Brève. Nouveau traitement contre les coronavirus ?

J’ai « ramassé » un « moco feroce », en français un très gros rhume. Je ne voulais pas ouvrir l’une des bouteilles de rhum que m’a offert ma fille, le meilleur rhum en provenance de la distillerie Bielle à Marie-Galante. Finalement après deux jours dans un état second, le nez transformé en fontaine intarissable, j’ai décidé de me traiter avec ce rhum dont les propriétés thérapeutiques m’avaient été vantées par le vieux Père Thierry, patron de la distillerie lorsque j’habitais à Marie-Galante. Il me disait : « mon rhum soigne tous les maux mais il ne faut pas en abuser ». Avec ses 59 degrés d’alcool ce breuvage tue tous les virus. Or une rhinite « féroce » comme disent les Espagnols, moco voulant dire littéralement morve, est le plus souvent une maladie bénigne provoquée par un coronavirus plus ou moins cousin de celui qui a rendu les politiciens complètement fous. Je me suis donc résigné à un lavage nasal avec ce rhum. Il faut être vraiment courageux car un tel geste est particulièrement douloureux !

En moins d’une heure le flot de « moco » s’est tari. J’ai pu profiter d’une nuit calme et réparatrice et ce matin 31 décembre tout est revenu dans l’ordre. Pour les Parisiens on trouve ce rhum dans le supermarché situé au terminus de la ligne de métro n°3 Galliéni, un endroit tout à fait surréaliste. Bonne fête de fin d’année, coronavirus ou pas …

A propos de l’échec de la campagne de vaccination

Voici un texte qui m’a été communiqué via un canal privé et dont je dois respecter l’anonymat souhaité par l’auteur, un médecin spécialiste à la retraite. Bonne lecture !­
  1/ Il n’était pas réaliste de penser que le « vaccin » puisse être efficace à 95% longuement. On pouvait tabler en se référant à ce que nous savons concernant la grippe sur 50%, ce qui a été le cas en particulier chez les personnes les plus concernées âgées et immunodéprimées, et dans ce cas parfois 0%. Les expertises effectuées chez des sujets jeunes et en bonne santé ne pouvaient qu’ aboutir à une surévaluation. La mauvaise surprise a été la durée, constatée très faible de la protection, quelques mois tout au plus rendant vaine toute tentative d `éradiquer le virus par une campagne massive de vaccination.
   2/ L’administration d’ARN a pour résultat de faire produire de façon massive une protéine unique et la production d’anticorps qui s’ensuit n’est pas adaptée aux variants. De ce fait la personne vaccinée est moins protégée contre le variant suivant qu’une qui aurait produit des anticorps à spectre plus large suite à une contamination. La vaccination de masse fait que face à chaque variant tout se passe comme si toute la population était naïve.
   3/ La vaccination de masse est en elle-même un facteur favorisant l’apparition des variants ( cf Delfraissy et co. .). Les points 2 et 3 amènent à penser que même si le « vaccin » est susceptible, comme il est dit, de protéger des formes « graves » il pourrait être, d’une part en conférant une protection trop ciblée aux personne injectées, d’autre part en favorisant l’apparition de nouveaux variants à l’origine d’une prolongation de la période épidémique et provoquer ainsi l’effet inverse à celui recherché.
   4/ Il est possible, non démontré, qu’après la vaccination survienne la production d’anticorps dits « facilitants ».
   5/ Dernier point, non le moindre, les effets indésirables. Pour Véran tout va bien mais pendant ce temps les bases de données de la pharmacovigilance se remplissent sans que personne parmi les autorités ne fasse mine de s’en soucier. Une commission parlementaire dédiée à ce problème pourrait être la première approche, non la seule, les citoyens devront s’en mêler. Et ceci signifie qu’il faut de toute façon épargner les enfants. Qui pourrait se remettre de la mort d’un seul enfant par exemple par myocardite ? Et corollaire, l’approche vaccinale par ARN messager n’est pas la bonne.
    P.S. Je ne suis qu’un médecin retraité, néanmoins possesseur de quelques neurones et de quelques titres hospitalo-universitaires. Si les conclusions de mes propos sont personnelles, les bases de réflexion sont issues de l’examen de faits reconnus (source John Hopkins) et de publications référencées (Delfraissy, Lina, Lascola, Gayet…). A partir de là, ceux qui aiment réfléchir réfléchiront.

1) Inefficacité de la vaccination de masse
– IMPORTANT : Intervention du virologue belge Geert Vanden Bossche
– Rappel : exposé de Christian Vélot sur les technologies vaccinales (cet entretien date d’octobre-novembre 2020)
– On ne vaccine pas massivement durant une pandémie avec un vaccin qui ne protège pas de l’infection : c’est ce qu’on apprend en début de première année de médecine, mais visiblement ni Fischer ni Delfraissy ne s’en souviennent.
– La pression vaccinale massive privilégie les variants qui échappe aux anticorps vaccinaux ; pire, ces anticorps peuvent ensuite devenir « facilitants » , comme cela a été le cas pour le vaccin Dengvaxia de Sanofi : des centaines d’enfants philippins sont morts, mais naturellement ce n’est pas grave : dans les années 70, cinquante morts suffisaient pour qu’une AMM soit retirée ; mais Dengvaxia est toujours commercialisé, au nom du soi-disant rapport « bénéfices-risques » naturellement.
– S’obstiner à vouloir immuniser contre un virus qui manifestement ne répond pas à l’immunité acquise, qu’elle soit naturelle ou vaccinale, relève d’une attitude irresponsable. Un des ces irresponsables déclarait récemment : à force de faire des doses de rappel, on finira par développer l’immunité cellulaire. Cela reste à prouver mais en revanche, cela déclenchera des maladies auto-immunes (rappelons ici que la protéine spike est ancrée à une cellule, et le système immunitaire doit alors détruire la cellule en question).

– Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, interpellé par la mise en évidence d’une proportion anormalement élevée de personnes vaccinées contre le sars cov 2 présentant des formes plus graves dans le covid 19 que lors d’une infection virale de personnes non vaccinées, estimait en août 2021 qu’il serait peut-être nécessaire de modifier les vaccins actuels qui présentent un certain nombre d’inconvénients. Toutes les modifications nécessaires seraient trop longues à expliquer ici, mais il pensait notamment qu’il faudrait produire une protéine spike modifiée de sorte qu’elle ne soit pas capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles. Cette modification lui semblait techniquement possible mais il pensait que si les laboratoires ne l’ont pas fait, c’est parce qu’ils sont allés au plus simple, les choses étant déjà assez compliquées comme cela. Voici sa conclusion , incluant les malades présentant des comorbidités :  » Si le phénomène ADE (voire ERD ) existe dans le cas de la vaccination actuelle, il est probable que les rappels vaccinaux (3ème et 4ème dose) augmentent la proportion d’ anticorps facilitants ce qui conduirait à un effet potentiellement opposé à celui que l’on recherche : le remède serait pire que le mal. « 

2) Effets secondaires et toxicité de la protéine spike
– La maladie covid n’est pas une maladie pulmonaire : c’est une maladie de l’inflammation et une maladie du sang ; et sa gravité est liée à la protéine spike qui est cytotoxique. Les vaccins sont donc eux aussi toxiques parce que la protéine spike est toxique. A cet égard, ils ne sont pas vraiment des vaccins au sens classique. Ils procèdent plutôt par mithridatisation : on injecte un poison (ou plutôt on fait produire par les cellules un poison) ; l’immunité associée ne peut être alors que de courte durée 
– Les vaccins ARN et ceux à adénovirus amènent les cellules à produire cette protéine toxique en quantité non contrôlée : en effet, la quantité de protéines spike va beaucoup dépendre du métabolisme des personnes injectées : plus les personnes sont jeunes, plus les cellules sont dynamiques et vont en produire : les personnes âgées souffrent moins d’effets secondaires à court terme ; les myocardites et les autres conséquences graves concernent des personnes jeunes. Mais la quantité de spike dépend aussi énormément du fonctionnement cellulaire de chaque individu. La plupart effets secondaires graves sont très probablement liés à un taux considérablement plus élevé de protéine spike (un rapport cent voire davantage entre deux personnes est tout à fait plausible). 
Les défenseurs du vaccin soutiennent que le taux de protéine Spike dans le sang est très faible : naturellement, puisqu’elle se lie rapidement à un récepteur cellulaire ACE2 qu’elle rencontre. Les protéines spike peuvent provoquer des inflammations et des micro-caillots dans tous les vaisseaux sanguins, car les récepteurs ACE2 sont présents dans toutes les cellules de l’endothelium des artères et des veines. Les rares autopsies réalisées post-mortem montre une présence de spike dans tous les organes (dont notamment les ovaires, le coeur, le foie et les poumons). On rencontre naturellementi aussi une invasion pour le coup massive de spike dans les formes les plus graves de Covid, mais pas dans les formes légères, où les virus sont neutralisés en amont dans la sphère ORL..
– La covid n’est pas une maladie mortelle pour des personnes dont l’immunité n’est pas dégradée : sur les 130000 morts en Italie avec la covid, seuls 3500 sont décédés de la covid sans comorbidité majeure connue. Néanmoins, il ne s’agit en rien d’une maladie anodine, car il faut s’efforcer par tous les moyens possibles d’éviter d’avoir des quantités importantes de protéines spike dans le sang ; en cas de maladie covid symptomatique, de nombreux traitements précoces sont possibles.
– La toxicité de spike conduit notamment à un dérèglement du système immunitaire : non seulement le taux de lymphocytes baisse, mais la proportion des lymphocytes tueurs T CD8 baisse davantage que les lymphocytes CD4 :  ce déséquilibre pose problème ; c’est d’ailleurs un des marqueurs du vieillissement cellulaire.
– Une étude de laboratoire suédoise publiée à la mi-octobre révèle que la protéine spike peut pénétrer dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages subis par l’ADN, compromettant ainsi l’immunité adaptative d’une personne et favorisant peut-être la formation de cellules cancéreuses : « Sur le plan mécaniste, nous avons constaté que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages subis par l’ADN », écrivent-ils. « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike entière ». 
Ces effets ne concernent pas la protéine spike seule : ils sont communs à des milliers de substances comme les pesticides, les perturbateurs endocriniens, et de nombreux médicaments. Mais ici, l’injection répétée directement dans le corps d’un telle substance est littéralement un empoisonnement à petit feu.
–  Les injections, dose après dosebooster après booster, vonr éroder peu à peu mais inexorablement le système immunitaire.
a) Effets secondaires à court terme : le nombre et la gravité sont inédits dans l’histoire de la vaccination
– Peu de personnes pourraient citer le nom d’une connaissance mort de la covid sans comorbidité majeure ; mais la plupart des personnes peuvent témoigner pour eux ou pour leurs proches d’effets secondaires (maux de tête intenses, fièvre)  certes légers, mais inhabituels par leur fréquence pour des vaccins ; beaucoup se sont rassurés en se disant que c’est la preuve que ce sont des vaccins puissants et efficaces ; pour l’efficacité, chacun peut désormais en juger.

– Les témoignages doivent être pris avec précaution, puisque le vaccin n’en est pas nécessairement la cause. Mais il y a une grande partie d’entre eux qui concerne des problèmes liés à des problèmes de coagulation. Par ailleurs, il est avéré la protéine spike est toxique et empoisonne le sang. Faire produire en quantité incontrôlée la protéine spike par nos cellules est une folie. 

– Témoignages (avertissement important : les enfants et les personnes sensibles ne doivent pas regarder)

Témoignages twitter ;  Effets secondaires (*) ;  Projet témoignage  (lancé par des israéliens victimes du produit Pfizer).
Ces témoignages ne sont pas inventés ; on n’est pas sur BFM-TV où des mauvais acteurs de la LREM comme Francis Palombi jouent les malades non-vaccinés repentis. Dans le document (*), on voit aussi une infirmière à qui on a demandé de réciter (en direct sur une chaîne TV) un tissu de mensonges (pour effrayer la population et inciter à vacciner les enfants) et qui ne peut terminer sa phrase et s’effondre en murmurant  :  » Je ne peux pas « .
– Il y a officiellement 30 enfants morts et des centaines d’handicapés à vie sur les 7 millions d’enfants injectés aux USA.
Mais comme en France, il y a moult témoignages de victimes non enregistrées dans le VAERS, car il faut qu’un médecin s’implique dans le dossier, et Dieu sait qu’il est bien difficile aujourd’hui pour eux (et même risqué) de s’opposer à la doxa : « Les vaccins ARNm sont sûrs et efficaces ». En France, les ANSM régionaux reçoivent depuis la campagne vaccinale tant de signalements qu’ils n’ont pas les effectifs suffisants pour les traiter. Et quand on voit les deux directrices de l’ANSM (interrogées ici par des sénateurs), on comprend qu’elles minimisent (sans doute par auto-persuasion : les idiots utiles sont partout). Il y a tant de cas de problèmes menstruels signalés par des jeunes femmes que le déni de l’ANSM lui ôte toute crédibilité. De la même façon on pourrait dire qu’il n’y a aucune corrélation entre l’administration des “vaccins” et la protection contre la covid, tout du moins aucune certitude, puisque c’est ce qu’on répond systématiquement aux victimes d’effets secondaires et aux familles de patients.
Castex n’a aucun scrupule. Devant micros et caméras, il accuse sa pauvre fille de onze ans de l’avoir contaminé. Les enfants ne sont pas fortement contaminants pour la bonne et simple raison qu’is ne sont pas malades. Sinon, d’innombrables clusters seraient apparus dans les écoles : il n’y en a jamais eu. Sa fille n’était pas malade. Elle avait été positive à l’un des délirants tests PCR  : dans 9 cas sur 10, les tests positifs correspondent à la présence d’un résidu de virus complètement inoffensifs captés par le nez dans un courant d’air. Si on appliquait la même méthode aux pollens au printemps, 100% des personnes seraient déclarés allergiques.
Castex et Véran, en vaccinant les enfants, vont causer la mort des dizaines d’enfants en pleine santé et des dizaines d’autres resteront handicapés à vie.
Et une multitude d’enfants vaccinés subiront un affaiblissement inexorable et irréparable de leur système immunitaire.
– Affirmer au début qu’AstraZeneca était à l’origine de thromboses cérébrales était un propos « complotiste », maintenant ce vaccin n’est plus recommandé en raison de ces mêmes effets secondaires de même pour le vaccin Janssen. Quant à Moderna, il est interdit ou d’usage limité dans plusieurs pays scandinaves ; il le sera sans doute en France une fois les stocks écoulés (il en reste entre 5 et 10 millions : les volontaires sont priés de tendre le bras). Les vaccins Pfizer et Moderna sont désormais accompagnés de la mention « Effets secondaires graves » au Japon.
– Véran prétend qu’il n’y a aucun mort lié au vaccin ; l’OMS recense officiellement 40000 morts suspectes post-vaccinales dans le monde (les 3/4 en Europe et aux USA) : on peut interpréter comme on veut ce nombre de décès, mais la répartition très inégale géographiquement devrait à elle seule interpeller. Véran parle de « myocardite réversible » : Une myocardite grave laisse des cicatrices cardiaques qui diminueront l’espérance de vie. Selon la doxa officielle (cf par exemple Steve Pascolo), la protéine spike resterait principalement dans le muscle de l’épaule. Néanmoins, après une période de déni, il est désormais reconnu officiellement que des cas de myocardites sont causés par le vaccin : en réalité, la protéine se retrouve partout dans le corps.

b) Effets secondaires à moyen et long terme

– Tout le monde a entendu parler des « rares » cas de myocardites chez les jeunes hommes notamment. Contrairement à ce que Véran prétend, il n’y a pas de myocardite grave « réversible » et leur nombre doit être comparé à ceux des années précédentes. De plus, ces problèmes cardiaques ne concerneront pas que quelques personnes isolées. Une étude de l’AHA qui suit des patients présentant des risques cardiaques a pu comparé les marqueurs de risques cardio-vasculaires avant et après la vaccination par ARNm. Sur la population de l’étude certes à la fois de santé fragile et limitée en nombre , ils ont noté une augmentation de 20% des marqueurs d’un risque d’infarctus de myocarde dans les cinq prochaines années.
– Il y a l’appel de Robert Malone, (pionnier dans la technique de l’ARNm à la fin des années 80) le 12 décembre dernier, 
pour supplier les parents de ne pas vacciner leurs enfants, ainsi que la Déclaration de Rome du collectif de 15000 médecins. 
La réponse des « fast-checkers » : ils évoquent l’Agence Européenne du Médicament : il suffit de savoir comment la VRP de Pfizer Ursula Van der Layen a forcé la main de l’EMA pour l’autorisation de mise sur le marché du Comirnaty et comment l’EMA a facilement cédé, pour n’accorder aucun crédit à cette agence. 
La protéine spike inoffensive ? Les études récentes contredident complètement cette hypothèse ; non seulement, la protéine pourrait pénétrer dans le noyau cellulaire et perturber les fonctions réparatrices de l’ADN mais elle pourrait aussi conduire à une reprogrammation de l’immunité innée. Ce problème concerne aussi les formes graves de covid : le point essentiel est d’éviter au maximum la présence de la protéine spike. Un système immunitaire solide pourra peut-être rétablir son équilibre, mais une succession d’injections conduirait à une destruction inexorable du système immunitaire, sans parler du développement de maladies auto-immunes notamment chez les enfants.
Robert Malone, par son appel, a d’ores et déjà sauvé des dizaines de vies d’enfants aux USA et en Israel, et sans doute des centaines pour les futures années ; aujourd’hui, la moitié de la population israélienne (à confirmer) a refusé la troisième dose (et celles qui vont suivre) et préfèrent se priver du fameux passeport vert plutôt que de risquer leur santé.
– Les anticorps vaccinaux ne protègent de la protéine Spike que sur une durée limitée; en effet, les vaccins induisent un taux très élevé d’anticorps, mais des anticorps très spécialisés. Le système immunitaire est un équilibre subtil qui lui permet de combattre les agents extérieurs (le non-soi) sans détruire les propres cellules de l’organisme (le soi). Les anticorps induits par les vaccins Pfizer-Moderna ont pour fonction de détruire les cellules présentant à leur surface une protéine Spike ; le niveau de ces anticorps n’est pas viable à long terme et le système immunitaire va créer une seconde génération d’anticorps (dits anti-idiotypes) qui vont neutraliser les anticorps initiaux : c’est pourquoi ce taux s’effondre rapidement ; le problème (cf article mentionné) vient du fait que ces anticorps anti-idiotypes vont avoir des propriétés communes avec la protéine Spike (un anticorps doit présenter une configuration géométrique complémentaire de l’antigène ; un anticorps anti-idiotype va donc avoir une configuration géométrique proche de la configuration de l’antigène, comme l’image miroir d’une image miroir) ; il est possible que ces anticorps anti-idiotypes héritent de certaines des propriétés des protéines Spike, et ainsi prolongent leurs effets délétères de nombreux mois après l’injection. Ce qui pourrait en tout cas être une hypothèse pour expliquer certains covids longs d’une part et des effets secondaires post-vaccinaux tardifs d’autre part.

– Pour nous convaincre des prouesses de l’innovation, on nous a présenté à l’automne 2020 des petits schémas simplets diffusés largement pour expliquer le principe de l’ARNm. Mais le système cellulaire est bien plus complexe qu’un simple programme informatique qu’on fait éxecuter à un ordinateur.
Une injection Pfizer apporte dans un muscle de l’épaule plusieurs milliers de milliards de brins ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques. Une partie seulement environ va rester dans le muscle de l’épaule et le reste est collecté par le système lymphatique. Seule une infime fraction de ces brins va arriver au ribosome d’une cellule qui va alors produire quelques centaines de protéines spike (pour comparaison, un vaccin à virus inactivé comme Sinopharm contient seulement quelques millions de virus inactivés, chacun de ces virus ayant à sa surface une centaine de protéines spike). Dans le cas du vaccin Pfizer, la fraction de ces brins qui va arriver au ribosome d’une cellule va beaucoup varier d’une personne à une autre, et donc il en de même de la quantité de protéines spike produite : c’est un vrai problème de cette technologie (dans le cas des vaccins à virus inactivés, la quantité est fixe). Reste à espérer (c’est ce qu’assure Pfizer …) que dans la plupart des cas, la quantité de protéines spike produite reste relativement faible.

3) Risque d’ADE

– Les protéines spike des précédentes injections restent en partie présentes dans le corps, diminuant d’autant l’efficacité du système immunitaire.
Si vous ajoutez une nouvelle injection, les quantités de spike vont se cumuler.
– Les anticorps que produira le corps suite à l’injection correspondront à nouveau évidemment à la spike du vaccin, qui correspond à la spike de la souche initiale du virus (Wuhan), mais pas à celle des nouveaux virus :  les coronavirus auront toujours une longueur d’avance.
Un vaccin contre un coronavirus ne peut être efficace que quelques mois, et vacciner avec un vaccin démodé est à la fois inutile et dangereux.
– En effet, le variant delta était apparu en octobre 2020 en Inde avant les campagnes massives de vaccination ; mais le variant omicron est le premier varian échappant à la pression vaccinale, et il en sera de même de même de tous ceux qui vont suivre. Dans ce cas, la vaccination n’a au mieux aucun effet, puisque les anticorps de la spike de l’injection ne peuvent plus neutraliser le nouveau virus. Ils ne sont plus neutralisants.
Mais il y a un léger risque d’ADE, c’est-à-dire que les anticorps produits lors des précédentes injections facilitent l’infection par le nouveau variant.
Autrement dit, les anticorps de spike vaccinale non seulement ne sont plus neutralisants, mais ils peuvent s’avérer facilitants.
Les anticorps induits par le vaccin vont quand même pouvoir s’arrimer à une partie de la spike du nouveau virus ; mais ils ne recouvriront pas suffisamment la spike du virus et celui-ci disposera encore d’une clé libre permettant d’infecter les cellules.Sauf virus particulièrement virulents, les anticorps naturels qui sont très variés peuvent effectivement facilement bloquer les différentes clés du nouveau virus ;mais ici, la présence des anticorps vaccinaux arrimés aux spike du virus peut les empêcher de s’approcher du virus. Alors une infection qui aurait été bénigne peut être aggravée, comme si on avait perdu une partie de ses défenses immunitaires. Et si un nouveau virus émerge qui est nettement plus virulent qu’omicron, ce peut être un vrai problème. Le risque d’ADE ne semble pas un risque majeur pour les coronavirus. Mais il convient sans doute d’être très prudent.
En termes de vaccin, il faudrait soit utiliser une vaccination à virus entiers inactivés (les anticorps créés sont beaucoup plus variés, notamment, certains ciblent la protéine N du virus, qui mute beaucoup moins vite que la spike S), soit un vaccin ARNm, mais à deux conditions essentielles : d’une part, il doit correspondre au code ARN de la spike des nouveaux virus ; d’autre part, il doit faire produire une spike modifiée de sorte qu’elle ne soit plus capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles, comme l’explique Jean-Marc Sabatier (cf paragraphe 1) afin d’éviter les effets délétères de la spike. En fait, le principe même des vaccins ARNm pose problème, de par la quantité incontrôlée de protéines fabriquées.
Comme le risque d’un ADE délétère ne peut pas être négligé (tout en étant semble-t-il limité), il est absurde de continuer la vaccination de masse pour la troisiéme dose (et les suivantes) tant que le vaccin proposé est celui construit sur la souche initiale du virus. 

4) Vaccin

La folie vaccinale en cours n’est finalement que le stade ultime de l’empoisonnement du monde qu’on subit depuis les années soixante.
Quel vaccin choisir demain ?
Eviter absolument toute nouvelle injection de Pfizer ou Moderna qui ne sont plus efficaces en terme d’immunité mais surtout empoisonnent le sang (micro-caillots) et de nombreux organes vitaux (à des niveaux très différents selon les individus).
De plus, après la vaccination, le niveau d’anticorps N concernant la protéine de l’enveloppe du virus est trop faible par rapport à celui de des anticorps S associée à la spike : cf UK Health Security Agency page 23, ce qui peut engendrer de graves problèmes dans la réponse immunitaire car la protéine S est beaucoup plus susceptible de muter que la protéine N.
De façon générale, il vaut mieux avoir une protection équilibrée N et S ; c’est pourquoi le vaccin Valneva convient tout à fait (mise sur le marché prévue en avril 2022), qui est basé sur le principe classique des vaccins à virus inactivés qui ne présente aucun risque (sauf le petit risque lié à l’adjuvant). Dans le cas d’une vaccination par le vaccin Valneva comme dans celui d’une infection naturelle, les taux d’anticorps N et S sont équilibrés, et comme la protéine N mute beaucoup moins que la S, la durée d’efficacité du vaccin sera nettement augmentée.
5) Mise en garde sur les grands risques en cours
Je sais bien que beaucoup ne seront pas encore convaincus, peut-être par principe. Je veux bien débattre avec ceux qui voudraient sur le seul sujet dont il question ici : le vaccin Comirnaty de Pfizer est-t-il dangereux ? L’Agence Européenne du Médicament a été forcée par Mme Van der Layen à abréger l’étude du dossier. Est-ce raisonnable pour un médicament de façon générale, et a fortiori pour un vaccin qui sera administré à des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants en bonne santé ?

Il s’agit alors de répondre aux questions suivantes :
1) La protéine spike est-elle intrinsèquement toxique ? je parle de la protéine en géométrie ouverte codée par l’ARNm ; c’est d’ailleurs cette configuration ouverte qui lui permet de se fixer sur un récepteur ACE2 (dans le cas de la spike virale, la configuration n’est ouverte que lorsque la protéine se trouve à la surface d’un virus). Des études récentes sur le sujet vont toutes dans le sens d’une grande cytotoxicité. Peu à peu, la protéine altère le système immunitaire : qui demain, pour une douleur au foie, pour une pneumonie, pour un AVC, pour une crise cardiaque fera le lien avec l’empoisonnement qu’il aura conscienceusement reçu à coup de doses successives de ce « vaccin » qui auront fini par détruire son système immunitaire ?
2) La quantité de spike produite est-elle contrôlée ? Potentiellement, avec les mille milliards de brins d’ARNm injectés, on pourrait créer plus de protéines spike que de cellules … ; en fait, seule une partie infime de ces brins d’ARNm rejoindront le ribosome d’une cellule ; cette quantité va dépendre du fonctionnement cellulaire de chaque individu, et il convient de bien comprendre que ce n’est pas absolument pas ce qui se passe lorsqu’un virus se reproduit dans une cellule : fruit de millions d’années d’évolution, les ARNm sont produits en nombre limité et sont guidés par des enzymes spécialisées vers le ribosome ; dans le cas du vaccin Pfizer, il y a un véritable bombardement général de brins d’ARNm qui se déploient partout :  il est évident que le nombre de brins arrivant à destination peut varier considérablement d’un individu à l’autre ; et quid des autres ? Ugur Sahin (de BioNtech) raconte qu’il a conçu le principe du vaccin en un week-end : il convient de réfléchir un peu plus quand on s’apprête à diffuser son produit en milliards de doses.
3)  Les conditions de fabrication industrielle posent aussi question : l’UE impose qu’il y ait au moins 50% de brins conformes. Même si ce taux est vérifié, qui accepterait d’acheter un panier de pommes dont la moitié sont anormales ?
4) Un argument recevable serait de dire : entre la protéine du vaccin et celle du virus, je préfère celle du vaccin, puisque le virus peut se reproduire à l’infini ; c’est vrai, mais il y a une différence : la protéine spike du vaccin est directement versée dans le sang ; le virus lui commence à infecter les muqueuses de la sphère ORL : cette sphère ORL constitue une barrière dont il faut absolument profiter (car on évite ainsi le passage de la protéine spike dans la circulation sanguine) en renforçant son système immunitaire de différentes façons. Les vaccinés par Pfizer sont amenés à développer uniquement des anticorps S (spike)  en nombre très élevé, mais cela est en réalité problématique, car cela se fait au détriment des anticorps N qui sont essentiels lorsque la protéine S mutera (et elle mute beaucoup plus facilement que la protéine N) ; et au détriment aussi des anticorps présents dans les muqueuses qui constituent une première barrière essentielle pour maîtriser l’infection. Je ne sais pas si vous avez bien entendu ce que dit le virologue belge Geert Vanden Bossche : omicron est « la dernière chance des vaccinés » ; encore faudrait-il immédiatement 
– stopper les campagnes de vaccination
– supprimer les gestes barrières pour que les personnes vaccinées saisissent cette chance de pouvoir consolider leur immunité naturelle par cette infection bénigne par l’omicron
 (mais même avec omicron, on voit des infections assez sérieuses  témoignant de systèmes immunitaires affaiblis) : les anticorps associés à la vaccination n’ont plus d’effet sur les nouveaux variants comme omicron ; c’est pouquoi il est contre-productif de vacciner aujourd’hui avec la souche initiale car les anticorps produits ne servent à rien contre ces variants ; bien au contraire, ils induisent un affaiblissement des autres anticorps qui seront utiles demain pour affronter un nouveau virus agressif : vacciner et ne pas favoriser l’infection par omicron qui induirait une réponse de l’immunité naturelle est totalement absurde.
– faire étudier aux biologistes des centres antipoison et de toxicovigilance et de l’ANSM cette protéine spike afin qu’ils en vérifient la nocivité et qui, si la cytoxicité se confirmait, proposent à toutes les personnes vaccinées et notamment aux plus jeunes des cures de désintoxication.
Au lieu de profiter de la toxicité moindre de la spike d’omicron (lors des infections naturelles), les millions de doses de vaccin injectées jour après jour empoisonnent le sang par la protéine spike correspondant à la souche originelle de Wuhan.

Mais nous avons au pouvoir des fous criminels, qui nous annoncent que désormais on ne pourra pas manger de chips au cinéma …
 Je ne sais pas si vous saisissez bien la gravité de la situation politique et sanitaire.
Le problème, c’est que nous ne sommes plus dans la science, nous sommes dans le fanatisme et l’idéologie
l’idéologie et la corruption, permettant de présenter comme « innovant, sûr et efficace » un produit bâclé fruit d’une technologie jamais testée à grande échelle et ainsi d’inoculer à des centaines de millions de personnes des doses répétées d’une substance toxique dont les effets sont en grande partie inconnus. Il faut donc rapidement évaluer les quantités de spike restant dans le corps des personnes vaccinées et le degré de toxicité de cette protéine.

La Chine et la Russie accélèrent leur « dédollarisation »

La Chine et la Russie s’orientent progressivement vers un arrangement pour atteindre une dédollarisation de leurs économies depuis que la crise financière mondiale de 2008 a révélé les risques d’une dépendance excessive à l’égard des États-Unis. Cependant, les sanctions économiques américaines contre Moscou et Pékin semblent avoir intensifié la recherche d’alternatives.

Miser sur Washington

L’architecture financière centrée sur l’Amérique est une immense source de pouvoir. La plupart des échanges internationaux sont effectués en dollars américains, le transfert des paiements passe par le système de transaction SWIFT* (voir notes en fin d’article) sur lequel le pays a une immense influence, tandis que le financement provient des banques d’investissement dirigées par les États-Unis, la dette est classée par les agences de notation américaines et même les principales cartes de crédit sont américaines. Ces instruments économiques de pouvoir permettent à Washington de gérer son empire – il peut gérer d’énormes déficits commerciaux, collecter des données sur ses adversaires, accorder un traitement favorable à ses alliés et écraser ses adversaires avec des sanctions.

L’architecture financière centrée sur les États-Unis n’est plus viable. La Maison Blanche a perdu le contrôle de son déséquilibre commercial négatif, la dette devient incontrôlable et l’inflation galopante détruit la monnaie. Pire encore, Washington utilise son architecture financière comme un outil de politique étrangère en imposant des sanctions à ses adversaires. La stratégie de sécurité américaine confirme que la Chine et la Russie sont les deux principaux États dans le collimateur de Washington, ce qui oblige Moscou et Pékin à établir une architecture financière alternative découplée des États-Unis.

Dédollarisation

La dédollarisation, la réduction de la dépendance au dollar américain comme monnaie de réserve et de transaction, est un défi immense car le rôle dominant du dollar américain définit le système financier international depuis plus de 75 ans. Le dollar a maintenu sa position forte pour trois raisons principales : la taille énorme de l’économie américaine, la préservation de la valeur du dollar en maintenant l’inflation à un niveau bas et le marché financier ouvert et liquide. Alors que l’économie américaine est en déclin relatif, l’inflation est incontrôlable et ses marchés financiers sont utilisés comme une arme – les fondements du rôle durable du dollar touchent rapidement à leur fin.

Un partenariat financier entre la Chine et la Russie, premier importateur mondial d’énergie et premier exportateur mondial d’énergie, est un instrument indispensable pour détrôner le pétrodollar. En 2015, environ 90 % des échanges entre la Russie et la Chine étaient réglés en dollars, et en 2020, les échanges libellés en dollars entre les deux géants eurasiens avaient presque diminué de moitié, avec seulement 46 % des échanges en dollars. La Russie a également ouvert la voie en réduisant la part du dollar américain dans ses réserves de change. Les mécanismes de dédollarisation du commerce sino-russe sont également utilisés pour mettre fin à l’utilisation du billet vert avec des tiers, des progrès étant observés dans des pays tels que l’Amérique latine, la Turquie, l’Iran, l’Inde, etc. Les États-Unis ont injecté des dollars. au monde entier pendant des décennies, et à un moment donné, la marée changera à mesure que la mer de dollars rentrera chez elle avec une valeur de plus en plus diminuée.

Opérations financières

Le système SWIFT pour les transactions financières entre les banques du monde entier était auparavant le seul système pour les paiements internationaux. Ce rôle central de SWIFT a commencé à s’éroder lorsque les États-Unis l’ont utilisé comme arme politique. Les Américains ont d’abord expulsé l’Iran et la Corée du Nord, et en 2014, Washington a commencé à menacer d’expulser également la Russie du système. Au cours des dernières semaines, la menace d’utiliser SWIFT comme arme contre la Russie s’est intensifiée.

La Chine a répondu en créant le CIPS** et la Russie a développé le SPFS***, les deux étant des alternatives à SWIFT. Même plusieurs autres pays européens se sont regroupés avec une alternative à SWIFT pour limiter la juridiction extraterritoriale de Washington et ainsi continuer à commercer avec l’Iran. Une nouvelle architecture financière sino-russe devrait intégrer le CIPS et le SPFS, et les rendre plus accessibles aux tiers. Si les États-Unis expulsaient la Russie, le découplage de SWIFT s’intensifierait encore.

Banques de développement

Le FMI, la Banque mondiale et la Banque asiatique de développement, dirigés par les États-Unis, sont des instruments renommés de la politique économique américaine. Le lancement de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (AIIB) dirigée par la Chine en 2015 est devenu un tournant dans l’architecture financière mondiale, alors que tous les principaux alliés des États-Unis (à l’exception du Japon) se sont engagés au mépris des avertissements américains. La nouvelle banque de développement, anciennement appelée banque de développement des BRICS, était une étape supplémentaire vers le découplage des banques de développement dirigées par les États-Unis. La Banque eurasienne de développement et la future Banque de développement SCO**** sont davantage des clous dans le cercueil des banques de développement contrôlées par les États-Unis.

Effets de synergie

La Chine et la Russie ont également développé leurs propres agences de notation et remplacé la position dominante de Visa et Mastercard dans leurs pays respectifs. Cette nouvelle architecture financière est complétée par un partenariat énergétique et un partenariat technologique, car ni la Chine ni la Russie ne veulent dépendre des industries de haute technologie américaines alors qu’elles entrent dans la quatrième révolution industrielle. En outre, la Chine et la Russie cherchent à éviter les couloirs de transport dominés par les États-Unis. La Chine a investi des milliards de dollars dans son initiative « la Ceinture et la Route » pour de nouveaux corridors terrestres et maritimes, tandis que la Russie a avancé un programme similaire mais plus modeste qui comprend le développement de l’Arctique en tant que route maritime en partenariat avec la Chine. Le financement et la gestion de ces programmes de haute technologie et corridors de transport auront des effets de synergie positifs pour la poursuite du développement d’une nouvelle architecture financière internationale.

Les États-Unis peuvent utiliser davantage de sanctions pour s’opposer au développement d’une architecture financière internationale multipolaire, bien que la coercition économique continue ne fera qu’augmenter la demande de découplage avec l’Amérique. La première règle des sanctions est que lorsqu’elles perdurent, les cibles des sanctions apprendront à vivre sans la puissance belligérante. Ce qui a commencé comme un effort pour affaiblir et isoler les adversaires de Washington finit par isoler les États-Unis.

Article de Glenn Diesen, Professeur à l’Université de la Norvège-Sud-Est

Notes. SWIFT : Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication, comprend plus de 3000 employés et utilise un système informatique en perpétuelle amélioration pour être capable de gérer plus de 40 millions de transactions financières chaque jour entre environ 11000 établissements financiers et bancaires. Cette entreprise est étroitement contrôlée par les Etats-Unis. CIPS : Cross-Border Inter-Bank Payments System est un organisme de gestion de transactions bancaires situé à Shanghaï censé gérer les transactions libellées en yuans. Malgré sa création en 2015 cet organisme n’a pas encore atteint sa maturité. SPFS, littéralement Système pour le Transfert de Messages Financiers, créé par la Banque Centrale de Russie gère les transactions de plus de 400 « clients » dans le monde. Ces deux systèmes utilisent la même syntaxe que SWIFT. SCO : Shanghai Cooperation Organisation, pendant de la Banque Mondiale, couvre les 3 cinquièmes de la zone asiatique et 40 % de la population mondiale. Il faut enfin rappeler qu’il existe des accords de « swap » entre la Chine et le Japon ainsi qu’entre la Corée et la Chine.

Et que je « vaccine », et que je « vaccine » …

Une nouvelle fois la preuve est faite que les Français sont gouvernés par des imbéciles conseillés paraît-il par d’éminents spécialistes des maladies infectieuses, des médecins au rabais corrompus par le lobby pharmaceutique, et le résultat est là : bientôt les « non-vaccinés » porteront une étoile jaune sur leur veste et s’ils se dissimulent ils seront dûment dénoncés par les bien-pensants, les esclaves du pouvoir. Le pays a remonté le temps et 80 années ont été parcourues dans le sens inverse de ce temps. Les effets de cette « vaccination » élargie et obligatoire ne vont pas tarder à apparaître mais il sera trop tard, malheureusement.

Deux médecins allemands, les Docteurs Bhakdi et Burkhardt, spécialisés en immunologie et en pathologie, ont examiné 15 personnes décédées à la suite de l’administration de l’ARN messager codant pour la protéine de la spicule du SARS-CoV-2 appelée Spike-1. L’âge de ces personnes s’étalait de 28 à 95 ans et toutes sont décédées entre 7 jours et six mois après l’administration du « vaccin ». Les autopsies ont invariablement montré une accumulation de lymphocytes T en réponse à des effets secondaires inflammatoires provoqués par la protéine Spike car ils ont été leurrés par cette protéine étrangère. Si le virus lui-même se localise en premier lieu au niveau de l’épithélium des voies respiratoires et induit alors la production d’immunoglobulines A (IgA) protectrices par les lymphocytes en contact avec le virus l’injection d’ARN messager va favoriser la production par les propres cellules du patient de quantités massives de protéine Spike qui est retrouvée, après autopsie, dans l’ensemble du corps et dans tous les organes vitaux. La présence de cette protéine était supposée induire celle d’immunoglobulines protectrices telles que les IgA mais ce n’est pas le cas, ce sont essentiellement des immunoglobulines G (IgG) circulant alors dans le sang.

Dès que ces IgG se trouvent en contact avec une molécule Spike, car toutes n’ont pas été neutralisées, et de très loin, alors un mécanisme d’inflammation se développe et ceci peut apparaître n’importe où dans le corps. L’une des situations fatales est une péricardite qui provoque la mort de sujets jeunes. Jamais aucune reconnaissance de la relation de cause à effet entre ces administrations d’ARN messager appelé à tort vaccin n’a été admise par les autorités sanitaires de l’ensemble des pays occidentaux. L’évidence continue à être niée car tous ces décideurs politiques sont soumis à la dictature du lobby pharmaceutique qui impose ses produits mortels en dépit des évidences apportées à la suite d’autopsies et d’études détaillées par approche immunologique et anatomo-pathologique. Les Docteurs Bhakdi et Burkhardt ont été interdits de publication. Les éditeurs des revues scientifiques médicales ont probablement subi la pression du lobby pharmaceutique dans le but de refuser la publication de ces travaux.

Ce sont en effet des résultats explosifs car ils prouvent deux faits. D’abord l’injection d’ARN messager ne peut pas protéger contre une infection par le virus puisque cette thérapie génique n’induit pas la production d’IgA, il n’y a donc pas de défense immunitaire en « première ligne », c’est-à-dire au niveau de l’épithélium des voies respiratoires. Le vaccin contre la coqueluche induit justement ce type de protection et c’est la raison pour laquelle il est hautement efficace. D’autre part cette thérapie génique provoque des mécanismes d’inflammation destructeurs et souvent mortels pour les deux raisons évoquées plus haut : la protéine Spike a été localisée chez certains sujets plus de 6 mois après l’injection d’ARN messager. Cette protéine étrangère perdure donc dans l’organisme, ce qui n’était pas prévu par les fabricants de ces pseudo-vaccins. En outre il a été impossible chez ces sujets autopsiés de retrouver des lymphocytes T dits « lymphocytes mémoire » dont le rôle est une protection immunologique durable à la suite du contact avec un agent pathogène ou à la suite de l’administration d’un vaccin au sens pasteurien du terme. Aucun de ces lymphocytes T n’était capable de produire des immunoglobulines dirigées contre la protéine Spike. Cette dernière observation est particulièrement importante car elle prouve aussi que cette thérapie génique n’est pas un vaccin : elle ne protège pas et n’immunise pas les patients. 

En conclusion tous les gouvernements occidentaux sont victimes d’une incroyable imposture scientifique et les conséquences sur les populations dans la durée sont pour l’instant totalement inconnues.

Sources : https://doctors4covidethics.org/on-covid-vaccines-why-they-cannot-work-and-irrefutable-evidence-of-their-causative-role-in-deaths-after-vaccination/ et https://www.bitchute.com/video/wfErug93V94M/ et aussi https://doctors4covidethics.org/dr-explains-basic-immunology/

Retour à la normale …

Après une semaine agitée comme l’océan l’était il y a quelques jours j’accuse le coup et indéniablement mes 20 ans sont bien loin. J’admire ces Parisiens dociles qui ont reçu trois doses d’ARN messager. Sans l’avouer clairement mes quatre petits-enfants et leurs parents ont admis que cette thérapie génique ne servait à rien puisque, selon les informations dont ils disposaient, à leur arrivée à Orly (l’aéroport sud de Paris) ils devraient se soumettre à un test RT-PCR qui, comme chacun le sait, n’est pas fiable. D’où la vraie question : « à quoi sert ce pseudo-vaccin ? »

Mon cadeau de Noël consistait en deux bouteilles de rhum Bielle, beaucoup plus efficace que les gels hydro-alcooliques pour se désinfecter les mains mais ce serait un véritable gâchis d’en faire cet usage. Et aussi deux livres : « La religion écologiste » de Christian Gerondeau et « Enquête sur un virus » de Philippe Aimar. Intellectuellement ce fut un plaisir car parmi nous sept il y avait votre serviteur, titulaire de deux doctorats, deux normaliens, ma fille, docteur en mathématiques, et son époux, agrégé de mathématiques, et deux polytechniciennes, les deux plus jeunes attendant leur tour … Nous avons naturellement parlé de la catastrophe du système dit de l’Éducation nationale française et je reconnais que des enfants vivant dans un environnement familial de hauts diplômés sont naturellement favorisés sans entrer dans des considérations d’élitisme stupides. Il est vrai que le proverbe « les chats ne font pas des chiens » ou l’inverse, je ne sais plus, s’applique clairement.

Enfin, malgré des cerveaux bien remplis, toute cette petite famille aime bien ripailler, avec une tendance vers les fruits de la mer, lotte, soles, coquilles Saint-Jacques et les bons vins espagnols qui n’ont rien à envier aux vins français.

Brève. Nostalgie …

Il y a exactement deux ans, à quelques jours près, je me trouvais quelque part au dessus de la Sibérie de retour du Japon vers l’Espagne, c’était le 17 décembre 2019. Je pense tous les jours à cet événement qui est devenu d’une extrême importance dans ma vie. Depuis, j’ai été contaminé par le coronavirus et je souffre toujours des conséquences dites « longues » de cette infection. Selon diverses études relatives à ces petits tortillons d’ADN que l’on appelle des télomères j’aurais vieilli de 4,8 années et j’ai perdu deux années sans voir ni mon fils ni mes petits-enfants franco-japonais ni son épouse ni sa belle-famille admirable.

Mon souhait de vieillard est de pouvoir retourner au Japon dès que possible et de ne jamais revenir en Europe. D’ailleurs mes jours sont comptés et je n’alimente aucun scrupule en décidant d’aller mourir au Japon, peu m’importe. En ce jour anniversaire je voulais laisser divaguer mes pensées sur mon blog …

Si en mars 2020 nous avions été informés de l’imminence d’une pandémie j’aurais pris le dernier avion pour Tokyo. J’ai perdu deux années irremplaçables de ma vie à me trouver confronté à des médecins totalement incompétents qui n’officient que pour faire des actes, du chiffre, dans un univers entièrement informatisé kafkaïen où le malade est un numéro qui doit se plier au « protocole » qu’il est impossible de transgresser. En 13 ans jamais un médecin généraliste du système public de santé local, ici en Espagne, n’a osé prendre ma tension artérielle, jamais aucun médecin ne m’a ausculté, à croire qu’ils ignorent ce qu’est un stéthoscope. Vous comprendrez, chers lecteurs, que cette médecine moderne hautement administrative et informatisée n’est pas pour moi.

Autant aller consulter un vétérinaire ! Quand je constate les imbécillités d’un Laurent Alexandre qui prétend sur les plateaux télévisuels qu’il faut informatiser la médecine et que des algorithmes de qualité irréprochable permettront d’atteindre, enfin, une médecine sans faille j’ai tout simplement envie de pleurer en me souvenant que lorsque j’étais enfant le médecin de famille prescrivait une bonne soupe d’oignons et un cataplasme à la moutarde quand j’étais fiévreux. Je ne reverrai jamais aucun médecin d’ici aux Canaries ni de France et j’irai mourir au Japon.

Deux années sacrifiées dans l’isolement mais à mon âge ce sont plutôt quinze années de perdues et tout ça pour satisfaire des décideurs politiques qui ont pris des mesures dignes du plus dur régime totalitaire pour n’arriver qu’à des résultats décevants en termes de maîtrise de cette épidémie. Et la propagande reprend de plus belle avec le nouveau mutant omicron, je suis tout simplement envahi par le dégout pour ne pas dire la haine. En prenant comme espérance de vie 82 ans pour les hommes français selon les statistiques officielles deux années sans avoir le droit d’aller visiter mon fils et mes petits-enfants au Japon correspondent pour un homme de 30 ans à 15 années perdues et pour un homme de 50 ans à 9 années perdues jamais récupérées. Bien que n’étant pas médecin, je me soigne avec la complicité d’une pharmacienne locale qui parle français avec des stéroïdes qui ne sont prescrits que sur ordonnance. Je l’en remercie si elle lit mon blog ce qui est improbable. L’avenir sera juge mais d’ors et déjà j’ai décidé de ne plus jamais consulter un médecin local et de gérer les derniers jours qui me restent à vivre sereinement …

Note à l’intention de mes fidèles lecteurs. Ce lundi 20 ma fille arrive ici avec ses clones et je serai très occupé. Je ne mettrai donc en ligne que quelques photos pour maintenir une fréquentation de ce blog qui m’est très important pour survivre. Encore merci pour votre fidélité, chers lecteurs, et je vous souhaite des fêtes de fin d’année festives malgré le virus. 

Conseil de défense sanitaire (fictif)

La scène se passe dans l’un des salons du Palais de l’Elysée. Autour d’une grande table dressée sous les ors républicains sont réunis le Président, le premier ministre, le ministre de la santé et quatre « conseillers scientifiques » dont les indéboulonnables Dutruc et Sansnom et deux comparses connus pour leurs liens avec les grands laboratoires pharmaceutiques.

Le Président ouvre le débat : « Alors Messieurs (il n’y a pas de représentant du sexe dit faible) comment vont vos comptes en banque ? ». La réponse est unanime pour une fois : « on en veut encore ! ». Le Premier ministre suggère de décider la vaccination massive et rapide de tous les enfants à partir de cinq ans d’âge. Vingt millions de nouveaux rats de laboratoire c’est toujours ça fait remarquer le Premier ministre. D’autant plus que les tests PCR maintenant payants ne nous rapportent presque plus rien, abonde le Ministre de la santé, par conséquent il faut rendre obligatoires les rappels tous les 4 mois.

« Ça me paraît judicieux » concède Dutruc car il y a urgence, le variant sud-africain ne satisfait pas nos attentes, il n’y a pratiquement pas de morts ! Il faudra rapidement confier une mission spéciale au porte-parlotte du gouvernement consistant à maintenir la peur et la panique. « Et les clubs d’échangistes on fait quoi ? » demande le Président. Le premier ministre se risque à une petite remarque en catimini à son chef lui murmurant à l’oreille que cette dérogations était une exigence de sa part alors qu’on en avait débattu lors du dernier conseil. On ne reviendra pas sur cette décision.

Pas un document sur la table, tous les téléphones portables éteints, aucune note manuscrite, tout doit rester dans la tête de chacun. Le Président prendra encore une fois ses responsabilités, c’est lui le grand timonier et le Premier ministre distillera les injonctions à la faveur d’un déplacement en province. Voilà le plan pour que les commissions versées par les labos continuent à arriver sur les comptes en banque off-shore de ces grands hommes dévoués corps et âme à la nation et à la santé de chacun et que ces comptes continuent à s’arrondir. Après tout ils risquent tous d’être au chômage dès la fin du mois d’avril prochain. Le conseil se termine par une remarque du Président : « je vais demander des infos à notre ambassadeur à Pretoria, ces cons de Sudafs n’ont pas été capables de nous faire un variant correct. Ils auraient pu demander des conseils aux Indiens, eux au moins ont assuré ». Faisant mine d’être un expert en la matière le Président continue : « dites-moi les gars ça ne serait pas le truc de Gilead qu’on a fourgué aux Indiens qui aurait favorisé l’apparition du mutant ? ». Silence dans la salle car cette opération a coûté un max à la France. Donc ils en restent là pour cette fois : les enfants tous vaccinés, les rappels tous les 4 mois et … Une voix timide s’élève du fond de la salle : « Messieurs, les cocktails apéritifs sont servis » … Dans un château on mène une vie de château et on parle de pognon.

Brève. L’EPR finlandais enfin (bientôt) opérationnel !


La construction du premier EPR situé à Olkiluoto par un consortium comprenant Siemens et Areva débuta en août 2005, vous avez bien lu, et enfin, on pourrait dire contre toute attente, ce réacteur maintenant chargé en combustible vient pour la première fois d’entretenir une fission produisant de la chaleur en vue de produire de l’électricité. Ce sera chose faite en juin 2022. Durant les six prochains mois le réacteur doit atteindre la « criticalité », un terme barbare qui signifie que la fission est auto-entretenue, mais progressivement car toute une série de tests seront nécessaires pour obtenir la certification finale. Dix-sept ans pour construire un réacteur peu différent de ceux de la centrale de Chooz constitue une véritable prouesse de lenteur qui aura mis à mal la patience du gouvernement finlandais surtout quand on garde maintenant en mémoire le fait que les deux EPRs de Taishan en Chine ont été construits en 9 ans, période entre la première coulée de béton et le raccordement au réseau électrique. Pour Olkiluoto ce seront donc 17 ans entre cette première coulée de béton et le raccordement au réseau, si tout se passe comme prévu …

Durant ces 17 ans Areva a été repris par EDF mais autant au sein d’EDF qu’au sein d’Areva le savoir-faire avait disparu depuis la construction de la dernière centrale nucléaire sur le sol français qui date de 1985. En 20 ans les ingénieurs ont soit pris leur retraite soit été orientés vers d’autres préoccupations. Il faut espérer que cette situation ne se reproduira pas en Grande-Bretagne puisque la Chine est partie prenante avec EDF dans le projet d’Hinkley Point C. Quant à l’EPR de Flamanville on attend toujours … Et pendant ce temps-là le président de la République française prône la construction de petits réacteurs modulaires construits en série. De qui se moque-t-il ?

La guerre contre le SARS-CoV-2 s’est soldée par un échec colossal

… Et la classe dirigeante est déterminée à camoufler cette indéniable réalité.

La guerre contre le coronavirus est perdue depuis longtemps et les coûts irrécupérables ne cessent de s’accumuler. Que vous pensiez que tout cela devait provoquer une grande réinitialisation ou que certains des acteurs impliqués voulaient vraiment arrêter un virus, le résultat est maintenant clair. La guerre contre le COVID-19 est terminée et elle a entraîné des pertes colossales. Pas une seule bataille n’a été gagnée. Ils ont perdu la guerre, ils savent qu’ils ont perdu la guerre, et maintenant le côté perdant de la guerre – l’« élite » mondiale – essaie de dissimuler cette réalité par tous les moyens nécessaires, même si cela signifie entraîner l’ensemble de l’humanité avec eux.

Les permis de se déplacer librement pour les enfants de 5 ans sont mis en place à New York et à San Francisco. Prison pour les non-conformes en Autriche et en Allemagne. Centres de détention pour citoyens à problèmes en Australie et en Nouvelle-Zélande. Qu’est-ce que tous ces lieux ont en commun ? D’abord et avant tout, comme les lecteurs de ce site ( https://dossier.substack.com ) le savent bien maintenant, aucune de ces mesures ne s’appuie sur un précédent scientifique légitime. L’« élite » mondiale a enrôlé de force des milliards de personnes dans une « guerre contre un virus », et cette guerre a été un échec lamentable. Maintenant, près de deux ans après le début de cette guerre, la classe dirigeante n’y renonce pas. Loin d’abandonner cette guerre impossible à gagner, les « généraux » de cette lutte ont décidé de tenter de nous entraîner avec eux dans une défaite colossale.

Les personnes, les organisations et les gouvernements chargés de mener notre « guerre contre un virus » ont perdu de manière dévastatrice. Loin d’un effort mondial réussi pour arrêter un virus, ces factions au pouvoir et ces centres de pouvoir ont fait échouer les milliards de personnes enrôlées dans cette guerre sans le consentement des citoyens. De Los Angeles à Sydney, Moscou, Rio, New York, Paris et Londres et partout ailleurs, presque tous les gouvernements à tous les niveaux à travers le monde, à quelques exceptions près, ont commis des dommages incroyables contre leurs populations au nom de l’arrêt d’un virus. Et ils n’ont absolument rien à démontrer pour cela.

Ils ont jeté tous les instruments préconisés par une classe d’ « experts en santé publique » lors de la pandémie de COVID-19, et rien n’a fonctionné. Mais les responsables ne veulent pas être blâmés pour le chaos qu’ils ont provoqué. C’est de la mauvaise politique, et ce n’est pas une situation idéale pour ceux qui croient qu’ils sont la personnification de la science elle-même. Ainsi, au lieu d’admettre un échec grossier, criminellement négligent et maintenant délibéré, ces saboteurs maniaques doublent, triplent et quadruplent les coûts irrécupérables pour les masses. Les « élites » savent que rien ne fonctionne, mais elles préfèrent emporter tout le monde avec elles plutôt que d’admettre un échec total.

Les masques ont échoué. Les confinements ont échoué. Chaque refonte de la société pour s’adapter au régime de sécurité a échoué. Et maintenant, il devient assez clair que le régime d’injection d’ARNm de Big Pharma a également échoué. Le peuple n’a pas déçu la classe dirigeante. Qu’on le veuille ou non, les gens ont courbé l’échine en masse. Contre toute attente le respect de ces mesures pseudo-scientifiques a été hors du commun. Presque tout le monde portait des masques. Presque tout le monde est resté chez lui pour « arrêter la propagation ». On estime que plus de 8 milliards de doses de vaccins COVID ont été administrées. Les citoyens du monde entier ont placé une confiance écrasante et virtuellement aveugle en ces gouvernements pour les protéger d’un virus.

L’humanité se retrouve avec un coût irrécupérable énorme, la classe dirigeante ayant enrôlé des milliards dans ce gâchis, entraînant des centaines de millions de personnes privées maintenant de moyens de subsistance. Anthony Fauci, Bill Gates, Joe Biden, Xi Jinping, Boris Johnson, Angela Merkel, l’Organisation mondiale de la santé, le Forum économique mondial, le New York Times, le Parti communiste chinois, Pfizer, Moderna, Facebook, Google, Twitter, le CDC , la FDA, l’OMS et la liste est longue. Ces personnes, gouvernements et organisations sont les acteurs de cette « guerre contre un virus » suicidaire qu’ils ont imposée au monde. Et tout le monde devrait toujours se souvenir de l’incroyable souffrance humaine qu’ils ont provoqué.

Article de Jordan Schachtel paru sur son site « The Dossier » le 7 décembre 2021. Illustration : camp d’internement australien pour les non-vaccinés situé à Howard Springs dans l’Etat du Northern Territory à 30 kilomètres de la ville de Darwin. On est revenu 80 ans en arrière et merci à l’Allemagne nazie pour avoir donné l’exemple.

Les écolos sont des gauchistes ignorants, deux exemples

La controverse relative aux plantes dites génétiquement modifiées (OGM) a été alimentée par une mauvaise interprétation des faits scientifiques. L’argument des écologistes était fondé sur un non-sens scientifique, nommément une dissémination du gène étranger introduit dans les plantes vers les mêmes espèces non transformées ou vers, ce qui est encore plus délirant, vers d’autres espèces. Cette controverse a ensuite resurgi lorsque furent mises au point des plantes exprimant la protéine toxique sécrétée par le Bacillus thurigiensis, la toxine Bt qui tue les insectes ravageurs suceurs. Les écologistes, définitivement ignorants, ont considéré à tort que ces plantes ainsi modifiées pouvaient tuer également les insectes butineurs comme les abeilles. Or le pollen ne contient pas de toxine Bt. Je ne rappellerait pas ici les José Bové et autres hurluberlus qui s’étaient donné pour mission de détruire toute parcelle de plante génétiquement modifiée en plain-champ à des fins scientifiques. Puis cette controverse a encore rebondi avec la technologie génétique dite « Terminator » qui fut bannie à la suite de la Conference of Parties (COP) de la Convention des Nations-Unies sur la diversité biologique à Curitiba au Brésil en 2006. Ne comprenant décidément rien à la science il ne restait plus aux écologistes qu’à incriminer les semenciers de continuer à vendre leurs graines qui, replantées par les agriculteurs pour la saison suivante, s’avéraient alors d’un rendement médiocre. Les semenciers vendaient en réalité non pas des graines terminator mais des hybrides F1 dont les caractères ne se transmettent qu’à la moitié des descendants selon les lois de la génétique décrites pour la première foi par un moine du nom de Mandel. Faut-il encore rappeler ici que les plantes génétiquement modifiées sont chimiquement indiscernables des leurs contreparties « sauvages » et tout ce discours n’est basé sur aucune évidence scientifique.

Après tout ce tapage idéologique, et très curieusement faut-il le reconnaître, les écologistes ont trouvé tout à fait normal qu’on soumette des centaines de millions de personnes à une thérapie génique pour soit-disant protéger des peuples entiers contre une infection virale. L’injection à une personne d’un ARN messager codant pour une protéine étrangère et pris en charge par la machinerie cellulaire pour produire cette protéine est une thérapie génique au sens littéral du terme. Le résultat est strictement identique à l’expression par une « plante Bt » dont un gène a été introduit afin d’exprimer cette toxine. Pourquoi les écologistes sont-ils restés d’un silence assourdissant depuis presque 18 mois devant cette pratique qui défie les lois les plus fondamentales de l’éthique médicale ? Pourquoi ces écologistes admettent sans broncher qu’il est urgent et nécessaire de soumettre également les enfants à cette thérapie génique alors qu’il est avéré que la protéine virale codée par l’ARN messager introduit dans l’avant-bras va se fixer préférentiellement dans les ovaires et les testicules avec des effets sur le long terme totalement inconnus, en particulier sur la capacité de reproduction de ces enfants dans dix ou quinze ans. Ces écologistes sont-ils devenus les complices silencieux et consentants du cartel des grands laboratoires pharmaceutiques ? Je pose la question car en d’autres temps ces écologistes se levaient contre la mafia des semenciers comme Pionear ou Monsanto mais ne s’élèvent en aucune circonstance contre la mafia pharmaceutique.

Le deuxième exemple révélateur de la totale incurie des écologistes concerne la transition énergétique si chère aux écologistes et en particulier leurs incontournables éoliennes. Il s’agit du balsa (Ochroma pyramidale) utilisé dans la fabrication des pales des éoliennes qui envahissent les pays occidentaux dits « riches », c’est-à-dire qui ont les moyens financiers de s’offrir ces gadgets inutiles, les contribuables apprécieront, de recouvrir littéralement les contrées de ces dizaines de milliers de moulins à vent disgracieux sous le fallacieux prétexte que le vent est gratuit et fournit donc une énergie décarbonée également gratuite ce qui est loin d’être le cas. Depuis quelques années les écologistes s’émeuvent du massacre des forêts du bassin de l’Amazone, accusant le Président Bolsonaro de privilégier les cultures à haute valeur ajoutée au détriment de la forêt. Que nenni ! La forêt amazonienne est littéralement massacrée dans ses plus profonds recoins pour abattre tous les arbres de balsa, une matière première hautement prisée pour la fabrication des pales des éoliennes. Pour abattre un balsa, parfois un gros arbre de plus de 30 mètres de haut, il est souvent nécessaire de faire le ménage autour afin de récupérer le maximum de billes négociables à un prix atteignant des sommets et de proche en proche ce sont des dizaines de milliers de kilomètres carrés de forêt qui disparaissent pour que les billes de balsa partent en particulier en Europe, Espagne, Allemagne et Danemark, pour la fabrication de ces fameuses pales qui contribueront au sauvetage du climat tout en détruisant en partie la forêt tropicale amazonienne. Je ne suis pas vraiment convaincu que les écologistes qui se battent pour sauver Gaïa soient conscients de la globalité du problème que soulève leur rêve de transition énergétique ou pire encore de transition écologique. Si vous faites des recherches sur la composition des matériaux constituant les pales des éoliennes vous trouverez des fibres de verre ou de carbone mais il n’est nulle part mentionné la présence de multicouches de résines époxydes et de balsa. En effet ce matériau composite serait, paraît-il, plus apte au recyclage que les composites mettant en œuvre des fibres de carbone ou de verre car la confection des pales d’éoliennes requiert une technique complexe avec ces matériaux alors que les multi-couches à base de balsa sont très faciles à mettre en oeuvre. Nous vivons dans une monde vraiment étrange où la frontière entre l’idéologie et la science n’est plus vraiment discernable …

Notes. Le prix du mètre-carré d’une feuille de balsa oscille entre 200 et 600 dollars selon l’épaisseur pour le marché des modélistes. Outre le Brésil, la Colombie, le Pérou, la Bolivie et l’Equateur sont impliqués dans la destruction de la forêt amazonienne à la recherche de balsa. Illustration : flottage de billes de balsa au Pérou.