Cette Europe est foutue …

L’Europe a décidé d’interdire la vente de voitures à propulsion par combustion interne, essence, diesel y compris hybrides en 2035. Près de 15 millions de personnes se retrouveront sans emploi. Les grandes sociétés européennes de construction automobile tentent de se reconvertir aux véhicules électriques. Le problème que la Commission européenne infectée de manière incurable par l’idéologie écologiste n’a pas pris en compte le fait que la Chine est le leader mondial de la production de voitures « tout électrique », pas des modèles coûteux comme les Tesla mais des voitures à la portée de la classe moyenne. Le retard n’est pas rattrapable.

La décision de la Commission européenne a été avalisée par le Parlement européen avec une majorité écrasante, à croire qu’il n’y a que des écologistes dans cette assemblée qui ne sert à rien.

Mais il y a autre chose qui a échappé tant à la Commission mais également au Parlement, c’est la disponibilité en matières premières pour produire ces véhicules électriques, depuis le cuivre et les terres rares mais aussi et surtout le lithium, le graphite et le cobalt. Une seule personne a lancé une alerte à ce sujet, il s’agit d’Aurore Stéphant, une géologue spécialisée dans les ressource minières.

J’ai réécouté son long exposé sur le site Thinkerview aujourd’hui même par hasard (je l’avais déjà visionné il y a environ 2 mois lors de sa sortie sur la toile) et j’ai définitivement compris à l’issue de la décision européenne que tant la Commission européenne que le Parlement, qui avalise des décisions irréalistes de ce « machin » sans se poser de question, étaient hors sol et n’oeuvraient que pour le malheur de tous les Européens, c’est très grave. Avec la crise financière qui se profile, alors les Européens vont vraiment souffrir … Tout va mal et pour paraphraser les conclusions de H16 pour tous ses billets relatifs à la France « Cette Europe est foutue ! »

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=xx3PsG2mr-Y

Quelle Ukraine soutenons-nous ? 

Pour mettre mes lecteurs en appétit … Il est 7h30 à Papeete, donc 19h30 à Paris. Voici un « copié-collé » d’un article paru sur le site Stratpol

par Patrick Pasin 

Le slogan « Soutien à l’Ukraine » continue de fleurir. Ceux qui le promeuvent savent-ils que les Ukrainiens étaient le peuple le plus martyrisé d’Europe AVANT la guerre ? À cause de celui-là même que les Occidentaux chérissent… le président Zelensky. En synthèse, voici ce que nous cachent nos médias et qui devrait nous faire réfléchir à notre soutien sincère et amical au peuple ukrainien.

Le pays sans bébés

En 2021, le nombre de décès excède celui des naissances de 442 2791, un chiffre ahurissant pour environ 41 millions d’habitants : il signifie que plus de 1% de la population a littéralement disparu cette année-là, sans même parler des effets de l’émigration.

En janvier 2022, le dernier mois avant l’Opération spéciale, la situation empire encore : sont comptabilisés environ 57 000 décès, mais seulement 18 000 naissances, soit un multiple de plus de trois.

Même si l’écart était moindre les années précédentes, il se situait toujours avec un excédent négatif à six chiffres depuis la révolution du Maïdan de 2014 et avant. À ce rythme, le peuple ukrainien aura disparu d’ici une à deux générations, d’autant plus qu’une grande partie des réfugiés et des émigrés ne reviendra pas, quelle que soit la forme que revêtira l’Ukraine à la fin de la guerre.

Il faut désormais y ajouter le désastre en cours, où plus de 200 000 hommes fauchés dans la force de l’âge ne feront plus d’enfants. Et la boucherie continue : ce sont maintenant des adolescents qui sont envoyés sur le front. Qui peut imaginer les conséquences à moyen et long terme quant à l’existence même du peuple ukrainien ?

Le pays des laboratoires de guerre US

D’après les données de l’OMS et des autorités locales, dont l’Ordre des médecins, les taux d’infection par VIH/sida, tuberculose, hépatite B et C… restent parmi les plus élevés d’Europe et du monde. La tuberculose s’y est même propagée sous une forme unique, très résistante aux médicaments.

Le pays est également affecté par de violentes épidémies de rougeole, malgré un fort taux de vaccination, mais aussi de grippe porcine, de botulisme, de leptospirose, de diphtérie, etc., que l’on ne trouve nulle part ailleurs dans de telles proportions.

Les tests médicaux effectués par les Russes sur les milliers de prisonniers de guerre ukrainiens montrent qu’un tiers d’entre eux ont été infectés par l’hépatite A, plus de 4% présentent un syndrome rénal et 20% ont la fièvre du Nil occidental. La conclusion est qu’ils furent soumis à des années d’expériences biologiques par les Américains. De la propagande russe ?

Non, puisque le Département de la Défense des États-Unis reconnaît le 9 juin 2022 avoir établi des « collaborations » avec 46 laboratoires ukrainiens, évidemment à des fins… pacifiques. En réalité, le Pentagone ne « collaborait » pas mais opérait directement des laboratoires de guerre biologique en Ukraine depuis 2014, en contravention de la Convention sur les armes biologiques de 1972. C’est documenté depuis le Maïdan de 2014, dont, par exemple, un rapport d’un ancien agent du SBU, les services de renseignement ukrainiens, qui révèle que « la mort des sujets de l’essai a été autorisée dans le cadre de son déroulement ». En l’occurrence, les « sujets de l’essai » sont des Ukrainiens, pas des rats de laboratoire.

On découvre aussi que ces recherches extrêmement dangereuses visaient à améliorer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles. Parmi les priorités identifiées figure aussi l’étude des pathogènes bactériens et viraux pouvant être transmis des chauves-souris à l’homme, tels que les pathogènes de la peste, de la leptospirose, de la brucellose, ainsi que des coronavirus… Des coronavirus de chauve-souris ? Cela ne nous rappelle rien ? Ajoutons qu’un programme militaire intitulé « Covid-19 » fut financé en novembre 2019, soit trois mois avant que l’OMS donne ce nom à une pandémie mondiale qui n’a pas fini de faire parler d’elle. Simple coïncidence ?

Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que la population civile et les soldats ukrainiens servent de cobayes depuis des années aux militaires américains, avec la complicité de Kiev. De plus, ces armes biologiques nous menacent directement, car qui peut garantir que ces virus mortels s’arrêteront à nos frontières ? Que font la Commission européenne et nos gouvernements pour nous protéger de cette menace ?

Le pays des néonazis

L’agence Reuters évalue à plus de 100 000 ce que certains appellent les « nationalistes intégraux » ou néonazis. Qu’ils se regroupent sous les noms d’Azov, Aïdar, C14, etc., ils empoisonnent la vie des Ukrainiens depuis 2014, et pas seulement des minorités russophones, magyares, juives, roms, LGBT… Ils ont notamment participé aux plus de 14 000 tués du Donbass, situation qui revêt les caractéristiques du génocide au sens de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948. Des témoignages révèlent, d’ailleurs, que ces bataillons de la mort percevaient jusqu’à 10 000 $ pour le meurtre ou la capture de tout séparatiste. Un bon business dans un pays dont on ne cesse de nous vendre les valeurs… démocratiques et progressistes.

Ils n’hésitent pas non plus à entrer armés dans les tribunaux pour menacer les juges, dans les administrations pour contraindre les maires et les gouverneurs. Ils obligent même certaines municipalités à les payer comme miliciens pour assurer la… sécurité des citoyens. Puisque l’Ukraine est aussi le pays sans justice, comme nous le verrons ci-dessous, ils ont tous les droits, dont le meurtre, le viol, la torture, le braquage, le racket, etc. Bien sûr, avec la complicité de la police.

Et lorsque le bataillon Aïdar est dissous par les autorités en 2016, ses membres bloquent une artère de Kiev et tentent de prendre d’assaut le ministère de l’Intérieur. Après un tel acte, on imagine que les peines de prison furent sévères… Que nenni ! L’ordre de dissolution est annulé et ils sont intégrés aux forces armées ukrainiennes, comme les autres bataillons néonazis après les accords de Minsk, puis envoyés commettre leurs crimes dans le Donbass.

De ce fait, ils deviennent nos alliés, puisque l’Occident s’est allié à l’Ukraine à la vie à la mort (surtout celle des Ukrainiens, en tout cas pour commencer…).

Le pays de la corruption

Ce point nécessiterait un chapitre entier tant la corruption est endémique en Ukraine. Ainsi, dès 2015, CNN relate qu’elle coûte de l’ordre de 10 milliards $ au budget de l’État. Aucune institution internationale n’est dupe de cette réalité. Par exemple, la Cour des comptes européenne constate dans un rapport de 2016 n’avoir aucune connaissance de l’emploi des derniers 11 milliards € envoyés à l’Ukraine. En revanche, on y lit que « les risques posés par les anciens et les nouveaux oligarques demeurent élevés ». Comment mieux avouer la corruption sans employer le mot ?

Néanmoins, les milliards continuent d’affluer, que ce soit de l’Union européenne, des États-Unis, du FMI, etc. Étrange, non ?

Pour ne pas tarir le flux de ces fonds d’une générosité sans borne, la question de la corruption est définitivement réglée par la Cour constitutionnelle de l’Ukraine (CCU) avec sa décision spectaculaire du 27 octobre 2020 : elle décharge le gouvernement, les hauts fonctionnaires et les juges de toute responsabilité pour fausse déclaration de patrimoine.

En conséquence, un juge qui aurait seulement déclaré la propriété d’un modeste logement à Kiev est désormais protégé par la loi s’il est découvert qu’il possède aussi une somptueuse villa sur la côte d’Azur. Au moins, les décisions de justice seront plus vite rendues : elles dépendront seulement de l’épaisseur des enveloppes versées. Il en est de même pour les politiciens et les fonctionnaires. Le pays de la corruption est aussi devenu le pays sans justice.

Depuis, bien évidemment, les milliards continuent d’affluer vers l’Ukraine. En réalité, sommes-nous certains que les dirigeants ukrainiens sont les seuls à en « croquer » ? Rien de ces sommes faramineuses ne serait donc partagé à l’abri des regards avec la partie occidentale qui les envoie à fonds perdus dans ce tonneau des Danaïdes qu’est devenu le Zelenskyland ?

Quoi qu’il en soit, il est sûr que ces dizaines de milliards, auxquels nous contribuons, n’ont pas bénéficié au peuple ukrainien ni à la paix.

Le pays sans droit du travail

Lorsque la guerre éclate, très vite sont interdits les partis d’opposition et les médias qui ne sont pas dans la ligne officielle. Sans doute une démonstration de valeurs démocratiques pour plaire à la Commission européenne… Tout aussi inquiétant, les autorités décident par la loi 5371, ratifiée le 17 août 2022 par le président Zelensky, de supprimer le code du travail dans les entreprises de moins de 250 personnes, c’est-à-dire pour plus des deux tiers de la population. Désormais, il n’existe plus que des contrats « librement » négociés avec l’employeur, qui peut imposer, par exemple, des semaines à 50 ou 60 heures et au-delà. Les salariés ne bénéficient plus de protection légale, et les syndicats n’ont aucun moyen d’action. L’Ukraine est devenue tout à fait légalement le paradis des patrons voyous.

Certes, un travailleur peut refuser un tel contrat, mais est-il sûr de trouver un autre emploi qui ne lui imposera pas les mêmes contraintes, puisque toutes les entreprises, à part les multinationales, bénéficient de ce régime d’exception ?

Signalons qu’a été ajouté à la dernière minute le fait que cette loi restera en vigueur tant que durera la loi martiale. Qui peut garantir qu’elle ne le sera plus ensuite, ne serait-ce que pour « fluidifier » le marché du travail ? Qui peut même garantir qu’avec la crise qui s’annonce dans l’Union européenne, le même type de loi ne viendra pas s’imposer, évidemment pour le bien des salariés ?

Le pays de la traite des êtres humains

Ce qui précède y conduit de manière soft, mais il y a pire encore : de nombreux rapports prouvent que l’Ukraine est le pays des enfants à vendre, mais pas seulement. Par exemple, le Trafficking in Persons Report de 2021 publié par le Département d’État US, donc peu suspect d’être partial envers l’Ukraine, rapporte ceci :

« PROFIL DE LA TRAITE : Comme cela a été signalé au cours des cinq dernières années, les trafiquants d’êtres humains exploitent des victimes nationales et étrangères en Ukraine, et les trafiquants exploitent des victimes ukrainiennes à l’étranger. Les victimes ukrainiennes sont exploitées dans le cadre du trafic sexuel et du travail forcé en Ukraine, ainsi qu’en Russie, en Pologne, en Allemagne et dans d’autres régions d’Europe, en Chine, au Kazakhstan et au Moyen-Orient. Les victimes ukrainiennes sont de plus en plus exploitées dans les États membres de l’Union européenne ».2

On se demande bien ce que fait la Commission européenne, si prompte à se glorifier de ses valeurs droits-de-l’hommistes, pour lutter contre ce fléau… Le rapport se poursuit ainsi :

« Les quelque 104 000 enfants placés dans des orphelinats d’État sont particulièrement exposés au risque de traite. Les responsables de plusieurs institutions d’accueil et d’orphelinats publics auraient été complices ou délibérément négligents dans le trafic sexuel et le travail des filles et des garçons dont ils avaient la charge. »

Même si le mot ne figure pas en toutes lettres, c’est bien de pédocriminalité dont il s’agit. « Un enfant sur dix victimes de traite dans le monde vient d’Ukraine ». Dans ce film diffusé sur Arte, nous apprenons aussi qu’une « quarantaine d’adolescents ont été vendus à des hommes politiques locaux à des fins sexuelles »3. La presse et le grand public sont tenus à l’écart du procès ». Naturellement, il n’en est rien ressorti et qui peut croire que, depuis, la vertu s’est abattue sur les élites de l’Ukraine ?

Pourtant, qui a entendu Ursula von der Leyen, Charles Michel, Josep Borrell, Emmanuel Macron, Olaf Scholz, Boris Johnson… dénoncer ces violations des droits de l’homme inadmissibles ?

Alors, qui veut encore soutenir le pays de rêve du président Zelensky et de l’OTAN que nous vantent jour et nuit les médias de l’Occident ? Leur Ukraine mérite-t-elle notre soutien, et même nos sacrifices ?

Pour aider le peuple ukrainien et éviter la catastrophe qui produit déjà ses effets sur notre société, il n’y a qu’une option : la paix. Il est donc urgent d’arrêter d’envoyer des armes et de l’argent pour la guerre : elle doit s’arrêter faute d’armes et pas faute de combattants. De plus, nous courrons le risque de nous y retrouver nous aussi si nous n’arrêtons pas la folie de nos dirigeants.

Source : Stratpol,  https://stratpol.com/quelle-ukraine-soutenons-nous/

Nouvelles d’ici et d’ailleurs (suite)

L’Allemagne s’enfonce … et pourrait s’enfoncer encore plus bas

Il y a deux nouvelles préoccupantes qui pourraient déstabiliser l’ensemble de l’Europe. Malgré les affirmations du gouvernement allemand la Deutsche Bank est très fragile et risque de se trouver dans les prochains jours en crise en suivant le scénario du Crédit Suisse car les CDS (credit default swaps) sur les prises de position short des valeurs boursières ont vu leur indice grimper en flèche en fin de semaine dernière. L’exposition de la DB est estimé à beaucoup plus que le produit intérieur brut de l’Allemagne. Si la Banque nationale d’Allemagne réagit et planifie un sauvetage de la DB en cas d’aggravation de la situation le tribunal de Karlsruhe pourrait s’y opposer et la BCE n’a plus les capacités de réaction. Un signe avant-coureur peut être interpréter par la baisse des taux de la BCE et de toutes les autres banques nationales des Etats de la zone euro, mais cette interprétation peut aussi être considérée comme une réaction aux conséquences de la faillite des banques régionales américaines provoquées par la hausse des taux à 10 ans qui ont vu leur capital placé enT-bonds se déprécier de quelques 30 %.

L’autre paramètre fragilisant l’Allemagne est l’attitude du Chancelier au sujet du sabotage des gazoducs russes (mais aussi en partie allemands) pour lesquels la DB participait dans le financement de ce projet. Scholtz « savait » et il n’a pas réagi, plongeant ainsi son pays dans un marasme économique profond puisque l’économie de l’Allemagne était basée sur une énergie russe à bon marché. Il ne fait aucun doute que le Chancelier Scholtz est un traitre à son pays comme l’a souligné Fox News il y a quelques jours :

Myen-Orient : redistribution des cartes

L’accord Iran-Arabie Saoudite précipite la restructuration du paysage politique au Moyen-Orient. L’Arabie saoudite a rétabli ses relations diplomatiques avec Damas. Au même moment les quelques 500 soldats américains restant stationnés en Syrie ont reçu l’ordre d’évacuer le pays, leur soutien aux Kurdes et à Daech est donc terminé et la Turquie se trouve ainsi isolée car elle est toujours membre de l’OTAN. Je ne suis pas un expert en géopolitique mais il ne reste plus d’autre choix que de quitter cette organisation hégémonique et mafieuse. Suivant en cela l’Algérie et l’Arabie saoudite sans oublier l’Iran l’Egypte vient de demander sont adhésion à l’Organisation de Coopération de Shanghai. Tout cela préfigure une complète réorganisation du Moyen-Orient à laquelle les Américains ne sont pas intervenus. Il est clair que le pion majeur des USA au Moyen-Orient va se trouver dans une situation très délicate, je veux parler d’Israël. Affaire à suivre …

que cache la censure du gouvernement relative aux interventions médiatiques du Docteur Alexandra Henrion-Caude.

L’une des généticiennes spécialiste mondiale des ARN petits ou grands (comme celui de Pfizer ou Moderna) est victime de censure et de diffamations. Il est confondant qu’une telle scientifique soit la proie de la vindicte gouvernementale française. Cette personne respectable est salie par les médias télé ou papier car elle dérange. Mais qui dérange-t-elle? Voilà une bonne question et je doute que la réponse soit évidente car la sphère gouvernementale constituée d’incapables et d’ignorants a fait tellement d’erreurs lors de la gestion de l’épidémie de SARS-CoV-2 qu’elle a probablement beaucoup de raisons de censurer Madame Henrion-Caude. Il est temps que les choses soient clarifiées pour au moins rassurer le peuple qui a été soumis à des injections inutiles et toxiques. Ma question est la suivante : combien de milliers de dollars voire beaucoup l’ensemble des membres du « conseil de guerre contre le SARS-CoV-2 ont touché de pot de vin pour instituer le pass sanitaire rendant cette « vaccination » obligatoire sous peine d’être ostracisés comme l’ont été des personnels médicaux ou encore des pompiers ?

Brève. Démystification de l’Holodomor ?

En ces temps agités en raison des évènements d’Ukraine, les anti-russes occidentaux remettent sur le devant de la scène l’Holodomor, menaçant l’intervention spéciale russe dans le Donbass comme rappelant la grande famine des années 1933 et 1934 qui affecta non seulement les riches terres de l’Ukraine mais également toutes les régions de terres de loess de la partie est de la Mer Noire jusqu’au nord du Kazakhstan actuel. Au total cette période de sécheresse durant deux années consécutives réduisit la production de céréales de près de 70 %. La seule décision que l’on peut objectivement reprocher à Staline fut son refus de faire appel à des importations en provenance en particulier de France ou des Etats-Unis. L’excuse de Staline fut que les finances de l’URSS, en plein processus de collectivisation de l’économie, étaient désastreuses. Le fait qu’il y eut plus de 8 millions de morts en raison de cette famine conduisit immédiatement les Occidentaux, avec en premier lieu les nord-américains.

Comme l’a rappelé l’historienne Annie Lacroix-Riz dans un récent exposé très détaillé et documenté l’Holodomor a été instrumentalisé par les Occidentaux et à l’occasion des évènements d’Ukraine, le sujet est réapparu dans les médias. Annie Lacroix-Riz a cité un ouvrage écrit par un dénommé Douglas Tottle, un syndicaliste et journaliste classé à gauche voire sympathisant communiste par l’intelligentzia canadienne. La sortie de son livre « The Ukrainian Genocide Myth for Hitler to harvard » en 1987 souleva une vague d’indignation dans le monde politique. Cependant l’historienne Lacroix-Riz considère que cet ouvrage mérite d’être analysé aussi impartialement que possible pour comprendre quelle fut la réalité de cette famine qualifiée à tort, selon elle, de génocide. Selon cette éminente historienne qui débrouille l’intrication des puissances occidentales et de l’Union soviétique puis aujourd’hui de la Russie, allant jusqu’à analyser l’attitude du Vatican dans cette vaste problématique et pour elle la lecture de cet ouvrage disponible en fac-similé sur la toile (en anglais) apporte un éclairage nouveau de cet événement : https://www.garethjones.org/tottlefraud.pdf dont je viens de débuter la lecture. J’écrirais un petit rapport sur cet ouvrage lorsque j’en aurai terminé la lecture qu’a vivement conseillé Annie Lacroix-Riz.

Nouvelles du Japon. Champions du monde de baseball

Pour la troisième fois de son histoire, le Japon a remporté la coupe du monde de baseball en battant à domicile l’équipe américaine. Le match de finale s’est déroulé au Tokyo Dome, un stade très particulier dont le toit ressemble à un immense ballon, situé dans un quartier de Tokyo parsemé de très beaux parcs les uns intimes avec la cérémonie du thé et d’autres ressemblant à une nature inviolée. C’est aussi un quartier d’affaires avec des tours imposantes.

On aperçoit sur la droite de la photo prise du sommet du SkyTree une tache claire, c’est le Tokyo Dome. À l’horizon situé à la gauche du stade se trouve le quartier de Shinjuku.

Mon fils résidant à Tokyo a découvert ce jeu et regardant le match en direct et a finalement compris quels étaient les enjeux de ce sport, ce que j’avoue n’avoir jamais faithttps://www.youtube.com/watch?v=YDtJEAvK8Os . Le baseball est très populaire au Japon. Il existe au sommet de beaucoup d’immeubles des sortes de « practice » dans une sorte de cage constituée de filets pour s’entrainer à frapper la balle avec la batte, l’un des gestes le plus critique du jeu. Le baseball a été introduit au Japon à la fin du XIXe siècle et il n’est pas rare aujourd’hui de croiser dans la rue de jeunes enfants avec leur pantalon blanc finement rayé de gris aller s’entrainer au lancer de la balle. Les Japonais veulent atteindre la perfection dans tous les domaines, qu’il s’agisse du tennis, de l’athlétisme, de l’alpinisme extrême et aussi du football. Le rugby est également un sport très prisé au Japon. Cette mentalité de la perfection a permis, dans le domaine industriel a propulser la firme Toyota a devenir le premier constructeur d’automobiles du monde, imbattable dans le domaine des voitures hybrides, ayant développé un secteur de recherche par exemple des batteries de nouvelle génération utilisant moins de cobalt et de lithium et plus légères. Dans moins d’un mois je serai à Tokyo et je profiterai de cette ville que j’apprécie beaucoup, un univers de quartiers différents les uns des autres vivant les uns à côté des autres dans une parfaite harmonie …

Quelle Ukraine soutenons-nous ?

L’auteur de l’article présenté ci-après et figurant sur le site Donbass-Insider le 23 mars 2023 est de Patrick Pasin, auteur du livre « Guerre en Ukraine – La responsabilité criminelle de l’Occident ». J’ai découvert cet article ce soir 24 mars, heure et date de Tahiti. Il complète l’article précédemment mis en ligne sur ce blog. 

Le slogan « Soutien à l’Ukraine » continue de fleurir. Ceux qui le promeuvent savent-ils que les Ukrainiens étaient le peuple le plus martyrisé d’Europe AVANT la guerre ? À cause de celui-là même que les Occidentaux chérissent… le président Zelensky. En synthèse, voici ce que nous cachent nos médias et qui devrait nous faire réfléchir à notre soutien sincère et amical au peuple ukrainien.

Le pays sans bébés

En 2021, le nombre de décès excède celui des naissances de 442 279 (note 1) un chiffre ahurissant pour environ 41 millions d’habitants : il signifie que plus de 1 % de la population a littéralement disparu cette année-là, sans même parler des effets de l’émigration.

En janvier 2022, le dernier mois avant l’Opération spéciale, la situation empire encore : sont comptabilisés environ 57 000 décès, mais seulement 18 000 naissances, soit un multiple de plus de trois.

Même si l’écart était moindre les années précédentes, il se situait toujours avec un excédent négatif à six chiffres depuis la révolution du Maïdan de 2014 et avant. À ce rythme, le peuple ukrainien aura disparu d’ici une à deux générations, d’autant plus qu’une grande partie des réfugiés et des émigrés ne reviendra pas, quelle que soit la forme que revêtira l’Ukraine à la fin de la guerre.

Il faut désormais y ajouter le désastre en cours, où plus de 200 000 hommes fauchés dans la force de l’âge ne feront plus d’enfants. Et la boucherie continue : ce sont maintenant des adolescents qui sont envoyés sur le front. Qui peut imaginer les conséquences à moyen et long terme quant à l’existence même du peuple ukrainien ?

Le pays des laboratoires de guerre US

D’après les données de l’OMS et des autorités locales, dont l’Ordre des médecins, les taux d’infection par VIH/sida, tuberculose, hépatite B et C… restent parmi les plus élevés d’Europe et du monde. La tuberculose s’y est même propagée sous une forme unique, très résistante aux médicaments.

Le pays est également affecté par de violentes épidémies de rougeole, malgré un fort taux de vaccination, mais aussi de grippe porcine, de botulisme, de leptospirose, de diphtérie, etc., que l’on ne trouve nulle part ailleurs dans de telles proportions.

Les tests médicaux effectués par les Russes sur les milliers de prisonniers de guerre ukrainiens montrent qu’un tiers d’entre eux ont été infectés par l’hépatite A, plus de 4 % présentent un syndrome rénal et 20 % ont la fièvre du Nil occidental. La conclusion est qu’ils furent soumis à des années d’expériences biologiques par les Américains. De la propagande russe ?

Non, puisque le département de la Défense des États-Unis reconnaît le 9 juin 2022 avoir établi des « collaborations » avec 46 laboratoires ukrainiens, évidemment à des fins… pacifiques. En réalité, le Pentagone ne « collaborait » pas mais opérait directement des laboratoires de guerre biologique en Ukraine depuis 2014, en contravention de la Convention sur les armes biologiques de 1972. C’est documenté depuis le Maïdan de 2014, dont, par exemple, un rapport d’un ancien agent du SBU, les services de renseignement ukrainiens, qui révèle que « la mort des sujets de l’essai a été autorisée dans le cadre de son déroulement ». En l’occurrence, les « sujets de l’essai » sont des Ukrainiens, pas des rats de laboratoire.

On découvre aussi que ces recherches extrêmement dangereuses visaient à améliorer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles. Parmi les priorités identifiées figure aussi l’étude des pathogènes bactériens et viraux pouvant être transmis des chauves-souris à l’homme, tels que les pathogènes de la peste, de la leptospirose, de la brucellose, ainsi que des coronavirus… Des coronavirus de chauve-souris ? Cela ne nous rappelle rien ? Ajoutons qu’un programme militaire intitulé « Covid-19 » fut financé en novembre 2019, soit trois mois avant que l’OMS donne ce nom à une pandémie mondiale qui n’a pas fini de faire parler d’elle. Simple coïncidence ?

Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que la population civile et les soldats ukrainiens servent de cobayes depuis des années aux militaires américains, avec la complicité de Kiev. De plus, ces armes biologiques nous menacent directement, car qui peut garantir que ces virus mortels s’arrêteront à nos frontières ? Que font la Commission européenne et nos gouvernements pour nous protéger de cette menace ?
Le pays des néonazis

L’agence Reuters évalue à plus de 100 000 ce que certains appellent les « nationalistes intégraux », qu’ils aient pour nom Azov, Aïdar, C14, etc. Ils empoisonnent la vie des Ukrainiens depuis 2014, et pas seulement des minorités russophones, magyares, juives, roms, LGBT… Ils ont notamment participé aux plus de 14 000 tués du Donbass, situation qui revêt les caractéristiques du génocide au sens de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948. Des témoignages révèlent, d’ailleurs, que ces bataillons de la mort percevaient jusqu’à 10 000 $ pour le meurtre ou la capture de tout séparatiste. Un bon business dans un pays dont on ne cesse de nous vendre les valeurs… démocratiques et progressistes.

Ils n’hésitent pas non plus à entrer armés dans les tribunaux pour menacer les juges, dans les administrations pour contraindre les maires et les gouverneurs. Ils obligent même certaines municipalités à les payer comme miliciens pour assurer la… sécurité des citoyens. Puisque l’Ukraine est aussi le pays sans justice, comme nous le verrons ci-dessous, ils ont tous les droits, dont le meurtre, le viol, la torture, le braquage, le racket, etc. Bien sûr, avec la complicité de la police.

Et lorsque le bataillon Aïdar est dissous par les autorités en 2016, ses membres bloquent une artère de Kiev et tentent de prendre d’assaut le ministère de l’Intérieur. Après un tel acte, on imagine que les peines de prison furent sévères… Que nenni ! L’ordre de dissolution est annulé et ils sont intégrés aux forces armées ukrainiennes, comme les autres bataillons néonazis après les accords de Minsk, puis envoyés commettre leurs crimes dans le Donbass.

De ce fait, ils deviennent nos… alliés, puisque l’Occident s’est allié à l’Ukraine à la vie à la mort (surtout celle des Ukrainiens, en tout cas pour commencer…).

La pays de la corruption

Ce point nécessiterait un chapitre entier tant la corruption est endémique en Ukraine. Ainsi, dès 2015, CNN relate qu’elle coûte de l’ordre de 10 milliards $ au budget de l’État. Aucune institution internationale n’est dupe de cette réalité. Par exemple, la Cour des comptes européenne constate dans un rapport de 2016 n’avoir aucune connaissance de l’emploi des derniers 11 milliards € envoyés à l’Ukraine. En revanche, on y lit que « les risques posés par les anciens et les nouveaux oligarques demeurent élevés ». Comment mieux avouer la corruption sans employer le mot ?

Néanmoins, les milliards continuent d’affluer, que ce soit de l’Union européenne, des États-Unis, du FMI, etc. Étrange, non ?

Pour ne pas tarir le flux de ces fonds d’une générosité sans borne, la question de la corruption est définitivement réglée par la Cour constitutionnelle de l’Ukraine (CCU) avec sa décision spectaculaire du 27 octobre 2020 : elle décharge le gouvernement, les hauts fonctionnaires et les juges de toute responsabilité pour fausse déclaration de patrimoine.

En conséquence, un juge qui aurait seulement déclaré la propriété d’un modeste logement à Kiev est désormais protégé par la loi s’il est découvert qu’il possède aussi une somptueuse villa sur la côte d’Azur. Au moins, les décisions de justice seront plus vite rendues : elles dépendront seulement de l’épaisseur des enveloppes versées. Il en est de même pour les politiciens et les fonctionnaires. Le pays de la corruption est aussi devenu le pays sans justice.

Depuis, bien évidemment, les milliards continuent d’affluer vers l’Ukraine. En réalité, sommes-nous certains que les dirigeants ukrainiens sont les seuls à en « croquer » ? Rien de ces sommes faramineuses ne serait donc partagé à l’abri des regards avec la partie occidentale qui les envoie à fonds perdus dans ce tonneau des Danaïdes qu’est devenu le Zelenskyland ?

Quoi qu’il en soit, il est sûr que ces dizaines de milliards, auxquels nous contribuons, n’ont pas bénéficié au peuple ukrainien ni à la paix.

Le pays sans droit du travail

Lorsque la guerre éclate, très vite sont interdits les partis d’opposition et les médias qui ne sont pas dans la ligne officielle. Sans doute une démonstration de valeurs démocratiques pour plaire à la Commission européenne… Tout aussi inquiétant, les autorités décident par la loi 5371, ratifiée le 17 août 2022 par le président Zelensky, de supprimer le code du travail dans les entreprises de moins de 250 personnes, c’est-à-dire pour plus des deux tiers de la population. Désormais, il n’existe plus que des contrats « librement » négociés avec l’employeur, qui peut imposer, par exemple, des semaines à 50 ou 60 heures et au-delà. Les salariés ne bénéficient plus de protection légale, et les syndicats n’ont aucun moyen d’action. L’Ukraine est devenue tout à fait légalement le paradis des patrons voyous.

Certes, un travailleur peut refuser un tel contrat, mais est-il sûr de trouver un autre emploi qui ne lui imposera pas les mêmes contraintes, puisque toutes les entreprises, à part les multinationales, bénéficient de ce régime d’exception ?

Signalons qu’a été ajouté à la dernière minute le fait que cette loi restera en vigueur tant que durera la loi martiale. Qui peut garantir qu’elle ne le sera plus ensuite, ne serait-ce que pour « fluidifier » le marché du travail ? Qui peut même garantir qu’avec la crise qui s’annonce dans l’Union européenne, le même type de loi ne viendra pas s’imposer, évidemment pour le bien des salariés ?
Le pays de la traite des êtres humains

Ce qui précède y conduit de manière soft, mais il y a pire encore : de nombreux rapports prouvent que l’Ukraine est le pays des enfants à vendre, mais pas seulement. Par exemple, le Trafficking in Persons Report de 2021 publié par le Département d’État US, donc peu suspect d’être partial envers l’Ukraine, rapporte ceci :

Profil de la traite

Comme cela a été signalé au cours des cinq dernières années, les trafiquants d’êtres humains exploitent des victimes nationales et étrangères en Ukraine, et les trafiquants exploitent des victimes ukrainiennes à l’étranger. Les victimes ukrainiennes sont exploitées dans le cadre du trafic sexuel et du travail forcé en Ukraine, ainsi qu’en Russie, en Pologne, en Allemagne et dans d’autres régions d’Europe, en Chine, au Kazakhstan et au Moyen-Orient. Les victimes ukrainiennes sont de plus en plus exploitées dans les États membres de l’Union européenne (note 2).

On se demande bien ce que fait la Commission européenne, si prompte à se glorifier de ses valeurs « droits-de-l’hommistes », pour lutter contre ce fléau… Le rapport se poursuit ainsi : « Les quelque 104 000 enfants placés dans des orphelinats d’État sont particulièrement exposés au risque de traite. Les responsables de plusieurs institutions d’accueil et d’orphelinats publics auraient été complices ou délibérément négligents dans le trafic sexuel et le travail des filles et des garçons dont ils avaient la charge ».

Même si le mot ne figure pas en toutes lettres, c’est bien de pédocriminalité dont il s’agit. « Un enfant sur dix victimes de traite dans le monde vient d’Ukraine ». Dans ce film diffusé sur Arte (note 3) nous apprenons aussi qu’une « quarantaine d’adolescents ont été vendus à des hommes politiques locaux à des fins sexuelles. La presse et le grand public sont tenus à l’écart du procès ». Naturellement, il n’en est rien ressorti et qui peut croire que, depuis, la vertu s’est abattue sur les élites de l’Ukraine ?

Pourtant, qui a entendu Ursula von der Leyen, Charles Michel, Josep Borrell, Emmanuel Macron, Olaf Scholz, Boris Johnson… dénoncer ces violations des droits de l’homme inadmissibles ?

Alors, qui veut encore soutenir le pays de rêve du président Zelensky et de l’Otan que nous vantent jour et nuit les médias de l’Occident ? Leur Ukraine mérite-t-elle notre soutien, et même nos sacrifices ?

Pour aider le peuple ukrainien et éviter la catastrophe qui produit déjà ses effets sur notre société, il n’y a qu’une option : la paix. Il est donc urgent d’arrêter d’envoyer des armes et de l’argent pour la guerre : elle doit s’arrêter faute d’armes et pas faute de combattants. De plus, nous courrons le risque de nous y retrouver nous aussi si nous n’arrêtons pas la folie de nos dirigeants.

Notes :

1. Soit 714 263 décès contre 271 964 naissances. Toutes les données et citations dans cet article proviennent de sources officielles et sont référencées dans Guerre en Ukraine, la responsabilité criminelle de l’Occident, Patrick Pasin, Talma Studios, 2023.

2. Souligné par moi.

3. « Trafic d’enfants au cœur de l’Europe », documentaire réalisé par Sylvia Nagel et Sonya Winterberg, 2019.

L’Union européenne se nazifie-t-elle ? La réponse est « oui ! »

Trente ans après la chute de l’Union soviétique on assiste en France à la mise en place d’un régime totalitaire. Il s’agit d’une tendance non pas spécifique à la France mais existant dans la grande majorité des pays de l’Union européenne. Cet état de fait a été révélé avec l’intervention pour des raisons humanitaires de la Russie en Ukraine avec l’opération spéciale le 24 février 2022 pour protéger les populations russophones de l’Ukraine-est persécutées par le gouvernement de Kiev et bombardées quotidiennement par l’armée du pays occasionnant depuis 2014 plus de 15000 morts et réduisant la population à l’état de sous-hommes qu’il fallait éliminer. Cette intervention, « opération spéciale » selon la nomenclature russe, entrait donc parfaitement dans le cadre de la doctrine Kouchner d’intervention armée dans un pays souverain pour des raisons humanitaires. Il faut tout de même se souvenir de l’histoire fraichement passée ! L’ingérence humanitaire a été soutenue et adoptée par les Nations-Unies (source Geneva Graduate Institute) :

Après les révélations scandaleuses de Merkel puis de Hollande de ne pas remplir leur devoir dans le cadre des accords de Minsk pour laisser du temps au régime de Kiev de s’armer afin d’exterminer les russophones du Donbass car c’est de dont il s’agissait en réalité, et devant la véritable ligne Maginot construite par l’armée Kiev, qui avait donc du temps devant elle, et l’afflux de troupes à l’ouest de cette ligne de défense révélée par les observations satellitaires, la Russie a décidé, en vertu de ce droit d’ingérence, d’intervenir. Contrairement à ce que ressassent les Occidentaux il n’y a pas eu d’invasion de l’Ukraine ou d’agression caractérisée de la Russie mais d’une mission spéciale conformément au droit d’ingérence humanitaire selon la doctrine Kouchner. Je le répète pour que mes lecteurs s’en persuadent … Les Américains se moquent des décisions de l’ONU et ont considéré que l’intervention de la Russie était illégale, ben voyons ! et ils ont insufflé ce message dans l’esprit de tous les Européens pour les impliquer dans ce conflit.

Il faut néanmoins replacer cette intervention de la Russie dans son contexte. L’Ukraine est un pays totalement corrompu, on peut dire sans s’éloigner de la réalité un pays sans foi ni loi sous la coupe réglée d’oligarques avides et d’ultra-nationalistes manipulés par les services secrets occidentaux dès la chute du mur de Berlin, qui nourrissent une haine anti-russe héritée de l’histoire remontant à l’opération Barbarossa hitlérienne. Cette haine anti-russe date en effet de l’arrivée des Allemands sur le sol ukrainien et la population de l’ouest du pays s’est convertie à l’idéologie nazie anti-slave en général mais également anti-sémite et anti-tsigane. Cette idéologie continue aujourd’hui à littéralement infecter le monde politique de Kiev vénérant l’un des pires criminels de guerre que l’on ait pu imaginer en la personne de Stepan Bandera érigé en héro national par l’actuel président de l’Ukraine. L’Europe semble ignorer l’histoire, semble ignorer le devoir d’une nation à intervenir dans le cadre d’une ingérence humanitaire, semble ignorer le droit des peuples à disposer d’eux mêmes, disposition inscrite dans la Charte de l’ONU, et semble ignorer que des hauts responsables politiques en l’occurence la Chancelière Merkel et le président Hollande ont commis l’un des plus graves crimes, un crime commis contre la paix. Tout cela pour soutenir un régime ouvertement ultra-nationaliste teinté de nazisme. En arrière plan se trouvent les Etats-Unis trop heureux d’entrevoir l’occasion de faire main-basse sur les ressources géologiques de la Russie par Ukraine interposée et éventuellement en cas de victoire de l’OTAN de réussir à démanteler la Russie afin d’en faire une sorte de puzzle de nations faciles à diviser en attisant des idéologies ethniques pour les monter les unes contre les autres afin de mieux régner, ce que les USA font d’ailleurs avec les pays de l’Union européenne.

Donc l’Union européenne est pro-fasciste en soutenant un pays ultra-nationaliste sympathisant du régime nazi hitlérien et de surcroit corrompu. Ce n’est pas un syllogisme que d’affirmer ainsi que l’Europe dérive vers un régime totalitaire teinté de nazisme. À la tête de la Commission européenne se trouve un personnage non élu dont le récent passé de corruption sème quelques doutes dans l’opinion publique mais ce n’est pas un problème car les peuples européens acceptent les yeux fermés les décisions de la Commission qu’il s’agisse des achats extravagants de « vaccins » ou de négation des racines de la situation ukrainienne. Les gouvernements nationaux ne protestent pas, ils sont donc complices et cela se concrétise par l’envoi d’armements létaux à l’Ukraine dans le mépris le plus total des lois supposées régir le fonctionnement de l’Union européenne.

La France a-t-elle soumis aux représentants élus du peuple sa décision de livrer de l’artillerie au régime de Kiev, des canons qui servent à tuer des civils ? Non ! Il y a l’OTAN derrière, le bras armé local des Etats-Unis, et c’est en réalité révélateur de la totale vassalisation de l’Europe sous le joug nord-américain. Il s’agit d’une démonstration anthologique de la servitude volontaire si bien décrite par Estienne de La Boétie dont une rue de Paris porte le nom près de l’Eglise Saint-Augustin pour ceux qui ne connaissent pas cette ville. L’endoctrinement par les médias s’explique donc parfaitement pour dissimuler la dérive guerrière tant des décideurs politiques de la France que d’autres pays de l’Union comme l’Allemagne, les Pays-Bas ou la Pologne.

Il faut ajouter aussi des rappels historiques pour comprendre le présent. Depuis l’arrivée aux commandes de la Russie de Vladimir Poutine le pays à peine sorti des décombres qui restaient de la vente par appartements du patrimoine industriel de l’ex-URSS par Eltsine à des oligarques soutenus par les Etats-Unis, ce véritable homme d’Etat revêtant une stature comparable à celle d’un De Gaulle, a su redresser l’économie de la Russie en utilisant savamment la religion orthodoxe pour souder la population et la rallier à son dessein de rétablir la grandeur de la Russie. Par exemple l’immense tâche de restauration des églises qui tombaient en ruine dans tout le pays jusqu’en Sibérie a remporté le soutien de toute la population privée de sacré depuis l’arrivée des bolchéviques. [Je voudrais glisser ici une incise au sujet d’Eltsine et de l’attitude américaine après l’éviction de Gorbatchev. Les Américains ont cru que l’occasion de s’infiltrer dans l’économie russe leur était offerte en corrompant quelques aventuriers pour prendre le contrôles de pans entiers de l’économie russe mais cette tendance a été arrêtée lorsque Eltsine a disparu dans l’oubli. Il y eut deux autres tentatives pour déstabiliser la Russie, en Géorgie et en Tchétchénie. On sait comment cela s’est terminé. Les récents troubles secouant à nouveau la Géorgie, favorisés par l’attitude proeuropéenne et pro-américaine de la nouvelle présidente Salomé Zourabichvili, francophone, opportuniste, ancienne diplomate française manipulée par la Commission européenne et les Etats-Unis déplait à Moscou qui n’hésitera pas à intervenir à nouveau au cas où la demande d’adhésion de la Géorgie à l’Union européenne se concrétiserait, car qui dit Union européenne dit aussi OTAN].

Revenons à Vladimir Poutine. Aujourd’hui le produit national brut de la Russie, contrairement à ce que la propagande occidentale affirme, se situe à mi-chemin entre l’Inde et le Japon, c’est-à-dire avant l’Allemagne entrée en récession et pourrie par l’idéologie écologiste. Ce calcul se réfère au pouvoir d’achat et tient compte de l’économie informelle qui ne passe pas par les réseaux bancaires. Il existe un exemple bien connu de ce genre de situation. Il s’agit des communautés de Chinois implantées par exemple à Paris ou encore dans de nombreuses villes portuaires dans le monde. Ces communautés pourtant riches vivent à l’intérieur du groupe et ne font appel aux services bancaires que par nécessité comme par exemple les paiements par carte bancaire. Dans les Etats de la Fédération de Russie à majorité musulmane industrialisés et riches les habitants ne font que très peu appel aux banques puisque les banques n’ont pas le droit de prêter avec intérêts.

Pour de nombreux pays en voie de développement ce miracle russe, sous l’impulsion de Vladimir Poutine, les pousse à considérer que cette politique constructive au sens noble du terme qui rejette le wokisme, les LGBT, et la propagande dans les écoles des innovations idéologiques issues des mouvements gauchistes universitaires américains est l’exemple à suivre. La promotion de la religion et la négation de l’idéologie progressiste nord-américaine satisfait une multitude de pays dans le monde y compris les pays musulmans ! D’ailleurs la Fédération de Russie est par définition et nécessité multiconfessionnelle et cet état de fait ne pose pas de problème. Aujourd’hui la Russie est devenue le premier exportateur de céréales du monde. Riche en hydrocarbures la Russie n’a pas privilégié la production agricole en l’orientant comme les Etats-Unis vers les carburants « verts », politique dont les conséquences sont d’affamer des pays incapables de produire des céréales eux-mêmes, c’est un crime contre l’humanité ! Quel commentateur de plateau télé occidental ose en parler ? Personne ne commentera cette attitude inique car, encore une fois les Européens sont les vassaux des USA et sont rongés de surcroit par l’idéologie verte.

L’Europe et la France, naturellement, ont donc adopté une attitude sympathisante à l’égard du régime de Kiev compatible avec une sympathie pour une idéologie néo-nazie contre laquelle des dizaines de millions de vies furent sacrifiées pour la combattre à l’époque de l’Allemagne nazie, curieux retournement de l’histoire. Les censures variées impactant les réseaux sociaux, les émissions vidéo et certains médias non conformistes rappèlent les pires heures sombres du régime nazi allemand et aussi celles tout aussi sombres du régime de Vichy en France. L’Union européenne dirigée par une femme corrompue et la France, je n’en dirai pas plus, est devenue un conglomérat de nations complices d’un régime nazi et par voie de conséquence, les circonstances aidant, ces nations sont devenues elles-mêmes des régimes nazis. C’est tout simplement écoeurant … La « Jungle et le Jardin » de Josep Borrel est bien une preuve du racisme qui ronge les responsables européens et du racisme au nazisme il n’y a qu’un demi-pas à franchir !

Il est enfin terrifiant de constater avec quel engouement les pays européens considèrent les visées totalitaires du Forum économique mondial dirigé par le fils d’un éminent dignitaire germano-suisse qui collabora étroitement avec l’Allemagne nazie via la société suisse Escher Wyss AG de Zürich dans le cadre d’une collaboration indéniable de la Suisse avec le régime hitlérien. Quand c’est arrangeant on oublie l’histoire ! Pourtant le présent s’explique en analysant cette histoire passée. Donc l’Europe occidentale bascule vers un régime politique néo-nazi totalitaire alors qu’au contraire la Russie représente un modèle de traditionalisme qui plait à nombre de pays en développement. En conclusion je suggère à mes lecteurs de lire l’article de Régis de Castelnau paru sur le site « Vu du Droit » :https://www.vududroit.com/2023/03/alliance-chine-russie-loccident-dans-les-machoires-du-piege/

Nouvelles d’ici et d’ailleurs (suite)

La chute du Crédit suisse : une grosse arnaque

Pierre Jovanovic, l’un des spécialistes des banques le mieux informé, a peint un tableau que l’on pourrait qualifier de surréaliste relatif à la fusion entre UBS et le Crédit Suisse. Le grand gagnant est UBS et il y a en miroir de très gros perdants à commencer par les Helvètes eux-mêmes pour qui la BNS (Banque Nationale Suisse) était considérée comme une institution irréprochable. Et pourtant … La BNS s’est couchée devant les exigences d’UBS qui était en définitive contrainte de fusionner avec le Crédit Suisse « pour ne pas perturber les marchés ». En résumé la tractation se détaille ainsi : la BNS apporte immédiatement 100 Md de francs pour calmer le jeu et en prime dans la poche d’UBS 9 Md alors que UBS ne va débourser que 3 Md pour racheter le Crédit Suisse. De plus la BNS garantit à hauteur de 98 MD de francs les dépôts comptabilisés (par qui, on n’en sait rien) dans le bilan de Crédit Suisse.

Si, comme l’a fait Pierre Jovanovic, on examine ces dépôts, il apparaît que des déposants, inutile de parler des actionnaires qui ont tout perdu, ont également perdu beaucoup dans cette arnaque :

Les autorités politiques suisses ont rejeté la nationalisation de Crédit suisse car une telle décision aurait nécessité une consultation citoyenne sachant qu’il en aurait coûté à chaque helvète la coquette somme de 11,5 millions de francs ! La BNS s’est donc couchée et est contrainte de faire chauffer la planche à billets ce qui n’est pas tout à fait son habitude. Les conséquences de la manœuvre de la BNS vont rapidement faire surface comme l’explique Pierre Jovanovic : licenciement immédiat de 10000 à 15000 personnes, perte de 17 milliards de dollars (ou francs suisses ou euros, comme vous voudrez) pour les actionnaires, déclenchement d’appels de marge dévastateurs. À ce propos je suggère à mes lecteurs de revoir le film « Margin Call » avec Jeremy Irons, Demi Moore et Mary McDonnell (2011) tout à fait d’actualité. Dans ce film ce sont les petits épargnants et les petits spéculateurs qui sont ruinés mais dans le cas de la fusion UBS-Crédit Suisse, la situation, comme le souligne Pierre Jovanovic, va être sanglante et par effet domino avoir des conséquences sur l’ensemble du monde bancaire.

Source et illustration : revue de presse de Pierre Jovanovic

Bercoff s’intéresse au climat … et il a bien raison.

En invitant Steve Koonin, Bercoff (Sud-Radio) a pris un risque, mais il est habitué, de se faire traiter de complotiste par la gauche progressiste qui se gargarise de réchauffement climatique pour imposer une gouvernance mondiale dont l’agenda est une diminution de la population mondiale et rétrogradation de la civilisation moderne à l’âge des cavernes et des outils en silex. Je caricature mais c’est à peu près cela. À l’occasion de la publication du dernier rapport de l’IPCC Koonin (Caltech, Pasadena) n’est pas du tout convaincu car comme un scientifique digne de ce nom il doute de la validité des conclusions de cet organisme politique. Je suggère à mes lecteurs d’écouter ou visionner en différé cette entrevue riche d’enseignements :https://www.youtube.com/watch?v=QTOUP2BIt2Y&ab_channel=SudRadio

Le dollar US va devenir aussi dénué de valeur que le dollar du Zimbabwe ! J’ai adoré cette émission sur un ton humoristique mais terrifiant, la chute implacable du dollar US. Peter Schiff discute sur un ton presque moqueur d’un problème auquel tous les pays occidentaux vont être confrontés dans les prochains mois. La Chine, fort heureusement, ainsi que la Russie mais d’autres pays comme l’Arabie saoudite ont subodoré le danger et sont très actifs pour « dédollariser » leur économie. La FED est, comme beaucoup de banques américaines, en faillite virtuelle. Ce n’est pas le genre d’information qu’on aime entendre ! Le pire dans cette situation est que l’euro, la livre sterling et le yen seront emportés par la chute du dollar. Et ceci préfigure on nouveau « nouvel ordre mondial que le Forum économique mondial n’avait pas prévu. Finalement une bonne crise financière mondiale pourrait être salutaire sinon souhaitable. Entrevue avec Mike Adams de EuroPacific Asset Management …

Brève. Les USA s’enfoncent dans une crise existentielle préoccupante

L’objet de cet article n’est pas l’Ukraine ni les menées géopolitiques américaines en Asie mais un fait de société très alarmant qui résume l’état de la société américaine au bord d’un gouffre existentiel. Il s’agit de la forte augmentation de la mortalité infantile en 2019, 2020 et 2021. Le très sérieux Journal of American Medical Association (JAMA) décrit les faits dans un éditorial paru le 13 mars 2023 (doi : 10.1001/jama.2023.3517). L’accroissement de l’espérance de vie globale a cessé de croitre aux Etats-Unis dès 2010 et cette tendance est plus prononcée chez les enfants et les seniors. En ce qui concerne plus précisément la mortalité des enfants, l’effet coronavirus a été négligeable puisqu’il ne rend compte que de 20 % de cette augmentation de mortalité. Cependant, toutes causes confondues et dans la tranche d’âge de un à dix-neuf ans cette mortalité a augmenté de 10,7 % entre 2019 et 2020 et encore de 8,3 % entre 2020 et 2021. Cette augmentation est la plus forte depuis plus de 50 ans. Dans cette tranche d’âge la plus importante augmentation de mortalité a été observée pour les enfants de 10 à 19 ans. Les trois principale causes de cette mortalité sont les homicides, les suicides, les empoisonnements par des drogues, illicites ou non, et l’alcool.

Le nombre de suicides chez les adolescents avait déjà augmenté dès 2013 atteignant jusqu’à 69,5 % d’augmentation en 2019 avant l’apparition du coronavirus. Dans cette tranche d’âge 10-19 ans l’augmentation de morts par overdose de drogues a augmenté, sur cette même période 2013-2019, de 113,5 %. Enfin l’usage d’armes à feu par ces jeunes adolescents explique un pourcentage élevé de cette mortalité, jusqu’à 47 %, incluant aussi les suicides, les homicides et les agressions racistes entre blancs et noirs ou « latinos ». Les enfants d’origine africaine ont 20 fois plus de chance de mourir par armes à feu que les blancs ! Le tableau dressé par cet éditorial du JAMA fait froid dans le dos. Et si on se contente d’en faire une analyse objective on arrive à la constatation que la société américaine, qu’il s’agisse des parents ou du système scolaire, ne prend plus soin de sa jeunesse. La crise sociale que subit la société américaine au niveau des coûts des dépenses de santé a complètement occulté les progrès de la médecine pédiatrique. L’avenir de ce pays est donc en grave danger … 

Brève. Coronavirus encore et toujours …

En complément au billet précédent voici une nouvelle intéressante qui révèle la position des « démocraties occidentales » au sujet de la campagne mondiale de « vaccination » organisée par ce même occident. En Allemagne environ 192 millions de doses de « vaccin » anti-coronavirus ont été injectées à la population de gré ou de force à ce jour. Supposée être efficace à 99 % cette thérapie génique était également considérée comme sans effets secondaires. Les faits ont prouvé le contraire et pourtant les autorités allemandes refusent de reconnaître ces faits pourtant prouvés par la science et malgré la quasi disparition de l’épidémie continuent à encourager l’injection de rappel au cas où un nouveau variant apparaitrait. Selon un sondage incluant 1700 participants pris au hasard plus de 52 % des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires dont 23 % ont souffert d’effets secondaires graves. Selon ce sondage il ressort que 36,6 % des 18-29 ans et 45 % des 30-39 ans ont fait l’expérience d’effets secondaires sévères de cette « vaccination ». Cette proportion diminue avec l’âge puisque moins de 30 % des personnes âgées de 70 ans et plus ont souffert d’effets secondaires seulement légers.

Enfin ce sondage a révélé un étrange résultat : les effets secondaires du « vaccin » semblent dépendre de la religion pratiquée par les personnes contactées puisque 79,8 % des musulmans ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires alors que 55,2% des catholiques et 51,7 % des chrétiens protestants ont rapporté des effets secondaires. Ce sondage a été effectué entre le 10 et le 15 mars 2023 et 84,9 % des personnes contactées ont déclaré avoir reçu au moins une dose de « vaccin ». Ce sondage a été organisé par INSA Meinungstrend, un organisme indépendant du pouvoir. Source : notrickszone.com. Conclusion : qui ment, le sondage ou les autorités politiques allemandes ?