Brève. Indéniable collusion entre « BigPharma » et les gouvernements

Au Canada la bataille est engagée pour que les gros laboratoires pharmaceutiques élargissent leur clientèle aux enfants âgés de 5 à 11 ans. Le Ministère de la santé canadien a donc commandé une étude à un dénommé James D. Kellner, conseiller du ministre de la santé, pour évaluer le bien-fondé d’une vaccination des enfants. Dans un article vide de sens paru dans le Canadian Medical Association Journal Kellner s’appuie sur des arguments sans aucun caractère factuel pour vivement conseiller, voire promouvoir, la vaccination des enfants pour « les protéger contre le variant delta » : www.cmaj.ca/lookup/doi/10.1503/cmaj.210053 . Dans les notes en fin d’article il apparaît que les auteurs n’ont pas de conflits d’intérêts, c’est clair puisqu’ils travaillent dans un environnement universitaire et sont rétribués par l’Etat fédéral ou les Etats du Saskatchewan ou de l’Alberta.

Pourtant à la fin de ces notes de fin d’article il est précisé que Kellner et son assistant S.B. Freedman ont été financés pour cette étude (qui n’en est pas une stricto sensu) par Pfizer, GlaxoSmithKline, Merck et Moderna alors qu’il déclaraient n’avoir aucun conflit d’intérêts quelques lignes plus haut.

Donc la vaccination des enfants de 5 à 11 ans est une affaire de gros sous et ces deux tristes sires, comme le Ministre de la santé lui-même, sont corrompus. Cette situation canadienne n’est pas unique et les mêmes tractations frauduleuses ont lieu au sein de tous les gouvernements occidentaux. Il est en effet difficile de résister au gigantesque pouvoir financier de ces entreprises pharmaceutiques pour qui la corruption fait partie du quotidien et représente un argument de vente incontournable.

Les Allemands (les Verts) ont perdu la raison

Avant la fin de cette année 2021 l’Allemagne mettra à l’arrêt définitif, comme cela était prévu, les installations de production électrique nucléaire de Brokdorf, de Grohnde et de Gundremmingen. Il manquera donc au réseau électrique 4050 MW de puissance au cours de l’hiver qui vient. C’est une pure folie. Afin d’éviter un black-out l’Allemagne devra mettre aussi à l’arrêt toutes les industries fortes consommatrices d’électricité, depuis la chimie jusqu’aux constructions automobiles. En effet, s’il n’y a pas de vent et que les panneaux solaires sont recouverts de neige autant dire que des régions entières de ce pays le plus prospère d’Europe se retrouveront alternativement dans le noir. Qu’à cela ne tienne les Verts, maintenant bien assis au gouvernement, ne lâcheront rien. Avec Corinne Le page les verts allemands ont convaincu leurs homologues français d’obtenir la fermeture de Fessenheim sous le fallacieux prétexte que cette installation était trop près de l’Allemagne. On assiste au dénouement de cette campagne anti-nucléaire allemande. À la fin de 2022, quoiqu’il arrive, les trois dernières usines seront fermées, encore 4000 MW de capacité de production annulés.

La situation de l’Allemagne va donc être extrêmement tendue durant l’hiver à venir. Les tergiversations juridiques pour l’autorisation du fonctionnement du gazoduc Nord-Stream-2 vont inévitablement conduire à un désastre. Les Verts veulent annihiler toute activité industrielle dans leur pays et par conséquent toute vie et toute prospérité. Et la contagiosité de ce parti de fous est remarquable puisque le Ministre allemand de la santé Jens Spahn préconise un confinement d’une année de tous les non-vaccinés. Les Allemands vont-ils rouvrir des camps de concentration. Ils en seraient bien capables …

Note. Le réacteur de Brokdorf mis en service en 1986 est un PWR de 1410 MW, celui de Grohnde est un PWR de 1360 MW mis en service en 1985 et celui de Gunderemmingen est un BWR de 1280 MW mis en service en 1988.

Inspiré d’un billet de Pierre Gosselin paru sur son site notrickszone

Le progressisme teinté de gauchisme nous réserve encore des surprises

À l’approche des fêtes de fin d’année l’arrêté du gouvernement britannique relatif au bien-être des animaux (Amendment to Animal Welfare (Sentience) Bill, lien en fin de billet) a classé les céphalopodes comme les poulpes, les décapodes : crabes, langoustes, homards et autres écrevisses, comme des animaux capables de ressentir de la douleur. Ils doivent donc être protégés. Il n’y a qu’un tout petit pas à franchir pour qu’ils deviennent des souvenirs de repas de fin d’année d’antan. C’est le Docteur Jonathan Birch qui l’affirme : « ces invertébrés ont acquis une conscience phénoménologique du bien-être et de la douleur. Ils doivent donc être respectés ». Le contribuable britannique finance cette fondation ( https://www.lse.ac.uk/cpnss/research/ASENT ) et il ne va pas être déçu quand il comprendra que, bientôt, déguster un homard ou un crabe ne sera pour lui qu’un rêve.

Cet organisme a émis toute une série de recommandations pour la pêche, le transport … et la cuisson de ces créatures. Il sera dorénavant interdit de jeter des crevettes dans l’eau bouillante et encore moins les homards ou les crabes. Birch s’appuie sur le fait que ces créatures, marines pour la plupart, possèdent un système nerveux complexe et sont par conséquent capables de ressentir douleur et plaisir, ben voyons !

Le gouvernement britannique s’est bien gardé de remettre en question la pêche et la gastronomie, pour l’instant, mais la dérive progressiste de toutes sortes d’organismes et autres ONGs conduira à coup sûr à une prochaine interdiction de la consommation de ces décapodes et autres céphalopodes. Peut-être viendra le temps où la viande sera interdite car l’élevage contribue à la dégradation du climat mais les bovins, porcins et gallinacées n’ont-ils pas aussi un système nerveux complexe ? Par extension ils savent que se faire fouetter n’est pas agréable, ni qu’on leur arrache une plume. Décidément on vit dans un monde de plus en plus étrange … où l’être humain passe progressivement au second plan.

https://www.lse.ac.uk/News/Latest-news-from-LSE/2021/k-November-21/Octopuses-crabs-and-lobsters-welfare-protection

Le « Lancet » se refait une réputation …

The Lancet, prestigieux journal scientifique et médical britannique, reste maintenant dans les mémoires pour avoir publié un article créé de toute pièce par des inconnus soudoyés par le lobby de la pharmacie pour détruire la réputation du Professeur Raoult et sa mise au point optimisée du traitement précoce des malades atteints par le coronavirus avec l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine. Le but de cette manœuvre consistait à décrédibiliser les traitements précoces pour ouvrir la porte aux thérapies géniques à ARN messager. L’image de probité et d’honnêteté du Lancet a été écornée durablement et dans le même temps les gouvernements ont alors mis en place des campagnes de « vaccination » sans précédent, en pleine épidémie avec des produits expérimentaux au mépris de la santé des populations sans jamais reconnaître qu’il existait des traitements préventifs.

Serait-ce pour faire bonne figure après ce scandale dit du « Lancet-gate » que ce périodique ose publier dans sa rubrique « Correspondence » une note du Docteur Günter Kampf de l’Université de médecine de Greifswald en Allemagne ? Voici une traduction de cette lettre du Docteur Kampf. Source :https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2821%2902243-1

COVID-19 : Stigmatiser les non-vaccinés n’est pas justifié

Aux États-Unis et en Allemagne, des responsables de haut niveau ont utilisé le terme de pandémie des non vaccinés, suggérant que les personnes qui ont été vaccinées ne sont pas prises en compte dans l’épidémiologie du COVID-19. L’utilisation de cette expression par les autorités aurait pu encourager un scientifique à affirmer que « les non vaccinés menacent les vaccinés contre le COVID-19 »(1). Mais ce point de vue est beaucoup trop simple.

Il existe de plus en plus de preuves que les individus vaccinés continuent à jouer un rôle important dans la transmission du virus.

Dans le Massachusetts, aux États-Unis, un total de 469 nouveaux cas de COVID-19 ont été détectés lors de divers événements en juillet 2021, et 346 (74%) de ces cas concernaient des personnes totalement ou partiellement vaccinées, 274 (79%) des qui étaient symptomatiques. Les valeurs du seuil du cycle étaient également faibles entre les personnes complètement vaccinées (médiane 22,8) et les personnes non vaccinées et pas complètement vaccinées, ou dont le statut vaccinal était inconnu (médiane 21,5), indiquant une charge virale élevée même parmi les personnes complètement vaccinées (2). Aux États-Unis, un total de 10262 cas de COVID-19 ont été signalés chez des personnes vaccinées au 30 avril 2021, dont 2725 (26,6 %) étaient asymptomatiques, 995 (9,7 %) ont été hospitalisés et 160 (1,6 %) sont décédés (3). En Allemagne, 55,4 % des cas symptomatiques de COVID-19 chez les patients âgés de 60 ans ou plus concernaient des individus entièrement vaccinés (4) et cette proportion augmente chaque semaine. À Münster, en Allemagne, de nouveaux cas de COVID-19 se sont produits en au moins 85 (22 %) des 380 personnes qui ont été complètement vaccinées ou qui se sont remises du COVID-19 et qui ont fréquenté une boîte de nuit (5). Les personnes vaccinées ont un risque plus faible de maladie grave mais font toujours partie de la pandémie. Il est donc faux et dangereux de parler de pandémie des non vaccinés. Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont engendré des expériences négatives en stigmatisant certaines parties de la population pour leur couleur de peau ou leur religion. J’appelle les responsables et les scientifiques de haut niveau à mettre un terme à la stigmatisation inappropriée des personnes non vaccinées, parmi lesquelles nos patients, collègues et autres concitoyens, et à déployer des efforts supplémentaires pour rapprocher la société.

Je ne déclare aucun conflit d’intérêt.

Günter Kampf

guenter.kampf@uni-greifswald.de

University Medicine Greifswald, Institute for Hygiene and Environmental Medicine, 17475 Greifswald, Germany

1.Goldman E. How the unvaccinated threaten the vaccinated for COVID-19: a Darwinian perspective. Proc Natl Acad Sci USA 2021; 118: e2114279118.

2.Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 infections, including COVID-19 vaccine breakthrough infections, associated with large public gatherings—Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021; 70: 1059–62.

3.US Centers for Disease Control and Prevention COVID-19 Vaccine Breakthrough Case Investigations Team. COVID-19 vaccine breakthrough infections reported to CDC— United States, January 1–April 30, 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021; 70: 792–93.

4.Robert Koch Institut. Wöchentlicher Lagebericht des RKI zur Coronavirus- Krankheit-2019 (COVID-19)—14·10·2021— aktualisierter Stand für Deutschland. Oct 14, 2021. https://www.rki.de/DE/Content/InfAZ/N/Neuartiges_Coronavirus/ Situationsberichte/Wochenbericht/ Wochenbericht_2021-10-14.pdf?__ blob=publicationFile (accessed Oct 18, 2021).

5.Von Dolle F. Münster: Inzwischen 85 Infizierte nach 2G-Party im Club. Sept 20, 2021. https://www1.wdr.de/ nachrichten/westfalen-lippe/corona- infektionen-clubbesuch-muenster-100.html (accessed Sept 23, 2021).

Vendredi noir : le coronavirus-omicron attaque les marchés boursiers, c’est nouveau !

Le mutant B1.1.529 du SARS-CoV-2 se distingue de tous les autres mutants qui l’ont précédé par le nombre inattendu de mutations, 16 au total et deux délétions. À croire qu’il a été fabriqué dans un laboratoire de toutes pièces. Pour l’instant personne ne sait s’il est hautement transmissible et surtout hautement infectieux voire encore plus mortel que ses ancêtres. Il est vrai que ce virus est tout aussi versatile qu’un des ministres français qui a, par le passé, ont changé la couleur de leur veste tellement souvent qu’on ne sait plus de quel bord ils sont, au point que plus personne n’en parle tant ils ont « muté » et devenus insignifiants …

Ce qui est le plus inattendu est que cette nouvelle, pour l’instant non confirmée par les plus grands spécialistes de la planète, a eu un effet incroyable sur les marchés financiers. Toutes les principales bourses étaient dans le rouge ce vendredi et pas de quelques fractions de pourcent. Les indices des bourses italienne, française et allemande ont dévissé de plus de 5,6 %. Les trois indices phares américains ont été malmenés mais dans une moindre mesure, de 2,2 à 3,2 % (la cotation n’est pas terminée à l’heure où je rédige ce billet) et le Nikkei a pris 2,53 % de chute dans le nez.

Comme si les « commodities » avaient aussi été atteintes par le virus leur cours est également en chute : le pétrole a perdu en ce vendredi noir 12,7 % et de nombreux cours liés à la production agricole ont également chuté lourdement comme le caoutchouc, le coton, le café, le sucre ou l’huile de palme. Les « futures » sont également en chute libre et des fortunes vont se défaire et d’autres apparaître dans les prochains jours, pas plus tard que lundi 29 novembre prochain.

Tout ça pour un mutant du coronavirus venu d’on ne sait où, peut-être d’un malade souffrant du HIV au fin fond de la campagne d’Afrique australe. L’enseignement à retenir de cet événement est le suivant : depuis le début de l’épidémie coronavirale les places boursières se sont vautrées dans les plus-values alors que l’économie mondiale s’effondrait en 2020, serait-ce en ce vendredi noir une prise de conscience de l’aspect artificiel de la finance qui se révèle à l’occasion d’un nouveau mutant, une correction passagère ou les prémices d’une chute brutale des marchés financiers conduisant à une crise mondiale qu’a occulté cette pandémie ? On trouvera peut-être la réponse au cours des prochaines semaines. Et pour un nouveau « vaccin » adapté au mutant omicron il faudra attendre 100 jours selon BioNtech.

La thérapie génique à ARN messager tue et tuera encore !

Au cours des 30 dernières années, aux Etats-Unis, il y eut une moyenne de 74 fausses couches chaque année chez des femmes enceintes ayant subi une vaccination, quelle qu’elle soit. Ces fausses-couches étaient considérées comme liées directement à l’administration de vaccin. Aujourd’hui les temps ont changé : le nombre de fausses-couches a atteint un record de 2838, calculs sur une base annuelle, depuis la mise en place du « vaccin » pour les femmes enceintes. Les données de la base VAERS indiquent que sur 2620 avortements spontanés, 2015 avaient suivi une injection Pfizer et 689 une injection Moderna. Selon diverses études la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) sous-évalue d’un facteur 41 le nombre d’incidences adverses à la suite de l’administration d’ARN messager. Considérer qu’il y ait eu 2838 x 41 = 116358 morts de fœtus in utero serait donc plus proche de la réalité …

Le plus préoccupant dans cette histoire est le fait que le pouvoir politique ne veut pas entendre parler de ces statistiques, considérant qu’il n’y a pas de relation de cause à effet directe alors que la probabilité d’une relation est très élevée. À nouveau les décideurs politiques éludent le problème, obsédés qu’ils sont par la mise en place d’une stratégie non plus d’éradication du coronavirus mais de mise sous tutelle répressive de la population en obligeant cell-ci à subir cette injection de thérapie génique. En Ecosse, la situation est encore plus alarmante puisque le nombre d’enfants nouveaux-nés subitement morts après la naissance a augmenté de manière significative atteignant des records jamais enregistrés depuis le début des années 1980. Encore une fois les données statistiques ne permettent pas d’établir une quelconque relation de cause à effet entre le fait que la mère ait été « vaccinée » et que son enfant soit mort peu après la naissance. Quelles que soient les résultats des enquêtes diligentées par des associations non gouvernementales, ces derniers ne seront pas pris en considération par le pouvoir politique.

Comme s’il ne suffisait pas de tuer des enfants in utero ou après leur naissance les autorités canadiennes et israéliennes ont décidé de soumettre les enfants âgés de 5 à 11 ans à cette thérapie génique criminelle. Devant l’accumulation de ces statistiques morbides comment une jeune mère de famille pourra-t-elle dormir correctement après que son enfant ait reçu une injection de cet ARN mortel ? Le Premier Ministre français, détecté positif pour le coronavirus, a reconnu avoir été contaminé par sa fille de 11 ans, une manœuvre ignominieuse pour préparer le peuple français à la « vaccination » obligatoire des enfants, alors que tous ces « officiels » ne respectent pas les mesures dont ils ont décidé la mise en place (plus ou moins légale) dans le but de maîtriser l’épidémie mais surtout pour amoindrir les libertés des simples citoyens.

Je ne voudrais pas minimiser la qualité des biologistes israéliens ici, mais je suis personnellement étonné, devant les données statistiques incontestables provenant des Etats-Unis, que les autorités israéliennes persistent à imposer des piqûres de rappel pour ces « vaccins » alors que les scientifiques savent que le pays, dans cette situation, risque sa survie si le taux de natalité chute vertigineusement en raison de cette thérapie génique. J’ai cru comprendre qu’Israël était guidé par un messianisme universel, alors sacrifier une génération entière semble contraire à cette mission. Je me pose simplement la question et j’avoue qu’on vit dans un monde étrange …

https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE

https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/

Brève. Débat Rioufol-Perronne, retour sur des commentaires injustifiés

J’ai longuement hésité à revoir cet entretien qui n’en était pas un entre le journaliste Ivan Rioufol et le Professeur Perronne. Au cours de ce débat Rioufol a interrompu Perronne 18 fois dont 4 questions, l’autre individu dont le son de la voix révélait qu’il était de nature masculine et présent sur le plateau a interrompu le Professeur Perronne 12 fois et l’être humain muni d’un utérus seulement trois fois. Si toutes ces interruptions n’avaient pas eu lieu et que ces journalistes s’étaient limités à quelques questions bien préparées les téléspectateurs de CNEWS auraient appris beaucoup plus de choses en 15 minutes au sujet de l’épidémie de coronavirus car ils avaient invité le plus grand épidémiologiste français. C’est tout simplement déplorable. Si le métier de journaliste consiste à ne pas écouter son interlocuteur alors il s’agit d’un métier dont je mets en doute l’utilité, et dont il faut plutôt constater la nocivité. Mon décompte fut très minutieux et si l’un de mes lecteurs le conteste qu’il me le signale. Interrompu plus d’une fois par minute le Professeur Perronne n’a pas eu le loisir d’exposer ses arguments et c’était l’objectif de Rioufol : l’interrompre sans cesse pour que son message devienne inaudible. Voilà la mission des journalistes aujourd’hui …

Nouvelles du Japon. Le SARS-CoV-2-delta s’est-il fait seppuku ?

Au Japon il n’existe aucune restriction imposée autoritairement à la population dans le cadre du combat contre le SARS-CoV-2 car ce serait agir contre la Constitution. Malgré cette « liberté » le port du masque est pratiquement universel. Et pourtant les enseignants des écoles apprenaient à mes petits-enfants à porter un masque lorsqu’ils étaient malades afin de protéger leur entourage. Il semblerait que la propagande sanitaire a laissé des traces car « vaccinés » ou pas ou encore guéris d’une infection les Japonais mettent leur masque pour marcher dans la rue et naturellement pour entrer dans un supermarché ou un centre commercial et utiliser le train et le métro. Quant à l’injection d’ARN messager elle est laissée à l’appréciation de chacun mais nombreux sont ceux qui sont encouragés par leur employeurs bien que ce dernier ne puisse pas décider de mesures coercitives qui seraient contraires à la Constitution.

Est-ce cette discipline exemplaire qui a conduit à une quasi disparition de l’épidémie, en particulier dans l’immense ville de Tokyo entièrement interconnectée à la plus grande conurbation du monde de 38 millions d’habitants autour de la baie de Tokyo ? Il est difficile de le croire. De plus il n’y a pas eu de généralisation de l’Ivermectine en traitement précoce, à ma connaissance. Enfin les personnes en contact avec des sujets infectés se sont spontanément isolées pendant deux semaines ainsi que les sujets infectés. Au milieu du mois d’août 2021 une forte recrudescence d’infections, jusqu’à 23000 nouveaux cas par jour, fit craindre le pire. Ce 22 novembre il y a eu 50 nouveaux cas d’infection confirmés et 2 morts par coronavirus également confirmés.

En collectant et établissant la séquence d’isolats de SARS-CoV-2 depuis le mois de juin 2021 le Docteur Ituro Inoue a identifié une accumulation de mutations au niveau de l’ORF (open reading frame) codant pour la protéine non structurale nsp14. D’une façon inattendue une grande majorité des virus isolés présentait une mutation A394V de cette protéine nsp14, une alanine remplacée par une valine. Cette protéine fait partie du complexe de 16 protéines différentes constituant l’appareil de copie de l’ARN viral. Son rôle est dual, d’une part la vérification et la réparation des erreurs de copie. Il s’agit donc d’une activité enzymatique classée parmi les exoribonucléases et d’autre part une activité de transfert d’un groupement méthyle sur la base guanine. Ces activités enzymatiques requièrent enfin deux atomes de zinc. Pour plus d’informations je suggère à mes lecteurs de se reporter ici : https://doi.org/10.1128/JVI.01246-20 au sujet des travaux effectués sur la protéine nsp14.

Selon le Docteur Ituro Inoue le variant delta du SARS-CoV-2 est victime d’une accumulation de mutations qui l’ont rendu de moins en moins capable de se répliquer et de ce fait l’épidémie est en voie de disparition. Les autorités japonaises ont ainsi décidé d’alléger les restrictions de voyages vers le Japon. D’ors et déjà 5000 étrangers sont admis dans les aéroports japonais, principalement à Tokyo et Osaka, chaque jour. Ils seront dûment contrôlés et placés en quarantaine durant 15 jours afin de prévenir toute introduction d’un nouveau mutant du SARS-CoV-2. Peut-être pourrai-je me rendre au Japon après 2 ans d’interdiction pour enfin voir mes petits-enfants. Ceci étant le cas du Japon ne peut pas être généralisé. Les Coréens génétiquement très proches des Japonais ne vivent pas encore la même extinction de l’épidémie et en Europe une grande partie des pays, pensant s’en sortir, doivent affronter un énième pic épidémique malgré une généralisation des injections d’ARNm bientôt obligatoires pour tous. Il est opportun de rappeler ici que 75 % de la population japonaise est aujourd’hui pleinement « vaccinée ». Mais dans quelle mesure une telle situation peut-elle expliquer cette quasi disparition de l’épidémie alors que dans d’autres pays comme Israël l’épidémie fait des ravages alors que 100 % de la population du pays a été soumise à la thérapie génique. Mystère.

Des voitures électriques peu chères ? À cause du lithium et du cobalt jamais !

Le premier producteur de lithium dans le monde est l’Australie suivie du Chili puis de la Chine avec respectivement en 2020 : 40000, 18000 et 14000 tonnes respectivement de lithium métal (source : Statista.com). De plus la Chine est maintenant le premier producteur de voitures électriques, une situation qui a tendance à faire monter le cours du lithium sur le marché mondial de ce métal. En une année le cours du lithium a traversé une augmentation de 325 % pour atteindre un prix à la tonne de 25675 euros. Pour une berline de taille moyenne tout électrique il faut environ 30 kg de lithium pour confectionner les batteries. Il faut donc au cours actuel 770 euros de lithium par véhicule électrique. La production chinoise de lithium métal suffit en théorie pour équiper 460000 véhicules tout électrique par an si la Chine n’importe pas de lithium de pays étrangers.

On ne peut pas dire que le monde va se trouver à court de lithium car les réserves sont considérables malgré certaines difficultés d’extraction en particulier au Chili et en Argentine, pays qui à eux deux représentent 11 millions de tonnes de lithium métal en réserve, l’Australie représentant un peu moins de la moitié de ces réserves. Quant à la Chine il y aurait un million et demi de tonnes de réserves, l’équivalent de 360 millions de voitures tout électrique. Ce calcul n’a pas beaucoup de signification sinon que les seules réserves de la Chine suffiraient à peine à convertir la totalité du parc automobile européen en véhicules tout électrique.

Persévérer pour des raisons idéologiques à vouloir convertir ce parc automobile dans le but de réduire les émissions de carbone est une vue de l’esprit. Pour trois raisons. D’une part le prix du lithium métal pourrait être décuplé devant une demande croissante pour la fabrication de voitures tout électrique rendant ces dernières inabordables pour la majorité des automobilistes, dont ceux qui ont besoin de leur véhicule pour travailler ou se déplacer pour se ravitailler en nourriture et autres produits de consommation courante ou tout simplement pour conduire les enfants à l’école ou aller à l’hôpital. Interdire les véhicules équipées de moteurs à combustion interne est ainsi une vue de l’esprit, un rêve des écologistes puisque toute la population de cette France périphérique n’aura pas les moyens financiers pour acheter une voiture tout électrique.

D’autre part si le prix de la batterie représente la moitié de celui du véhicule lui-même, la voiture électrique deviendra un objet de luxe. Et le peuple n’acceptera jamais une telle obligation de disposer d’une voiture tout électrique. Enfin, malgré des réserves considérables de lithium dans le monde, certes insuffisantes pour une conversion totale du parc automobile des pays développés, il faudra envisager un recyclage du lithium des batteries. Or, compte tenu des propriétés chimiques de ce métal il n’existe encore aucune entreprise industrielle capable de recycler ces batteries à un prix compétitif, c’est-à-dire équivalent à celui du lithium métal produit industriellement. La principale production de lithium est le chlorure ou le carbonate utilisés pour celle du « lithium » des batteries qui est en fait du cobaltate de lithium LiCoO2, d’où l’importance du cobalt dans la confection des batteries.

Dès lors la production de cobalt revêt une importance capitale dans la production de ces batteries. Il y a cependant un gros problème avec ces batteries. Au delà de 130 °C, une température qui peut être atteinte au cours d’un cycle de charge rapide, le cobaltate de lithium se décompose en produisant de l’oxygène et la batterie s’embrase rapidement.

Puisqu’il fallait mentionner la présence de cobalt dans les batteries des automobiles, en poids 7 fois plus que de lithium, il est intéressant de faire un petit tour d’horizon du marché du cobalt. Cobalt métal : 60000 dollars la tonne, 91 % d’augmentation en un an, principaux producteurs : RD Congo, Russie, Australie et en dixième position Nouvelle-Calédonie avec 2800 tonnes par an (2017) … et la France veut se séparer du « Rocher » ! La répercussion sur le prix d’une batterie de voiture est alors immense puisqu’il faut compter sur près de 10000 euros de cobalt par véhicule. C’est considérable en regard des 770 euros de lithium. Pour une berline les constituants de la batterie atteignent donc 12770 euros. Si un de mes lecteurs tente de me convaincre d’acheter une voiture tout électrique il devra s’orienter vers la voiture à pile à combustible, technologie que les constructeurs de sous-marins connaissent parfaitement, et qui ne pourra être démocratisée que lorsque la production d’hydrogène sera économiquement rentable tout en étant décarbonée, un but qui ne pourra être atteint qu’à l’aide de réacteurs nucléaires à haute température. En conclusion convertir tout un pays en voitures électriques avec batteries Li-ion est une illusion et la voiture électrique avec pile à hydrogène attendra des jours meilleurs …

Ivan Rioufol : l’archétype du journaliste idiot, agressif et ignorant !

J’ai donc reçu ce lien d’un lecteur de mon blog :

https://www.youtube.com/watch?v=9KCBR2bqmag&ab_channel=julienloubard et je voudrais réagir.

Ivan Rioufol est-il habilité à débattre de problèmes d’infectiologie et d’épidémiologie devant l’un des plus grands épidémiologistes d’Europe et infectiologue de réputation mondiale ? Rioufol n’a pas, comme la plupart de journalistes qui considèrent qu’ils sont omniscients, laissé le Professeur Perronne exposer son point de vue car il a une mission : détruire la réputation de cet éminent scientifique car elle perturbe l’agenda des politiciens français et européens. Il est tout simplement insupportable de constater qu’un journaliste croit tout connaître des virus, des évolutions des épidémies, …

Le Professeur Perronne avait un message important à passer et Rioufiol l’en a systématiquement empêché. Ce personnage ne mérite pas d’être journaliste sur une chaine comme Cnews que j’apprécie par ailleurs, et uniquement pour l’émission animée par Christine Kelly « Face à l’info » car celle-ci, et c’est sa qualité première, laisse ses interlocuteurs parler, comme d’ailleurs Frédéric Taddeï sur RT. Je suggère à Rioufol de prendre sa retraite le plus rapidement possible pour cesser de polluer le peu de respectabilité qui reste dans le paysage audiovisuel français.

Quand on interroge un scientifique sur un plateau télé il faut le laisser parler sans l’interrompre car un scientifique, et j’en sais quelque chose puisque je suis moi-même un ancien chercheur en biologie, a besoin de temps pour développer ses arguments, tous adossés sur des vérités publiées dans des revues internationales à comités de lecture. Je sais ce dont je parle puisque j’ai été soumis à cette sorte d’examen. Perronne dispose de données factuelles, incontestables, concernant l’effet tout simplement négatif de la thérapie génique que sont les soit-disant « vaccins » contre le SARS-CoV-2-Wuhan. Rioufol ne sait même pas ce qu’est un ribosome, ne sait pas ce qu’est un ARN de transfert, ne sait pas non plus ce qu’est un ARN messager, ne connait strictement rien en épidémiologie : un virus à ARN, comme tous les virus à ARN appelés rétrovirus, a tendance à muter au cours du temps et il perd progressivement de son pouvoir infectieux. Perronne n’a même pas eu le temps d’exposer ce résultat central.

Rioufiol, à croire qu’il a été payé par Pfizer, a contesté le fait que les double-vaccinés sont maintenant les malades les plus fréquemment hospitalisés dans les services d’urgence dans les pays où pratiquement toute la population a été « vaccinée ». C’est pourtant un fait, toutes les statistiques le montrent. Perronne était sur le point d’expliquer pourquoi il en était ainsi mais il a été interrompu. Il s’agit de ce que le corps médical a coutume d’appeler l’ « antibody-dependent enhancement (ADE). Pour faire simple la thérapie génique consistant à injecter un ARN messager codant pour la protéine « spike » provoque la synthèse de cette dernière et l’apparition d’anticorps puisqu’il s’agit d’une protéine étrangère, le but étant de protéger les personnes « vaccinées » contre une infection par le coronavirus. Or ce n’est pas le cas : les « vaccinés » réagissent plus violemment à une infection par le « vrai » virus et beaucoup d’entre eux en meurent. C’est ce que voulait expliquer Perronne mais Rioufol ne l’a pas laissé un instant exposer ses arguments.

Maintenant en ce qui concerne les quelques 60 athlètes pleinement « vaccinés » qui ont succombé à des péricardites foudroyantes dont Perronne voulait parler, encore une fois Rioufol l’a empêché d’en parler. Pourquoi ? Parce que Rioufol fait partie de ces journalistes grassement rémunérés pour faire passer un message conforme à la politique gouvernementale. J’espère que la direction de CNEWS lira mon billet car il serait opportun pour elle de se débarrasser de cet individu toxique.

http://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/11/athletes-collapsing-and-dying-with.html