Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

L’émergence du néofascisme en santé publique

Posted by Jean-Dominique Michel  ( https://anthropo-logiques.org/lemergence-du-neofascisme-dans-la-sante-publique/ )

Note liminaire. Ce billet de Jean-Dominique Michel que je fais figurer en intégralité sur mon blog (sans autorisation de l’auteur mais il me pardonnera) résume tout ce que l’on doit comprendre pour se préparer à un futur proche et sombre auquel nous n’échapperons pas si nous ne réagissons pas rapidement et fermement car le totalitarisme fascisant ne pourra être arrêté que si les peuples en prennent conscience.

Je republie ici un texte paru sur le site du Brownstone Institute, une des sources où paraissent des contenus pertinents et non assujettis à la propagande crapuleuse qui a colonisé l’entier des médias « mainstream ».

Ceux-ci sont parvenus, avec une idéologie et des moyens totalitaires faits de désinformation, de calomnie et de harcèlement (comme nous l’avons développé précédemment), à imposer une pensée unique fallacieuse et criminelle. Ils ont intoxiqué les populations avec un narratif soigneusement ciselé mais qui est une insulte à la réalité et à l’intelligence.

Alors que les meilleurs experts au monde (par milliers) n’ont cessé de dénoncer les décisions destructrices et absurdes qui ont été prises, quand en avons-nous lu quoi que ce soit dans ces médias ?

Martin Kulldorf, épidémiologiste et professeur émérite de santé publique de l’Université de Harvard, a bien résumé la situation aux États-Unis, la même chose devant être dite ici :Après avoir supervisé le pire fiasco de l’histoire en matière de santé publique, poussé à la fermeture des écoles, ignoré les dommages collatéraux et l’immunité naturelle, mal protégé les personnes âgées, etc., il est troublant que  Fauci soit toujours à la tête du NIAID (organisme responsable de la gestion des épidémies, NdT).

Quand avez-vous lu dans les colonnes de Heidi News du Temps, de Libé ou du Monde, ou entendu sur les plateaux de la RTS, de BFM ou de la RTBF que la plupart des meilleurs spécialistes en santé publique s’opposaient avec fermeté aux mesures débiles qui nous été imposées comme les confinements, le port du masque ou l’imposition d’injections géniques hasardeuses et expérimentales à la population tout entière ?!

Nulle part et jamais, tant ces organes de « presse » ne sont plus que des propagandistes sans scrupules d’un agenda fasciste et qui n’a accessoirement jamais rien eu à voir avec la santé publique. Voici par exemple ce que rappelle le Dr Gemma Aherane maintenant qu’aux États-Unis, un début de reconnaissance commence à se manifester quant à la nocivité des confinements :Maintenant que les médias mainstream commencent à reconnaître les dommages complexes produits par les confinements, pouvons-nous s’il vous plaît nous souvenir que les experts qui ont été exprimé des réticences ont été harcelés et ont vu leurs conditions d’existence menacées. Ils ont été ostracisés, salis et ridiculisés. Ne l’oublions pas.

N’oublions en effet pas qu’ici, ce sont des gens comme Bertrand Kiefer, Serge Michel, Stéphane Benoît Godet, Claude Ansermoz, Alexis Favre et bien d’autres ainsi que des émissions comme Mise au Point et Temps Présent qui se sont chargés de manière zélée de cette sale besogne, en collusion avec les « experts » véreux de nos hôpitaux universitaires.

C’est donc avec conviction que je publie ici cette tribune du Dr David Bell, médecin en santé publique ayant travaillé pour l’OMS, portant sur l’abjection littéralement fasciste qui s’est emparée des politiques de santé publique sous l’action conjuguée des politiciens, des autorités médicales, des fonctionnaires (comme les lamentables « médecins cantonaux ») et des médias.

A bon entendeur…

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L’émergence du néofascisme dans la santé publique

Le fascisme est l’art de cacher la vérité derrière une façade de vertu saine. Il est, vraisemblablement, aussi vieux que l’humanité. Mussolini lui a simplement donné un nom – en cachant ses idées autoritaires derrière l’assèchement des marécages, la rénovation des villages, les enfants à l’école et les trains à l’heure. L’image du nazisme dans les années 1930 n’était pas celle de vitres brisées et de vieillards battus dans la rue, mais celle de jeunes souriants et heureux travaillant ensemble en plein air pour reconstruire le pays.

Il est dangereux de coller de telles étiquettes à l’époque actuelle, car elles sont porteuses d’un lourd bagage, mais cela permet aussi de déterminer si le bagage actuel que nous avions cru progressiste est en réalité régressif. Ces jeunes gens souriants et heureux des années 1930 étaient en fait formés aux arts de l’autosatisfaction, du dénigrement des idées fausses et de l’obéissance collective. Ils savaient qu’ils avaient raison et que le problème venait de l’autre camp. Cela vous est-il familier ?

Les changements sociétaux de ces deux dernières années ont été définis et dirigés par la « santé publique ». Il est donc juste de chercher des analogies avec la santé publique dans le passé pour aider à comprendre ce qui se passe, quels en sont les moteurs et où ils pourraient mener. Nous avons vu nos professions de santé publique et les associations qui les représentent appeler à la discrimination active et à la coercition sur le choix médical. Ils ont plaidé en faveur de politiques qui appauvrissent les autres, tout en maintenant leurs propres salaires, en contrôlant la vie familiale normale et même en dictant la façon dont ls gens peuvent faire le deuil de leurs morts.

Des hôpitaux ont refusé des transplantations à des personnes qui avaient fait des choix médicaux sans rapport avec l’hôpital et que celui-ci n’appréciait pas. Je les ai vus refuser à une famille l’accès à un proche mourant jusqu’à ce qu’il accepte des injections qu’il ne voulait pas, puis autoriser un accès immédiat, confirmant ainsi que ce n’était pas l’immunité, mais la conformité, qui était recherchée.

Nous avons tous vu d’éminents professionnels de la santé vilipender et dénigrer publiquement des collègues qui cherchaient à réaffirmer des principes sur lesquels nous avons tous été formés : absence de coercition, consentement éclairé et non-discrimination. Plutôt que de faire passer les gens en premier, un collègue professionnel m’a informé, lors d’une discussion sur les preuves et l’éthique, que le rôle des médecins de santé publique était d’appliquer les instructions du gouvernement. Obéissance collective.

Ces mesures ont été justifiées par le « plus grand bien » – un terme indéfini car aucun gouvernement défendant ce discours n’a, en deux ans, publié de données claires sur les coûts et les avantages démontrant que le « bien » est plus grand que le mal. Cependant, le décompte réel, bien qu’important, n’est pas la question. Le « plus grand bien » est devenu une raison pour les professions de santé publique d’annuler le concept de la primauté des droits individuels.

Ils ont décidé que la discrimination, la stigmatisation et la suppression des minorités étaient acceptables pour « protéger » une majorité. C’est ce qu’était, et est toujours, le fascisme. Et ceux qui ont promu des slogans tels que « la pandémie des non-vaccinés » ou « personne n’est en sécurité tant que tous ne le sont pas » connaissent l’intention et les résultats potentiels de la désignation de boucs émissaires pour les minorités.

Ils savent aussi, grâce à l’histoire, que la nature fallacieuse de ces déclarations n’empêche pas leur impact. Le fascisme est l’ennemi de la vérité, et jamais son serviteur.

Le but de cet article est de suggérer que nous appelions un chat un chat. Que nous disions les choses telles qu’elles sont, que nous disions la vérité. Les vaccins sont des produits pharmaceutiques dont les avantages et les risques varient, tout comme les arbres sont des objets en bois avec des feuilles. Ce sont les personnes qui ont des droits sur leur propre corps, et non les médecins ou les gouvernements, dans toute société qui considère que toutes les personnes ont une valeur égale et intrinsèque.

La stigmatisation, la discrimination et l’exclusion sur la base de choix de soins de santé, que ce soit pour le VIH, le cancer ou le COVID-19, est une erreur. Exclure et vilipender des collègues pour des opinions divergentes sur l’utilisation de médicaments sûrs est arrogant. Dénoncer ceux qui refusent de suivre des ordres contraires à l’éthique et à la morale est dangereux.

Suivre aveuglément les diktats des gouvernements et des entreprises simplement pour se conformer au « groupe » n’a rien à voir avec la santé publique éthique. Tout cela a plus en commun avec les idéologies fascistes du siècle dernier qu’avec ce qui était enseigné dans les cours de santé publique que j’ai suivis. Si c’est la société que nous souhaitons développer aujourd’hui, nous devons le dire ouvertement et ne pas nous cacher derrière des façades de fausse vertu comme « l’équité vaccinale » ou « tous dans le même bateau ».

Ne nous laissons pas enfermer dans les subtilités politiques de la « gauche » et de la « droite ». Les dirigeants des deux principaux régimes fascistes d’Europe des années 30 étaient issus de la « gauche ». Ils s’appuyaient fortement sur les concepts de santé publique du « plus grand bien » pour éliminer les penseurs inférieurs et les non-conformistes.

Notre situation actuelle appelle à l’introspection, pas à la partisanerie. En tant que profession, nous nous sommes conformés aux directives visant à discriminer, stigmatiser et exclure, tout en brouillant les exigences en matière de consentement éclairé. Nous avons contribué à supprimer les droits humains fondamentaux – à l’autonomie corporelle, à l’éducation, au travail, à la vie familiale, à la circulation et aux déplacements. Nous avons suivi les autoritaires des entreprises, en ignorant leurs conflits d’intérêts et en les enrichissant alors que notre public s’appauvrissait. La santé publique n’a pas réussi à mettre les gens aux commandes et est devenue le porte-parole d’une petite minorité riche et puissante.

Nous pouvons continuer sur cette voie, et cela finira probablement comme la dernière fois, sauf peut-être sans les armées des autres pour renverser la monstruosité que nous avons soutenue.

Ou nous pouvons trouver l’humilité, nous rappeler que la santé publique doit être au service du peuple et non l’instrument de ceux qui cherchent à le contrôler, et éliminer le monstre de notre milieu. Si nous ne soutenons pas le fascisme, nous pouvons cesser d’être son instrument. Nous pourrions y parvenir simplement en suivant l’éthique et les principes fondamentaux sur lesquels reposent nos professions.

David Bell, chercheur senior du Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Foundation for Innovative New Diagnostics (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, aux États-Unis. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale. MBBS, MTH, PhD, FAFPHM, FRCP

Et une autre friandise de J-D Michel à écouter attentivement au moins 2 fois : https://anthropo-logiques.org/presse-collabo-et-pouvoirs-pervers-lequation-du-desastre/

Scandale républicain à trois semaines de l’élection présidentielle !

Il s’agit d’un véritable scandale mais les grands médias n’en parleront pas. L’avocate au barreau de Paris Virginie de Araujo-Recchia a été arrêtée à son domicile ce mardi 22 mars 2022 et transférée dans les locaux de la DGSI à Levallois. Que lui reproche-t-on ? Spécialiste du droit constitutionnel Maître Araujo-Recchia a déposé une plainte contre les parlementaires faisant partie de la Commission mixte paritaire Sénat-Parlement ayant voté la loi du 5 août mettant en place le pass vaccinal pour non respect de la Constitution. Elle a également déposé une plainte au CSA contre les journalistes Emmanuel Lechypre et Martin Blachier pour affirmations mensongères sur les plateaux des grands médias au sujet de la « vaccination » devenue obligatoire pour plusieurs catégories professionnelles.

Maître Araujo-Recchia est également membre d’un collectif européen d’avocats mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich pour tenter d’élucider le scandale de la « vaccination » par ARN messager contrevenant aux dispositions du Code de Nuremberg. L’arrestation de Maître Araujo-Recchia a suscité une grande émotion dans de nombreux pays européens et au delà puisque des associations québecoises et même australiennes ont manifesté leur surprise et leur consternation.

La « vaccination » de masse avec un produit expérimental entre dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux laboratoires pharmaceutiques produisant ces supposés vaccins constitue une grave anomalie juridique et éthique­. Au fur et à mesure que les informations permettent de reconstituer cette conspiration internationale il apparaît que l’objet de cette « vaccination » criminelle a pour but de réduire la population mondiale. À court terme les effets secondaires (mais sont-ils vraiment secondaires?) de cette thérapie génique a déjà conduit au décès de 14000 personnes seulement eu Europe. Or comme le signalement de la relation entre la « vaccination » et ces décès ne dépasse pas 1 %, les médecins étant réduits au silence sous la menace, le nombre de « morts par vaccin » serait plus proche de 1,4 million … et beaucoup de pays, dont la France, ont déjà planifié des injections de rappel. Sur le long terme il pourrait s’agir d’une chute vertigineuse de la fécondité. Pour plus d’indications afin de comprendre l’action de Maître Araujo-Recchia :https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/virginie-araujo-recchia-plainte-parlementaires

Note. Pourquoi ce fait divers révèle un énorme scandale ? Tout simplement parce qu’il montre que la France n’est plus une démocratie. Arrêter un journaliste ou dans le cas de ce que relate ce billet un avocat relève des pratiques communes dans l’Allemagne nazie ou la Russie soviétique. Sabs oublier les censures sur ordre du gouvernement. Je trouve comique qu’on mette en avant les algorithmes de Facebook ou de Google qui décrèteraient eux seuls ces censures. Ces censures sont demandées par le gouvernement car il a beaucoup trop de choses à dissimuler avec la mise en place de la « vaccination » et aussi la gestion de la crise sanitaire. En d’autres termes pour le gouvernement français Maître Araujo-Recchia se mêle de ce qui ne la regarde pas. Si Maître Araujo-Recchia ne réapparait pas rapidement alors le régime politique français entrera dans le domaine de l’arbitraire totalitaire, et Macron, réélu, se fera un plaisir de continuer son œuvre totalitaire.

2021: l’année où la liberté est morte

Le droit de prendre nos propres décisions médicales a disparu en 2021. Qu’enseignons à nos enfants ? Obéissez au gouvernement ou vous perdrez votre travail et ferez l’objet d’une arrestation à votre domicile. Aucun processus déterminé, aucune audience, aucune condamnation pénale n’est nécessaire. Donc l’urgence sanitaire a détruit l’Etat de droit, le fondement de toute démocratie

Analyste politique britannique Brendan O’Neill a écrit un brûlot intitulé « La Mort de l’Europe » (lien). Il aurait été préférable qu’il le titre « La mort de la Liberté », car ses remarques s’appliquent bien au-delà des frontières de l’Europe. Il décrit ce qui se passe dans une grande partie de l’Asie, une grande partie de l’Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande. En 1821, les gouvernements, en Amérique du Nord nous ont volé le droit de prendre nos propres décisions médicales en privé, en consultation avec notre médecin. Taille unique pour tous, la médecine est devenue normalisée.

En 2021, ces mêmes institutions qui ont survécu à des décennies, décidant de salaires plus élevés et de lois plus équitables du travail ont agité une baguette magique et ont décrété comme une infraction de prendre certains médicaments particuliers. Les médicaments qui sont totalement nouveaux, et pour lesquels aucune donnée de sécurité à long terme n’existe ne peuvent pas être remplacés par des vieux génériques.

Il est difficilement possible de mesurer la signification terrible de cette année 2021. Dans les mots d’O’Neill: « Ce qui se passe en Europe en ce moment n’a rien de moins terrifiant … Nous vivons une refonte de toute la relation entre l’État et l’individu, avec l’État habilité à un degré aussi extraordinaire qu’il peut désigner maintenant à ses citoyens ce sur quoi ils doivent se soumettre à une injection dans leur corps et l’individu est si politiquement émacié, donc dénudé de droits, qu’il ne peut plus apprécier sa propre souveraineté sur lui-même, sur ce qu’est son propre corps et son esprit ».

O’Neill continue ainsi : « Beaucoup semblent ne pas reconnaître à quel point une vaccination obligatoire en cours de développement est grave. Même ceux d’entre nous qui sont pro-vaccination, qui ont été heureusement « vaxxés » contre le Covid-19, devraient regarder sans rien de moins que l’horreur la proposition que devrait être une infraction à ne pas être vaccinée … Cela précise la fin de la liberté comme nous la connaissons. Si nous n’aimons pas ce pouvoir sur notre esprit et notre chair, alors nous ne sommes pas respectés et cela de manière significative ».

Ensuite, veuillez commencer à penser, très sobrement, à propos de ce que cela signifie. Chaque fois que vous montrez votre « pass » vaccinal afin d’accéder à un événement ou à un lieu de résidence dont d’autres sont exclus, vous participez à la tyrannie. Vous coopérez avec un système qui répudie la vie privée et l’individu. Un système qui exige une obéissance. Un système qui punit impitoyablement la non-conformité.

Inspiré d’un billet de Donna Laframboise, journaliste canadienne. Lien : https://www.spiked-online.com/2021/12/06/the-death-of-europe/

Brève. Joe Biden préconise le système de crédit social !

Le système de crédit social à points mis en place de manière généralisée par le parti communiste chinois ferait-il des émules dans la démocratie agonisante que sont les USA ? Au cours d’une brève interview télévisée le 3 août 2021 le Président Biden n’a pas dissimulé sont intérêt pour une telle disposition dans les entreprises et les universités, c’est un début prometteur. On pourrait en rire en se disant que Biden lutte contre la dégénérescence mentale qui s’abat sur lui. Dans la réalité c’est toute son administration gauchiste qui est derrière cette idée. C’est un peu la peur que manifeste le sénateur républicain du Kentucky Ron Paul. Il voit là un sombre présage pour l’avenir du système démocratique américain.

Toutes les technologies mises en place par la Chine pour surveiller en temps réel l’ensemble de sa population existent également aux USA et il n’y a qu’un tout petit pas à franchir. Quand les sénateurs romains constataient que l’Empire était en danger ils faisaient appel aux services temporaires d’un tyran pour remettre de l’ordre dans les institutions et si celui-ci tentait de se maintenir au pouvoir il était physiquement éliminé. Dans le genre les Etats-Unis ont assassiné un bon nombre de Présidents en exercice mais Biden sera rattrapé par sa sénilité et la suite est évidente : l’ultra-gauche du parti démocrate va répandre ses idéologies liberticides et instaurer une tyrannie de l’opinion, un pas de plus vers l’inévitable décadence de l’empire américain. Inévitablement l’Europe suivra. Ron Paul, médecin obstétricien et sénateur, a suivi de très près l’évolution de l’épidémie qui a durement frappé les USA et il constate que la peur est instrumentalisée à des fins politiques inavouables, telles que la violence, l’intimidation, la délation, l’emprisonnement arbitraire.

Il en est de même pour quelques pays européens qui sont tentés d’imiter la France avec la mise en place du « pass sanitaire », prélude à un basculement inévitable vers le totalitarisme. J’avais commencé la rédaction de cette brève et quand j’ai appris que le Conseil Constitutionnel français vient d’entériner globalement de projet de fichage de tous les Français, l’opinion de Ron Paul me paraît d’une actualité brûlante. Les élites françaises viennent de franchir une ligne rouge et les conséquences seront très graves. Lien : https://youtu.be/skKWv0R9AO8

Brève. « Covid-long » : des effets insoupçonnés en France et ailleurs

« En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal » (Machiavel)

Pêle-mêle, une énumération à la Prévert des effets du « covid-long », sans ordre logique pouvant être calqué sur l’évolution de la maladie :

Libertés individuelles piétinées, liberté de prescrire par les médecins restreinte, principe de précaution ignoré, liberté d’expression mise en danger, démocratie muselée : les représentants du peuple réduits à une chambre d’enregistrement, censures par les GAFAM sur ordre des gouvernements, désaffection pour les devoirs civiques, entrave aux libertés de culte religieux, entrave à la liberté de se rassembler, entrave à la liberté de manifester en public, entrave à la bonne marche de l’enseignement depuis le collège jusqu’à l’université, retour à des pratiques moyenâgeuses sans discernement (confinement), disparition de la liberté individuelle au profit de l’intérêt du groupe (cf. Note), obéissance du peuple et retour de la délation comme lors de l’occupation du pays par l’Allemagne nazie, corruption à tous les niveaux : depuis l’OMS, l’Agence européenne de santé, l’Agence française du médicament, l’Ordre des médecins, le conseil gouvernemental de santé jusqu’aux pseudo-médecins de plateaux télé, interdiction de certains médicaments prescrits à des milliards de personnes sous prétexte qu’ils sont toxiques, fausses nouvelles, faux articles scientifiques, fausses statistiques, faux modèles prévisionnels, utilisation abusive de techniques de biologie moléculaire inadaptées, faux vaccins, utilisation massive des populations comme animaux de laboratoire. Et enfin politisation et financiarisation de la santé au détriment des patients sans oublier les internements en clinique psychiatrique d’opposants à la politique vaccinale du gouvernement qui rappellent les heures sombres de l’URSS sous Andropov.

J’arrête là cette énumération … Pour les dirigeants politiques le « moindre mal » aura été un asservissement et une surveillance totale des populations avec la mise en place du QR-code sanitaire ouvrant la voie à la dictature. Machiavel aurait assisté à une démonstration à grande échelle de son mot cité en préambule de ces quelques lignes.

Note. Privilégier l’intérêt du groupe au détriment de l’intérêt de l’individu est contraire à la démocratie. En conséquence la France (et pas seulement ce pays occidental) s’achemine vers la mise en place d’un système totalitaire à la chinoise. Lire par exemple ce document :  http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210208/pro_2021_02_11.html

Brève. Le coronavirus : un cas de névrose collective qui touche surtout les politiciens.

Les autorités espagnoles ont décrété que les fumeurs (dont je fais partie) n’ont plus le droit de fumer dans la rue et les lieux publics ouverts sous le prétexte hallucinant que les microparticules de fumée pouvaient transporter des coronavirus et ainsi être susceptibles de contaminer les passants et ceci d’autant plus que les fumeurs seraient plus sensibles au coronavirus. Je suis disposé à parier un paquet de cigarettes que cette mesure va être adoptée par tous les gouvernements européens dans les prochains jours.

Comme je suis encore curieux j’ai effectué une rapide recherche sur internet et il s’avère que la disposition prise par les autorités espagnoles s’appuie sur le fait qu’une particule de fumée, pour être visible à l’oeil nu, doit avoir un diamètre d’au moins 7 microns. Elle est donc 10000 fois plus grosse en volume qu’un coronavirus dont le diamètre n’est que de 0,125 microns.

C’est l’aspect strictement géométrique de la situation et sur cette base il n’y a qu’un pas à franchir pour interdire de fumer dans la rue et à une terrasse de café. Le message est on ne peut plus clair : si vous voulez fumer confinez-vous chez vous et n’emmerdez pas les autres avec votre fumée et vos virus.

Mais il y a tout de même un détail troublant. Il faut que ce virus soit en quelque sorte un virus sauteur, ou baladeur comme vous voudrez, qui va se délivrer des muqueuses recouvrant les bronches et les bronchioles et s’agripper à une particule de fumée qui, elle-même, n’a pas réussi à se coller sur ces muqueuses pour réussir à être exhalée et se retrouver donc dans l’air entourant le fumeur, véritable aéronef transportant un ou plusieurs virus, pour ensuite joyeusement contaminer en priorité les non-fumeurs, cela va se soi.

Les autorités espagnoles ont aussi avancé l’argument (fallacieux on va le découvrir) que les fumeurs avaient les poumons fragilisés et qu’ils étaient donc plus sensibles au virus. Erreur de leur part ! J’ai découvert en entrant dans mon browser les mots « fumée » + « cigarette » + « coronavirus » , en anglais, un article (lien ci-dessous) relatant une étude réalisée au plus fort de l’épidémie de grippe coronavirale dans les hôpitaux d’Alcazar de San Juan, Avila et Salamanca que les fumeurs étaient statistiquement plus résistants que les non-fumeurs à l’orage cytokinique lors du stade avancé de la grippe coronavirale.

Bref, on ne sait plus à quoi s’en tenir mais il y a un fait certain c’est la névrose qui a envahi le monde politique au sujet de ce virus au sujet duquel il faut entretenir la peur. De ce fait on ne parle plus de morts mais de cas positifs … et c’est semble-t-il bien plus préoccupant. Vivement un vaccin russe ou cubain, allez savoir, avant qu’un pouvoir totalitaire s’abatte sur tous les peuples et les prive des libertés individuelles les plus fondamentales. Un jour prochain les peuples se soulèveront contre le pouvoir politique et ce sera sanglant …

Liens : https://www.theolivepress.es/spain-news/2020/07/01/nicotine-can-help-fight-coronavirus-at-its-most-lethal-stage-spain-study-finds/

https://www.bbc.com/news/world-europe-53763267

Petite illustration vécue de l’insignifiance cérébrale du citoyen moyen

Mardi matin j’ai décidé de me faire plaisir, émergeant d’un problème de santé en apparence bénin qui aurait pu très mal se terminer, et je suis allé dans le magasin près de mon domicile où sont vendus les produits de la meilleure pâtisserie de l’île située à 100 kilomètres de Santa Cruz sur la côte nord. Je connais cet endroit depuis longtemps et j’ai appris également que le patron de cet établissement a appris la pâtisserie en France, un peu de fierté nationale ne fait pas de mal. J’entre dans ce magasin sans masque (j’en avais un dans la poche de ma chemise) et je me fais immédiatement tancer par la jeune vendeuse. J’étais le seul client. La réaction presque agressive de cette jeune personne m’a amusé.

  • Mais je ne souffre ni de la grippe ni d’un rhume, donc porter un masque ne sert à rien.

  • Ah mais monsieur, c’est le gouvernement qui l’a dit et on l’a vu à la télévision. Mettez votre masque.

  • Et vous, pourquoi portez-vous un masque ? Vous n’êtes pas malade, alors ça ne sert à rien.

  • Ah ! Mais c’est la loi.

Le mot était prononcé : La LOI. Certes les autorités politiques à la tête de leur pays ont pour devoir de protéger les citoyens et la santé fait partie du panel entrant dans leurs devoirs de protection. Mais comme n’a pas voulu le comprendre cette jeune fille dont j’ai admiré rétrospectivement la docilité il y a des décisions gouvernementales prises sans aucune justification scientifique. Le port du masque comme d’un préservatif quand on envisage d’avoir une relation sexuelle avec une personne dont on ignore l’état de santé peut se justifier, un masque est ainsi considéré comme une protection au même titre que le préservatif. Mais porter un masque sans présenter le moindre symptôme grippal est totalement injustifié.

Cette attitude autoritaire des gouvernements au moins occidentaux rappelle la peur du HIV, maladie virale pour laquelle il n’existe toujours pas de vaccin et qui fit on ne sait même pas combien de millions de morts : si les vraies statistiques étaient rendues publiques elles feraient très peur. Malgré la mortalité toujours inférieure à celle de la grippe asiatique de la fin des années 1950 les politiciens ont ressorti avec cette grippe coronavirale les vieux démons de la promotion de la peur. Et il faut bien prendre soin d’alimenter cette peur. Dès qu’un nouveau cas est signalé on confine à nouveau des dizaines de milliers de personnes. Au nom de la loi il faut que le monde politique domine les citoyens au prix d’une atteinte aux libertés individuelles, une problématique qui n’a pas effleuré cette jeune fille, mais surtout d’une destruction de la démocratie ouvrant la perspective d’un « monde d’après » (après le virus) encore plus vert et encore plus totalitaire, deux orientations politiques qui désormais vont de pair …

Brève. Le totalitarisme climatique est d’actualité

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Un incroyable article vient de paraître avec la publicité mondiale qui l’accompagne dans la revue BioScience. Il est naturellement en libre d’accès, propagande oblige et cosigné par deux scientifiques répondant aux noms de William J. Ripple et Christopher Wolf de l’Université de l’Oregon. Sans aucune gène quelconque pas moins de 11000 scientifiques ont signé un manifeste appellant l’humanité toute entière à limiter les naissances car il y a une « urgence climatique » extrême.

Alors que l’administration Trump finalise la sortie des USA des accords de Paris sur le climat et que depuis l’élection de Donald Trump les scientifiques nord-américains n’ont jamais cessé de revendiquer une perennité de leurs financements de recherche cette prise de position extrêmiste est tout à fait compréhensible du point de vue de ces scientifiques, la majorité d’entre eux étant encartés à « Alliance of World Scientists », une organisation ouvertement extrêmiste qui organise les demandes de crédits de recherche auprès des administrations pour que celles-ci aient de près ou de loin un intérêt dans le cadre de la recherche sur le changement climatique. Peut-être que seules les mathématiques fondamentales et la physique théorique échappent au label « recherche sur le climat » …

On s’achemine donc vers une stérilisation autoritaire des femmes (et des hommes) comme le gouvernement chinois la pratique déjà pour les minorités musulmanes de Chine. C’est vrai, je n’invente rien ! Le totalitarisme climatique se met donc progressivement en place reprenant à la lettre les thèses malthusiennes scandaleuses et nauséabondes du Club de Rome.

Ces scientifiques, extrêmistes sinon fascistes, ont-ils perdu tout sens moral ? On ne peut qu’être effrayé et écoeuré par cette prise de position extrême qui rappelle les heures les plus sombres du milieu du XXe siècle …

Source : https://doi.org/10.1093/biosci/biz088

Brève : Olivier Delamarche sur RT France

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De toute évidence le gouvernement français et les plus hauts responsables de l’Etat sont énervés par le fait qu’Olivier Delamarche, un analyste économique remarquable, bien que je ne sois pas toujours de son avis en ce qui concerne le Japon, respecté par de nombreux médias a été interdit de séjour à BFMTV et c’est maintenant le mouvement politique majoritaire en France qui a interdit à RT de suivre la campagne pour les élections européennes. Le monde politique français, à l’évidence, dérive vers un musellage des sites d’informations qui échappent à la main-mise des copains ultra-riches du président qui contrôlent presque l’ensemble des médias que les Français regardent ou lisent chaque jour. Non seulement l’Etat français met à mal l’intégrité physique des citoyens en organisant une répression digne des régimes totalitaires de l’ex-Europe de l’est à l’encontre des Gilets jaunes mais il veut museler les canaux d’information.

J’ai découvert RT France et aussi RT News en anglais et je suis vite devenu un spectateur assidu car on y trouve de l’information brute, non bi-distillée par des salles de rédaction aux ordres du pouvoir politique ou financier. Poutine, accusé de tous les maux comme le climat, se moque des activités de RT France, il a d’autres problèmes à résoudre tant domestiques qu’internationaux. Avec cette interdiction de couvrir la campagne électorales du parti au pouvoir, au moins à l’Assemblée nationale en clamant telle une vierge effarouchée que RT est l’oeil et l’oreille de Moscou, c’est tout simplement ridicule …