SARS-CoV-2 : L’homme qui a profité de la recherche sur le gain de fonction …

L’homme qui a profité de la recherche sur le gain de fonction a continué à commander un récit autoritaire et à coordonner une campagne de censure pour aider à la dissimulation des origines du SARS-CoV-2. Traduction d’un article paru sur le site medicalexperiments.news :

https://medicalexperiments.news/2024-02-21-daszak-profits-gain-function-research-controlling-narrative.html#

Avant que la pandémie de coronavirus ne se propage en Amérique, une bande de 27 scientifiques semblait avoir tout compris concernant les origines du coronavirus. Leur consensus a été publié dans le Lancet le 19 février 2020 ( https://doi.org/10.1016/S0140-6736(20)30418-9 ). Dans cette lettre, les scientifiques ont convenu que ce coronavirus était un virus naturel qui passait de la faune à l’homme. Mais ils n’ont pas simplement fait la promotion de leur hypothèse, et ils n’avaient aucun plan pour tester son mérite. Au lieu de cela, ils ont exigé que le reste de la communauté scientifique soit d’accord avec leurs suppositions. Ils ont condamné toute recherche ou enquête supplémentaire sur les origines en laboratoire du SARS-CoV-2. Ils ont écrit tristement qu’ils « condamnent fermement les théories du complot suggérant que le virus n’a pas d’origine naturelle » ( https://usrtk.org/covid-19-origins/ecohealth-alliance-orchestrated-key-scientists-statement-on-natural-origin-of-sars-cov-2/ ). Quiconque posait des questions sur l’agent causal présumé et sur les inconnues entourant un réservoir animal naturel pour le virus était considéré comme « une source de désinformation ». Dans la lettre, les scientifiques ont condamné la poursuite des questions : « Le partage rapide, ouvert et transparent des données sur cette épidémie est maintenant menacé par des rumeurs et des informations erronées sur ses origines. »

La lettre du Lancet, rédigée par Daszak, a constitué la base de la censure et de la dissimulation des origines du SARS-CoV-2

Cette lettre infâme du Lancet est devenue un récit qui a été répété à maintes reprises par les médias commerciaux. Sur les médias sociaux, toute question, dissidence ou preuve du contraire a été « vérifiée » et considérée comme théorie du complot. Les scientifiques, les médecins et divers individus ont été mis sur liste noire, leurs préoccupations interdites dans le domaine de la discussion [allez sur ce site https://censorship.news vous serez édifié !].

Personne n’a été autorisé à remettre en question les actions d’Anthony Fauci à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) qui a approuvé des subventions pour la recherche sur le gain de fonction du coronavirus et supervisé les opérations. Personne n’a été autorisé à interroger le Dr. Peter Daszak à Eco Health Alliance. C’est cette même organisation qui a reçu des subventions des NIH et des expériences de gain de fonction en Chine. Ces expériences comprenaient des travaux sur des agents pathogènes potentiellement pandémiques, des recherches qui étaient auparavant interdites aux États-Unis. Des scientifiques aux États-Unis et en Chine étaient censés améliorer la transmissibilité et la létalité des coronavirus afin d’élaborer des contre-mesures pour les pandémies futures. qui comprenait des expériences d’ARNm qui transcrivaient leurs séquences de protéines de pointe dans les cellules humaines.

Daszak a essayé de dissimuler son rôle autoritaire qui a contribué à la dissimulation des origines du COVID-19

Grâce au travail courageux des avocats de U.S. Right to Know, nous savons que dans les coulisses, ces 27 scientifiques ont reçu l’ordre d’accepter ce récit selon lequel le SARS-CoV-2 était d’origine naturelle. À la tête de cet effort de dissimulation, il y avait ce dénommé Peter Daszak, le même homme qui, pendant des années, a exploité les moratoires américains sur la recherche sur le gain de fonction et a profité de ce domaine contraire à l’éthique. Si M. Daszak était derrière la recherche sur le gain de fonction en Chine, pourquoi a-t-il été considéré comme l’autorité ultime sur les origines du virus en premier lieu ? Il est suspecté de crimes contre l’humanité. Cependant, il reste membre de l’équipe d’experts de l’Organisation mondiale de la santé qui retrace les origines du nouveau coronavirus et fait partie de la Commission « Lancet COVID 19 ».

Une enquête sur les communications de Daszak à l’époque révèle qu’il a essayé de dissimuler son propre rôle autoritaire en poussant la propagande du Lancet et en dissimulant les origines du SARS-CoV-2. Dans un de ses courriels, M. Daszak a dit qu’il avait l’intention que la lettre du Lancet « ne soit pas identifiable comme provenant d’une organisation ou d’une personne en particulier ». Daszak a écrit qu’il voulait « éviter l’apparence d’une déclaration politique ».

Dans l’enquête, de nombreux scientifiques qui ont signé la lettre du Lancet ont envisagé de masquer leur rôle dans son élaboration et d’être d’accord avec la lettre. Dans l’un de ses courriels, M. Daszak a écrit qu’en laissant leurs noms de côté, cela donnerait « une certaine distance par rapport à nous et, par conséquent, ne fonctionne pas de manière contreproductive ».

Pour légitimer le récit de dissimulation, Daszak a contacté deux collègues – Ralph Baric et Linfa Wang – qui sont également suspects dans la recherche sur le gain de fonction. Daszak leur a parlé de la lettre du Lancet, les exhortant à la signer, mais d’une manière qui cache leur identité. « Nous l’exprimerons ensuite d’une manière qui ne le lie pas à notre collaboration afin de maximiser une voix indépendante », a écrit Daszak ( https://usrtk.org/covid-19-origins/scientists-masked-involvement-in-lancet-letter-on-covid-origin/ ). Les architectes derrière ces expériences mondiales mortelles doivent être démasqués. L’enquête est en cours, [va-t-elle aboutir ?]

Commentaire de votre serviteur. Avec le temps l’OMS trouvera une autre opportunité également préparée de toute pièce pour créer ce que « Tedros » a appelé la maladie X à venir. L’humanité se trouve donc soumise à une sorte de mafia supra-nationale dont l’un des objectifs est une diminution significative de la population mondiale. Il existe trois outils pour atteindre ce but : la guerre, le contrôle de la santé- ce à quoi s’occupe activement l’OMS avec les encouragements et le financement de Bill Gates et enfin le contrôle de l’alimentation, aspect dans lequel les fonds de pension, BlackRock ou Vanguard par exemple, mais également Bill Gates font tout ce qui est permis par les gigantesques capitaux dont ils disposent pour acheter des terres arables dans le but de décider à qui et en quelle quantité les denrées alimentaires seront distribuées. Le dérèglement d’origine humaine sert d’alibi pour la mise en œuvre de toutes ces mesures. L’avenir de l’humanité me paraît extrêmement sombre. Le seul espoir qui reste pour les peuples est une crise financière qui tarira les moyens financiers de tous ces fous mythomanes que sont Gates, Soros, Schwab, Tedros, les messianiques nord-américains, Bilderberg … Le coronavirus était un coup d’essai et une autre pandémie artificiellement mise au point dans ce but malthusien est inévitable … Et pour conclure : https://pgibertie.com/2024/03/26/oms-comment-remplacer-la-science-par-la-propagande/

Beaucoup de gens savent que les rayons ultraviolets et les rayons X peuvent causer le cancer (The Epoch Times)

Introduction et remarques de votre serviteur traducteur. L’article ci-dessous trouvé sur le site Epoch Times a été traduit par les soins de votre serviteur pour démontrer que la propagande des défenseurs de la nature, opposés à tout progrès technique, ne s’appuie sur aucune évidence scientifique. Il s’agit des radiations électromagnétiques qui sont des photons dont l’énergie est inversement proportionnelle à leur longueur d’onde. Pour rappel les rayons gamma, X, et UV sont constitués de photons très énergétiques puis dans les longueurs d’onde plus grandes on rencontre la lumière visible puis les infra-rouges et enfin les micro-ondes et les ondes radio. Les rayonnements UV, X et gamma sont suffisamment énergétiques pour être considérés comme « ionisants » et susceptibles de détruire des molécules chimiques voire des tissus vivants. Les néophytes assimilent les radiations électromagnétiques, c’est-à-dire des photons, avec les champs magnétiques. Il s’agit de deux domaines de la physique différents. Dans cet article on assiste à une confusion malhonnête entre ces deux approches. Tout se complique lorsque les téléphones portables et « leurs émissions d’ondes » qui seraient cancérigènes ! Or les signaux électromagnétiques émis et reçus par les téléphones portables sont des ondes hertziennes, c’est-à-dire encore des photons mais de grande longueur d’onde et donc très peu énergétiques. Au pire l’effet ressenti peut être un échauffement superficiel de la peau, encore faut-il se trouver très près de la source émettrice mais compte tenu de la puissance de l’émission de ces signaux électromagnétiques il y a peu de chance de ressentir un tel échauffement local comme par exemple le pavillon de l’oreille si on reste longtemps avec son téléphone collé sur ce dernier.

La seule mention du CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer, IARC) une administration onusienne qui ne fait pas de recherche mais se contente de collecter des informations et d’en déduire des conclusions alarmistes et le plus souvent malhonnêtes reprises par la presse toute dévouée à la cause environnementale et écologiste participe comme l’IPCC au maintien d’une sorte d’angoisse ou pire de terreur au niveau de la population qui globalement n’y comprend rien. En conclusion cet article est un tissu de propagande confus que je soumets à mes lecteurs pour la simple raison que j’ai consacré un peu de temps à le traduire. J’ai donc décidé de ne plus consulter le site Epoch Times que je classe désormais dans la catégorie de la presse de caniveau. Ce texte est un salmigondis éloigné de la science comme savent en écrire des idéologues ignorants qui confondent par exemple champ et onde, c’est dire à quel point ce texte est médiocre …

Beaucoup de gens savent que les rayons ultraviolets et les rayons X peuvent causer le cancer.

Ce sont des champs électromagnétiques ionisants (CEM) à haute fréquence. Les CEM ionisants sont considérés comme cancérigènes, tandis que les CEM non ionisants, tels que le Wi-Fi, les signaux Bluetooth et les champs des appareils électroniques, ne le sont généralement pas. Cette perception prévaut dans l’esprit du public depuis des décennies. Cependant, il y a une connaissance limitée du fait que certains CEM non ionisants sont également classés par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) comme cancérogènes de classe 2B — une catégorie indiquant le potentiel cancérogène pour l’homme.

Le Dr David Carpenter, professeur de santé environnementale à l’Université d’Albany et titulaire d’un doctorat en médecine de la Harvard Medical School, a fait remarquer que la radiofréquence, un type de rayonnement non ionisant utilisé dans les télécommunications, pourrait finir par être classé dans la classe 2A, ce qui dénote un cancérogène humain probable.

Oxydation, modifications de l’ADN et cancer

Le cancer est généralement causé par une mutation ou des changements de l’ADN. Des facteurs comme les infections virales, les radiations et les toxines environnementales peuvent modifier les séquences d’ADN. Les CEM ionisants endommagent directement l’ADN. Les ultraviolets, les rayons X et les rayons gamma éliminent les électrons de l’ADN, provoquant des mutations. Les mutations accumulées mènent à la malignité cellulaire.

Le rayonnement non ionisant n’a pas assez d’énergie pour endommager directement l’ADN. Pourtant, diverses études ont établi un lien entre l’exposition aux CEM non ionisants et la rupture de l’ADN. Les cellules des animaux exposés aux CEM et des utilisateurs de téléphones ont montré des dommages génétiques.

Le cancer peut aussi être provoqué par le stress seul, par exemple l’amiante et l’arsenic, qui causent le cancer en l’absence de dommages à l’ADN. 

Pour cette raison, M. Carpenter suggère que les CEM peuvent être cancérigènes simplement en induisant des « espèces réactives de l’oxygène » qui stressent l’environnement cellulaire par oxydation. Il a été démontré que l’oxydation générée par les CEM brise l’ADN dans les spermatozoïdes humains et les fibroblastes, ce qui indique des risques potentiellement cancérigènes. 

Le professeur émérite Martin Pall, spécialisé en biochimie et en sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington, a expliqué que les CEM sont compliqués en ce sens que des CEM plus forts ne signifient pas nécessairement plus de dommages à l’ADN. Au lieu de cela, seules des fréquences et des intensités spécifiques provoquent un effet. Cela a été démontré dans une étude récente de l’Université du Colorado, qui a révélé qu’à une fréquence de 4,2 MHz, les mitochondries de fibroblastes et de fibrosarcomes humains augmentaient en masse, induisant un stress cellulaire. Cet effet était absent aux fréquences supérieures et inférieures.

Selon le CIRC, les CEM non ionisants potentiellement cancérigènes comprennent :

1. Les CEM à très basse fréquence (ELF, extremely low frequency) se trouvent généralement à des fréquences de 50 à 60 Hz émises par les lignes électriques, les fils électroniques et pratiquement tous les dispositifs électriques.

2. Radiofréquence CEM émis par les appareils sans fil comme les téléphones, les modems Wi-Fi, les téléviseurs et les tours de téléphonie mobile utilisées dans les télécommunications. Ils sont également utilisés en imagerie par résonance magnétique (IRM).

La recherche indique une rupture chromosomique après les séances d’IRM.

Le CIRC a classé la radiofréquence dans la classe 2B plutôt que 2A, l’une des raisons étant le manque de preuves établissant un lien avec le cancer dans les études sur les animaux. Par contraste, l’étude de 2018 du National Toxicology Program des États-Unis des années 1990 a présenté des « preuves évidentes » de tumeurs cardiaques induites par radiofréquence chez les rats, ainsi que « certaines preuves » de cancers du cerveau et des surrénales. L’étude de 2018 de l’Institut Ramazani a également découvert des tumeurs cardiaques et cérébrales chez les rats, s’alignant sur ces résultats.

CEM et cancer du cerveau

Kjell Hansson Mild, consultant principal en sciences de la radiation à l’Université d’Umeå en Suède, a déclaré au Epoch Times que le lien entre l’exposition aux CEM et le cancer du cerveau et les tumeurs est bien établi. Une étude des années 1980 a révélé un risque de cancer du cerveau de 39% plus élevé chez les opérateurs de radio amateurs en raison des CEM. « Les gliomes cérébraux associés aux téléphones portables sont les plus étudiés. Les gliomes apparaissent après 10 ans d’utilisation modérée du téléphone portable, principalement des cancers ipsilatéraux (cancer du même côté de la tête où vous tenez le téléphone portable) », a déclaré le professeur émérite Magda Havas à The Epoch Times par courriel. Les gliomes sont des cancers du cerveau.

Une étude de 2017 a établi un lien entre l’utilisation ipsilatérale à long terme des téléphones mobiles et un risque accru de gliome à croissance lente de plus de 40 %. Une vaste étude française menée entre 2004 et 2006 a révélé que les personnes ayant une « forte utilisation du téléphone mobile » présentaient un risque accru de gliome après des années d’utilisation.

En 2004, l’oncologue et professeur Lennart Hardell de l’Université d’Örebro en Suède a publié une étude impliquant plus de 1600 patients atteints de tumeurs cérébrales bénignes. Ses recherches ont révélé une probabilité 30% plus élevée de tumeurs cérébrales chez les utilisateurs de téléphones sans fil. Ces tumeurs se sont principalement développées sur le côté de la tête en contact avec le téléphone, avec un risque plus de 60% plus élevé après 10 ans d’utilisation du téléphone. Les tumeurs bénignes ne deviennent généralement pas cancéreuses; elles se développent plus lentement et n’envahissent pas les tissus voisins ou d’autres zones du corps. Une autre étude suédoise de 2004 n’a indiqué aucune augmentation initiale du risque de neurome acoustique (tumeur cérébrale bénigne) associée à l’utilisation du téléphone au cours de la première année. Cependant, à la 10e année, le risque a bondi à 90 %. D’autres recherches sur les tumeurs cérébrales ont émergé d’études d’exposition professionnelle.

Les expositions aux CEM et leur lien avec les tumeurs cérébrales. (The Epoch Times).

À la fin des années 1990, une étude a examiné environ 880 000 membres de l’armée de l’air américaine ayant au moins une année de service. Cette étude a détecté 230 cas de cancer du cerveau potentiellement liés à l’exposition aux radiofréquences, révélant un risque accru de 39 pour cent par l’exposition professionnelle. En 2001, une revue ( https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1240626/pdf/ehp109s-000911.pdf ) a démontré que les personnes travaillant avec l’électricité étaient exposées à un risque de cancer du cerveau jusqu’à 20 % plus élevé que le grand public. Pourtant, les chercheurs ont conclu que le risque était trop faible pour justifier une discussion sur sa causalité. Malgré l’exposition accrue du public aux radiofréquences dans l’environnement, les principales préoccupations de M. Hansson Mild sont les lignes électriques et les expositions professionnelles.

Il a noté que les téléphones utilisés dans les études précédentes émettaient des signaux plus forts que les téléphones d’aujourd’hui.

« Aujourd’hui, il suffit d’atteindre 200 mètres jusqu’à la prochaine station réceptrice et émettrice. Mais hier, il fallait 35 kilomètres pour atteindre la station de base », a expliqué M. Hansson Mild. Bien que les téléphones émettent des rayonnements plus forts dans le passé, Mme Havas a souligné que les rayonnements radiofréquences posent toujours un risque pour la santé, étant donné leur prévalence plus élevée aujourd’hui. 

Tout le monde ne possédait pas un téléphone dans le passé, mais la plupart des gens ont aujourd’hui un téléphone sans fil. 

« Beaucoup de gens utilisent maintenant des téléphones portables, et ils émettent encore beaucoup plus d’énergie que nécessaire, et les tumeurs cérébrales (gliomes) augmentent dans la population », a déclaré Mme Havas. « De nombreux appareils sans fil émettent maintenant des rayonnements de radiofréquence en plus des téléphones portables, comme le Wi-Fi, les compteurs intelligents, les téléphones sans fil, les modules de surveillance pour bébé sans fil, les montres intelligentes, etc., et ils sont actifs 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, dans la plupart des foyers, des écoles et des milieux professionnels. »

CEM et leucémie infantile

Certaines des premières recherches établissant un lien entre les champs électromagnétiques non ionisants et le cancer proviennent d’études sur la leucémie. « Nous savons qu’à Hiroshima et à Nagasaki… que la [latence de la leucémie] peut être de cinq à sept ans, mais dans le cas du cancer du cerveau, lorsqu’on examine l’exposition aux rayonnements ionisants ou aux produits chimiques, le délai entre l’exposition et la détection des cancers est habituellement de 20 à 30 ans », a déclaré le Dr Carpenter. Cette latence plus courte facilite la recherche, a-t-il expliqué. La leucémie a été fortement liée aux expositions aux CEM ELF par les lignes électriques et le câblage domestique. Le flux d’électricité crée de puissants champs magnétiques qui peuvent pénétrer les murs et le verre.

L’une des premières études sur ce lien provient d’un article de 1979 sur la leucémie au Colorado. Les auteurs ont constaté qu’entre 1976 et 1977, le cancer infantile dans la région était disproportionnellement trouvé dans les familles vivant près des lignes électriques transportant des courants électriques élevés.

Les risques semblaient également liés à la dose; par exemple, les enfants qui n’avaient pas bougé présentaient le risque de cancer le plus élevé. Des études menées au début des années 2000 ont révélé que les enfants exposés à des champs magnétiques de 0,3 à 0,4 microtesla présentaient un risque jusqu’à deux fois plus élevé de leucémie infantile que les enfants exposés à des champs magnétiques de moins de 0,1 microtesla. La limite de sécurité officielle pour les champs magnétiques est de 100 microteslas.

Les CEM et le cancer du sein

Le cancer du sein, en particulier le cancer du sein œstrogène positif, qui utilise l’hormone œstrogène pour se développer, a été bien lié aux CEM ELF.

Des recherches publiées depuis les années 1990 montrent que les CEM de 50 à 60 Hz favorisent la croissance du cancer du sein en culture cellulaire en bloquant l’action de la mélatonine, un agent antitumoral qui empêche la croissance tumorale. ELF EMF a également été montré comme inhibant le tamoxifène, un médicament contre le cancer du sein, dans les cultures cellulaires humaines. Des études épidémiologiques sur les femmes et les hommes ont montré que les CEM augmentent le risque de cancer du sein chez les deux sexes. La radiofréquence des téléphones portables a également été associée au cancer du sein.

Une étude taïwanaise de 2020 sur les femmes atteintes d’un cancer du sein a révélé que celles qui utilisaient habituellement un smartphone avant le coucher avaient un risque 43% plus élevé de cancer du sein.

Les femmes qui mettent régulièrement leur téléphone portable contre leurs seins peuvent également être soumises à un risque plus élevé. Cela a été illustré dans une étude américaine de 2013 portant sur quatre cas inhabituels de cancer du sein chez des femmes de moins de 40 ans sans antécédents familiaux ni prédisposition génétique. Le cancer du sein survient généralement chez les femmes de 50 ans ou plus ayant des antécédents familiaux ou certaines prédispositions génétiques. Les auteurs, par conséquent, ont cherché d’autres raisons et constaté que toutes les patientes portaient régulièrement leur smartphone directement contre leurs seins dans leur soutien-gorge jusqu’à 10 heures par jour pendant plusieurs années et développaient des tumeurs dans les zones de leurs seins immédiatement sous les téléphones.

Recherche difficile

Il a été difficile de prouver si les CEM provoquent des cancers, selon le Dr. Carpenter. En raison de l’utilisation généralisée de l’électricité et des télécommunications à l’échelle mondiale, il est devenu presque impossible de trouver un groupe non exposé à des fins de comparaison dans les études sur les taux de cancer. Un autre problème est que la biologie est très compliquée; toutes les cellules ne répondent pas aux CEM, et tous les CEM ne provoqueront pas une réaction biologique. Les cellules peuvent se comporter très différemment selon les processus biochimiques dans la cellule au moment de l’exposition. Même des échantillons de la même lignée cellulaire provenant des mêmes laboratoires peuvent réagir différemment aux CEM.

Il existe également des travaux publiés menés par des chercheurs inexpérimentés dans la recherche sur les effets des CEM. Par exemple, les chercheurs qui testent des champs magnétiques sur des cultures cellulaires dans des incubateurs pourraient ignorer que l’incubateur lui-même pourrait émettre des champs magnétiques plus forts, rendant l’étude invalide. Les motivations financières au sein de l’industrie pourraient également contribuer à des liens non concluants entre les CEM et le cancer. Des recherches indépendantes menées par le Dr Carpenter et le professeur émérite Henry Lai de l’Université de Washington ont révélé que les études financées par l’industrie ne révèlent souvent aucun lien entre les CEM et les effets sur la santé. En revanche, la recherche indépendante et financée par le gouvernement tend à identifier une association. « Vous ne pouvez toujours pas trouver d’effet si vous concevez une étude défectueuse », a déclaré M. Carpenter. « Je pense qu’à bien des égards, l’industrie des télécommunications a délibérément brouillé les cartes en appuyant la publication de résultats qui sont conçus pour ne pas avoir d’effet ». « Par conséquent », a-t-il poursuivi, ils affirment que les résultats sur les CEM causant le cancer « sont incohérents et non concluants ».

Conclusion de cet article : faut-il vivre comme les Hamishs ainsi que le préconisait Emmanuel Macron !

Dérèglement climatique ou dérèglement mental des élites politiques ?

J’ai écouté une émission sur Sud-Radio au sujet du « climat » or pendant 25 minutes on ne débat pas de climat mais de météorologie, de sécheresse, d’orages, de canicule. À ma connaissance la Terre tourne autour du Soleil en une année et comme l’axe de rotation de la Terre sur elle-même n’est pas perpendiculaire au plan de l’écliptique, c’est-à-dire le plan de l’orbite circumsolaire de la Terre. La conséquence est une alternance des saisons car l’ensoleillement varie au cours de cette trajectoire de la Terre autour du Soleil. Les variations saisonnières de la température, des précipitations et des nuages ne relèvent pas du climat mais de la météorologie. Les températures sont plus fraiches en hiver et plus chaudes en été, ce n’est pas nouveau et ce n’st pas un dérèglement climatique.

Les décideurs politiques n’ont rien à voir avec cela. Les commentateurs entretiennent la panique dans la population. S’il fait trop chaud l’homme s’adapte, il s’est toujours adapté par le passé. Nos ancêtres qui ont décoré la grotte Chauvet vivaient rudement en pleine période glaciaire. Ils chassaient le renne et le rhinocéros laineux et ils ont survécu non pas parce qu’ils vivaient dans des grottes mais tout simplement aidés par la formidable adaptation de l’homme à toutes sortes de conditions de température. Pourquoi l’homme s’est adapté au climat polaire, pourquoi vit-il très bien dans les îles tropicales comme votre serviteur ? Pourquoi les Danois se trouvent très heureux au sud du Portugal pour vivre une retraite épanouie alors que la différence de températures moyennes entre leur pays d’origine et le sud de la péninsule ibérique est de l’ordre de 15 degrés ?

Il y a quelques jours dans la rue à Papeete une passante m’a demandé si je n’avais pas trop chaud, le vent chaud et humide était orienté de secteur nord et la température « ressentie » était supérieure à la température réelle en raison de cette humidité élevée. Je lui ai répondu un peu sèchement mais avec le sourire que si je souffrais de la chaleur je n’aurais pas choisi de vivre à Tahiti ! Il faudrait tout de même que les médias se calment … Lien : https://www.youtube.com/watch?v=QA69NlkWAVY&ab_channel=SudRadio Et quand la Terre entrera dans un nouvel âge glaciaire tous mes petits-enfants auront disparu et leurs propres enfants et petits-enfants seront déjà âgés alors je vis tranquillement sans angoisse existentielle !

Et il y a de multiples bonnes raisons de ne pas se sentir concerné par cette propagande incessante au sujet du climat. En voici une qui est soigneusement dissimulée par ces clercs de la nouvelle église de Gaïa grassement rémunérés pour nous persuader qu’il est temps d’adopter une vie monastique afin de cesser de consommer à outrance les bienfaits mis à notre disposition par la déesse Gaïa. Tous les modèles d’évolution du climat font référence à de l’énergie pour paraître plus crédibles en regard des températures qui mesurent une grandeur physique « vive » comme le temps. Il s’agit de l’irradiance solaire et des flux d’énergie exprimés en Watt/m2. La plus haute sensibilité atteinte par les satellites dédiés pour mesurer ces flux d’énergie globaux est de l’ordre de +/- 2 Watts par m2 à la surface des terres émergées et des océans (de mémoire l’irradiance solaire moyenne au niveau du sol est de l’ordre de 1200 Watts par m2 sous les tropiques et de 485 W/m2 sur l’ensemble de la Terre). Or l’administration onusienne en charge de la propagande climatique mentionne des variations de l’ordre de 0,2 Watts par m2 pour justifier l’alarmisme de ses modèles d’évolution du « climat » qu’il s’agisse de l’irradiance solaire, des réflexions par les nuages ou de la fameuse rétro-irradiation appelée effet de serre des rares gaz présents dans l’atmosphère comme le méthane et le gaz carbonique ! Cherchez l’erreur … Et aussi : https://www.youtube.com/watch?v=Zeegk_kzgmg&ab_channel=Soci%C3%A9t%C3%A9deCalculMath%C3%A9matique%2CSA

Réflexions de géopolitique : Ukraine, Organisation de Coopération de Shanghaï

Pierre Conessa a qualifié la propagande occidentale de « viol des foules ». Je trouve l’expression particulièrement significative et les faits le prouvent. Un jour ou l’autre la vérité surgira mais il faut être patient et également user de discernement en utilisant pour s’informer un large éventail de sources pour être capable de réaliser des recoupements. C’est la seule approche honnête que de nombreux journalistes ne prennent mais pas la peine de choisir. En France ils reprennent une dépêche de l’AFP, ajoutent quelques mots pour mettre en exergue un passage ou au contraire à tronquer la dépêche pour en dissimuler les aspects qui ne correspondent pas à la ligne idéologique de leur employeur. On peut appeler cette attitude comme de l’autocensure mais je considère qu’il s’agit plutôt de propagande. Le monde occidental est gavé de propagande jusqu’à la nausée, qu’il s’agisse du changement climatique ou des évènements d’Ukraine. Les agissements de la CIA en Géorgie sont, il fallait s’y attendre, une nouvelle tentative vers la recherche de la démocratie. Et ce type d’intervention souterraine des services américains pour installer la démocratie s’est invariablement terminé par un conflit armé ou un coup d’Etat suivi d’une dictature dans des pays aussi divers que le Guatemala, le Chili ou l’Ukraine.

Le cas de l’Ukraine est un exemple anthologique puisque comme l’explique l’article de Laurent Brayard paru sur le site Donbass-Insider, dès le lendemain des évènements de Maïdan l’OTAN, le bras armé extraterritorial des Américains, a entrainé l’armée ukrainienne en vue d’un conflit armé avec la Russie. Hollande et Merkel n’ont rien fait pour que les accords de Minsk soient respectés par l’Ukraine pour laisser au régime de Kiev le temps de fortifier la véritable triple « ligne Maginot » entourant les oblasts de Lougansk et Donetsk. Le canal d’irrigation provenant du barrage sur le Dniepr situé en amont de Kherson destiné à acheminer l’eau à la Péninsule de Crimée a été coupé et l’alimentation électrique de la péninsule a subi de nombreuses coupures dans le but de faire comprendre à la population criméenne exclusivement russophone qu’elle avait fait une erreur en organisant un référendum démocratique et honnête pour demander son rattachement à la Russie.

Cette demande n’a même pas été examinée par l’ONU. Il s’est agi d’une violation de la Charte des Nations-Unies qui reconnaît le droit des peuples à disposer de leur destinée. Il en fut de même pour les deux républiques auto-proclamées du Donbass. Je rappèle ici que ces mêmes Nations-Unies n’ont jamais entériné le référendum organisé par la France aux Comores dont le résultat fut le rattachement à la France de l’île de Mayotte.

Les Américains, via l’OTAN, avaient donc un plan bien établi 8 années avant l’intervention de la Russie à la demande de ces deux républiques auto-proclamées. À l’évidence les Etats-Unis ont refusé de faire figurer à l’ordre du jour l’examen du dossier de ces deux républiques puisque cela aurait contrecarré leur plan d’agression du Donbass par le régime nazi de Kiev avec le soutien non officiel de l’OTAN. Ce plan américain consiste à vaincre la Russie dans le but de faire main-basse sur les immenses richesses du sous-sol russe, projet conforme aux multiples interventions américaines dans le monde entier pour contrôler les gisements de pétrole, l’USGS, équivalent du BRGM français, étant parfaitement au fait des réserves du sous-sol de presque tous les pays du monde … sauf de la Russie. Une grande partie de la Sibérie n’a pas encore été prospectée correctement et personne ne sait ce qu’il y a sous la majeure partie des traps de Sibérie, un territoire grand comme 14 fois celui de la France recouvert de coulées de basalte. L’un des gisements miniers le plus connu est celui de Norilsk dont les réserves en nickel, cobalt et palladium sont les plus importantes du monde. Il se trouve à la limite de ces traps dans le grand nord sibérien.

Ainsi conformément à la politique impérialiste des Américains ils ont mis le pied en Ukraine dès la chute de l’Union soviétique en organisant la révolution de couleur de 2004 puis les événement de Maïdan, les élections présidentielles officielles ayant permis l’arrivée d’une personnalité pro-russe. Ces évènements, personne ne le nie aujourd’hui, furent organisés et financés par la CIA. Il s’agit de la stratégie classique de déstabilisation d’un pays dont la ligne politique est contraire à l’agenda de domination du monde par Washington. C’est exactement ce qui se passe actuellement en Géorgie, c’est ce que les Américains ont organisé à Hong-Kong il y a quelques années et c’est ce qui aurait pu arriver en France si les électeurs avaient élu Mélanchon, un crypto-marxiste admirateur de Maduro, à la tête de l’État français. En Europe la Commission tient en laisse tous les gouvernements et cette Commission est sous la haute surveillance des Américains.

Mais de nombreux signes de rébellion apparaissent presque chaque jour et je n’en citerai que l’un des plus importants et récent pour ensuite digresser sur l’organisation de coopération de Shanghaï. Le 10 mars 2023, le site Arab News en français a mis en ligne un article relatant l’accord signé à Pékin dont le but est de rétablir des relations diplomatiques entre l’Arabie saoudite et l’Iran sous la houlette de la Chine. Dans un délai de 2 mois ces deux pays rouvriront leurs ambassades respectives, l’accord de coopération en matière de sécurité signé en 2001 sera réactivé, le Ministre saoudien des Affaires étrangère, le prince Faisal ben Farhane, a déclaré que cet accord découle, je cite, « de la vision du royaume basée sur la préférence pour les solutions politiques et le dialogue, et de sa volonté de la perpétuer dans la région ». Comme pour les accords commerciaux entre l’Arabie saoudite et la Chine de vente de pétrole payé en renminbi convertible, on constate un silence pesant de la Maison-Blanche.

Dans le même registre 25 pays et non des moindres comme l’Iran mais également l’Algérie se sont rapprochés de l’Organisation de Coopération de Shanghai (SCO). Le SCO est à l’origine un élargissement d’un groupe de pays dit « groupe des cinq » créé en 1996 regroupant dans un accord de coopération économique et d’assistance mutuelle la Chine, le Kazakhstan, le Kyrgystan, la Russie et le Tajikistan. Avec ces pays l’Inde et le Pakistan constituent l’instance suprême du SCO qui vient d’admettre en tant qu’observateurs les pays suivants : Mongolie, Iran, Afghanistan, Biélorussie, Sri Lanka, Turquie, Cambodge, Azerbaijan, Nepal, Arménie, Egypte, Qatar et Arabie Saoudite. Le cas de l’Algérie est particulier car ce pays ne se trouve pas dans le continent de la grande Asie. Il faut rappeler que selon les statuts du SCO les pays membres et observateurs doivent signer des accords d’assistance militaire et de sécurité, de coopération économique et de mise en place d’une devise alternative au dollar US adossée à un panier de monnaies dans lequel le renminbi convertible constituera la référence.

Si les Américains arrivaient à considérer que tous ces pays sont hostiles aux Etats-Unis et constituent donc un danger pour leur sécurité alors ses velléités guerrières envers la Chine alors en toute logique les Etats-Unis seraient bien avisés d’adopter un profil bas car cette organisation compte parmi ses membres cinq pays disposant d’un arsenal nucléaire dont en particulier la Russie et la Chine et ce dernier pays se dote de vecteurs hypersoniques avec la bienveillante coopération de la Russie. C’est la raison majeure pour laquelle je pense personnellement que les Etats-Unis n’interviendront pas au sujet de Taïwan. Mais je peux me tromper … Liens :

L’OTAN entraînait des soldats ukrainiens depuis au moins 2015

https://www.arabnews.fr/node/356691/monde-arabe

https://en.wikipedia.org/wiki/Shanghai_Cooperation_Organisation

Enfin Jean-Marc Jancovici dévoile sa vraie nature totalitariste.

Jancovici, sommité du « réchauffement climatique », homme de plateaux télé, « le Gamelin du CO2 », propagandiste forcené, ancien collaborateur de Nicolas Hulot, et j’en passe, vient de dévoiler sa vraie nature idéologique. Il est favorable à la mise en place d’un système totalitaire pour asservir tous les citoyens afin que le but du réchauffement du climat ne dépasse pas les 1,5°C en prenant comme référence la moyenne de température des années 1850 comme l’a décidé ce ramassis de fonctionnaires onusien qui constitue l’IPCC, dictant des normes dogmatiques au monde entier. Jancovici abonde dans une double imposture. Tout d’abord, comme je le répète ici sur ce blog depuis 10 ans, la théorie du réchauffement du climat provoqué par l’augmentation du CO2 atmosphérique viole les lois les plus fondamentales de la thermodynamique. De plus l’effet dit de « serre » de ce gaz présent à l’état de traces dans l’atmosphère n’a jamais été formellement prouvé. Enfin toutes les observations au sol, dans les océans et par satellite contredisent les modélisations laborieuses élaborées par les « spécialistes » de l’IPCC.

Les impostures prônées et enseignées par Jancovici à l’Ecole des Mines sont donc de deux ordres. Le choix des années 1850 comme référence est en lui-même une imposture puisqu’à cette époque par exemple les glaciers alpins menaçaient des villages de destruction : ces années faisaient partie du « petit âge glaciaire » qui sévit sur l’Europe pendant près de 300 ans pour se terminer à la fin du dix-neuvième siècle. La deuxième imposture anti-scientifique qu’enseigne et mouline à longueur d’interventions télévisées Jancovici est l’effet du CO2 sur le climat. Présent à l’état de traces les raies d’absorption spectrales de ce gaz sont masquées par celles de la vapeur d’eau, un gaz infiniment plus abondant que ce CO2. Dans ces conditions le CO2 ne peut pas avoir d’effet sur le réchauffement qui lui est imputé. Enfin clamer que ce réchauffement provoque des sécheresses catastrophiques est mensonger. En effet, au cours de l’optimum climatique médiéval l’abondance de nourriture permit l’édification des cathédrales en Europe en raison de l’abondance de nourriture car cette abondance est directement liée à la pluviométrie, tout réchauffement du climat provoquant une plus forte évaporation des océans et donc une plus forte pluviométrie. Il en fut de même au cours de l’optimum climatique de l’Holocène, époque durant laquelle le Sahara était une savane luxuriante avec des lacs et des rivières.

Tout au long de ses exposés Jancovici répète des affirmations mensongères malgré le fait qu’il est « X-télécom » ( https://en.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Jancovici ) mais a probablement oublié ce qu’il a appris en classes préparatoires et à Polytechnique pour se plonger dans la propagande climatique. Quand il s’éternise sur le « pick oil » il oublie qu’il s’agit seulement de faire une petite piqûre de rappel de terreur qui comme le monstre du Loch Ness réapparaît tous les dix ans, car comme le dit clairement Rémy Prudhomme (lien ci-dessous) on en parle périodiquement depuis plus de 50 ans. En conclusion Jancovici est un imposteur pétri de propagande qu’il enseigne dans une grande école d’ingénieurs et il participe à l’« endoctrinement climatique » des étudiants. Bienvenue dans un monde idyllique où le mensonge est la règle d’or …

https://www.francesoir.fr/societe-environnement/jean-marc-jancovici-favorable-systeme-communiste-lutte-rechauffement-climatique

Je suis donc bien un complotiste !

Ce billet est une retranscription de mémoire de la conversation que j’ai eu ce soir mardi avec ce jeune diplômé d’une école belge de formation de conseillers auprès des décideurs politiques que j’avais déjà rencontré. Ce jeune homme se trouvait à Moorea dans le même petit hôtel en bord de mer mais nous n’avions pas eu l’occasion de reprendre la discussion que nous avions entamé plusieurs jours auparavant au sujet du “changement climatique”. Ce mardi soir je suis donc revenu à la charge quand ce jeune homme dont j’ignore le prénom a abordé à nouveau le sujet en commençant par la montée des eaux océaniques qui menacent de nombreux pays dans le monde. Je lui ai alors rappelé que la barrière de corail entourant partiellement l’île de Tahiti datait de moins de 30000 ans et qu’elle s’est formée grâce à la montée du niveau des mers consécutive à la fin de la dernière glaciation ayant eu pour conséquence une fonte rapide des calottes glaciaires de Scandinavie, des Alpes, du Canada et de bien d’autres régions.

  • Oui, mais 99 % des scientifiques sont d’accord pour admettre que le niveau des eaux océaniques va encore monter à cause du CO2 !

Pourquoi pas, ai-je rétorqué, mais il ne faut pas oublier que le CO2 est le principal nutriment des plantes et du phytoplancton. Malgré cette augmentation du taux de CO2 l’atmosphère terrestre est paradoxalement beaucoup plus pauvre en ce gaz que du temps du carbonifère ou des dinosaures, ai-je dit.

  • Oui, mais le CO2 contribue au réchauffement du climat !

Cette affirmation est fausse : les bandes d’absorption du CO2 dans le domaine infra-rouge sont noyées par celles de la vapeur d’eau que les éminents membres du GIEC (IPCC) ont oublié d’inclure dans leurs simulations. De plus il y a infiniment plus de vapeur d’eau que de CO2 dans les basses couches de l’atmosphère, par conséquent l’effet du CO2 est négligeable.

  • Oui, mais il y a l’effet de serre !

J’attendais cette remarque. L’effet de serre du CO2 est une pure propagande car s’il existait il contredirait les principes fondamentaux de la thermodynamique. Je t’explique. Pour que le CO2 présent dans l’atmosphère en quantités infinitésimales en regard de la vapeur d’eau soit capable de réchauffer les basses couches de cet atmosphère il faudrait qu’il se trouve dans un état excité après avoir absorbé des photons infra-rouges tel que les photons réémis soient suffisamment énergétique pour chauffer ces basses couches de l’atmosphère. L’IPCC n’a jamais précisé dans ses schémas à quelle altitude ces molécules de CO2 se trouvaient pour présenter cet effet de serre. Curieux, non ? De plus les photons réémis par les molécules de ce gaz sont toujours et systématiquement moins énergétiques que ceux provenant du Soleil et affirmer le contraire est une violation du deuxième principe de la thermodynamique.

Là j’ai senti que mon interlocuteur était à cours d’argument. Il a alors dévié la conversation sur la grande barrière de corail australienne. Merveilleux jeune homme trop convaincu de son savoir acquis dans son école et pourtant un savoir inexistant. Je lui ai tout de suite asséné une sorte de coup de grâce en lui rappelant ce que l’on s’était bien gardé de lui enseigner : les images de coraux blanchis ont été soigneusement choisies pour renforcer la propagande climatique. Il s’agit de coraux soit meurtris par des rejets d’eaux usées et polluées qui ne peuvent se diluer rapidement avec les courants. Le cas emblématique est celui de l’île de Mayotte entourée d’un lagon, une île qui ne possède aucun système de traitement des eaux usées. La principale cause du blanchiment des coraux est l’attaque virale qu’ils subissent, phénomène bien identifié mais encore mal connu et totalement hors de contrôle dans de petites zones coralliennes réparties dans le monde. Ni le soit-disant réchauffement du climat ni la tout aussi soit-disante acidification des océans ne sont responsables de ce phénomène qui existe probablement depuis que les coraux existent.

Puisque je niais systématiquement ses arguments il fut décidé, après avoir été traité de complotiste, de mettre un terme à cette discussion. Voilà ce que l’on enseigne aux étudiants promis à un rôle de conseillers des décideurs politiques : si on ose remettre en question la propagande relative au climat, à la dégradation des conditions de vie des loutres de mer, que sais-je encore, on est traité de complotiste …

Prévisions apocalyptiques et autres fantasmes …

La dernière version « fuitée » du rapport de l’IPCC fait état d’une montée catastrophique du niveau des océans, d’une augmentation délirante de la température moyenne de la planète Terre et de toute une série de catastrophes, disparition totale (ou presque) des coraux, sécheresses, typhons et autres cyclones, incendies, canicules (à croire que ce qui se passe dans les Etats de Washington et de British Columbia arrive à point nommé), famines, épidémies, invasions de criquets, etc … Pendant ce temps-là on recherche des OVNIs, des signaux extra-terrestres, la possibilité d’installer des colonies d’humains sur Mars voire sur Titan puisque de toutes les façons, quoiqu’il arrive, l’humanité va disparaître à cause de la fournaise insupportable qui nous attend tous. Au Quinzième siècle on brûlait des femmes innocentes qu’on accusait de sorcellerie car elles collaboraient avec des forces maléfiques et diaboliques pour qu’il y ait des étés pourris et des récoltes insignifiantes, ce qui provoquait de gigantesques famines accompagnées d’immondes épidémies. Pour le très sérieux Bulletin of Atomic Scientists le compteur de la durée de vie (de survie) de l’humanité affiche maintenant 100 secondes, je n’invente rien. Si on considère que l’apparition de l’homme moderne date d’environ 500000 ans alors il ne reste à l’humanité que 12 ans à vivre, encore une prévision apocalyptique ! La représentante démocrate Ocazio-Cortez (AOC) l’a affirmé droite dans ses escarpins vernis. Aujourd’hui les scientifiques honnêtes qui affirment que le prochain réchauffement du climat arrivera après la grande glaciation, c’est-à-dire dans 70000 ans, sont expulsés du milieu académique, en d’autres temps ils auraient été brûlés sur la place publique comme Giordano Bruno ou les sorcières dans les années 1450. Tout le cartel de la gauche occidentale affirme qu’on va tous disparaître si on ne fait rien, comprenez si on continue à se goinfrer de viande rouge au lieu de choisir de survivre avec des larves de termites grillées sur un feu de bouses de vaches utilisées pour labourer de maigres champs d’illusoire subsistance.

Toutes ces prévisions de fin du monde conduisent aux plus extravagantes fictions. L’humanité envisage d’aller coloniser une autre planète orbitant autour d’une autre étoile. Près de notre système solaire à environ 20 années-lumière de distance 250 systèmes planétaires ont été reconnus. Pas le moindre signal intelligent provenant d’une quelconque de ces planètes, d’ailleurs il semble qu’aucun de ces objets orbitant autour d’étoiles plus ou moins hostiles soit habitable. Oublions de tels projets, ils relèvent d’une science-fiction de mauvaise qualité. Depuis maintenant 16 mois on est pétri quotidiennement et c’est pratiquement inévitable pour tous les habitués des chaines de télévision en subissant inlassablement une propagande jamais atteinte en intensité y compris durant les heures sombres de l’Allemagne nazie ou de l’URSS stalinienne de signaux d’alarme terrifiants. Un relent de cette intensité peut être retrouvé en Chine ou en Corée du Nord mais néanmoins la propagande a atteint notre cerveau reptilien et nous sommes tous, de ce fait, devenus incapables de manifester un quelconque semblant d’esprit critique. La fin du monde est prévu avant 12 ans (si tout va bien) et tout le monde y croit. Des épidémies il y en aura d’autres et le SARS-CoV-2 a servi uniquement à bien éduquer les démocraties occidentales pour exploiter ce type d’évènements ultra-angoissants selon la version des décideurs politiques donnant libre cours à leurs instincts dominateurs.

Les prochaines sorcières que l’on brûlera seront les quelques rares scientifiques courageux qui dénoncent les dérives idéologiques actuelles lourdement teintées de totalitarisme. Je voudrais terminer ce billet très pessimiste par une anecdote. En 1978 je travaillais à UCLA et le 4 juillet je suis allé avec ma petite famille dans le quartier résidentiel de Brentwood. J’ai vu l’astronaute John Glenn qui se trouvait assis sur un char genre carnaval. Il serrait la main de ses admirateurs et je me suis approché de lui et ai dit que j’étais heureux que toute l’Amérique célèbre mon anniversaire, je suis en effet né un 4 juillet. Il m’a félicité et m’a souhaité un joyeux anniversaire. Au cours des quelques tours qu’il a parcouru autour de la Terre il n’a rien vu d’étrange ni de divin. Franchement, devant la totale imbécillité qui envahit l’humanité entière je n’ai plus vraiment envie que qui que ce soit me souhaite un joyeux anniversaire et je préfère attendre la mort qui je l’espère arrivera le plus vite possible. Tant pis pour mes petits-enfants ce ne sera plus mon problème …

Autres réflexions sur l’épidémie de SARS-CoV-2

Lorsque je me suis auto-prescrit de la chloroquine il y a un peu plus d’un an terrifié d’avoir été éventuellement contaminé par le SARS-CoV-2 puisque les Chinois en avaient mentionné les propriétés anti-virales et que le Professeur Raoult avait repris ces travaux pionniers des biologistes chinois j’ai été stupéfait que la Ministre de la santé française du moment, Madame Buzin, classe la chloroquine (dans les faits l’hydroxychloroquine) comme substance vénéneuse. Au Vanuatu la chloroquine était gratuite en raison de l’aspect endémique de la malaria dans ce pays avec non seulement du P.vivax mais également du P.falciparum, il faut avoir vécu dans ce pays pour comprendre pourquoi la chloroquine était disponible gratuitement. Quand j’ai appris que la France classait ce produit comme toxique alors qu’il sauvait des vies dans ce pays reculé je me suis demandé si les décideurs politiques français n’étaient pas tombé sur la tête, sans s’en rendre compte.

Ou alors cette décision était télécommandée par les laboratoires pharmaceutiques qui ne voulaient pas en entendre parler. J’ai pu confirmer près de six mois plus tard que j’avais effectivement été contaminé par le SARS-CoV-2 à la fin du mois de mars 2020 en me soumettant à une analyse sérologique et en lisant une multitude d’articles scientifiques qui décrivaient en détail les symptômes dont j’avais souffert. Si j’avais suivi les décisions du gouvernement français je serais probablement mort à la fin du mois de mars 2020. Au Vanuatu mon véhicule était un pick-up 4 roues motrices et il m’est souvent arrivé de sauver des vies d’enfants en bas âge en les conduisant avec leur mère dans le dispensaire le plus proche. L’infirmier confiait à la mère une purée contenant de la chloroquine qu’elle devait mettre dans la bouche de son enfant mourant et, à ma grande stupéfaction, c’était efficace. Alors quand Madame Buzin déclara que la chloroquine est toxique, comprenez ma réaction d’indignation.

Les ministres et leur cortège de conseillers scientifiques finiront par se laver les mains de leurs décisions criminelles puisque l’INED a conclu de ses études statistiques qu’au cours de l’année 2020 il n’y a eu aucune augmentation vraiment significative de la mortalité en France. Il n’y a pas besoin de se gratter la tête pour arriver à la même conclusion car l’âge moyen des victimes du SARS-CoV-2 au cours de cette année 2020 est supérieure à 80 ans, en d’autres termes au delà de l’espérance de vie selon les critères de l’INED. Ceci veut tout simplement dire que jamais aucun politicien français ne sera condamné à des peines de prison. Des avocats comme Fabrice Di Visio, pour lequel j’ai beaucoup de respect, se prennent pour Don Quichotte de la Mancha.

Pour revenir à Madame Buzin il me paraît très suspect qu’elle ait été parachutée pour représenter le gouvernement (il faut dire les choses clairement) dans des élections locales dont j’ai oublié l’enjeu puis être nommée à l’OMS, une magouille téléphonée depuis le Palais de l’Elysée, afin qu’elle dispose d’un passeport diplomatique et échappe ainsi à toute poursuite judiciaire. Il ne faut pas croire un instant que le Président de la République Française ait pu concocter ce sauvetage de Madame Buzin car les évènements le dépassaient, à moins qu’il en ait lui-même été l’acteur central. Je veux signifier ici que le Président français, habitué des cercles d’influence qu’il a côtoyé au cours de son séjour chez Rothschild, ait fermé les yeux devant ce que lui faisaient miroiter les lobbyistes des grandes compagnies pharmaceutiques. L’affaire de l’interdiction de la prescription et de la vente de l’hydroxychloroquine semble n’être qu’un détail et pourtant c’est là, sur ce point précis que des journalistes d’investigation courageux devraient mettre leur nez … S’en est suivie l’ignoble campagne de dénigrement du Professeur Raoult orchestrée par les médias proches du pouvoir. Des vies auraient pu être sauvées voire prolongées, mais quelle est l’importance de la vie d’un « vieux » pour ces technocrates qui gouvernent le pays ?

L’autre volet très surprenant de la gestion de l’épidémie de SARS-CoV-2 a été l’interdiction des cliniques et hôpitaux privés de traiter les malades « covid ». Alors que les hôpitaux publics étaient totalement encombrés leurs contre-parties privées étaient vides. Ce type de décision a également été pris dans d’autres pays européens comme l’Italie, la Belgique ou l’Espagne. Quelle en était la motivation cachée ? Le pouvoir politique voulait-il tout contrôler et pour quelle raison ? Le public a le droit de savoir … En ce qui me concerne si je ne trempe pas dans une théorie complotiste de l’intervention directe du lobby du « BigPharma » en arrière plan alors je ne comprends toujours rien.

Il reste un dernier point énigmatique : l’attitude des grands médias télévisuels et de la presse écrite. Ces canaux d’information n’ont cessé de transmettre un message angoissant, certes, mais ce message provenait-il du pouvoir politique ou des journalistes eux-mêmes ? En d’autres termes qui gouvernait réellement le pays, les politiques ou les médias ? Je pencherais plutôt pour une sorte de symbiose malsaine entre les journalistes et le pouvoir dans le but ultime de terroriser le peuple pour mieux l’asservir. Dans ces conditions la voie est libre pour mettre en place un régime totalitaire, à moins que …

Encart tiré du blog de George Ugeux :

( https://georgesugeux.com/category/french/ )

Covid-19 : politisation, corruption et suppression de la science.

Quand la bonne science est supprimée par le complexe politico-médical, les gens meurent (Editorial du British Medical Journal du 13 Novembre 2020). Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, pour accélérer la disponibilité des diagnostics et des traitements. Ils le font pour soutenir l’innovation, pour mettre des produits sur le marché à une vitesse sans précédent. Ces deux raisons sont en partie plausibles. Les plus grandes déceptions sont fondées sur une part de vérité, mais le comportement sous-jacent est troublant.

La science est supprimée à des fins politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique (1, se reporter à l’article pour les références). Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement de fonds opportuniste. Il en va de même pour les scientifiques et les experts en santé. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence – un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

La réponse à la pandémie au Royaume-Uni fournit au moins quatre exemples de suppression de la science ou des scientifiques. Premièrement, la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE, Scientific Advisory Group for Emergencies) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite de presse force la transparence (2). La fuite a révélé une implication inappropriée de conseillers gouvernementaux dans le SAGE, tout en révélant une sous-représentation de la santé publique, des soins cliniques, des femmes et des minorités ethniques. En effet, le gouvernement a également reçu récemment l’ordre de publier un rapport de 2016 sur les lacunes de la préparation à une pandémie, l’opération Cygnus, à la suite d’un verdict du Bureau du commissaire à l’information (3,4).

Ensuite, la publication d’un rapport de Public Health England sur le Covid-19 et les inégalités a été retardée par le ministère de la Santé d’Angleterre. Une section sur les minorités ethniques a été initialement suspendue, puis, à la suite d’un tollé général, a été publiée dans le cadre d’un rapport de suivi (5,6). Les auteurs de Public Health England ont reçu pour instruction de ne pas en parler aux médias. Troisièmement, le 15 octobre, le rédacteur en chef du Lancet s’est plaint qu’un auteur d’un article de recherche, un scientifique du gouvernement britannique, a été empêché par le gouvernement de parler aux médias en raison d’un « paysage politique difficile » (7).

Maintenant, un nouvel exemple concerne la controverse relative aux tests d’évaluation des anticorps dirigés contre le Covid-19 (8). L’opération Moonshot du Premier ministre dépend de la disponibilité immédiate et large de ces tests de diagnostic rapides et précis (9). Elle dépend également de la logique discutable du dépistage de masse – actuellement testé à Liverpool avec un test PCR sub-optimal (10,11).

L’incident est lié à des travaux de recherche publiés dans le BMJ, qui révèle que le gouvernement a acheté un test d’anticorps qui, dans le monde réel, est bien en deçà des déclarations de performance faites par ses fabricants (12,13). Des chercheurs du Public Health England et des institutions collaboratrices ont raisonnablement poussé à publier les résultats de leur étude avant que le gouvernement ne s’engage à acheter un million de ces tests, mais ont été bloqués par le ministère de la Santé et le bureau du Premier ministre (14). Pourquoi était-il si important de se procurer ce produit sans un examen préalable minutieux ? La pré-publication des recherches sur un serveur de pré-impression ou sur un site Web gouvernemental est compatible avec la politique de publication du BMJ. Comme s’il avait été nécessaire de prouver quelque chose le Public Health England a ensuite tenté en vain de bloquer le communiqué de presse du BMJ sur cet article scientifique.

Les politiciens prétendent souvent suivre la science, mais c’est une simplification excessive et trompeuse. La science est rarement absolue. Cela s’applique rarement à tous les contextes ou à toutes les populations. Il n’est pas logique de suivre servilement la science ou les preuves qu’elle avance. Une meilleure approche consiste pour les politiciens et les décideurs nommés publiquement, à être informés et guidés par la science lorsqu’ils décident de la politique pour leur public. Mais même cette approche n’attire la confiance du public et des professionnels que si la science est disponible pour un examen minutieux et sans ingérence politique, et si le système est transparent et non compromis par des conflits d’intérêts.

La répression de la science et des scientifiques n’est ni nouvelle ni un phénomène particulièrement britannique. Aux États-Unis, le gouvernement du président Trump a manipulé la Food and Drug Administration pour approuver à la hâte des médicaments non prouvés (voir note en fin de billet) tels que l’hydroxychloroquine et le Remdesivir (15). À l’échelle mondiale, les gens, les politiciens et les responsables des achats sont corrompus par des agendas politiques et commerciaux (16).

La riposte du Royaume-Uni à la pandémie repose trop largement sur des scientifiques et d’autres personnes nommées par le gouvernement aux intérêts concurrents inquiétants, y compris des participations dans des entreprises qui fabriquent des tests de diagnostic, des médicaments et des vaccins anti-Covid-19 (17). Les personnels nommés par les gouvernements peuvent ignorer les données scientifiques ou pire faire leur propre choix parmi ces données, une autre forme de malhonnêteté, et se livrer à des pratiques anticoncurrentielles qui favorisent leurs propres produits et ceux d’amis et d’associés (18).

Comment la science pourrait-elle être sauvegardée en ces temps d’exception ? La première étape est la divulgation complète des intérêts concurrents du gouvernement, des politiciens, des conseillers scientifiques et des personnes nommées, tels que les responsables des tests et du traçage, de l’approvisionnement en tests diagnostiques et de la livraison des vaccins. La prochaine étape est une transparence totale sur les systèmes de prise de décision et leurs processus afin de savoir qui est responsable de quoi. Une fois que la transparence et la responsabilité sont établies en tant que normes, les personnes employées par le gouvernement ne devraient idéalement travailler que dans des domaines sans rapport avec leurs intérêts personnels. L’expertise n’est possible qu’en l’absence de conflits d’intérêt. Si une règle aussi stricte devient irréalisable, la bonne pratique minimale est que les personnes étant en position de conflit d’intérêts ne doivent pas être associées aux décisions sur les produits et les politiques dans lesquels elles ont un intérêt financier.

Les gouvernements et l’industrie doivent également cesser d’annoncer une politique scientifique critique par communiqué de presse. De telles mesures mal jugées laissent la science, les médias et les marchés boursiers vulnérables à la manipulation. Une publication claire, ouverte et préalable des bases scientifiques de la politique, des achats et des médicaments miracles est une exigence fondamentale (19).

Les enjeux sont élevés pour les politiciens, les conseillers scientifiques et les personnes nommées par le gouvernement. Leur carrière et leurs soldes bancaires peuvent dépendre des décisions qu’ils prennent. Mais ils ont une responsabilité et un devoir plus élevés envers le public. La science est un bien public. Il n’est pas nécessaire de la suivre aveuglément, mais il faut en tenir compte de manière équitable. Il est important de noter que la suppression de la science, que ce soit en retardant la publication, en choisissant des recherches favorables ou en bâillonnant les scientifiques, est un danger pour la santé publique, causant des décès en exposant les gens à des interventions dangereuses ou inefficaces et en les empêchant de bénéficier de meilleurs traitements. Lorsque tout ceci est mêlé à des décisions commerciales, il s’agit également d’une mauvaise administration de l’argent des contribuables.

La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est malheureusement courante dans les démocraties (20). Le complexe politico-médical tend vers la suppression de la science pour favoriser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, au fur et à mesure que les puissants réussissent, s’enrichissent et s’enivrent davantage de pouvoir, les vérités peu pratiques de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.

Pour les références il faut se reporter à l’éditorial signé de Kamran Abbasi, CEO du BMJ, dont le lien est le suivant : https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4425

Note. Des essais en double aveugle randomisés ont été effectués sur les deux produits Remdesivir et hydroxychloroquine. Les résultats obtenus n’ont jamais été rendus publics, on ne sait pas pourquoi certains essais n’ont pas été finalisés. En ce qui concerne le Remdesivir sa toxicité au niveau des reins a été largement montrée empiriquement par les praticiens hospitaliers. Pour l’hydroxychloroquine, l’efficacité de ce produit a également été prouvée par l’observation clinique. La Chine, qui avait découvert l’efficacité de ce produit sur le SARS-CoV-1 il y a près de 20 ans, a toujours considéré que des tests en double aveugle randomisés sur des malades était contraire aux règles éthiques fondamentales. En d’autres termes le devoir d’un médecin est de soigner le malade et non pas de risquer sa vie en effectuant des tests placebo. Et puisque j’y suis aucune publication des essais cliniques relatifs aux vaccins dits « à ARN messager » n’a été rendue publique. C’est contraire à l’éthique fondamentale. Le chaland va devoir se faire vacciner sur la foi de communiqués de presse des grandes compagnies pharmaceutiques : invraisemblable, tout simplement … J ‘approuve le courage de Kamran Abbasi qui a dénonçé les dysfonctionnements dans la crise coronavirale en Grande-Bretagne !

L’étonnante propagande climatique de la BBC

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Tous les ans à la même période les régions arctiques situées au nord du cercle polaire ne connaissent pas la nuit et l’ensoleillement y est le plus élevé au monde. Apparemment les services météorologiques de la BBC ignorent ce détail et chaque année ils y vont d’un grand coup de propagande pour dénoncer le réchauffement du climat puisque la température a atteint l’étonnante valeur de 30 degrés à la station météo de l’aéroport de Nizhnyaya Pesha en Nénètsie, province peuplée de nomades éleveurs de rennes. Il n’y a pourtant rien d’inquiétant !

Toujours en Nénètsie, au bord de la Mer de Barentz, la station météo de Ust Tzilma située à 65,43 °N présente les plus longues séquences de données de température de cette région arctique et comme il est évident de le remarquer la température oscille entre + 30 et – 30 degrés avec une régularité étonnante :

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La BBC a perdu une bonne occasion de se taire quand elle ajoute une couche en prétendant que les Nénètses redoutent des incendies de forêt …

Source : blog de Paul Homewood.