La propagande climatique en plein essor ? Depuis déjà longtemps …

En Colombie britannique, plus précisément à Vancouver et dans sa banlieue, un décret datant de 2013 oblige les distributeurs de carburants pour automobiles à apposer un signal sur la poignée que l’on introduit dans le tube de la voiture pour faire le plein d’essence qui précise que l’utilisation de l’essence contribue à changer le climat et par voie de conséquence à provoquer des sécheresses et des famines dans le monde.

Ce n’est pas un hasard si cet exemple de propagande a été noté par des journalistes dans la province de Colombie britannique puisque le mouvement Greenpeace est justement né dans cette province (lien sur ce blog). Il y a deux affirmations erronées sur cette poignée. 1. personne n’a jamais pu démontrer que le CO2 produit par l’utilisation de combustibles fossiles contribuait à « changer le climat ». Je reprendrai ici une comparaison utilisée dans ses exposés par le Professeur François Gervais : dans un stade de 100000 places il y a 40 personnes habillées de noir dispersées parmi tous les autres spectateurs aux tenues colorées. Croyez-vous que qui que ce soit va prêter attention à ces 40 personnes et croyez-vous qu’elles vont influer sur la réaction de toute cette foule ? Il faut être fou pour le croire …

L’autre erreur dont le but est de culpabiliser les automobilistes est d’affirmer que le changement du climat, sous-entendu vers un réchauffement provoqué par l’effet de serre du climat, va provoquer des sécheresses et des famines. C’est exactement le contraire qui se produirait si le climat se réchauffait globalement. Les pluies deviendraient plus abondantes en raison d’un accroissement de la pluviométrie. Les paléo-climatologues, qui sont des scientifiques sérieux, ont bien montré que lors de la dernière grande glaciation qui a concerné en particulier l’Europe le Sahara est devenu un désert en raison d’un déficit considérable de la pluviométrie alors que cette immense étendue de sable et de roches était ponctuée par des lacs et des rivières lorsque le climat était « plus chaud » il y a une cinquantaine de milliers d’années et que l’évaporation des océans était plus intense.

Donc sur ce poignée il y a deux fausses informations. L’automobiliste culpabilisé par cette propagande mensongère a-t-il conscience que sa voiture émet chaque année 0,00000000006 % de la totalité des émissions de CO2 et que la totalité des émissions de CO2 d’origine humaine ne représente que 3,6 % de la totalité de ces émissions en considérant celles qui sont d’origine naturelle, je ne suis pas l’auteur de ce chiffre c’est l’IPCC ( https://www.ipcc.ch/report/ar4/wg1/ ). A contrario si le climat venait à se refroidir alors la situation deviendrait préoccupante. Mais ce ne sera pas encore pour 2021, fêtez donc la fin de cette année dans la joie …

https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/06/24/greenpeace-un-ramassis-de-marginaux-devenu-la-plus-puissante-ong-du-monde/

Question à 100 ou 1000 milliards de dollars ?

Et si la pandémie de SARS-CoV-2 était un coup monté amplifié à grands coups de corruption par le gigantesque lobby de l’industrie pharmaceutique ? Voilà la question qu’on est en droit de se poser. Cette situation a été une aubaine pour les partisans de l’instauration d’une dictature dite mondiale, un ordre nouveau, un reset, ce que prône le gourou du Forum de Davos l’éminent Klaus Schwab vénéré par George Soros et également par Bill Gates. Cette épidémie a été en quelque sorte une répétition générale en vraie grandeur pour la mise en place de la future dictature globale dont rêvent ces personnalités. À vrai dire, et c’est du moins mon opinion que je ne partage qu’avec moi-même, cette pandémie n’a pas été l’occasion rêvée pour satisfaire les élites de Davos. Ces élites ont été prises au piège du lobby de l’industrie pharmaceutique qui pèse en terme de bénéfice net autant que l’industrie de l’armement nord-américaine et européenne réunies voire plus encore. Ce nouveau virus, déjà connu des Chinois et des Coréens (2001, SARS-CoV-1), a constitué une véritable aubaine pour ce lobby dont la puissance financière dépasse largement celle de nombreux pays occidentaux. Habitués des coups tordus qu’a dénoncé avec brio le Docteur Philippe Even les grands groupes pharmaceutiques ne reculent devant rien. Ni les gouvernements ni les médecins, achetés à coups de subventions, de cadeaux et de rémunérations factices, ni enfin les médias subventionnés en sous-main par des organismes dits caritatifs en réalité contrôlés par ces entreprises ne peuvent résister à la pression constante de ce lobby. Dans deux interview disponibles sur la toile de Philippe Even sont brossés des tableaux peu flatteurs de cette corporation. Je conseille à mes lecteurs de les regarder attentivement. Ils comprendront l’impact de ces grands groupes sur l’ensemble de la gestion délibérément catastrophique de l’épidémie de SARS-CoV-2 :

Les grands groupes pharmaceutiques auraient-ils contribué à dramatiser cette maladie virale pour en tirer le maximum de bénéfices ? Sans parler de complot il est évident que les positions adoptées par certains « conseillers » du gouvernement français manquent de clarté et laissent planer un sérieux doute quant à l’honnêteté de ces personnages. La polémique scandaleuse autour de l’hydroxychloroquine en est un élément révélateur. Le véritable tabassage médiatique du Professeur Peronne, organisé en sous-main par l’Ordre des Médecins, une organisation fasciste créée par le régime de Vichy, en est une autre preuve. Il fallait faire place nette pour le marché de l’industrie pharmaceutique qui se moque des vieilles molécules dont les activités thérapeutiques ont été redécouvertes incidemment lors de cette épidémie. Je pense à l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’Ivermectine ou pourquoi pas l’aspirine tout simplement, le grand absent de ce débat criminel (j’en dirai un mot dans un prochain billet). En effet, la mise en place en France et dans bien d’autres pays d’Europe occidentale du traitement préventif voire prophylactique de la bithérapie HCQ + azithromycine que préconisaient les Chinois et le Professeur Raoult aurait pu sauver au moins 25000 à 30000 vies uniquement sur le sol français. C’est un crime d’Etat et il faudra bien qu’un jour les autorités politiques rendent des compte aux citoyens. Mais non ! Le lobby pharmaceutique a tout fait pour entraver les conseils des plus grands infectiologues français comme les Professeurs Peronne et Raoult et n’a cessé de discréditer tout ce qui émanait de la Chine ou de la Russie.

Pour terminer ce billet je pense que les délires d’un Klaus Schwab resteront lettre morte. Dans le passé chaque fois que les pouvoirs politiques ont tenté d’instituer un ordre nouveau ces projets se sont terminé dans le sang et la dictature : la révolution française a conduit à la prise du pouvoir par Napoléon et la mise en place d’une dictature mégalomaniaque qui a ruiné la France. L’arrivée au pouvoir des Bolcheviks puis de Mussolini, ensuite de Franco et enfin d’Hitler a conduit à des dictatures sanguinaires. Le cas de la Chine est particulier et j’en ai déjà dit quelques mots sur ce blog. Il est urgent de rappeler à l’opinion que l’histoire a tendance à se répéter et qu’il est nécessaire de mettre de l’ordre dans les régimes politiques corrompus d’Europe occidentale, régimes non pas corrompus par la mafia de Schwab mais par le lobby de la pharmacie. Il serait grand temps que les démocraties européennes, pour leur survie, nationalisent ces entreprises et instituent des contrôles très stricts de leurs activités délictueuses dès maintenant, car il est important et essentiel de ne pas laisser la santé des individus devenir la propriété de ces quelques gigantesques multinationale qui ont obtenu de vendre pour des dizaines de milliards de dollars des vaccins dont ils n’ont même pas étudié en détail l’efficacité et ils préparent déjà les démocraties occidentales qui ne sont plus que l’ombre d’elles-mêmes à se ruiner pour acheter d’autres vaccins :

L’hypothèse de la monogamie chez nos ancêtres chasseurs-cueilleurs

Si Pascal Picq a établi des comparaisons entre les comportements des êtres humains et ceux des primates, dont les grands singes, concluant que l’homme est dominateur et que la femme subit cette domination, une équipe de l’Institut d’études avancées de Toulouse en France a émis l’hypothèse de l’émergence de la monogamie dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs. Il s’agit d’une hypothèse car il ne reste dans le monde que quelques poignées de communautés de chasseurs-cueilleurs permettant de faire remonter l’étude des comportements humains en groupe avant la grande transition de l’invention de l’élevage et de l’agriculture. Chez les chasseurs-cueilleurs « modernes » qui n’ont que très peu ou pas de contacts du tout avec les sociétés modernes le système de parentèle est unique dans le monde des primates. Le mâle, l’homme, reproducteur – il y en a plusieurs dans un groupe – rapporte spécifiquement la nourriture difficile à acquérir préférentiellement à sa partenaire sexuelle malgré le fait que le partage de la nourriture issue de la chasse constitue une composante importante de la cohésion du groupe. Et cette situation est unique chez les mammifères, les chasseurs-cueilleurs occupant une niche écologique unique.

Dans les groupes de chasseurs-cueilleurs étudiés la monogamie représente environ 92 % des paires d’adultes alors que le groupe est constitué d’un ensemble de femmes et d’hommes, d’enfants et de quelques adolescents pubères. Ce pourcentage a été établi à l’issue de l’étude de 339 groupes de chasseurs-cueilleurs répartis dans diverses régions du globe terrestre. Cette organisation est unique chez les primates, elle est totalement absente dans les groupes de grands singes, chimpanzés, bonobos ou gorilles alors que la femelle de l’homme chasseur-cueilleur est en permanence sexuellement réceptive et pratiquement toujours gravide ou allaitante. Cette particularité physiologique de réceptivité sexuelle ne se retrouve que chez les bonobos et ce qui différencie ces deux sociétés de primates, humains et bonobos, est le fait tout à fait novateur que le partenaire sexuel de la femme restée au sein du groupe pour élever sa progéniture offrira préférentiellement le produit de sa chasse à sa partenaire sexuelle, en d’autres termes la mère de ses descendants. À l’inverse des groupes de grands singes dans lesquels la polygynie est la norme, le mâle chasseur-cueilleur a compris que l’apport de nourriture à sa partenaire sexuelle est un gage de fidélité, mais pas seulement. Le mâle s’assure aussi de la paternité effective de sa descendance et du soin constant qu’apporte sa partenaire à sa descendance.

Dans le modèle simplifié mis en place par le Docteur Jonathan Stieglitz de l’Université du Nouveau-Mexique en collaboration avec l’Institut d’Etudes avancées et l’Université de Toulouse Capitole, il y a dans le groupe de chasseurs-cueilleurs deux hommes, deux femmes et leurs descendances respectives. Le modèle sera ensuite ajusté en considérant la présence de mâles célibataires à la recherche d’une partenaire sexuelle. Dans la théorie de ce modèle il est convenu que chaque femelle a un partenaire malgré le fait qu’elle puisse copuler avec un autre mâle si l’occasion se présente. Les mâles chassent ensemble et rapportent leur butin qui est partagé de manière égale entre les couples et les descendants et éventuellement les mâles célibataires qui auront participé à la chasse. Le modèle se situe au niveau du Pléistocène alors que le changement du climat a conduit à une modification des conditions écologiques, la sécheresse ayant fait disparaître en partie les fruits faciles à atteindre mais ayant parallèlement permis l’essor généralisé de la bipédie, une évolution nécessaire pour la chasse et l’accroissement de la mobilité géographique. La synergie entre mâles et femelles s’est donc renforcée, les mâles s’étant spécialisé dans la chasse alors que les femelles restaient dans le campement du groupe pour s’occuper des jeunes et cueillir quelque nourriture riche en hydrates de carbone alors que le fruit de la chasse est riche en protéine et en micro-nutriments et constitue l’essentiel du menu de ces groupes. La maîtrise du feu contribue également au renforcement de cette synergie, le groupe étant de fait sécurisé contre les agressions par les bêtes féroces. La maîtrise du feu est certainement antérieure aux plus anciennes peintures pariétales découvertes dans les grottes profondes et ces peintures représentent invariablement des animaux dont l’importance pour la survie du groupe est essentielle.

C’est alors qu’apparaît le dilemme de la gestion dans le groupe de l’attribution des produits de la chasse entre les mâles « pères de famille » et les mâles célibataires, ces derniers n’éprouvant aucune préférence dans l’attribution des produits de la chasse à laquelle ils ont éventuellement participé pour des enfants qui ne sont pas les leurs. Il apparaît donc une distinction sociale entre les mâles reproducteurs, donc « pères de famille », qui rapportent préférentiellement le produit de leur chasse à leur partenaire sexuelle et mère présumée de leurs enfants, et les mâles considérés comme non reproducteurs qui n’ont aucune raison de mettre en œuvre cette préférence dans l’attribution de la nourriture. Ainsi le mâle reproducteur va renforcer la fidélité de sa femelle qui, il l’espère, lui sera fidèle, une sorte de marché gagnant-gagnant. Voilà en quelques mots résumée l’hypothèse de l’émergence de la monogamie dans les groupes de chasseurs-cueilleurs. Ce schéma évolutif complexe est résumé par la figure suivante :

Dans ce diagramme le terme anglais « Dad strategy invades » signifie la mise en place de la monogamie, pour faire simple. Quelques milliers ou dizaines de milliers d’années plus tard l’apparition de l’agriculture et de l’élevage va bouleverser cette structure sociale. Ces deux innovations vont conduire à la constitution de groupes humains beaucoup plus nombreux. Il faut en effet des bras pour l’agriculture et l’élevage a fait disparaître les aléas de la chasse. La disponibilité en nourriture favorise l’émergence de groupes humains structurés et les synergies et les complémentarités qui existaient chez les chasseurs-cueilleurs vont disparaître. Autres temps autres mœurs, la polygamie va apparaître modérément avec l’agriculture et le statut de la femme régressera progressivement comme l’a si bien exposé Pascal Picq.

Lien : http://www.pnas.org/cgi/doi/10.1073/pnas.1917166117

Climat : Lettre ouverte au Professeur Etienne Klein

Au cours d’une de ses récentes conférences donnée dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (lien), Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences, a illustré l’un de ses propos en citant une expérience simple et contre-intuitive que je vais narrer ci-après. Prenez un morceau de marbre et un morceau de bois et demandez à un enfant (ou un adulte) lequel des morceaux, marbre ou bois, est le « plus chaud ». Invariablement on vous répondra que le morceau de bois est plus chaud. Pourtant ces deux corps sont à la même température, celle de la pièce où ils se trouvent. Prenez deux glaçons de même taille et disposez l’un d’eux sur le morceau de bois et l’autre sur le morceau de marbre. Que constate-t-on ? Le glaçon posé sur la plaque de marbre fond plus vite que celui posé sur la plaque de bois. Cette constatation contredit la perception de « chaleur » de chaque objet que l’on avait pourtant admise et qui aurait permis de dire que le glaçon posé sur le morceau de bois fondrait plus vite. Klein n’en dit pas plus sinon qu’il s’agit d’une différence entre les chaleurs massiques de ces deux corps, grandeurs directement liées à leur densité.

Au cours du même exposé Klein mentionne le réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine, sous-entendu (mais il ne l’explicite pas) en raison de l’effet de serre du CO2 produit par la combustion du pétrole, du gaz et du charbon. Si Etienne Klein était vraiment en conformité avec l’enseignement de physique qu’il a suivi au cours de sa jeunesse plutôt que d’admettre comme un dogme que l’activité humaine perturbe le climat il eut été plus correct pour lui d’effectuer une analyse de la théorie de l’effet de serre compréhensible pour tout public. Comme je l’ai écrit dans un précédent billet sur ce blog avec un verre de lait froid et une tasse de café chaud posés sur ma table en sapin de Suède (oui ! ma vieille table provient de Suède, je l’ai achetée chez un brocanteur local d’origine danoise et le Danemark est près de la Suède) pour bien comprendre l’ineptie de la théorie de l’effet de serre il suffit de se munir d’un détecteur d’infra-rouges. On en trouve dans une bonne boutique d’électronique pour moins de 30 euros …

Je reprends donc l’ « expérience » de la tasse de café et du verre de lait avec un détecteur à infra-rouges pour bien détailler ce qui se passe physiquement. Lorsque j’ai posé quelques instants la tasse de café sur la table de bois, je la déplace et avec le détecteur à IR je constate que l’endroit où se trouvait cette tasse sur la table rayonne plus d’IR que le bois se trouvant autour de cet endroit. Pourquoi ? Parce que la table a reçu depuis la tasse un rayonnement infra-rouge qu’elle restitue à l’air ambiant puisque cet air ambiant est maintenant plus froid. La température du bois qui n’a pas été chauffé par la tasse de café n’est ni plus froid ni plus chaud que l’air ambiant. Pour la tasse de lait froid, l’exact inverse est constaté avec la même sonde à IR, la table a cédé par rayonnement infra-rouge de la chaleur à la tasse de lait froid et l’aire où était posée la tasse de lait rayonne moins d’IR que le bois qui l’entoure. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit : il y a eu en effet transfert de chaleur via le rayonnement infra-rouge de la table vers la tasse de lait froid et transfert de chaleur de la tasse de café chaud vers la table plus froide. On ne parle plus de phlogistons (lien) comme au début du XIXe siècle alors que l’existence du rayonnement infra-rouge, rayonnement électro-magnétique constitué de photons, était inconnu. Le résultat est bien un refroidissement ou un échauffement de la table que l’on perçoit comme de la « chaleur » ou du « froid » en posant les doigts sur la table.

Cette simple démonstration, comme je l’ai déjà écrit dans un précédent billet, est une démonstration de la conséquence du deuxième principe de la thermodynamique qui stipule qu’il ne peut pas y avoir de transfert d’énergie thermique d’un corps froid vers un corps plus chaud, quel que soit le mécanisme physique de ce transfert. Et pourtant Etienne Klein soutient la théorie de l’effet de serre en totale contradiction avec ce principe fondamental de la physique. Avec mon détecteur à infra-rouges, si je vais dans la rue par une journée ensoleillée je constaterai invariablement que le sol est plus chaud que l’air ambiant en orientant ensuite horizontalement le détecteur, et si j’oriente ce détecteur vers le ciel alors je constaterai que l’air est encore plus froid que celui qui m’entoure et ceci est indépendant des conditions climatiques ou météorologiques du moment. Pour un physicien comme Etienne Klein réfuter le second principe de la thermodynamique me paraît inconcevable.

J’ajouterai une dernière remarque. Puisque « tous les scientifiques » s’accordent pour affirmer que le climat se réchauffe en raison de l’activité humaine la climatologie telle qu’elle est abordée par l’IPCC n’est plus une science mais une croyance, un dogme, qui « fait consensus » : il n’y a plus rien à discuter …

Cette attitude est contraire à l’esprit même de la science qui fait progresser les connaissances en remettant toujours en question ces dernières. Accepter les yeux fermés le consensus climatologique du réchauffement d’origine humaine est une négation de l’esprit même de la science mais, plus grave encore, de ses lois fondatrices comme celles de la thermodynamique. En affirmant que les plus hautes couches de l’atmosphère, plus froides que le couches inférieures, sont capables par rayonnement infra-rouge de réchauffer ces dernières est un négation flagrante du deuxième principe de la thermodynamique même si celui-ci a été formulé pour la première fois en 1824 par Carnot alors qu’on ne connaissait pas les photons ni l’existence des atomes. Si Etienne Klein lit ce billet qu’il me contacte … mais pour le dédouaner de cette erreur je pense qu’il confond climat, écologie, écosystèmes … une confusion, un amalgame, qu’ont avancé par leur idéologie les défenseurs de la nature qui ont fait de leur gagne-pain la crise climatique. Etienne Klein est un grand alpiniste de l’extrême et je comprends qu’il ait été séduit par cette idéologie perverse qui mélange des problématiques qui n’ont rien à voir les unes avec les autres. Est-ce que les bactéries dont la biomasse est 1100 fois plus importante (vous avez bien lu) que celle de toute l’humanité ont une influence sur le climat puisqu’elles dégagent aussi du CO2 ? Faut-il pour autant toutes les éliminer ? Bonne question.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Phlogistique

https://en.wikipedia.org/wiki/Second_law_of_thermodynamics#Carnot’s_principle

Brève. Le monnayage des « morts par Covid » : un autre scandale d’Etat.

Ça se passe en France et c’est tout simplement surréaliste. Une de mes amies m’a donné quelques nouvelles de sa famille en France, elle habite ici à Tenerife et nous subissons l’interdiction de quitter notre commune de résidence, et ces nouvelles de France m’ont été communiquées par téléphone. Deux membres de sa famille sont récemment « morts par Covid », une de ses tantes éloignées se trouvait en phase terminale d’un cancer généralisé et elle a été transférée dans un hôpital du sud-ouest de la France à la demande d’une de ses filles, en l’occurence une nièce de cette amie française, qui, semble-t-il était angoissée à l’idée de voir partir vers des cieux meilleurs sa mère, étant toute seule avec elle. Elle effectua ce transfert sur les conseils du médecin traitant de sa mère. Elle l’a donc accompagnée pour rendre son dernier souffle à l’hôpital en sa présence moins de deux jours plus tard. Le certificat de décès qu’on lui a communiqué pour procéder aux démarches d’inhumation mentionnait « mort par Covid ».

Elle a contacté le médecin traitant de sa mère, un médecin de ville, en manifestant sa surprise relative à la mention figurant sur l’acte de décès. Il lui a répondu que c’était normal car pour tout mort classé « mort par Covid » l’hôpital percevait un bonus de 500 euros. Ce médecin de campagne lui a avoué que si elle avait fait appel à ses services pour transférer sa mère à l’hôpital il aurait perçu un bonus de 75 euros …

À l’évidence le gouvernement français a corrompu le corps médical hospitalier ainsi que les praticiens généralistes de ville pour gonfler artificiellement le nombre de « morts par Covid ». Entretenir la peur dans la population semble avoir un coût, entretenir cette peur pour exiger que tous les citoyens soient vaccinés relève de cette curieuse pratique de corruption. Pourquoi le gouvernement français a osé prendre de telles dispositions, la raison paraît évidente : le gouvernement français est le doigt sur la couture devant les exigences des laboratoires pharmaceutiques. Ils n’ont pas réalisé de profits avec leurs anti-viraux bidons, Remedesivir ou Tamiflu peu importe, et ils doivent se rattraper avec le vaccin, CQFD. Ces fait me donnent l’occasion de rappeler que l’étude très détaillée et documentée réalisée par un groupe d’étudiants de la Johns Hopkins University relative aux causes de « morts par Covid » montrait clairement une manipulation systématique de ces causes. Cette étude a été censurée à la demande dont on ne sait pas trop qui car elle dérange ! Pour conclure j’ose écrire que cette pandémie qualifiée de catastrophe mondiale n’est pas plus mortelle que n’importe quelle autre grippe saisonnière et que tous les chiffres ont été manipulés à des fins obscures. Je laisse à mes lecteurs le loisir de structurer leur propre analyse. Si je formule clairement mon opinion je serai immédiatement taxé de comploteur, voire de fasciste, mais j’ai toujours assumé sur ce blog mes opinions …

Selon Pascal Picq le statut des femmes s’est dégradé il y a 10000 ans

Avant propos. J’ai trouvé ce texte sur le quotidien Le Temps de Genève et je voulais le faire figurer sur mon blog pour introduire un prochain billet relatif à l’hypothèse de l’émergence de la monogamie chez les chasseurs-cueilleurs qui peuplaient nos contrées avant l’invention de l’agriculture et de l’élevage, c’est-à-dire avant ces 10000 ans mentionnés dans le titre de cet article. J’espère pouvoir rédiger ce billet dans de brefs délais.

Avec les premières sociétés agricoles du néolithique le statut des femmes s’est dégradé. Tout en redonnant aux femmes leur place dans l’histoire de l’évolution, le paléoanthropologue français Pascal Picq retrace, en adoptant une perspective évolutionniste, l’apparition des modèles de coercition masculine.

Charles Darwin, Friedrich Engels, Karl Marx, tous ont fait ce constat : la première classe des opprimés, dans les sociétés humaines, ce sont les femmes. Pourquoi tant de violence ? Jusqu’ici, la question avait été explorée à l’aune de l’anthropologie, de la sociologie, de l’ethnologie… Dans son dernier ouvrage « Et l’évolution créa la femme » (O. Jacob, octobre 2020), c’est un regard évolutionniste que pose Pascal Picq, maître de conférences au Collège de France, sur ce problème sociétal. Héritage biologique ou évolution malheureuse des sociétés humaines ? Fait de nature ou de culture ?

Le Temps : Comment avez-vous cherché à répondre à la question – si polémique – de l’origine de la sujétion des femmes ?

Pascal Picq : J’ai voulu m’extraire des stéréotypes ou des idéologies propres à une partie des sciences sociales par un regard neuf, une approche scientifique évolutionniste. Elle s’articule en deux temps. Je compare d’abord le degré de coercition sexuelle entre les différentes espèces de primates, dont la nôtre. Des contraintes environnementales et biologiques analogues ont-elles produit les mêmes effets sur les comportements de coercition masculine ? Puis je plonge dans la préhistoire de notre espèce et des espèces proches. Mon livre propose une esquisse de ce qu’a pu être l’évolution de la femme et des rapports entre les genres au cours des différentes périodes de la Préhistoire. Comment les violences à leur encontre sont-elles apparues ? Comment ont-elles évolué au fil des époques et des cultures ?

Que nous enseigne la comparaison des différentes espèces de primates ?

Il y a 32 millions d’années, apparaissent les lignées de singes que nous connaissons aujourd’hui. Il y a de fortes chances que leurs mâles aient été très peu coercitifs. Les lémuriens, en effet, sont parmi les plus anciens des primates aujourd’hui vivants et leurs sociétés sont dominées par les femelles. Chez les primates, une règle empirique émerge : plus il y a d’asymétrie dans l’investissement reproductif, avec un investissement des femelles important (« anisogamie »), plus les mâles ont tendance à être coercitifs. Par ailleurs, les mâles de notre espèce se rangent – en moyenne – parmi les sociétés de primates les plus violentes envers leurs femelles : les femmes. Ils partagent ce triste record avec les babouins hamadryas et les chimpanzés. De fait, les singes de l’Ancien Monde, ou catarrhiniens (babouins, macaques, colobes, gorilles, chimpanzés, hommes …) sont en moyenne plus coercitifs.

En revanche, les bonobos – nos plus proches cousins avec les chimpanzés – forment des sociétés très égalitaires. Les singes d’Amérique du Sud (platyrrhiniens), eux aussi, sont peu ou pas coercitifs.

Le bilan de ces comparaisons ?

A de rares exceptions, aucune lignée ne se caractérise par la présence ou par l’absence systématique de coercition. Autrement dit, aucune lignée évolutive ne voue à la coercition ! Dans la lignée des hominidés, les humains et les chimpanzés sont très coercitifs, tandis que les bonobos montrent un équilibre des pouvoirs entre sexes. Chez les babouins, les hamadryas sont coercitifs, au contraire des geladas, pourtant voisins géographiquement.

Chez les macaques, les singes rhésus sont de vrais machos, tandis que les magots sont plus égalitaires. Par ailleurs, il n’y a pas de corrélation entre le type d’habitat – savanes, forêts – et le degré de coercition sexuelle. Pas plus qu’il n’y en a entre le degré de dimorphisme sexuel [les différences de taille et de forme entre mâles et femelles] et l’intensité de la coercition masculine. Des contraintes environnementales interviennent, mais n’expliquent pas tout. Donc, ni contrainte phylogénétique ni déterminisme écologique, si ce n’est en termes de tendances ou comme facteurs aggravants.

Un comportement violent serait-il plus acceptable s’il existe chez d’autres primates ?

Bien sûr que non. Ce n’est pas parce qu’un caractère est présent chez une espèce proche de nous qu’il est bon ou mauvais, légitime ou condamnable ! Les anthropologues évolutionnistes n’ont que faire de ce que les chimpanzés ou les bonobos soient coercitifs ou égalitaires. Ce que nous disent ces grands singes si proches de nous, c’est que ces comportements varient. Et que c’est à nous, dans le cadre de nos sociétés, d’œuvrer pour telle ou telle évolution.

Revenons sur la très forte contrainte reproductive qui pèse sur les femmes …

L’émergence du genre humain (Homo) en Afrique, il y a 2 millions d’années environ, s’est accompagnée de changements considérables, plus encore chez les femelles qui deviennent des femmes. D’un côté, le bassin prend une forme en cuvette fermée, qui soutient les viscères tout en permettant une bipédie performante. D’un autre côté, la taille du cerveau humain augmente beaucoup, ce qui complique l’accouchement : la tête du nouveau-né a du mal à passer à travers le bassin maternel. Malgré tout, cette anatomie du bassin féminin a limité le développement du cerveau humain in utero. C’est le « dilemme obstétrical ». Après la naissance, le cerveau du petit humain poursuit donc son développement et connaît une maturation importante …

Conséquence : le petit humain devient très dépendant de « l’utérus social » où il est plongé…

Ce bébé requiert des soins parentaux intenses, dont la charge est surtout portée par les mères. C’est pourquoi celles-ci nécessitent de l’entraide (« alloparentalité »), qui dépend grandement de la considération pour les femmes dans chaque société. De plus, la forte contrainte de reproduction fait des femmes un enjeu de contrôle pour les hommes. Plus encore que chez toutes les autres espèces de primates, elles deviennent des ressources rares et précieuses. Leur réceptivité sexuelle permanente et les exigences de l’investissement parental provoquent des tensions, sources de coercition masculine autour de la certitude ou non de la paternité. Tout cela va profondément transformer les sociétés humaines.

Les femelles de notre lignée font face à une difficulté supplémentaire…

Oui. Presque toutes les sociétés de singes sont des sociétés « matrilocales » : les femelles restent toute leur vie dans leur groupe natal, que les mâles quittent à l’adolescence. Cette règle résulte du déséquilibre de l’investissement parental entre mâles (peu investis) et femelles (très investies). Il faut donc que celles-ci bénéficient d’un soutien parental de la part du groupe pour l’accès à la nourriture, les soins, la protection et l’éducation des petits … Elles apprennent à être des mères avec l’assistance de leurs consœurs, affiliées ou pas. Le système matrilocal favorise cette entraide.

Mais les humains, les chimpanzés et les bonobos forment des sociétés « patrilocales ». Les mâles restent toute leur vie dans leur groupe natal, que les femelles quittent à l’adolescence. Mais ce qui ressort de mon analyse, c’est que seules les sociétés humaines sont majoritairement « patrilinéaires » [avec un statut social transmis de père en fils] et « patriarcales » [le père a une autorité prépondérante]. Autrement dit, alors que les contraintes de la reproduction exigent de l’entraide pour les femmes, elles ont plus de mal à en bénéficier dans des sociétés patrilocales.

Que nous apprend la paléoanthropologie sur les relations passées entre sexes ?

Chez les australopithèques et Homo erectus, elle ne nous permet pas de reconstituer les systèmes sociaux. On ignore donc si Lucy et ses consœurs et si les femmes Homo erectus subissaient des violences sexuelles. Au Paléolithique moyen (350 000 – 45 000 ans), l’étude des tombes ne permet pas non plus de déceler des différences de statut social ni des traces de contrainte sexuelle. Mais l’étude de l’ADN des fossiles (« paléogénétique ») montre que les sociétés d’Homo sapiens et de Néandertal étaient patrilocales. Au Paléolithique supérieur (45 000-12 000 ans), Homo sapiens reste seul en scène. Des sociétés de chasseurs-cueilleurs plus complexes apparaissent, avec des statuts différenciés, plus de richesses et de sédentarité. Soit autant de facteurs corrélés à une coercition sexuelle accrue et à des sociétés plus inégalitaires.

Mais comment peut-on connaître l’organisation sociale de ces sociétés anciennes ?

Malgré d’importants biais, on peut procéder par analogie avec ce que l’on sait des ultimes sociétés de chasseurs-cueilleurs actuelles. L’ethnographie comparée décrit certaines sociétés égalitaires, d’autres très inégalitaires et coercitives envers les femmes (avec parfois des mises en esclavage). Et l’on découvre plusieurs tendances. Tout d’abord, le contrôle des femmes et leur coercition s’aggravent avec la recherche de statuts sociaux chez les hommes, notamment plus âgés. En témoigne le « prix de la fiancée », cette dette dont un homme doit s’acquitter pour épouser une femme. Un autre ressort de ces violences est l’augmentation des richesses, dont l’effet paraît moindre que la recherche de statuts. Autres facteurs aggravants : l’éloignement des femmes de leur famille, l’établissement d’espaces privés, la sédentarité, le contrôle des relations extérieures du groupe, la guerre…

Au néolithique, apparaissent les premières sociétés d’agriculteurs. Cela change-t-il le statut des femmes ?

Oui. Globalement, il se dégrade ! Il y a 10 000 ans environ, soit après la dernière glaciation, la diversité des sociétés humaines s’accroît encore. Le nombre de sociétés inégalitaires augmente. Les massacres collectifs interhumains s’intensifient, les différences de statuts et de tâches entre sexes se renforcent, les déplacements de femmes et leurs rapts s’amplifient. Au Proche-Orient, émergent les premières sociétés agricoles. Et que lit-on dans les fossiles ou les dents des femmes de cette époque? Elles se marient de plus en plus tôt, enchaînent les grossesses et meurent plus jeunes. La paléogénétique montre aussi qu’elles viennent de plus loin, dans des sociétés patrilocales et patrilinéaires. Or, plus les femmes sont éloignées de leur groupe natal, plus cela favorise les violences à leur encontre.

Que se passe-t-il ensuite quand ces sociétés d’agriculteurs arrivent en Europe ?

Malgré leur diversité, on peut dégager de grandes tendances. Plus ces sociétés sont anciennement agricoles, plus elles sont patriarcales et coercitives à l’égard des femmes. On distingue deux grands flux migratoires. Il y a 8000 ans, les premières sociétés agricoles et patriarcales, issues du Proche-Orient, s’établissent en Europe, plutôt dans le sud. Puis, il y a 6000 ans, d’autres populations d’éleveurs issues d’Eurasie centrale, plus égalitaires, arrivent à leur tour en Europe et remontent vers le nord.

Conséquences actuelles : le génome des populations d’Europe du Sud contient plus de gènes des populations agricoles coercitives venues du Proche-Orient. Et le génome des populations d’Europe du Nord contient plus de gènes des populations d’éleveurs, plus égalitaires, venues d’Eurasie. Fait stupéfiant, on retrouve aujourd’hui ces différences culturelles dans les héritages respectifs du droit romain et du droit germanique. Ainsi, les sociétés d’Europe du Sud sont plus phallocrates, tandis que celles d’Europe du Nord montrent plus d’équité entre sexes.

Au final, quels sont vos grands messages ?

La comparaison des sociétés humaines avec celles des singes et grands singes confirme que la coercition masculine est moins une question de tendances évolutives propres aux différentes lignées de primates ou aux conditions écologiques et économiques qu’une question sociale, culturelle et anthropologique. Autrement dit, rien ne justifie, au regard de l’évolution de notre lignée, le fait que nos sociétés ne puissent radicalement changer sur la question de l’égalité des droits entre femmes et hommes. Bâtir un humanisme qui n’oublie pas les femmes, tel est le défi.

Propos recueillis par Florence Rosier du quotidien Le Temps

Il ne reste plus qu’un espoir … la France ?

L’apologie du totalitarisme qu’a décliné Klaus Schwab dans son dernier ouvrage de propagande nazifiante outrancière (« COVID-19 : The Great Reset ») m’a conduit à espérer que ce nouvel ordre mondial, ce grand reset, cette remise à zéro justifiée par la situation critique des pays occidentaux qui ont géré n’importe comment la pandémie de coronavirus, aboutissement d’une gestion calamiteuse de l’ensemble de l’Union européenne qui date déjà de plusieurs années, n’aurait pas lieu parce cette grande remise à zéro n’a pas lieu d’être. Comme la majorité des épidémies d’origine virale, celle du SARS-CoV-2 va également disparaître sans qu’un quelconque spécialiste n’en découvre les raisons. Encore que cette dernière affirmation de mon fait puisse être infirmée par les gigantesques progrès des investigations biochimiques et moléculaires de ces dernières années. On pourra peut-être découvrir un jour prochain les causes de la fin imprévisible des épidémies. Le Professeur Didier Raoult, le plus grand spécialiste mondial du SARS-CoV-2, l’a affirmé à de nombreuses reprises : on ne sait pas comment ni pourquoi une épidémie disparaît en quelques semaines.

Instrumentaliser cette pandémie comme le fait Schwab pour mettre en place un régime politique global totalitaire est écoeurant et malveillant. Que le parti communiste chinois ait instauré un régime autoritaire n’est pas surprenant car le peuple chinois a toujours été soumis à une autorité politique qu’il s’agisse dans le passé du régime imposé par les empereurs ou du PCC aujourd’hui. Le carnet de civisme que chaque citoyen chinois possède ressemble au système de sélection des élites villageoises, régionales ou provinciales qui existait à l’époque des empereurs. Ces empereurs et leur cour, le système de gouvernance mis en place, étaient respectés par les citoyens qui devaient respecter les règlements pour espérer une vie meilleure.

Si Schwab s’est inspiré du régime chinois contemporain pour imaginer ce « great reset » il a commis une grave erreur car son projet est irréalisable en Europe. L’Europe est en effet un patch-work de pays qui diffèrent par leur passé, leur culture, leur religion et leur terroir. L’Europe est également le lieu où se trouve la France, la mère des révolutions depuis 1789. Jamais les Français accepteront de se plier à une autorité supranationale amenuisant leurs droits fondamentaux. Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi les Français ne se sont pas déjà révolté, pourquoi ils n’ont toujours pas séquestré les politiciens tous corrompus par les « BigPharma ».

Un fait significatif donne une image assez précise de l’état d’esprit des Français : l’accroissement du nombre de suicides dans les rangs de la police. Les policiers, payés pour faire respecter par le peuple les exactions gouvernementales en termes de privation des libertés individuelles, auraient-ils compris que leur mission était vouée à l’échec ? Avec les atteintes répétées du gouvernement Macron-Casteix aux libertés individuelles, quand la police va-t-elle prendre conscience de la dérive totalitaire dans laquelle s’est engagée la France ? Car ces policiers et gendarmes vont également pâtir de ces privations et si ce n’est pas eux-mêmes personnellement qui en souffriront lorsqu’ils seront en mission, une illusion passagère, ce seront leurs conjoints, leurs enfants et leurs familles qui en seront les victimes.

Si les services d’ordre républicains français (police, gendarmerie et armée) ne réagissent pas et acceptent d’ouvrir toute grande la porte à la dictature totalitaire française, alors qu’ils pourraient tout simplement déposer les armes devant les manifestants, alors la France, la mère européenne des révolutions aura perdu son âme. C’est peut-être déjà trop tard … Il est urgent que tous les Français prennent conscience de la dictature à laquelle ils vont être prochainement soumis et ils ont le devoir de sauver aussi l’Europe toute entière des projets dangereux de ce fou de Schwab et de ses sbires dont fait partie leur président Macron en faisant la révolution comme ils l’ont si bien fait en 1789, en 1830, 1848, 1871 et 1968 … Qu’ils n’aient aucune crainte, les « vieux », très majoritairement les premières victimes du SARS-CoV-2, n’ont plus la force d’aller courir dans les rues et d’ériger des barricades …

Alzheimer : du fromage avec un verre de vin rouge chaque jour …

Le Docteur Auriel Willette, professeur de science des aliments et de la nutrition à l’Université de l’Iowa à Ames, USA, a analysé les données englobant 1787 adultes âgés de 46 à 77 ans provenant de la banque de données santé du Royaume-Uni. L’étude a duré 10 ans et au cours de cette période tous les paramètres concernant chaque personne dont l’anonymat a été scrupuleusement respecté ont été actualisés chaque trois ou quatre année. De nombreuses données relatives au régime alimentaire de chaque participant ont été assorties à des tests cognitifs pour suivre l’apparition d’un déclin de la mémoire à court terme, l’un des principaux symptômes de l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Le questionnaire relatif aux habitudes alimentaire était exhaustif, chaque participant devant noter les quantités respectives quotidiennement ingérées de fruits frais, de fruits secs, de légumes crus et en salade, de légumes cuits, de poisson gras ou de poisson blanc, de viande transformée industriellement, de volailles, bœuf, agneau, porc, fromage, pain, céréales, thé et café, bière et cidre, vin rouge, vin blanc et boissons alcoolisées type whisky ou gin.

Le dépouillement minutieux de cet immense ensemble de données a permis de mettre en évidence un effet préventif ou au moins retardateur de l’apparition des troubles cognitifs du fromage ingéré quotidiennement. De quels fromages s’agit-il, l’étude ne le mentionne pas mais très probablement de fromages anglais. Il ne faut pas dénigrer les fromages anglais qui comptent plusieurs centaines de variétés bien que toutes soient dérivées des « bleus » préparés à partir de lait de vache cru, des fromages durs comme le Cheddar également préparés à partir de lait cru, des fromages à pâte molle également préparés à partir de lait de vache cru et enfin les fromages préparés à partir de lait de chèvre ou de brebis. Le fromage est riche en vitamines, en acides gras et en sels minéraux. De plus les fromages fermentés sont souvent recouverts de moisissures. Or la majorité des antibiotiques connus ont été initialement isolés à partir de moisissures, souvenons-nous de la pénicilline, alors l’une des hypothèses assez satisfaisante qui m’est apparue est que ces moisissures et ces fermentations variées donnant à chaque fromage son individualité gastronomique contiennent des antibiotiques utiles pour combattre la prolifération de la bactérie Phorphyromonas gingivalis dont la présence dans le cerveau des personnes mortes de la maladie d’Alzheimer a été décelée presque systématiquement après que l’on ait observé que dette bactérie provoquait l’apparition des mêmes symptômes dans le cerveau des souris, symptômes provoqués par la gingipaïne, la protéase excrétée par cette bactérie qui détruit les cytokines et réduit les défenses immunitaires de l’hôte.

Il y a donc un domaine d’étude qui s’ouvre avec cette analyse réalisée à l’Université de l’Iowa. J’ai informé le Docteur Willette de ma remarque.

Les deux autres paramètres moins significatifs qui ont été identifiés dans cette étude sont le vin rouge et curieusement la viande de mouton ou d’agneau, un verre de vin rouge quotidien et de la viande ovine au moins une fois par semaine. Pour ma part voici les fromages exclusivement français dont je me nourris chaque jour accompagnés d’un bon verre de vin rouge :

Source : doi, 10.3233/JAD-201058 aimablement communiqué par le Docteur Willette. Et aussi :

https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/01/27/maladie-dalzheimer-coup-de-theatre-terrifiant/

https://advances.sciencemag.org/content/5/1/eaau3333

Brève. Quand on dispose de la puissance de l’argent on ose tout

La deuxième plus importante usine de production d’hydroxychloroquine dans le monde a été détruite dimanche par une très forte explosion suivie d’un incendie massif. L’usine, située près de l’aéroport Taoyuan de Taïpeh, à Taïwan est totalement hors d’état de produire ce produit. Les conditions de sécurité dans une usine chimique sont extrêmement strictes et tout les personnels sont formés et au moins deux fois par an doivent assister à des sessions d’exercices de lutte contre le feu, le confinement des produits dangereux en cas d’incident et à des rappels des gestes élémentaires de sécurité. J’ai subi ce genre de formation pendant plus de 13 ans lorsque je travaillais au sein d’un centre de recherche de Rhône-Poulenc. Taïwan n’est pas un pays sous-développé et il est inconcevable que cet accident soit la conséquence d’un manque de rigueur industrielle.

La synthèse de cette molécule ne fait jamais appel à des conditions extrêmes de température ou de pression. C’est un process très bien maîtrisé effectué en continu qui, pour un chimiste, ne présente pas de problèmes particuliers. La seule hypothèse est une origine criminelle de cette explosion. L’hydroxychloroquine dérange au plus haut point le lobby international de la pharmacie pour deux raisons. Administré massivement à titre préventif et prophylactique pour maîtriser la pandémie de SARS-CoV-2 celle-ci ne serait plus qu’un souvenir. Le nombre de morts aurait été diminué de plus de la moitié. Certes les personnes de plus de 80 ans ayant une espérance de vie de moins d’une année seraient mortes mais n’auraient pas été comptabilisées abusivement dans les décès estampillés Covid. N’ayant pas d’alternative crédible pour traiter ce virus les laboratoires pharmaceutiques n’auraient pas systématiquement corrompu les gouvernements pour imposer des produits alternatifs inefficaces et dangereux en exigeant qu’ils interdisent l’hydroxychloroquine et plus important encore les gouvernements ne seraient pas obligés aujourd’hui de dépenser (l’argent des contribuables) des sommes astronomiques, des centaines de milliards de dollars, pour vacciner leurs populations avec un vaccin inconnu potentiellement dangereux.

Cet accident ne peut être que criminel …

Source : https://whatnownews24.com/2020/12/20/massive-explosion-at-a-pharmaceutical-company-in-north-taiwan/

Brève. Les fondement de la dictature sanitaire en Europe occidentale

Après avoir mis dans l’embarras de nombreux gouvernements et en particulier l’Union européenne mais également la France en déconseillant l’administration de Remdesivir (Gilead) comme traitement curatif du SARS-CoV-2, l’OMS enfonce le clou en dénonçant le peu de fiabilité des tests RT-PCR pour la détection des « cas » de SARS-CoV-2. En effet, afin de « gonfler le nombre de cas positifs » pour justifier les mesures coercitives imposées aux populations le test RT-PCR (reverse transcriptase-polymerase chain reaction) le nombre de cycles d’amplification préconisé par les autorités de santé gouvernementales est ridiculement élevé. Au delà de 25 cycles les résultats ne sont plus fiables, comprenez ils ne veulent plus rien dire, du genre Seralini si on peut dire les choses ainsi. Les laboratoires d’analyse ne sont pas équipés pour détecter la « vraie » présence du virus et le protocole utilisé pour ces tests nécessite un grand nombre de cycles d’amplification pour que la présence d’ARN viral puisse être effectivement détectable. Lorsque j’ai utilisé cette technique PCR au cours de mes travaux de recherche la confirmation finale de l’amplification était réalisée par électrophorèse qui permettait d’évaluer la taille de l’ADN amplifié ainsi que sa teneur dans l’échantillon initial par extrapolation. C’est la raison pour laquelle le Docteur Kary Mullis qui fut nobélisé pour sa découverte et la mise au point de la PCR (c’est bien féminin car il s’agit d’une réaction enzymatique !) mettait en garde les utilisateurs devant les faux positifs qui apparaissaient proportionnellement au nombre de cycles d’amplification et qu’en aucun cas un test PCR pouvait être considéré comme un diagnostic médical. C’est du « lourd » et Mullis l’a répété de nombreuses fois.

Mais l’augmentation astronomique du nombre de « cas » détectés par PCR arrange bien les gouvernements qui peuvent ainsi museler les récalcitrants et maintenir des populations entières dans un état de peur permanente pour mieux les manipuler et les dominer. Jamais je n’aurais imaginé il y a 30 ans que le test PCR servirait un jour d’instrument pour mettre en place des dérives politiques dictatoriales à la limite du fascisme. Il est possible que l’OMS se soit rendue compte de cet état de fait et a finalement décidé dans un bref communiqué en date du 14 décembre 2020 d’avertir ces mêmes autorités politiques en charge des questions de santé qu’ils en faisaient « un peu trop » ( https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users ). Déjà en 2009 les auteurs de manuscrits de recherche scientifique et médicale étaient mis en garde contre les possibles mauvaises interprétations des tests PCR mais visiblement les autorités politiques ont pris soin de l’ignorer pour mieux tromper les populations. Il faudra bien que ces malfaisants répondent de leurs actes un jour ou l’autre ( https://www.gene-quantification.de/miqe-bustin-et-al-clin-chem-2009.pdf ) car il s’agit de tromperies grossières.

L’apparition d’une nouvelle souche de SARS-CoV-2 d’origine britannique cette fois, ça change de la Chine, a réchauffé les velléités des gouvernements européens de réduire encore une fois les libertés individuelles des citoyens. Mais laissez-moi rire de ce nouveau psychodrame qui ébranle toute l’Europe à quelques jours des fêtes de fin d’année. L’IHU de Marseille, l’organisme de recherche médicale à la pointe des recherches mondiales relatives au SARS-CoV-2, a dénombré par moins de 6 souches nouvelles de ce même virus dont une petite épidémie locale provenant d’Afrique du Nord qui a disparu en quelques semaines.

Avec le gonflement artificiel du nombre de morts estampillés « coronavirus », l’utilisation abusive des tests PCR et l’apparition presque magique de nouvelles souches du virus pour raviver la peur des populations avec le relais des médias « main-stream » qui ont toujours un os à ronger, celui des subventions gouvernementales, cette pandémie est-elle finalement toujours aussi réelle qu’on veut bien nous le dire ? Tout à fait réel néanmoins est l’appétit insatiable des « Health Majors », comprenez « Big Pharma » qui a décroché le gros lot avec les vaccins, pas pour moi :

Source partielle : Off-Guardian.org et pour les curieux cet exposé de Reiner Fuellmich sous-titré en français : https://www.youtube.com/watch?v=asSSfQGd_u4 et l’extraordinaire exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel « Covid-19, anatomie d’une crise » https://www.youtube.com/watch?v=8WGOobEHOos