L’opération spéciale de la Russie dans l’est de l’Ukraine avait pour but de dénazifier et démilitariser l’Ukraine …

Lorsque le Président Vladimir Poutine décida d’intervenir en Ukraine afin de protéger les populations russophones de ce pays, persécutées et humiliées par le pouvoir central ukrainien depuis 2014, ses motivations étaient de dénazifier ce pouvoir et de détruire les infrastructures militaires et l’armée ukrainienne elle-même. Pour le pouvoir en place à Kiev les slaves russes devaient être exterminés selon l’idéologie gouvernementale. Compte tenu du veto incontournable des Américains et des Britanniques, membres du Conseil de sécurité de l’ONU, le Président russe ne jugea par utile de déposer devant l’Assemblée générale de l’ONU les référendums organisés démocratiquement tant en Crimée que dans les deux principaux oblasts de Donetsk et de Lugansk pour accéder à l’indépendance. La Charte des Nations-Unies stipule (Chapitre 1, Article 1, partie 2) que tout peuple a le droit d’être indépendant dans le cadre de cette Charte. La France n’a pas présenté de dossier à l’Assemblée générale de l’ONU après le référendum organisé à Mayotte et le rattachement de ce territoire à la France n’a jamais été reconnu par l’ONU, de même que l’indépendance du Kosovo.

L’intervention spéciale de la Russie dans l’est russophone de l’Ukraine n’est donc pas illégale comme le soulignait Jacques Baud au cours de l’une de ses dernières présentations (https://www.youtube.com/watch?v=25m4QwRiWj0&ab_channel=TheSwissBoxConversation ) puisqu’elle est la conséquence d’une demande d’assistance de la part des deux Républiques autoproclamées russophones mentionnées ci-dessus. Il faut écouter attentivement les propos de Jacques Baud jusqu’à la fin de sa présentation. Les Américains et les Britanniques ne l’ont pas entendu de cette oreille car ils oeuvrent depuis 1990, depuis la chute de l’Union soviétique, pour élargir leur influence vers l’est motivés en cela par leur esprit colonialiste et impérialiste dont ils ne se sont jamais défait depuis le XIXe siècle. Les USA et la Grande-Bretagne sont deux puissances maritimes et la domination des mers est synonyme de domination des terres, donc des pays du monde entier. Toujours « imbibés » de sympathie pour l’idéologie nazie (voir les liens en fin de billet) il est clair qu’une Ukraine ouvertement nazie, célébrant le pire criminel qui ait vécu en Europe après Hitler, leur convenait, il faut relire l’histoire ! Cette idéologie nazie leur convient très bien dans le mesure où elle motive ce désir de domination mondiale. La construction de l’Union européenne par les américains en est un exemple limpide puisque Jean Monnet, agent spécial des services secrets américains et sympathisant nazi (encore une fois il faut relire l’histoire …). Et la présence militaire américaine en Europe sous le faux prétexte de protéger l’Europe des hordes de sauvages slaves a fait de cette Europe un vassal des Etats-Unis toujours dominée par la City et WallStreet pour l’aspect financier et par l’OTAN, le bras armé sur place de ces deux pays belliqueux. Outre la City et WallStreet les USA contrôlent l’ensemble des économies européennes avec le système SWIFT, les cartes Visa et MasterCard, et la Banque des règlements internationaux. Tous les gouvernements des pays de l’UE sont aux ordres, le doigt sur la couture, et quand Washington dit quelque chose, ils ne peuvent pas réagir, ils n’en ont pas le droit. Qui admirait le Général de Gaulle, ce fauteur de trouble dans la sphère anglo-saxonne ? Ses admirateurs n’étaient pas nombreux, Churchill certainement, Nixon aussi et peut-être John Kennedy, un point c’est tout ! De Gaulle a mis l’occupant américain à la porte et a ordonné le développement de l’arme atomique, attitude qui déplut aux américains et également aux anglais devenus membres du club de la mort grâce à l’aide américaine. En toute logique il faudrait ajouter à ce club Israël aidé en ce sens par la France (Guy Mollet), l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.

L’armistice et un traité de paix qui suivront la fin du conflit ukrainien va obliger les « anglo-saxons » (terme qui englobe USA et GB et non l’Allemagne ni les pays scandinaves) à opérer à visage découvert car le monde a changé depuis le début de ce conflit. Appuyée par les BRICS et l’OCS ainsi que par les candidats à être membres de ces organisation, aujourd’hui une quarantaine de pays, la Russie présentera ses exigences qu’elle répète depuis la disparition de Eltsine de la scène politique. « Geler » le conflit comme ce fut le cas pour la Corée sera inacceptable pour Moscou car cette hypothèse que caresse le Secrétaire d’Etat américain est synonyme de présence militaire américaine dans ce qui restera de l’Ukraine. La Roumanie, la Hongrie, la Slovaquie et la Pologne devront participer aux négociations de paix. Ce sera long, tortueux, et il faut espérer que les autres pays européens et les Anglais n’auront pas droit à la parole malgré le fait qu’ils sont de facto cobelligérants dans ce conflit, une honte ! Enfin, mais cela relève encore de la fiction, l’avenir de l’OTAN devra être reconsidéré. Illustration (euro-synergies) et liens :

Que les peuples soumis aux USA s’insurgent !

Il est très intéressant de constater que des sites comme Strategic Culture Foundation ou le blogueur Lucien Pons abordent les racines nazies de l’OTAN, le premier réalisant une revue détaillée concernant la charge de chaque foyer fiscal des pays membres de cette organisation pour financer son fonctionnement et l’autre détaillant l’accession au pouvoir d’anciens éminents membres de l’appareil hitlérien dans les plus hauts postes de responsabilité de l’OTAN. Quel est le but de ces révélations ? Personnellement je ne doute pas une minute qu’il s’agit de préparer l’opinion à la défaite de l’Occident qui sera actée lors de la demande d’armistice du régime – également nazi – de Kiev. Apparemment les soi-disant démocrates qui dirigent les pays de l’Union européenne n’ont plus ni état d’âme ni honte en soutenant un régime qui fut combattu au prix de millions de vies humaines durant la seconde guerre mondiale. Cet état d’âme des dirigeants européens se confond maintenant avec une sympathie pour le nazisme non avoué mais néanmoins présente dans les esprits de tous ces dirigeants. Ils osent aider militairement le régime ukrainien en lui fournissant des armes létales et celles-ci sont utilisées pour tuer sans discernement des civils innocents. Les peuples n’ont jamais été consultés au sujet de cette aide militaire car les gouvernements européens aux ordres de Washington ne peuvent pas réagir : ils bafouent donc leurs constitutions respectives et méprisent leurs peuples.

Il faut considérer que l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique et l’Italie sont depuis 1945 de vulgaires colonies américaines, leurs citoyens ont-ils été consultés au sujet de ce qui est une prolifération nucléaire pourtant interdite par le traité de 1995 (https://www.iaea.org/fr/themes/laiea-et-le-traite-sur-la-non-proliferation-des-armes-nucleaires ). Ces pays abritent sous la contrainte des armes nucléaires américaines. Les USA, qui se targuent d’être les champions de la démocratie et de la liberté des peuples, se comportent en occupants, en colonisateurs, l’exemple du Japon et de la Corée en sont les illustrations évidentes mais les pays européens sont tout aussi asservis que ces deux colonies américaines.

Je suis profondément dégouté par l’attitude agressive des membres de l’Union européenne. La Suisse a foulé aux pieds sa neutralité et la Finlande a suivi le mouvement, c’est non seulement désolant mais très inquiétant. Le traité YYA de 1948 ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Finlandisation ) stipulait que la Finlande devait respecter sa neutralité quels que soient les évènements géopolitique et ce statut protégeait le pays contre toute agression de la part d’autres pays, en particulier l’Union soviétique qui devint ensuite la Fédération de Russie sans que ce traité soit remis en cause. La pression de l’OTAN pour mieux encercler la Russie a fait le reste : le non respect de ce traité. 

Venons-en donc à la participation financière à l’OTAN consentie sous la contrainte des pays membres de cette organisation qui se complait dans les agressions illégales sans que cela ne suscite la moindre protestation des pays donateurs. L’infographie ci-dessous est révélatrice du degré de soumission de chaque pays aux ordres de Washington et plus précisément du complexe militaro-intellectuel américain (selon Pierre Conesa) qui dirige les Etats-Unis. Pour plus de clarté il faut se reporter au site mentionné en fin de billet.

La Norvège et la Finlande partagent des frontières communes avec la Russie. Les citoyens de ces pays sont donc d’importants contributeurs, contributions rapportée aux montants que paient les citoyens et exprimées en dollars. L’Allemagne, de facto occupée par les Américains depuis la fin de la seconde guerre mondiale, n’a jamais été depuis cette date un état souverain et paie sa part sous la contrainte. Cette contrainte américaine l’a obligée à se réarmer et on sait ce que cela signifie pour ses voisins, l’histoire l’a montré de nombreuses fois. Pour la Lituanie et l’Estonie, petits lilliputiens dans la mosaïque otanienne, la contribution est considérable et malgré cet état de fait si l’OTAN décidait d’agresser la Russie ces petits Etats seraient rayés de la carte en quelques heures. Qu’ils alimentent leur haine des Slaves c’est leur problème mais ils ne sont pas conscients des risques qu’ils prennent. Pour le Luxembourg la situation est paradoxale : que craint ce paradis fiscal aussi malsain que le Panama ou les Seychelles ? Il faut mentionner que cette principauté a gelé les avoirs russes déposés dans ses banques, la suite des évènements sera révélatrice de l’attitude du Luxembourg lorsqu’un traité d’armistice sera discuté. Ces avoirs seront-ils restitués dans leur intégralité à la Russie et à ses ressortissants ? Pour la Turquie, depuis la tentative de coup d’Etat organisée par des opposants à Erdogan avec la complicité des Américains, la contribution a été restreinte et le Président turc a procédé à une grande lessive dans les cadres de l’armée turque, complices des américains, en réduisant sa participation au budget de l’OTAN et en obtenant que l’arsenal nucléaire américain soit évacué de l’immense installation militaire américaine d’Incirlik. Enfin la France qui a réintégré l’OTAN, un coup de force de cet ignoble atlantiste que fut et est encore Sarkozy, contribue encore plus que l’Allemagne à ce budget et les Français consentent à alimenter les humeurs belliqueuses du gouvernement français en s’acquittant par foyer fiscal de 867 dollars par an ! Mais le savent-ils ? Il faut enfin se souvenir de l’intervention sans mandat de l’ONU des Américains et de leur alliés otaniens en Yougoslavie qui débuta par une motivation bien organisée des Croates, les pires nazis qui furent durant le dernier conflit mondial avec les terribles exactions des Oustachis. Il faut se souvenir de l’histoire avec son lot d’atrocités. Aujourd’hui les Américains ont établi une immense implantation militaire au Kosovo, la palme de la corruption et des trafics en tous genres. On reconnaît là l’ignominie sympathisante nazie de l’administration américaine …

Dans son blog Lucien Pons décrit les racines nazies non seulement de l’Union européenne mais également de l’OTAN. Il faut lire cet article car il éclaire l’état de pourriture idéologique avancée des Etats-Unis et de l’Europe y compris la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, les restes de l’impérialisme britannique. Aujourd’hui la situation a changé, plus de 60 % de la population mondiale ne supporte plus l’hégémonie anglo-saxonne, les lois d’extraterritorialité américaines et les sanctions prises par les Etats-Unis à l’encontre de pays qui ne veulent que la paix et la tranquillité sans aucun mandat des Nations-Unis. D’ailleurs à quoi sert de « machin » comme le disait si justement De Gaulle.

L’Organisation de Coopération de Shanghai a pour mission de rassembler les pays qui aspirent à la liberté et à la démocratie qu’ils mettent en place comme ils le désirent et selon leur rythme. Ils refusent la tyrannie malsaine et mercantile du dollar par Washington. Les Américains, avec ou sans l’OTAN, ne pourront pas lutter contre ce nouveau club économique, politique et financier disséminé dans le monde entier. Aux pays figurant dans l’illustration ci-dessous il faut ajouter les BRICS, l’Algérie, l’Egypte, l’Arabie saoudite, l’Iran, ainsi que l’Indonésie. Que les Occidentaux ne se méprennent pas : ils ne dominent déjà plus le monde et leur arrogance n’ira qu’en se réduisant au cours des années à venir.

La disparition de la suprématie du dollar qui s’accélérera à l’issue du conflit ukrainien signifiera également la dislocation de l’organisation belliciste et terroriste qu’est l’OTAN. Que les Américains s’occupent de leurs problèmes internes qui sont en eux-mêmes explosifs, le pays étant au bord de la guerre civile et qu’ils laissent le monde en paix … alors qu’il existe des mouvements sécessionnistes au sein même de ce pays. Sans une remise en ordre de la politique intérieure envahie par la corruption et le gouvernement des juges et non plus le respect et l’application des lois l’empire américain s’effondrera sans nul doute et le reste du monde pourra respirer à son aise !

http://lucien-pons.over-blog.com/article-les-racines-nazies-de-l-union-europeenne-de-bruxelles-121606929.html et en complément l’analyse de Caroline Galacteros :https://youtu.be/_K16_lc_yk8

L’Union européenne se nazifie-t-elle ? La réponse est « oui ! »

Trente ans après la chute de l’Union soviétique on assiste en France à la mise en place d’un régime totalitaire. Il s’agit d’une tendance non pas spécifique à la France mais existant dans la grande majorité des pays de l’Union européenne. Cet état de fait a été révélé avec l’intervention pour des raisons humanitaires de la Russie en Ukraine avec l’opération spéciale le 24 février 2022 pour protéger les populations russophones de l’Ukraine-est persécutées par le gouvernement de Kiev et bombardées quotidiennement par l’armée du pays occasionnant depuis 2014 plus de 15000 morts et réduisant la population à l’état de sous-hommes qu’il fallait éliminer. Cette intervention, « opération spéciale » selon la nomenclature russe, entrait donc parfaitement dans le cadre de la doctrine Kouchner d’intervention armée dans un pays souverain pour des raisons humanitaires. Il faut tout de même se souvenir de l’histoire fraichement passée ! L’ingérence humanitaire a été soutenue et adoptée par les Nations-Unies (source Geneva Graduate Institute) :

Après les révélations scandaleuses de Merkel puis de Hollande de ne pas remplir leur devoir dans le cadre des accords de Minsk pour laisser du temps au régime de Kiev de s’armer afin d’exterminer les russophones du Donbass car c’est de dont il s’agissait en réalité, et devant la véritable ligne Maginot construite par l’armée Kiev, qui avait donc du temps devant elle, et l’afflux de troupes à l’ouest de cette ligne de défense révélée par les observations satellitaires, la Russie a décidé, en vertu de ce droit d’ingérence, d’intervenir. Contrairement à ce que ressassent les Occidentaux il n’y a pas eu d’invasion de l’Ukraine ou d’agression caractérisée de la Russie mais d’une mission spéciale conformément au droit d’ingérence humanitaire selon la doctrine Kouchner. Je le répète pour que mes lecteurs s’en persuadent … Les Américains se moquent des décisions de l’ONU et ont considéré que l’intervention de la Russie était illégale, ben voyons ! et ils ont insufflé ce message dans l’esprit de tous les Européens pour les impliquer dans ce conflit.

Il faut néanmoins replacer cette intervention de la Russie dans son contexte. L’Ukraine est un pays totalement corrompu, on peut dire sans s’éloigner de la réalité un pays sans foi ni loi sous la coupe réglée d’oligarques avides et d’ultra-nationalistes manipulés par les services secrets occidentaux dès la chute du mur de Berlin, qui nourrissent une haine anti-russe héritée de l’histoire remontant à l’opération Barbarossa hitlérienne. Cette haine anti-russe date en effet de l’arrivée des Allemands sur le sol ukrainien et la population de l’ouest du pays s’est convertie à l’idéologie nazie anti-slave en général mais également anti-sémite et anti-tsigane. Cette idéologie continue aujourd’hui à littéralement infecter le monde politique de Kiev vénérant l’un des pires criminels de guerre que l’on ait pu imaginer en la personne de Stepan Bandera érigé en héro national par l’actuel président de l’Ukraine. L’Europe semble ignorer l’histoire, semble ignorer le devoir d’une nation à intervenir dans le cadre d’une ingérence humanitaire, semble ignorer le droit des peuples à disposer d’eux mêmes, disposition inscrite dans la Charte de l’ONU, et semble ignorer que des hauts responsables politiques en l’occurence la Chancelière Merkel et le président Hollande ont commis l’un des plus graves crimes, un crime commis contre la paix. Tout cela pour soutenir un régime ouvertement ultra-nationaliste teinté de nazisme. En arrière plan se trouvent les Etats-Unis trop heureux d’entrevoir l’occasion de faire main-basse sur les ressources géologiques de la Russie par Ukraine interposée et éventuellement en cas de victoire de l’OTAN de réussir à démanteler la Russie afin d’en faire une sorte de puzzle de nations faciles à diviser en attisant des idéologies ethniques pour les monter les unes contre les autres afin de mieux régner, ce que les USA font d’ailleurs avec les pays de l’Union européenne.

Donc l’Union européenne est pro-fasciste en soutenant un pays ultra-nationaliste sympathisant du régime nazi hitlérien et de surcroit corrompu. Ce n’est pas un syllogisme que d’affirmer ainsi que l’Europe dérive vers un régime totalitaire teinté de nazisme. À la tête de la Commission européenne se trouve un personnage non élu dont le récent passé de corruption sème quelques doutes dans l’opinion publique mais ce n’est pas un problème car les peuples européens acceptent les yeux fermés les décisions de la Commission qu’il s’agisse des achats extravagants de « vaccins » ou de négation des racines de la situation ukrainienne. Les gouvernements nationaux ne protestent pas, ils sont donc complices et cela se concrétise par l’envoi d’armements létaux à l’Ukraine dans le mépris le plus total des lois supposées régir le fonctionnement de l’Union européenne.

La France a-t-elle soumis aux représentants élus du peuple sa décision de livrer de l’artillerie au régime de Kiev, des canons qui servent à tuer des civils ? Non ! Il y a l’OTAN derrière, le bras armé local des Etats-Unis, et c’est en réalité révélateur de la totale vassalisation de l’Europe sous le joug nord-américain. Il s’agit d’une démonstration anthologique de la servitude volontaire si bien décrite par Estienne de La Boétie dont une rue de Paris porte le nom près de l’Eglise Saint-Augustin pour ceux qui ne connaissent pas cette ville. L’endoctrinement par les médias s’explique donc parfaitement pour dissimuler la dérive guerrière tant des décideurs politiques de la France que d’autres pays de l’Union comme l’Allemagne, les Pays-Bas ou la Pologne.

Il faut ajouter aussi des rappels historiques pour comprendre le présent. Depuis l’arrivée aux commandes de la Russie de Vladimir Poutine le pays à peine sorti des décombres qui restaient de la vente par appartements du patrimoine industriel de l’ex-URSS par Eltsine à des oligarques soutenus par les Etats-Unis, ce véritable homme d’Etat revêtant une stature comparable à celle d’un De Gaulle, a su redresser l’économie de la Russie en utilisant savamment la religion orthodoxe pour souder la population et la rallier à son dessein de rétablir la grandeur de la Russie. Par exemple l’immense tâche de restauration des églises qui tombaient en ruine dans tout le pays jusqu’en Sibérie a remporté le soutien de toute la population privée de sacré depuis l’arrivée des bolchéviques. [Je voudrais glisser ici une incise au sujet d’Eltsine et de l’attitude américaine après l’éviction de Gorbatchev. Les Américains ont cru que l’occasion de s’infiltrer dans l’économie russe leur était offerte en corrompant quelques aventuriers pour prendre le contrôles de pans entiers de l’économie russe mais cette tendance a été arrêtée lorsque Eltsine a disparu dans l’oubli. Il y eut deux autres tentatives pour déstabiliser la Russie, en Géorgie et en Tchétchénie. On sait comment cela s’est terminé. Les récents troubles secouant à nouveau la Géorgie, favorisés par l’attitude proeuropéenne et pro-américaine de la nouvelle présidente Salomé Zourabichvili, francophone, opportuniste, ancienne diplomate française manipulée par la Commission européenne et les Etats-Unis déplait à Moscou qui n’hésitera pas à intervenir à nouveau au cas où la demande d’adhésion de la Géorgie à l’Union européenne se concrétiserait, car qui dit Union européenne dit aussi OTAN].

Revenons à Vladimir Poutine. Aujourd’hui le produit national brut de la Russie, contrairement à ce que la propagande occidentale affirme, se situe à mi-chemin entre l’Inde et le Japon, c’est-à-dire avant l’Allemagne entrée en récession et pourrie par l’idéologie écologiste. Ce calcul se réfère au pouvoir d’achat et tient compte de l’économie informelle qui ne passe pas par les réseaux bancaires. Il existe un exemple bien connu de ce genre de situation. Il s’agit des communautés de Chinois implantées par exemple à Paris ou encore dans de nombreuses villes portuaires dans le monde. Ces communautés pourtant riches vivent à l’intérieur du groupe et ne font appel aux services bancaires que par nécessité comme par exemple les paiements par carte bancaire. Dans les Etats de la Fédération de Russie à majorité musulmane industrialisés et riches les habitants ne font que très peu appel aux banques puisque les banques n’ont pas le droit de prêter avec intérêts.

Pour de nombreux pays en voie de développement ce miracle russe, sous l’impulsion de Vladimir Poutine, les pousse à considérer que cette politique constructive au sens noble du terme qui rejette le wokisme, les LGBT, et la propagande dans les écoles des innovations idéologiques issues des mouvements gauchistes universitaires américains est l’exemple à suivre. La promotion de la religion et la négation de l’idéologie progressiste nord-américaine satisfait une multitude de pays dans le monde y compris les pays musulmans ! D’ailleurs la Fédération de Russie est par définition et nécessité multiconfessionnelle et cet état de fait ne pose pas de problème. Aujourd’hui la Russie est devenue le premier exportateur de céréales du monde. Riche en hydrocarbures la Russie n’a pas privilégié la production agricole en l’orientant comme les Etats-Unis vers les carburants « verts », politique dont les conséquences sont d’affamer des pays incapables de produire des céréales eux-mêmes, c’est un crime contre l’humanité ! Quel commentateur de plateau télé occidental ose en parler ? Personne ne commentera cette attitude inique car, encore une fois les Européens sont les vassaux des USA et sont rongés de surcroit par l’idéologie verte.

L’Europe et la France, naturellement, ont donc adopté une attitude sympathisante à l’égard du régime de Kiev compatible avec une sympathie pour une idéologie néo-nazie contre laquelle des dizaines de millions de vies furent sacrifiées pour la combattre à l’époque de l’Allemagne nazie, curieux retournement de l’histoire. Les censures variées impactant les réseaux sociaux, les émissions vidéo et certains médias non conformistes rappèlent les pires heures sombres du régime nazi allemand et aussi celles tout aussi sombres du régime de Vichy en France. L’Union européenne dirigée par une femme corrompue et la France, je n’en dirai pas plus, est devenue un conglomérat de nations complices d’un régime nazi et par voie de conséquence, les circonstances aidant, ces nations sont devenues elles-mêmes des régimes nazis. C’est tout simplement écoeurant … La « Jungle et le Jardin » de Josep Borrel est bien une preuve du racisme qui ronge les responsables européens et du racisme au nazisme il n’y a qu’un demi-pas à franchir !

Il est enfin terrifiant de constater avec quel engouement les pays européens considèrent les visées totalitaires du Forum économique mondial dirigé par le fils d’un éminent dignitaire germano-suisse qui collabora étroitement avec l’Allemagne nazie via la société suisse Escher Wyss AG de Zürich dans le cadre d’une collaboration indéniable de la Suisse avec le régime hitlérien. Quand c’est arrangeant on oublie l’histoire ! Pourtant le présent s’explique en analysant cette histoire passée. Donc l’Europe occidentale bascule vers un régime politique néo-nazi totalitaire alors qu’au contraire la Russie représente un modèle de traditionalisme qui plait à nombre de pays en développement. En conclusion je suggère à mes lecteurs de lire l’article de Régis de Castelnau paru sur le site « Vu du Droit » :https://www.vududroit.com/2023/03/alliance-chine-russie-loccident-dans-les-machoires-du-piege/

Que signifie le nazisme ?

par Batiushka. Paru le 29 mars 2022

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le pouvoir en Russie n’étaient pas des Russes. Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans une once de remords humain. On ne saurait trop insister. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde soit ignorante et indifférente à cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont aux mains des auteurs de ce crime. » (Alexandre Soljenitsyne)

« L’Occident a gagné le monde non pas par la supériorité de ses idées ou de ses valeurs religieuses (auxquelles peu de membres des autres civilisations se sont convertis), mais plutôt par sa supériorité dans l’application de la violence organisée. Les Occidentaux oublient souvent ce fait, les non-Occidentaux jamais. » (Samuel Phillips Huntington, « Le choc des civilisations », chapitre 2)

Le président ukrainien Zelensky est de race juive, comme l’était d’ailleurs le président Porochenko avant lui. Pourquoi alors le gouvernement fédéral russe appelle-t-il son opération spéciale en Ukraine « dénazification » ? Cela semble contradictoire pour la plupart des esprits occidentaux, où le mot « nazi » ne se rapporte étroitement qu’au génocide anti-juif de l’Allemagne du Troisième Reich (Reich = Empire). En d’autres termes, quelle est la compréhension russe, et d’ailleurs non occidentale, du nazisme ?
Tout d’abord, pour les Russes, comme pour beaucoup d’autres, le nazisme est le credo qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, a organisé avant tout l’holocauste des Slaves (plus de 30 millions de morts), dépassant de loin l’holocauste des juifs (près de 6 millions de morts), ainsi que le génocide d’autres minorités à cette époque. Le nazisme est le programme pour envahir, tuer, violer, piller et asservir. C’est exactement ce que les nazis ont fait en Union soviétique après 1941. Ils ont envahi les territoires des autres, tué les hommes, violé les femmes (puis les ont tuées – un soldat allemand sur deux était un violeur et un meurtrier en URSS), pillé l’art et la culture, et fait de ceux qui restaient des esclaves, les emmenant dans des usines et des camps d’esclaves en Allemagne, où ils travaillaient jusqu’à leur mort comme serfs du Troisième Reich.

Cependant, les nazis, exclus de la colonisation dans le reste du monde, n’ont fait en Europe centrale et orientale, notamment en Russie, que ce que les autres peuples d’Europe occidentale ont fait dans leurs colonies, comme nous le verrons plus loin. En d’autres termes, ce que l’on entend par « nazisme » n’est pas du tout spécifique à ce que les Allemands ont fait pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans ce sens plus large, qui est celui que le gouvernement fédéral russe a à l’esprit aujourd’hui, le nazisme est ce que l’on peut appeler le « suprémacisme occidental », l’idée que les races non occidentales sont des « Untermenschen », des sous-hommes. Par conséquent, comme les « nègres », les « sauvages », les « singes », les « nips », les « gooks », les Russes aussi peuvent être « annulés ».

Cette mentalité trouve ses racines loin dans la barbarie qui a détruit la partie occidentale de l’Empire romain aux quatrième et cinquième siècles de notre ère. Au début, il semblait que les Barbares allaient être christianisés, en particulier aux confins de l’Europe occidentale, en Irlande, en Angleterre, dans la péninsule ibérique et en Italie. Mais dans le noyau géographique central, contrôlé par les Francs, la tentation des barbares de restaurer l’Empire romain païen était trop forte.

Ce renouveau et cette justification de la barbarie sont visibles dans le premier « Reich » (Empire), fondé par le prince germanique Charles le Grand, également connu sous le nom de Charlemagne (747-814). Avant même qu’il ne fonde ce Reich en 800 et ne se nomme lui-même « Empereur », ses forces franques, commandées par Roland, avaient envahi le Pays basque et avaient été vaincues par les Basques encore libres à Ronceveaux en 778 (l’un des mythes fondateurs de la barbarie occidentale), puis en 782 lors du massacre de 4500 Saxons à Verden. En conséquence, ce barbare génocidaire a été appelé « Le Grand » et « Le Père de l’Europe » et a été « béatifié » par le catholicisme romain, la nouvelle religion franque, venue de la Babylone de Rome, que Charlemagne a en fait fondée, en la substituant à l’ancien christianisme orthodoxe, venu de Jérusalem.

Bien que Charlemagne et son Reich se soient rapidement effondrés, ce n’était que le début de la fin. Après lui, les barbares occidentaux ont commencé à rejeter le christianisme. (Voir, The Formation of a Persecuting Society : Power and Deviance in Western Europe, 950-1250 par R. I. Moore, 1987). En effet, au XIe siècle, les barbares, sous la conduite de leurs nouvelles troupes de choc normandes, les SS de l’époque, ont commencé à massacrer et à opprimer les Grecs autochtones dans le sud de l’Italie, puis les musulmans dans la péninsule ibérique et, un peu plus tard, les Mozarabes autochtones chrétiens. Dans le cadre du même processus, en 1066, les SS normands ont envahi l’Angleterre et conquis ce pays, massacrant les indigènes, imposant l’esclavage (« féodalisme ») et le catholicisme romain. De nombreux Anglais se réfugient à Constantinople et dans le sud de la Russie.

Les barbares occidentaux avaient trouvé une justification à leur barbarie, ils n’avaient pas besoin d’essayer de devenir chrétiens, ils pouvaient continuer comme avant, mais sous les nouveaux noms de « catholiques » ou, en langage moderne, de « globalistes ». Après tout, les barbares étaient déjà sauvés, car ils appartenaient désormais à une organisation infaillible, dont le chef détenait pour eux les clés du paradis et qui justifiait toutes sortes de pillages et de meurtres.

Après 1066, l’invasion, le massacre et le pillage du Pays de Galles et de l’Écosse, ainsi que l’imposition de l’esclavage féodal et de la nouvelle « Église » ont rapidement suivi. En 1096, les mêmes barbares occidentaux ont massacré les Juifs en Rhénanie, en route pour massacrer les « Grecs » (= les Chrétiens) et les Musulmans dans leur campagne génocidaire qu’ils ont appelée « la première croisade ». Dans la seconde moitié du XIIe siècle, ces barbares, que l’on appellerait aujourd’hui des nazis, ont poursuivi leurs massacres (« croisades ») au Proche et au Moyen-Orient et ont également envahi l’Irlande entre 1169 et 1172. En 1204, ils massacrent et pillent la capitale chrétienne, la Nouvelle Rome, qu’ils appellent Constantinople.

Au début du XIIIe siècle, les barbares du nord, appelés « Chevaliers teutoniques », ont commencé à envahir, tuer, violer et piller les terres russes. (Voir, Guy Mettan, Russie-Occident, une guerre de mille ans, Genève 2015, en français). Cependant, ce n’est que le début. A la fin du XVe siècle arrive le nazi italien Colomb. En l’espace de 400 ans, ses disciples barbares et primitifs ont massacré environ 100 millions de personnes, qu’ils appelaient les « Indiens », c’est-à-dire les peuples indigènes des Caraïbes (les Espagnols, les Britanniques, les Français et les Hollandais), de l’Amérique du Sud (les Espagnols et les Portugais), de l’Amérique centrale (les Espagnols) et de l’Amérique du Nord (les Britanniques, les Français et les Espagnols). Ils ont volé les vastes territoires américains de deux continents et leurs ressources naturelles, et ont violé, pillé et réduit en esclavage dans des « réserves ».

Cependant, dans le même laps de temps, ils ont fait de même dans une grande partie de l’Afrique (le commerce des esclaves, la guerre des Boers), en Asie, en Inde (voir la « mutinerie des Indes »1, la haie de sel, la famine du Bengale) et en Australasie, en massacrant les Aborigènes, les Maoris, ainsi que les Micronésiens et les Polynésiens. Ce que les nazis ont fait lors de l’holocauste des Slaves (30 millions de morts) en Europe de l’Est, les autres Européens l’avaient déjà fait parmi les peuples indigènes dans le reste du monde, à l’exception des Amériques et de l’Australasie, des Britanniques en Inde, en Chine et en Afrique, des Portugais en Angola et au Mozambique, des Hollandais dans ce qui est aujourd’hui l’Indonésie, des Français en Afrique centrale et du Nord-Ouest et en Asie du Sud-Est, des Belges au Congo, des Allemands en Afrique du Sud-Ouest et plus tard des Italiens en Éthiopie. Tout cela au nom de la « civilisation, de la liberté et de la démocratie ». Pourquoi ne pas planter votre drapeau sur la Lune et la revendiquer ?

Cette barbarie occidentale s’appelait autrefois « le monde libre » (ce n’était pas vraiment ironique…), mais se nomme aujourd’hui « la communauté internationale » (= mafia). Il s’agit du même groupe de pays, totalisant peut-être un milliard de serfs zombifiés, dont les dirigeants se sont octroyés le droit divin de s’asseoir au sommet de la pyramide mondiale des républiques bananières et de racketter et exploiter les autres sous le prétexte du « Globalisme », c’est-à-dire de leur contrôle mondial personnel. Aujourd’hui, ils appellent leur doctrine « laïcité » ; en Russie, elle est appelée « nazisme » ; ailleurs, elle est simplement appelée « exploitation impitoyable ».

Aujourd’hui, à la suite de ce qui se passe en Ukraine, une seule question se pose : Allons-nous directement vers la fin du monde en raison de la corruption globale de cette élite de dirigeants, ou la fin sera-t-elle retardée parce que le monde est sur le point d’être nettoyé de cette élite nazie ?

source : The Saker, traduction : le Saker francophone

Voyez comment les nazis camouflent toujours leurs massacres et leurs guerres avec des noms différents :

Chrétiens anglais = les Anglo-Saxons
Les chrétiens = les Grecs
Le génocide des peuples indigènes et le vol de leurs terres = La découverte du Nouveau Monde
L’invasion franco-britannique de la Russie = La guerre de Crimée
La première guerre de libération des Indiens = la mutinerie des Indes
Le génocide des Chinois par les Britanniques = les guerres de l’opium
Le génocide des colons néerlandais = la guerre des Boers
La Grande Guerre européenne = Première Guerre Mondiale
La guerre euro-américaine = Seconde Guerre Mondiale

Voici le Vrai Régime Nazi Ukrainien mis en place par les USA

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Ce texte est la traduction d’un article du journaliste d’investigation Eric Zuesse paru sur le site The Strategic Culture Foundation. Les addenda entre parenthèses et en caractère italiques sont de mon cru pour une meilleure compréhension des propos de ce texte. Bonne lecture !

L’importance de l’illustration ci-dessus est virtuellement impubliable dans un quelconque média aux USA (et en Europe) parce que ces médias ont pour mission de tromper l’opinion en ce qui concerne les réalités internationales les plus préoccupantes – comme par exemple le fait que les USA ont installé un régime nazi en Ukraine dirigé contre la Russie – et que maintenant les USA mentent en accusant la Russie de faire ce qu’elle a le devoir faire pour se protéger de ce régime nazi qui se trouve à sa porte. Cette photo compte parmi les nombreuses autres qui ont été publiées dans l’excellent article d’Asa Winstanley le 4 Juillet 2018 sur l’ « Electronic Intifada ». Le titre de son article était  » Israël arme les néo-nazis ukrainiens » et il montrait comment Israël soutient le gouvernement raciste-fasciste (ou idéologiquement nazi) de l’Ukraine actuelle (lien en fin de billet). Ce sont des nazis non pas animés d’antisémitisme (comme ce fut le cas du régime nazi hitlérien) mais de russophobie, la vraie raison pour laquelle les USA ont mis en place ce régime.

Israël participe à cette coalition créée par les USA quand ils ont mis en place ce régime à Kiev, manoeuvre décidée par Obama dès 2011, organisée le 1er mars 2013 et finalisée en février 2014 avec le soutien total du Département d’Etat américain et de la CIA en organisant des manifestations massives anti-corruption Place Maiden à Kiev qui furent émaillées de tirs de snipers sans discernements, snipers financés par les USA – bien que ce dernier point n’ait jamais été mentionné par les médias américains (ni européens) – ni comment ils furent recrutés ni comment ils furent financés et ni de qui ils reçurent les ordres de tirer.

Comment maintenant croire les médias (tant US qu’européens) qui cachent toujours de telles réalités avérées au public ? Les sanctions américaines contre la Russie et les exercices de l’OTAN équipée de blindés et de missiles américains le long de la frontière russe sont uniquement basés sur des mensonges qui vont être explicités ci-après.

Pour les médias américains (et européens) le renversement et le remplacement du régime ukrainien démocratiquement élu fut « la révolution de Maiden » ou encore « la révolution ukrainienne de 2014 » mais jamais le « coup d’état organisé par Obama ». Ces médias mentent à l’évidence et jamais plus on ne pourra les croire. C’est ainsi que pour George Friedman, le fondateur et propriétaire de la « private CIA » appelée Stratfor (des mercenaires privés payés par le Pentagone et la CIA qui sévissent en particulier en Afghanistan), Maiden fut le coup d’état le plus flagrant de l’histoire mais seulement quand il tient ses propos à des médias russes car il nie avoir tenu de tels propos quand il est questionné par des médias américains. Les mensonges deviennent ainsi une obligation sémantique pour ces médias.

Le personnage qui se trouve au centre de la photo est Andrei Biletsky ou Beletsky dont le bataillon (qu’il a fondé) est directement financé par les contribuables américains, c’est-à-dire par le gouvernement américain. Il a publiquement déclaré que l’idéologie de ce bataillon et sa propre idéologie est le socialisme, pour lui une négation de la démocratie, le racisme qui l’anime étant dirigé contre les Sémites et les sous-humains qu’ils utilisent et finalement une affirmation de l’impérialisme devant aboutir à la création d’un Troisième Empire ukrainien, un troisième Reich ukrainien, et voici quelques traits de son idéologie directement inspirée d’Hitler mais avec le mot « German » remplacé par le mot « Ukrainian ».

Le Nationalisme Social Ukrainien. Le symbole de son bataillon qui figure sur la photo est le signe inversé du Wolfsangel nazi. L’idée maîtresse du nationalisme social mystique ukrainien est qu’il n’est pas constitué d’individus séparés et mécaniquement unis en entité appelée « ukrainienne » avec un passeport ukrainien mais plutôt un organisme biologique national qui constituera un peuple nouveau, un peuple hautement développé physiquement, intellectuellement et spirituellement. Et il attirera les autres individus pour renforcer la nation. Le nationalisme social se distingue clairement des autres mouvements politiques d’extrême droite car il se base sur un triade fondamentale : le socialisme, le racisme et l’impérialisme.

Socialisme. « Nous combattons pour créer une communauté nationale harmonieuse. Dans son principe le socialisme nie totalement la démocratie et le libéralisme qui engendrent une nation grise « rozbytthya » de second ordre avec des personnalités constituées en « ochlocratie ». Au contraire nous prônons l’idée d’une solidarité nationale, d’une hiérarchie naturelle et d’une discipline, les bases de notre nouvelle société. Inutile de considérer un foule de démocrates qui sont incapables de donner un sens à leur propre destinée et encore moins à l’Etat mais une sélection naturelle des élites de la Nation, de vrais leaders ukrainiens nés en Ukraine ».

Racisme. « Notre nationalisme n’est rien qu’un château de sable s’il n’est pas fondé sur la pureté du sang. Si la spiritualité, la culture et la langue ukrainiennes sont uniques c’est parce que notre nature raciale est unique. Si l’Ukraine doit devenir un paradis sur la Terre c’est parce que notre race le veut. Par conséquent nous devons gérer notre nation en commençant par une épuration raciale. La mission historique de notre nation, un moment décisif de ce siècle, est de mener les peuples blancs du monde vers la croisade finale pour leur survie. Nous devons diriger cette croisade contre les sémites et les sous-humains qu’ils utilisent ».

Impérialisme. « Nous allons changer les appellations « Ukraine indépendante », Ukraine Unie » et Ukrainiens » par une nation impériale qui a une longue histoire. Le devoir de la présente génération est de créer un Troisième Empire, troisième reich ukrainien, une Grande Ukraine. Tous les organismes dans la nature veulent s’étendre, se reproduire et croître en nombre. Cette loi est universelle. La supprimer signifie l’extinction, la mort. La diminution de la croissance de la population signifie la mort biologique de cette nation, l’extinction de son expansion politique et le déclin de l’Etat. Si nous devenons forts, nous prendrons ce qui nous revient de droit et plus encore, nous construirons un empire super-puissant, la Grande Ukraine ».

« Le Nationalisme Social a pour but de protéger toutes les vieilles valeurs aryennes ukrainiennes oubliées dans notre société moderne. Seule leur préservation et leur amélioration par des groupes de combattants fanatiques peut aboutir à la victoire finale de la civilisation européenne dans le combat mondial. Cette prise de position est réaliste et il ne peut en être autrement. Gloire à l’Ukraine ! ». Signé Andrei Beletsky.

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Le régime mis en place et imposé par les USA en Ukraine a déjà perpétré des massacres de masse à l’encontre des Ukrainiens russophones (à l’est de l’Ukraine, majoritairement russophone) et il (Beletsky) insiste sur le fait qu’il faudra finalement tous les tuer. Tout ça est financé par les contribuables tant des USA que d’Israël mais aussi des Pays-Bas, de la Pologne et d’autres alliés des Etats-Unis qui ont contribué à la formation des Bataillons Azov de Beletsky et qui financent aussi le gouvernement de Kiev qu’Obama a installé en 2014. La photo ci-dessus montre l’enseignement de la manipulation du lance-roquettes dans une école où figure sur un mur le portrait d’Hitler. Barack Obama était un libéral mais il était aussi en secret un raciste fasciste russophobe et ce gouvernement ukrainien n’existerait pas aujourd’hui si le gouvernement précédent, démocratiquement élu, non raciste et non fasciste (russophile) n’avait pas été remplacé sur décision d’Obama.

Tant que le parti démocrate américain continuera à soutenir cette décision d’Obama et le gouvernement nazi de Kiev le parti républicain US continuera à être en mesure d’être qualifié lui-même de nazisme, bipartisan – parce qu’il l’est – mais l’unité bipartisane sur une telle situation ne signifie pas du tout qu’elle est politiquement correcte et même pas qu’elle n’est pas tout aussi bien raciste et fasciste, en un mot nazie. C’est pour cette raison que les médias continuent à apporter leur soutien au régime ukrainien au lieu d’en dénoncer les excès : ces médias continuent à mentir.

Les « News » américaines ne cessent de clamer que si Trump condamnait le régime ukrainien actuel il agirait contre les intérêts des USA, il serait donc anti-américain, il ne serait même plus « un » Américain. À de très rares exceptions près les médias américains (et européens) soutiennent le régime de Kiev mis en place par les USA. Le quotiden « The Hill » fut en son temps et pour une fois courageux en imprimant un article exceptionnel intitulé « The Reality of néo-Nazis in Ukraine is far from Kremlin Propaganda » ( lien : thehill.com/opinion/international/359609-the-reality-of-neo-nazis-in-the-ukraine-is-far-from-kremlin-propaganda ) dans lequel il démontre à quel point le système bipartisan américain soutient le régime ukrainien nazi mis en place par Obama, c’est sinistre mais c’est la réalité qui reste cachée par les médias américains (et européens).

Il est donc facile de comprendre pourquoi ce couard de Trump continue à soutenir une telle politique plutôt que de la condamner et c’est aussi pourquoi il est clair qu’il ne veut pas condamner la politique de son prédécesseur qui a « volé » l’Ukraine et ainsi qu’il continue à accuser la Russie d’avoir « volé » la Crimée. Si Trump voulait vraiment dénoncer les mensonges de la presse américaine, alors il faudrait qu’il dénonce d’abord les manigances d’Obama (Prix Nobel de la Paix, je le rappelle à mes lecteurs) dans un discours majeur à la nation américaine illustrée par des documents vidéos montrant l’évidence actuelle de l’Ukraine qui choquerait le pays entier et ouvrirait un réel débat national, débat dont l’aristocratie américaine (entendez le complexe militaro-industriel, le « Deep State ») ne veut pas entendre parler.

Avec de tels médias comment une démocratie peut-elle encore survivre aux Etats-Unis ? Ce pays pourra-t-il éviter une troisième guerre mondiale ? La situation est fondamentalement identique à celle de la tentative de prise de contrôle de la Syrie mais les mensonges de la presse ont été plus aisément démontrés qu’au sujet de l’Ukraine. Le gouvernement américain actuel n’est pas représentatif de son peuple, c’est une réalité. Nous sommes arrivés dans une version non fictive mais historique du roman de George Orwell 1984 et ça se passe sous nos yeux, maintenant …

Article d’Eric Zuesse paru sur le site strategic-culture.org sous le titre : « This the Real, Americanized, Nazi-Dominated Ukraine » le 7 août 2018, illustration strategic-culture.org

Autre lien : https://electronicintifada.net/content/israel-arming-neo-nazis-ukraine/24876 dont je conseille vivement à mes fidèles lecteurs de recommander autour d’eux.

Une première dans le monde « civilisé » ! La suite est inquiétante …

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Dans la partie flamande de la Belgique un enfant a été euthanasié cette semaine. Il se trouvait en phase terminale d’une maladie non précisée et son âge n’a pas été précisé non plus. Mais, semble-t-il, cet enfant était pleinement consentant pour qu’il soit mis fin à ses jours par perfusion d’un produit létal dont la nature n’a pas non plus été précisée.

Il s’agit d’une première mondiale et la Belgique est en avance sur tous les autres pays de l’OCDE en ce qui concerne l’euthanasie qui est maintenant légale pour les enfants depuis 2014. La loi belge indique que si la situation médicale est sans espoir avec des douleurs constantes et insupportables qui ne peuvent pas être traitées médicalement avec une issue fatale certaine l’euthanasie réclamée par l’enfant est légale avec le consentement des parents. Si l’enfant est capable de raisonner sainement devant le corps médical, les parents – qui doivent tout de même donner leur accord – ne peuvent décemment pas s’y opposer.

Fort heureusement et éthiquement parlant il y a actuellement très peu d’enfants dans une telle situation en Belgique …

Ce cas de figure est cependant préoccupant quand on sait que certains politiciens et autres scientifiques fous prônent un contrôle drastique des naissances de par le monde pour « sauver » le climat. Je ne nommerai personne parmi les politiciens (suivez mon regard) mais il est très intéressant de noter que des scientifiques rendent publiques leurs prises de position favorables au contrôle des naissances imposé et à l’euthanasie pour sauver le climat. Il s’agit par exemple de Colin Hickey et Jake Earl de la Georgetown University et de Travis Rieder de la Johns Hopkins University. Pour eux la procréation est dangereuse car plus il y a de monde sur la planète plus il y a de gaz à effet de serre !

L’histoire récente a pourtant montré que l’amélioration du niveau de vie conduisait automatiquement à une réduction du taux de natalité conduisant à un non renouvellement des générations. C’est le cas par exemple en Italie, en Espagne depuis que les femmes enceintes ne reçoivent plus d’allocations (c’est récent) et naturellement au Japon mais aussi en Russie. Or le développement économique est directement lié à la consommation d’énergie, ceci est bien connu aussi, mais les écologistes malthusiens ne veulent pas non plus entendre parler d’une augmentation de la consommation d’énergie.

Quel choix reste-t-il alors ? L’euthanasie, l’avortement, la stérilisation imposée par la loi aux hommes … À l’évidence il y a comme un relent de l’époque de l’idéologie nazie de la fin des années 1930 quand l’euthanasie fut appliquée à grande échelle en Allemagne pour vider les hôpitaux psychiatriques et les hospices de vieillards et débarrasser la population des personnes handicapées. Va-t-on en arriver, au moins dans les pays de l’OCDE, à des incitations fiscales non plus pour favoriser les naissances mais au contraire pour les réduire ? En raison de la « cause climatique » le monde va plonger dans le totalitarisme fiscal mais peut-être bien qu’il va aussi reconsidérer l’idéologie nazie comme un instrument incontournable pour juguler la natalité mondiale.

L’horreur !

Source : adapté de plusieurs articles du site BioEdge