Mes lecteurs sont maintenant des habitués de mes billets négationnistes à propos du soit-disant changement climatique qu’il faut absolument croire puisque quelques 2500 experts en climatologie rétribués par les impôts que vous payez (pour les foyers fiscaux français cette contribution est de l’ordre de 85 euros pas an et près du triple pour les Allemands) et qui considèrent qu’étant 2500 et que les Prix Nobel attribués à Al Gore et à l’IPCC leur donnent toute caution pour être crus sur parole, alors « le climat se réchauffe, c’est un fait » dixit Obama lors de son dernier discours sur l’Etat de l’Union. Mais c’est vrai, je cite Obama ! Entre parenthèses il a été sévèrement démenti par trois vagues de froid exceptionnelles qui ont paralysé l’ensemble des USA. Qu’à cela ne tienne, c’était une conséquence du réchauffement.
J’ai encore au cours de ma revue de presse quotidienne de ce jour noté pêle-mêle une dizaine d’articles liés de près ou de loin au réchauffement climatique. Il paraît que les manchots de l’Antarctique sont en péril car les glaces dérivent plus vite que précédemment. Bizarre, les manchots ne nidifient jamais sur la banquise qui ne leur sert que pour aller pêcher et ils reviennent ensuite sur la glace continentale ferme, si l’on peut dire, vers leurs sites de ponte où ils régurgitent pour leurs poussins les effets de leur pêche. J’ai aussi trouvé un article paru dans « Nature Climate Change », mais oui c’est une nouvelle rubrique de cet organe journalistique à la solde de l’IPCC, que les températures relevées au milieu des déserts australiens augmentaient depuis près de 20 ans et que cette seule observation contredisait le « hiatus » de la stagnation de la température moyenne au moins aux alentours des zones intertropicales. J’ai noté aussi une étude sur les coraux qui blanchissent en raison du « réchauffement climatique », mais c’est bien sûr ! et tellement facile alors qu’ils s’agit d’un virus ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/09/13/rechauffement-climatique-non-un-virus/ ) mais ces experts ont l’audace de prétendre que ces virus qui attaquent les coraux prolifèrent parce que le climat se réchauffe.
Le papier publié par Nature sur le réchauffement des déserts est anthologique dans le genre mauvaise foi. Il s’agit d’anomalies comme toujours pour ces pseudo-scientifiques mais les anomalies sont-elles la règle, il faut se poser la question. Certes, on a coutume de dire que les exceptions confirment la règle, mais quand on inverse les rôles pour la simple raison qu’on est à court d’arguments, en d’autres termes, pour être fidèle aux affirmations du Docteur Lisa Alexander, auto-propulsée climatologiste à l’Université du New South Wales, il fait plus chaud dans les déserts depuis 20 ans et cette observation est en totale contradiction avec les autres observations relatives à l’évolution de la température moyenne et moyennée au niveau de la zone intertropicale. Il y a donc juste un pas à franchir pour incriminer la mollesse du Nino (inexpliquée depuis 1998) pour affirmer dans les pages de Nature qui fut en d’autres temps et sous d’autres cieux un journal scientifique de haute tenue que tout se réchauffe, il n’y a qu’à voir l’Australie et la Californie, bref les experts de l’IPCC ont finalement raison, la température des déserts a augmenté de 0,4 degrés depuis 1980 et tout ça est naturellement la conséquence des énormes quantités de CO2 rejetées dans l’atmosphère !
Il y a en réalité deux hiatus, depuis 1980, depuis donc 30 ans, l’humanité a rejeté dans l’atmosphère pendant cette période l’équivalent du tiers de toutes les émissions de CO2 produites depuis le début de l’ère industrielle avec l’apparition des premières machines à vapeur en Angleterre. Et pourtant si le CO2 avait réellement un effet sensible sur le climat d’une manière ou d’une autre il aurait été perçu et mesuré. Quant à la théorie de l’effet de serre il est inutile d’y revenir ici.
Les prévisionnistes ne sont pas en reste avec leurs simulations informatiques puisqu’ils prévoient qu’en 2100 la Mer de Ross en Antarctique sera complètement libre de glaces. Qui ne se souvient pas des prévisions d’Al Gore qui fut nobélisé pour avoir prédit que le passage du Nord-Ouest serait libre de glaces pendant plusieurs mois d’été dès 2012. On sait ce que sont devenues ces élucubrations dans la réalité. Dans la rubrique prévisions et modélisations, des climatologues de l’Université de Bergen prévoient en vous regardant droit dans les yeux et droits dans leurs bottes que le système complexe des courants marins de l’Atlantique Nord pourrait bien se dérégler d’ici 2100 en raison du réchauffement et conduire, on en reste assis, soit à un fort réchauffement soit à un fort refroidissement en s’inspirant du fameux film catastrophe dans la plus pure veine hollywoodienne « The Day After Tomorrow » (Le Jour d’Après, 2004) de Roland Emmerich. C’est à se demander si ces pseudo-scientifiques, à court d’idées, ne s’inspirent pas des films et des romans de science-fiction pour faire chauffer ( ! ) leurs super-ordinateurs. Mais il faut reconnaître que c’est la première fois qu’un éventuel refroidissement est envisagé par ces « savants ».
Que dire des risques du réchauffement sur l’état de santé des rizières qui pourraient être ravagées par des champignons phytopathogènes dont le développement spectaculaire serait favorisé par l’humidité persistante surtout quand on sait que les rizières sont toujours à sec pour que le riz pousse mieux, n’importe quoi ! Quant aux oiseaux et autres papillons migrateurs c’est déjà la catastrophe comme pour les termites, les fourmis et bien d’autres représentants de la faune du globe y compris les humains qui seront grillés comme des toasts également vers 2100, dixit Christine Lagarde au sommet de Davos en 2013.
La climatologie telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui ressemble à ce que les Anglais appellent du « cherry-picking ». Le climatologue ressemble à un merle ou un loriot qui va de branche en branche sur un cerisier et se régale de quelques fruits ici ou là selon son bon vouloir et son humeur du moment. C’est exactement ce que font les climatologues quand ils choisissent les données fournies par la dendrochronologie ou les carottes glaciaires pour ne citer que ces deux exemples. Toutes les données dérangeantes sont purement et simplement omises pour aboutir finalement à cette fameuse crosse de hockey qui a fait baver d’émotion des milliers de journalistes et de politiciens qui sont tous aussi ignorants les uns que les autres. Puisque 2500 experts grassement rétribués l’affirment c’est donc vrai. Ca s’appelle de l’escroquerie !
Bref, mes lecteurs commencent probablement à se lasser de ma prise de position politiquement incorrecte mais je continuerai ma marche dans le désert, réchauffement climatique oblige, en dénonçant toutes ces affirmations pseudo-scientifiques réitérées à longueur de journaux télévisés, de presse à deux balles, d’articles scientifiques sans aucune valeur et de décisions gouvernementales ineptes sous la pression d’ONG terroristes. C’est surtout en tant qu’ancien scientifique que je m’élève contre cette nouvelle attitude sensationnaliste et catastrophiste qu’ont adopté tous ces « spécialistes », attitude basée sur des théories et des hypothèses toutes aussi infondées les unes que les autres.