et l’OMS furent capables de livrer les premières doses de « vaccin » dans le courant de l’automne 2020. Le premier pays de l’OCDE à décider d’une « vaccination » massive de sa population fut Israël en décembre 2020. Une année plus tard on procède maintenant dans ce même pays à une quatrième injection de l’ARNm produit par Pfizer.

Jamais auparavant dans le domaine des vaccins on avait constaté qu’il fallait effectuer trois rappels en moins d’une année pour maintenant une immunisation satisfaisante. C’est un fait nouveau qui à lui seul indique incontestablement que cette thérapie génique n’est pas efficace. Parmi tous les vaccins communément administrés à des enfants en bas âge, aucun d’entre eux ne nécessite de « rappel » avant dix années après la première injection. Pfizer, Moderna et d’autres firmes pharmaceutiques continuent pourtant à vendre massivement un produit inefficace, c’est assez incroyable.

Accordant une confiance aveugle à cette thérapie génique les décideurs politiques, conseillés par des médecins corrompus n’ont pu que constater les faits : cette approche thérapeutique ne conduit qu’à des résultats catastrophiques. Ce fut le cas aux USA avec le triste bilan de plus de 890000 morts à ce jour. La thérapie génique mise au point « à l’arrache » par ces laboratoires partant du principe qu’un ARN messager injecté chez les individus serait capable de « lever » des anticorps dirigés contre la protéine virale favorisant l’attachement du virus, en son absence, préviendrait toute forme d’infection. Cette exigence fut demandée par le gouvernement américain dans l’urgence car le virus était déjà répandu dans le monde entier.

Dès le début de cette opération de « vaccination » mise en place plusieurs mois trop tard, vers la fin de l’année 2020, il s’avéra qu’il ne se passait rien et que l’épidémie progressait avec l’apparition de nouveaux mutants chaque trois semaines en moyenne comme cela a été magistralement démontré par l’IHU de Marseille en France. Tous les virologistes savent que les virus à ARN ont une forte propension à muter et le plan de Fauci et de l’armée américaine ne se déroulait pas du tout comme prévu. Les études réalisées par les laboratoires pharmaceutiques n’avaient été conduits que sur une durée d’à peine plus de 100 jours, autant dire que tous les effets secondaires potentiels ou probables ne pouvaient pas matériellement être détectés. Toujours est-il que ces gigantesques entreprises ont inondé le monde entier avec un produit dangereux, souvent mortel, parce qu’il fallait protéger les populations contre un virus initialement modifié dans un laboratoire à des fins militaires, en prenant bien soin de se décharger de toute responsabilité pénale, bien que le dit produit soit totalement inefficace pour protéger la population.

J’ai visionné la totalité de la table ronde organisée par le Sénateur de Wisconsin Ron Johnson disponible le 25 janvier 2022. Il a invité les plus célèbres pointures de la virologie et de l’infectiologie des Etats-Unis et la longue confrontation entre ces diverses personnalités a mis en évidence que l’ensemble des organismes en charge de la santé des citoyens américains est corrompu par l’industrie pharmaceutique. Tout a été fait pour interdire les traitements précoces. Tout a été organisé pour menacer les rares médecins de haut niveau qui ont osé contrevenir aux injonctions de ces organismes reprises par les gouverneurs et les parlements locaux. Le discours est clair : les décideurs politiques et leurs conseillers médicaux sont des criminels. Il est également criminel de soumettre les enfants à cette thérapie génique ainsi que les femmes enceintes. Et selon le Docteur Pierre Kory tout ça c’est de la corruption criminelle au niveau du CDC, du NIH et de la FDA !

Ce genre de discussion qui eut lieu le 24 janvier de cette année constitue un pas décisif dans la mise au grand jour de cet immense scandale organisé par les laboratoires pharmaceutiques. Des têtes vont tomber, c’est certain, y compris en France et pas seulement aux USA. Les peuples ont le droit de savoir et de demander des comptes … Le lien ci-dessous débute vers 36 minutes. Je suggère vivement à mes lecteurs anglophones de regarder ce « show » captivant :https://rumble.com/vt62y6-covid-19-a-second-opinion.html . Je livrerai demain 27 janvier quelques observations notées lors de cette table ronde qui va avoir de très profonds rebondissements.

Notes. La séquence de l’ARN messager codant pour la protéine spike utilisé pour la mise au point de la thérapie génique supposée protéger les personnes contre l’attaque virale par le SARS-CoV-2 date de 2019. Elle est donc obsolète. Illustration : Dr Robert Malone, inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager, technique mise au point pour soigner certaines maladies orphelines et des cancers incurables par d’autres approches thérapeutiques, biologiste résident du Salk Institute. 

Chronique cinématographique : « Le Hussard sur le Toit »

En 1832, l’année durant laquelle se déroulent les faits figurants dans le roman de Giono paru en 1951, la situation est critique. Une épidémie meurtrière de choléra ravage d’abord la région parisienne puis le sud de la France. En Italie du Nord la présence autrichienne alimente une montée du nationalisme italien qui aboutira bien des années plus tard à l’unification de l’Italie sous l’impulsion décisive de Garibaldi. Le roman de Giono a été adapté magistralement à l’écran par Jean-Paul Rappeneau. Coexistent dans le film trois histoires, l’épidémie de choléra, la longue chevauchée d’un hussard italien qui doit rejoindre son pays avec de l’or collecté auprès des émigrés italiens pour financer la rébellion contre l’Autrichien et enfin une admirable histoire d’amour non-dite et inachevée entre ce hussard et la jeune épouse d’un noble plus âgé qu’elle qui, fuyant le choléra, se retrouve sur la route du hussard italien en fuite vers l’Italie.

Le Colonel de hussards Angelo Pardi est incarné par Olivier Martinez et Madame de Théus par Juliette Binoche. Si Rappeneau a un peu trop insisté sur la gravité de l’épidémie en filmant des cadavres dévorés par des freux, allusion évidente au célébrissime film d’Hitchcock « Les Oiseaux » inspiré d’un roman de Daphné du Maurier, il apparaît cependant une autre histoire d’actualité : l’attitude des individus et des foules confrontés à l’épidémie, la suspicion, la crainte, la délation, les gestes barrière, les confinements ou quarantaines, la peur omniprésente et parfois le désespoir, exactement ce que des peuples européens viennent de vivre avec l’épidémie de coronavirus. Sans oublier la perte de liberté de déplacement étroitement surveillée et appliquée impitoyablement par les dragons, la police de l’époque. Comme Camus dans « La peste » Giono a bien pressenti à quel point l’être humain devient vulnérable quand il a peur car il devient incapable de réfléchir clairement. Angelo Pardi ne craint pas l’épidémie ni la contagion et il réagit à chaque instant sainement. Madame de Théus, subjuguée par la personnalité et l’esprit décisif de ce jeune homme, ne craint pas non plus la contagion bien qu’elle risque de succomber à son tour et n’est sauvée qu’à la dernière minute par le hussard.

À voir ou revoir ce magnifique film d’une actualité brûlante. Illustration capture d’écran (de mauvaise qualité).

France : Blanquer, un gauchiste en embuscade devenu fou

Le Ministre français de la propagande scolaire organisée a dépassé les limites du supportable. Il fallait être vraiment très créatif pour imaginer que l’enseignement de la théorie du genre devait être inscrite dans le cursus des élèves de CM2. Il fallait aussi être vraiment très imaginatif pour considérer que l’enseignement des mathématiques est machiste. Enfin il fallait s’appeler Blanquer pour martyriser les élèves âgés de 4 à 8 ans en les obligeant de porter un masque et de se faire ramoner les fosses nasales tous les deux jours. Cet homme a perdu la tête, il est tout simplement devenu fou.

En réalité ce ministricule suit les injonctions des fonctionnaire ultra-gauchistes et progressistes qui pourrissent l’éducation nationale française depuis les années Mitterand répandant en profondeur une modification progressive des programmes éducatifs dont le but final est d’atteindre une aliénation totale des élèves de l’enseignement primaire puis de l’enseignement secondaire. Résultat : on délivre le diplôme du baccalauréat à des élèves qui savent à peine lire, qui n’ont acquis aucune connaissance historique ou géographique et qui sont incapables d’écrire un texte de dix lignes sans décorer leur prose d’une dizaine de fautes d’orthographe ou de syntaxe. À se demander s’ils n’ont jamais lu un texte d’Hugo ou de Camus, que dis-je, certainement pas.

Et munis d’un diplôme dévalué ces élèves ayant acquis maintenant le statut d’étudiants se condamnent eux-mêmes à un constat terrible : ils sont inutiles pour la société car l’université n’est plus la porte ouverte vers la promotion sociale dont ils rêvaient faussement.

Pire encore Blanquer, dont j’ignore le « pedigree » universitaire, d’ailleurs je m’en moque, a décidé de détruire les derniers hauts lieux de l’enseignement parisien public conduisant vers les écoles prestigieuses d’ingénieurs ainsi qu’en province car quelques autres lycées prestigieux de province sont dans la ligne de mire de ce sombre individu, porte-parole de la mouvance gauchiste des dizaines de milliers de fonctionnaires administratifs du Ministère de l’éducation nationale qui sont pour la plupart tous aussi inutiles les uns que les autres. Les informations parues dans la presse (lien) ne sont pas nouvelles pour votre serviteur. Il existe une sélection dans les deux principaux lycées publics parisiens de haut niveau capables de concurrencer des écoles privées telles que Sainte-Geneviève en ce qui concerne les classes préparatoires aux grandes écoles, tant au niveau de l’entrée en classe de seconde qu’en classe préparatoire. Blanquer a mis fin à ce système car il le considère comme non démocratique et trop élitiste. Le niveau des élèves candidats aux concours d’entrée dans les grandes écoles va donc diminuer avec par conséquent un taux de réussite à l’entrée des grandes école plus faible.

La conséquence concoctée par Blanquer semble ainsi une dévalorisation des deux lycées en question : Louis-le-Grand et Henry IV. Les élèves n’auront alors plus d’autre solution que d’opter pour des écoles privées. Encore faudra-t-il que leurs parents aient les moyens financiers de payer la scolarité de leurs enfants. C’est donc une sorte de raffinement du nivellement par le bas imaginé par Blanquer. Lisez l’article de Jean-Yves Chevalier paru sur le site de Marianne, vous aurez tout compris.

https://www.marianne.net/agora/les-mediologues/affectation-des-lyceens-via-affelnet-parents-si-vous-saviez

Brève chronique canarienne. Ces médecins qui tueraient père et mère pour respecter des lois iniques

« Elle n’en a rien à foutre … » c’est ce que m’a répondu mon seul ami, ici à Santa Cruz de Tenerife, quand il est venu en coup de vent boire une bière chez moi il y a trois jours. Divorcé de la mère de son fils de 17 ans, cet ami, chef cuisiner de son état dans probablement le meilleur restaurant du centre ville, qui s’est fait lui-même à force de travailler très durement, reste tout de même mystérieux pour votre serviteur car il a épousé une femme médecin spécialiste en traumatologie de 20 ans son aîné. Ça me rappelle quelque chose mais je ne m’en souviens plus. Bref, il y a donc deux jours, mon ami m’apprend que sa belle-mère a été infectée par le coronavirus et qu’elle est très malade. Elle a en effet plus de 75 ans et est par conséquent doublement « vaccinée ». Je lui ai tout de suite suggéré de dire à son ex-épouse de se débrouiller pour trouver de l’Ivermectine éventuellement auprès du vétérinaire qui s’occupe de son chien. Je lui ai précisé la posologie : 100 microgrammes par kilo, « fais le calcul » ai-je dit …

Il m’a répondu en regardant le plafond en invoquant je ne sais quelle divinité qu’elle n’en avait rien à foutre de la vie de sa mère.

L’Ivermectine est interdite à la vente et à la prescription en Espagne, comme en France d’ailleurs, et je ne sais plus quel politicien a déclaré que ce produit était réservé à l’usage vétérinaire, donc que les êtres humains ne sont ni des chevaux ni des chiens. Et pourtant des millions de personnes auraient pu être sauvées de la mort si, dès le mois de mai 2020, elles avaient été traitées avec de produit. Non, on l’a réservé pour les chiens, les chats et les chevaux. Qu’une femme, médecin de son état, adopte une attitude aussi révoltante, relève de la justice, mais ce ne sont pas mes affaires …

Aux dernières nouvelles cette vieille dame a été très affaiblie par cet épisode infectieux et elle a été victime d’un malaise vagal dans la rue en compagnie d’un de ses petits-fils. Elle devrait être hospitalisée ce samedi 22 janvier. Bon courage à tous ceux qui dans leur famille comptent un médecin respectant aveuglément les règlementations imposées par les grands laboratoires pharmaceutiques pour qu’ils aient les mains libres afin de vendre leur thérapie génique toxique et mortelle. Une pilule de 100 mg aurait guéri en moins de 48 heures cette vieille personne …

La politique étrangère américaine n’a jamais varié depuis 70 ans

J’ai bien spécifié dans le titre de ce billet 70 ans car la nouvelle histoire de la politique américaine contemporaine devrait en réalité débuter après l’épouvantable débâcle de l’armée américaine qui mit fin à la guerre du Vietnam. Depuis la capitulation du Japon et de l’Allemagne les Etats-Unis ont sévi dans 37 pays dans le monde et provoqué la mort de plus de 20 millions de personnes … Rien n’a en réalité changé depuis que les émigrants, au début de ce processus de transfert de populations de l’Europe anglophone vers l’Amérique du Nord. Ce fut d’abord le massacre systématique des indigènes amérindiens dont il ne reste que quelques communautés parquées dans des « réserves » dont il faut accélérer la disparition à coup de drogues, de pop-corn et d’alcool. La situation est exactement identique en Australie avec les Aborigènes qui sont encouragés dans une surconsommation d’alcool et de nourriture qui ne leur convient pas. J’ai vu des Aborigènes au nord du Queensland qui étaient déjà ivres à 10 heures du matin dans la banlieue de Bundaberg. L’horreur. Et c’est la même situation pour les Inuits qui se gavent aujourd’hui de coca-cola et de nourriture industrielle alors qu’ils ont survécu pendant des milliers d’années en se nourrissant de viande crue de phoque. Les Amérindiens d’Amérique du Nord, les Aborigènes d’Australie et les Inuits sont condamnés, c’est inscrit dans le programme d’épuration ethnique profondément inscrit dans le comportement des anglo-saxons.

Le titre de ce billet devrait en effet englober cette période d’invasion meurtrière de l’Amérique du Nord par des aventuriers sans foi ni loi et c’est toujours la même situation aujourd’hui. Je ne m’étendrai pas sur l’inique esclavagisme nord-américain avec des centaines de milliers de « noirs » traités comme des animaux qui ont sué et sont morts pour constituer d’immenses fortunes toujours existantes. Bref, quand on ose parler de la démocratie américaine, il faudrait se souvenir de ce peuple génocidaire et de ses exactions incessantes sur la scène internationale depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Après la Conférence Yalta la propension génocidaire des anglo-saxons nord-américains a prospéré avec la guerre froide d’une part et le projet dit « Opération Condor » en ce qui concerne le Continent américain dans son entier, c’est-à-dire l’Amérique centrale et l’Amérique du sud, comprenez un territoire habité par des sous-hommes comme les Noirs ou les Amérindiens et des « Chicanos » plus ou moins métissés.

Outre ce programme peu reluisant, la toute puissance américaine a combattu le communisme pendant toute la guerre froide, Corée puis Vietnam, Cuba, Allende au Chili, et encore aujourd’hui le Venezuela. Des épisodes maintenant oubliés comme le renversement du Président Sukarno en 1965 car il était un sympathisant du régime de Moscou, le renversement de Mossadegh en Iran, démocratiquement élu mais également proche de Moscou, bref la liste est longue et les bilans en pertes humaines parfois inimaginables. Puis arrivèrent les « guerres du pétrole » dont par exemple le coup d’Etat organisé en Angola pour nettoyer ce pays des troupes cubaines appelées par le Président de l’époque pour maintenir l’ordre, résultat près de 700000 morts. Inutile de rappeler ici les conflits en Irak et en Syrie qui sentent le pétrole. Les petits pays d’Amérique centrale ont été maintenus dans le giron du politiquement correct car les grandes compagnies fruitières comme Dole ou Chiquita avaient d’immenses intérêts dans ces pays, ce n’étaient des guerres pour le pétrole mais pour les bananes ou les ananas. Pour peu que ces petits pays expriment des velléités de réformes agraire alors c’était toute de suite la guerre.

Après la chute de l’URSS les Américains ont littéralement colonisé l’ensemble des pays de l’ex-pacte de Varsovie. L’article de Popular Resistance relate même le cas de la Hongrie dont la révolte contre l’Union soviétique fut largement encouragée par Radio Free Europe, un organisme de propagande américain qui ne dissimulait même pas son anti-communisme.

Aujourd’hui les USA cherchent un ennemi et n’en reste que deux, la Chine et la Russie. Ce sont deux pays nucléarisés et la situation se complique car tout conflit ne pourra que dégénérer en guerre nucléaire. L’Assemblée Générale de l’ONU est inopérante et encore moins le Conseil de Sécurité. L’humanité toute entière est donc menacée par le pays le plus dangereux du monde, les Etats-Unis d’Amérique.