D’où provient le SARS-CoV-2 ? Bonne question !

Je ne voudrais pas paraître un adepte des complots ou encore avoir l’air de m’impliquer dans un imbroglio politico-médiatique car fondamentalement je n’ai pas d’opinion au sujet de l’origine de ce virus qui a fait près de 4 millions de morts dans le monde, essentiellement des vieux dont l’espérance de vie était limitée, certes, mais tout de même un peu plus de morts que la grippe saisonnière pour cette tranche d’âge. J’ai donc rassemblé des informations disponibles et fait une lecture entre les lignes.

Le monde entier sait que la France a participé à la mise en place du laboratoire P4 de Wuhan en Chine et tout le monde sait également, et c’est à prendre en compte, que les Américains ont financé les recherches relatives à l’augmentation de fonctions infectieuses du SARS-CoV-1. Tous les curieux savent également qu’ils semble que le site de clivage appelé site furine dans la protéine « spike » aurait été introduit (au conditionnel car il n’existe aucune preuve formelle) dans l’ARN génomique du virus par manipulation en laboratoire afin de rendre le virus hautement infectieux pour l’homme. Tous les biologistes savent que lorsque l’on « passe » un virus en culture sur des cellules sensibles, par exemple pour produire massivement le virus dont il est question ici en vue de produire un vaccin sur des cultures de cellules Vero par exemple ou d’épithélium humain ou de souris humanisée, le virus mute spontanément et de plus en plus fréquemment en fonction des « repiquages ». Enfin tout le monde sait que des éleveurs de visons ont contaminé leurs animaux et qu’au sein des élevages apparut une multitude de mutants. J’arrête là cette énumération mais ce qu’il faut retenir pour l’instant est que le P4 de Wuhan était spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris et que les mises au point de gains de fonction pouvaient avoir été en partie financés par les Etats-Unis, personne ne le saura jamais car ce type de recherches intéresse surtout l’armée.

Ce qui est troublant, très troublant, est le confinement total pendant 2 mois de la totalité d’une ville de 15 millions d’habitants. Les habitants n’avaient pas le droit de sortir de chez eux, ils étaient ravitaillés par des membres du parti pour simplement survivre, les rues étaient désertes, les usines fermées, les magasins barricadés, le marché « humide » totalement isolé par des grilles infranchissables. Des milliers de morts étaient évacués chaque jour et l’apparition de dizaines de milliers de malades nécessita la construction en urgence d’hôpitaux.

Voilà le point révélateur ! Les autorités chinoises savaient que des expériences de « gain de fonction » étaient en cours dans le P4 de Wuhan. Par un malencontreux effet du hasard, délibérément ou par négligence, la souche hautement infectieuse s’est retrouvée dans la nature et a provoqué cette épidémie locale. L’aéroport international de Wuhan est relié au centre-ville par une ligne de métro dont une station est proche du P4. Des études ont montré que l’épidémie s’est d’abord répandue le long de cette ligne de métro. Tous les expatriés, des milliers, ont quitté la ville et ont répandu le virus partout dans le monde sans qu’une quelconque précaution soit décidée par les pays d’accueil. Cette attitude irresponsable était-elle préméditée ? On est en droit de se poser la question !

Qu’aujourd’hui les Américains nient toute participation dans les travaux réalisés dans le P4 de Wuhan me paraît relever de la plus entière mauvaise foi. Que les Français n’aient pas correctement formé les personnels du P4 me paraît également spécieux. Bref, il reste que les autorités chinoises ont pris des mesures tellement sévères à Wuhan qu’elles me font dire qu’ils savaient quel était le danger. Quand une compagnie aérienne achète un nouvel avion elle forme ses pilotes … Jamais les Chinois ne collaboreront aux enquêtes y compris de l’OMS dont ils financent généreusement le fonctionnement. Tout le monde savait en Chine quelle était l’ampleur du danger potentiel mais jamais personne ne pourra le prouver. Je précise que tous les éléments d’information figurant dans ce billet ne sont pas une invention de ma part, ils ont été divulgués largement ces derniers mois sur une multitude de sites sur la toile.

Il reste maintenant un gros lézard à éclaircir quel que soit le résultat des enquêtes à Wuhan ou ailleurs comme par exemple dans les P4 de l’armée américaine en Caroline du Nord qui, comme par hasard finançait en partie les recherches effectuées dans le P4 de Wuhan. Pourquoi, comme par magie, les laboratoires pharmaceutiques occidentaux ont proposé avec des délais records aux gouvernements leurs pseudo-vaccins à base d’ARN messager, une approche jamais encore utilisée chez l’homme massivement alors que les Chinois ont préféré un vaccin traditionnel au même titre que celui de la rougeole constitué du virus entier inactivé obtenu avec des cultures de cellules Vero ? Savaient-ils que les pseudo-vaccins à ARN messager présentaient un danger pour la santé des personnes ? Alors que la Chine a décidé de traiter massivement la totalité de sa population avec de l’hydroxychloroquine pourquoi l’usine taïwanaise de fabrication de cette molécule, la plus importante du monde, a-t-elle été victime d’un incendie ? Il y a beaucoup trop de zones d’ombre pour croire un seul instant que cette épidémie n’a pas été fomentée dès le début pour satisfaire les intérêts de la Chine – j’ai de la peine à croire en cette hypothèse – ou pour le plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques occidentaux.

Réflexions sur la politique française

Après ces élections départementales et régionales en France, en tant que spectateur puisque je n’habite plus dans mon pays natal, je voudrais faire quelques remarques certainement pas très pertinentes puisque je suis de très loin ce qui se passe en France. La première remarque est évidente : les électeurs français sont désabusés par la tournure du fonctionnement de la politique française. Ils ne croient plus en la démocratie et pour cause, le pouvoir a mis la main sur la justice, le Parlement s’est vu privé de tout pouvoir législatif et le peuple n’est plus représenté. Enfin le pouvoir est un théâtre de marionnettes manipulées par Bruxelles et Francfort. L’électorat a perdu confiance. Alors pourquoi voter puisque l’élite politique au pouvoir considère que le peuple n’a qu’à se taire et payer ses impôts en silence. C’est tout.

Le monde politique n’a pas l’air d’avoir pris conscience que l’orage est en préparation dans les « classes populaires » méprisées par les ministres et les secrétaires d’Etat ou encore les Préfets qui ne représentent plus qu’un pouvoir de pacotille à bout de souffle et qui n’a plus aucune ligne de conduite clairement identifiable. Je n’ai pas vraiment d’opinion politique, en d’autres temps j’aurais été gaulliste et j’aurais voté oui au référendum sur la participation, le grand projet de De Gaulle, visionnaire, qui aurait donné une toute autre tournure au tissu industriel de la France. De Gaulle avait quitté le commandement de l’OTAN et prié les GI américains de bien vouloir quitter le territoire français. Les projets d’union européenne lui semblaient mal ficelés et il avait raison.

Aujourd’hui la France souffre de son appartenance à l’Union européenne, elle n’est plus maîtresse de sa monnaie ni de ses lois, c’est beaucoup trop. Le pouvoir central s’est privé de son pouvoir au profit de la Commission européenne et de la BCE. C’est à mon humble avis l’une des raisons de la désaffectation des électeurs pour les scrutins : ça ne sert plus à rien. Enfin, les nostalgiques de la souveraineté de la France (dont je fais encore partie) défendue par le Front National il y a encore quelques années ont été déçus par le revirement du leader de ce mouvement qui s’est ralliée aux « Européistes ». À mon avis toujours aussi insignifiant la déroute du parti souverainiste qui n’a plus rien de souverainiste maintenant s’explique par ce revirement de tendance politique.

J’avoue que je suis déçu par le monde politique français, déçu par l’avancée insidieuse du « gauchisme plus ou moins vert » qui envahit toutes les sphères du pouvoir. À moins d’un événement tout aussi imprévisible que la chute d’une météorite l’avenir de la France est compromis et ce pays ne s’en relèvera pas.

Jusqu’en 2060 le Soleil va faire une grande sieste …

En dépit du fait que la propagande climatique continue à mettre en avant l’effet de serre du CO2 qui doit (en théorie) conduire à un réchauffement généralisé de la planète, des climatologues et astrophysiciens disposant d’une solide formation en mathématique continuent à ne s’intéresser qu’à l’activité du Soleil, le tout premier paramètre influençant le climat de la Terre dans des échelles de temps « non géologiques » contrairement aux autres paramètres beaucoup plus étalés dans la durée comme les variations d’obliquité et d’excentricité de l’orbite de la Terre. Ce sont deux paramètres distincts qui doivent être analysés séparément. Une petite équipe de scientifiques s’est donc encore une fois penchée sur l’évolution de l’activité solaire en choisissant une approche différente de celle du Docteur Valentina Zharkova. Celle-ci avait formalisé à l’aide d’équations mathématiques l’évolution du champ magnétique solaire et avait conclu que l’activité magnétique solaire allait décroître durant les quelques 40 années à venir puis la situation redeviendrait normale vers la fin du XXIe siècle. De l’activité magnétique du Soleil découle directement l’irradiance solaire qui atteint la Terre. Cette irradiance se transforme en chaleur dont plus de 99 % se dissipe dans l’espace sur le long terme et la conséquence directe est alors une modification des conditions climatiques, modifications toujours progressives en raison de la très importante inertie thermique des océans.

Les Docteurs Herrera, de l’Université de Mexico, Soon de l’Université d’Harvard et Legates de l’Université du Delaware ont donc tenté avec succès une analyse de l’activité solaire telle qu’elle a été observée depuis plus de 3 siècles en comptant le nombre de taches solaires. Les données disponibles depuis le début du XVIIIe siècle sont le reflet d’un système complexe d’oscillations périodiques qui se superposent et ces physiciens ont choisi l’analyse spectrale des « ondelettes », Wavelet Transform en anglais, pour faire apparaître les diverses composantes cachées conduisant à cette variation de l’activité solaire dont dépend le climat de la Terre. Cette approche nécessite une puissance de calcul importante et la mise en place d’algorithmes permettant de faire apparaître le spectre temporel des diverses composantes modulant l’activité solaire. Il s’agit du traitement d’un ensemble de signaux, le nombre de taches solaires répertoriées chaque année depuis l’année 1700, abstraction faite de tout préjugé. Je rappelle ici qu’il n’est jamais fait mention de climat dans l’article cité en référence.

Comme on pouvait s’y attendre la première « fonction périodique » commandant l’activité solaire détectée par cette approche est le cycle de onze ans bien connu. Le spectre des fréquences temporelles fait néanmoins apparaître d’autres fonctions qui, avec des moyens informatiques appropriés, vont être par la suite analysées à l’aide d’algorithmes adaptés ce qui a fait dire au Docteur Herrera qu’il avait mis à profit l’intelligence artificielle pour expliquer l’évolution de l’activité solaire. Il serait plus approprié de parler de traitement à haute complexité d’un grand corpus d’informations. Ces algorithmes ne sont pas artificiels puisqu’ils ont été écrits par des hommes dans le but d’effectuer des calculs complexes et fastidieux très rapidement. La première analyse des Wavelet Transform (WT) a permis de détecter des « harmoniques » de fréquences temporelles supérieures au cycle de 11 ans appelé cycle de Schwabe (rien à voir avec le patron du World Economic Forum) dont les fréquences sont de 22 ans, 60 ans et 120 ans, ces deux derniers cycles ayant été décrit par Rudolf Wolf. En examinant plus attentivement cette analyse à l’aide d’un algorithme plus sophistiqué il apparaît également un cycle de 5,5 années. Pour arriver à un tel résultat il a été adjoint au WT une analyse Bayesienne décrite par le mathématicien Bayes en 1763 dont le théorème peut être écrit de la manière suivante :

Évènement postérieur = (Probabilité/évidence) x événement antérieur. En d’autres termes les paramètres analysés dépendent à chaque instant des paramètres antérieurs à cet événement et l’analyse Bayesienne permet une optimisation, étape après étape du calcul, des facteurs décrivant ces paramètres.

Que faire alors de cet outil ? L’équipe de Herrera a utilisé plus de 500 paramétrages probabilistes pour atteindre un intervalle de confiance satisfaisant en ce qui concerne les données existantes sur les taches solaires afin de tenter de réaliser des prédictions crédibles – en lesquelles on peut faire toute confiance – pour les années à venir. Et c’est sur ce point que cette étude est tout à fait intéressante. Les paramètres de l’analyse Bayesienne des WT (wavelet transform) ont permis de réaliser des prévisions très précises jusqu’en 2100 :

En a) les cycles solaires et la prédiction après 2019, en b) l’analyse WT mettant en évidence la composante harmonique d’une durée de 5,5 ans mise en évidence et confirmée au cours de cette étude, en c) l’analyse WT proprement dite, en d) les variations périodiques du cycle solaire de 11 ans enveloppées dans les modulations de 120 ans dont les maxima sont numérotés I, II, III et IV (prévision), en e) les variations périodiques du cycle solaire de 22 ans appellé cycle de Hale, en f) les variations du cycle de 60 ans dit de Yoshimura-Gleissberg et en g) le cycle de 120 ans aussi appelé de Wolf. Enfin en h) la nouveauté déduite des calculs est l’anomalie énergétique temporelle de chaque cycle de 11 ans. On retrouve le minimum de Maunder, le « petit âge glaciaire », suivi de l’optimum d’activité solaire moderne qui, selon les prévisions sera suivi d’une quarantaine d’années d’activité solaire effondrée proche de celle du petit âge glaciaire. Nulle part la publication ne fait allusion à une modulation du climat car il ne s’agit que d’une analyse de l’activité solaire à partir des taches solaires et non des proxys isotopiques qui ont permis une reconstitution de l’activité solaire sur une beaucoup plus longue période et il n’est fait aucunement mention de la mécanique céleste car celle-ci n’exerce aucun effet sur l’activité solaire.

Source et illustration : https://doi.org/10.1016/j.asr.2021.03.023 aimablement communiqué par le Docteur Herrera.

Le refroidissement du climat : seule issue pour mettre fin à la pandémie coronavirale ?

Ce dernier hiver 2021 le Texas, le plus méridional des Etats des USA avec la Floride, a été l’un des plus froids et enneigé jamais enregistrés. La ville de Corpus Christi a connu des bourrasques de neige et la région d’Amarillo, au nord de l’Etat, fut le témoin de températures inférieures à 0°C pendant plus d’une semaine. Selon les spécialistes des paléoclimats il s’agissait d’une des premières manifestations de la période de transition qui verra, dans un délai encore difficile à quantifier, apparaître un refroidissement progressif du climat. Ce climat dont tout le monde se préoccupe a fait dire à certains que cet hiver texan particulièrement froid et neigeux était une conséquence du « réchauffement climatique d’origine anthropique ». Un ancien Président de la République française avait même déclaré que le grand tremblement de terre du Kanto au Japon était une conséquence de ce réchauffement du climat. Dans la même veine certains analystes pervers ont aussi déclaré que l’épidémie de coronavirus était également provoquée par le réchauffement du climat. Il faut faire preuve d’une certaine abnégation intellectuelle pour croire en toutes ces billevesées.

Mais revenons au Texas. Après avoir traversé cet épisode sub-polaire les autorités politiques de l’Etat ont décrété le 3 mars 2021 que toutes les privations de liberté mises en place pour maintenir l’épidémie de coronavirus étaient levées : plus de port du masque, plus de restrictions d’accès dans les restaurants, plus de distanciation sociale, en quelque sorte la vie normale « comme avant ». Qu’en est-il aujourd’hui de cette épidémie qui préoccupe outre mesure les gouvernements occidentaux quand un « cluster » de mutants delta est détecté quelque part au point d’en rajouter une petite dose de privation des libertés ? Il n’y a plus aucune logique scientifique dans les décisions prises par les décideurs politiques et les esprits malveillants, en particulier les Démocrates du Texas, avaient prévu dans le courant du mois de mars une situation apocalyptique à la suite de la décision du gouverneur de l’Etat. Il n’en est rien. Voici les dernières statistiques publiques mises à jour le 24 juin 2021 : le 23 juin 40 % des Texans ont été complètement vaccinés, 1496 personnes sont toujours hospitalisées (87 de moins qu’une semaine auparavant), au 24 juin 1091 nouveaux cas confirmés, neuf de plus qu’une semaine auparavant, et le 24 juin enfin, 38 morts soit la moyenne sur les 7 jours précédents.

De nombreux gouvernements devraient se rendre compte que le Texas a pris une bonne décision car aucun désastre sanitaire n’a eu lieu. Il est même impossible d’invoquer le taux de vaccination de la population dans cette baisse spectaculaire puisque selon les « experts » en la matière la fameuse immunité de groupe ne pourra être atteinte que lorsque 80 % de la population aura eu son double shoot d’ARN messager. Alors que s’est-il passé de politiquement incorrect au Texas ? Puisque tout le monde, y compris ces « experts », nagent dans un océan de fausses hypothèses je propose que la froidure qu’a connu le Texas en ce début d’année 2021 a terrassé le virus. Il me vient à l’esprit une autre explication tout aussi improbable : laisser les gens tranquilles et ne plus leur empoisonner l’existence favorise leur résistance au virus. Vive la liberté !

Source : The Texas Tribune

Vaccin nouvelle technologie : non merci !

Nous allons tous devoir se faire injecter de l’ARN messager codant l’information étrangère reconnue par notre propre organisme pour produire la protéine « spike » du coronavirus. Il faudra se plier à cette injonction imposée par les décideurs politiques soumis à la pression de l’OMS, organisme onusien financé en grande partie par le vieux Bill et le gouvernement chinois et qui subit également la pression du puissant lobby de l’industrie pharmaceutique occidentale. Les évidences s’accumulent jour après jour au sujet de la dangerosité de cette technique innovante (sur le papier) imposée à des milliards de personnes innocentes et consentantes sous la contrainte administrative ou idéologique pour se transformer en animaux ce laboratoire.

Vous décidez de vous soumettre à cette thérapie génique pour pouvoir voyager, par exemple, mais vous ne disposez d’aucunes informations sur ce que sera votre état de santé dans un mois, un an ou dix ans. C’est compréhensible puisque les fabricants de ces produits n’ont pas eu matériellement le temps de faire ces études sur le moyen et le long terme. Ils ont laissé les gouvernement le soin d’utiliser les citoyens dont ils ont la responsabilité pour jouer le rôle d’animaux de laboratoire. Pire encore cet ARN messager oblige en quelque sorte l’organisme du volontaire au suicide en produisant la protéine spike pendant plus de 15 jours qui provoque des dégâts au niveau de la coagulation sanguine. Cette protéine se fixe sur un récepteur très abondant justement sur la face externe de la membrane des cellules épithéliales tant au niveau des muqueuses des voies respiratoires mais également des vaisseaux sanguins. La protéine que l’injection de cet ARN messager oriente l’organisme à produire est donc toxique car elle perturbe le processus de coagulation du sang. Certains scientifiques de très haut niveau (dont je ne fais certainement partie) ont déclaré que le SARS-CoV-2 était avant tout une maladie du sang provoquant des thromboses elles-mêmes responsables de lésions pulmonaires.

On veut massivement « vacciner » ou plutôt transformer tout un chacun en organisme génétiquement modifié pour maîtriser l’épidémie. C’est un leurre ! Voici une illustration de la protéine spike du SARS-CoV-2 (capture d’écran d’une conférence présentée à l’IHU de Marseille, France :

Cette protéine est essentielle pour que le virus se fixe sur les cellules épithéliales au niveau de l’enzyme de conversion de l’angiotansine. Comme on peut le constater cette protéine, compte tenu du mécanisme de réplication du virus va muter en réaction au moindre signal qu’il s’agisse du Remdesivir reconnu comme puissant agent mutagène mais également ce pseudo-vaccin. C’est la raison pour laquelle on assiste aujourd’hui à de graves cas d’infection chez des personnes « vaccinées » mais pas seulement car ce cas de figure d’hyper-sensibilité au virus suivi d’un « orage de cytokines » est bien connu. Faut-il rappeler les essais en phase III de Sanofi concernant leur vaccin devant protéger contre la dengue, essai réalisée aux Philippines ? Plus de deux mille enfants vaccinés ont été ensuite infectés par le virus et en sont morts alors que dans la très grand majorité des cas même les enfants survivent à cette fièvre, j’en sais quelque chose puisque j’ai attrapé la dengue aux Îles Marquises …

Pendant ce temps-là le compteur tourne : 15 nouveaux milliardaires actionnaires des laboratoires pharmaceutiques fabricant ce poison, entre 200 et 500 milliards déjà récoltés rétribuant les détenteurs du capital de ces entreprises comme par exemple Vanguard et BlackRock, sans compter les tests PCR qui ne servent à rien sinon à enrichir outrageusement les laboratoires d’analyse qui pratiquent ces tests sur ordre des autorités gouvernementales. Je rappelle ici qu’une « vaccination » comportant deux injections revient aux gouvernements entre 45 et 74 euros selon les prix fixés par les fabricants. Je n’invente rien, ces chiffres figurent dans un rapport de globaljustice.org.uk . C’est tout simplement écoeurant !

D’où vient le Plasmodium vivax ?

C’est une question débattue depuis que l’on a découvert un Plasmodium très proche du « vivax » humain chez les grands singes d’Afrique. L’idée que le P.vivax soit originaire d’Afrique comme l’homme moderne était séduisante mais il n’existait aucune preuve permettant de l’affirmer. Il a été nécessaire pour trancher entre l’hypothèse de l’origine africaine et l’origine asiatique d’étudier en détail 447 génomes de P.vivax et 19 génomes de P.vivax simiesque, de gorilles et de chimpanzés obtenus au Gabon, au Cameroun et en Côte-d’Ivoire. Cette étude s’est focalisé sur les SNPs (single nucleotide polymorphism), environ 2 millions, du chromosome 5 du parasite. Je rappelle que le Plasmodium vivax est la forme de malaria la plus répandue dans le monde avec entre 2,5 et 5 millions de cas nouveaux chaque année. Cette fièvre ne s’éteint pas après le premier contact avec le parasite, contrairement au Plasmodium falciparum mais peut réapparaître sans prévenir pendant de longues années après la primo-infection sans que l’on soit pour autant en contact avec un anophèle, le moustique vecteur du parasite et dans un pays exempt de malaria.

À l’issue de cette étude réalisée à l’Université de Montpellier en France sous la direction du Docteur Virginie Rougeron il apparaît que le P.vivax tel qu’on le connaît maintenant est originaire de l’un des trois pays suivants : Indonésie, Malaisie ou Papouasie-Nouvelle Guinée (PNG) ou simultanément de ces trois pays. Ce serait aller un peu vite d’en rester là car les clades très proches de ces trois pays ont des « ancêtres » phylogénétiques ayant conduit à l’apparition du P.vivax de Chine puis des clades de Thaïlande, du Vietnam et du Cambodge et parallèlement du clade du Myanmar. À peu près au même moment dans le «  temps génétique » deux branches distinctes ont émergé l’une en Afrique et l’autre en Amérique Centrale et du Sud avec dans la branche « africaine » le clade de l’Inde. À cet arbre phylogénétique se superposent des mouvements de population mais dans tous les cas l’origine du parasite se situe quelque part à mi-distance entre le P.vivax d’Asie et les autres, Afrique et Amérique à l’exception de l’Inde, le P.vivax des grand singes d’Afrique (PVL, Plasmodium vivax Like) divergeant très tôt. Le parasite indien ne fait partie des autres parasites africains que phylogénétiquement et non pas géographiquement, cela s’entend :

Les calculs de dérive génétique (drift parameter) tenant compte des mouvements migratoires humains modifient cet arbre. Le vivax de l’Inde provient alors du Myanmar et divers mélanges (admixtures) ont aussi lieu entre le Cambodge, la Malaisie, PNG et l’Indonésie. Tous ces calculs sont basés sur les accumulations de SNPs pour déterminer la dérive génétique et sur la fréquence des séquences identiques en dehors des zones hyper-variables de l’ADN susceptibles d’être allumées avec la même amorçe en utilisant l’outil PCR (bootstrap) si j’ai bien compris le sens de l’article :

Très belle étude qui a le mérite de clarifier une situation et d’affirmer que le Plasmodium vivax est bien originaire des zones équatoriales de l’Asie insulaire. Il reste un mystère non encore élucidé car le P.vivax a été beaucoup moins étudié que son cousin le falciparum car il ne provoque que très peu de décès. De plus les populations africaines sont protégées contre le vivax car elles ne possèdent pas l’antigène Duffy à la surface de leurs hématies. Cependant de nouvelles souches de P.vivax ont fait leur apparition et elles sont capables d’envahir ces hématies exemptes de l’antigène Duffy. Au même titre que le P.falciparum le « vivax » est devenu aujourd’hui une préoccupation majeure dans de nombreux pays d’Afrique jusque là épargnés car les économies de ces pays seraient gravement pénalisées par une infestation massive quand on sait que 15 % à 20 % de la population est en permanence malade malgré toutes les thérapeutiques anti-malaria existantes dans les pays où la malaria est endémique.

Source : http://advances.sciencemag.org/content/7/18/eabc3713

L’ombre fasciste de la nuit la plus longue de l’opération Barbarossa hante toujours l’Europe. C’est incroyablement préoccupant

Article de Finian Cunningham paru le 22 juin sur le site strategic-culture.org. « Pour comprendre le présent il faut connaître le passé »*.

Cette semaine marque le quatre-vingtième anniversaire de l’invasion nazie de l’Union soviétique. Il s’en est suivi une longue nuit d’horreur au cours de laquelle la Seconde Guerre mondiale s’est intensifiée pour anéantir des dizaines de millions de vies. L’opération Barbarossa a été lancée le 22 juin 1944, à quelques heures du solstice d’été, le jour le plus long de l’année dans l’hémisphère nord. L’invasion comprenait 3,3 millions de soldats du Reich nazi déployés sur une ligne de front de près de 3 000 kilomètres. Elle est considérée comme la plus grande force d’invasion de l’histoire militaire. L’Allemagne nazie était déjà en guerre avec la Grande-Bretagne et la France après avoir conquis la Pologne en septembre 1939. Mais ce qui a suivi dans l’offensive contre l’Union soviétique était la solution finale du génocide nazi à plein régime.

Parmi les troupes régulières de la Wehrmacht se trouvaient des escadrons de la mort SS dont la tâche infernale assignée par les dirigeants nazis était l’extermination des Juifs, des Slaves et des Bolcheviks. Au cours des deux années et demie qui ont suivi avant que l’Armée rouge ne repousse et finalement anéantisse l’Allemagne nazie, jusqu’à 27 millions de citoyens soviétiques mourraient de violence et de privation.

De nombreuses victimes ont été tuées dans des massacres à grande échelle ou après avoir été parquées dans des camps d’extermination, dont la plupart ont été créés sur le territoire polonais. Les plus connus étaient Auschwitz, Treblinka, Belzec, Chelmno, Sobibor et Majdanek, où les chambres à gaz et les crématoires ont fait des millions de morts.

Lors d’une cérémonie de commémoration à Berlin, le président allemand Frank-Walter Steinmeier a parlé solennellement de la guerre nazie lancée contre l’Union soviétique, qualifiant son horreur de « barbarie meurtrière ».

« Dès le premier jour, la campagne allemande a été motivée par la haine, l’antisémitisme et l’anti-bolchevisme, par la folie raciste contre les peuples slaves et asiatiques de l’Union soviétique », a déclaré Steinmeier. « Ceux qui ont mené cette guerre ont tué de toutes les manières possibles, avec une brutalité et une cruauté sans précédent », a-t-il ajouté. « C’était la barbarie allemande, elle a coûté des millions de vies et a dévasté le continent ».

Une correction importante à ces remarques est qu’il ne s’agissait pas uniquement de « barbarie allemande ». La machine à tuer nazie a été aidée et encouragée par d’autres forces européennes, y compris des rangs de collaborateurs d’Ukraine, de Pologne, de Roumanie, de Hongrie, entre autres, ainsi que des États baltes d’Estonie, de Lettonie et de Lituanie. C’était la barbarie fasciste.

L’Allemand Steinmeier a poursuivi en déclarant : « Seuls ceux qui apprennent à lire les traces du passé dans le présent pourront contribuer à un avenir qui évite les guerres, rejette la tyrannie et permet une coexistence pacifique en toute liberté ».

Et c’est ce qui est déconcertant. De nombreux hommes politiques à travers l’Europe et aux États-Unis semblent incapables de lire « les traces du passé dans le présent » pour éviter les guerres et permettre une coexistence pacifique. L’expansion incessante des forces de l’OTAN autour des frontières de la Russie se poursuit sans relâche et avec une rationalisation inquiétante. Comme l’a souligné le président russe Vladimir Poutine dans un article publié dans les médias allemands cette semaine pour commémorer le 80e anniversaire de l’opération Barbarossa, l’expansion imprudente de l’OTAN menace directement la sécurité de l’Europe.

Lors de son sommet annuel qui s’est tenu la semaine dernière à Bruxelles, l’alliance de l’OTAN dirigée par les États-Unis a vilipendé à plusieurs reprises la Russie pour avoir « menacé la sécurité de l’Europe ». Ces accusations déforment la réalité. C’est la posture offensive de l’OTAN envers la Russie qui met en péril la stabilité stratégique.

Comme Poutine l’a noté, lorsque la guerre froide entre l’Occident et l’Union soviétique a pris fin il y a trois décennies, l’Europe a manqué une occasion de faire évoluer les structures de sécurité dans le cadre d’un partenariat avec la Russie. Sous la direction des États-Unis, l’OTAN est devenue une agence de recrutement contre Moscou. Confrontation au lieu de coopération. Malheureusement, il y a peu de signes de ce changement dynamique, malgré les appels de la Russie pour des relations plus raisonnées.

L’alliance de 30 membres comprend désormais des États européens dont les politiciens expriment une russophobie ouvertement déclarée. Sous l’influence malsaine des partis ultranationalistes polonais et baltes, s’est développé un révisionnisme inquiétant concernant la Seconde Guerre mondiale, ou la Grande Guerre patriotique comme on l’appelle en Russie, où les crimes de l’Allemagne nazie sont assimilés, de manière méprisable, aux crimes de l’ère soviétique.

La polarisation de l’Europe a été une politique délibérée sous l’OTAN qui a entraîné des tensions extrêmes entre les États-Unis et leurs alliés, d’une part, et la Russie de l’autre. La désignation de l’Ukraine et de la Géorgie, deux anciennes républiques soviétiques, pour devenir membres de l’OTAN est une provocation calculée contre la Russie. Cette décision pourrait potentiellement voir des missiles balistiques américains installés à la frontière de la Russie par une alliance militaire qui définit la Russie comme une menace pour l’Europe.

Lors de la récente cérémonie commémorative présidée par le président allemand Steinmeier pour rappeler au monde la pire horreur de l’histoire moderne, il faut déplorer que l’ambassadeur d’Ukraine ait refusé d’y assister. L’événement a eu lieu au Musée germano-russe de Berlin. C’était le site où l’Allemagne nazie a signé une capitulation inconditionnelle le 8 mai 1945, devant des représentants de l’Union soviétique, des États-Unis et de la Grande-Bretagne. (La date était le 9 mai à l’heure de Moscou.)

L’ambassadeur ukrainien Andrij Melnyk a rejeté l’invitation car il a déclaré que le lieu était « un affront » car trop axé sur les souffrances de la Russie.

C’est alors que les forces ukrainiennes soutenues par l’OTAN sous le contrôle d’un régime de Kiev qui glorifie les collaborateurs nazis bombardent le peuple russe de l’est de l’Ukraine dans une guerre qui dure depuis plus de sept ans. Le régime de Kiev a été porté au pouvoir par un coup d’État soutenu par les États-Unis et l’Europe contre un président élu en février 2014. Le régime est enhardi dans son agression anti-russe par le soutien financier et militaire de Washington et de Bruxelles.

Il est en effet troublant de constater que même lorsque des dirigeants comme le président allemand Frank-Walter Steinmeier semblent parler solennellement et sagement de l’horreur de la guerre, il y a toujours un manque étonnant de conscience du danger de guerre comme en témoignent les politiques de Washington et de ses alliés. Est-ce vraiment un manque de conscience ou quelque chose de plus cynique ?

L’ombre fasciste de la nuit la plus longue de l’opération Barbarossa hante toujours l’Europe. C’est incroyablement désolant. *Citation ajoutée par votre serviteur et dont j’ai oublié l’auteur.

Brève. « Covid-long » : des effets insoupçonnés en France et ailleurs

« En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal » (Machiavel)

Pêle-mêle, une énumération à la Prévert des effets du « covid-long », sans ordre logique pouvant être calqué sur l’évolution de la maladie :

Libertés individuelles piétinées, liberté de prescrire par les médecins restreinte, principe de précaution ignoré, liberté d’expression mise en danger, démocratie muselée : les représentants du peuple réduits à une chambre d’enregistrement, censures par les GAFAM sur ordre des gouvernements, désaffection pour les devoirs civiques, entrave aux libertés de culte religieux, entrave à la liberté de se rassembler, entrave à la liberté de manifester en public, entrave à la bonne marche de l’enseignement depuis le collège jusqu’à l’université, retour à des pratiques moyenâgeuses sans discernement (confinement), disparition de la liberté individuelle au profit de l’intérêt du groupe (cf. Note), obéissance du peuple et retour de la délation comme lors de l’occupation du pays par l’Allemagne nazie, corruption à tous les niveaux : depuis l’OMS, l’Agence européenne de santé, l’Agence française du médicament, l’Ordre des médecins, le conseil gouvernemental de santé jusqu’aux pseudo-médecins de plateaux télé, interdiction de certains médicaments prescrits à des milliards de personnes sous prétexte qu’ils sont toxiques, fausses nouvelles, faux articles scientifiques, fausses statistiques, faux modèles prévisionnels, utilisation abusive de techniques de biologie moléculaire inadaptées, faux vaccins, utilisation massive des populations comme animaux de laboratoire. Et enfin politisation et financiarisation de la santé au détriment des patients sans oublier les internements en clinique psychiatrique d’opposants à la politique vaccinale du gouvernement qui rappellent les heures sombres de l’URSS sous Andropov.

J’arrête là cette énumération … Pour les dirigeants politiques le « moindre mal » aura été un asservissement et une surveillance totale des populations avec la mise en place du QR-code sanitaire ouvrant la voie à la dictature. Machiavel aurait assisté à une démonstration à grande échelle de son mot cité en préambule de ces quelques lignes.

Note. Privilégier l’intérêt du groupe au détriment de l’intérêt de l’individu est contraire à la démocratie. En conséquence la France (et pas seulement ce pays occidental) s’achemine vers la mise en place d’un système totalitaire à la chinoise. Lire par exemple ce document :  http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210208/pro_2021_02_11.html

On ne dit rien aux Canadiens quand ils se font vacciner

Article de John Cunnington, Docteur en médecine, ancien professeur à l’Université McMaster paru sur le site de Donna Laframboise

Au sommet de la hiérarchie médicale se trouve le neurochirurgien. Les neurochirurgiens sont entourés d’une mystique d’omniscience et d’omnipotence. Imaginez donc ma surprise, en tant qu’humble étudiant en médecine, de découvrir que le neurochirurgien principal de notre établissement, Robert Hughes, était poursuivi pour faute professionnelle. En fait, Robert Hughes, à son grand dam, a écrit l’histoire médicale et juridique du Canada sur la question du consentement éclairé.

En 1970, Hughes a effectué une endo-artériectomie carotidienne (nettoyage de l’artère carotide jusqu’au cerveau) sur un homme de 44 ans, John Reibl, qui a ensuite subi un accident vasculaire cérébral qui l’a laissé paralysé d’un côté et incapable de continuer à travailler. Reibl a poursuivi Hughes, affirmant qu’il n’avait pas été informé qu’il pourrait subir un accident vasculaire cérébral à la suite de cette chirurgie élective, et que s’il l’avait su, il aurait retardé l’opération jusqu’à ce qu’il devienne éligible pour une pension de Ford Motor Company moins de deux ans plus tard. Voici le témoignage de Reibl devant la Cour :

Q. Vous a-t-il parlé de ce qui se passerait si vous ne subissiez pas l’opération? R. Oui, il a dit : « C’est à vous de décider si vous voulez l’avoir ou non. Vous pouvez vivre quelques années. Vous pouvez vivre environ 7 ou 10 ans ou plus. Un de ces jours, vous allez tomber sur le nez, et c’est tout. Si vous voulez le faire maintenant vous n’aurez aucun problème plus tard.

Q. Le Dr Hughes a-t-il dit autre chose sur les risques de l’opération ?

R. Il n’a rien dit.

L’affaire Reibl contre Hughes est allée jusqu’à la Cour suprême du Canada et, en 1980, la Cour a énoncé la norme actuelle du consentement éclairé, en particulier que le médecin (ou un autre fournisseur de soins de santé) « doit donner au patient suffisamment d’informations pour qu’un examen objectif, par une personne raisonnable à la place du patient puisse être en mesure de faire un choix éclairé concernant un acte médical ». Le tribunal a défini l’omission de divulguer les risques qui en découlent comme une négligence.

Ainsi, au Canada, pour recevoir un traitement ou une intervention, le patient doit non seulement l’accepter verbalement et signer un formulaire de consentement, mais doit donner un consentement éclairé après s’être fait expliquer les risques. Quarante et un ans après la décision de la Cour suprême, nos gouvernements fédéral et provinciaux se sont engagés dans un programme d’administration à toute la population canadienne de plus de 12 ans, d’un traitement de thérapie génique complètement nouveau, expérimental, non approuvé par la FDA. Cette thérapie, selon les bases de données sur les réactions indésirables aux vaccins des gouvernements américain et européen, est raisonnablement suspectée d’avoir tué des milliers de personnes et causé des blessures graves chez des dizaines de milliers d’autres personnes. Pendant ce temps, les conséquences à long terme de la thérapie sont tout simplement inconnues.

Les Canadiens qui subissent ce traitement obtiennent-ils cette information ? Leur dit-on ce qu’ils doivent savoir pour donner un consentement éclairé ? Un de mes amis a récemment reçu l’injection. Je lui ai demandé s’il était informé de la possibilité d’effets secondaires. Il a dit qu’aucun ne lui a été mentionné !Pour autant que je sache, les Canadiens ne sont pas informés qu’il y a des risques. Lorsqu’ils se présentent au site d’injection, il semble qu’on leur demande de signer un formulaire et de tendre le bras. Ceux qui administrent le traitement ne discutent pas avec eux des avantages et des inconvénients, des risques et des bénéfices de l’injection avant l’administration du « vaccin ». La plupart des Canadiens qui se font vacciner n’ont aucune idée qu’il existe un risque de troubles de la coagulation sanguine, comme une embolie pulmonaire et un accident vasculaire cérébral, de processus immunitaires mettant la vie en danger comme la thrombocytopénie induite par le vaccin, ou que les jeunes qui se font vacciner courent un risque de complication potentiellement mortelle de la myocardite (ils ne sont pas non plus informés que le risque de Covid lui-même est presque négligeable pour les jeunes et en bonne santé). Un tel manque d’information est une violation de la décision de la Cour suprême sur le consentement. Si vous êtes blessé par le vaccin et n’avez pas donné votre consentement éclairé, vous avez des motifs de poursuivre vos autorités sanitaires pour négligence et dommages-intérêts.

Remarque : Il n’incombe pas aux patients de faire leurs propres recherches. Il incombe au fournisseur de soins de santé d’informer les patients des risques afin qu’une personne objective et raisonnable dans la position du patient soit en mesure de faire un choix éclairé. Est-ce que quelqu’un croit vraiment qu’un enfant de 12 à 15 ans est capable de comprendre suffisamment les problèmes complexes liés à la thérapie génique expérimentale pour donner un consentement éclairé ? Attirer des enfants avec de la crème glacée à Toronto ou des adultes avec une loterie dans l’Etat d’Alberta constitue-t-il un consentement éclairé?

Si l’affaire Reibl contre Hughes établit la norme pour les traitements approuvés, quelle devrait alors être la norme pour les traitements non approuvés, pour l’expérimentation sur les humains avec des technologies nouvelles et non testées ? À la suite d’expériences menées par des médecins nazis sur des prisonniers des camps de concentration et les procès de Nuremberg qui ont suivi, cette Cour a formulé dix principes d’éthique de la recherche pour guider l’expérimentation médicale sur les humains. Le premier principe est que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Bien que le Code de Nuremberg, créé il y a plus de 70 ans, n’ait pas utilisé le mot « informé », il a utilisé le mot « consentement » et il n’est guère exagéré de conclure que le consentement dont ils parlaient était un « consentement éclairé ». La plupart des Canadiens qui reçoivent ces nouvelles injections de thérapie génique n’ont aucune idée que ces « vaccins » ne sont pas une thérapie approuvée, comme un vaccin contre la grippe, et ils ne savent pas qu’ils sont en fait inscrits à des essais cliniques qui sont toujours en cours.

Nos gouvernements fédéral et provinciaux, premiers ministres, administrateurs de la santé publique et personnel négligent d’administrer les vaccins Covid à des dizaines de millions de Canadiens sans les informer clairement qu’il s’agit d’une thérapie expérimentale, qui pourrait entraîner des événements indésirables graves, y compris des changements de vie, blessures ou la mort, et que les effets secondaires à long terme, par exemple les maladies auto-immunes potentielles, sont encore inconnus. Lorsque les gouvernements utilisent tous les moyens en leur pouvoir, y compris le contrôle des médias et la censure généralisée des voix dissidentes, pour inciter les gens à se faire soigner sans les informer de manière adéquate des risques, ils violent la confiance fondamentale entre le peuple et leur gouvernement.

Lien : https://scc-csc.lexum.com/scc-csc/scc-csc/en/item/2563/index.do

Réflexions sur la démographie

Je vais bientôt avoir 76 ans et je profite toujours de toutes mes facultés intellectuelles. Je serais certainement mort du coronavirus si je n’avais pas disposé à portée de la main d’une boite de chloroquine et je continuerai à écrire sur mon blog car c’est presque ma seule raison de vivre aujourd’hui puisque depuis 18 mois il est difficile de voyager. J’ai l’honneur d’avoir d’une manière improbable et indépendante de ma volonté dix petits-enfants et je suis persuadé que je mourrai avant d’être arrière-grand-père et cette introspection m’a décidé à disserter ici sur l’avenir de l’humanité, du moins l’avenir de l’Occident dont la France fait partie. À l’âge de 26 ans j’ai été pour la première fois père d’un enfant. Aujourd’hui mon petit-fils le plus âgé a dépassé cette borne et il n’a toujours pas l’intention de procréer ni la plus âgée de mes petites-filles. Je me suis donc résigné à attendre la mort sans avoir atteint ce statut particulier d’arrière-grand-père. Ce n’est pas du tout ce qui me pousserait à déprimer car après tout cette désaffection pour la procréation n’est pas seulement un problème majeur pour la France mais ce phénomène est beaucoup plus prégnant en Extrême-Orient où vivent justement deux de mes petits-enfants, je veux parler du Japon.

Comme l’Italie, l’Espagne, la Grèce, l’Allemagne et bien d’autres pays européens le taux de fécondité est au Japon de moins de 1,4 enfant par femme en âge de procréer. Et pourtant dans certains pays d’Afrique les femmes ont allègrement plus de 5 enfants. Leur situation ne peut pas être comparée à celle de femmes occidentales car une famille nombreuse est synonyme d’un capital humain en termes de main d’oeuvre alors que dans les pays occidentaux procréer est plutôt synonyme d’une entrave à la réussite professionnelle. On se trouve dans deux mondes, deux cultures différentes.

Ma belle-fille japonaise a fait les frais de ses deux grossesses sur le plan professionnel et comme la promotion sociale est un objectif majeur au Japon comme en Corée ou en Chine pour une femme avoir des enfants est incompatible avec cet objectif. Ma belle-fille japonaise n’a pu retrouver un emploi correspondant à ses diplômes et son expérience professionnelle que plus de dix ans après sa première grossesse. En Espagne un couple préfère acheter un animal de compagnie plutôt que d’avoir au moins un enfant. Ici à Tenerife il y a maintenant plus de petites boutiques d’accessoires pour chien que de magasins de poussettes, et dans les linéaires des supermarchés celui des nourritures pour animaux est plus important que celui des nourritures pour bébé, c’est grave ! Le cas de la France mérite une analyse plus détaillée. Compte tenu du fait qu’en France les statistiques ethniques sont interdites alors que c’est le cas en Amérique du Nord le taux de natalité est artificiellement élevé car les familles d’immigrés installées sur le territoire français depuis moins de 20 ans considèrent que les enfants représentent un capital comme c’était le cas dans leur pays d’origine. En France cette notion de capital humain a pris pour elles une toute autre signification avec les diverses aides sociales qu’accorde l’administration française. Ce ne sont plus les corvées d’eau ou de collecte de bois pour la cuisine mais les allocations familiales, les aides au logement et autres prestations sociales.

Je mentionnais au début de ce billet que j’avais 10 petits-enfants mais c’est une exception qui en quelque sorte confirme la règle : mes deux aînés sont employés de l’Etat et disposent de revenus substantiels, ceci explique cela, car le jeu des prestations sociales est également valable pour les couples aisés ayant plusieurs enfants jusqu’à il y a encore quelques années. Le quotient familial a en effet été remis en cause pour les ménages dits aisés. La situation pour les couples français « de souche » va donc se modifier avec le temps. Ce phénomène va aggraver ce différentiel de fécondité, du moins pour la France.

Le Japon est un pays insulaire et ses habitants sont très attachés à leurs traditions et à leur insularité. Malgré le fait que la situation démographique est très grave, les autorités japonaises n’envisagent pas d’immigration massive y compris en provenance de Taïwan ou de Corée, des territoires longuement occupés par le Japon. Trente pour cent de la population japonaise est âgée de plus de 65 ans et seulement un quart de cette population est âgée de moins de 24 ans. Dans quelques années, moins de dix ans, il n’y aura plus assez de personnes actives pour prendre soins des seniors. En France les politiciens débattent de l’âge légal de départ à la retraite. Au Japon de nombreuses personnes continuent à travailler malgré leur âge avancé. Tous ces seniors sont recherchés pour leur savoir-faire et les entreprises ne rechignent pas à leur proposer des heures de travail à temps partiel rémunérées dans la limite des dispositions légales pour qu’ils ne perdent pas leurs droits à la retraite, une retraite souvent minime. Les ingénieurs japonais oeuvrent pour inventer des robots assistants-à-domicile pour les « vieux » mais ça ne suffira pas.

Globalement le monde occidental va vivre un changement de civilisation et sera confronté à des choix difficiles : ou bien il acceptera une immigration massive ou alors il acceptera un vieillissement sordide de sa population. Difficile d’imaginer que sera devenue la grande mégalopole de Tokyo dans quarante ans … ou Paris avec l’Eglise saint-Sulpice transformée en mosquée et Unter den Linden à Berlin peuplée de femmes voilées. Allez savoir.