OPINION. Il y a vingt ans était publié le livre prophétique de Gordon Chang prédisant la fin du communisme chinois. Pékin en a fait un sujet de plaisanterie. Les nuages, pourtant, s’amoncellent. Article de Frédéric Koller paru sur le quotidien Le Temps (Genève) le 23 octobre 2021
Il y a vingt ans paraissait « The Coming Collapse of China »de Gordon Chang. Cet « effondrement imminent de la Chine » devait se produire dans les cinq à dix ans. Dix ans plus tard, constatant que la Chine était toujours debout, l’auteur repoussait sa prédiction à 2012. La dernière fois qu’il s’est aventuré à pronostiquer une révolution en Chine c’était en 2016. Depuis, il reste persuadé que le temps lui donnera raison. Mais il se garde de fixer une nouvelle date.
Le pouvoir chinois a d’abord ignoré la prophétie, puis il a ironisé sur la date limite du livre, pour ensuite s’en emparer afin de discréditer les critiques du régime. Parler des échecs du parti vous valait l’étiquette infamante de « Gordon Chang ». De sujet de raillerie, le titre du livre a finalement été renvoyé à l’expéditeur, ou plutôt à son pays d’adoption. Pékin s’est mis à évoquer « The coming collapse of american democracy ».
Le point de bascule
Lorsqu’il paraît au tournant du siècle, le livre marque les esprits. Gordon Chang n’était pas le seul à prédire la chute du Parti communiste. Ses origines sino-américaines et sa longue expérience en Chine pour des cabinets de consultant juridique américains l’assurent d’un statut particulier. Il connaît son sujet et maîtrise les deux cultures. A l’époque, on parle déjà des « mauvaises dettes » des grandes banques chinoises. Le système financier était soi-disant au bord du gouffre. L’analyse de Gordon Chang se focalise toutefois sur un régime politique inapte à s’adapter aux lois du marché et à lutter contre la corruption: le pouvoir communiste est condamné à échouer dans sa tentative de modernisation.
Cette lecture est alors dominante hors de Chine. Peu après la sortie du livre, pourtant, Pékin accède à l’OMC. Et il va se produire une transformation que peu d’observateurs osaient envisager. L’ouverture au commerce international dynamise l’économie sans faire trembler le régime. Le développement du pays repose sur deux piliers : les investissements étrangers accompagnés de transferts technologiques et l’immobilier, moteur de la consommation intérieure. Les exportations sont la principale source de croissance. La construction emploie des dizaines de millions d’ouvriers et fournit des logements décents.
Depuis un quart de siècle, la bulle immobilière chinoise menace d’éclater. Depuis un quart de siècle, la croissance soutenue de la Chine a permis d’absorber les défaillances de ce marché (surendettement, mauvaise allocation des ressources, corruption, destruction de l’environnement). La grande question est celle du point de bascule. A partir de quel seuil le tassement de la croissance risque-t-il de mettre tout l’édifice en péril ? Et c’est là qu’interviennent la crise du covid (la mise à l’arrêt du commerce) et la chute d’Evergrande, l’un des plus grands groupes immobiliers du pays.
Le premier qui chutera
Le système financier chinois est en mesure d’encaisser l’onde de choc d’une faillite d’Evergrande. Mais Pékin ne peut pas se permettre le risque d’une panique sociale provoquée par la perte de leurs économies de millions de propriétaires. Evergrande sera démantelé, comme les actifs pourris des grandes banques à la fin des années 1990. On n’assiste donc – pas encore ? – à une crise comparable à celle des subprimes. Mais l’endettement du pays, notamment de ses collectivités locales, menace sa stabilité.
C’est cette fragilité du marché immobilier chinois, couplée au vent de démondialisation en cours – et donc d’un recul des exportations – qui redonne de la voix, outre-Atlantique, aux fidèles de Gordon Chang. En Chine, à l’inverse, on voit une accumulation de signes de la faillite de la démocratie américaine. La dictature de Pékin et la démocratie de Washington pourraient coexister encore longtemps. Rien n’est écrit. Le premier de ces deux régimes qui s’effondrera, pourtant, entraînera dans ses décombres une transformation systémique du monde.
Pfizer a trouvé 2268 enfants pour réaliser une étude en double aveugle sur l’effet de leur mixture d’ARN messager. L’histoire ne donne aucun détail sur le recrutement de ces enfants ni dans quel pays l’étude a été réalisée. Le premier résultat encourageant est le suivant : « efficace à 90 % ». Il faut noter que ni dans le groupe « essai » ni dans le groupe « témoin » il a pu être observé un effet secondaire sévère et aucune infection par le coronavirus. La seule évidence de cette efficacité est l’apparition d’anticorps circulants dirigés contre la protéine spike codée par l’ARN messager constituant cette thérapie. Le groupe « essai » comprenait 1518 enfants âgés de 5 à 11 ans et le groupe témoin 750 enfants dans la même tranche d’âge. Ce nombre limité a été délibérément choisi pour éviter statistiquement tout effet secondaire. De plus le suivi des enfants a été interrompu 17 jours après le deuxième injection pour les mêmes raisons.
Autre évidence du non respect de l’éthique scientifique : toutes les possibilités ont donc été effacées à propos de ces effets secondaires potentiels puisque le suivi des enfants volontaires (?) a été interrompu à dessein trop tôt. Mais il y a pire encore. Non seulement les enfants n’ont pas été testés préalablement pour savoir s’ils avaient été en contact avec le virus et, ce qui est très courant à cet âge, avaient développé les symptômes d’une simple grippe mais parmi les volontaires (?) il est apparu que ceux de ces enfants exprimant des anticorps anti-SARS-CoV-2 au début de l’étude ont été exclus sans que Pfizer n’en rende compte. Ceci, encore une fois, est contraire à l’éthique. Il apparaît donc que Pfizer a ciblé ces enfants pour obliger leur système immunitaire à ne reconnaître que la protéine spike. Cette limitation du processus de « vaccination » a abouti à une amplification de cette réponse immunitaire chez des centaines de millions d’adultes au contact du virus après « vaccination ». Cf. Israël, l’Islande ou encore Gibraltar.
L’un des fait le plus troublant concernant cette étude est le fait que Pfizer a déclaré avoir perdu le contact avec 4,9 % des enfants enrôlés dans l’essai, soit 111 enfants. Qu’est-il arrivé à ces 111 enfants ? Pas de réponse de Pfizer. L’autre fait qui devrait condamner Pfizer relève de la fraude. Les enfants du groupe témoin ont, à la fin de l’essai, tous reçu les deux doses de « vaccin » et ce stratagème empêche toute comparaison ultérieure. Il est intéressant d’ajouter ici que Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zeneca ont procédé de la même façon lors de leurs essais cliniques en 2020 avec naturellement l’approbation de la FDA et du CDC. L’approbation pour la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est maintenant entérinée par la FDA. Cependant le seul critère retenu par ces organismes est le risque de myocardite survenant après l’administration intra-musculaire de l’ARN messager. Ce risque peut apparaître à n’importe quel moment après la première ou les deux injections. Or Pfizer n’a pas mis en place de suivi suffisamment long pour détecter d’éventuelles myocardites, les 111 enfants exclus de l’étude ? Un calcul simple issu de l’estimation par la FDA du nombre de myocardites de 106 par million d’enfants de cette tranche d’âge après « vaccination » conduirait pour seulement les Etats-Unis à tout de même 3000 myocardites en excès dans cette tranche d’âge.
Il semble que les règles éthiques ont été ignorées car tout autre vaccin conduisant à un tel désastre sanitaire concernant surtout des jeunes enfants qui représentent 0 % de tous les morts depuis le début de l’épidémie coronavirale à quelques très rares exceptions d’enfants gravement atteints par d’autres maladies, tout autre vaccin, disais-je, serait immédiatement interdit. Ce seul fait conduit à réfléchir à la vraie finalité de cette décision de vacciner les enfants, décision qui sera suivie par les pays européens à n’en pas douter. Pour qui et dans quel but ces états dans les états que sont ces groupes industriels richissimes travaillent-ils ? Il est clair que les interdictions de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine ont été télécommandées par ces firmes tentaculaires qui se moquent de l’éthique et du bien-être de l’humanité et y compris de la vie des individus puisque selon le Docteur Anthony Hinton, ancien consultant du National Health System, pour des enfants exposés à un risque favorisant l’apparition de myocardite, ce qu’il n’est pas possible de nier pour ce « vaccin », le taux de mortalité sera de 20 % au bout de 2 ans et de 50 % après la cinquième année.
En réalité si le but immédiat de laboratoires comme Pfizer n’est pas de tuer des enfants de moins de dix ans l’objectif est tout autre. Lors de l’injection de l’ARN messager l’organisme synthétise des quantités massives de protéine spike, synthèse totalement dérégulée probablement à dessein. Cette protéine envahit la plupart des tissus mais préférentiellement les gonades. Aucune étude n’a été publiée au sujet du devenir de cette protéine au cours du temps comme par exemple l’effet de cette protéine sur les gonades elles-mêmes ou encore sur le cerveau ou le foie, plus prosaïquement. Non, rien ! Par contre, faut-il le répéter, les anticorps dirigés contre cette protéine et apparaissant après l’injection de cet ARN messager reconnaissent la syncytine. Ceci explique la forte augmentation du nombre de fausses-couches chez les femmes s’étant retrouvées enceintes après la « vaccination » puisque cette protéine est essentielle pour le maintien de l’implantation du placenta au niveau de l’endomètre de l’utérus. Quant au rêve de Bill Gates il pourrait se concrétiser mais il faudra attendre que les enfants qui vont bientôt subir cette thérapie génique soient en âge de procréer. L’approbation par la FDA de la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est donc un crime contre l’humanité orchestré par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité de Bill Gates qui contrôle l’OMS.
À propos de Bill Gates, l’article publié par le mensuel The Sovereign Independent en juin 2011 a fait l’objet d’une récente controverse, dix ans plus tard, c’est très curieux sinon suspect, et cet article était prémonitoire pour diverses raisons. D’abord le fait que les recherches sur le gain de fonction du SARS-CoV-2 qui ne datent pas d’hier se soient focalisées sur les interactions entre la protéine spike et divers organes en utilisant des souris dites « humanisées » ne soit pas anodin. D’autre part, si on exclut l’appât du gain tout à fait justifié des laboratoires pharmaceutiques, il reste quelques points également très suspects au sujet de ces pseudo-vaccins. Les études sur les effets secondaires ont été bâclées voire inexistantes, le fait que la syncytine soit reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine spike était connu des biologistes des firmes pharmaceutiques, il suffit de faire un western blot pour s’en rendre compte, et enfin pour être certain que cette « vaccination » atteindra ses objectifs, non pas de protéger les populations contre une infection par le coronavirus, mais de tout simplement stériliser des générations entières en vue de diminuer la population mondiale est donc un fait réel. Encore une fois les biologistes des firmes pharmaceutiques l’ont certainement observé avec ces souris humanisées, il faut être idiot pour le nier.
Et qui nie cela ? Les « fact-checkers » de Reuters qui ont réexaminé l’article paru en 2011 dans The Sovereign Independent ! Cette « vaccination » est un coup monté par l’OMS dont Bill Gates est un contributeur financier important, par la FDA et le CDC, nécessairement informées des détails des expérimentations faites au sein des laboratoires pharmaceutiques, et un coup monté des instances internationales apatrides comme le WEF en premier lieu. Dans dix ans je ne serai certainement plus de ce monde mais on assistera à une baisse brutale de la fécondité au niveau mondial, la « Zero Carbon Solution », et c’est la raison pour laquelle Gates encourage et finance avec son immense fortune une « vaccination » généralisée et autoritaire dans les pays africains, sud-américains ainsi qu’en Asie. Hitler, Staline et Mao étaient des enfants de choeur en regard des visées malthusiennes de Bill Gates.
Pour conclure ce billet il est hautement improbable que les laboratoires pharmaceutiques aient été capables de mettre au point naïvement ces ARNs messagers en quelques mois. L’information relative au gain de fonction, recherche financée par les Etats-Unis au sein du laboratoire P4 de Wuhan, a abouti à une séquence d’ARN codant pour la protéine spike communiquée à ces laboratoires avant même que la pandémie soit déclarée par l’OMS. Il n’y a pas d’autre alternative. C’est clair ! C’est d’autant plus clair car les virologistes payés en partie par les Américains à Wuhan savaient que leur virus manipulé génétiquement était dangereux et qu’ils ont immédiatement informé les autorités locales qui ont mis sous « cocon » strict la totalité de la ville pour surtout juguler la dissémination de ce virus artificiellement modifié en Chine, et ils ont remarquablement réussi. Il a fallu néanmoins rapatrier des milliers d’Européens et d’Américains vivant dans cette ville et c’est ainsi que ce virus s’est répandu dans le monde entier.
Je ne suis pas complotiste mais j’analyse les informations et les faits. Antony Faucy qui a sévi lors de l’administration Trump et est toujours, étrangement, aux manettes sous l’administration Biden travaille pour Bill Gates. C’est une question existentielle qu’on peut se poser car aujourd’hui on va forcer les enfants à être « vaccinés » … C’est là le plus criminel aspect de ce coup monté par les Etats-Unis avec l’aide de la Chine et l’appui de Bill Gates et probablement dans l’ombre l’appui du World Economic Forum et de BlackRock toujours présent dans les coups juteux en investissant des dizaines de milliards de dollars dans ces laboratoires. Ainsi le monde de la finance, bien propre sous tous rapports, est complice de cette machination …
Mais alors quid des enfants qui, comme mes deux petits-enfants franco-japonais, ont souffert du SARS-CoV-2 ? Il y a une très grande différence entre l’infection par le virus lui-même et le « vaccin ». Le virus est une particule immédiatement reconnue par le système immunitaire pour le détruire et dans le même temps ce système immunitaire produit des anticorps qui vont servir de support à cette élimination. Si des dizaines de millions de particules virales envahissent les voies respiratoires les personnes en bon état de santé en arrivent à bout rapidement comme l’organisme arrive dans la majorité des cas à bout du virus de la grippe. Avec ce pseudo-vaccin à ARN messager ce sont des centaines de milliards de molécules de la protéine spike qui produites sans aucune régulation et qui envahissent la totalité du corps bien avant que le système immunitaire commence à réagir. Voilà le détail clé qui éclaire ceux qui douteraient encore de l’aspect diabolique de ce pseudo-vaccin.
Atlantico : Après une reprise épidémique liée au variant Delta cet été et une population fortement concentrée, le Japon se retrouve de nouveau dans une situation relativement confortable. Comment expliquer cette « success story », quelle est la recette japonaise ?
Antoine Flahault : Le Japon, dès le début de la pandémie a adopté une stratégie de riposte pragmatique dite de « suppression ». C’est un anglicisme qui signifie que l’on a l’objectif permanent de maintenir la circulation du virus au plus bas niveau possible. Avant les jeux olympiques, le Japon, pays de 127 millions d’habitants, avait réussi à ne pas dépasser 6000 cas et 100 décès par jour, ce qui était, au sommet de leurs vagues, d’un niveau inférieur à celui des décrues épidémiques des pays occidentaux. Quinze jours après les jeux olympiques de l’été 2021, certes qui n’avaient accueilli aucun supporters étrangers mais des athlètes et leurs délégations de tous les pays participants, le Japon a alors connu sa pire vague de la pandémie, liée au variant Delta. Le pic, à la fin août n’a cependant pas dépassé 22 000 contaminations et 60 décès quotidiens, soit l’équivalent de moins de 12 000 cas et 32 décès par jour en France ou au Royaume-Uni.
Aujourd’hui, l’archipel nippon qui est situé sur les mêmes latitudes que les pays de l’Europe de l’Ouest, n’enregistre quasiment aucun cas et aucun décès. Depuis le début de la pandémie, le Japon a rapporté 14 décès pour 100 000 habitants alors que la France en a rapporté 175, le Royaume-Uni 210. On n’est pas dans la même ligue. Et pourtant, on ne peut pas dire que le Japon recourt à une recette magique pour parvenir à une telle performance. Pas de martingale non plus. Juste une très grande proactivité. Lors de l’augmentation de l’incidence cet été, le pays n’avait pas dépassé 10 000 contaminations par jour, que l’ensemble de la population manifestait déjà des signes d’anxiété, le port du masque y était spontané et généralisé ; les médecins craignaient la saturation de leurs hôpitaux ; les autorités redoublaient les mesures de contrôle, instituant cependant des “états d’urgence » qui avaient peu de ressemblance avec nos confinements. Jamais les Japonais n’ont été assignés à domicile, jamais les commerces non-essentiels n’ont été fermés, les écoles ont été peu fermées aussi. Mais lorsque l’on intervient tôt, on est rapidement efficace. Le traçage des contacts « à la japonaise » est une recherche rétrospective afin de remonter, à partir d’un cas identifié, puis démanteler toutes les chaînes de transmission dans la communauté. Ce n’est pas une spécificité japonaise à proprement parler, puisque les Sud-Coréens, Australiens, Singapouriens, Néo-Zélandais, Taïwanais l’appliquent également. C’est une méthode qui a seulement retenu les leçons du passé, notamment de l’épidémie de SRAS en 2003. Le SARS-CoV-2 comme le SARS-CoV ne sont pas des virus grippaux. Le R0 du coronavirus est frappé de surdispersion, ce qui signifie que la transmission s’effectue selon des chaînes de supercontaminations qu’il convient de détecter rapidement et d’isoler correctement. La durée d’incubation de la Covid est de 5 jours en moyenne (2 à 12 jours) et non de 24 heures comme pour la grippe, justifiant l’utilité des quarantaines pour les cas de Covid. A la différence de la gestion des pandémies de grippe, ici les frontières gagnent à être closes pour les non-résidents, et les résidents de retour au Japon ainsi que les voyageurs essentiels au fonctionnement du pays doivent être soumis à un contrôle sanitaire très rigoureux. Lorsqu‘ils débarquent à Narita (l’aéroport de Tokyo), ils sont testés sur place : négatifs, ils s’isolent en quarantaine, positifs, ils filent vers l’hôpital.
Peut-on et doit-on s’inspirer du modèle japonais pour préparer notre hiver en France face aux Covid ? Quelles sont les préconisations clés ?
La France n’est pas une île, elle ne fermera pas ses frontières aux voyageurs étrangers, mais lorsqu’elle a instauré le passe sanitaire le 9 août, elle enregistrait ce même jour 23 000 cas et 60 décès. Ce n’est certes pas le seuil de réactivité des Japonais mais ce n’est pas non plus le laxisme britannique qui avec près de 50 000 cas et 150 décès aujourd’hui n’a ni passe sanitaire, ni obligation de port du masque. Beaucoup de pays convergent aujourd’hui vers une stratégie qui emprunte plusieurs aspects de celle des Japonais, une réaction plus précoce, une moindre tolérance à la circulation du virus dans la communauté, l’usage étendu du passe sanitaire, le port plus systématique du masque en milieu intérieur, une politique plus systématique de tester-tracer-isoler, des frontières plus sécurisées à défaut d’être fermées aux non-résidents.
Quelles sont les plus grosses failles de notre système actuel de lutte contre la Covid pour l’hiver qui vient ? Comment les combler ?
Ce coronavirus se transmet quasi exclusivement par voie aérosol, en milieu intérieur, bondé, mal ventilé, où l’on passe plusieurs heures dans la journée. Ces lieux sont identifiables et dénombrables. Il s’agit des salles de classes, amphithéâtres, cantines et restaurants, open spaces, transports publics. Jusqu’à présent, ce sont les grands oubliés de la riposte pandémique. C’est dans ces lieux, et seulement là, qu’on vient s’y contaminer, souvent par dizaines voire par centaines de personnes. Mais on continue à laisser entrer et séjourner le public dans ces hauts lieux de transmission sans chercher à mieux les sécuriser. On se contente au mieux d’exiger le port du masque, ce qui est très insuffisant. D’abord parce qu’on enlève le masque pour se restaurer, pour manger des popcorns au cinéma, pour grignoter dans les transports. Pourquoi les autorités nationales et européennes ne fixent-elles pas des normes contraignantes au-dessus desquelles il serait demandé d’évacuer ces locaux dangereux pour notre santé ?
La concentration de CO2 est une bonne mesure de la qualité de l’air en termes d’aération. L’air extérieur a une concentration de 400 ppm. Quelle concentration de CO2 peut-on tolérer en milieu intérieur pour réduire au mieux le risque de transmission du coronavirus : 800, 1000, 1200 ppm ? Aux experts ventilistes de trancher. Plus la concentration sera basse et plus on réduira le risque de contaminations, en sachant que l’on ne doive pas viser le risque zéro, mais plutôt une réduction de risque acceptable, complétée par le port du masque autant que possible. Miser sur une ventilation satisfaisante des lieux clos (ouverture des portes et fenêtres, purificateurs d’air), monitorée par des capteurs de CO2 n’est-il pas l’investissement d’avenir par excellence que les pays européens devraient tous réaliser de toute urgence ? Pour éviter des souffrances, des hospitalisations et des décès par coronavirus ainsi que par les autres virus respiratoires, notamment la grippe et pour réduire le risque de toutes les pathologies respiratoires liées aux particules fines. Et aussi pour éviter le risque de saturation des hôpitaux et des reconfinements cet hiver.
Note. Comme je dispose d’informations de première main en provenance de mon fils habitant à Tokyo, j’ajouterai quelques détails. À Tokyo, immense ville de plus de 15 millions d’habitants, l’activité n’a jamais cessé depuis le début de l’épidémie. Pendant quelques semaines les écoles ont été fermées au début du printemps 2021. Toutes les personnes capables de travailler chez elles ont été encouragées afin de prendre leurs dispositions dans ce sens. L’injection de thérapie génique à base d’ARN messager n’a jamais été rendue obligatoire. Le port du masque a été laissé à l’appréciation de chacun car toute obligation est contraire à la Constitution. Pour l’anecdote ma belle-fille (japonaise) a été vivement encouragée par la société qui l’emploie à se faire “vacciner”. Elle n’a subi aucun effet secondaire sinon une forte fièvre pendant 48 heures et la perte de plus de 3 kilos. Mon fils et mes deux petits-enfants ont été contaminés par le virus, probablement le mutant delta, et ils ont reçu de l’hôpital un certificat de guérison pour chacun d’entre eux. Ils souffrent toujours d’anosmie partielle. Au Japon il n’y a jamais eu un quelconque projet de pass sanitaire, synonyme d’obligation de “vaccination”, car ce serait contraire à la Constitution. Seul les karaokés et les bars à entraineuses ont été fermés durablement. J’ignore s’ils sont ouverts aujourd’hui. Sous prétexte qu’il y avait un caractère d’urgence le gouvernement français a ignoré la Constitution et bafoué les libertés individuelles fondamentales …
Le fameux consensus scientifique relatif au réchauffement du climat date de 2013 quand John Cook et al publièrent un article dans la revue Environmental Research ( https://doi.org/10.1088/1748-9326/8/2/024024 ) qui indiquait que 99 % des scientifiques étaient d’accord pour affirmer que le climat se réchauffait depuis le début de l’ère industrielle et que par conséquent ce réchauffement était la conséquence de l’activité humaine. La méthodologie utilisée pour crédibiliser ce consensus vient d’être remise en question, ou plutôt confirmée, par Mark Lynas. Mark Lynas n’est pas un scientifique mais journaliste et essayiste et s’intéresse depuis plus de dix ans à l’évolution de la problématique du changement du climat. Il a progressivement constaté qu’il existait depuis quelques années une radicalisation de la climatologie et il est devenu de plus en plus sceptique à ce sujet. Parallèlement il est devenu un partisan convaincu de l’énergie nucléaire et des plantes génétiquement modifiées. Il est de ce fait tout simplement haï par les écologistes de tout poil car c’est une personnalité publique qui n’utilise aucun détour sémantique pour exposer ses opinions. Visiteur à l’Université Cornell il vient de publier en collaboration avec deux autres membres de cette université une étude dans la même revue Environmental Research ( https://doi.org/10.1088/1748-9326/ac2966 ) portant sur 3000 articles pris au hasard entre 2012 et 2020 avec les mots-clés suivants : « climate change », « global climate change » et « global warming ». De cette recherche il est sorti 88125 articles. De ces derniers 3000 d’entre eux ont donc été sélectionnés au hasard (j’émets quelques doutes). Parmi ceux-ci 282 publications n’avaient rien à voir avec la climatologie. La très grande majorité des articles restants à l’exception de 3 d’entre eux sont évidemment en faveur du credo non contesté de l’effet de l’activité humaine sur le changement du climat. Mark Lynas a donc retourné sa veste pour éviter d’être ostracisé par le lobby organisé par l’IPCC.
Parfait. Mais il y a un biais dans cette analyse, un non-dit que peu de scientifiques ont exposé publiquement. Si un scientifique, par exemple un doctorant censé publier un article en cours de travail de thèse (ce qui fut mon cas lorsque j’étais jeune doctorant), publie des résultats qui vont à l’encontre de la doxa du réchauffement du climat d’origine humaine alors il ne lui reste plus qu’à changer de métier car il n’obtiendra jamais de financement (salaire compris) pour la poursuite de ses travaux. Une stricte censure existe au niveau gouvernemental et au sein des organismes dispensant les crédits de recherche ainsi qu’au sein des universités toutes adeptes du progressisme climatique.
J’ai eu il y a quelques années plusieurs échanges de courriels avec Henrik Svensmark qui découvrit la corrélation entre le flux de rayons cosmiques et la température moyenne de la surface des océans au cours des dizaines de millions d’années passées à l’aide de « proxys » permettant de reconstruire ce flux et ces températures. Il en déduisit que les rayons cosmiques ont une influence sur la formation des nuages et par voie de conséquence sur le climat. Svensmark, craignant de se retrouver sans aucun crédit de recherche et sans salaire comme il me l’avait confié dans un de ses courriels, a fini par implicitement accepter de poursuivre ses travaux relatifs à l’effet du rayonnement cosmique sur la formation des nuages et il s’est résolu à publier récemment un article qui lui a sauvé la vie ( https://doi.org/10.1038/s41598-021-99033-1 ) et est beaucoup plus conforme à la doxa de l’IPCC.
Oubliant toute hypothèse d’augmentation de l’albedo de la Terre consécutive à la formation de nuages d’altitude à la suite de variations du rayonnement cosmique étroitement lié à l’intensité de l’activité magnétique du Soleil Svensmark en déduit au contraire, maintenant, que la formation des nuages par ce même processus d’ionisation provoque un forcing radiatif comme l’indique l’article cité en référence ci-dessus. Svensmark doit certainement ronger son frein : quand un scientifique renie sa propre science sous la pression de la société civile il a perdu son âme. Voilà le type d’exemple que Lynas n’a pas inclus dans son étude car il est impossible de contacter les auteurs les uns après les autres pour leur demander s’ils sont toujours en accord avec eux-mêmes.
C’est ce qu’a dénoncé dans sa dernière interview le Professeur Raoult au sujet de la clofazimine, de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Il s’agissait de la demande d’essais cliniques relatifs à ces molécules. Un veto catégorique lui fut signifié sans explications. Le coronavirus, et pour la clofazimine la tuberculose qui tue 1,5 million de personnes chaque année, ne sont pas des sujets devant être abordés par des entités indépendantes des laboratoires pharmaceutiques ou pire encore indépendantes des gouvernements puisque l’IHU de Marseille est une fondation privée, donc indépendante du système administratif gouvernemental. C’est d’ailleurs ce qui fait nerveux tous les faux spécialistes de la santé dont s’entoure le président français. L’Agence de sureté du médicament a donc décidé de diligenter une inspection au sein de l’IHU au sujet de la clofazimine. Il s’agit là d’une attitude totalitaire ressemblant étrangement à celle du pouvoir soviétique qui voulait imposer les thèses absurdes de Lyssenko en envoyant au goulag tous les généticiens qui contestaient les thèses de Lyssenko.
La recherche sur le climat relève de décisions gouvernementales téléguidées par l’IPCC. Voilà pourquoi Svensmark a vendu son âme au diable du réchauffement anthropique et aussi pourquoi Raoult, pudiquement, se pose quelques questions. Écoutez sa présentation vidéo car elle est à peine voilée ( https://www.youtube.com/watch?v=2HiI2bUgNBo ). Le cas de la clofazimine est emblématique. En effet, cette molécule est l’un des rares traitements efficaces contre la lèpre. Or le bacille de la tuberculose est un très proche parent de celui de la lèpre et des études préliminaires ont montré que ce produit était également efficace pour combattre la tuberculose. Cependant trouver de nouvelles molécules efficaces contre cette maladie est la chasse gardée des laboratoires pharmaceutiques. D’où l’opposition gouvernementale pour tout essai clinique avec ce produit qui date des années 1960, encore une « vieille » molécule. La politique interfère avec la science, qu’il s’agisse du climat comme de la recherche médicale. Dans les deux cas se dissimulent de sombres intérêts économiques et à n’en pas douter une bonne dose de corruption de tous les acteurs auto-déclarés des « sachants » qui gravitent autour du président de la République française …
C’est un article du site Causeur qui m’a conduit à prendre mon clavier à défaut de plume pour écrire ce petit billet. Il est fait mention dans l’article cité (lien en fin de billet) de la capacité de nuisance des écologistes qui sont arrivés à faire condamner l’Etat français pour ne pas avoir respecté ses engagements de réduction d’émissions de carbone tout en ayant préalablement exigé la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim. Cette fermeture a provoqué l’émission d’au moins 10 millions de tonnes de carbone et l’Etat a été condamné pour ne pas avoir limité de 15 millions de tonnes ces émissions entre 2015 et 2018, c’est-à-dire avant la fermeture de la centrale de Fessenheim. Cécile Duflot, aujourd’hui directrice d’Oxfam-France, fait donc perdurer son pouvoir de nuisance. Elle n’est certainement pas idiote et par conséquent elle doit savoir que les moulins à vent installés à grands frais sur le sol français doivent être obligatoirement adossés à des centrales électriques à gaz qui sont très facilement mises en fonctionnement et pilotables pour diminuer l’imprévisibilité de la production électrique par les moulins à vent. Nonobstant le fait qu’elle a encouragé sinon exigé l’installation de moulins à vent en France elle savait que cette opération induirait une émission de carbone inévitable pour ces raisons. Madame Duflot, comme d’ailleurs Hulot sont des personnes incapables de raisonner. Seule compte leur idéologie.
En ce qui concerne maintenant la centrale nucléaire de Fessenheim, EDF a certainement pris la précaution de ne rien toucher. Le combustible extrait de la cuve des réacteurs est toujours dans les piscines de désactivation et il suffira d’un ordre du prochain gouvernement pour remettre en fonctionnement cette usine surtout si l’Europe est plongée cet hiver dans un black-out prolongé. J’avoue que j’en suis arrivé au point de souhaiter qu’un tel événement survienne pour que les politiciens prennent conscience de leur incapacité à gouverner (et donc prévoir) et que les peuples découvrent qu’ils sont bernés par leurs dirigeants. Supposons que cet hiver 2021-2022 ressemble à ceux de 1956 ou de 1962 alors un black-out généralisé à toute l’Europe sera inévitable. Je suggère à mes lecteur de relire l’article de ce blog à ce sujet : https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/22/petite-histoire-pas-du-tout-fictive-un-black-out-generalise-en-europe-occidentale/ qui décrit les conséquences catastrophiques d’une telle situation, récit que je n’ai pas inventé puisqu’il provenait d’une étude très sérieuse de l’armée suisse.
Je voudrais rappeler à mes lecteurs que les conditions météorologiques des hivers 1956 et 1962 furent similaires : anticyclone sur toute l’Europe, sans vent ni soleil, températures en plaine inférieures à -20°C, circulation des trains et des tramways arrêtée car les aiguillages étaient bloqués par le froid, de nombreuses rivières prises par les glaces, arbres fruitiers dont les oliviers dans le sud de la France ou les abricotiers gelés, des dizaines de milliers de canalisations d’eau endommagées … Je ne voudrais pas être un corbeau de mauvaise augure (cf. l’article de Causeur) mais j’ai vécu ces deux hivers et je m’en souviens parfaitement.
Note. Les années 1950 et 1960 coïncident avec une faiblesse inter-cycle de l’activité solaire. Le présent cycle solaire #25 sera plus faible que le cycle #24 et il n’est pas inconcevable que les prochains hivers deviennent de plus en plus rigoureux.
Les Allemands veulent servir d’exemple pour les autres pays d’Europe dans leur course irraisonnée vers les énergies dites vertes. Le pouvoir politique, aidé en cela par les partis écologistes, a décidé de détruire le principal pilier de l’économie allemande en décrétant une reconversion rapide et totale des véhicules automobiles à moteur thermique en leurs homologues électriques. La première cible mise en place massivement a donc été les autobus urbains et sub-urbains, gros pollueurs avec leurs moteurs diesel. Malgré le fait que tous les chimistes et métallurgistes savent que le lithium est un métal hautement inflammable et malgré leur mise en garde en ce qui concerne les risques d’incendies impossibles à maîtriser des villes comme Stuttgart ou Francfort ont converti une grande partie de leur flotte d’autobus en véhicules « verts », comprenez électriques. En fin de service journalier les autobus rejoignent le dépôt pour le rechargement des batteries au lithium et ce qui était parfaitement prévisible est arrivé. À Stuttgart un incendie monstrueux a détruit une grande partie des autobus en cours de charge dans un dépôt. Les efforts des pompiers ont été totalement vains.
Force est de constater que les Allemands donnent l’exemple à ne pas suivre alors qu’ils sont persuadés du contraire. Depuis plus de deux mois la force des vents sur le territoire est insuffisante pour que les centaines de milliers de moulins à vent produisent une quelconque énergie électrique. Le gazoduc NordStream-2, bien qu’achevé, n’est toujours pas opérationnel car les procédures légales d’attribution des quotas de gaz à chacun des investisseurs partenaires du projet n’est pas encore clairement défini et la Commission européenne doit aussi donner son accord à cet arrangement économique entre les divers pays européens impliqués. Cette situation a revêtu un caractère mélodramatique !
Je ne voudrais pas avoir l’air de me répéter mais il eut été plus logique de remplacer ces autobus diesel en hybrides utilisant du gaz de pétrole liquéfié, la norme obligatoire au Japon, en Corée et à Singapour. Les Allemands ont voulu mieux faire pour leur image, stupidement suivis par les Français pour « dépolluer » les grandes villes. Et voilà le désastre annoncé.
Les Allemands ont compris à la suite de l’incendie de Stuttgart qu’il était dangereux d’entasser des dizaines d’autobus au même endroit pour la recharge nocturne des batteries. Ils n’ont toujours pas trouvé de solution alternative parce qu’il n’y en a pas ! Par conséquent l’autobus électrique doit être abandonné. Combien de dizaines de millions d’euros ont été investis en pure perte, ce seront les contribuables qui paieront la facture, comme d’habitude. Sous la pression constante des écologistes les gouvernements sont contraints de prendre des décisions stupides voire dangereuses. Décisions stupides en effet car les réserves économiquement accessibles de lithium sont limitées, qu’il s’agisse du Chili, de l’Afghanistan ou du Portugal et envisager d’électrifier tout un parc automobile est une vue de l’esprit. Il est urgent que les peuples prennent conscience de cet état de fait et exigent de ces décideurs politiques qu’ils reconnaissent leurs incompétences et leurs gestions inopérantes de leur pays car incapables de s’entourer de véritables experts connaissant leur métier et non caviardés par des idéologies destructrices. Mais ce n’est qu’un vœu pieux.
Je cite de mémoire une citation d’André Malraux « Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas ». Si ce n’est pas la vraie citation elle prête néanmoins à la réflexion. La religion relève du domaine personnel et privé. Par exemple quand j’observe des Japonais se prosterner devant une divinité dans un sanctuaire shinto au Japon, y compris ma belle-fille, j’ignore ce qu’ils pensent à cet instant précis, c’est leur problème. Quand j’étais enfant, à la messe du dimanche nous ne devions pas regarder l’hostie au cours de l’« élévation » bien signalée par des petits coups de clochette dispersés par les enfants de choeur. Il m’est naturellement arrivé de regarder ce spectacle et je n’ai jamais rien trouvé de surnaturel. Hormis la religion musulmane qui est une organisation politique de conquête par les armes comme cela est précisé dans les dernières sourates du Coran, les autres religions monothéistes relèvent de la sphère privée. Si Lénine a clamé que la religion était l’opium du peuple son idéologie totalitaire devait conduire à un remplacement de cet opium par l’idéologie communiste. Ce rêve de Lénine de « grand remplacement » niait la nature humaine et l’aspect privé et personnel de la religion. Vladimir Poutine l’a bien compris et a encouragé le retour en force de la religion chrétienne orthodoxe.
La question fondamentale qui apparaît dès que l’on réfléchit au sujet des religions est la vraie motivation qui conduit l’homme à s’embarrasser de ce fardeau conceptuel qu’est la religion. Pourquoi l’homme a inventé la religion et l’existence hypothétique d’un dieu, c’est là la question fondamentale. On peut formuler cette question différemment : pourquoi l’homme a-t-il besoin d’une référence divine dans sa vie de tous les jours ? Et comment ce besoin est-t-il apparu ? Il y a 20000 ans nos ancêtre chasseurs-cueilleurs avaient-ils des angoisses métaphysiques, certainement pas. Ils étaient effrayés par les orages, les éclipses du Soleil ou de la Lune, le passage d’une comète dans le ciel mais il leur fallut des millénaires pour envisager d’enterrer leurs morts, ce qui devint une sorte de rituel dès l’instant où ils se sédentarisèrent. Le fait d’enterrer les morts ne signifiait pas qu’ils devaient échapper aux charognards mais plutôt que la mort était un passage vers un monde inconnu d’où pourrait revenir le vieux chef de la tribu enseveli la veille. Voilà l’origine de toute religion : il existe un « au-delà » mystérieux. Marc-Aurèle disait dans ses mémoires que si les âmes de tous les défunts du passé flottaient dans l’air cet air serait irrespirable. Il avait « cru » aux multiples divinités de Rome puis il se convertit timidement à la religion chrétienne.
On en arrive donc à l’existence putative d’un dieu, la base de toute religion monothéiste. Bien qu’ayant été élevé dans la religion catholique lorsque je me suis plongé dans les études scientifiques j’ai naturellement remis en question l’existence de Dieu. Il faut avoir un cerveau aux capacités de raisonnement limitées pour considérer que le pari de Pascal constitue une preuve satisfaisante de l’existence de Dieu. C’est trop simple. Einstein s’émerveillait de l’harmonie des lois de la physique et il pensait sans se dissimuler qu’il y avait quelque chose de divin. Je veux bien mais toutes ces lois sont décrites par des équations mathématiques dont la complexité n’a rien de divin. Elles ont aussi servi à mettre au point l’arme terrifiante qu’est la bombe nucléaire. Pour l’aspect divin de la nature on est en droit de se poser quelques questions. Le problème sans solution pour un scientifique est donc l’existence même de Dieu. Par conséquent, courant le risque d’être déconsidéré par quelques-uns de mes lecteurs, je dirai ici que Dieu n’existe pas et qu’il s’agit d’un concept dont l’homme a besoin pour se rassurer, conscient qu’il est de sa condition de mortel. Les mouvements messianiques, les gesticulations des activistes prosélytes ne sont que le reflet de cette angoisse de la mort.
J’en arrive donc à la dernière réflexion dans ce billet. En dehors des musulmans qui considèrent que leur religion est aussi une idéologie politique conquérante, selon les dernières sourates du Coran, le monde moderne « ultra-connecté » a favorisé une transition fondamentale dans l’appréhension de la condition de mortel de l’homme. La pandémie de coronavirus l’a bien montré : la peur de la mort instillée par les décideurs politiques dans l’ensemble des populations a fait perdre à ces dernières tout repère religieux puisque la vie se résume maintenant à des histoires d’ARNs et de molécules chimiques, des protéines et de leurs récepteurs cellulaires. Le nouveau dieu est celui qui réussira à sauver le plus de vies, comprenez le lobby pharmaceutique. Et le cas du coronavirus est caricatural. Un virus, comme un papillon ou un être humain, est une créature divine et elle répand la mort !
Alors le débat est clos, mais pas complètement. Pour reprendre le mot de Malraux, puisque le coronavirus n’a pas vraiment convaincu il y a depuis plus de 30 ans la déesse Gaïa en péril. Et c’est devenu maintenant une véritable propagande quotidienne jusqu’à la nausée. Le nouveau dieu c’est Gaïa et la nouvelle religion est la protection du climat par tous les moyens. J.-M. Jancovici dans l’un de ses récents exposés de pure propagande prévoit que nous allons tous devoir souffrir pour sauver le climat. Ben voyons ! On se retrouve au douzième siècle avec la géniale invention par l’Eglise de Rome du purgatoire. On y est ! Pour ne pas griller trop longtemps dans cet antichambre de l’enfer l’Eglise de Rome il fallut institutionnaliser le purgatoire, ce qui fut fait au Concile de Lyon en 1274. Avant de mettre en place le système inique des indulgences les fidèles étaient invités à la repentance de leur vivant. Jancovici (lien) affirme qu’il faudra souffrir pour sauver Gaïa mais surtout pour ne pas être grillés comme des toasts par le réchauffement du climat dont nous sommes coupables de par notre consommation délirante. Tous les éléments sont réunis pour mettre en place cette nouvelle religion qu’envisageait Malraux. Cette nouvelle religion a fait des adeptes bien décidés à vaincre et convertir à leurs délires le maximum d’indécis mais aussi et surtout les nouveaux mécréants qui ne veulent pas modifier leur style de vie pour sauver le climat.
Cette nouvelle religion du climat affirme que l’homme peut modifier le cours naturel des choses. C’est une pure illusion. Jamais l’homme ne pourra modifier l’activité du Soleil, un astre longtemps considéré comme un dieu et les Egyptiens savaient que toute vie dépendait du Soleil comme François Jacob le disait si justement : « En fin de compte c’est le Soleil qui fournit son énergie à la plupart des êtres vivants ». Et ceci est valable pour le projet délirant de fusion ITER devant mimer l’activité du Soleil qui n’est qu’un rêve fou auquel je ne crois pas un seul instant. Les conciles d’autrefois ont été rétablis, il s’agit des « COP », la collecte des indulgences a été remplacée par la taxe carbone que tous doivent payer, riches comme pauvres, les processions pour faire venir la pluie sont maintenant des manifestations de rue pour le climat, la Vierge a été réincarnée en une petite suédoise un peu dérangée mentalement et l’Inquisition renaît avec la censure par les GAFAM de toute présentation contraire aux principes mêmes du changement du climat comme les critères ESG qui pénalisent une multitude d’investissements pourtant productifs et utiles pour l’économie. Cette nouvelle religion nous promet des souffrances, donc il faudra faire des sacrifices pour racheter notre âme, payer, toujours payer et payer encore comme les peuples d’Europe se sont soumis au pouvoir temporel de la papauté pendant des siècles. Cette nouvelle Eglise a abandonné son épicentre romain pour Genève, ville concentrant la plus forte densité d’organismes internationaux dont l’Organisation Météorologique Mondiale et sa filiale idéologique l’IPCC ainsi que le World Economic Forum, Genève la ville de Calvin, quelle ironie funeste …
Dans le province canadienne actuelle du Newfoundland des navigateurs européens appelés Vikings ou « Norse », littéralement « les hommes du nord », s’établirent jamais plus longtemps qu’une saison sur un site dit « l’Anse aux Meadows », l’Anse aux prairies. Des fouilles archéologiques ont été effectuées sur ce site qui était à l’époque une forêt de sapins, de thujas et de genévriers. Les conditions climatiques étaient telles qu’au cours des mois d’hiver il n’y avait pas ou très peu de chutes de neige. Ces explorations lointaines eurent lieu au cours de ce qui est connu aujourd’hui comme l’optimum climatique médiéval. Néanmoins le climat régnant à l’Anse aux Meadows à cette époque ne pouvait pas être considéré comme vraiment chaud, plutôt proche des Highlands d’Ecosse mais sans neige en hiver. Le port d’attache de ces explorateurs se trouvait au sud du Groenland, la Terre verte, bien que venant d’Islande après avoir traversé l’Atlantique nord depuis la Scandinavie. Les sagas islandaises décrivent en détail ces diverses explorations mais il n’existe aucune évidence dans ces sagas d’une quelconque date.
Or les techniques modernes d’analyse des cernes des arbres permettent de remonter dans le temps. Il s’agit de la dendrochronologie, une science faisant appel à la spectrographie de masse pour déterminer la teneur en carbone-14 des échantillons ligneux obtenus sur les sites archéologiques. Cette approche expérimentale requiert aujourd’hui d’infimes quantités de matériel et c’est ainsi qu’il est possible de quantifier la teneur en carbone-14 au niveau des cernes individuels. Sur le site de l’Anse aux Meadows un grand nombre d’artéfacts en bois travaillés dans le but de construire des abris à l’aide d’outils en fer dont disposaient les « hommes du nord » ont été soumis à une telle analyse. Dans l’ensemble du monde la dendrochronologie dispose de références extrêmement précises universellement utilisées pour dater les artéfacts archéologiques. Il s’agit dune abondance anormale de carbone-14 pour les années 775 et 993 de l’ère commune. Les cernes des arbres étudiés ont en effet révélé que pour ces deux années la teneur en carbone-14 était supérieure de 1,2 % à la valeur normale attendue. Si un cerne individuellement analysé présente une telle anomalie et que par ailleurs on connait par d’autres « proxys » à peu près à quelle époque l’échantillon d’arbre étudié fut coupé et utilisé, il suffit ensuite de compter les cernes en s’éloignant du cœur de l’arbre pour dater précisément l’âge de l’échantillon.
Ce qui fut fait pour le site canadien de l’Anse aux Meadows en analysant les cernes des branches d’arbre utilisées sur le site en s’éloignant du cœur du bois vers l’écorce. Tous les résultats convergent vers l’année 1021, en d’autres termes les arbres abattus par les « hommes du nord » pour construire des abris l’ont été en 1021, date du cerne le plus proche de l’écorce, c’est-à-dire le tissu appelé liber. Pour rappel en 5730 ans la moitié du carbone-14 disparaît et une surabondance de cet isotope de 1,2 % correspond à environ 100 ans de vie de l’isotope. Il n’y a donc pas d’ambiguïté possible dans la datation.
Certains des épisodes des sagas islandaises datent donc de 1000 ans lorsqu’elle relatent le dernier établissement des explorateurs dont il est fait mention dans ces sagas dites d’Erik le Rouge, le chef des « hommes du nord » établis au sud du Groenland. Il reste une explication à donner à ces teneurs anormales en carbone-14. La seule hypothèse plausible est une forte éruption solaire ayant donc eu lieu en l’an 993 ayant favorisé directement la formation de cet isotope ou indirectement en perturbant le champ magnétique terrestre qui ne peut alors plus dévier le rayonnement cosmique mais cependant de manière transitoire. L’hypothèse de l’explosion d’une supernova a été rejetée puisqu’aucun reste n’a été identifié, du moins pour l’instant.
Macron est un pervers narcissique sans aucune culture. Pour preuve il a lamentablement échoué à l’entrée de Normale Sup. Mes deux enfants aînés qui n’avaient pas poursuivi leurs études secondaires dans des établissements scolaires prestigieux (comme Macron) ont intégré Normale Sup. Ils avaient baigné dans un environnement familial qui avait pour mérite de leur ouvrir l’esprit. Il y avait toutes sortes de livres et des revues scientifiques à lire, Flaubert, Hugo, Montaigne, Braudel et aussi Levy-Strauss sans oublier un livre qui impressionna mon fils, « Le Hasard et la Nécessité » de Monod avec naturellement Pour la Science et La Recherche (je ne fais pas ici de publicité). La télévision était étroitement contrôlée, etc … Macron, épousé par une femme de près de 30 ans son aînée, a été modelé, façonné et promu par celle-ci comme Bernadette s’attacha à faire de son époux Jacques Chirac un président de la République. Mais il y a une différence abyssale entre Chirac et Macron. Chirac aimait la France, il aimait le peuple français, il connaissait ce peuple qu’il aimait côtoyer. Son épouse Bernadette pétrie de culture car issue d’une famille d’aristocrates respectueuse des tradition culturelles de la France insuffla cette tradition à son époux rencontré à Science Po.
Tout le contraire de Brigitte qui est une sorte de poupée bling-bling dont le seul projet a été de faire la promotion de son tout jeune époux. Elle en a fait un pervers narcissique qui ne croit qu’en lui et méprise tout son entourage. Les deux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme ont fait une peinture peu reluisante du personnage dans leur dernier ouvrage « Le traitre et le néant » (lien ci-dessous). Ils le qualifient de « séducteur qui se double d’un tueur sans affect ». Juan Branco a bien cerné l’essence même de la personnalité de Macron et comme Davet et Lhomme n’a pas mâché ses mots. Macron a trahi Hollande, il a trahi la France en cédant à des investisseurs étrangers les plus beaux fleurons industriels français. Il agit à la tête de l’Etat comme un banquier d’affaires spécialisé dans les fusions-acquisitions, ce qu’il a continué à faire après avoir quitté la banque Rothschild.
Vous voulez encore un petit coup de Macron ? S’il est réélu sa personnalité rassemble tous les éléments pour qu’il devienne un dictateur et il en a déjà revêtu le costume avec cette lamentable histoire de « pass » sanitaire dont la prolongation a été allègrement entérinée par une Assemblée Nationale aux ordres de l’Elysée. Les libertés individuelles ont été foulées avec délectation sous les pieds du Président ondulant des hanches comme Mickael Jackson (dixit Davet et Lhomme). Les organismes supposés faire respecter la Constitution par le gouvernement (Conseil Constitutionnel et Conseil d’Etat) sont maintenant sous contrôle, la justice n’est plus séparée du pouvoir politique et le parlement, représentant le peuple, n’a plus de pouvoir non plus puisque le gouvernement dirige le pays par décret sans passer ni par l’Assemblée ni par le Sénat. Donc la France est déjà une dictature et si vous voulez encore un petit coup de Macron, le fidèle élève de Klaus Schwab, vous serez servi mais vous aurez vite une gueule de bois dont vous ne pourrez jamais guérir …
Le NIH et le NIAID* et y compris la DARPA**, l’organisme de l’armée américaine en charge des recherches sur les armes biologiques ont financé les recherches sur les gains de fonction à partir du SARS-CoV-1, aussi appelé SRAS, et ceci dès le début des années 2010. L’objectif de ces travaux particulièrement risqués et donc confiés au laboratoire P4 de Wuhan en Chine et financés par les contribuables américains, avaient pour objectif de trouver un moyen pour modifier les informations génétiques du virus « natif » isolé de chauve-souris afin de le rendre hautement infectieux pour les hommes. L’animal de laboratoire utilisé pour ces travaux était la souris humanisée, c’est-à-dire présentant les récepteurs adéquats à la surface des cellules épithéliales pulmonaires, afin de sélectionner par des modifications génétiques successives le virus capable de se fixer avec une haute efficacité sur la protéine membranaire ACE2. La communauté scientifique américaine, considérant ces recherches comme dangereuses finança le laboratoire P4 de Wuhan pour terminer ces travaux.
L’un des premiers acquis des travaux effectués à Wuhan fut la démonstration au cours de l’année 2018 de la très forte affinité du virus modifié pour cette protéine membranaire ACE2 impliquée dans le mécanisme de régulation de la coagulation sanguine. Dans le même temps la séquence de nucléotide du matériel génétique du virus fut communiquée à quelques laboratoires pharmaceutiques nord-américains afin qu’ils mettent au point un thérapie génique basée sur un ORF*** bien spécifique du coronavirus, celui qui code pour la protéine de la spicule de ce dernier, protéine se fixant sur le récepteur ACE2. Toutes ces informations plutôt dérangeantes pour le Docteur Fauci et ses acolytes ont été révélées dans le cadre du Freedom Information Act dont en particulier le document DARPA-PREEMPT HR00111S0017 où il est précisé que l’armée américaine refusa d’effectuer de tels travaux sur le sol américain.
Cependant la DARPA consentit à financer le laboratoire de Wuhan afin de mettre la dernière main à l’élaboration du SARS-CoV-2, un virus chimérique hautement infectieux pour l’homme dont la « sortie » devait être programmée quand les laboratoires pharmaceutiques nord-américains seraient prêts pour la production massive de vaccins à ARN messager codant pour l’une des sous-unités de la protéine « spike ». Comment ce virus chimérique, résultat d’une collaboration sino-américaine, a-t-il été « libéré » dans la nature ? Il y a plusieurs réponses. Un erreur de contrôle des mesures de sécurité au sein du laboratoire P4 de Wuhan paraît invraisemblable : tous les personnels travaillant dans ce laboratoires savaient que ce virus était potentiellement très dangereux. Comme divers biologistes américains venaient périodiquement travailler dans ce laboratoire l’hypothèse la plus vraisemblable serait que l’un d’entre eux ait volontairement soustrait de ce laboratoire un tube scellé contenant la forme finale du virus qui avait par ailleurs montré sur les souris humanisées son pouvoir infectieux et de le faire sortir du laboratoire P4. Lorsque l’on a pénétré dans le bâtiment-réacteur d’une centrale nucléaire muni d’une combinaison spéciale et de bottes aux pieds, quand on ressort de cet endroit on subit un examen radiologique consistant à détecter si on émet des rayons gamma, c’est-à-dire si on a été contaminé. Dans un laboratoire du type de celui de Wuhan il n’existe aucune technologie de détection d’un échantillon biologique quand on quitte la zone contrôlée en passant dans un sas en dépression où on se défait de sa combinaison en sur-pression afin que la moindre particule solide soit aspirée vers un purificateur à ultra-violets intenses.
Donc quelqu’un est sorti de ce laboratoire avec la souche chimère du coronavirus hautement infectieuse. On ne saura jamais qui a commis ce crime mais je pencherais pour un visiteur américain car les laboratoires pharmaceutiques nord-américains étaient presque prêts à affronter une épidémie. Une petite contamination dans la ville même de Wuhan et le tour était joué, les Américains se lavaient de leur méfait pour ensuite accuser les Chinois. Ce qui est le plus suspect dans cette histoire qui frise le sordide réside dans le fait que les Américains ont délibérément confié les travaux de gain de fonction à ce laboratoire P4 de Wuhan en le finançant généreusement dans ce but, ce que le NIH a finalement reconnu. Une manœuvre politique vraiment vicieuse pour accuser ensuite la Chine ? Un projet délibéré pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques nord-américains qui étaient prêts à affronter l’épidémie avec leur pseudo-vaccin ? Une tentative pour Gilead d’écouler son Remdesivir ? L’Union européenne a dépensé en pure perte un milliard d’euros pour ce produit qui s’est révélé inefficace, toxique pour les reins et mutagène pour le virus.
Ce qui a le plus contrarié les Américains dans leur plan machiavélique (d’une éventuelle extermination du peuple chinois) est tout simplement que les Chinois savaient que l’hydroxychloroquine était utile pour combattre efficacement la maladie dès l’apparition des premiers symptômes de type grippal associée ou non à un antibiotique de type macrolide. De plus le virus présent à Wuhan fut immédiatement cultivé à grande échelle sur des cellules Vero afin de préparer un vaccin de type traditionnel. Le souci est que les Américains, du haut de leur superbe impérialiste, considèrent les Chinois comme un peuple de seconde zone comme ils considèrent les nègres de leur pays à peine différents d’un animal. J’ai bien écrit « nègres » à dessein car n’importe où aux USA les blancs parlent de « Blacks » ou de « Nigers ». Le système politique américain est, il est vrai, adossé à un système racial depuis sa naissance et les Chinois ne sont que des « Chinooks » pour les Américains WASP.
Les travaux de gain de fonction ont abouti à un virus qui provoque une maladie de la coagulation sanguine diagnostiquée par des thromboses, qui fait apparaître des anticorps « croisant » avec la syncytine-1, c’est-à-dire reconnaissent cette protéine essentielle pour l’implantation du placenta dans l’utérus ainsi que pour l’équilibre de la membrane basale du derme et le bon fonctionnement des gonades. Voilà un fait qui réjouit déjà Bill Gates, lui qui veut que la population mondiale diminue. Devant ces évidences scientifiques il sera intéressant de suivre l’évolution des naissances dans tous les pays qui ont été massivement affectés par le SARS-CoV-2 dans les prochaines années, d’autant que les gouvernements préconisent des injections de rappel. Cette pandémie coronavirale est donc bien un complot organisé par les USA dont ils font porter aux Chinois la responsabilité. Dans le genre machiavélique on ne pouvait pas imaginer mieux.
Source et illustration : ZeroHedge
*NIAID = National Institute of Allergy and Infectious Diseases
**DARPA = Defence Advance Research Projects Agency
***ORF = Open Reading Frame, c’est-à-dire un gène lisible codant pour une protéine et WASP = White Anglo-Saxon Protestant. Note. L’effet de l’Ivermectine sur le coronavirus a été découvert au cours du printemps 2020. Sa prescription, comme celle de l’HCQ, a été interdite à la demande des laboratoires pharmaceutiques, ou de Bill Gates, qui sait.