Brève. Crise ukrainienne : la boucherie

Les statistiques du gouvernement ukrainien ont été infiltrées par un hacker turc qui a mis en ligne ce qu’il a trouvé. Sur le front du Donbass c’est Verdun ! Voici ce qu’a rapporté AfriqueMediaTV à ce sujet.

Côté ukrainien, plus de 266000 morts, 160000 blessé dont 56000 irrécupérables, nombre de mercenaires étrangers tués : au moins 20000.

Passons sur les chars, les avions, les hélicoptères, les radars détruits.

En ce qui concerne la coalition russo-donbass, car il faut appeler les choses par leur nom, il faut diviser ces données du gouvernement ukrainien par 10 pour se faire une idée de la véracité des statistiques publiées par les Républiques du Donbass et le Kremlin. Ces dernières sources font état de 30000 civils morts depuis le début des évènements. Jacques Baud a tenu un discours sensiblement identique lors de son dernier exposé au près du Dialogue franco-russe dont voici le lien.

Il apporte dans cet exposé des informations précieuses qui permettent une meilleurs compréhension de la genèse de ce conflit

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Coup d’oeil sur la Polynésie française

La Polynésie française (territoire d’outre-mer français, TOM) occupe une zone économique maritime exclusive d’un seul tenant la plus étendue du monde après la Russie dans l’Océan Arctique, plus de 4,5 millions de km2

La Polynésie compte 304000 habitants, l’équivalent de la ville de Montpellier. La seule île deTahiti concentre 280000 habitants et Papeete, la commune de cette ville, seulement 27000 habitants officiellement, tout le pourtour de l’île étant densément habité. Trente-cinq pour cent de la population de Tahiti vit sous le seuil de pauvreté tel que calculé pour la France métropolitaine mais comme la vie est environ 30 % plus onéreuse qu’en métropole autant dire que ces pauvres sont vraiment pauvres.

Voici une vue prise depuis le balcon du studio que je loue dans une résidence pour seniors. On y remarque un amoncellement de maisons entassées les unes contre les autres avec des toits plus ou moins rouillés. Ces quartiers de taudis densément peuplés sont impénétrables et occupés par de vrais pauvres qui survivent en vendant principalement de la marijuana cultivée illégalement dans les montagnes.

Pour vous donner une idée de cette situation sociale mon médecin généraliste totalise plus de 500 consultations impayées depuis 8 ans. Faites le calcul à 4000 xfp (franc pacifique) la consultation, 35 euros, ce qui ne veut rien dire puisque la vie y est très chère si on ne se contente pas des produits locaux et des denrées alimentaires de base non taxées, tout le reste est aussi cher qu’à Tokyo ! Tout ce qui arrive par bateau subit un octroi de mer puis des taxes diverses pour financer le territoire mais les indigents sont apparemment ignorés. Je suis un buveur de bière et ça me coute une fortune mais il faut relativiser, je dispose d’une retraite qui me classe ici parmi les personnes aisées. Le salaire minimum est de 55000 xfp, à la louche 500 euros. Quand ma coiffeuse originaire des Tuamotu m’a appris ça heureusement que j’étais assis. Elle m’a proposé de l’accompagner dans son atoll d’où elle est originaire mais je lui ai demandé un délai de réflexion.

Ici en Polynésie on ne parle plus du coronavirus mais il faut bien entretenir la peur sanitaire. Les cas de SIDA sont soigneusement répertoriés par la presse locale qu’il m’arrive parfois de parcourir.

Il y a quelques jours j’ai bavardé avec un vieux papi chinois qui habite ici depuis 50 ans. Il tient une petite boutique où on trouve un peu de tout. La minorité chinoise représente 10 % de la population de Tahiti. Elle contrôle un nombre considérable de petits commerces et des petites entreprises locales comme des salons de coiffure, des restaurants qui sont plutôt de sordides gargottes, les vendeurs de voitures d’occasion et les vendeurs de tissus comme les paréos directement en provenance de Chine. On rencontre des Chinois dans toutes les villes portuaires du monde, de même qu’on trouve des prostituées pour contenter les marins, mais c’est une autre histoire. Comme dans toutes ces ville portuaires, les Chinois sont discrets, vivent en communauté, ne se métissent pas et travaillent beaucoup plus que les autochtones.

J’ai enfin découvert un autre produit local supposé être de grande qualité et comme pour les fameuses perles noires de Polynésie j’ai été secoué par une grande désillusion. Il s’agit de l’huile de tamanu. Le tamanu (Calophylum inophylum) est un arbre imposant qui pousse près des rivages marins dans toutes îles du Pacifique et de l’Océan Indien. Cet arbre produit des noix contenant une amende de la taille d’une grosse noisette ou d’un gros pois chiche. Ces amendes doivent être séchées au soleil pendant environ 6 journées pour produire de l’huile après pressage. Il s’agit exactement du même protocole que pour le coprah. Collecter les noix, les casser, extraire les amendes, les sécher au soleil puis les presser lentement à froid justifie le prix élevé de cette huile, au détail dans une pharmacie environ 300 dollars le litre. Il se trouve que je connais particulièrement bien cette huile puisque j’avais par le passé créé une entreprise avec un partenaire local lorsque j’habitais à Port-Vila au Vanuatu. Notre entreprise avait produit environ 2500 litres de cette huile aux propriété étonnantes et encore mal expliquées telles que fongicides, viricides, bactéricides, cicatrisantes, analgésiques et j’en passe. Elle contient plus de 60 composés chimiques différents, selon un chimiste que j’avais contacté à l’Université de Montréal, qui constituent une mine pour des laboratoires pharmaceutiques désireux de développer de nouveaux médicaments. Cependant ce type de recherche est particulièrement complexe.

Bref, il y a des sites de production de cette huile dans les Îles sous le vent ici en Polynésie. J’ai récemment fait un exposé détaillé à un investisseur américain qui désirait se lancer dans cette production lucrative mais je l’ai mis en garde immédiatement. S’il veut réaliser des profits rapidement qu’il fasse comme les petites entreprises locales qui ne respectent pas la qualité de cette huile. Ici elle est pressée à chaud et je doute qu’elle soit pure car elle est beaucoup plus fluide que cette que je produisais moi-même au Vanuatu, production qui respectait le protocole de séchage et pressage à froid impératif. Sa couleur n’est pas verte comme celle de l’huile d’olive vierge de haute qualité mais brun-pâle, toutes les caractéristique d’une huile frelatée.

Comme pour les perles noires la Polynésie est le domaine de quelques aventuriers sans scrupule qui veulent réaliser des profits aussi vite que possible en vendant des produits totalement dénaturés et frelatés. Voilà l’évolution qu’ont pris certains produits de la pharmacopée traditionnelle en raison de cette recherche du profit immédiat. On vit dans un monde de plus en plus écoeurant …

Le franc-parler de ce vieux Paul m’étonnera toujours …

« La civilisation occidentale est agonisante » (20 février 2023) Paul Craig Roberts

Dans les années 1960, l’Europe était européenne. L’Allemagne était allemande. La France était française. L’Italie était italienne. Les Pays-Bas étaient néerlandais. La Suède était suédoise. L’Espagne était espagnole. Les nationalités ethniques distinctes ont donné à l’Europe beaucoup de diversité. Aujourd’hui, tous ces pays sont des tours de Babel comme les États-Unis et le Canada. Même au début du XXIe siècle, les immigrants envahisseurs ne représentaient que 1,6 % de la population espagnole. Vingt ans plus tard, les immigrants envahisseurs représentent 15 % de la population. Les immigrants envahisseurs représentent 26 % de la population allemande ( https://www.dw.com/en/german-population-of-migrant-background-rises-to-21-million/a-54356773 )

Les immigrants envahisseurs se concentrent dans les villes. Selon ce rapport (https://qz.com/337508/london-has-more-people-than-ever-and-44-are-ethnic-minorities ) en 2015, « 44 % de la population de Londres était composée de Noirs et de minorités ethniques », contre 29 % en 2001. En 2020, le pourcentage d’immigrants envahisseurs était passé à 55 %. La capitale de la Grande-Bretagne n’a plus de population à majorité britannique.

Un rapport de migrationwatchuk.org indique que la population née à l’étranger en Grande-Bretagne a doublé entre 2001 et 2020. « La majorité des habitants de Londres (55 %), de Slough (69 %), de Leicester (58 %) et de Luton (57 %) sont d’origine ethnique minoritaire (EM). La part des marchés émergents dans le centre de Londres était de 60 % en 2016, de 48 % à Birmingham et de 42 % à Manchester. »

De nombreuses autres villes anciennement britanniques ont connu d’importantes transformations démographiques (https://www.migrationwatchuk.org/briefing-paper/493/immigration-and-population-change-in-the-uks-towns-and-cities ). 

L’évolution démographique dans les anciens pays européens a eu un effet dramatique. Les Anglais ont maintenant Sadiq Aman Khan d’origine pakistanaise comme maire de Londres. Le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, est d’origine indienne. Les deux hommes sont peut-être plus britanniques que l’ethnie britannique elle-même, mais néanmoins les positions les plus élevées cessent d’être détenues par l’ethnie britannique.

Les vrais changements se produisent au niveau du quartier et de la ville. Par exemple, Rotherham, une population de 265 000 habitants, autrefois une puissance industrielle britannique prospère, a été envahie par des immigrants-envahisseurs pakistanais. 

Theodore Dalrymple rapporte dans le City Journal (hiver 2023) et dans les rapports de la BBC ici ( https://www.bbc.com/news/uk-england-south-yorkshire-28939089 ) que, au cours du XXIe siècle, au moins 1 400 jeunes filles britanniques d’origine blanche d’à peine 11 ans ont été leurrées. enlevées, détenues en captivité et violées par des gangs d’hommes pakistanais. Les enfants ont été battus, aspergés d’essence et menacés d’être incendiés, et ont été victimes de trafic dans d’autres villes. Certains ont été assassinés et d’autres sont morts d’une surdose d’héroïne. Une jeune fille de 16 ans, enceinte de ses multiples viols, a été poignardée 40 fois et jetée dans un canal par deux jeunes Pakistanais. L’un a été acquitté. L’autre a été condamné à 17,5 ans de prison. Julian Assange, condamné pour aucun crime, est emprisonné en Grande-Bretagne depuis une décennie. La justice britannique traite les diseurs de vérité plus durement que les meurtriers d’enfants.

Comme les années passent rien n’a été fait par la police ou les autorités. Selon Dalrymple, « il s’avère que le vrai problème pour le Rotherham Metropolitan Borough Council était de savoir comment couvrir la situation ». Les autorités craignaient que si la nouvelle se répandait, cela discréditerait la politique d’immigration du gouvernement. La police avait peur d’être accusée de racisme pour avoir protégé les filles blanches des personnes de couleur. Comme les femmes blanches en Suède, la population blanche britannique de Rotherham vit dans la terreur dans son propre pays. Le « Camp des Saints » (Jean Raspail, 1973) a prédit l’histoire de Rotherham.

C’est la même chose dans de nombreuses villes européennes et américaines. Il y a des régions dans lesquelles aucun Blanc n’ira. Comme la peur des accusations racistes entrave l’application de la loi, même les quartiers blancs de classe supérieure, comme Buckhead à Atlanta, sont en proie à des cambriolages. L’horreur et la terreur sont dissimulées par les libéraux blancs et les publicités commerciales comme diversité joyeuse et multiculturelle. Les gouvernements des pays de moins en moins blancs ne sont plus capables de réalisme. Les Blancs sont trop repliés sur eux-mêmes pour s’organiser et se protéger. Ils se rendent compte que les gouvernements de leurs pays sont contre eux et que toute tentative d’organisation par des Blancs sera qualifiée de « groupe insurrectionnel suprématiste blanc » et que ses dirigeants et ses membres seront arrêtés. Aujourd’hui, les Blancs diabolisés et non protégés sont dans la même situation que les Juifs en Allemagne nazie. Le fait que les blancs sont encore une majorité de la population globale des pays n’a pas d’importance car ils sont empêchés de s’organiser. Ils ne peuvent même pas protester contre leur sort sans être qualifiés de « racistes ». En fait, beaucoup de Blancs sont incapables de reconnaître leur situation. Le darwinisme social est réel après tout, et les blancs ont prouvé qu’ils ne sont pas les plus aptes à survivre.

Note. Je rappelle à mes lecteurs que Paul Craig Roberts est un vieux briscard (83 ans) de la politique américaine puisqu’il fut conseiller du secrétaire au Trésor durant l’administration Reagan, ancien éditeur associé du Wall Street Journal et du New-York Times. Auteur de nombreux livres, il défraye la chronique en publiant sur son blog de nombreux papiers qui mettent le doigt là où ça fait mal si on peut dire les choses ainsi. Contributeur des sites CounterPunch et GlobalResearch il a aussi fait des apparitions sur la chaine Russia Today. Il est un ami intime de Diana Johnstone (89 ans), écrivain spécialisée dans les analyses géopolitique. Elle s’est particulièrement intéressée à l’intervention otanienne en Yougoslavie. Diana Johnstone réside à Paris, un peu comme Seymour Hersh elle a révélé de nombreux scandales perpétrés par l’armée américaine dans tous les coins du monde. Malheureusement ces grands représentants de la génération dont je fais un peu partie disparaissent et leurs successeurs sont souvent insipides …

Que se passe-t-il en Turquie ? Et que va-t-il se passer dans le monde ?

Depuis plusieurs années la Turquie, membre très important de l ‘OTAN, la plus importante armée et une population supérieure à celle de l’Allemagne, subit des attaques de la part du bras séculier de l’Oncle Sam, si on peut dire les choses ainsi, c’est-à-dire Wall Street et la City. La lire turque est attaquée sur les marchés car, ne voulant pas sanctionner directement le pays, les Etats-Unis n’ont trouvé que ce moyen de coquins pour signifier à la Turquie qu’elle est trop rebelle et n’est pas le bon élève de Washington. De nombreux pays ont payé très cher de ne pas faire « ami-ami » avec les Américains … Après avoir acheté à la Russie des systèmes de défense anti-missile S400 et adopté une position ambigüe dans la guerre civile syrienne, les Américains ont même osé tenter un coup d’Etat à partir de l’immence installation aérienne américaine d’Incirlik située sur le sol turc. La Turquie est un partenaire militaire des Etats-Unis au sein de l’OTAN depuis 1952 … Ce coup d’Etat avorté (juillet 2016), organisé par des militaires turcs proches des forces de l’OTAN, donc américaines, et avec l’appui de la CIA, fut déjoué in extremis car les services de renseignement turcs ont été avertis par leurs homologues russes. Le chef de l’Etat turc est immensément reconnaissant à l’égard de son homologue russe pour lui avoir sauvé la vie.

Dans ce contexte la suite des évènements en particulier en Ukraine n’a fait que rapprocher la Turquie de la Russie. La demande d’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’organisation atlantique a eu pour conséquence un très évident énervement d’Erdogan car ces deux pays abritent des opposants turcs tandis que les Etats-Unis protègent Fethullah Gülen, l’ennemi juré du chef de l’Etat turc. Wall Street a donc organisé sur les marché une attaque en règle de la lire turque. Entre 2016 et aujourd’hui la lire turque a perdu 600 % de sa valeur par rapport à l’euro et au dollar. Au cours de l’année 2022, le rythme de l’inflation en Turquie était de 84 %. Dans ces conditions les Turcs, pour tenter de préserver un tant soit peu d’épargne, avaient pris l’habitude d’acheter des euros ou des dollars auprès des banques de détail turques. Déçu par les tergiversations de l’Union européenne pour l’adhésion de la Turquie à la zone euro, les banques turques n’avaient plus que des dollars à proposer à leurs clients qui voulaient se constituer un petit portefeuille de devises « solides ». Cependant il est nécessaire à ce point du récit de mentionner que les salaires, y compris du moindre ouvrier agricole, sont indexés sur l’inflation et dans leur vie quotidienne les Turcs ne se sentent pas concernés par la situation financière du pays. L’économie turque est florissante et ce d’autant plus que la lire turque est fortement dévaluée par rapport aux autres devises.

Pourtant il se passe quelque chose d’étrange en Turquie et j’avoue ne pas arriver à analyser de manière satisfaisante les derniers évènements. Il y a quelques jours un court article de Tyler Durden (ZeroHedge) mentionnait une information pour le moins surprenante dont personne, aucun analyste financier, aucun média occidental, ne reprit. Les banques de détail turques ne proposent plus de dollars à leurs clients sous prétexte qu’elles n’en ont plus. Nul ne sait précisément si la situation est réellement une pénurie de dollars sur les marchés ou s’il y a une autre raison dissimulée au moins par la banque centrale turque, toujours est-il que les banques de détail d’Istanbul et d’Ankara ont proposé à leurs clients des renminbi convertibles en lieu et place des dollars US. Depuis plusieurs jours je réfléchis pour trouver une explication rationnelle à cette information. Mais je ne suis pas du tout un spécialiste de la finance surtout quand il faut tenir compte des agissement glauques de Wall Street et de la City, dans le cas présent aux ordres de Washington.

Il y a tout de même un point important à souligner : cette proposition des banques de détail turques n’est pas surprenante dans la mesure où la Chine et maintenant une multitude d’autres pays mettent en place un panier de devises (dominée par le renminbi convertible) pour faciliter les échanges internationaux dans la « zone Brics étendue » afin de s’affranchir de la tutelle du dollar US. La mise en place de cette alternative au dollar tombe à point nommé car elle est très facilitée par la perte de confiance unanime envers le dollar depuis les sanctions financières totalement illégales décrétées par les Etats-Unis et l’Europe à l’encontre de la Russie. Tous ces pays qui veulent rejoindre le club des Brics dont la liste s’amplifie sans cesse, depuis l’Argentine et le Brésil, l’Iran, l’Inde, l’Indonésie, l’Algérie et tout récemment les Philippines, ont perdu toute confiance dans le billet vert, se sentant menacés par les lois d’extraterritorialité américaines pouvant pénaliser tout Etat ou toute entreprise « ennemis » des USA qui commerce en dollars.

Une autre explication peut être trouvée dans cette information qui je le répète n’a pas été mentionnée par les grands « merdias » occidentaux pourrait aussi révéler la rareté du dollar sur les marchés. Les indices boursiers bondissent de records en records et cette performance n’est peut-être qu’une façade qui dissimule ce que personne ne veut éventer ou reconnaître, précisément un dollar de plus en plus rare ayant pour conséquence un très faible volume des transactions boursières et par conséquent de forts mouvements de hausse quand de rares acheteurs se présentent. Si tel est le cas, et j’avoue que je me trouve dépourvu d’arguments, cette défiance vis-à-vis du dollar US est un très mauvais signe avant coureur de ce qui pourrait advenir dans les prochains mois : une chute brutale du dollar en raison de cette perte de confiance. Les conséquences pour un béotien comme votre serviteur sont difficiles à décrire. Un très grand nombre de pays détenteurs de T-bonds US vont devoir faire face à de graves difficultés comme la Chine et le Japon. Par exemple, l’or va mécaniquement atteindre, toujours libellé en dollar ce qui ne signifiera plus rien, des sommets et tout le système financier international va enfin se retrouver dans une situation « normale ». Les quatre principaux pays détenteurs et acheteurs d’or : Chine, Russie … et Turquie ! pourront alors mettre en place un système financier alternatif dans lequel le dollar US ne jouera plus aucun rôle. Selon certaines sources d’informations les réserves en or de la banque centrale chinoise sont au moins quatre fois plus importantes que celles de la FED. Et toutes ces information « à bas bruit », des signaux faibles, doivent être pris en considération pour tenter de comprendre ce qui se passe en ce moment afin d’imaginer quelle va être l’évolution de la situation dans les prochains mois. Les évènements d’Ukraine, il faut donc le reconnaître, auront au moins une conséquence salutaire et bénéfique pour le monde entier : l’impérialisme américain va disparaître dans les oubliettes sordides et puantes de l’histoire … Et la Terre continuera de tourner (plus librement !).

Nouvelles du Japon : Le mix énergétique électrique japonais

Pour la première fois depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, un sondage organisé par le Asahi Shimbun a indiqué qu’une majorité de Japonais était favorable au redémarrage des réacteurs nucléaires arrêtés pour des raisons de sécurité et toujours à l’arrêt à ce jour. Le principal facteur qui a influencé l’opinion est le renchérissement du prix de l’énergie provoqué par les évènements d’Ukraine. L’Asahi Shimbun a réalisé ce sondage par téléphone auprès de 1181 personnes prises au hasard dans toutes les préfectures japonaises les 18 et 19 février dernier. Les résultats ont montré que 51 % des réponses étaient en faveur du redémarrage des réacteurs à l’arrêt alors que 42 % étaient contre cette décision. Au cours de toutes les consultations précédentes depuis 2013 jamais plus de 30 % des personnes contactées étaient en faveur de la reprise des activités des centrales nucléaires.

Parmi les « sondés » 81 % d’entre eux ont déclaré que l’augmentation du coût de l’énergie représentait une charge difficile à supporter contre 18 %. Au début du mois de février le cabinet du premier ministre a approuvé une politique consistant à maximiser le plus rapidement possible la reprise d’activité des centrales nucléaires à l’arrêt par une modification des procédures locales qui ne seront plus élaborées par les gouvernements des préfectures mais directement par le gouvernement central. De plus les autorités japonaises ont décidé de prolonger la vie opérationnelle des réacteurs au delà de la limite actuelle de 60 ans si toutes les inspections de sécurité sont satisfaisantes. Selon la nouvelle politique gouvernementale le Japon va développer un programme de réacteurs innovants de nouvelle génération pour remplacer la vingtaine de réacteurs existants encore à l’arrêt dont le redémarrage n’est plus planifié ou abandonné définitivement. Sur ce dernier point l’opinion est partagée 45/46 %.

Il y a actuellement 33 réacteurs en opération au Japon, 2 réacteurs en construction, 27 encore à l’arrêt dont 16 devraient être remis en service avant la fin de l’année 2023. Le Japon importe 90 % de son énergie, charbon en provenance d’Australie, gas naturel liquéfié (Australie et Qatar essentiellement et dans le cadre de contrats à long terme, voir note en fin de billet pour le GNL russe). Le mix énergétique électrique du Japon est actuellement le suivant : GNL 37 %, charbon 32 %, hydro 8 %, solaire 7 %, nucléaire 6 %, déchets 4 %, pétrole 3 %, éolien 0,7 %. L’opinion japonaise est très défavorable à l’installation de moulins à vent qui défigurent le paysage et les risques de typhons jouent un rôle prépondérant dans les décisions très timides du gouvernement sur ce point particulier. L’objectif du gouvernement japonais est d’atteindre vers 2030 la même part du nucléaire dans le mix énergétique électrique qu’avant le grand tsunami du 11 mars 2011, c’est-à-dire 30 %, un objectif difficile à atteindre sans construire de nouvelles usines.

Les conditions climatiques japonaises sont défavorables aux énergies intermittentes dites renouvelables car l’enneigement d’une grande partie de l’archipel en hiver et les caprices des vents sont des facteurs dissuasifs. L’abandon du charbon à l’horizon 2070 nécessitera donc la construction de nouvelles centrales nucléaires, les filières petits réacteurs modulaires et installations à haute température étant envisagées dans le futur mix énergétique électrique en particulier pour les installations décentralisées comme dans les petites îles et la production d’hydrogène qui intéresse les grande firmes automobiles japonaises. Dans le cadre d’une rationalisation du réseau de distribution concernant les grandes îles il est enfin envisagé une homogénéisation de la fréquence et de la tension du courant moyenne et basse tension, trop de disparités existant encore aujourd’hui. Le dernier volet du mix énergétique électrique japonais est l’approvisionnement en combustible et le Japon a développé une collaboration étroite, tant technique que financière avec l’Australie, une collaboration du même type avec l’Australie que celle concernant le gaz naturel Pour conclure ce panorama, le japon continue à développer la filière neutrons rapides et le retraitement du combustible dans le cadre d’une collaboration historique avec la France. Et les grandes firmes japonaises comme Mitsubishi Heavy Industry collaborent étroitement avec la Chine dans le domaine du nucléaire, en particulier pour la fourniture de cuves de réacteurs.

Source : World Nuclear Association, illustration : Centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa (TEPCO), Préfecture de Niigata au bord de la Mer du Japon dont le redémarrage des réacteurs 6 et 7 sont prévus à très court terme, cliché TEPCO. Cette usine est la plus grande installation électro-nucléaire du monde en terme d’énergie électrique produite avec 7 réacteurs BWR dont deux ABWR construits par Toshiba et Hitachi, partenaires de general electric, le créateur de la technologie BWR ( https://en.wikipedia.org/wiki/Boiling_water_reactor ).

Note. Au grand dam des USA, la puissance occupante du Japon depuis 1945 avec près de 60 installations militaires sur le sol nippon, le Japon est actionnaire via Mitsubishi d’un consortium mis en place par la société russe Gasprom en partenariat avec la société Sakhalin Energy pour acheminer du gaz naturel par gazoduc depuis l’immense gisement pétrolier et gazier de la Mer d’Okhotsk. Ce projet est néanmoins au point mort et l’unité de liquéfaction construite entre autres partenaires par Chiyoda Co et Toyo Engineering Co sur l’île de Sakhalin est maintenant opérationnelle. Le partenariat Russie-Japon a permis de définir des contrats de longue durée d’acheminement du LNG vers le Japon à des prix indépendants du marché international. C’est à peu près le rare volet de souveraineté du Japon vis-à-vis des Etats-Unis. Enfin les partenaires occidentaux de Sakhalin Energy se sont désolidarisés de ce projet dès le début de l’opération spéciale russe en Ukraine.

Vu sur la toile ce jour.

Ici, à l’heure où j’écris ce bref billet, nous sommes toujours le 23 février 2023, date de Polynésie française, à la veille du premier anniversaire de l’intervention spéciale russe dans les républiques indépendantes autoproclamées du Donbass dont le processus d’autodétermination aurait normalement du être reconnue par le secrétariat général de l’ONU conformément au statut de cette institution : Point de vue excellentissime de Pierre-Yves Rougeyron :

Codicille 1. Selon EurasiaReview, reprenant un article du South China Morning Post, le Mossad aurait évalué le nombre de morts respectivement des armées ukrainiennes et russes (+ milices du Donbass + unités Wagner) les suivantes :

Ukraine : Entre 140000 et 180000 morts, groupe russophone tel que détaillé ci-dessus : Entre 14000 et 22000 morts. L’information a été également reprise par la Turquie et brièvement mentionnée d’ailleurs par Jacques Baud.

Cette information souligne le fait que ni Israël (Bennett a été exclu par les ultra-nationalistes religieux israéliens pour cette raison) , ni la Turquie ni la Chine n’ont pu concrétiser le projet de négociations qu’ils préparaient pour mettre un terme au conflit ukrainien. L’échec de ce projet de traité de paix a été torpillé par les Américains avec l’assentiment aveugle des Européens. À ce propos je n’ai pas pu retrouver ces informations qui sans doute ont été censurées ou supprimées car elles sont dérangeantes. C’est la raison pour laquelle j’ai mentionné ces informations au conditionnel bien qu’elles aient été pourtant reprises, je le répète, par Jacques Baud … 

Codicille 2. La Chine et la Corée du Nord disposent de milliers de chars de fabrication soviétique parfaitement entretenus et que ces trains entiers parcourent l’est de la Russie correctement camouflés pour ne pas être repérés par les satellites espions occidentaux pour venir soutenir l’armée russe avec naturellement l’ensemble de la logistique d’entretien et de fourniture de munitions. Ces chars sont directement utilisables malgré leur conception ancienne. À propos du Transsibérien cette ligne ferroviaire est en cours de doublement sur toute sa longueur dans le cadre du projet «Belt and Road » chinois avec des diverticules vers l’Iran et la Turquie … le monde change. Et en bonus cette vidéo qui confirme mes informations :https://www.youtube.com/watch?v=Q1MtY0HwTK8&ab_channel=LigneDroite%E2%80%A2LamatinaledeRadioCourtoisie(Bernard Wicht reprend les chiffres du Mossad et mentionne jusqu’à 350000 morts et blessés au sein de l’armée ukrainienne depuis le début des évènements …).

Deux brèves : Francis Boyle et les plus vieilles traces d’outils il y a 3 millions d’années

Francis Boyle : un gros pavé dans le marigot des institutions internationales, en particulier l’OMS !

Interviewé par Xavier Azalbert, ce juriste américain, une grosse pointure, expose dans cet exposé son point de vue au sujet de la pandémie de coronavirus et la position de l’OMS, de la DARPA, Fort Dietrick, le P4 de Wuhan, et bien d’autres institutions et personnalités dont Antony Fauci dans cette sombre histoire qui prit sa source il y a de nombreuses années avec les manipulation de germes pathogènes par les armées pour mettre au point des armes biologiques. Avec la pandémie coronavirale le monde entier a été, à son corps défendant plongé dans cette problématique. Le rôle de l’OMS, pour Boyle l’organisme international le plus corrompu, est majeur et va amplifier dans les prochains mois. Je conseille vivement mes lecteurs à se plonger dans l’audition de ce debriefing. Je salue au passage Xavier Azalbert qui est à la tête d’un des rares médias français choisissant des sources d’information que tous les autres « informateurs » négligent sur ordre des autorités politiques. Faites vite car cette entrevue a toutes chances d’être censurée !

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier

Bien avant l’apparition d’Homo sapiens sapiens nos lointains ancêtres mi-hommes mi-singes …

Des fouilles d’archéo-paléontologie effectuées au bord du Lac Victoria au Kénya débutées en 2016 ont montré la présence d’un site de boucherie organisée pour débiter des hippopotames et toutes sortes d’autres gibiers. Le site a été précisément daté par la technique uranium/thorium/hélium à environ 3 à 2,8 millions d’années avant l’ère commune. Des éclats de silex ont été retrouvé sur ce site ainsi que des traces de feu et tous ces restes prouvent que nos lointains ancêtres maîtrisaient le feu, la confection d’outils de boucherie et l’abattage de gros animaux qui devait être le résultat d’une chasse collective organisée. À quoi ressemblait cet ancêtre correspondant à celui qui est appelé Homo parenthropus, que mangeait-il ? Pour la chasse au gros gibier il est clair que les femmes (femelles?) restaient à l’écart, c’est à peu près tout ce que l’on peut imaginer. La confection d’outils de découpage de la viande et de décharnement des os devait être du ressort des hommes mais pour l’entretien du feu il s’agissait probablement d’une tâche partagée.

L’étude minutieuse du site a permis de retrouver deux dents « humaines » et l’étude isotopique de ces dents a clairement indiqué que ces hommes se nourrissaient essentiellement de viande avec un petit détail tout de même, le rapport entre les isotopes 12 et 13 du carbone étudié dans les deux uniques molaires a indiqué que les animaux abattus étaient des animaux brouteurs compte tenu du fait qu’il est possible de différencier par l’étude de ces deux isotopes de quel type de plantes ces derniers se nourrissaient.

La forme des molaires retrouvées montre enfin que le maxillaire était robuste et la dentition bien adaptée pour mastiquer des aliments de consistance solide et robustes. Le travail de boucherie a été bien précisé avec l’étude des entailles de ces outils rudimentaires sur les os des animaux tandis que la récupération de la moelle des os long était méticuleusement effectuée, ces os long étant systématiquement brisés en petits fragments permettant d’atteindre avec facilité cette moelle. D’autres sites du même type étudiés en Ethiopie dans la région du triangle des Afars ont été également datés avec précision. Ils sont tous postérieurs de près de 400000 ans à celui de Nyayanga dans la péninsule de Homa, diverticule du Lac Victoria, le site de la présente étude. La culture Oldowan dérivée des découvertes dans la région de la gorge d’Olduvai en Tanzanie est maintenant « déclassée » par cette découverte la plus ancienne connue à ce jour.

Une telle découverte conforte la thèse maintenant admise que l’homme moderne est le fruit d’une lente évolution à partir d’un ancêtre commun avec les grands singes et cette évolution fut relativement rapide, une dizaine de millions d’années, mais cette dernière remarque de ma part est purement spéculative. Et j’en assume l’entière responsabilité …

Illustrations : Smithonian Institution, et liens suivants :https://www.science.org/doi/10.1126/science.abo7452?adobe_mc=MCMID%3D23240271894792280002703349530301608848%7CMCORGID%3D242B6472541199F70A4C98A6%2540AdobeOrg%7CTS%3D1677098931et pour les lecteurs exigeants un exposé sur la datation U/Th/He :https://www.geo.arizona.edu/~reiners/arhdl/longer.htm

La plus grossière « fake-news » des jours derniers. 

Le tremblement de terre qui a dévasté le sud de la Turquie et le nord de la Syrie a eu lieu sur une zone d’affrontement entre deux plaques tectoniques. La région est régulièrement victime de secousses sismiques comme l’historiographie l’a décrit au sujet de la destruction de la ville d’Alep il y a plusieurs siècles. Le grand tremblement de terre du 11 mars 2011 qui dévasta le Japon a été classé de catégorie 9,2 (https://en.wikipedia.org/wiki/2011_Tōhoku_earthquake_and_tsunami ). Qu’elle est la signification de cette classification : Il s’agit d’une échelle reliée directement à l’énergie dissipée par le séisme. Cette énergie s’exprime en Joules et l’échelle dite de Richter est logarithmique. Schématiquement chaque degré de cette échelle correspond à une augmentation de l’énergie dissipée en Joules multipliée par un facteur 32. Si le nombre de tremblements de terre est le plus fréquent en Indonésie, rapporté à sa surface de l’archipel le Japon est le pays où la sismicité est la plus importante au monde et dans ce pays l’échelle de Richter a été adaptée entre les degrés 4,5 et 7,5 pour mieux décrire la sismicité locale. Le Vanuatu est exceptionnellement soumis à des tremblements de terre compte tenu de l’exiguïté de l’archipel parcouru par une multitude failles. Enfin il existe des tremblements de terre prouvés sans aucun doute possible comme étant provoqués par l’activité humaine par exemple aux Pays-Bas avec l’exploitation du gisement gazier de Groningue et aux USA avec l’exploitation de pétrole et de gaz par fracturation hydraulique des roches mères schisteuses ou encore avec de petites exploitations de géothermie comme en Alsace. 

La sévérité ressentie d’un tremblement de terre dépend de la profondeur de l’épicentre de la secousse, de son étendue, de la durée de la secousse et du type des ondes sismiques accompagnant la secousse. Un tremblement de terre de catégorie 8,6 va libérer autant d’énergie que 10000 bombes nucléaires du type de celle utilisée par les Américains pour rayer de la carte la ville d’Hiroshima. La puissance de la bombe larguée sur la ville le 6 juin 1945 correspondait à celle produite par l’explosion de 16000 kilos de TNT, soit environ 67 TerraJoules (TJ). Un tremblement de terre de magnitude 8,6 sur l’échelle de Richter libère donc autant d’énergie que 10000 bombes nucléaires type Hiroshima. Divisons à la louche par un peu moins de 16, la moitié de 32, le facteur multiplicatif de l’échelle de Richter (je ne possède pas de calculette pour calculer le nombre exact puisque l’échelle est logarithmique) pour arriver à la magnitude du séisme qui a secoué récemment la Turquie et la Syrie, on obtient donc une énergie dissipée par cette secousse équivalente à celle libérée par l’explosion d’une quinzaine de milliers de tonnes de TNT, soit 15 méga tonnes. Pour provoquer un tel tremblement de terre il aurait fallu procéder à une intervention humaine consistant à creuser un puits d’au moins 50 centimètres de diamètre de 5000 mètres de profondeur, y introduire une bombe nucléaire ou thermonucléaire (elles sont plus compactes), reliée par un câble pour déclencher l’explosion, remplir le puits de béton et appuyer sur le bouton rouge pour déclencher le séisme.

J’ai lu dans la presse de grand chemin que ce séisme avait été provoqué par une intervention humaine, c’est dire à quel point d’invraisemblance les délires des journalistes en mal d’inspiration sont arrivés pour réaliser des « scoops ». Leurs émoluments sont-ils proportionnels à leur ignorance ou à leur stupidité ? C’est exactement le même phénomène qui se produit pour le réchauffement du climat, pour l’utilisation de pesticides et pour la culture des plantes vivrières génétiquement modifiées ou encore pour la dangerosité de l’énergie nucléaire civile et même celle des pétulances des bovins. Sans oublier l’amalgame ridicule au sujet des sécheresses, des inondations, des cyclones dévastateurs, de la fonte des glaces, des ours blancs, des baleines … des mélanges sans signification commandés par un pouvoir occulte supranational qui veut asservir les populations. Tous ces journalistes « à sensation » ne connaissent pas un traitre mot de ce dont ils parlent. Leurs sources d’information sont des dépêches d’agence qui elles-mêmes collectent des informations provenant de n’importe quelle source, qu’il s’agisse de feuille de chou locale, d’articles tendancieux sortis de l’imagination d’ONGs obscures ou d’organismes officiels dont la mission est aussi de terroriser les peuples. Le journalisme est devenu ainsi une arme de destruction massive de l’opinion, il maintient la peur et la terreur des populations qui deviennent alors malléables par le pouvoir politique et acceptent n’importe quelle privation de liberté pour leur survie. Il paraît que l’horloge de décomptage de l’avenir de la planète est arrivée à quelques nanosecondes de l’apocalypse. On a repoussé les limites de la bêtise humaine comme le télescope James Webb a déjà reculé la limite de l’Univers de quelques milliards d’années-lumières en analysant des lentilles gravitationnelles se situant à plus de dix milliards d’AL du télescope lui-même et dans l’analyse des « red-shifts » de galaxies géantes (objet d’un prochain billet). Einstein disait que pour se faire une idée de l’infinie bêtise de l’homme il suffisait de penser à l’infinie dimension de l’Univers.

Pour pouffer de rire voici le lien : https://odysee.com/@Réseauinternational:5/RI-Zap-du-20.02%C2%A0–Nous-avons-assisté-à-la-provocation-de-tremblements-de-terre-sur-commande:5 mais cette « fake-news » enfle à tel point que le site réseau voltaire a repris la nouvelle toujours sans se poser de questions rationnelles :

https://www.voltairenet.org/article218884.html et aussi https://www.voltairenet.org/article218892.html . Stupéfiant, non ?