Le gyre de l’Atlantique Nord, le climat européen et les ouragans

Les spécialistes du climat s’accordent pour affirmer que les conditions climatiques particulières de l’Europe occidentale dépendent étroitement des courants marins qui structurent les eaux de l’Atlantique Nord de par leur salinité et de leur température. Il s’agit du « gyre » de cette partie septentrionale de l’Océan dont les courants tournent dans le sens des aiguilles d’une montre. Il existe un autre gyre dans l’Atlantique Sud dont la rotation est inversée, un autre dans l’Océan Indien et deux gyres dans l’Océan Pacifique. Il est nécessaire d’examiner en détail la carte ci-dessous pour comprendre la suite de cet exposé qui n’a comme seule prétention d’aider à comprendre quelles sont les conséquences de ce gyre sur le climat de l’Europe et également sur les phénomènes météorologiques violents qui affectent le continent nord-américain périodiquement, nommément les ouragans.

Le gyre de l’Atlantique Nord a pour conséquence un transport de l’énergie thermique en provenance de la zone de convergence intertropicale (ITCZ) vers le nord en passant à travers de l’arc antillais résultant dans la formation du grand courant chaud du Gulf Stream. Ce courant chaud tempère le climat de l’Europe occidentale et permet par exemple au port de Reykjavík d’être libre de glaces toute l’année bien qu’étant situé tout près du Cercle Polaire. Des diverticules viennent tempérer le Golfe de Gascogne et la Mer du Nord ainsi que la côte sud du Groenland ayant pour désagréable effet de provoquer la migration des icebergs vers le sud et l’est. Les lignes rouges en pointillé et en points sur cette carte sont les limites habituelles de ces icebergs et limites absolues relevées, pour l’anecdote, depuis le milieu du dix-neuvième siècle par les pêcheurs de morue et les baleiniers.

Entre l’été et l’hiver boréal l’intensité des courant du gyre varie imperceptiblement car seule la profondeur du courant est affectée. Les différences de salinité expliquent les diverticules mentionnés précédemment car outre la température des eaux du gyre la densité et également la teneur en sel dépendent de la température, la salinité augmentant avec l’évaporation dans la zone intertropicale. Les évènements météorologiques violents, les ouragans, prennent naissance à proximité de l’archipel du Cap Vert en raison des perturbations provoquées par le puissant courant froid des Canaries dont la cause est une remontée des eaux profondes froides vers la surface (upwelling en anglais) qui, combinées aux vents alizés de nord-est donnent naissance à des foyers de dépression atmosphérique qui vont se charger en énergie thermique en traversant l’Atlantique au nord de l’ITCZ pour arriver finalement vers le golfe du Mexique ou la côte est des Etats-Unis. Il s’agit des vortex de Von Karman bien décrits dans la littérature spécialisée. Il faut ajouter à ce bref résumé le fait que plus on s’éloigne des côtes atlantiques de l’Europe moins l’influence du courant chaud de l’Atlantique Nord se fait sentir. Il y a un autre élément peu mentionné mais tout de même bien réel : le courant des Canaries est froid, il y a donc peu d’évaporation des eaux océaniques, les vents dans cette région sont orientés de secteur nord-est et c’est l’une des explications de la présence d’une vaste zone désertique sur le nord du continent africain en particulier dans le sud marocain.

Si ce large système de courants marins était stable tout se passerait bien mais il n’en est rien. La position de l’ITCZ varie pour une raison encore mal connue. La précession des équinoxes a été évoquée ainsi que l’angle du plan de l’écliptique mais sans conclusions satisfaisantes. Ce qui a pourtant été montré avec certitude est une remontée d’environ 25 degrés de latitude vers le nord de l’ITCZ à la fin du Dryas récent. La fonte massive des glaciers européens et nord-américains à la fin brutale de la dernière glaciation aurait provoqué un afflux d’eau douce perturbant alors cette zone de convergence des gyres nord et sud-atlantiques, les eaux de surface moins salées en raison de cet afflux d’eau douce provenant de la fonte des icebergs ayant eu pour effet la création d’un conflit dans la zone de convergence et aurait eu pour conséquence une remontée significative de celle-ci vers le nord. Mais cette explication n’a pas remporté l’unanimité des spécialistes. Néanmoins il s’agit de la cause première de la luxuriance du Sahara durant l’Holocène, période suivant immédiatement le Dryas, alors soumis au régime de moussons normalement situé le long du grand Golfe de Guinée. Cette conséquence est alors facile à comprendre, le Sahara fut pendant près de dix mille ans une zone de savane arborée parcourue de rivières et parsemée de lacs.

Toute l’Europe occidentale profita d’un climat particulièrement doux durant cette période qui dura plus de 8000 ans, l’optimum de l’Holocène, avec un recul prononcé des glaciers alpins et une remontée de la zone arborée jusqu’à 2500 mètres d’altitude comme en atteste la découverte de grosses souches d’arbres à ces altitudes dans tout l’arc alpin. Les paléo-climatologues ont confirmé ces faits et ont même évalué la température moyenne à celle supérieure de 4,5 °C aux températures moyennes actuelles. S’affoler d’un réchauffement du climat de 1,5 °C est à l’évidence une stupidité. Loin de moi la prétention de vouloir prédire l’avenir mais il existe un signal faible, comme mentionné dans un récent billet, qui autorise une constatation que chacun est libre d’admettre compte tenu de la propagande climatique actuelle. Il s’agit des évènements météorologiques violents qui sont une indication de la tendance du climat.

Nous avons vu que les ouragans suivent grosso modo la partie sud du gyre de l’Atlantique Nord en se chargeant d’énergie thermique au cours de leur cheminement vers l’Amérique du Nord. La source de cette énergie thermique n’a qu’une seule cause : la température des eaux de surface de l’océan. Cette température n’a qu’une seule origine, l’irradiance solaire. Collecter des données météorologiques relatives à ces évènements violents est d’une simplicité abécédaire. Il apparaît que depuis plus de 40 ans l’énergie cumulée des ouragans dans l’Atlantique Nord est stable voire déclinante alors que les modèles climatologiques provenant des compilations de l’IPCC prévoient une augmentation de cette énergie beaucoup plus élevée comme le montre la figure ci-dessous :

Le nombre cumulé d’ouragans (Atlantique Nord), de cyclones (Océan Indien et Pacifique Sud) et de typhons (Pacifique Nord) reste remarquablement stable si on considère seulement leur énergie.Au cours des 40 dernières années la moyenne de ces énergies indique que l’année 2022 a été de 30 % inférieure à cette moyenne et si on s’attarde sur le caractère dévastateur de ces évènements on constate que la tendance est une diminution de ce dernier :

Où est l’erreur ? Il m’a fallu beaucoup de temps de réflexion pour comprendre ce que signifiaient les données présentées par ces graphiques. Que le nombre cumulé d’évènements cycloniques violents soit stable est facile à comprendre. Il s’agit d’une conséquence de l’inertie thermique des océans au moins jusqu’aux premiers 100 mètres de profondeur. Avec une surface couvrant près de 70 % de la surface de la Terre les océans représentent une réserve d’énergie qu’un être humain a de la peine à imaginer et les océans sont l’un des premiers acteurs de la stabilité toute relative du climat dont celui de l’Atlantique Nord en ce qui concerne l’Europe occidentale. L’énergie cumulée d’n cyclone est une grandeur métrique calculée à partir de la somme des vitesses des vents relevées toutes les six heures exprimée en miles nautiques par heure élevée au carré et cette somme est divisée par 10000, une image de cette énergie admise par les spécialistes dans ce domaine. Bref, si le nombre d’évènements météorologiques reste stable leur énergie est stable, ce qui signifie que l’apport solaire en énergie est stable depuis au moins quarante ans contrairement aux prévisions de l’PCC systématiquement alarmistes, organisme qui clame que le réchauffement du climat est irréversible et détruira la planète.

Les dernières preuves de l’arrivée d’un climat plus froid et donc que l’énergie que peut accumuler un ouragan en traversant l’Atlantique Nord diminue est le nombre d’ouragans violents ayant atteint les Etats-Unis au cours des 50 dernières années. Comme l’indique le graphique ci-dessous la tendance générale est une nette diminution que seuls les esprits chagrins contesteront :

Il s’agit d’un autre signal faible précurseur d’un changement dans l’évolution du climat qu’il faudra surveiller au cours des années à venir. Toujours dans cet ordre de constatation de signaux faibles si la région sahélienne se reverdit lentement en raison d’une augmentation presque insignifiante de la teneur en CO2 atmosphérique la sécheresse prendra le dessus comme cette évolution existe depuis plus de 3000 ans, alors on parlera en Europe de réfugiés climatiques non pas en raison du réchauffement mais du refroidissement du climat avec comme corollaire une sécheresse provoquée par la diminution de l’évaporation des océans. 

Sources : variées et illustrations Wattsupwiththat.com 

Brève. Les USA s’enfoncent dans une crise existentielle préoccupante

L’objet de cet article n’est pas l’Ukraine ni les menées géopolitiques américaines en Asie mais un fait de société très alarmant qui résume l’état de la société américaine au bord d’un gouffre existentiel. Il s’agit de la forte augmentation de la mortalité infantile en 2019, 2020 et 2021. Le très sérieux Journal of American Medical Association (JAMA) décrit les faits dans un éditorial paru le 13 mars 2023 (doi : 10.1001/jama.2023.3517). L’accroissement de l’espérance de vie globale a cessé de croitre aux Etats-Unis dès 2010 et cette tendance est plus prononcée chez les enfants et les seniors. En ce qui concerne plus précisément la mortalité des enfants, l’effet coronavirus a été négligeable puisqu’il ne rend compte que de 20 % de cette augmentation de mortalité. Cependant, toutes causes confondues et dans la tranche d’âge de un à dix-neuf ans cette mortalité a augmenté de 10,7 % entre 2019 et 2020 et encore de 8,3 % entre 2020 et 2021. Cette augmentation est la plus forte depuis plus de 50 ans. Dans cette tranche d’âge la plus importante augmentation de mortalité a été observée pour les enfants de 10 à 19 ans. Les trois principale causes de cette mortalité sont les homicides, les suicides, les empoisonnements par des drogues, illicites ou non, et l’alcool.

Le nombre de suicides chez les adolescents avait déjà augmenté dès 2013 atteignant jusqu’à 69,5 % d’augmentation en 2019 avant l’apparition du coronavirus. Dans cette tranche d’âge 10-19 ans l’augmentation de morts par overdose de drogues a augmenté, sur cette même période 2013-2019, de 113,5 %. Enfin l’usage d’armes à feu par ces jeunes adolescents explique un pourcentage élevé de cette mortalité, jusqu’à 47 %, incluant aussi les suicides, les homicides et les agressions racistes entre blancs et noirs ou « latinos ». Les enfants d’origine africaine ont 20 fois plus de chance de mourir par armes à feu que les blancs ! Le tableau dressé par cet éditorial du JAMA fait froid dans le dos. Et si on se contente d’en faire une analyse objective on arrive à la constatation que la société américaine, qu’il s’agisse des parents ou du système scolaire, ne prend plus soin de sa jeunesse. La crise sociale que subit la société américaine au niveau des coûts des dépenses de santé a complètement occulté les progrès de la médecine pédiatrique. L’avenir de ce pays est donc en grave danger … 

Quel Français a prédit la marchandisation de la santé il y a près d’un siècle ?

On assiste aujourd’hui avec la crise coronavirale qui a amplifié le phénomène une marchandisation de la santé. Par expérience personnelle, ayant vécu de près la manière dont on traitait les sujets à l’hôpital dans l’île de Tenerife lorsque je fus suspecté de souffrir d’une tumeur cancéreuse de la prostate : c’était une course effrénée aux diagnostics techniques coûteux tels que, je les énumère, IRM, scanner, gamma-graphie avec injection de technétium-99, analyses sanguines variées et rendez-vous planifié pour une radiothérapie auquel je n’ai pas donné suite sans oublier une ablation de la prostate par chirurgie que j’ai refusé. Le seul traitement que j’ai accepté est la triptoréline, une molécule que je connais bien puisqu’elle a été mise au point après 20 années d’essais sur divers animaux puis l’homme par un ancien collègue du Salk Institute (voir note en fin de billet). Prix d’une injection : 450 euros et 3 injections sur 18 mois = 1350 euros, c’est-à-dire à peu près le coût moyen de chacune des investigations effectuées à l’hôpital qui reçoit naturellement des subsides gouvernementaux en fonction du nombre et du prix de chaque acte.

Voilà ce qu’est la marchandisation de la médecine hospitalière et c’est ce que Jules Romain effleura dans la pièce de théâtre « Knock ou le Triomphe de la Médecine » qui fut joué pour la première fois à Paris le 14 décembre 1923 avec Louis Jouvet dans le rôle du Docteur Knock. Cette œuvre de Jules Romain dénonça l’aspect commercial de la médecine il y a presque 100 ans et c’est ce à quoi on assiste aujourd’hui dans la plupart des pays développés.

Le film de Guy Lefranc « Knock » met en scène à nouveau Louis Jouvet. Le scénario est directement inspiré de la pièce de Jules Romain qui a écrit les dialogues. Ce film est sorti en 1951, près de 30 ans après la pièce de théâtre et il est d’une brûlante actualité à l’issue de la pandémie de SARS-CoV-2 et de la gigantesque escroquerie des « vaccins » à ARN messager au sujet de laquelle j’ai disserté il y a quelques jours sur ce blog mentionnant cette financiarisation de la médecine et ses conséquences sur l’attitude des décideurs politiques qui ont piétiné le Code de Nuremberg et organisé une collusion coupable avec les médias pour modeler l’opinion publique afin qu’elle accepte n’importe quoi pourvu que les laboratoires pharmaceutiques réalisent des profits.

Comme ce que l’on connait le mieux est l’expérience personnelle il est opportun de rappeler que tous les hommes, à partir de 50 ans, souffrent de problèmes de prostate. Au delà de 70 ans plus de 70 % des hommes en souffrent et ce pourcentage augmente encore avec l’âge. L’espérance de vie chez les hommes en France est statistiquement de 79 ans, combien d’hommes meurent à cet âge de problèmes de prostate ? Certainement une minorité car beaucoup d’autres maladies sont beaucoup plus létales qu’une petite tumeur cancéreuse de la prostate. Mitterand en est mort mais sans doute aurait-il vécu plus longtemps si les nouveaux traitements comme celui que j’ai accepté dans mon cas personnel avaient existé. Il est intéressant d’insister sur les analyses médicales prescrites par les médecins qui pour la plupart ont oublié qu’un bon diagnostic est la meilleure approche pour atteindre une guérison. Knock part du principe que toute personne bien portante est un malade qui s’ignore, pourtant je me souviens très bien du vieux médecin de famille, à la campagne, qui prescrivait au pire de l’aspirine, prenait soin de regarder les yeux, la langue, la gorge, comptait les pulsations cardiaques avec sa montre à gousset et auscultait son patient, vérifiait le réflexe dont j’ignore le nom en assénant un petit coup sous la rotule et examinait visuellement l’urine après l’avoir sentie par deux fois, c’est vrai, je n’invente rien. Sans même vous examiner le médecin prescrit aujourd’hui une analyse de sang parce que les chiffres crachés par la machine entièrement robotisée qui prend en charge l’analyse sont rassurants car il y a un bout de papier avec une série de chiffres. Une analyse sanguine comportant une trentaine de paramètre coûte près de 100 euros. Combien d’analyses sanguines inutiles sont effectuées chaque année dans un pays comme la France ? Peut-être plus de 20 millions, je n’en sais rien, cela fait partie de la marchandisation de la médecine. Et les analyses sanguines sont un tremplin pour soutenir les profits des laboratoires pharmaceutiques qui font pression sur les autorités sanitaires nationales et européennes dans le cas de l’UE pour modifier les normes afin d’écouler des produits nouveaux comme par exemple les statines en jouant sur les divers types de cholestérol circulant pour promouvoir auprès des médecins ces médicaments dangereux.

Au cours de la pandémie de coronavirus a été mis en place un test dit PCR utilisant une technique que je connais bien pour l’avoir utilisée au cours de ma carrière de recherche en biologie qui n’est en rien adaptée à des tests de diagnostic. De plus elle a été dévoyée en procédant à une amplification démesurée afin de révéler au mieux la présence d’ARN viral dans un prélèvement salivaire ou dans le larynx. Inutile et dangereux car l’adaptation de cette technique initialement réservée à la recherche en biologie moléculaire a conduit à révéler des faux positifs et des faux négatifs noyés dans des artéfacts. Combien ont couté ces tests à un pays comme la France, deux, trois, quatre, cinq milliards d’euros ? Pour enrichir un laboratoire allemand qui produisait initialement les réactifs destinés à la recherche et qui se frottait les mains en adjoignant une transcriptase réverse fabriquée avec des levures génétiquement modifiées. Voilà encore un exemple de la marchandisation de la médecine : il faut une analyse de sang avec des pourcentages, un test d’urine avec également des chiffres, un test génétique, une recherche d’anticorps, un scanner, un cliché IRM, sinon le médecin, généraliste ou spécialiste, n’est plus capable de faire un diagnostic.

Merci Jules Romain … Illustration : capture d’écran du film Knock de Guy Lefranc, un des nombreux joyaux de ma collection de films. Knock (Louis Jouvet) discutant avec l’instituteur (Pierre Bertin) pour le convaincre de faire de la propagande auprès des élèves de l’école communale pour faire passer son message : « vous êtes tous des malades et vous l’ignorez » exactement la fonction des visiteurs médicaux qui abreuvent les médecins de la promotion de nouvelles molécules supposées être plus efficaces que celles, plus anciennes, qui ne sont plus protégées par des brevets …

La plus importante avancée géopolitique : le rapprochement Téhéran-Ryad

Je suis consterné par la pauvreté des informations que diffuse la rare émission d’une chaine de télévision française que j’appréciais encore en post-diffusion. Il s’agissait de l’émission animée par Christine Kelly « Face à l’Info » de Cnews. Aujourd’hui cette émission débat de faits divers et des problèmes sociétaux de la France, affligeant. Fort heureusement, afin de tenter de m’informer de ce qui se passe en France et dans le monde il ne me reste plus que le journal télévisé de TVL et l’émission sur cette même chaine intitulée « Le Samedi Politique » animée par l’excellente Élise Blaise, et c’est tout. Outre les sites d’information scientifique je navigue sur CGTN, AL24News, Rumble ou d’autres sites comme EurasiaReview, Réseau International, GlobalResearch et d’autres sites d’information dignes de ce nom, le reste étant trop entaché de propagande occidentale. On s’informe comme on peut.

J’ai donc trouvé cette émission très intéressante sur AL24News qui a motivé mon envie d’écrire ce papier (lien en fin de billet) et qui éclaire objectivement l’opinion des Français en particulier, trop occupés par des problèmes politiciens domestiques d’une médiocrité consternante. C’est la nouvelle de géopolitique la plus importante des deux ou trois dernières décennies et elle s’explique assez aisément. Le rapprochement politique et commercial entre l’Iran et l’Arabie saoudite sous l’égide de la Chine n’est pas un effet du hasard. À première vue on peut qualifier cette démarche comme étant anti-américaine, ce n’est pas faux puisque les Etats-Unis ont déclaré que leur ennemi numéro un était la Chine. Mais ce n’est qu’en partie vrai et je vais tenter de l’expliquer. L’Iran nourrit une haine anti-américaine depuis des dizaines d’années à la suite du renversement de Mossadegh en 1953, démocratiquement élu mais accusé de sympathies pour l’Union soviétique. Un coup d’état organisé par le MI6 et la CIA le destitua pour installer un dictateur sanguinaire encensé par les Occidentaux, le Shah, qui ne parlait même par le perse ! Les Anglais en voulaient à Mossadegh qui envisageait de nationaliser la compagnie pétrolière britannique implantée en Iran et les Américains, empêtrés dans la guerre anti-communiste de Corée, étaient motivés par leur croisade anti-bolchévique dans cette région stratégique du Moyen-Orient.

Du côté de l’Arabie saoudite les accords dits « du Quincy » en février 1945 entre Roosevelt et le Roi Ibn Saud officialisaient ce qui allait par la suite être le « pétro-dollar ». Il fallut de nombreuses années aux Saoudiens pour comprendre qu’ils avaient été dupés par les Américains avec cet arrangement léonin que l’on peut résumer ainsi : « Vous me vendez votre pétrole à un prix préférentiel et garanti, je vous vends des armes en retour pour votre protection et « entre parenthèses » je contrôle votre politique étrangère et nos dollars reviennent ainsi chez nous ». Quelque chose comme un accord rappelant étrangement les fameux traités inégaux imposés à la Chine au dix-neuvième siècle par l’Europe. L’arrivée de MBS au pouvoir a changé la donne. L’un des évènements majeurs qui a secoué en le dramatisant l’Occident est le découpage en rondelle du journaliste Khashoggi considéré par Ryad à juste titre comme un agent américain. Ce règlement de compte a été suivi par la décision des l’Arabie Saoudite de se faire payer en renminbi convertibles par la Chine pour toute livraison de pétrole. Si cette dernière décision signifie un rapprochement entre l’Arabie et la Chine elle revêt un autre sens, une lassitude des Saoudiens de leur vassalisation par les Etats-Unis. Par exemple les Saoudiens se moquaient du Yémen mais ils ont été contraints par les USA de se servir de leur armement strictement défensif pour détruire les positions des rebelles Houtis financés par l’Iran dans le Sud Yémen. Et c’est ce financement iranien qui déplaisait aux Américains, un autre conflit organisé par « proxy », une habitude chez les yankees.

Devant la soif d’investissements et de modernisation de leur pays les Saoudiens ont naturellement fait appel aux investisseurs chinois qui ne se sont pas fait prier car cette région du Moyen-Orient est essentielle pour les approvisionnements en énergie de la Chine et c’est aussi un point d’arrivée du projet chinois strictement commercial « Belt&Road ». Pour les Chinois il restait un point à régler : la stabilité politique dans la région. En effet, pour Pékin faire des affaires est synonyme de calme politique et social : on ne fait pas de commerce les armes à la main, un petit détail que les Américains n’ont jamais compris ! Les Occidentaux ayant catalysé le rapprochement de la Russie et de la Chine, un fait entendu, la Chine a alors tissé des échanges commerciaux avec la Turquie, toujours pour commercer (la Chine est devenue le premier partenaire commercial de la Turquie depuis quelques années) mais afin d’établir cette stabilité politique et sociale il fallait également pour Pékin s’intéresser à la Syrie, un problème plutôt compliqué pour arriver à une règlement définitif de ce conflit qui a ruiné le pays. Il y a en effet une multitude d’acteurs dans cette guerre civile d’un nouveau genre largement initiée encore une fois par les Etats-Unis qui a déjà occasionné plus de 500000 morts civils et militaires depuis 2011. La Syrie est gouvernée par la minorité alaouite proche des chiites, les Américains, les Anglais, les Français et les Iraquiens ainsi que la Turquie sont impliqués dans le conflit. La Russie est intervenue dans le cadre d’un accord d’assistance mutuelle préexistant. Et la Chine voudrait que ce pays soit stabilisé pour développer ses ambitions commerciales. Puisque trois des intervenants, Russie, Iran et Turquie, ont été approchés par la Chine pour un règlement du conflit il fallait également préparer un rapprochement de l’Arabie saoudite avec l’Iran. C’est un peu l’analyse qu’il est possible sinon raisonnable de faire aujourd’hui.

La concrétisation du rapprochement entre l’Arabie saoudite et l’Iran doit se faire à marche forcée car ces deux pays n’y trouveront que des avantages. Oublions les « petits Etats » de la région comme le Qatar, les Émirats arabes unis, Oman et quelques autres miettes sans oublier l’Etat zombie qu’est la Jordanie entièrement contrôlée par les USA qui n’a d’autre choix que d’assister au massacre de son peuple de cis-Jordanie par les colons illégaux israéliens. Cet événement doit faire rire les Chinois accusés par l’Occident de persécuter les minorités musulmanes du nord-est de l’Empire du Milieu. Il est probable que les accords bâclés dits « d’Abraham » seront dénoncés un jour ou l’autre car l’ensemble des pays musulmans sont tout simplement excédés par l’attitude raciste, belliqueuse et anti-musulmane d’Israël depuis l’arrivée des extrémistes ultra-religieux au pouvoir. Cette nouvelle donne géopolitique est justifiée également par le manque de confiance d’un grand nombre de pays envers les USA qui peuvent séquestrer à tout moment les avoirs de n’importe quel pays (notamment l’Arabie saoudite !) et de n’importe quelle personne physique libellés en dollars et pas nécessairement déposés dans une banque américaine. Cette nouvelle attitude de méfiance est une conséquence mondiale des sanctions unilatérales infligées à la Russie depuis le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie et renforcées depuis le début des événement d’Ukraine et l’Arabie saoudite se sent menacée à juste titre puisqu’elle facture son pétrole à la Chine en renminbi convertibles et a refusé lors de la récente visite de Biden à Ryad d’augmenter sa production de pétrole pour mettre la Russie en difficulté, deux situations qui énervent les USA. Enfin, il faut également considérer le fait que la Russie va sortir vainqueur du conflit ukrainien, cela ne fait aucun doute (à mon humble avis que je partage par exemple avec Jacques Baud ou Pierre Conesa) et alors la Chine en sortira renforcée devant les velléités guerrières des USA à son égard, et pour terminer je dirai que la conjoncture internationale actuelle va aboutir à une remise à plat de l’ordre mondial. J’arrête là cette analyse et je laisse à mes lecteurs le plaisir de se livrer à leur propre analyse. Pour approfondir les propos de ce billet voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=ixH6ldTzlr4&ab_channel=AL24news-%D9%82%D9%86%D8%A7%D8%A9%D8%A7%D9%84%D8%AC%D8%B2%D8%A7%D8%A6%D8%B1%D8%A7%D9%84%D8%AF%D9%88%D9%84%D9%8A%D8%A9

Nouvelles du Japon : Reynoutria japonica

Vous connaissez peut-être cette plante herbacée vivace dont le nom français, la renouée, est ambigu car il confond plusieurs plantes vivaces non apparentées.

La renouée du Japon (Reynoutria japonica) est l’une des espèces de plantes invasives les plus redoutables et considérée dans de nombreux pays comme un fléau à abattre. Toutes sortes d’approches ont été explorées comme par exemple la sélection de champignons phytopathogènes, en particulier à l’Université de Tokyo, sans grand succès. L’utilisation d’herbicides n’est pas non plus efficace car le réseau de racines de la plante est très dense, jusqu’à trois mètres de profondeur, et l’application massive d’herbicides n’est pas suffisant pour éradiquer, c’est le mot qui convient, cette peste végétale. Il n’est pas rare de découvrir à Tokyo, en plein quartier résidentiel, des maisons abandonnées être progressivement totalement recouvertes de cette plante dont les jeunes tiges peuvent atteindre trois mètres de haut. Le seul mais bien maigre avantage de cette plante est le pollen des fleurs dont les abeilles sont particulièrement friandes alors que la floraison de cette espèce est la seule car les autres espèces sont moins précoces et enfin la Reynoutria japonica est parfois utilisée dans l’art culinaire japonais comme légume sauvage qui peut être cueilli sans perturber l’environnement, bien au contraire. Dans certaines localités de l’île de Shikoku, dans la Préfecture de Kagawa, les jeunes pousses sont macérées avec du chlorure de magnésium (nigari) ajouté à du sel pour en faire des « pickles », le magnésium traditionnellement ajouté comme dans la préparation du tofu pour se complexer à l’acide oxalique et rendre ce composé inoffensif pour les articulations qui provoque la formation de cristaux d’oxalate de calcium, première cause des crises de goutte. Enfin dans la médecine traditionnelle chinoise la teneur en resvératrol de cette plante aurait des vertus thérapeutiques sans que l’on ait pu apporter de preuves scientifiques concluantes.

Les oiseaux sont friands des graines de cette renouée. Malgré ces quelques avantages la renouée japonaise est une espèce invasive qui pose de gros problèmes et pas seulement au Japon. En Grande-Bretagne cette espèce envahit les terres cultivées ainsi que les pâturages et son éradication difficile est dans certaines régions un problème insoluble. Toujours en Grande-Bretagne lorsqu’un terrain est mis en vente, l’acheteur potentiel a le droit de s’assurer que ce terrain est totalement exempt de renouée car dans le cas contraire la vente du terrain est impossible à moins que le propriétaire éradique en profondeur cette plante ! Pour conclure ce court billet les défenseurs de l’environnement sont pris en étau par deux contraintes, ils considèrent qu’en effet cette plante invasive doit être éradiquée mais pour l’instant la seule méthode efficace et d’un coût abordable est l’application massive de glyphosate, technique en particulier utilisée par les compagnies de chemin de fer, or cet herbicide est considéré à tort comme cancérigène « probable », classification qui a ému la Commission européenne et par voie de conséquence en a restreint l’utilisation. Puisqu’il faut parler du glyphosate pour exterminer cette plante dangereusement invasive, il est nécessaire de rappeler ici que cette histoire scandaleusement anti-scientifique des vertus cancérigènes de cet herbicide est un coup monté par les écologistes dans le seul but de fragiliser la société Monsanto, la bête noire de ces écologistes non pas parce que ce sont les inventeurs de cette petite molécule très facile à produire à un prix minime mais parce que Monsanto a été l’un des premiers grands producteurs de plantes génétiquement modifiées dont celles rendues résistantes à cet herbicide en dérégulant l’expression de sa cible primaire. Alors qui gagnera le combat : la renouée du Japon, les écologistes qui veulent protéger l’environnement ou le glyphosate ?

Brève. Coronavirus encore et toujours …

En complément au billet précédent voici une nouvelle intéressante qui révèle la position des « démocraties occidentales » au sujet de la campagne mondiale de « vaccination » organisée par ce même occident. En Allemagne environ 192 millions de doses de « vaccin » anti-coronavirus ont été injectées à la population de gré ou de force à ce jour. Supposée être efficace à 99 % cette thérapie génique était également considérée comme sans effets secondaires. Les faits ont prouvé le contraire et pourtant les autorités allemandes refusent de reconnaître ces faits pourtant prouvés par la science et malgré la quasi disparition de l’épidémie continuent à encourager l’injection de rappel au cas où un nouveau variant apparaitrait. Selon un sondage incluant 1700 participants pris au hasard plus de 52 % des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires dont 23 % ont souffert d’effets secondaires graves. Selon ce sondage il ressort que 36,6 % des 18-29 ans et 45 % des 30-39 ans ont fait l’expérience d’effets secondaires sévères de cette « vaccination ». Cette proportion diminue avec l’âge puisque moins de 30 % des personnes âgées de 70 ans et plus ont souffert d’effets secondaires seulement légers.

Enfin ce sondage a révélé un étrange résultat : les effets secondaires du « vaccin » semblent dépendre de la religion pratiquée par les personnes contactées puisque 79,8 % des musulmans ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires alors que 55,2% des catholiques et 51,7 % des chrétiens protestants ont rapporté des effets secondaires. Ce sondage a été effectué entre le 10 et le 15 mars 2023 et 84,9 % des personnes contactées ont déclaré avoir reçu au moins une dose de « vaccin ». Ce sondage a été organisé par INSA Meinungstrend, un organisme indépendant du pouvoir. Source : notrickszone.com. Conclusion : qui ment, le sondage ou les autorités politiques allemandes ?

Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?

Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.

Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.

Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg

Il est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna. L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.

Le caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf

Nouvelles du japon : « vaccination anti-covid » et rappels historiques

Quand le gouvernement japonais conseillait aux citoyens du pays de consentir à se faire injecter ce « vaccin » innovant constitué d’un ARN messager synthétique codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, cette population considéra qu’il était essentiel de suivre ces conseils. Le gouvernement du Japon ne pouvait pas obliger son peuple à se plier à cette thérapie génique car une telle décision aurait été contraire à la Constitution. Le docilité des Japonais les a conduit à en arriver à décider par eux-mêmes de subir jusqu’à deux rappels lorsque les derniers sursauts épidémiques dévastateurs furent les plus importants, et pour cause : ces injections de pseudo-vaccins ont fragilisé les défenses immunitaires de l’organisme provoquant alors un plus important nombre de cas graves et de décès.

Cette apparente passivité, ou fatalité, des Japonais commence à inquiéter certains hommes politiques. Des voix discordantes osent maintenant présenter les faits. Toutes causes confondues il y a eu 1,58 millions de décès en 2022, année traversée par trois vagues épidémiques coronavirales alors que les premières injections de pseudo-vaccins avaient débuté durant la première moitié de l’année 2021. La thérapie génique provenait essentiellement des laboratoires Pfizer. Si on détaille ce nombre de morts toutes causes confondues entre 2021 et 2022 le nombre supplémentaire de morts a atteint 140000 et par rapport à l’intervalle 2020-2022 ce nombre est de 210000 morts. Une cause supplémentaire de décès est donc évidente si on compare ces chiffres avec un effet accru au cours de l’année 2022. tous les statisticiens japonais curieux se sont heurtés au manque criant de données, le système de signalement des effets indésirables de la thérapie génique étant très mal organisé, à dessein peut-être.

Sur seulement 260 cas étant considérés comme pouvant être liés à la « vaccination », 52 d’entre eux ont été étudiés en détail après autopsie et confirmés comme étant probablement induits par cette « vaccination » par un comité mis en place par le gouvernement et appointés par ce dernier, constitué par un ensemble de personnalités dont l’incompétence a été dénoncée par certains médias japonais sans insister car au Japon la coutume consiste à ne pas blesser une personne par des propos directs : on utilise plus volontiers des périphrases sibyllines plutôt que des arguments chocs. Ce comité ad hoc a simplement déploré le manque d’informations et déclaré qu’il lui était impossible de se faire une opinion, une belle démonstration de l’adage « il ne faut froisser personne »… Par conséquent sur ces 52 cas mentionnés ci-dessus un seul a été dûment classé comme un décès directement lié à l’injection de l’ARN messager.

Cette attitude évasive adoptée par les autorités gouvernementales japonaise est un reflet du comportement du peuple japonais. Il m’est donné ici l’occasion de répéter que le Japon est une colonie des Etats-Unis depuis la capitulation sans conditions de l’Empereur Showa le 2 septembre 1945 à bord de l’USS Missouri mouillant dans la baie de Tokyo. Cet empereur, 124e du nom, descendant des dieux est plus connu en Occident sous le nom de Hirohito. Avoir été humilié ainsi par les Américains faisait partie de la stratégie de ces derniers de continuer à toujours humilier le peuple japonais jusqu’à aujourd’hui. Toutes les décisions politiques de portée internationale choisies par la Diète doivent recevoir l’agrément des Etats-Unis, ce qui paraît assez surréaliste mais c’est pourtant la vérité. Il y a plus de 60000 personnels de l’armée américaine au Japon et toute protestation des japonais eux-mêmes n’est pas de mise. En ce qui concerne ces escroqueries vaccinale en 77 ans, trois générations, les Japonais ont acquis l’habitude de se plier aux injonctions autoritaires des Américains, qu’il s’agisse de faits de société, de négociations commerciales ou politiques et dans bien d’autres domaines. Le « parapluie militaire américain » est devenu caduque puisque autant la Chine que la Corée du Nord disposent maintenant de vecteurs hypersoniques indestructibles, un « petit » détail qui revêt une importance capitale.

Je me suis rendu à plusieurs reprises dans le sanctuaire de Yasukuni ainsi qu’au Musée Edo à Tokyo. Om peut y voir de nombreuses évocations de l’ampleur des destructions effectuées par les Américains au cours des années 1944-1945 en particulier à Tokyo. Les deux tiers de la ville furent rasés par des bombardements américains incessants et aveugles. Quelque part dans la mémoire collective japonaise il reste encore aujourd’hui un mélange de peur mêlée de ressentiment qui ne transparaît pas car fondamentalement les Japonais sont respectueux et ne veulent en aucun cas créer de conflit avec l’occupant américain.

Lien : https://www.bitchute.com/video/pwTP8sEN90Ew/

Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Brève. Meta licencie 10000 ingénieurs …

L’émanation « Meta » de Facebook serait-elle un flop ? Ou est-ce un nouveau dot.com version 2.023 ? La capitalisation boursière est arrogante pour toutes les GAFAMs. On peut mettre Amazon un peu de côté puisque cette entreprise rend un service concret consistant à livrer à domicile un produit qui vous aurait demandé une demi-journée à dénicher en exerçant une pression sur les fournisseurs à la limite de la légalité sur les prix et en revendant en réalisant un bénéfice modique mais en volume considérable. Apple vend des téléphones et des ordinateurs (je suis satisfait du mien) et son activité est également concrète malgré le fait que ses bénéfices exorbitants sont réalisés grâce au travail d’esclave d’une armée de petites mains chinoises. Google dissimule ses extravagants revenus générés par la publicité (je suis un mauvais client de Youtube puisque j’ai un bloqueur de publicité) mais les commerçants qui veulent figurer sur le plan du quartier paient et très cher pour figurer sur ces « google-maps ». Facebook a imaginé une activité qui lui permet d’accumuler des profits astronomiques avec de la publicité ciblée à l’aide d’algorithmes et adaptée aux groupes de discussion de ses « clients » qui passent des heures par jour sur leur téléphone. Ces clients ne paient rien, ils sont manipulés car ils ne se rendent pas compte qu’ils constituent une plateforme idéale pour les abrutir de publicité et ce sont les annonceurs qui paient Facebook et les dizaines de milliards que gagne Facebook sont récoltés par l’intermédiaire des idiots vraiment utiles qui utilisent ce réseau dit « social ».

Twitter a adopté le même « business-model ». Je n’utilise jamais les réseaux sociaux malgré que j’aie un compte LinkedIn et un compte Facebook … il y a bien longtemps que j’ai oublié mes mots de passe et pour cause, je n’ai jamais échangé quoique ce soit avec qui que ce soit sur ces réseaux. Bref, les délires de Zuckerberg qui se croit le maître du monde avec son monde virtuel en ayant compris que c’était un peu compliqué a fini par comprendre. Il ne possède pas l’intelligence d’un Elon Musk (on pourrait inclure Tesla dans le groupe GAFAM) qui a fait fortune en siphonnant les subventions accordées par l’Etat américain pour l’achat de voitures électriques et qui fait la même chose avec la NASA en développant son programme SpaceX avec l’approbation totale du gouvernement américain car il fait aussi bien sinon mieux que la NASA à moindre coût.

Licencier 10000 employés sur très exactement 86482 est probablement encore insuffisant … Que Google et Facebook, les chouchous de Wall Street, fassent faillite me réjouira, ce sera une révélation de l’artificialité totale dans laquelle se trouvent les USA ! Quant au dernier GAFAM, Microsoft, je ne me suis pas documenté sur l’activité de cette usine à logiciels, peut-être qu’Androïd fait vivre cette société, je n’ai pas d’arguments pour en discuter.