Autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins Covid-19 : l’ignorance c’est le bonheur (Article de Meryl Nass, médecin américaine, paru sur son site Anthrax-Vaccine)
Si vous êtes un fonctionnaire de la FDA chargé d’approuver un vaccin SARS-CoV-2, l’ignorance est un bonheur. La FDA est invitée à approuver les vaccins qui seront injectés à plusieurs centaines de millions de personnes, tous utilisant des nouvelles méthodes qui n’ont jamais été approuvées pour l’usage humain. Cela les expose à de grands risques de prendre la mauvaise décision.
Cependant, les avocats qui ont rédigé la législation sur l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA, emergency use approval) ont compris la bureaucratie de la FDA et son aversion pour le risque. Ils ont probablement aussi travaillé ou consulté pour l’industrie des vaccins contre la pandémie.
Ils ont donc proposé une norme qui impose pratiquement la collecte la plus minimale d’informations issues des essais cliniques de produits demandant une autorisation pour une utilisation d’urgence. Au lieu d’exiger des informations spécifiques, la norme dit simplement que pour recevoir une EUA, lesavantages connus et potentiels d’un produit doivent l’emporter sur ses risques connus et potentiels.Ainsi, plus son promoteur est au courant des effets indésirables, plus le vaccin risque d’avoir de la difficulté à être approuvé. Mieux vaut que les effets indésirables soient aussi inconnus que possible.
Cette norme explique également ce qui pourrait être considéré comme des bizarreries dans la conception des essais : par exemple, pourquoi les promoteurs / développeurs de vaccins n’ont pas collecté de données pour savoir si les vaccins empêchaient la transmission de la maladie. Les promoteurs de vaccins n’étaient pas non plus tenus de présenter des données statistiquement significatives sur la prévention des hospitalisations (maladies graves) et des décès.
Fondamentalement, la FDA a reçu le feu vert statutaire pour approuver tout ce qu’elle voulait approuver, avec un minimum de données réelles. C’est ainsi que l’opération Warp Speed pourrait même être conçue.
Le plus important, du point de vue de la FDA, a donné une couverture à l’agence. On ne demande pas à la FDA d’agir en tant que régulateur. Tout ce qu’il faut pouvoir dire, c’est que le potentiel de bénéfice dépasse les risques potentiels, et tant qu’on en sait peu sur les vaccins, ils peuvent dire que leur approbation était basée sur les meilleures preuves disponibles à l’époque. C’est bien sûr une autre raison de la rapidité: les vaccins doivent être approuvés avant que des données significatives sur l’innocuité et l’efficacité ne s’accumulent qui pourraient leur nuire.
Le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, et le directeur du CBER (Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA), Peter Marks, se sont mis sur la pointe des pieds et ont dissimulé cela …
En 2015, funeste année de la fameuse COP21, j’avais contacté la mathématicienne Valentina Zharkova et nous nous étions souhaité longue vie pour pouvoir assister, donc de notre vivant, au refroidissement du climat prédit par ses travaux sur la modélisation de la « dynamo » solaire. J’avais également eu des échanges de mails avec Henrik Svensmark pour obtenir quelques précisions au sujet de sa position relative aux travaux de Madame Zharkova. Svensmark a disparu de la scène scientifique, renié par les tenants du réchauffement climatique qui lui ont tari tous les financements qui auraient pu l’aider à préciser ses hypothèses sur l’action conjuguée de l’affaiblissement de l’activité magnétique solaire sur le flux du rayonnement cosmique galactique et de la modification concomitante du climat de la Terre. Madame Zharkova a de son côté été attaquée par ceux qui mangent à la soupe de l’IPCC, comprenez les climatologues auto-proclamés dont les travaux sont présentés de telle manière qu’ils confirment le dogme du réchauffement du climat et de l’effet de serre du gaz carbonique. J’ai enfin été surpris il y a quelques jours en écoutant une conférence d’Étienne Klein de constater que ce physicien est un fervent partisan du réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine. A-t-il renié en bloc les lois de Stefan-Boltzmann ? J’avoue que j’ai quelque peine à le croire. Mais sa position est compréhensible : si un physicien nie aujourd’hui que l’homme peut avoir un quelconque effet sur le climat de la Terre il est menacé par la vindicte populaire, en d’autres temps il aurait été condamné au bûcher comme le fut Giordano Bruno en son temps.
Il s’agit bien de la même situation car l’histoire se reproduit étrangement. Svensmark a été condamné par les tenants du dogme climatique, Bruno a été brûlé par l’Eglise de Rome car ses thèses contredisaient le dogme de la Terre centre du monde. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Malgré les affirmations mensongères de quelques journalistes qui prétendent que les feux de taillis de Californie et ceux de la toundra du nord sibérien sont la conséquence directe du réchauffement du climat il y a néanmoins des observations satellitaires qui ne peuvent pas être contredites. Celles-ci indiquent que depuis 20 ans le réchauffement du climat observé au cours des années 1970-2000 a cessé. Il s’agit du fameux hiatus déploré à demi-mot par les « spécialistes » de l’IPCC. Ces grands rédacteurs d’épais dossiers destinés aux décideurs politiques n’ont pas trouvé de nouveau modèle pour expliquer cet arrêt brutal du réchauffement du climat afin qu’ils s’en sortent la tête haute. Il ne leur reste plus qu’à « trafiquer » les données des diverses organisations météorologiques, utilisant le terme pompeux et vide de sens de normalisation de ces données, un peu comme le ministère des finances français « trafique » les données du chômage en fonction des variations saisonnières …
Pire encore d’autres observations satellitaires suivent par exemple l’évolution de la banquise arctique. Celle-ci a recommencé à prendre de l’ampleur : oublié le passage du nord-ouest ! Mais la confirmation de ce hiatus vient de l’évaluation de la couverture neigeuse de l’hémisphère nord toujours à l’aide de satellites d’observation et là il n’y a pas photo, pour utiliser une expression tout à fait appropriée. Depuis 20 ans la couverture neigeuse boréale augmente chaque hiver et cette tendance s’est considérablement accentuée ces 10 dernières années. La représentation graphique réalisée par le Global Snow Lab (GSL) de l’université Rutgers constitue les premières prémices du changement du climat vers un refroidissement :
Pour exprimer la variation de l’étendue de cette couverture neigeuse les scientifiques du GSL ont comparé les données à la moyenne couvrant la période janvier 1981-décembre 2010. S’il me reste encore quelques années à vivre je deviendrai alors de plus en plus attentif à l’attitude des pseudo-climatologues de l’IPCC mais aussi et surtout à celle des politiciens qui fondent toute leur politique économique sur des énergies ne produisant pas de gaz carbonique puisque ce gaz est supposé réchauffer le climat. Il faudra malheureusement au moins une décennie pour que l’ensemble des peuples malmenés par ces idéologues de salon se rendent compte concrètement qu’ils ont été floués et appauvris sans raison en raison de ce dogme du réchauffement du climat, un climat qui continuera à suivre les tendances naturelles de l’activité solaire.
Le Professeur Paul Trouillas, chirurgien neurologue, est l’une des plus grandes sommités du microcosme médical lyonnais. D’abord intéressé par les tumeurs cérébrales et leur traitement chirurgical, un geste hautement risqué, il oriente ses travaux vers une forme d’ataxie d’origine génétique, la maladie de Friedreich, dont la cause première est une mutation sur le gène codant pour une petite protéine régulant le métabolisme du fer dans la mitochondrie. Praticien hospitalier Paul Trouillas s’intéresse ensuite aux accidents vasculaires cérébraux et il met au point à Lyon un traitement d’urgence par thrombolyse qui sera très rapidement une référence mondiale. Le Professeur Trouillas est toujours actif bien que retraité et il a consenti à une interview auprès du journal France-Soir que je vous conseille vivement de regarder ou écouter. Les propos du Professeur Trouillas éclairent chaque citoyen sur la totale incurie et les incohérences répétées du gouvernement français au sujet de la prise en charge de l’épidémie de SARS-CoV-2. Selon le Professeur Trouillas près de 18000 morts auraient pu être éviter sans oublier les traitements au Rivotril de nos « vieux » qui, selon lui ressemblent à des euthanasies massives et délibérées. À regarder ou écouter absolument !
Ici, en Espagne, comme dans la majorité des pays développés les administrations ont été « informatisées » paraît-il pour améliorer leur efficacité et leurs rapports avec les citoyens moyens dont je fais partie. On aurait pu aussi s’attendre à voir le nombre de fonctionnaires se réduire au fil des départs à la retraite puisque tous ces employés de l’Etat n’étaient soudainement plus obligés de mouiller leur index pour lire les liasses de pages manuscrites ou dactylographiées dans le meilleur des cas. Avez-vous remarqué récemment dans une administration quelconque la petite éponge qui servait à se mouiller le doigt ? Non parce qu’il n’est pas nécessaire d’avoir les doigts humides pour pianoter sur un clavier d’ordinateur. Il y a quelques années j’ai essuyé un différend avec l’administration fiscale locale qui me réclamait des arriérés d’impôts sur le revenu, revenu constitué de ma modeste retraite en provenance de l’Etat français. Ce qui plongeait dans un abime de perplexité ces valeureuses employées de la province des Canaries, il y a beaucoup plus de femmes que d’hommes dans cette administration, était que ma retraite complémentaire provenait d’un organisme dont elles ignoraient l’existence.
C’est normal puisque l’administration française est tout aussi compliquée que son homologue espagnole. Tant en deçà qu’au delà des Pyrénées, selon l’endroit où on se trouve, il existe des milliers d’organismes créés pour la bonne cause, c’est-à-dire pour pourrir la vie quotidienne des citoyens. Ma caisse de retraite complémentaire, retraite constituée à titre onéreux, dépend de l’Etat. Elle est une émanation de la Caisse des dépôts et consignations. C’est donc bien un organisme étatique contrairement à Axa, Generali ou ici en Espagne Mafre et bien d’autres organismes privés. Or le code des impôts espagnol stipule qu’une retraite complémentaire provenant d’un organisme privé est imposable dès le premier centime alors que si cette retraite a été constituée auprès d’un organisme de l’Etat, français pour un expatrié comme votre serviteur, elle n’est pas imposable.
J’ai fait à nouveau une visite touristique auprès de l’hôtel des impôts de Tenerife ce mercredi puisque, apparemment, les documents que j’avais dûment fourni il y a déjà 3 ans à cette même administration ne figuraient plus dans mon dossier. Et c’est là qu’intervient l’informatisation de cette administration : un document papier disparaît car il n’y a plus d’archivage autre que ce qui figure dans le serveur de la dite administration. Les documents que j’avais fourni auparavant ont été égarés, m’a-t-on dit. Il m’est apparu que ce type d’administration ne connait pas les scanners qui justement sont faits pour archiver sous forme de zéros et de uns les documents papier. Mes chers lecteurs, si vous avez un problème avec l’administration commencez par scanner vos documents, mémorisez-les sur une clé USB et dites à votre interlocuteur de transférer ces documents directement dans votre dossier administratif informatisé. Ainsi vous ne risquerez pas de vous heurter au mur du mutisme contre le quel j’ai moi-même buté car un fonctionnaire ne reconnaîtra jamais ses erreurs.
Passons à l’informatisation dans les banques et là c’est presque hallucinant. Je suis allé un jour de pluie, pour ne pas attendre des heures pour être reçu par l’une des rares personnes encore présentes dans une banque pour faire une transaction modeste. J’arrive donc débonnaire et je pose la question rituelle : « do you speak english ? ». La réponse étant négative je rassemble le peu d’espagnol que je possède pour formuler ma demande d’achat d’une devise étrangère. Je donne ma carte d’identification nationale. Ici en Espagne un numéro comprenant 7 chiffres et deux lettres suffit à n’importe quel voyagiste, banquier, agent de la santé publique, employé d’une quelconque administration de vous identifier instantanément, c’est le progrès. J’indique à mon interlocuteur assis devant une petite table sur laquelle est posé un petit ordinateur portable que je désire acheter tel montant de devises de tel pays. Il me demande si j’ai l’ « appli » installée sur mon iPhone. Je ne comprends pas quel est le sens de sa question et je réponds que non mais que je me connecte à la banque avec mon ordinateur chez moi. Je passe donc la commande pour des devises étrangères et je rentre chez moi. Je reçois sur mon téléphone un message de ma banque qui m’indique la marche à suivre pour valider ma commande et que je ne peux effectuer cette opération que sur mon téléphone portable.
Je commence à transpirer car j’ai horreur d’utiliser mon iPhone, c’est petit, je n’y vois rien et composer un mot de passe avec ce tout petit clavier représente pour moi un véritable supplice bien que mes doigts ne soient pas particulièrement d’une taille démesurée. Il faut que je retrouve sur mon petit carnet jaune tous les identifiants et tous les mots de passe pour tenter d’effectuer cette opération. Je dois entrer le mot de passe de mon adresse mail puis le mot de passe pour avoir accès au serveur AppleStore. Je ne sais pas pour quelle raison j’ai choisi des mots de passe compliqués toujours est-il que ma vie se trouve soudainement très compliquée. Après deux tentatives infructueuses j’abandonne mon téléphone à sa solitude et je déciderai plus tard de retourner à la banque avec mon téléphone portable et mon petit carnet jaune. Je demanderai alors à l’employé de tout faire pour moi, je suis probablement trop vieux (ou trop fainéant) pour m’adapter aux nouvelles technologies.
Dans quelques mois il n’y aura même plus de billets de banque ni de cartes de crédit, on paiera tout avec son téléphone portable, les fournisseurs d’accès à internet se feront un « pognon de dingue » et, cerise sur le gâteau, les gouvernements sauront tout de nous, quels achats nous aurons effectué et où et à quelle heure ces derniers auront été payés puisque les compagnies qui gèrent les téléphones portables seront asservies par les politiciens, c’est d’ailleurs déjà le cas puisque ces mêmes entreprises font la pluie et le beau temps pour que le bas peuple élise leur candidat, comme ce fut le cas en France en 2017, mais je m’égare …
La transition énergétique « propre » de l’Union européenne « laisse de côté un certain nombre de technologies éprouvées » dans une approche qui est « plus une économie politique qu’une économie de marché », a déclaré cette semaine un analyste du cabinet S&P Global Ratings Infrastructure and Utilities. (Les brefs commentaires et ajouts de mon cru figurent entre parenthèses et en caractères italiques).
S’adressant aux journalistes le 16 novembre 2020, avant la conférence annuelle de l’agence de notation sur les infrastructures et les services publics, Pierre Georges, directeur principal de EMEA Utilities (producteurs d’électricité de la zone Europe-Moyen-Orient-Afrique), a déclaré que la part de la capacité nucléaire dans le mix énergétique du bloc européen devrait baisser de 32 GW d’ici 2030 par rapport à son niveau de 2018. Il s’agit du chiffre net de S&P pour l’UE et le Royaume-Uni, (qui comprend la mise en service de la centrale nucléaire de Mochovce en Slovaquie sur cette période (2020)). L’Allemagne, l’Espagne et la Belgique – qui ont toutes des plans de sortie du nucléaire – représentaient respectivement 9,5 GW, 7,1 GW et 5,8 GW de capacité nucléaire à la fin 2018. Le chiffre de 32 GW est une baisse de capacité légèrement plus rapide que celle projetée dans le scénario le plus bas du rapport sur le combustible nucléaire de l’Association nucléaire mondiale.
Interrogé sur l’avenir de la nouvelle construction nucléaire en Europe, Pierre Georges a déclaré : « Mis à part les développements des nouvelles technologies, des points d’interrogation planent sur les perspectives du secteur nucléaire en Europe datant d’avant la pandémie et celles-ci persistent ». Le parc de réacteurs vieillissant à travers l’Europe atteint sa 40e année dans de nombreux pays, a-t-il déclaré, et le démantèlement de ces centrales est « inévitable ». Les nouveaux projets de construction au Royaume-Uni, en Hongrie et en Pologne ne mettront pas de nouvelles capacités en ligne avant 2030, a-t-il ajouté (hors EPRs d’Olkiluoto et de Flamanville).
Le manque de nouvelles unités va au-delà de la question de l’acceptation publique du nucléaire, a-t-il dit, et des problèmes de la chaîne d’approvisionnement (et de la gestion des déchets). Le savoir-faire et l’expertise disparaissent lentement mais sûrement, il faut donc vraiment relancer une nouvelle industrie pour y arriver dans les décennies à venir. Les perspectives pour les petits réacteurs modulaires pourraient être meilleures que pour les usines à grande échelle, a-t-il dit, et celles-ci pourraient éventuellement faire partie du secteur de la production d’hydrogène.
Choix technologiques
La croissance des énergies renouvelables n’a pas été affectée par la pandémie en raison d’un renforcement des signaux politiques nationaux et européens, a-t-il déclaré. Les moteurs politiques de cette année comprennent le fonds de relance de 750 milliards d’euros de la Commission européenne. L’objectif de l’UE est une réduction de 55% ou plus des émissions d’ici 2030 et de la neutralité carbone d’ici 2050, en matière d’hydrogène vert capacité d’électrolyse de 6 GW d’ici 2024 et de 40 GW d’ici 2030 (à l’évidence cela relève du rêve 6GW = 7 réacteurs nucléaires type Fessenheim), l’Allemagne portant ses objectifs éoliens offshore à 20 GW d’ici 2030 et 40 GW d’ici 2040, et le Royaume-Uni (qui ne fait plus partie de l’Union européenne) augmentant son objectif éolien offshore en 2030 de 30 GW à 40 GW. Mais les ambitions gouvernementales pour le « net zéro » se déroulent dans un environnement macro-économique « fragile », a-t-il dit, et de nouveaux modèles d’investissement devront être définis.
Il y a la question autour du « bon choix » de technologie, a-t-il dit, car « une technologie appliquée trop rapidement peut être dangereuse voire mortelle, mais aller trop lentement ne nous permettra pas d’atteindre les objectifs zéro carbone ». (Pierre Georges n’a pas précisé ce qu’était dans son esprit une technologie mortelle : mortelle en terme de vie humaine ou mortelle pour l’économie ?) « La transition énergétique de l’UE laisse de côté un certain nombre de technologies éprouvées par le passé, ce qui impliquera une adaptation plus drastique. C’est le cas des acteurs des énergies fossiles – charbon, pétrole et gaz – et dans une certaine mesure l’industrie nucléaire ». Il a été demandé à Pierre Georges s’il y avait un décalage entre les projections de l’Agence internationale de l’énergie (IEA) et d’autres organisations selon lesquelles le nucléaire doit être inclus dans la transition énergétique propre si le monde veut atteindre les objectifs de réduction des émissions de carbone, et le fait que la taxonomie de l’UE sur la finance durable néglige le rôle de l’énergie nucléaire. Il a déclaré à ce sujet : « Le nucléaire est bien sûr une technologie proche du zéro carbone qui pourrait avoir un rôle à jouer. Les questions qui se posent aujourd’hui sont qu’il faut trouver le bon modèle [de financement]. La France, qui est le pays le plus exposé lorsque il s’agit du nucléaire retarde toute réponse sur le « nouveau » nucléaire jusqu’au prochain mandat présidentiel et vous pouvez voir que c’est un sujet hautement sensible politiquement. Mais c’est aussi très rationnel, étant donné l’incapacité jusqu’à présent à achever les projets existants, que ce soit avec Olkiluoto-3 en Finlande ou Flamanville en France. Regardez ces deux projets et posez-vous la question suivante : pouvons-nous effectivement construire un nouveau cycle d’investissement pour le nucléaire alors qu’il est tout à fait évident qu’il existe aujourd’hui des faiblesses techniques et d’expertise dans l’industrie ? » (Les deux EPRs du site chinois de Taishan dont la construction a commencé en 2009 ont été connectés au réseau respectivement en 2018 et 2019, ce détail n’a pas échappé à Pierre Georges qui en a conclu qu’il n’y avait plus d’expertise dans ce domaine industriel en Europe. Les prochaines unités construites en Europe le seront par la Chine ou la Russie). Les prévisions de l’IEA ont une vision globale et prennent ainsi en compte les chaînes d’approvisionnement nucléaire en Russie et en Chine, où les pipelines d’investissement sont plus certains et l’expertise dans le nucléaire « ne s’est jamais éteinte ».
La voie vers une économie nette zéro carbone présente aux services publics un certain nombre de défis technologiques dans la mesure où le secteur de l’électricité est « encore en phase de R&D pour que la décarbonisation se produise », a-t-il déclaré. Ces défis incluent le développement de technologies de production de l’hydrogène et de capture du carbone et l’intégration de la numérisation (difficile de comprendre de quoi il s’agit, les « smart-grids » peut-être, encore une vue de l’esprit : on ne pilote pas la consommation électrique d’un logement comme on pilote la consommation d’un pays tout entier). Un autre défi, non seulement dans le secteur des producteurs d’électricité mais aussi dans le pétrole et le gaz, est d’adopter une approche stratégique de la gouvernance environnementale, sociale et d’entreprise en ligne avec la transition vers l’énergie propre. Un autre défi consiste à déplacer l’accent mis dans la réglementation des préoccupations sur le maintien des industries très grosses consommatrices d’électricité et donc à l’incitation des opérateurs de réseau et des développeurs d’infrastructures à faire les investissements nécessaires. (De ce fait il est prévisible que dans quelques années seulement il n’y aura plus de sidérurgie ni de production d’aluminium en Europe et l’industrie chimique sera gravement pénalisée).
La vie après COVID
La voie de la reprise après la pandémie de coronavirus « reste cahotique » mais le rebond des économies dans les États membres de l’UE après la première vague de verrouillage a été plus fort que prévu, a déclaré Georges. Selon S&P, le PIB de la zone euro dans son ensemble a baissé cette année de 7,4% par rapport à son niveau de 2019, mais devrait augmenter de 6,1% en 2021. À titre de comparaison, les variations des PIB des États-Unis et de la Chine ont été respectivement, -4% et + 2,1% cette année et devraient augmenter de 3,9% et 6,9% l’an prochain (Ah bon ! chacun ses prévisions mais je serais beaucoup plus pessimiste. Exemple : le Japon n’a jamais confiné le pays et l’activité économique et industrielle n’a pas cessé comme c’est encore le cas dans certains pays européens. Pourtant l’économie japonaise s’est contracté de 5 % sur les 9 premiers mois de 2020 simplement en raison du ralentissement de l’économie de ses pays clients, c’est-à-dire des facteurs extérieurs au Japon). « La situation favorable est susceptible de perdurer et, de plus, le monde financier fait également pression pour une économie plus verte visant à construire un portefeuille de prêts dans le développement durable et l’innovation verte. Les investisseurs qui s’intéressent à l’Europe intègrent de plus en plus les facteurs énergétiques dans leur analyse et leurs choix d’investissement », a-t-il déclaré. « Cela change progressivement les stratégies des entreprises qui y intègrent de plus en plus le cadre énergétique ».
Sur ce que la pandémie COVID-19 signifie pour la transition énergétique, Georges a déclaré que les infrastructures énergétiques entrent dans une décennie d ‘« investissement de super-cycle ». « C’est formidable, mais qu’arrive-t-il à la chaîne d’approvisionnement et à la clientèle, qui ne bénéficient pas de la même manière dans leur cœur de métier, et sont peut-être un peu démunis pour faire face à cette croissance ? Le secteur des services publics aura toujours un bilan assez serré et Il faudra trouver un équilibre avec les opportunités d’investissement élevées. C’est vraiment ce dont nous aurons besoin pour saisir pleinement les prochaines mises à jour de la stratégie découlant du secteur de l’énergie pour nous assurer que cette combinaison de croissance élevée et de bilans contraints puisse fonctionner ensemble ». La nouvelle situation créée par la pandémie a conduit à des « messages contrastés » sur les infrastructures, a-t-il déclaré. « Nous voyons d’un côté que le COVID-19 affecte certains secteurs du monde des infrastructures, comme les aéroports et les transports en général. D’un autre côté, les considérations environnementales, la lutte contre le changement climatique et l’assouplissement des restrictions budgétaires donnent un énorme coup de pouce aux besoins en infrastructures, ouvrant la voie à une décennie de super-cycle d’investissement à partir des infrastructures vertes à une époque de coût du capital historiquement bas ».
S&P prévoit que les investissements dans les énergies renouvelables « augmenteront massivement » dans le monde et qu’il y aura « quatre fois plus de solaire, trois fois plus d’éolien terrestre et trois fois plus d’éolien offshore » d’ici 2030. Dans l’UE et au Royaume-Uni, cela va provoquer un changement de paradigme, a déclaré Georges, avec une capacité installée d’énergie renouvelable augmentant de 50% d’ici 2025 par rapport aux niveaux de 2018. « Nous pensons que les réseaux électriques se développeront le plus pour connecter et intégrer les énergies renouvelables, tandis que les réseaux de gaz ont plus d’incertitudes dans une économie décarbonée, et nous voyons leurs perspectives à long terme dépendant de la montée en puissance de l’hydrogène. L’intégration de la numérisation nécessitera une mise à niveau de l’infrastructure de base existante, ce qui nécessitera des investissements massifs », a-t-il déclaré.
« Les défis incluent le fait que cette transition énergétique est une économie politique par opposition à l’économie de marché que nous connaissons bien. Elle découlera de l’efficacité énergétique ainsi que de la décarbonisation et de l’électrification de l’économie. Ces défis seront coûteux et nécessiteront un consensus de la part de tous les gouvernements ». (Quand on sait que les gouvernements et les entreprises rémunèrent les agence de notation et d’analyses pour qu’elles leur présentent de telles divagations on ne peut qu’être figé d’effroi. Première question : comment les pays européens produiront-ils massivement de l’hydrogène, 6 GW d’ici 2024 et 40 GW d’ici 2030, 40 GW représentant 22 fois la capacité de la totalité de la centrale nucléaire de Fessenheim, 2 réacteurs de 0,9 Gwe, maintenant fermée et destinée à la ferraille. J’ignore quelles sont les qualifications du staff de S&P mais il est évident que cette institution a viré vers l’écolo-gauchisme pur et dur pour oser déclarer un tel tissu d’inepties).
L’organisation météorologique mondiale (WMO, OMM pour les francophones), un organisme onusien dont le siège se trouve à Genève, s’est fendue d’un communiqué de presse mis en ligne ce 23 novembre pour signaler à ceux qui y croient encore que le confinement de la moitié de la population (pour ceux qui croient aussi à ce chiffre) a réduit le taux de CO2 de l’atmosphère de 0,08 ppm au moins à 0,23 ppm au plus. C’est plutôt décevant et l’OMM reconnaît honnêtement que cette variation n’est pas discernable de la variabilité naturelle de cette teneur en CO2. C’est écrit dans ce rapport (lien en fin de billet).
Obligée du fait de la proximité géographique de l’IPCC de faire une petite propagande l’OMM a rappelé que tout de même cette teneur en CO2, l’horrible gaz à effet de serre qui va tuer le climat et par voie de conséquence l’humanité toute entière, n’avait pas été observée depuis au moins 3 millions d’années, et d’ajouter qu’à cette époque le niveau des océans était de 20 mètres plus élevé et la température de 2 à 3 degrés plus élevée qu’aujourd’hui. La belle affaire ! Les auteurs de ce communiqué auraient pu ajouter qu’il y a 12000 ans le niveau des océans était de 18 mètres inférieur à celui d’aujourd’hui, au moins les lecteurs auraient été vraiment affolés. Pour faire bien croire que la situation est des plus critiques figure aussi dans ce communiqué une revue de détail de tous les gaz à effet de serre et de leur augmentation inexorable depuis qu’ils sont mesurés, oubliant au passage de mentionner que certains d’entre eux ne sont présents qu’à des taux de l’ordre de fractions de parties par milliard en volume … sans commentaire.
Dans ce communiqué figure également un graphique décrivant la variation de la vitesse d’accroissement du taux de CO2 atmosphérique :
La pente moyenne de ce graphique est de 0,13 ppm par an, certes, mais ce qui peut être troublant est le fait que certaines années il y a des variations supérieures à 1,5 ppm. Toutes ces variations sont le fait et uniquement le fait des oscillations des courants de l’Océan Pacifique (ENSO) qui se traduisent pas le phénomène El Nino-La Nina. J’ai superposé cette figure avec les phénomènes El Nino (lien) pour bien montrer que c’est une réalité que plus personne ne conteste. Cette observation indique également de manière incontestable que la teneur atmosphérique en CO2 est étroitement liée à la température de la zone intertropicale de l’Océan Pacifique dont la surface représente 32 % de la surface de la Terre et 46 % de la surface totale océanique.
Par conséquent cette teneur en CO2 dépend donc du dégazage de l’océan à quelques ppm près sans latence. Alors où est passée cette diminution du CO2 due au ralentissement de l’économie mondiale provoquée par le SARS-CoV-2, tant attendue sinon souhaitée par les esprits mal tournés ? Je conclurai, parce j’ai aussi l’esprit mal tourné, que l’augmentation de la teneur en CO2 est également un phénomène naturel, pourquoi pas une conséquence, 1000 ans plus tard, de l’optimum climatique médiéval puisqu’il faut 1000 ans pour que de l’eau provenant de l’Atlantique nord atteigne la zone inter-tropicale du Pacifique et vice-versa ? C’est une question que je me pose et que je pose également aux climatologues professionnels dont je ne fais pas partie, mais je m’égare peut-être …
L’Allemagne a commencé à installer des éoliennes il y a une vingtaine d’années. Certaines d’entre elles sont maintenant en fin de vie, endommagées, et doivent être démantelées. Oublions les énormes blocs de béton armé dont personne n’a encore imaginé une stratégie pour les éliminer. Ce qui est le plus préoccupant est le devenir des pales de ces moulins à vent constituées de fibre de verre renforcée avec des fibres de carbone, le tout lié par des résines de synthèse qui ne peuvent pas être brûlées car elles dégagent des dioxines … tout pour plaire ! Actuellement ces pales sont déchiquetées et mélangées avec du béton pour en faire du « béton fibré » mais ce processus est très coûteux en énergie : il faudrait encore plus d’éoliennes pour alimenter en énergie les déchiqueteurs si l’Allemagne veut respecter ses engagements de décarbonation de son économie.
Les pales des éoliennes ont été donc classées parmi les déchets dangereux puisque le hachage génère des poussières dangereuses contenant des fibres de carbone. Il ne reste donc plus que l’enfouissement pour se débarrasser de ces encombrants résidus de la lubie écologiste de l’électricité renouvelable, verte et festive. Il y a actuellement 30000 éoliennes en service sur le territoire allemand et dans les 20 prochaines années un grand nombre d’entre elles devra être démantelé. Les pales à elles seules représenteront donc plus d’un million de tonnes de déchets, c’est-à-dire plus de 5 millions de mètres-cube de matière à entreposer ou enfouir. Comme la fuite en avant vers encore plus d’éoliennes n’est pas terminée aux alentours de 2100 ce seront des dizaines de millions de tonnes, occupant des centaines de millions de m3, de déchets dangereux et non recyclables qui seront laissés aux générations futures, rien qu’en Allemagne !
Aux Etats-Unis, un pays déjà habitué à combler entièrement des vallées étroites et inhabitées avec des déchets de toute sorte, la solution est d’utiliser la même stratégie pour les pales usagées des éoliennes qui seront enfouies pour toujours, une approche décrite par Veolia Environnement SA, basée à Paris comme « une tombe sèche ». Cette entreprise est en effet très active aux Etats-Unis dans la recherche d’une solution rentable pour l’enfouissement des pales d’éoliennes en fin de vie. Bob Cappadona, COO (chief operation officer) de Veolia aux USA déplore qu’une technologie considérée comme respectueuse de l’environnement en arrive paradoxalement à créer encore plus de défis environnementaux.
Les générations futures qui hériteront de tous ces déchets se demanderont jusqu’à quel point leurs ancêtres ont été capables de pousser leur stupidité en optant pour une forme d’énergie peu fiable et coûteuse qui a gâché le paysage, détruit des écosystèmes sur de vastes étendues, massacré la faune aviaire et rendu des millions de personnes malades, laissant des dizaines de millions de tonnes de déchets toxiques derrière eux …
Inspiré d’un article paru sur le site notrickszone.com
Remarques. J’ai prévenu Monsieur Claudel de mon désir de faire figurer dans mon propre blog son article. Je me suis limité à la correction de quelques fautes de frappe et j’ai laissé entre parenthèses et caractères italiques ce que signifiait le néologisme « mougeons ». J’ajouterai que j’apprécie son franc-parler … je n’aurais jamais osé.
Je suis profondément révolté. Profondément dégoûté. Et profondément en colère. Je vis en Suisse depuis cette année, mais chaque fois que je reviens à Paris je n’en crois pas mes yeux. Je ne reconnais plus mon pays, aujourd’hui totalement abruti, anémique, léthargique, gavé de Tranxène 50 télévisuel.
Je ne supporte plus tous ces imbéciles masqués dans les rues. Ces moutons décérébrés et complices d’une dictature qui les étouffe à petit feu. Ces petits collabos qui font des bonds comme des cabris quand je les croise sur le trottoir. Ou qui me fusillent d’un regard accusateur parce que je refuse de porter cette muselière absurde et inutile, symbole de soumission et de capitulation.
Je ne supporte plus ces petit kapos miliciens de la Pensée unique qui me harcèlent sur les réseaux sociaux en scandant les slogans de la propagande d’Etat.
Je ne supporte plus ces « experts » de plateau à peine trentenaires, dont certains n’ont aucun titre pour oser contester l’expérience des plus éminents spécialistes en épidémiologie mondiale. Comme le pauvre Professeur Raoult, contre qui la Caballe scientifique et médiatique a viré à une sinistre farce de foire.
Je ne supporte plus ces journalistes des médias officiels qui ont vendu leur âme au diable et déroulent comme des robots un plan d’ingénierie sociale tellement grossier qu’il prêterait à rire si l’enjeu n’était aussi dramatique.
Je ne supporte plus ces médecins pourris jusqu’à l’os par Gilead, comme cette grosse pouffe de Karine Lacombe, une pute pharmaceutique à 200.000€, qui depuis le début aligne mensonges sur mensonges sur tous les plateaux télé.
Je vomis tous ces politiques couards et silencieux qui tremblent pour leur profil de carrière. Et qui s’alignent sagement, comme le pape d’ailleurs, sur la propagande sanitaire des gouvernements. Mis à part deux ou trois souverainistes de droite comme Asselineau ou Philippot qui n’ont aucune chance d’être élus, aucun n’a aujourd’hui les couilles de dire au peuple la vérité. Même pas Marine Le Pen, championne de l’anti-système en 2017 devenue la poupée Barbie du groupe Bilderberg. Et sa caution « patriotique », totalement sous le contrôle MK Ultra des maîtres du monde, en planque comme alternative au cas où Macron se vianderait trop méchamment d’ici 2022.
Ne parlons pas de la gauche, totalement absente des débats et tout juste bonne à servir la soupe comme un seul homme aux islamistes.
Mais surtout je suis sidéré, outré et démoralisé par l’apathie de ce peuple français. Qui depuis la raclée adressée par les robocops de la Kommandantur macronienne aux Gilets jaunes reste fasciné comme des veaux par l’hologramme de terreur qu’on leur donne à bouffer chaque jour depuis un an avec cette épidémie bidon.
Quoi ? Le « pays des droits de l’homme », l’orgueil et la conscience du monde, la France des beaux esprits, des intellos contestataires, rebelles, anti-ceci ou cela, ne serait donc plus qu’un zoo consumériste en voie d’extinction, tout juste bon à se réveiller de son énième confinement docilement accepté pour aller acheter son sapin de Noël et sa tranche de foie gras chez Auchan, ou sortir sa Visa à l’approche du Black Friday ?
Quel ramassis de trous du cul mous et baveux !
Mais comment avons-nous pu en arriver là ?
Il faut dire que quand l’horizon du François Moyen se limite à Aya Nakamura ou Cyril Hanouna pour la conscience du populo, « On n’est pas couché » pour les beaufs qui s’imaginent avoir une culture, ou le très macroniste Raphaël Enthoven tout droit sorti du film « Ridicule » pour les bobasses germanopratines, il y a de quoi déprimer.
Quand je songe que le mouvement des Gilets jaunes était parti de revendications des chauffeurs routiers pour quelques centimes sur les prix des carburants… Aujourd’hui nous voilà face à une dictature mondiale dont le but est de tétaniser les peuples et de ruiner la planète pour instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, de reprogrammer notre ARN avec des vaccins frelatés imposés de force à 7.8 milliards de Terriens, de nous tracer grâce à des nano-puces insérées pour l’éternité dans notre corps, d’imposer un contrôle totalitaire sur l’humanité, et de se livrer à toutes sortes d’expériences transhumanistes en nous fichant des patchs de silicium dans le cerveau. Et le seul questionnement existentiel des nouveaux mougeons* c’est de s’interroger pour savoir s’ils vont commander un masque en tissu Luis Vuitton ou Gucci sur Amazon. ( *mougeons = moutons-pigeons)
La tentation est grande parfois de se dire face à cet Océan de merde et de connerie, laisse tomber et après moi le déluge !
Mais non, ça n’est pas possible. Quand on a comme moi consacré presque toute sa vie à se battre pour des causes on ne peut pas abdiquer ainsi et se désintéresser du sort d’une humanité promise par ailleurs à être à 90% anéantie.
J’avais lu à sa sortie avec un certain agacement « Le suicide français » de Zemmour. Un réquisitoire implacable contre le déconstructionnisme des bobos et ses conséquences, qui avait en quelques décennies ruiné la France. Sauf que là il ne s’agit plus de déconstruire mais carrément de détruire. Au rouleau compresseur. A commencer par les consciences. Puis les sociétés, les nations, les États, et enfin les infrastructures économiques et financières mondiales. Et cette fois-ci l’enjeu n’est plus la France ou sa place dans le monde, mais le monde lui-même. Et la place de l’humanité dans ce monde effroyable, orwellien, qu’on est en train de mettre en place sous nos yeux aveugles ou incrédules.
Je continue de croire que cette humanité à laquelle j’appartiens n’a qu’un seul avenir possible. Un avenir radieux, lumineux, pacifique, unitaire et fécond.
Je crois profondément à l’Eveil de la conscience planétaire. J’y œuvre à ma façon et à mon niveau depuis longtemps.
Faut-il donc pour que cet éveil advienne que l’humanité s’effondre tout d’abord dans un abîme de ténèbres ?
Elle en prend en tout cas le chemin. Et même s’il faut tout faire pour que ce cauchemar qui pourrait lui être fatal ne se réalise pas, le pari de l’en relever paraît on ne peut plus compromis à mesure que le sablier du compte à rebours machiavélique se vide inexorablement.
Prenons donc tous garde à notre beau pays ! Et à ce qu’il représente. Et pour cela prenons garde à préserver notre esprit de la plus grande entreprise de manipulation et d’assujettissement spirituel jamais entreprise dans toute l’Histoire humaine. Et prenons garde ainsi de ne pas nous voir bientôt transformés de moutons de Panurge en moutons du Sacrifice.
Les affirmations selon lesquelles le réchauffement de la température de la Terre au niveau du entraînera plus de cas de paludisme et de décès sont contredites par les preuves du monde réel. À mesure que la Terre se réchauffe, les cas de paludisme et les décès sont en baisse dans toutes les régions du monde. Si le réchauffement climatique devait causer plus de cas de paludisme, nous aurions certainement dû être témoins de plus de cas de paludisme et de décès à l’heure actuelle. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) publie des estimations mondiales du nombre de personnes qui meurent du paludisme. Depuis 2000, selon cet organisme, le nombre de morts dans le monde a été réduit de moitié, passant de 839 000 décès en 2000 à 438 000 en 2015.
L’Afrique est la région du monde la plus touchée par le paludisme, avec 9 victimes du paludisme sur 10 étant des Africains. Comme le montre la figure ci-dessus l’Afrique est également la région du monde qui a réalisé le plus de progrès alors que la Terre se réchauffe modestement. De 2000 à 2015, les décès africains dus au paludisme ont été réduits de 764 000 à 395 000. La vaste littérature scientifique réfute les affirmations alarmistes des climatologues selon lesquelles le changement climatique est susceptible d’exacerber la propagation des maladies transmises par les moustiques.
De façon frappante, l’Amérique du Nord et l’Europe ont noté zéro décès dû au paludisme depuis 1990 malgré 30 ans de réchauffement climatique selon ce qu’affirment l’IPCC et les médias.
Il n’y a tout simplement aucun lien entre le paludisme ou les autres maladies transmises par les moustiques et un monde qui se réchauffe légèrement.
Des études menées en Afrique, en Angleterre et au Pays de Galles, en Amérique du Nord et du Sud, en Thaïlande et au-delà réfutent tout lien entre le changement climatique et la propagation du paludisme, de la dengue, du virus du Nil occidental et d’autres maladies à transmission vectorielle. Par exemple, une étude de 2010 dans la revue à comité de lecture Nature rapporte que « [les auteurs de l’étude] ont comparé des cartes historiques et contemporaines de la gamme et de l’incidence du paludisme et ont constaté que le paludisme endémique couvrait probablement 58% des terres du monde vers 1900 mais seulement 30% en 2007 ». De toute évidence, le paludisme est devenu moins répandu et moins mortel à mesure que le climat s’est réchauffé.
Les auteurs de cette étude réfutent les affirmations potentielles selon lesquelles il y aurait des réductions encore plus importantes du paludisme sans le réchauffement climatique. Les auteurs écrivent que « les affirmations largement répandues selon lesquelles la hausse des températures moyennes a déjà conduit à des augmentations de la morbidité et de la mortalité dues au paludisme dans le monde sont largement en contradiction avec les tendances mondiales à la baisse observées tant dans son endémicité que dans son étendue géographique ».
L’expert en maladies à transmission vectorielle Paul Reiter, membre du Comité consultatif de l’Organisation mondiale de la santé sur la biologie et la lutte anti-vecteurs, a beaucoup écrit sur la transmission des maladies à transmission vectorielle. Reiter conclut que tout lien entre ces maladies et le changement climatique n’est étayé par aucunes preuves. Le réchauffement hypothétique du climat a servi d’alibi pour expliquer l’augmentation du nombre de personnes souffrant de la maladie de Lyme dont le vecteur est une tique. Il n’en est rien : s’il y a plus de tiques dans les forêt c’est tout simplement parce que celles-ci ne sont plus entretenues. On peut rapprocher cette observations relevant de la santé publique des feux de forêts et de buissons tant en Australie qu’en Californie dont les experts en climatologie ont désigné la cause : le réchauffement climatique. Il n’en est rien à nouveau car ces incendies, parfois catastrophiques, ne trouvent leur cause que dans le manque d’entretien de ces zones arborées.
Serait-ce le début de la destruction du château de carte de la corruption généralisée du gouvernement français que l’épidémie de coronavirus a révélé, personnellement je le souhaite et j’espère que la justice fera son travail et ses décisions aboutiront à des incarcérations. Pour que l’OMS ait fini par reconnaître que le produit de Gilead était inefficace et toxique pour les reins il y a de sérieuses raisons que ces fonctionnaires onusiens aient fini par admettre qu’il était inutile de continuer à mettre la mains sur le galon de leur pantalon sur les ordres de l’immense pouvoir du lobby du « BigPharma ». En ce qui concerne le marigot français le quotidien France-Soir a publié le 24 juin 2020 un article révélateur dénonçant les compromissions de divers acteurs politiques et médicaux, jusqu’au treizième, mais il y en a une multitude, que j’invite mes lecteurs à relire (lien en fin de billet).
L’aveu de l’OMS, on ne peut pas appeler cela autrement, permettra peut-être d’identifier les fonctionnaires européens qui ont décidé d’acheter pour un milliard d’euros de doses de Remdesivir et de les traduire en justice, mais on peut toujours rêver d’un monde meilleur que celui de cette Europe ravagée par la corruption organisée au plus haut degré de sophistication à Bruxelles.
Il reste un point dont devront rendre des comptes au peuple et aux juges les décideurs politiques français (et d’autres pays européens) celui de l’interdiction de l’hydroxychloroquine pour le traitement précoce de la grippe coronavirale tel qu’il a été décrit par le Professeur Didier Raoult de l’IHU de Marseille. Ce traitement, sans toutes ces entraves provenant du gouvernement central parisien, un aréopage de coquins, des Agences régionales de santé et des Préfets, aurait pu sauver au moins 20000 vies, voire plus encore, même si la grande majorité des victimes du virus était malheureusement déjà en fin de vie.
Pour ce qui concerne les tests RT-PCR la France a déjà dépensé près de 3 milliards d’euros et les laboratoires d’analyse font n’importe quoi comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog. Au Brésil par exemple cette technique est utilisée en ne dépassant pas 18 cycles d’amplification alors qu’en France ce sont allègrement 40 cycles pour chaque test ! Qui a ordonné un tel nombre de cycles et pour quelles raisons ? Il faudra aussi que les autorités gouvernementales apportent des réponses scientifiquement circonstanciées pour expliquer leurs décisions.
Dans un prochain billet je narrerai le calvaire que j’ai vécu personnellement après avoir « attrapé » (avec les mains ou le nez ou les yeux, je ne sais pas) le SARS-CoV-2 au mois de mars dernier, quelles en sont les séquelles encore aujourd’hui et comment j’ai évité une mort certaine en me traitant moi-même avec de la chloroquine, de la vieille chloroquine que je gardais précieusement en cas de forte crise de malaria depuis plus de 20 ans.