Après l’épidémie de coronavirus qui, contrairement aux souhaits de l’« Etat Profond Mondial », n’a pas tué assez de personnes, fort à propos les évènements d’Ukraine ont été très utiles pour divertir l’attention des peuples européens. L’arrivée d’une inflation soudaine et massive dont les prémisses dataient de 2010 à la suite de la crise financière jamais correctement réglée par les banques centrales, les alertes climatiques ont commencé à resurgir plutôt timidement. Les gouvernements européens devenus des experts dans la manipulation de l’opinion se sont donc attaché à la mise en évidence de toutes sortes de peurs pour mieux asservir les citoyens dont ils sont dépositaires de la responsabilité qui leur a été octroyée par des votes dits démocratiques. La menace de la variole du singe a été une fausse alerte et constatant cet échec l’« Etat Profond Mondial » a mandaté l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’émettre des mesures coercitives en cas de nouvelle épidémie. Selon les traités internationaux l’OMS émet des recommandations mais ces dernières sont laissées à l’appréciation des États. Or la préparation de nouvelles dispositions conférant tout pouvoir à l’OMS en cas de nouvelle pandémie privera les États de toute initiative démocratique pour la protection de sa population. En un mot la santé de chacun sera contrôlée par une instance internationale. Il faudra être « pucé » comme les animaux, s’auto-diagnostiquer en se connectant à un site spécialisé auquel on accédera avec cette « puce » wifi. Hors cas graves un algorithme prendra soin de vous. C’est cette évolution que défend en France Laurent Alexandre et il n’a pas sorti ce délire de son chapeau car cette approche informatisée de la santé entre dans le cadre du projet totalitaire de l’« Etat Profond Mondial ».
L’« Etat Profond Mondial » réunit une multitude d’organisations onusiennes, la plupart situées à Genève en Suisse, qui ne sont plus indépendantes et n’oeuvrent plus pour le bien-être du monde entier, mais sont contrôlées par les puissances financières apatrides et des organisations telles que le World Economic Forum, le Club de Bilderberg et d’autres officines telles que les Global Young Leaders, l’Open Society et j’en oublie beaucoup qui échappent aux radars car elles sont secrètes. Le mouvement sociétal qui en ressort est appuyé par des médias contrôlés par quelques groupes de multimilliardaires pour accoutumer les peuples à ces changements radicaux de la société. Le président français a été un très bon élève lors de l’épidémie de SARS-CoV-2 puisqu’il fait partie de cette confrérie des Young Leaders et est formaté aux idéologies totalitaires du Club de Davos.
Nulle part la presse de grand chemin ne mentionne le danger de ce projet de l’OMS pour les libertés individuelles alors que ces dispositions bafouent les règles fondamentales de l’éthique et ont poussé le Code de Nuremberg dans les oubliettes de l’histoire. Voilà l’une des conséquences de la numérisation du monde et on ne peut plus y échapper puisque nous avons maintenant tous besoin d’un téléphone mobile pour la moindre démarche administrative. Cet état de fait n’était pas prémédité mais il se trouve que c’est l’outil idéal pour établir une surveillance des populations avant d’implanter sous la peau une « puce » rechargeable comme on recharge une montre électronique en la posant quelques minutes sur un petit socle. Enfin tous les individus seront « sous contrôle », telle est la finalité de ce projet qui sans nul doute sera décidé et adopté après une propagande parfaitement bien étudiée par l’Assemblée Générale des Nations-Unies, tous les membres de cette assemblée étant membres de l’OMS. C’est le vœu le plus cher d’un Bill Gates ou d’un George Soros ou encore d’un Klaus Schwab qui s’imaginent être les « leaders » du monde. Michel Maffesoli, l’extraordinaire logicien de la langue française imagine des traductions du mot anglo-saxon « leader » comme « Duce » ou « Führer », le guide, celui qui conduit les autres à la schlague, suivez mon regard.
La science fiction a imaginé un tel monde avec le film de George Lucas (1971) THX 1138 dans lequel est décrit un monde sans émotions, sans amour, tout le monde sous la dépendance de neuroleptiques, vivant dans des conditions sanitaires stériles, sous la surveillance d’une police d’androïdes, un monde bien plus effrayant que ce qu’avait imaginé George Orwell. Voilà ce qui attend nos enfants, petits-enfants et les générations futures : tous « pucés », ne possédant rien mais heureux, en quelque sorte THX 1138 …
https://www.consilium.europa.eu/en/infographics/towards-an-international-treaty-on-pandemics/