Coronavirus : comment décompter le nombre réel de morts ?

Le CDC, « Center for Disease Control » américain, a publié le 23 septembre 2020 un article très dérangeant pour les tenants d’une prolongation de la grippe coronavirale pour que les gouvernements disposent de toute latitude pour encore mieux contrôler les populations et ainsi mettre en place une gouvernance mondiale forcément totalitaire. Le CDC ne s’est intéressé qu’aux faits relatifs au nombre de morts provoquées par le SARS-CoV-2 aux Etats-Unis sans se livrer à une quelconque spéculation hasardeuse. La loi américaine précise qu’un certificat de décès est censé préciser l’origine ethnique, le sexe, le lieu de la mort : à domicile, dans la rue, à l’hôpital, dans un centre médicalisé, sur le lieu de travail, …, l’âge de la personne, les causes possibles de co-morbidité (au moins 3 qui doivent être obligatoirement mentionnées dans le certificat) et enfin éventuellement un rapport de police en cas de crime ou d’accident de la circulation. Tous les certificats de décès sont traités électroniquement et rassemblés par le CDC qui publie les statistiques chaque semaine. Ce document est accessible à tout public : https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm#Comorbidities

Cet organisme a publié son dernier rapport il y a une semaine et on y trouve quelques pépites. Dans 94 % des cas le SARS-CoV-2 n’a pas été considéré comme la cause première de mortalité même si le patient décédé était porteur du virus (Table 3). Le CDC ajoute que la cause première de décès était la dégradation générale de l’état de santé du patient et l’apparition du virus avait accéléré un processus inévitablement fatal. En conséquence seuls 6 % des décès étaient provoqués indubitablement par le SARS-CoV-2. Le virus n’était donc considéré que comme une cause associée car ni le diabète, ni la maladie d’Alzheimer, ni les troubles cardiovasculaires auraient à eux seuls provoqué la mort.

Je n’ai pas procédé à une enquête pour connaître ce qu’il en est dans les autres pays de l’OCDE en ce qui concerne les causes de mortalité devant figurer de par la loi dans les certificats de décès. Il faut donc se rendre à l’évidence ce virus « chinois » n’est pas plus dangereux qu’un banal Influenza qui, comme le CDC l’a d’ailleurs indiqué dans ce rapport, a coexisté avec le coronavirus, un fait que je n’ai vu nulle part mentionné par aucun média européen. Par conséquent les « vrais » morts par SARS-CoV-2 aux USA ne sont à ce jour que 11750 ! En appliquant la même règle à d’autres pays, ce qui n’est pas forcément exact puisque par exemple le nombre de personnes en surpoids et/ou diabétique est différent, conduirait pour la France à seulement 1750 décès directement imputables au coronavirus ! Il faut rapprocher ce calcul vraisemblablement faux avec le fait que l’âge médian des personnes décédés est de plus de 80 ans que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe et ces personnes, inutile de le nier, souffrent de toutes sortes d’autres maladies. À méditer …

Nouvelles du coronavirus : Japon et Chine

À ce jour (28 septembre 2020) le nombre de morts provoqués par le coronavirus était de 1544 pour le Japon, un pays de 126 millions d’habitants dont 28 % ont plus de 65 ans et dont plus de 80 % de la population vit dans des villes tentaculaires comme l’immense conurbation autour de la baie de Tokyo qui représente plus du quart de la population du pays avec 38 millions de personnes (préfectures de Tokyo, Chiba, Kanagawa, Saitama et Ibaraki) toutes connectées avec des lignes de chemin de fer, des métros et des autoroutes urbaines. Naturellement c’est la préfecture de Tokyo qui a connu le plus grand nombre de décès de personnes présentant des signes évidents de grippe coronavirale. Les Japonais, contrairement aux Européens, sont très pointilleux en ce qui concerne la santé et ils n’ont jamais considéré que le coronavirus était un fourre-tout comme cela a été pratiqué à outrance en Europe. Pourquoi un pays aussi urbanisé, avec une population vieillissante, n’a-t-il eu à déplorer que 1544 morts « coronaviraux », presque un record mondial que peu de médias occidentaux soulignent : 12,4 morts par million d’habitants ?

Ce résultat exemplaire que d’autres pays de la région ont aussi atteint, en particulier la Chine continentale, Taïwan et la Corée, tient au fait que les habitudes de vie quotidienne se sont parfaitement adaptées à cette épidémie. Dans ces pays quand on souffre d’un simple rhume ou d’une grippe on porte spontanément un masque pour protéger son entourage, y compris à la maison en famille. Mes petits-enfants franco-japonais protègent leurs grands-parents s’ils sont enrhumés avec un masque qu’ils portent spontanément, on leur apprend ça à l’école !

Les Japonais se lavent les mains quand ils rentrent à la maison, ils apprennent aussi cela à l’école. Et petits ou adultes les Japonais répugnent à se livrer à des embrassades interminables quand ils se rencontrent, ils se saluent en respectant une distance de près d’un mètre. Enfin au Japon on ne se serre jamais la main, c’est un manque de respect de l’intégrité du corps d’autrui. Tous ces petits détails ont contribué à un bilan de mortalité globale due spécifiquement au coronavirus incroyablement bas. Il faut tout de même ajouter que les médecins généralistes japonais ont, pour plus de 50 % d’entre eux, prescrit un traitement comprenant de l’hydroxychloroquine associée à de l’azithromycine à tous les patients présentant des signes grippaux précoces pouvant être provoqués par le coronavirus ou un autre virus compte tenu de la totale innocuité de ce traitement, les médias européens oublient forcément de le mentionner. J’ai écrit « forcément » parce que les salles de rédaction des médias ont été contraintes de ne pas en parler.

Aux yeux des autorités japonaises, j’habite dans un pays à risque et il m’est formellement interdit d’aller à Tokyo voir mon fils et mes deux petits-enfants franco-japonais. Il y a maintenant un an que je ne les ai pas vus. J’ai été privé de mon séjour programmé au printemps dernier et je n’ai aucune indication sur la possibilité d’aller au Japon dans les prochains mois.

Examinons maintenant le cas de la Chine qui est intéressant à de nombreux points de vue. L’Europe et l’Amérique du Nord ont écrit et clamé sur les plateaux de télévision que, comme d’habitude, le gouvernement central chinois trafiquait les statistiques, une habitude pour ce pays selon une multitude d’analystes qui suivent servilement la réthorique américaine anti-chinoise. La rumeur d’un virus fabriqué intentionnellement par des scientifiques chinois malveillants avait été répandu dans le but de créer le chaos en Occident, du grand n’importe quoi ! Que s’est-il passé en Chine ?L’épidémie est apparue dans la ville de Wuhan, province du Hebeï, au centre du territoire de l’Empire du Milieu. Comme les autorités n’étaient pas préparée à cette épidémie qui ressemblait étrangement au SARS-CoV-1 apparu en 2002 également en Chine dans la ville de Guangdong et également sur un marché où étaient vendus des animaux sauvages, des mesures sanitaires drastiques ont été immédiatement prises. Encore une fois les médias occidentaux ont raconté n’importe quoi au sujet de la gestion de cette épidémie par les autorités locales puis par Pékin. Le virus SARS-CoV-1 fut extensivement étudié et permit de mettre au point un éventuel traitement basé sur l’association d’hydroxychloroquine et d’un antibiotique dérivé de l’érythromycine, nommément l’azithromycine. Au cours des études dont fit l’objet ce virus il apparut que ces deux molécules présentaient des propriétés anti-virales contre ce coronavirus mais toutes ces études avaient été réalisées in vitro seulement car la grippe à SARS-CoV-1 disparut rapidement. La similitude au niveau des symptômes entre le SARS-CoV-1 et le SARS-CoV-2 conduisit les autorités à utiliser massivement le traitement hydroxychloroquine + azithromycine dès qu’une personne présentait des symptômes de fébrilité y compris très rapidement à Wuhan.

Des usines chinoises disposaient de stocks massifs de thermomètres infra-rouge et le pays fut inondé d’agents des services sanitaires et de volontaires pour mesurer systématiquement la température frontale de toute la population. Dès qu’un individu était détecté comme fiévreux on lui prescrivait la bi-thérapie mentionnée ci-dessus. À l’entrée des magasins les clients étaient contrôlés, les chauffeurs de taxi et les employés des transports en commun, les policiers, les administrations, les entreprises contrôlaient systématiquement tout le monde … Et comme une fièvre est le premier signe tangible d’une infection, toute personne détectée était immédiatement traitée avec la bi-thérapie mentionnée ci-dessus qui, faut-il le répéter, ne présente aucun danger aux doses prescrites.

Comme la séquence de nucléotides de l’ARN du virus fut décryptées dès le milieu du mois de janvier, il fut très facile pour les laboratoires chinois de mettre au point un test PCR (polymerase chain reaction) qui fut avantageusement utilisé pour se rendre compte que les installations d’air conditionné des hôpitaux étaient une source importante d’aspersion quasi littérale de virus dans toutes les parties d’un bâtiment, un peu comme ce fut le cas pour la maladie dite du « légionnaire ». C’est pour cette raison qu’à la hâte les autorités décidèrent de construire un hôpital à Wuhan car plusieurs établissements hospitaliers avaient été mis à l’arrêt pour modifier les systèmes d’aération et de conditionnement d’air. Ce n’est pas du tout l’histoire qu’ont raconté les médias occidentaux.

Revenons à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine. Comme ces deux molécules sont connues depuis de nombreuses années le corps médical, devant l’urgence, prit la décision de traiter systématiquement les patients malgré l’absence d’essais de validation en double-aveugle : ou bien on traitait systématiquement la population ou alors on prenait le risque de voir l’épidémie se répandre rapidement et d’assister à un nombre effroyable de décès provoqués spécifiquement par ce virus, outre les décès habituels quotidiens provoqués par toutes sortes d’affections. Avec une population de 1,39 milliard de personnes la Chine, grâce à ces mesures prophylactiques raisonnées, n’a déploré que 4739 décès provoqués par le SARS-CoV-2, chaque patient ayant été classé positif lors de son hospitalisation.

Ce n’est pas le Professeur Didier Raoult qui, en France, a inventé et préconisé aux sourdes oreilles de l’intelligentsia sanitaire parisienne, ce traitement à l’aide de deux molécules très connues et utilisées par des milliards de personnes chaque année, il a été appliqué massivement en Chine dans le but prophylactique et préventif spécifiquement pour le SARS-CoV-2, donc, mais également dans de nombreux pays d’Extrême-Orient. Actuellement plus de 90 pays l’utilisent dans le monde ! Comme je l’ai précisé dans un précédent billet et ci-dessus il n’y a pas eu, en Chine, de manipulation des statistiques et le coronavirus n’a pas été utilisé comme « fourre-tout ». Les mauvaises langues se plaisent à affirmer que la reprise de l’économie chinoise est artificiellement gonflée par les autorités de Pékin, mais il est nécessaire de rappeler ici que seule la ville de Wuhan et une partie de la province du Hubeï ont subi un confinement strict de plus d’un mois, ce qui représente 1,4 % de la population totale du pays. Il faudra qu’un jour les Européens se rendent à l’évidence : cesser de suivre aveuglément la propagande américaine anti-chinoise (à suivre).

Illustrations : https://ici.radio-canada.ca/info/2020/coronavirus-covid-19-pandemie-cas-carte-maladie-symptomes-propagation/ Autres sources d’information : notes prises depuis plusieurs mois au fil des informations sans avoir malheureusement répertorié de liens.

Brève. Coronavirus en Espagne : le traitement

J’ai fini par comprendre pourquoi l’épidémie de SARS-CoV-2 avait été aussi dévastatrice en Espagne et la raison en est très claire. Le beau-frère Canarien d’un ami Français est positif pour le virus (test PCR), il présente tous les symptômes d’une mauvaise grippe et depuis deux semaines son état commence à s’aggraver. Son médecin traitant lui a prescrit de la vitamine C, du paracétamol et de la Ventoline, un truc en spray qu’on prescrit aux asthmatiques, parce qu’il commence à éprouver des difficultés à respirer. Il se trouve donc au début de la phase dangereuse de l’apparition de l’ « orage cytokinique » qui va provoquer des lésions irréversibles des poumons, entre autres dommages variés. Il est trop tard pour qu’il soit traité avec de l’hydroxychloroquine + azithromycine alors que ce traitement est disponible en Espagne mais apparemment pas prescrit par les médecins, pour une raison que j’ose ignorer.

Si tous les malades du SARS-CoV-2 ont été traité ainsi il est facile de comprendre qu’il y ait eu autant de morts en Espagne. Ce pays n’a pas tenu compte de la solide expérience des Chinois ni des préconisations et des études du Professeur Didier Raoult en France. Je souhaite un prompt rétablissement à ce monsieur que je ne connais pas mais je me pose quelques questions au sujet du professionnalisme des médecins qui n’ont pas l’air de tenir compte de l’expérience de leurs confrères. Je rappelle à mes lecteurs que je ne suis pas médecin mais si j’avais fait mes études de médecine j’aurais certainement respecté le serment d’Hippocrate qui stipule clairement ceci : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé ». (Extrait de la déclaration de Genève adoptée en 1948 par l’Association médicale mondiale). Au cours de ses nombreuses conférences au sein de l’IHU de Marseille et lors d’interviews télévisées le Professeur Didier Raoult n’a cessé d’exposer la bi-thérapie conseillée en tout début de maladie conduisant à une guérison en une semaine. Toutes le publications de l’IHU de Marseille sont disponibles en ligne et on y trouve celle-ci : https://doi.org/10.1016/j.tmaid.2020.101791 , d’où provient l’illustration ci-dessous. Le manuscrit avait été soumis pour publication au mois de mai si ma mémoire ne fait pas défaut et le Professeur Raoult avait fait état à plusieurs reprises de l’évolution de la charge virale qui rendait progressivement la bi-thérapie inutile. Il est déplorable de constater que les professionnels de la santé tant en Espagne qu’en France et dans bien d’autres pays européens n’aient tenu compte ni des expériences des Chinois ni de celle de l’IHU de Marseille … pour sauver des vies.

Quoiqu’il arrive, tôt ou tard tu vas mourir

Voici un copié-collé d’un court billet de mon fils paru sur son blog (lien en fin de billet) ce dimanche 27 septembre.

Je demande à mon fils le sens d’une expression « izure » assez peu claire. La définition que j’avais sous les yeux paraît un peu dans tous les sens. Any, both, whichever, either… ca me parlait pas trop. Et le premier exemple qu’il me donne c’est « izure shinu, いずれ死ぬ » qui signifie « quoiqu’il arrive, tôt ou tard tu vas mourir ».

Je projette sûrement un peu, mais cet exemple donné si naturellement par un enfant de 8 ans me dit que soit il regarde trop la télé (ce qui est probable) soit que les Japonais on un rapport à la mort plus simple. À son âge en tout cas la mort me terrifiait, la perspective de mourir en dernier (étant le cadet), mon fils semble envisager la mort comme une perspective normale (ce qui est le cas d’ailleurs).

Après je pourrais éviter les généralisations plus ou moins foireuses sur le Japon et les Japonais mais en ce qui concerne le rapport à la mort on peut quand même se permettre de pointer quelques différences importantes.

J’ai demandé à mon fils l’autorisation de faire figurer sur mon propre blog cette réflexion puisqu’il s’agit de mon petit-fils. Il y a quelques mois mon petit-fils est allé avec sa famille et ses grands-parents sur l’île de Kyushu assister à la crémation d’un de ses grands-oncles. Il a donc été confronté au spectacle de la mort et j’apporte ici quelques précisions à ce sujet. Au Japon les morts sont incinérés mais partiellement. Je précise ce que m’a indiqué mon fils. L’incinération est surveillée et arrêtée lorsqu’il ne reste dans le four que quelques ossements parfaitement reconnaissables. Lorsque ces restes ont refroidi les membres de la famille font leur marché avec de longues baguettes spécialement conçues pour cet usage. Chaque membre de la famille du défunt choisit un morceau d’os partiellement calciné et le dispose dans une petite urne qu’il va ensuite rapporter chez lui. Dans les maisons traditionnelles il existe un petit autel où cette urne restera présente quelques mois afin de brûler un baguette d’encens et de se recueillir en pensant au défunt.

Cette période étant écoulée, un certain nombre de mois lunaires je crois, toute la famille se retrouve à nouveau pour rapporter la petite urne dans laquelle se trouvait le fragment de squelette du défunt. Tous ces fragments osseux sont alors réunis dans une urne funéraire et la famille procède à l’enterrement dans un cimetière. La dalle de la tombe familiale est extraite et l’urne est déposée dans le petit caveau où se trouvent parfois des dizaines d’autres urnes de lointains et proches ancêtres. Je pense que mon petit-fils doit avoir mémorisé ce spectacle un peu spécial du squelette presque complètement calciné de ce vieux membre de sa famille. Il s’agit d’une adaptation d’un rite funéraire bouddhiste car au Japon on naît bouddhiste et on meurt bouddhiste mais au cours de la vie la plupart des Japonais vont faire leurs dévotions pour implorer les dieux dans des temples shintoïstes. D’où l’explication plausible de mon petit-fils « quoiqu’il arrive, tôt ou tard tu vas mourir » …

Lien : http://www.rosenight.net/?p=7800 illustration : mon petit-fils Kôta

Qui a manipulé les décideurs politiques dans la gestion de la grippe coronavirale ?

Il me paraît important pour initier cette réflexion d’insister sur un premier point dont personne n’a fait mention : où est passée en Europe, en Extrême-Orient et en Amérique du Nord la grippe saisonnière à virus Influenza durant les 5 premiers mois de cette année 2020 ? Et pourquoi, si cette grippe saisonnière coexistait avec la grippe coronavirale, n’en a-t-on jamais parlé ? Ces questions naïves que peut se poser n’importe quel non-spécialiste des maladies à virus (dont je fais partie) soulèvent donc un problème important : comment peut-on accorder la moindre confiance dans les statistiques angoissantes répétées jusqu’à la nausée durant toute cette période, de janvier à mai, au sujet de l’extrême dangerosité du coronavirus ? Si les statisticiens de l’administration de la santé, dans tous les pays occidentaux, ont mélangé tous les cas de grippes, cette manipulation a certainement été décidée dans un but précis. De plus il s’agit d’une malhonnêteté qui a conduit à une catastrophe économique et sociale dans les pays d’Europe les plus touchés, je veux dire l’Italie, la France, l’Espagne, la Belgique, l’Autriche et la Grande-Bretagne dont les gouvernements n’ont pas envisagé un seul instant que le confinement strict de l’ensemble de la population allait provoquer une crise économique très grave dont on ne ressent aujourd’hui que les premiers effets : la vraie crise, le plat de résistance, ce sera pour cet automne.

Non seulement il n’y a eu aucune modification sensible du nombre de morts ou de cas à la suite de ce confinement mais le manque de prévoyance des gouvernements a complètement discrédité ces derniers aux yeux du public. L’une des explications possibles de la mise en place de ces confinements dignes d’une peste noire moyenâgeuse aurait pu être de faire trainer l’épidémie pour que les gros et moins gros laboratoires pharmaceutiques aient tout le loisir de trouver une ou plusieurs molécules anti-virales « nouvelles » (les vieilles molécules ne sont plus à la mode et ne coûtent rien) qui seraient mises sur le marché dans l’urgence, sans respecter les moindres règles de l’éthique, pour juguler l’épidémie pour laquelle ces mêmes gouvernements entretenaient quotidiennement la peur et l’angoisse des peuples. La seule molécule étant supposée avoir un effet sur le coronavirus s’est révélée être toxique dans 15 % des cas en provoquant des lésions rénales irréversibles sans présenter d’efficacité antivirale avérée. Ces confinements ont-ils été, donc, suggérés aux décideurs politiques par les grands laboratoires pharmaceutiques ? Je me pose la question sans y apporter de réponse claire.

Il y a pire au sujet de ces nouveaux antiviraux supposés d’une rare efficacité alors qu’aucune étude détaillée n’avait été effectuée : les laboratoires pharmaceutiques avaient un espoir de réaliser d’immenses profit et c’est pourquoi, sans être « complotiste », je suppose que le lobby de l’industrie pharmaceutique a fait son travail pour créer le conflit franco-français absurde et choquant au sujet de l’hydroxychloroquine dans le seul but de dénigrer cette molécule prescrite par ailleurs à des milliards de personnes dans le monde. Je pense que de nombreux dirigeants politiques français ne doivent pas avoir la conscience tranquille.

Parallèlement et depuis que la séquence de l’ARN du virus a été rendue publique dès le mois de janvier 2020 ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont développé par diverses approches expérimentales des candidats pour une vaccination de masse, source de gigantesques profits potentiels pouvant atteindre des centaines de milliards de dollars. Or la mise au point d’un vaccin ne se fait pas d’un coup de baguette magique et une nouvelle fois les gouvernements des pays qui ont le plus mal géré l’épidémie hivernale de 2020 ont décidé d’entretenir à nouveau la peur en utilisant cette fois d’autres arguments grossiers comme une deuxième vague l’hiver prochain ou un accroissement alarmant du nombre de personnes porteuses du virus. C’est exactement ce à quoi on assiste en ce moment par exemple en France, en Espagne et en Italie ou encore en Israël, pays dont le gouvernement a décrété à la hâte un nouveau confinement afin d’enrayer la progression du nombre de nouveaux cas en oubliant de mentionner qu’il n’y a pratiquement plus de décès provoqués de manière non équivoque par ce coronavirus.

Le cas de la France est caricatural :

Après avoir déclaré l’hydroxychloroquine toxique voire mortelle alors qu’elle est prescrite à plusieurs milliards de personnes dans le monde, je le rappelle, puis avoir interdit aux médecins de la prescrire – ce qui est totalement contraire à la loi – et enfin aux pharmaciens de la vendre sans ordonnance circonstanciée, une accumulation d’évidences indiquant que la totalité du gouvernement français est vendu aux intérêts du lobby de la pharmacie, y compris le président, alors aujourd’hui la caste parisienne dominante (ou croyant être dominatrice) oblige la ville de Marseille à respecter des mesures liberticides à la population et aux autres petits commerces au bord de la faillite comme si elle voulait punir le Professeur Didier Raoult, le trouble fait numéro un de l’agenda du cartel apatride de la pharmacie. La France n’est plus gouvernée par des politiciens intègres mais par des mafieux du plus mauvais genre. Alors il n’y a plus qu’une solution aux politiciens en place : faire respecter la loi par la force ou bidouiller encore et encore les chiffres pour entretenir la peur.

Il faut en effet continuer à entretenir cette peur pour préparer la population à la vaccination obligatoire qui fait déjà partie de l’agenda des grands groupes pharmaceutiques pour la plus grande satisfaction de leurs actionnaires, dont les banques, cela va de soi. Oublié le fait que ce virus n’a pas provoqué plus de morts qu’une grippe saisonnière classique, oubliées les manipulations statistiques honteuses pour entretenir la peur, oubliées les libertés individuelles, il faut que les gouvernements satisfassent les désirs (qui sont des ordres) du lobby pharmaceutique mondial. Si les politiciens n’étaient pas aussi corrompus par la finance et les grands groupes industriels ils défendraient la liberté des citoyens, mais ils ont déjà aliénés la leur, le pistolet des banquiers et des grands groupes industriels sur la tempe, alors ils ne savent plus ce que signifie le mot liberté … (à suivre)

Mortalité par Covid-19 : la pire fraude de ces cent dernières années

Ce mois-ci, le Dr Ronald B.Brown a publié un article audacieux dans Disaster Medicine and Public Health Preparedness, intitulé de manière limpide : « Les leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité par coronavirus » (lien en fin de billet).

« Le sujet de cet article est pour le moins perturbateur, bien que ce ne soit pas aussi évident d’après le titre », a dit le Dr Brown, « Le manuscrit cite l’arme du crime, des preuves documentées montrant que la réaction excessive du public et des dirigeants politiques à la pandémie de coronavirus était basée sur la pire erreur de calcul de l’histoire de l’humanité, à mon avis. Mon manuscrit a fait l’objet d’un processus intensif d’examen par les pairs ». Il n’est malheureusement pas surprenant que les médias n’aient pas fait sonner le téléphone du Dr Brown avec des demandes d’entrevue. Le résumé, en lui-même, contient une bombe où il dit :

« Les résultats de cette évaluation critique révèlent un biais d’information et un biais de sélection dans la surestimation de la mortalité due aux coronavirus, biais probablement causés par une mauvaise classification d’un taux de mortalité par infection grippale (IFR, infection fatality rate) en tant que taux de mortalité par cas (CFR, case fatality rate) ».

N’est-ce pas ce que nous avons vu ? Le nombre de personnes qui, selon eux, seraient enterrées dans des tombes communes du COVID-19 reflète mieux le nombre de personnes qui se sont simplement retrouvées avec une toux et de la fièvre. Le Dr Brown a ajouté que les documents des CDC et de l’OMS montrent que le taux de létalité pour la grippe était similaire à celui du coronavirus, ce qui implique que les confinements autoritaires étaient inutiles. Son article se demande pourquoi la saison grippale 2017-2018 aux États-Unis n’a pas « reçu la même couverture médiatique intensive que le COVID-19 ».

Il souligne que « la fiabilité des tests de coronavirus précipités en production pendant la pandémie était inconnue ». Et il explore comment les médias ont commencé récemment à se concentrer sur une augmentation des cas de coronavirus tout en ignorant la diminution des taux de mortalité. Une grande partie de l’article examine comment les confinements et la distanciation (anti)sociale ont probablement eu peu ou pas d’effet sur la réduction des décès dus au COVID-19. Il dit que « la croyance du public selon laquelle les mesures d’atténuation de l’épidémie étaient responsables de la réduction de la mortalité due aux coronavirus peut être une erreur a posteriori si la baisse de la mortalité était en réalité due à la surestimation des décès dus aux coronavirus ».

S’exprimant sur les dommages causés par les contre-mesures, Brown écrit : « L’éthique de la mise en œuvre de campagnes de santé publique fondées sur la peur doit être réévaluée en regard du préjudice potentiel que ces stratégies peuvent causer ». Son rapport comprend ce schéma sur la façon dont nous avons tous été désinformés :

Vous pouvez lire l’article complet de Brown. Il rejette succinctement l’idée que le cas du coronavirus a quelque chose à voir avec le bien-être du peuple. Comme l’a averti Albert Camus : « Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre l’avantage supplémentaire de donner aux serviteurs de la tyrannie une bonne conscience ».

Source : https://doi.org/10.1017/dmp.2020.298 (accès libre)

Note à l’intention de mes fidèles lecteurs. Dans un prochain billet je tenterai d’expliquer aussi objectivement que possible quelle est la cause sous-jacente de ce scandale sanitaire planétaire qui affecte des milliards de personnes encore aujourd’hui.

Crise climatique : quelques précisions de pur bon sens

Je voudrais apporter quelques précisions au sujet du contenu de mon précédent billet relatif au nouveau cycle solaire. Diverses prédictions osées par des géophysiciens au sujet de l’intensité magnétique des futurs cycles solaires font état d’une série de cycles de faible intensité à venir. La mathématicienne Valentina Zharkova a écrit un modèle qui rend compte des fluctuations passées de l’intensité des cycles solaires, ce qui permet de valider son modèle et pour les quelques dizaines d’années à venir il ne faut pas, selon elle, s’attendre à un retour à la normale de cette activité solaire avant 2060. Madame Zharkova n’a pas inclus dans son modèle tout ce que l’on raconte au sujet du réchauffement présent du climat car elle ne s’est intéressée qu’aux fluctuations du champ magnétique du Soleil.

Carbone ou pas carbone le climat terrestre ne dépend que de l’activité solaire et des oscillations océaniques elles-mêmes assujetties à l’activité solaire. Cette affirmation contraire au dogme de l’effet de serre s’explique très facilement pour un ancien scientifique comme votre serviteur (je m’adresse à mes fidèles lecteurs) si on considère qu’on n’est pas obligé de croire que passer de 28 molécules de CO2 pour 100000 molécules d’azote et d’oxygène dans l’atmosphère, au début de la révolution industrielle, à 42 molécules pour 100000 aujourd’hui puisse avoir un effet notoire sur le climat. Personnellement j’ai de très gros doutes ! Le Professeur émérite François Gervais a insisté sur ce point qui n’a l’air de perturber ni les spécialistes de l’IPCC ni des centaines d’organisations non gouvernementales ni enfin des dizaines de milliers de décideurs politiques. Vous voulez une comparaison pour souligner la totale ineptie de cette sale histoire de réchauffement du climat essentiellement due au CO2 ? Prenez un sac de riz de 1 kg, enlevez 7 grains de riz, pesez-le puis enlevez à nouveau 3 grains de riz et pesez ce sac à nouveau. À moins d’avoir sous la main une balance sensible au cent-millième minimum, c’est-à-dire de mesurer de manière fiable une différence de poids de 12 milligrammes sur 1 kg vous ne noterez aucune différence ! D’ailleurs une telle micro-balance n’existe pas car elle est irréalisable d’un point de vue technologique, il s’agissait donc d’une expérience de pensée. Toute cette imposture climatique repose ainsi sur un mensonge.

Pire encore, pour faire passer ce mensonge comme un virus dans le cerveau des politiciens se propageant pour détruire leurs neurones les uns après les autres, les pseudo-scientifiques de l’IPCC ont osé inventer la rétro-radiation infra-rouge (illustration) qui s’auto-alimente comme une machine infernale pour réchauffer la planète parce que trois grains de riz dans un kilo risquaient de paraître suspects. Cette nouvelle imposture, outre le fait qu’elle défie les lois de la thermodynamique, épaissit le mensonge pour être bien certain que tout le monde y croira. Un coup monté d’une rare ingéniosité que n’aurait pas pu imaginer Goebbels en son temps. Il y a d’ailleurs beaucoup à dire au sujet de cette rétro-radiation supposée provoquée par des gaz à effet de serre.

Je ne suis ni un géophysicien ni un climatologue mais seulement un modeste ancien biologiste spécialisé dans l’étude des enzymes, cependant j’arrive à comprendre le contenu des publications scientifiques relatives au climat ou la la thermodynamique de l’atmosphère. Ce qui m’a toujours étonné est le fait que jamais dans aucun de ses modèles climatiques l’IPCC fait apparaître le gradient adiabatique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Lapse_rate ) auquel est soumis l’atmosphère en raison du champ de gravité terrestre. Pour faire bref l’atmosphère est plus dense au niveau de la mer et en fonction de l’altitude sa densité diminue, diminution de densité qui s’accompagne d’une diminution de la température. Ce fait indéniable étant acquis comment peut-on persister à affirmer qu’il peut (qu’il doit) exister un effet de serre se matérialisant par des transferts d’énergie sous forme de rayonnement infra-rouge depuis les couches plus élevées de l’atmosphère, donc moins denses et plus froides, vers la surface du sol, où l’atmosphère est plus dense et plus chaude ? Avoir mis délibérément sous le tapis ce dernier point est non seulement un mensonge de plus, cette fois-ci par omission délibérée, mais c’est surtout une escroquerie scientifique.

Politique contre science : le principe de précaution

L’invocation du principe de précaution – un concept développé par les militants écologistes du XXe siècle – intensifie considérablement l’attaque contre la science moderne. Article de Ralph Alexander paru sur son blog Science under Attack.

Destiné à la prise de décision lorsque les preuves scientifiques disponibles sur une menace potentielle pour l’environnement ou la santé sont très incertaines, le principe de précaution a été utilisé pour justifier un certain nombre de politiques et de lois environnementales à travers le monde. Malheureusement pour la science, le principe a également été utilisé pour soutenir une action politique sur des dangers présumés, dans les cas où il n’y a que peu ou pas de preuves de ces dangers.

Les origines du principe de précaution (1, références et liens en fin de billet) remontent à l’application au début des années 1970 du principe allemand de «Vorsorge» ou de prévoyance, basé sur la conviction que les dommages environnementaux peuvent être évités par une planification minutieuse. Le « Vorsorgeprinzip » est devenu le fondement de la législation et des politiques environnementales allemandes dans des domaines tels que les pluies acides, la pollution et le réchauffement climatique. Le principe reflète le vieil adage selon lequel « il vaut mieux prévenir que guérir » et peut être considéré comme une réaffirmation de l’ancien serment d’Hippocrate en médecine : « Premièrement, ne faites pas de mal ».

Formellement, le principe de précaution peut être énoncé comme suit : « Lorsqu’une activité soulève des menaces d’atteinte à la santé humaine ou à l’environnement, des mesures de précaution devraient être prises même si certaines relations de cause à effet ne sont pas pleinement établies scientifiquement ». Mais en dépit de ses nobles intentions, le principe de précaution repose dans la pratique bien plus sur des considérations politiques que sur la science. C’est l’affirmation « non pleinement établie scientifiquement » qui à la fois embrasse le principe en cause et, en même temps, la laisse ouverte à la manipulation et à la subversion de la science.

Un exemple notable de l’intrusion du principe de précaution politique dans la science est l’interdiction des cultures d’OGM (organismes génétiquement modifiés) par plus de la moitié des pays de l’Union européenne. Les interdictions découlent de la croyance répandue et fondée sur la peur selon laquelle la consommation d’aliments génétiquement modifiés est dangereuse, malgré le manque de preuves scientifiques que les OGM ont déjà causé des dommages à un être humain ou à un animal.

Dans une étude réalisée en 2016 par la National Academy of Sciences, Engineering and Medicine aucune preuve substantielle n’a été trouvée que le risque pour la santé humaine était différent pour les cultures OGM actuellement sur le marché que pour leurs homologues traditionnellement croisées. Cette conclusion provient d’études épidémiologiques menées aux États-Unis et au Canada, où la population consomme des aliments OGM depuis la fin des années 1990, et d’études similaires au Royaume-Uni et en Europe, où très peu d’aliments OGM sont consommés.

Le principe de précaution sous-tend également la CCNUCC (Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques), le traité de 1992 qui a servi de base à toute action politique ultérieure sur le réchauffement climatique. Il y a un manque de preuves scientifiques empiriques pour le récit du changement climatique anthropique catastrophique (causé par l’homme). Pourtant, la peur irrationnelle des conséquences désastreuses du réchauffement climatique pousse les militants à invoquer le principe de précaution afin de justifier des remèdes inutiles et coûteux tels que ceux inscrits dans l’Accord de Paris ou le Green New Deal.

L’un des plus gros problèmes du principe de précaution est qu’il préconise essentiellement l’évitement des risques. Mais l’évitement des risques comporte ses propres risques.

Les dangers, grands et petits, font partie intégrante de la vie quotidienne. Nous acceptons le risque, par exemple, d’être tué ou gravement blessé en voyageant sur les routes car le risque est contrebalancé par la commodité de se rendre rapidement à destination ou par notre désir d’avoir des produits frais disponibles au supermarché. L’application du principe de précaution signifierait, en plus des mesures de sécurité déjà en place, réduire toutes les limites de vitesse à 20 kilomètres/heure ou moins – une solution manifestement impraticable qui nous ramènerait à l’époque du cheval et de la diligence de nos ancêtres.

Un autre exemple concret d’une conséquence involontaire du principe de précaution est ce qui s’est passé à Fukushima, au Japon, à la suite de l’accident nucléaire déclenché par un tremblement de terre et un tsunami massifs le 11 mars 2011. Comme l’ont décrit les auteurs d’un récent document de travail (2), L’arrêt de la production d’énergie nucléaire par mesure de sécurité et son remplacement par l’énergie fossile ont fait grimper les prix de l’électricité jusqu’à 38%, diminuant la consommation d’électricité, en particulier pour le chauffage pendant les hivers froids. Cela a eu un effet dévastateur, selon les auteurs de ce rapport : « L’augmentation estimée de la mortalité due à la hausse des prix de l’électricité dépasse largement la mortalité due à l’accident lui-même, ce qui suggère que la décision de cesser la production nucléaire a causé plus de tort que de bien » (voir également 3).

Le respect du principe de précaution peut également étouffer l’innovation et constituer un obstacle au développement technologique. Dans le pire des cas, une technologie avantageuse peut être interdite en raison de son impact potentiellement négatif, laissant ses avantages positifs non réalisés (4). Dans l’exemple cité dans le lien 4, le principe de précaution a été masqué par un autre principe tout aussi contestable qui en est un corollaire, celui de la traçabilité d’un produit. Cela pourrait bien être le cas pour les OGM et leurs dérivés alimentaires courants. Les plus de 30 pays qui ont interdit la culture de cultures génétiquement modifiées peuvent se fermer à la promesse de produire des aliments moins chers et plus nutritifs.

Le principe de précaution oppose la science à la politique. Dans un monde idéal, le conflit entre les deux serait résolu avec sagesse. Dans l’état actuel des choses, cependant, la science est souvent soumise aux besoins et aux caprices des décideurs.

1. http://www.ejolt.org/2015/02/precautionary-principle/

2. https://www.iza.org/publications/dp/12687/be-cautious-with-the-precautionary-principle-evidence-from-fukushima-daiichi-nuclear-accident

3. https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/01/31/la-stupidite-du-principe-de-precaution-illustration-avec-le-tritium-a-la-centrale-nucleaire-de-fukushima-daiichi/

4. https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/07/04/le-principe-de-precaution-et-simone-veil-une-catastrophe/

Le cycle solaire #25 a officiellement commencé

Quelle nouvelle sans aucune importance ! me direz-vous. D’abord c’est quoi au juste un cycle solaire ? Il s’agit de la durée d’environ 11 ans pour constater la migration des pôles solaires vers l’équateur de ce qu’on a appelé les taches, des régions de la surface de la chromosphère solaire de très forte activité magnétique. Ces taches apparaissent dans la région des pôles et suivent les lignes de champ magnétique dites toroïdales. Il y a deux champs magnétiques toroïdaux, l’un dans l’hémisphère nord et l’autre dans l’hémisphère sud. La durée de ce processus dure environ 11 ans. Je pourrais continuer à disserter à ce sujet mais qui, dans la rue d’une petite ou d’une grande ville, au Botswana ou en Finlande, se préoccupe du Soleil ? Personne.

Ce nouveau cycle solaire va culminer en nombre de taches vers le milieu de l’année 2025 puis se terminera vers 2032. Les savantes prédictions des astrophysiciens font état d’un cycle #25 qui sera dans tous les cas de modélisation sinon égal à feu le cycle #24 ou probablement aussi plus faible, à égalité de chances. Il faut remonter 200 ans en arrière pour trouver un tel effondrement durable de l’activité solaire, ce fameux petit âge glaciaire de la première moitié du XIXe siècle. Alors peut-être que l’homme de la rue s’intéressa aux taches solaires quand il constatera que les hivers deviennent de plus en plus froids et les étés de plus en plus pourris. Tout ça prendra du temps et en 2032 je serai probablement mort, mes enfants seront d’heureux grands-parents et le plus jeune de mes petits-enfants fera de brillantes études à l’université. L’Europe aura été ruinée par les folies des écologistes, l’humanité se relèvera avec peine d’un conflit éventuellement généralisé et les premiers colons arrivés sur Mars n’auront pas survécu très longtemps aux radiations cosmiques. Les rêves stupides d’un monde meilleur avec moins de carbone auront été balayés par les fluctuations du climat qui ne dépendent que de l’activité solaire.

Source graphique : NOAA

L’Espagne sur le chemin de la dictature

Les heures les plus sombres du franquisme se profilent dans un avenir proche.

Le pays voisin de la France, l’Espagne, a prétexté le coronavirus pour franchir un pas supplémentaire dans le totalitarisme dictatorial à la mode Francisco Franco. Voici le texte traduit avec l’aide du traducteur en ligne de Google puisque je ne comprend pas la moitié des mots de la langue espagnole et de surcroit il s’agit d’un texte législatif alambiqué paru au Journal Officiel de l’Espagne ce dernier samedi 19 septembre 2020.

« Les juges du tribunal des contentieux administratifs seront informés des autorisations d’entrée dans les habitations privées ou autres lieux dont l’accès nécessite le consentement du propriétaire, à condition que cela soit approprié pour l’exécution par la force des mesures de protection de mineurs décidées par l’entité publique compétente en la matière.

En outre, les juges des tribunaux de contentieux administratif seront informés l’autorisation judiciaire ou la ratification des mesures adoptées conformément à la législation sanitaire que les autorités sanitaires jugent urgentes ou nécessaires pour la santé publique et impliquent la limitation ou la restriction des droits fondamentaux lorsque ces mesures sont incorporé dans des actes administratifs sur une base individuelle.

En outre, les tribunaux administratifs du contentieux seront informés des autorisations d’entrée et d’inspection des habitations, des locaux, des terrains et des moyens de transport qui ont été convenues par la commission nationale de la concurrence, lorsque, exigeant ledit accès et inspection, le consentement de leur titulaire, il s’y oppose ou il existe un risque d’une telle opposition ».

Traduit en termes compréhensibles ce texte de loi met en place la possibilité pour les autorités judiciaires et de police de violer n’importe quel espace privé, à n’importe quelle heure, n’importe où, sur dénonciation d’un voisin, d’un client de bar, de restaurant ou de magasin sous les prétexte qu’une personne ne respecte les obligations sanitaires de port du masque et de lavage des mains quand on entre dans un espace public mais surtout et y compris chez soi. Il n’est pas difficile d’imaginer qu’un père de famille avec son enfant dans son véhicule automobile, sans masque, puisse être condamné après une procédure expéditive à une lourde amende pour n’avoir pas respecté la vie de son enfant. Je peux aussi être dénoncé par l’un de mes voisins de palier si je sors de chez moi sans masque.

Les dictatures se mettent en place lorsque la population devient par ses délations complice des politiciens qui nourrissent un projet dictatorial. À Tenerife un collectif d’avocats s’est mis en place pour tenter de combattre de telles mesures profondément préjudiciables aux libertés individuelles fondamentales. Tenter de faire appel de telles décisions arbitraires ou abus de droit des autorités administratives est peine perdue car, à de très rares exceptions près le tribunal jugeant des contentieux avec l’administration rend toujours un verdict favorable à l’administration. Les citoyens n’auront même plus la possibilité d’avoir recours aux tribunaux de première instance pour dénoncer des intrusions domiciliaires pouvant être le cas échéant accompagnées de perquisitions, cette nouvelle loi étant faite pour court-circuiter ces tribunaux de première instance. Il est donc facile de comprendre que le barreau manifeste sa désapprobation … Il semble que ce soit malheureusement peine perdue. En effet, je cite le commentaire d’un contact local ici à Tenerife : « Quelques précisions sur ce tribunal : ce n’est pas un tribunal tel que nous l’entendons habituellement. Pas d’audience publique, pas de débat contradictoire, pas d’avocat choisi par le plaignant. Tout se passe entre copains-copains fonctionnaires, les juges jugent sur dossier et l’avocat ne cherche que les vices de formes pour appuyer le défendeur. Ne travaille pas ici qui veut : il faut montrer patte rose ou rouge et avoir la carte du bon syndicat. Il s’agit d’une caricature de justice destinée à donner à l’administré l’illusion d’être défendu contre l’arbitraire. Le choix de cette instance par le gouvernement n’est pas fortuit : elle lui obéira vite et bien, c’est un bras judiciaire du pouvoir et de la bonne couleur, bien plus flexible que les tribunaux d’instance ».
L’Espagne s’achemine donc vers un totalitarisme dictatorial à la sauce Franco pimentée par les exigences en sous-main de l’Opus dei, organisme occulte ayant tous les pouvoirs en Espagne, le tout saupoudré de coronavirus, une occasion en or pour asservir toute une population. D’autres « démocraties » européennes vont suivre. Pendant ce temps-là le gouvernement espagnol déploie 20000 militaires à Madrid pour faire respecter le confinement nouvellement décrété L’avenir s’annonce de plus en plus sombre …