La différence entre les catholiques et les protestants

Si l’Église chrétienne semble universelle aux yeux des « Occidentaux » il s’agit d’un déni de réalité car les Bouddhistes, les Indouistes et les musulmans sont dans leur ensemble largement majoritaires dans le monde. La raréfaction des fidèles dans les églises catholiques européennes a été évoquée en détail par Emmanuel Todd dans son dernier ouvrage. Les trois principales religions monothéistes diffèrent sur trois points essentiels. Il s’agit de la perception de l’argent et des la finances, la confession, et le style de vie pour être promis au paradis après la mort. La religion catholique considère qu’accumuler des biens matériels de son vivant est toléré mais ne fait pas partie de la ligne de vie fixée par la hiérarchie catholique. Les musulmans bannissent les prêts d’argent avec intérêts, les banques des pays musulmans doivent donc construire des stratagèmes pour se rémunérer et les Américains ont bien compris comment exploiter cette sorte de faille financière en imposant le dollar comme monnaie d’échange en ce qui concerne les hydrocarbures, souvenez-vous des accords du Quincy qui ont roulé dans la farine les saoudiens. Enfin pour les protestants s’enrichir et accumuler des richesses est conforme aux préceptes de la bible : accumuler des richesses pour la gloire de dieu, j’y reviendrai dans cet article.

Enfin la confession constitue une considérable différence entre la religion catholique et la religion chrétienne réformée. Les catholiques pratiquants doivent se soumettre à l’épreuve du récit de leurs turpitudes variées pour recevoir, leur conscience lavée par l’absolution, le corps du christ issu de la transsubstantiation, un dogme tellement compliqué que les croyants acceptent de l’admettre sans réfléchir un instant. Bref, les protestants de tout poil sont libres d’agir comme bon leur semble et ils n’ont de compte à rendre qu’à eux-mêmes. Les conséquences sont considérables ! Cette attitude des anglo-saxons a résulté en des massacres savamment organisés pour éliminer les amérindiens d’Amérique du Nord, les aborigènes d’Australie, diverses ethnies d’Afrique, du sud en particulier, de manifester le plus profond mépris pour les noirs d’Afrique et les Afro-américains aux États-Unis, les Arabes du Moyen-Orient, le soutien au génocide programmé des Palestiniens par les Anglo-saxons dans la bande de Ghaza par les Israéliens en est une preuve évidente : aucun problème moral !

Voilà la différence fondamentale entre les chrétiens traditionnels, catholiques et orthodoxes, et les protestants. Conformément au principe que l’accumulation de richesse constitue la plus grande gloire de dieu alors la domination financière du monde entier est devenue, depuis la fin de la première guerre mondiale le premier objectif de ces anglo-saxons. Ce mouvement s’est amplifié avec les accords de Bretton Woods puis l’entourloupette de Nixon pour déconnecter le dollar de l’or. Enfin la haine entretenue envers le peuple russe fait partie de l’attitude générale entretenue par des pasteurs fanatiques de même que les juifs haïssent les arabes car à ma connaissance il n’existe pas de confession dans la religion talmudique. Cette attitude de domination hégémonique du monde entier me paraît évidente si on prend en considération le caractère religieux de cette mafia que constitue le monde anglo-saxon si fier de lui-même et voulant donner des leçons au reste du monde. Les pays européens sont tenus d’acheter la dette américaine avec en contre-partie une protection via l’OTAN, un autre instrument de domination, et cette protection n’a plus lieu d’être puisque l’ennemi bolchévique a disparu. Le rêve hégémonique et messianique américain avec l’aide active des britanniques sur le monde entier et pour la plus grande gloire de dieu, ne pourra se réaliser que si le reste des peuples du monde dit clairement à cette mafia qu’ils acceptent cette domination tant militaire que financière et dans l’autre cas qu’ils prennent la décision de dire tout aussi clairement « US go home » puisque ce « reste du monde » de sous-hommes représente la grande majorité de la population et la plus grande partie de la production de richesse mondiale.

Voilà à mon humble avis (que je ne partage qu’avec moi-même) une analyse que je n’ai lu ni entendu nulle part puisqu’il est inconvenant de mélanger les religions et les affaires séculières. Les pèlerins du MayFlower sont plus que jamais actifs et il rêvent d’un retour du messie, un événement sorti de leur imagination comme un lapin d’un chapeau. Il m’arrive d’en rire bien moins souvent qu’en pleurer car la situation internationale présente pourrait s’aggraver puisque ces anglo-saxons ne respectent plus les lois internationales en considérant qu’ils détiennent la vraie réalité mue par leur fanatisme religieux de domination pour la plus grande gloire de (leur) dieu. Les lecteurs de ma prose auront peut-être enfin compris l’une des raisons pour lesquelles je ne crois ni en dieu ni au diable … Et le mensonge ne fait pas partie de mon quotidien contrairement aux anglo-saxons qui pratiquent cette déviance aussi souvent qu’ils le peuvent, comme on dit dans les chamières comme ils respirent et toujours pour la plus grande gloire de dieu.

Brève. Le monde politique japonais …

Depuis la fin de la secondaire mondiale le Japon est gouverné par le chef du Parti Libéral démocrate dont Shinzo Abe faisait partie. Son père était également un politicien du PLD. À quelques rares exceptions d’alternance qui ne dura que quelques années ce parti a tissé des liens dans toute la société politique japonaise et il n’est pas surprenant que ces liens ont fatalement créé une sorte d’impunité du PLD, en d’autres termes la porte ouverte à une corruption que seule la personnalité de ces premiers ministres successifs arrivait à masquer aux électeurs. Lorsque Shinzo Abe fut assassiné le Japon a cru retomber dans l’ère des Shoguns soutenus par les riches familles qui en retour profitaient de certains privilèges. Certains samouraïs faisaient parfois le ménage et la situation redevenait normale. C’est un phénomène naturel lorsqu’il existe des alternances politiques dans tous les pays qui prétendent être des démocraties. Bref Shinzo Abe a été assassiné par un citoyens japonais tout à fait ordinaire spolié par sa mère qui légua toute sa fortune à la secte Moon. Par on ne sait pas trop quel canal il suspectait que Abe avait reçu des pots de vin de cette secte coréenne très puissante pour accepter une fois pour toute de reconnaître qu’il existait des « femmes de réconfort » pour l’armée japonaise lors des longues décennies de l’occupation par le Japon de la Corée, un phénomène qui s’amplifia durant les années d’impérialisme exacerbé qui précipitèrent ensuite le Japon dans la guerre contre les Etats-Unis et l’Union soviétique. Inutile aussi de revenir sur le Mandchou-kuo, un état fantoche dans lequel l’armée japonaise se livra à toutes sortes d’exactions peu recommandables.

Aujourd’hui le Japon désire commercer paisiblement avec tous les pays de l’Asi extrême-orientale y compris la Russie. Quant aux liens du PLD avec la secte Moon il faut avouer qu’aucune clarification ne peut être espérée et il en est de même avec la secte bouddhiste Soka-Gakkai considérée comme la plus riche de toutes les sectes qui sévissent dans le monde. Ce sont des dizaines de milliards de yens qui aboutissent sur les bureaux des députés de la Diète et cette secte est réellement la vraie autorité non politique, si on peut dire les choses ainsi, qui gouverne le Japon, elle comprend en effet près de 15 millions de membres et contrôle totalement le pouvoir politique. La corruption est ainsi monnaie courante pour les membres élus du PLD, pieds et poings liés devant ce mastodonte qui éclipse totalement tous les autres groupuscules politiques et/ou sectaires. Longue vie au PLD ! Sans vouloir faire preuve d’humour …

https://en.wikipedia.org/wiki/Shinzo_Abe

Géopolitique : les « global young leaders » et l’évolution vers le totalitarisme

Comme viennent de le révéler les deux « young leaders » français formés par l’école d’apprentissage néo-nazie de Klaus Schwab, le gourou de Davos (WEF), ils ont pris des risques en signant un accord de soutien économique et militaire à l’Ukraine valable dix ans ou devenant caduque le jour de l’intégration de ce pays à l’OTAN. Il s’agit clairement d’une déclaration de guerre à l’encontre de la Russie. Sarkozy a subi un stage de 4 mois au WEF pour être formaté, Hollande également … Justin Trudeau, un autre « young leader », est clairement du côté de l’Ukraine néo-nazie après le coup d’éclat au parlement fédéral canadien avec l’ovation à l’endroit d’un ancien membre des SS dont la conscience est habitée par une multitude de meurtres de slaves russes, de Polonais et de juifs au côté de Bandera et de sa bande de criminels. La haine des Russes et des Slaves émanant dans les rangs de l’Occident global rappelle l’opération Barbarossa et la réécriture de l’histoire au sujet de l’Holodomor (relire à ce sujet l’article sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/04/02/la-france-et-leurope-ont-sombre-dans-la-poubelle-de-lhistoire-cest-ecoeurant/ ). Pourquoi l’Allemagne nazie a appelé l’agression de la Russie (soviétique à l’époque) Barbarossa ? Barbarossa était un corsaire ottoman sous le règne de Suleiman le Magnifique, amiral en chef de la flotte de son pays. Il ravagea les cotes espagnoles, d’Afrique du Nord, d’Italie et de Grèce. Hitler dut peut-être s’identifier à Suleiman ou à Barberousse qui exterminèrent des slaves au nord de la Mer Noire, allez savoir … Toujours est-il que l’Allemagne nazie convoitait le pétrole de Bakou de même que Barberousse pillait les cotes méditerranéennes pour s’approprier les richesses des riches citées portuaires. Le régime hitlérien était de surcroit alimenté par cette haine des slaves considérés comme des sous-hommes.

L’Union européenne se prépare à la guerre contre la Russie et ces « young leaders davossiens » veulent réitérer l’opération Barbarossa afin d’expulser l’armée russe du Donbass et de Crimée car dans leur engagement de soutien militaire au « lider maximo » ukrainien, néo-nazi notoire puisqu’il gouverne par décret depuis qu’il est au pouvoir, qu’il limoge ou fait assassiner ses opposants et met en place des mesures racistes et discriminatoires à l’égard d’une grande partie de son peuple russophone.

Comme j’ai osé l’écrire sur ce blog l’Occident n’a jamais totalement oblitéré les idéaux nazis. Par exemple le premier président de la Commission européenne fut Walter Hallstein, un gradé de l’armée allemande nazie. Il fut capturé en 1944 par les Américains et promptement expédié dans un camp de « reformatage » dans l’Etat du Mississipi comme beaucoup d’autres prisonniers de guerre. Bien que non membre du parti nazi il fut cependant membre d’un certain nombre d’associations étroitement liées au parti national-socialiste hitlérien. Si Jean Monnet considéré comme le fondateur de l’Union européenne n’a jamais sympathisé avec l’idéologie nazie il fut dans ce projet un envoyé de Wall Street, ce qui explique que l’Union européenne fut dès sa création d’abord un protectorat américain, il ne faut pas ignorer les innombrables installations militaires américaines sur le sol européen, puis une véritable colonie des USA.

Aujourd’hui l’Europe révèle sa vraie nature néo-nazie en installant les marionnettes de Klaus Schwab, imprégné depuis son enfance de nazisme, rejeton d’un collaborateur des Allemands, bien que de nationalité suisse, durant toute la préparation de la guerre puis durant cette guerre. Si on m’explique que l’enfance ne laisse pas de traces à l’âge adulte je n’y croirai pas … Quant aux deux autres personnalités politiques dont on ne peut rien reprocher sont Robert Schuman et Konrad Adenauer, des catholiques pratiquants convaincus qui furent hostiles au régime hitlérien. La dérive totalitaire actuelle des institutions européennes est issue du Forum économique mondial (WEF), un organisme affairiste qui forme les nouveaux leaders de l’ordre nouveau, obéissant docilement aux ordres du puissant lobby financier américain.

Afin d’apporter un argument convainquant à mon discours relatif au totalitarisme rampant qui envahit l’Europe occidentale le gouvernement allemand a décidé de mettre en place une série de mesures portant gravement atteinte à la liberté d’expression. Le gouvernement socialo-écolo allemand a mis en place un plan dit de « sécurité démocratique » sous la pression constante des Grünen. Selon ce plan tout propos public critiquant la politique gouvernementale sera passible d’une action judiciaire assortie de fortes amendes voire d’emprisonnement. Par exemple critiquer la politique énergétique de l’Allemagne, nier le réchauffement du climat, tenir des propos à peine haineux à l’égard d’un membre du gouvernement dans un lieu public ou sur les réseaux sociaux sera immédiatement puni. D’aucuns disent que ces mesures violent la Constitution allemande, d’autres considèrent qu’il s’agit d’une menace pour la démocratie : « les deux mon capitaine ! ». L’Allemagne, pays qui a enfanté du nazisme, est toujours infectée par cette idéologie. Cela me fait penser à mon foie qui sert d’hôtel depuis 25 ans à des dizaines de millions de larves de Plasmodium (malaria) enkystées dans des hépatocytes. Cette maladie, pour une raison ou pour une autre, peut réapparaître. C’est exactement le cas de l’Allemagne et du nazisme avec l’idéologie coercitive des « Verts » qui sert de catalyseur et ouvre toute grande la porte au totalitarisme … Ce changement politique et idéologique est dorénavant confié à des « Young leaders » qui n’ont d’autre mission que d’appliquer les directives de Davos, officine oeuvrant pour le grand capital apatride et l’élite de l’élite occidentale. Bienvenue dans un monde meilleur où vous ne posséderez rien, même pas le droit à la parole, et serez heureux … Après avoir écrit cet article j’ai découvert le propos de Paul Craig Roberts dont une traduction suit le présent article. Bonne lecture de ces deux articles successifs.

Bernard-Henri Lévy : le barbare à visage « démocratique »

Bernard-Henri Lévy, cet «intellectuel» affairiste, symbolise la décadence de la République des lettres françaises et des têtes pensantes gauloises, et l’enjolivement des entreprises guerrières occidentales. Bernard-Henri Lévy, l’écrivain-entrepreneur à la fortune estimée à 215 millions d’euros, peut être qualifié de « criminel intellectuel de guerre ». Car il aura contribué à déclencher et à encenser toutes les dernières interventions impérialistes menées par le camp atlantiste dans le monde, exhibées comme des « missions civilisatrices » conduites pour instaurer la démocratie.

En tout cas, par ses entreprises belliqueuses il a enrichi les industriels de l’armement et du pétrole, mais également son compte bancaire. Selon plusieurs sources, au moment où des milliards de travailleurs perdaient jusqu’à 20% de leurs revenus du fait de l’hyperinflation spéculative orchestrée par ses frères de fortune, Bernard-Henri Lévy (souvent désigné par ses initiales BHL) aurait amassé entre les mois d’avril 2022 et avril 2023 la prodigieuse somme de 75 millions d’euros, sonnants et trébuchants. Une hausse de 40 millions par rapport à l’année précédente. Comment ? Mystère sur cet enrichissement fulgurant. Écœurant.

Depuis plus quarante ans, cet activiste atlantiste aura été derrière (et non sur) tous les fronts de guerre qu’il a contribué à déclencher, à attiser, à pérenniser. Toujours accoutré de son uniforme de salon, sa légendaire chemise blanche déboutonnée, le sémillant et sioniste globe-trotter, le boutefeu Bernard-Henri Lévy, s’active sur tous les terrains de conflit depuis les rédactions de la presse ou plateaux télé, ses QG médiatiques. Ce dandy aime se dandiner à la lisière des champs de guerre.

Comme l’avait déclaré un célèbre journaliste français, Bernard-Henri Lévy « est son propre média ». « Lorsqu’il se déplace, comme en Ukraine, il se débrouille pour que ça soit filmé, pour que ça soit enregistré. Parce qu’il en tirera peut-être un livre par la suite, peut-être un film. »

Tous ses voyages touristiques de guerre constituent une opportunité pour BHL, l’occasion de produire plusieurs œuvres, cinématographique et littéraire. Son dernier film, « Slava Ukraini », financé une fois de plus par l’argent public, malgré sa colossale fortune personnelle estimée à 215 millions d’euros, a dû être retiré des salles de cinéma au bout seulement de trois semaines, pour cause d’échec total : un maigre score de 2910 entrées.

Ce philosophe, censé par vocation enseigner la sagesse et prôner la paix, exhibe au contraire en tête de son blog, bien mise en exergue, cette cynique citation martiale digne d’un psychopathe : «l’art de la philosophie ne vaut que s’il est un art de la guerre». Hitler aurait pu en faire son slogan. Mieux : l’inscrire sur tous les frontons des écoles et casernes. En tout cas, Israël en a fait sa philosophie, ce pays qui a fait de la guerre son art de vivre.

Bernard Henri Lévy, ce VRP d’Israël, est non seulement un instigateur de conflits armés atlantistes et apologiste de guerre génocidaire, notamment celle menée actuellement par Tsahal contre les Palestiniens, mais également un apologiste du viol des filles. C’est ainsi qu’en 2010, BHL avait publié une pétition « écrivains et artistes » pour l’abandon des charges portées sur Roman Polanski, réalisateur pourtant condamné pour « rapports sexuels illégaux » avec une mineure. Scandaleusement, cette pétition avait récolté plus de 4000 signatures. Pour rappel, Alain Finkielkraut avait pris sa défense dans cette affaire de pédocriminalité impliquant Roman Polanski.

De manière prémonitoire, dès la publication de son premier essai BHL dévoile, par le titre de son livre, sa véritable personnalité foncièrement belliciste : «La Barbarie à visage humain». BHL est le prototype du Barbare à visage démocratique. De même, par le titre de son roman «Le Diable en tête», BHL dévoile sa tête de Diable. Dans son essai, De la guerre en philosophie, BHL théorise le destin qu’il s’était fixé jeune homme, celui d’être un «intellectuel engagé», mais philosophiquement pour la guerre.

Au final, depuis quatre décennies, au lieu d’enseigner la philosophie, BHL aura incité les gouvernants comme les peuples à faire la guerre.  Depuis quarante ans,

ce faiseur d’opinion et instigateur de guerres aura été sur tous les fronts des conflits militaires, placé aux commandes depuis son QG des beaux quartiers de Paris ou de Marrakech, où, téméraire, il ne craint pas de se faire mitrailler par les photographes toujours placés volontairement en embuscade pour l’immortaliser. Bien au contraire.

Outre qu’il est attaché à sa personne qu’il cultive avec narcissisme et mégalomanie, BHL, ce natif d’Algérie, est surtout viscéralement attaché au sionisme et à Israël. De là s’explique probablement son amour de la guerre, des expéditions militaires, des massacres de masse, des occupations coloniales, fondements constitutifs de l’État nazi d’Israël toujours sur le pied de guerre.

Selon Le Figaro daté du 20 novembre 2011, Bernard-Henri Lévy avait déclaré que « c’est en tant que juif » qu’il avait « participé à l’aventure politique en Libye », lors de la première Convention nationale organisée par le Conseil représentatif des organisations juives de France (CRIF). « J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël », avait-il ajouté.

Du reste, l’entité sioniste, pour le récompenser pour « plus de 40 ans de contribution influente au peuple juif et à sa nation », lui avait décerné le 16 mai 2017 le titre de docteur Honoris Causa délivré par l’université Bar Ilan.

Il y a tout juste deux ans, curieusement, dès le mois de janvier 2022, bien avant l’intervention de la Russie en Ukraine, lors d’une interview sur la chaîne américaine Fox News, Bernard-Henri Lévy avait préparé le monde occidental à devoir accepter la nouvelle donne géopolitique guerrière en affirmant « si nous voulons la paix, nous devons accepter la guerre froide ». Cette déclaration, dans le prolongement de ses précédentes positions lors des conflits en Géorgie, Afghanistan, Serbie ou en Libye, vient rappeler la personnalité foncièrement belliciste de cet « écrivain » multimillionnaire, toujours en quête d’un pays pour le transformer en champ de bataille, c’est-à-dire en champ de ruines.

Par l’interposition de l’Ukraine, ce va-t-en-guerre a trouvé un nouveau terrain de bataille belliciste contre la Russie. Et depuis le 9 octobre 2023, dans la guerre d’extermination et d’anéantissement subie par Gaza, il soutient inconditionnellement Tsahal, l’armée israélienne qu’il considère comme la plus «éthique» du monde, cette armée qui mène une guerre génocidaire contre les populations civiles palestiniennes.

Khider MESLOUB, 13 fécrier 2024

Sans commentaire de la part de votre serviteur

Entre le Président français et le Président argentin qui choisiriez-vous ?

Quand on constate que les sénateurs français réclament une augmentation de leurs émoluments … car ils dépensent trop d’argent pour rendre compte des désirs des citoyens qu’ils représentent (j’ignorais que les sénateurs représentaient le peuple, eux dont le travail consiste à modifier la position d’une virgule dans un texte de loi ou d’être complices d’une trahison du peuple en s’associant au Parlement pour fouler des pieds un référendum …) on se demande si cette information parue dans les médias de grand chemin n’est pas un canular, sans compter les cumuls de mandat dont par exemple ceux dont profite le boucher des gilets jaunes, le dénommé Castaner, pour bons et loyaux services rendus à la « république » afin de la protéger du peuple : les « sans-dents », les moins que rien qui n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du travail et conduisent de vieilles diesel, il est temps de faire la révolution ou que des politiciens libertariens remettent tout à zéro, le « reset » de la République française qui n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Un excellent exemple est sous nos yeux : il s’agit du nouveau président de l’Argentine Javier Milei. Le règne de l’administration tentaculaire et totalement inefficace de l’Argentine (comme celle de la France) est issu du peronisme qui distribuait les postes de responsabilité aux petits copains, les camarades de promotion dans les écoles de la république, les cousins et les oncles, une sorte de mafia appuyée par les médias qui encensaient Evita pour endormir les peons qui n’y comprenaient rien. L’Argentine, au fil des années, s’est enfoncée dans le chaos car le système politique est devenu complètement incapable de gouverner le pays. C’est exactement le mal dont souffre la France avec une mafia également comme en Argentine qui multiplie les commissions, les groupes de réflexion, les « accords » jamais appliqués, les « lois » et décrets multiples et variés qui complexifient la vie quotidienne de tout un chacun. Cette organisation mafieuse, il faut appeler les choses par leur nom, a pour conséquence d’amplifier sans limite le poids de l’État dans le fonctionnement de la nation et également et surtout de devenir l’un des premiers postes budgétaires sans que qui que ce soit ne sache où part l’argent. Milei a supprimé 80 % de tout le personnel gravitant à l’intérieur et autour de cette mafia. Du jour au lendemain des dizaines de milliers de commissions, de secrétariats inutiles, de groupes d’« experts » et de réflexion, de ministères ont été supprimés et tous ces parasites se retrouvent à la rue et il leur sera difficile de trouver un nouvel emploi en traversant la rue !

Je ne voudrais pas que l’on croit que j’ai l’esprit chagrin mais les Français devraient observer attentivement cet ouragan de réformes en profondeur décidé par Milei dans son pays. Il a quitté les BRICS+ et il a arrimé la monnaie de son pays au dollar faisant le pari raisonnable que cette devise restera encore longtemps une référence sur les marchés. L’Argentine, deuxième plus grand pays d’Amérique du sud dispose de ressources variées qui peuvent le hisser parmi les vingt premières économies du monde. Les investisseurs étrangers sont encouragés par la Présidence à venir dans son pays alors que des quantités massives de capitaux fuient l’Europe dont la situation économique s’effondre sans perspective d’avenir rassurante car l’Europe est gouvernée par une autre super-mafia, la Commission européenne. Pour un complément d’informations : https://reseauinternational.net/wp-content/uploads/2024/02/🇦🇷-ARGENTINE-UN-LIBERTARIEN-AUX-COMMANDES-RT-en-francais.mp4 ou sur ce site (audio) : https://radiopublic.com/lchiquier-mondial-6pMKgD datant du 2 février courant. En Argentine l’inflation qui frappe le peso atteint près de 200 % par an et lever des impôts est devenu mécaniquement inopérant, c’est ce qui attend la France car la paupérisation des classes moyennes va assécher les recettes de l’État : trop d’impôts tue l’impôt et les « Mozarts de la finance » au pouvoir en France semblent ignorer cette fatalité. Il reste une inconnue de taille en ce qui concerne l’avenir de Milei : l’élection de Donald Trump. Ce républicain semble avoir toutes les chances de devenir le nouveau président américain et son projet est clair : s’occuper activement des problèmes domestiques dans un pays déchiré idéologiquement et économiquement avec les menaces de sécession de plusieurs États dont en particulier le Texas.

Brève. Vers une dislocation de l’Union européenne ?

Les évènements d’Ukraine ou plus précisément du Donbass vont laisser des traces profondes en Europe, en particulier dans les pays de l’est de l’Europe. Compte tenu de l’issue prévisible de ces évènements des pays comme la Bulgarie et la Roumanie ont vu l’émergence de partis résolument opposés à l’ « euro-atlantisme » de la Commission européenne. La Hongrie d’Orban est le mauvais élève de l’Union européenne dans la mesure où elle n’a jamais condamné l’opération spéciale russe. Enfin la Pologne a clairement indiqué que son économie et ses agriculteurs étaient prioritaires et ainsi depuis plus d’un mois la mise en place d’un blocus de la frontière ukraino-polonaise interdit toute livraison d’armes vers Kiev en représailles de l’invasion de céréales vers la Pologne pourtant destinées à l’exportation et non pas à Varsovie, état de fait très mal perçue par la paysannerie du pays et l’aristocratie polonaise, grande propriétaire terrienne. Enfin les États baltes souffrent d’une grave crise économique dont une inflation impossible à maîtriser perçue par la population comme étant la conséquence du tarissement total des échanges commerciaux avec la Fédération de Russie. À ce tableau s’ajoutent les revendications territoriales de la Pologne sur une partie de la Galicie et de la Volhynie comportant une minoritaire polonaise, de la Hongrie sur les territoires ukrainiens de Trans-Carpatie peuplés d’une minorité magyare et également de la Slovaquie dans l’oblast ukrainien de Ruthénie.

Quelle sera la position des instances dirigeantes de l’Europe qui ont soutenu les yeux fermés l’Ukraine – ce sont les contribuables européens qui paieront – lorsqu’il s’agira d’effectuer un dépeçage de l’Ukraine lors des pourparlers de paix ? On devrait plutôt dire « quelle sera l’attitude de Washington » puisque l’Europe est le vassal des Etats-Unis. Compte tenu du fait que la défaite annoncée de l’Ukraine devant la Russie sera à terme reconnue, ce sera aussi la défaite de l’OTAN et ainsi de l’Union européenne dans son intégralité. En effet la situation économique et par voie de conséquence sociale des économies majeures de l’Europe a atteint un point de dégradation tel que le ressentiment des populations va se retourner contre les gouvernements nationaux ainsi que contre la Commission européenne, la responsabilité du marasme économique étant, aux yeux du citoyen moyen la conséquence directe des décisions prises par les instances politiques nationales et européennes.

L’opération spéciale décidée par la Fédération de Russie répondant à des motivations humanitaires de protection des populations russophones du Donbass n’est pas terminée puisque la ville de Donetsk est toujours bombardée par l’artillerie ukrainienne et ce depuis 2014. L’objectif à peine dissimulé est d’occuper la zone est d’une ligne s’étendant de Zaporijjia à Kharkiv majoritairement habitée par des russophones ainsi que Kherson, Mykolaïev et jusqu’à Odessa, ville qui fut le théâtre de massacres de russophones dès les premières répressions à la suite des évènements de Maïdan. Il serait alors logique et donc attendu que la Fédération de Russie établisse alors la jonction avec la Transnistrie (ou « Trans-Dniestrie »), cette bande de territoire située entre le Dniestr et la frontière internationale entre la Moldavie et l’Ukraine. Il en serait dès lors terminé de l’accès de l’Ukraine à la Mer Noire. Il est vrai qu’aucun assureur ne veut se risquer à couvrir un quelconque bateau commercial ukrainien en partance d’Odessa. Tous les éléments énumérés ci-dessus feront l’objet de discussions lors des prochaines négociations de paix qui, espérons-le auront lieu durant l’été 2024 ou au plus tard après les élections américaines qui verront la défaite cuisante du clan mafieux démocrate. Il est clair que Moscou soutenu par les oblasts indépendantistes du Donbass imposera ses conditions : rattachement des oblasts ukrainiens russophones initiaux ayant opté pour un statut de républiques indépendantes souhaitant être rattachées à la Fédération de Russie par décision populaire démocratique, désarmement total de l’Ukraine et neutralité du pays, donc pas de rattachement à l’Union européenne qui signifie aux yeux de Moscou d’être occupée par les troupes otaniennes.

D’ici décembre 2024 la Russie a donc tout le temps de détruire le potentiel militaire ukrainien restant et de mener à bien la libération de la totalité des populations russophones.

Mais un élément indépendant des évènements d’Ukraine pourrait non pas brouiller les cartes mais faciliter le déroulement de ces évènements qui me paraissent vraisemblables : une grave crise financière au sein de l’Union européenne, crise provoquée par l’inflation, l’endettement massif et la récession des grandes économies de l’Europe occidentale. En effet les trois puissances économiques de l’Europe que sont l’Allemagne, l’Italie et la France subissent une récession dramatique, une inflation à deux chiffres concernant le panier de la ménagère ainsi que l’énergie et le logement et un endettement insoutenable – l’Allemagne vient de décider de s’endetter contrairement à ce que sa Constitution lui interdit – et tant l’Italie que la France sont en passe de devenir insolvables. Ces trois paramètres économiques sont dissimulés par les gouvernements nationaux dont l’art de falsification des statistiques économiques a atteint un sommet. La paix sociale est fragile et tous les éléments sont réunis pour une grave crise européenne. Ainsi l’Union européenne en tant qu’entité politique devra se conformer aux conditions de Moscou car les États-Unis ont trouvé une excellente occasion de s’extirper la tête haute du bourbier ukrainien avec la crise de Ghasa. À n’en pas douter un instant l’Union européenne, construction artificielle exigée par les États-Unis et promue par Jean Monnet, agent américain faut-il le rappeler, s’écroulera tel un château de cartes pour le plus grand bien des peuples européens …

Brève. Les américains sont-ils des menteurs compulsifs ? La réponse est « OUI ! »

Tous les citoyens américains qui acceptent de subir un lavage de cerveau par les politiciens et les média devraient soigneusement regarder cette vidéo qui ne dure que sept minutes pour s’éviter de sombrer dans la propagande mensongère.

Dans cette vidéo, https://www.youtube.com/watch?v=NSZyKYitC3M&t=31s les membres de l’administration Biden, les « experts », le Directeur de la CIA, les médias, la Rand Corporation et les politiciens de chaque parti, démocrates et républicains, ne parlent que d’une seule voix : « C’est Poutine qui a lui-même saboté son propre gazoduc Nord-Stream ».

Les médias reprennent le discours de la classe politique et les politiciens eux-mêmes renchérissent avec leurs propos en étalant encore plus de mensonges. Ils ne reconnaissent pas qu’ils mentent effrontément alors que l’évidence crève les yeux et les oreilles. Cette classe dirigeante américaine est totalement dénuée d’intégrité, elle est totalement stupide et elle nie et la réalité tout en étant persuadée que le peuple a perdu toute lucidité pour reconnaître que tout repose sur des mensonges. Goebbels déclarait que plus un mensonge est énorme plus il est admis comme une réalité à laquelle il faut croire …

Source : Paul Craig Roberts

Les Français et l’âge de départ à la retraite : un contexte désuet

Le Conseil National de la Résistance (CNR) avait concocté une sorte d’utopie que l’on appelle la retraite par répartition. Les cotisants paient pour les retraités, un vase communiquant idéologique datant des années 40 et inspiré des principes sociaux notamment du parti communiste. Adapté peut-être à la période du front populaire et de ces années 40 il est aujourd’hui obsolète pour deux raisons claires. La structure économique de la France a changé et l’imposition d’un âge de la retraite me semble personnellement une privation de liberté inacceptable. Pour illustrer mon propos je vais citer quelques exemples très significatifs. Il existe encore des métiers indispensables au bon fonctionnement de la société. L’époux d’une de mes nièces issu du milieu rural n’avait pas poursuivi sa scolarité après le certificat d’études et j’ai oublié pour quelles raisons il se retrouva égoutier de la ville de Lyon. Il ne s’agit pas d’un métier dégradant puisqu’il est indispensable. De plus il est très bien rémunéré, un salaire plus de trois fois plus élevé que celui d’un ramasseur d’ordures ménagères. Les égoutiers ont un statut de contractuels de collectivité locale et il leur est conseillé de cotiser volontairement pour constituer une retraite complémentaire auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. La retraite pour ce neveu par alliance fut établie à l’âge de 50 ans et il coule des jours heureux dans sa campagne natale.

En ce qui me concerne, confronté à une mésentente avec mon supérieur hiérarchique doublée d’une évolution des techniques de recherche en biologie à laquelle je ne pouvais pas m’adapter, immobilisé par mon savoir-faire de « purificateur d’enzymes », une sorte d’art devenu presque unique avec l’arrivée de la biologie moléculaire, je décidais donc de démissionner à l’âge de 56 ans pour vendre tous mes biens et quitter la France. Ma retraite complémentaire fut amputée ainsi que la retraite du « régime général par répartition » puisqu’il manquait un certain nombre de trimestres de cotisation. Je survis très bien y compris dans une ville perdue au milieu du Pacifique où le moindre extra est très coûteux, mais on peut vivre parfaitement sans dépenses extravagantes. Et puisque je réside maintenant à Papeete, un petit coin de France très attrayant, j’ai découvert deux nouveaux exemples qui mettent à mal l’âge légal de la retraite. Le premier médecin que j’ai consulté dans cette ville, le Docteur Fichter, généraliste de 82 ans, exerçant chaque matin y compris le samedi, s’est trouvé être le premier de sa profession à me demander en observant l’état lamentable de ma peau si par hasard je n’avais pas été victime du coronavirus. Il me demanda de me déshabiller, de me peser, il prit ma tension et m’ausculta puis me prescrivit une pommade contenant un stéroïde fluoré pour calmer cet urticaire géant dont je souffrais. Cette intervention d’un « vieux » médecin, on peut dire de campagne, prouva qu’il avait pris soin de se documenter au sujet d’une maladie nouvelle encore inconnue. Le second médecin à qui j’ai confié ma santé sévit toujours à l’âge de 71 ans et il m’a affirmé que mon mal était d’origine auto-immune consécutive à l’infection coronavirale et il me prescrivit l’hydroxychloroquine pour ses propriétés immuno-modulatrices. Tout est rentré dans l’ordre, merci .

Enfin les exemples de Charles Gave, Institut des Libertés, et André Bercoff de Sud-Radio, tous les deux octogénaires se portent très bien et l’âge légal de la retraite ne les a pas même effleurés. Supprimer cet âge légal serait synonyme d’une sorte de pédagogie pour inciter les actifs à penser à leur retraite et la constituer selon leurs moyens salariaux dans le cadre d’une capitalisation confiée à un organisme contrôlé par l’Etat ou plutôt des organisations paritaires bien informées et elles existent, ou du moins elles existaient quand j’intégrai le CNRS avec un statut de contractuel. Ce sont les syndicats qui me conseillèrent vivement de constituer une retraite complémentaire gérée par la Caisse des Dépôts. Gérer son avenir relève de chacun individuellement et l’Etat n’a pas à décider à la place d’un individu. En conclusion l’âge légal de départ à la retraite en France est suranné, inadapté à la structure économique du pays, et quoi qu’en pense la Commission européenne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, les individus doivent décider par eux-mêmes. Le système d’assurance-vie est un pis-aller car il est géré par des banques et des sociétés financières auxquelles on ne peut plus faire confiance, en particulier dans la conjoncture économique et sociale dégradée à laquelle on assiste quotidiennement en France ainsi que dans bien d’autres pays européens. Au Japon le système de retraite repose majoritairement sur la capitalisation et ce système profite à l’économie puisque les fonds de pension sont investis dans l’économie réelle et les gérants de fonds agissent pour faire fructifier le capital considérable accumulé par ces fonds de pension.

Le CNR a autorisé une sorte de système invivable qui mêle les idéaux du parti communiste et le concept de charité chrétienne ancré dans la culture française. Cela peut paraître idéal mais tant sur le plan économique que philosophique ce système prive les individus de leur liberté puisqu’il est illégal en France de se soustraire à cette sorte de dogme de la répartition et il ne profite en aucun cas à l’économie. Conclusion : il faut que le gouvernement se décide à respecter la liberté de choix des citoyens dont il a la charge et pour le reste j’ai à peu près décrit la situation …

Réflexion sur la politique de la Commission européenne : c’est du totalitarisme !

La mise en place de règlements relatifs à la liberté d’expression par la Commission européenne est la première étape vers l’établissement d’un régime totalitaire. Pour l’instant ces restrictions de la liberté d’expression concernent les « climato-sceptiques », les « anti-vaxx » et les « pro-palestiniens » mais elle va s’étendre à toutes les expressions d’opinions qui ne sont pas conformes aux diktats de la Commission européenne. Pour l’instant également seuls les sites de la toile appelés réseaux sociaux semblent concernés par l’idéologie totalitaire du Commissaire Thierry Breton mais à n’en pas douter cette politique va s’étendre à tous les aspects de la vie quotidienne des citoyens européens. Il s’agit là de la ligne de conduite qui englobe la censure de X (ex-twitter), Elon Musk étant considéré comme l’ennemi de la société occidentale décadente alors qu’il veut défendre la liberté d’expression. On marche sur la tête !

Mon point de vue que je ne partage qu’avec moi-même est le suivant : selon les travaux d’historienne du Docteur en histoire Annie Lacroix-Riz qui ne travaille exclusivement qu’avec les archives disponibles, c’est très important de le préciser, l’Europe et l’Amérique du Nord n’ont jamais abandonné ni combattu l’idéologie nazie mise en place par Hitler en Allemagne. Les dizaines de milliers de criminels de tout poil exfiltrés par les Américains depuis l’Allemagne, la Pologne ou encore l’Autriche y compris la France, avec le soutien du Vatican et de l’Espagne, se sont retrouvés aux USA, au Canada et également en Argentine. Ils ont échappé au tribunal de Nuremberg qui les aurait tous sans exception condamnés à la peine de mort. Cette idéologie nazie a perduré jusqu’à nos jours avec le soutien sans condition du régime ukrainien notoirement corrompu mais qu’à cela ne tienne il s’agissait d’encourager un régime national-socialiste bandériste contre l’ours russe et les Occidentaux étaient tacitement en accord avec ces nazis.

Cette idéologie, compte tenu des décisions prises aujourd’hui par la Commission européenne de museler les informations « non conformes », ressemble en tous points aux mesures mises en place dès 1933 par l’Allemagne nazie. La censure et le mensonge étaient les deux outils utilisés par les nazis pour établir leur pouvoir, le mensonge a été largement utilisé par les Américains pour réaliser leur pouvoir hégémonique. Le premier grand mensonge, outre l’affaire du port de la Havane pour déclarer la guerre à l’Espagne et s’accaparer une partie de leur empire colonial est l’intervention japonaise à Pearl Harbor. Les Américains savaient que les Japonais allaient détruire la flotte américaine qui mouillait dans le port d’Honolulu. Ils ont donc laissé quelques bateaux au mouillage mais les plus importantes embarcations dont deux porte-avions ont fui l’avant-veille de l’attaque nippone vers le large. La force aérienne américaine était donc saine et sauve. Cet événement permit d’allier la Russie et la Chine contre le Japon afin d’aider les Américains dans leur projet de destruction de l’impérialisme nippon. L’affaire de Pearl-Harbor a par la suite été enjolivée par le cinéma hollywoodien mais la réalité reste dans la mémoire des historiens impartiaux. L’autre mensonge de l’Allemagne nazie en gestation est la « Nuit de cristal », le sommet du « faux-drapeau », du coup d’Etat préparé si cher aux Américains, un coup d’Etat à la manière du Premier Consul français mais également ce coup d’Etat organisé par Macron (« Young Leader ») pour évincer François Fillon de la course à la présidentielle française. Le grand inspirateur et exemple est paradoxalement Hitler et cette influence idéologique nazie est plus vivante que jamais aujourd’hui en Europe ainsi qu’au Parlement canadien à Ottawa ! (Trudeau est un « Young leader » imbibé de l’idéologie néo-nazie de Klaus Schwab)

Je cite Annie Lacroix-Riz sans me soucier un instant de ses opinions politiques, ça ne me regarde pas, mais ses recherches dans les archives prouvent bien que les Américains sont toujours restés des sympathisants de l’idéologie nazie. C’est ainsi qu’ils ont favorisé la formation de l’Union européenne depuis le Plan Marshall, ça ne date pas d’hier, reprenant le projet d’Hitler d’une grande Europe avec des hommes de main acquis à la cause d’un nouveau « Reich » comme Jean Monnet et Konrad Adenauer. L’intelligentsia de l’ombre alimente toujours cette idéologie comme en particulier Klaus Schwab du Forum économique mondial qui met soigneusement en place ses « Young Global Leaders » formés aux idées de Davos avec la bénédiction des puissances financières pour diriger l’Europe. Par conséquent il n’est pas du tout étonnant qu’un Thierry Breton mette en place une censure institutionnalisée, qu’après le test du coronavirus pour évaluer jusqu’à quel point les peuples européens peuvent se plier à des mesures coercitives portant atteinte aux libertés individuelles, la réceptivité des peuples, les moins que rien, les sans-dents, les conducteurs de vieilles voitures diesel la clope au bec, sont incapables de réagir, c’est ainsi prouvé avec le coronavirus, donc tout est pour le mieux. Et si par hasard un mouvement populaire apparaît la répression policière sera la plus intraitable. C’est ce qui s’est passé en France avec les Gilets Jaunes, une répression violente téléguidée par le pouvoir central nazi européen, le Forum économique mondial avec l’homme de main totalement soumis qu’est le président français.

Il y a une réelle urgence pour que les Européens décident de défendre leur liberté et leurs droits fondamentaux. Dans moins de mois que l’on imagine il sera trop tard …

De la primauté du droit à la loi militarisée

Paul Craig Roberts, 20 août 2023 Dans mon livre « The Tyranny of Good Intentions » (2000), j’ai discuté de la militarisation de la loi afin de faciliter la condamnation des criminels. Au XXIe siècle, nous avons assisté à une expansion remarquable de la militarisation du droit. Par exemple, l’utilisation de la loi militarisée contre les participants au rassemblement de Trump et contre le président Trump lui-même. La militarisation du droit n’a suscité aucune protestation de la part des facultés de droit, des barreaux, du Congrès, des médias ou des juges fédéraux. Par conséquent, nous sommes devenus une société [les USA] dans laquelle la fonction du droit est d’obtenir de quelqu’un ou de réaliser un programme qui ne peut pas être réalisé par voie législative. La personne n’a pas à être coupable d’un crime. Il suffit d’être diabolisé ou désapprouvé. Le droit ne sert plus la justice mais les émotions politiques et idéologiques et les agendas des puissants.

Le fait que toute la profession juridique et toutes ses institutions se soient tenues à l’écart de cette transformation du droit indique que la liberté n’est plus une valeur. Par conséquent, les protections constitutionnelles sont de moins en moins appliquées. Les Américains blancs souffrent de discrimination dans les admissions universitaires, l’embauche et la promotion depuis plus d’un demi-siècle. Le gouvernement et ses agences ont utilisé la presse écrite, la télévision et les médias sociaux pour censurer et contrôler les explications à ce sujet. L’espionnage des citoyens sans mandat de la cour est répandu. Les États-Unis ont déclaré leur loi exécutoire dans le monde entier, même applicable aux journalistes nationaux étrangers tels que Julian Assange, et au président de la Russie.

Tout lecteur de nouvelles alternatives peut faire une longue liste des pouvoirs arbitraires inexplicables utilisés pour nier les protections juridiques et constitutionnelles. Le président républicain George W. Bush a déclaré qu’il pouvait détenir des citoyens américains en prison indéfiniment au mépris de l’habeas corpus. Le président démocrate Obama a déclaré qu’il pouvait exécuter des citoyens américains sur la seule suspicion sans l’application régulière de la loi. Ni l’un ni l’autre n’ont été tenus responsables de ces crimes et violations du serment d’office. La présomption de « terroristes » était considérée comme plus importante que la Constitution américaine. La liberté civile et la primauté du droit que requiert cette liberté civile sont toujours menacées. Les avocats, les procureurs et les juges sont de pauvres défenseurs de l’État de droit. Les avocats et les procureurs essaient toujours de contourner la loi ou de trouver une nouvelle interprétation de ce que signifie la loi, une nouvelle théorie de l’objet de la loi afin de mettre la loi au service de leurs intérêts. Les juges accueillent favorablement les nouvelles interprétations qui brisent la monotonie de la loi. Les procureurs recherchent les condamnations – leur indicateur de succès – et non la détermination de l’innocence ou de la culpabilité. De nouvelles interprétations signifient que l’accusé est jugé pour un crime dont il ignorait l’existence. Même le président Trump se trouve dans cette situation. Trump ne savait pas que c’était un crime de douter de l’honnêteté de l’élection de Biden et de tenter de faire quelque chose à ce sujet.

Juste les ajouts constants à la loi la rendent inconnaissable. Il y a plus de dix ans, Harvey Silverglate, ancien chef de l’ACLU du Massachusetts, a écrit un livre, « Three Felonies A Day  : How the Feds Target the Innocent » [Feds : les agents fédéraux dont le FBI]. La loi est si vaste et compliquée que les Américains peuvent facilement commettre trois crimes par jour sans le savoir.

En Amérique, l’adoption d’une loi est la solution à tout. Nous avons tous entendu le refrain commun : « Il devrait y avoir une loi contre cela. » Les conséquences involontaires de ces lois ne sont jamais abordées. Les procureurs sont moins respectueux de la loi que les criminels. Les criminels ne font qu’enfreindre la loi. Les procureurs la corrompent. Les procureurs retiennent les preuves disculpatoires des accusés, soudoient les témoins avec des accusations abandonnées, des peines avec sursis et de l’argent pour faux témoignage contre l’accusé. Tant à New York qu’au Texas, et sans aucun doute dans d’autres États, il y a eu des scandales dans lesquels des preuves policières de drogues illégales utilisées pour condamner un grand nombre de personnes se sont avérées être du « papier peint ». Lorsque le gouverneur ou le procureur général a tenté de libérer ces personnes faussement condamnées, les procureurs se sont opposés à leur libération. Dans un cas, les procureurs ont inculpé et condamné le gouverneur pour fausses accusations.

Les procureurs n’admettront tout simplement pas de fausses condamnations. Lorsque les victimes de fausses condamnations sont libérées, les procureurs blâment les « juges libéraux qui sont indulgents envers la criminalité », et non leurs propres méthodes malhonnêtes de poursuite. À mon avis, il y a rarement une raison de faire confiance à un procureur. Il suffit de regarder le parcours de l’agent Derek Chauvin. Chauvin a été jugé et condamné dans les médias, pas devant un tribunal. Les médias ont assuré la condamnation de Chauvin en montrant à plusieurs reprises une vidéo prise par un adolescent noir de loin et sous un angle qui a entraîné une distorsion de perspective faisant croire que Chauvin avait le genou sur le cou de George Floyd, Alors que les vidéos de police rapprochées sans distorsion de perspective montraient le genou de Chauvin sur l’épaule de Floyd, une prise approuvée.

Chauvin tenait Floyd toujours dans un effort pour sauver la vie de Floyd. Chauvin a reconnu que la vie de Floyd était menacée par une surdose de fentanyl, confirmé par le rapport du laboratoire que le sang de Floyd avait plus de deux fois la dose létale de fentanyl ! Chauvin ou ses collègues officiers avaient appelé une ambulance d’urgence. Comme Floyd s’était plaint de difficultés respiratoires alors qu’il était assis dans la voiture de police et avait demandé à s’allonger, il lui a été conseillé de rester assis afin de conserver son oxygène. Si Chauvin voulait tuer Floyd, pourquoi appeler une ambulance d’urgence ?

Les faits ont été présentés au procès, mais à ce moment-là il était trop tard. Les jurés, même s’ils étaient amendables aux faits, savaient que Chauvin était déjà condamné et que s’ils ne ratifiaient pas la condamnation, ils seraient dénoncés comme un « jury raciste » par les médias américains et auraient leurs voisins, Antifa, et Black Lives Matter sur leur pelouse et pas de police pour les protéger.

C’est ce qui se produit lorsque la loi est abandonnée. Et les conséquences s’accumulent. Aujourd’hui, la police évite d’appliquer la loi contre les Noirs. Il en va de même pour les villes démocrates, comme San Francisco où une loi a été adoptée pour libérer les Noirs des charges criminelles pour les vols de moins de 950 $ par incident. L’un des résultats a été des raids noirs de masse sur les magasins, et la fuite de San Francisco de nombreuses entreprises. À l’heure actuelle, la législature californienne adopte une loi selon laquelle les Noirs doivent être punis moins pour les mêmes crimes que les Blancs.

Le fentanyl est maintenant devenu une drogue de choix. La police sait que l’arrestation d’un toxicomane peut la laisser avec un mort au fentanyl sur les mains comme George Floyd. Par conséquent, la police évite les arrestations pour drogue. Par conséquent, de San Francisco à Philadelphie, les rues sont jonchées de consommateurs de drogues, ce qui est une publicité impressionnante pour l’Amérique « exceptionnelle, indispensable ». Aujourd’hui, l’absence de loi aux États-Unis présente les États-Unis au monde comme un asile d’aliénés dans lequel l’un ou l’autre des électeurs américains sont si incompétents pour élire et réélire un criminel endurci à la présidence, à peine une recommandation pour la démocratie, ou les démocrates sont tellement sans foi ni loi qu’ils ne permettront pas une élection honnête pour les empêcher de prendre le pouvoir et, par conséquent, pour militariser la loi afin de détruire leur adversaire politique.

En regardant les agents démocrates et les procureurs, que voyez-vous ? Des gens complètement stupides, des gens qui croient que le reste du monde acceptera leurs affirmations selon lesquelles, alors que le président des États-Unis, entouré par le conseiller de la Maison-Blanche et un ministère de la Justice, le président Trump a commis de multiples crimes entraînant quatre inculpations, y compris le racket digne d’une inculpation RICO. Une inculpation RICO signifie que l’incompétent Fani Willis à Atlanta peut saisir les actifs de Trump et empêcher sa défense. Fani, bien sûr, est trop incompétent pour le savoir, mais qu’en est-il de l’escroc Biden nommé « procureur général » des États-Unis ? Quand apprendrons-nous que les avoirs de Trump ont été saisis pour empêcher sa défense ?

L’aspect le plus effrayant des accusations de Trump est que la profession juridique est prête à les prendre au sérieux. Peut-être cette volonté reflète-t-elle le parti pris contre Trump. Peut-être indique-t-elle une valeur de divertissement dans les mises en accusation. C’est peut-être de la curiosité si les procureurs peuvent créer de nouvelles lois par un précédent et obtenir Trump en élargissant l’interprétation des lois existantes. Certes, le Premier Amendement a été tellement déprécié et piétiné qu’il est un faible roseau pour une défense. Je suis étonné que les juges qui supervisent ces affaires ne les aient pas rejetées. Ce que cela nous dit, je pense, c’est que la profession juridique préfère le cirque à la primauté du droit.

Note. Cette réflexion de Paul Craig Roberts s’applique étrangement à la France point par point et à d’autres pays occidentaux dont le pouvoir politique ignore le principe le plus fondamental de la démocratie : la séparation stricte entre le pouvoir exécutif et la justice. Les magistrats ont succombé aux idéaux progressistes qui ravagent la notion même de séparation des pouvoirs. De ce fait la France n’est plus une démocratie …