Nouvelles du Japon : la saga du vaccin anti-HPV

Il y a 9 ans les autorités sanitaires japonaises, subissant la pression des activistes anti-vaccins, ont suspendu sine die le vaccin contre le HPV. Je rappelle que les diverses souches de ce virus provoquent des cancers variés au niveau du col de l’utérus, de l’anus et de la gorge. Ces virus est hautement transmissible et il est considéré comme la première cause du cancer du col de l’utérus. Le Ministère de la santé japonais a finalement revu sa position en considérant les statistiques relatives aux cancers du col de l’utérus. En 9 ans, donc depuis que cette vaccination a été interrompue, il faut s’attendre à 25000 cas de cancers du col et jusqu’à 6000 morts.

En 2009 le Japon adopta le vaccin bivalent de GSK puis en 2011 le vaccin tétravalent de Merck. Devant la pression des activistes anti-vaccin qui clamaient que de nombreuses jeunes filles souffraient de douleurs chroniques, de céphalées, de troubles moteurs et d’autres symptômes mineurs il fut mis un terme à ce traitement vaccinal préventif qui a déjà fait ses preuves dans de nombreux pays. Des méta-analyses effectuées en Suède et en Grande-Bretagne ont montré que l’incidence de cancers du col avait diminué de 87,5 %. Le Japon a mis trop de temps pour évaluer en détail les plaintes des jeunes filles ayant reçu le vaccin anti-HPV. Il faut souligner que lors de l’épidémie de coronavirus les plaintes relatives aux effets secondaires de la « vaccination » à ARN messager ont tout simplement été ignorées et dissimulées par les autorités ce qui a conduit 80 % population nippone à subir ce traitement dangereux sans qu’il y ait une quelconque protection puisque le Japon vient de traverser le pire épisode de cas et de décès depuis le début de l’épidémie de coronavirus.

Mon fils n’a pas attendu que les autorités reviennent sur leur décision et ma petite-fille a reçu sa première injection de vaccin anti-HPV il y a quelques jours. Source partielle et illustration : Science Magazine

« Je ne veux pas devenir idiot, donc je suis complotiste »

Le Professeur Didier Raoult organise ce jour et demain jeudi un colloque au sein de l’IHU de Marseille intitulé « Covid-19 : Premier bilan des connaissances et des controverses scientifiques ». De grosses pointures de la biologie interviendront telles que Robert Malone, Harvey Risch, Laurent Toubiana, Pierre Kory, Peter Mc Cullough … Ce colloque est donc une sorte de testament du Professeur Raoult. Prenez le temps de regarder ou de regarder à nouveau son exposé hebdomadaire au cours duquel il prononce cette phrase mise en titre de ce billet et qui me convient parfaitement.

L’Europe et en particulier la France sont dirigés par des incompétents notoires.

On savait depuis longtemps que les décideurs politiques ne raisonnent qu’en fonction de leurs échéances électorales. Ce n’est pas le cas dans tous les Etats qui constituent l’Union européenne mais en France et au sein des institutions européennes c’est évident. Madame Von der Leyen s’est arrogé le droit de prendre des décisions qui engagent toute l’Europe sans en référer au parlement européen, ce qui est explicitement obligatoire selon les traités européens. Je prendrai l’exemple de l’interdiction des importations de pétrole russe par l’Union européenne. Il est faux de déclarer que l’Europe importe du pétrole depuis la Russie. L’Europe importe des distillats et non du pétrole brut. Pour avoir une idée de l’immense erreur que commet l’Europe en décidant de cette interdiction celle-ci priverait de 40 % du carburant diesel, du gasoil de chauffage et du kérosène pour l’aviation civile. C’est énorme et l’interdiction va créer un véritable séisme économique et social dans de nombreux pays européens puisque le pourcentage de véhicules diesel est de l’ordre de 40 %. Dilemme : comment l’Europe va-t-elle faire pour trouver une solution de remplacement puisqu’elle va se priver pour le diesel du million de barils quotidiennement importés de Russie. Il n’y a pas de plan B. Les raffineries existantes en Europe sont mal adaptées à la production de diesel pour une raison très simple, en effet il faut disposer de gaz naturel pour produire l’hydrogène nécessaire à l’élimination du soufre contenu dans le pétrole pour assurer une production de qualité de ces distillats.

L’autre conséquence elle aussi ignorée par les décideurs politique est la conséquence immédiate de cette annonce sur les sociétés de trading spécialisées dans les produits de l’énergie. Les pertes sont déjà colossales pour des entreprises comme Trafigura, Mercuria, Engie, BP, Shell, Glencore ou encore Vitol pour ne citer que les plus importants agences de trading sur les produits énergétiques qu’elles soient basées à Singapour, New-York, Pékin ou Zürich. La European Federation of Energy Traders vient de demander une aide d’urgence auprès des gouvernements des pays membres de l’Europe. On se trouve, après cette décision stupide prise par l’Europe à l’aube d’une grave crise financière genre 2008 en pire car la quantité de produits dérivés adossés aux produits énergétiques est inimaginables surtout que personne n’en connait avec exactitude les montants engagés. C’est le flou absolu. Outre le fait que les automobilistes et les transporteurs vont devoir faire face à des restrictions, le système financier, qui craque déjà de toutes parts, pourrait s’effondrer. Madame Von der Leyen et en France l’inénarrable ministre des finances sont des incompétents.

Sources : blog de Pierre Jovanovic et blog d’Olivier de Meulenaere

Poutine est un fin diplomate …

Après avoir été traité de poutinolâtre je récidive dans mes analyses qui ne concernent que moi-même. Le Président russe a donc décidé le 23 mars 2022 que le gaz russe serait exclusivement payé par les Occidentaux en monnaie russe et il ne reste que quelques jours pour que les banques européennes s’organisent pour acheter des roubles (ou des yuans) sur les marchés. Au delà de la date fixée par le Kremlin le gaz sera coupé. Cette décision n’est pas unique dans le monde. L’Arabie saoudite a accepté le paiement de son pétrole livré aux Chinois en yuans. La Russie a accepté également le paiement de la facture pétrolière de l’Inde en roupies. La Corée et le Japon n’obtiendront pas l’autorisation des Américains de faire de même, du moins pour le moment.

Cette décision de la Russie n’est pas sans conséquences. Le signal a été donné pour le processus de dédollarisation des échanges commerciaux internationaux. C’est un immense événement. Les médias occidentaux ont assimilé cette décision de la Russie comme une manœuvre pour mettre en difficulté l’Europe. C’est faux car l’Arabie saoudite avait décidé d »être payée eu yuans il y a une dizaine de jours. Je ne lis pas la presse main-stream américaine mais cette décision de Riyad a certainement provoqué quelques émois à Wall Street.

Au niveau des marchés la bourse de Moscou a finalement ouvert ce lundi et après une forte chute consécutive à l’intervention de l’armée russe en Ukraine pour effectuer ce que l’on pourrait dire une opération de police afin d’éliminer les commandos néo-nazi sans foi ni loi qui n’ont d’autre objectif depuis 8 que d’exterminer les populations russophones du Donbass, cette bourse de Moscou a rebondi de 20 %. Parallèlement le rouble s’est apprécié de 20 % ces derniers jours. Les sanctions de cour d’école infligées par les pays occidentaux à la Russie vont se retourner contre eux et la situation économique de l’Europe va se dégrader très fortement et de manière durable jusqu’au jour où les décideurs politiques européens avaleront leur chapeau et diront clairement aux Américains de s’occuper de leurs propre linge sale.

Cette décision de Moscou aura donc de très lourdes conséquences dont en particulier une redéfinition de la géopolitique mondiale sur des bases multipolaires plus saines, l’éviction progressive du dollar des transactions mondiales étant la clé de cette redéfinition.

Le fait que les Américains aient sollicité le Vénézuela et l’Iran pour vendre plus de pétrole pour stabiliser les cours est révélateur. Les émissaires américains ont essuyé une fin de non-recevoir : « du pétrole oui, mais toutes les sanctions supprimées ». L’ignominie de l’attitude américaine est ainsi révélée au grand jour. Il s’agit d’un élément important pour redéfinir cette géopolitique mondiale sans le dollar et sans l’extraterritorialité des lois américaines. Il en sera terminé de l’impérialisme américain qui pourrit le monde entier depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

J’ai été traité de poutinolâtre !

Je trouve que ce qualificatif est plutôt gratifiant car il signifie que je ne suis en aucun cas imprégné par la propagande occidentale mensongère. L’Occident s’énerve avec les USA qui mènent la danse car ils ne sont pas arrivés à intégrer l’Ukraine dans l’OTAN. Un tel projet aurait constitué un casus belli pour le Kremlin. Pourquoi la Russie a décidé d’intervenir dans la zone russophone de l’Ukraine après avoir reconnu les républiques indépendantistes russophones du Donbass ? Parce la Russie savait que l’armée néo-nazie de Kiev s’amassait le long de la ligne de démarcation entourant le Donbass depuis le milieu du mois de février. L’autre fait qui a motivé l’intervention russe sur le terrain n’est qu’une réaction de solidarité avec ce peuple sauvagement bombardé depuis la fin de l’année 2014, puni par des mesures ressemblant à une épuration ethnique : arrêt du paiement des retraites et des salaires des employés de l’Etat, interdiction de l’enseignement de la langue russe, coupures de l’alimentation en eau et en gaz (provenant de la Russie), massacres d’enfants, viols des jeunes filles …

Quand la préparation de l’assaut destructeur final a été détecté la Russie a réagi, c’est aussi simple que cela.

Les Occidentaux prétendent que l’armée russe s’enlise. C’est une fausse nouvelle : près de 80 % de la ville de Marioupol est libérée et les commandos spéciaux des Tchétchènes aguerris pour déloger les jihadistes en combat urbain ont été déployés pour nettoyer la ville des néo-nazis. Il s’agit maintenant de quelques jours. Le gros de l’armée ukrainienne néo-nazie est encerclé. Ils seront bientôt à court de munitions et devront se rendre. Ils iront probablement finir leurs jours en Sibérie.

Alors viendra le temps des négociations, certainement pas avec l’actuel président ukrainien cocaïnomane réputé et totalement corrompu dont le nom figure dans les Pandora papers, mais avec un nouveau gouvernement issu de nouvelles élections. La reconnaissance de l’indépendance des républiques russophones du Donbass ainsi que le rattachement de la Crimée devront être entérinés. La neutralité de l’Ukraine sera exigée par Moscou. Tout un programme !

Puisque j’ai été traité de poutinolâtre je voudrais prendre un exemple pour décrire ce qui se passe depuis 8 ans en Ukraine. Supposons que la Wallonie francophone soit assiégée et bombardée par la population flamande de Belgique qui veut en finir avec cette erreur linguistique et religieuse. Comment réagirait la France ? Les Wallons sont francophones et catholiques, ce sont des « frères » de la France. Moralement la France devrait réagir militairement pour mettre fin au supplice des Wallons. La Belgique deviendrait alors un Etat fédéral ou alors disparaîtrait en tant qu’Etat avec la Flandre rattachée aux Pays-Bas, la Wallonie intégrée à la France et un petit pays englobant la région majoritairement francophone de Bruxelles émergerait, un peu comme le Luxembourg ou le Lichtenstein. Ci-dessous se trouvent des liens que mes lecteurs connaissent surement pour bien se faire une idée objective des événement ukrainiens. 

Brèves réflexions sur l’âge de départ à la retraite en France

C’est un débat stérile qui agite les prétendants au trône de président alors que les Français manifestent dans la rue pour défendre la retraite par répartition imaginée par le Comité National de la Résistance en 1945. Considérons que l’âge légal de départ à la retraite est à l’heure actuelle, je crois, de 62 ans en France. Or la population vieillit et il n’y aura un jour prochain pas suffisamment d’actifs pour maintenir ce système par répartition. Je m’excuse à nouveau de constater que les politiciens français refusent d’observer quels sont les systèmes de retraite dans les autres pays. Encore une fois je prendrai le système japonais. Comme beaucoup d’autres pays qui ont choisi un système de retraite par capitalisation les travailleurs japonais disposent d’une retraite directement liée au montant du capital qu’ils ont constitué au cours de leur vie professionnelle. Il faut ajouter qu’au Japon il n’y a pas d’âge légal de départ à la retraite. Les artisans et les petits entrepreneurs qui ont choisi pour diverses raisons de limiter le montant de leurs cotisations de capitalisation de leur retraite sont condamnés à continuer à travailler parfois jusqu’à 90 ans ! Un grand nombre de vieux Japonais sont ainsi condamnés à travailler au delà de 70 ans car leur prévention personnelle de retraite par capitalisation n’a pas été envisagée prudemment.

Il existe un immense avantage du système de capitalisation de la retraite au Japon qui bénéficie directement à l’économie du Japon. Je m’explique. Cette capitalisation des retraites des Japonais est très supérieure au PIB de la France. On dit que le montant des fonds de pensions japonais égalent les PIBs réunis de la France et de l’Allemagne. Ce gigantesque montant de capitaux est investi dans une multitude d’entreprises étrangères rentables (sinon rien), sur les places boursières et dans les émissions de dettes souveraines. La dette domestique du Japon est détenue par ces fonds de pension à hauteur de 90 % du montant total de cette dette. Ce mécanisme auquel tous les Japonais salariés au cours de leur carrière ou simples entrepreneurs à leur nom ont contribué par leurs cotisations pour capitaliser leur retraite les rend solidaires de la dette de leur pays. C’est leur pays et ils protègent celui-ci quitte à éventuellement faire des sacrifices.

Le système par répartition français imaginé par les communistes à l’issue de la seconde guerre mondiale ne peut pas fonctionner sainement et d’une manière rentable car les capitaux issus des cotisations sociales des salariés ne servent qu’à payer les retraites des actifs ayant quitté le marché du travail. Les lois françaises imposant une retraite à 60 ans ont créé un déséquilibre maintenant impossible à rattraper car les fonctionnaires en charge de l’Etat n’ont pas compris que la population vieillissait et que de surcroit l’espérance de vie augmentait. En conséquence le déficit du régime de retraite des employés de l’Etat a atteint des montants stratosphériques qui n’entrent pas dans le calcul du montant de la dette de l’Etat puisqu’il s’agit, selon le célèbre Juppé, de « hors-bilan ». Compte tenu de l’état des finances de la France ce poste « hors-bilan » est sensiblement égal aux deux tiers du PIB de l’Etat, rien que la retraite des employés de l’Etat qui n’est pas provisionnée !

Pour illustrer mon propos je voudrais relater ici mon expérience personnelle. J’ai été intégré au corps des chercheurs du CNRS peu de semaines avant la soutenance de ma première thèse de doctorat et en tant que contractuel de l’Etat j’ai été sollicité pour cotiser volontairement à la constitution de ma retraite complémentaire qui viendrai en sus de ma retraite « par répartition » le jour où je déciderai de cesser mon activité professionnelle. Au tout début de ma carrière je gagnais l’équivalent de 1000 euros par mois et le montant de la cotisation pour ma retraite complémentaire en tant qu’agent contractuel de l’Etat représentait l’équivalent de 85 euros par mois outre les prélèvements pour la protection sociale et la retraite par répartition. Les années passant et mon salaire augmentant, toutes ces charges ont augmenté proportionnellement au montant de mon salaire.

Aujourd’hui, au crépuscule de ma vie, alors que je ne coûte rien au système de protection sanitaire français depuis plus de 20 ans et que le montant de la retraite par répartition que je perçois ne représente même pas le montant du fameux « RSA », pourquoi alors ne pas avoir opté pour 100 % de retraite par capitalisation dès le début de ma carrière professionnelle ? Certes ma retraite complémentaire (donc constituée par capitalisation volontaire) est gérée par la Caisse des Dépôts et Consignations, un organisme de l’Etat en qui on peut encore faire confiance, mais si j’avais opté, illégalement, de ne constituer qu’une retraite par capitalisation dès le début de ma carrière, si cela avait été possible , je vivrais aujourd’hui beaucoup plus aisément. Or le système français est constitué d’une manière telle qu’il est impossible de faire ce choix. Dans le cas contraire on est hors la loi. Tout ce qu’a avancé le gouvernement français au sujet de cette réforme des retraites est stupide. Les points, les trimestres et autres inventions ressemblent à de la musique pour attirer les lemmings au sommet de la falaise.

Il faut tout simplement dire aux Français qu’il ont le droit de travailler jusqu’au jour où ils en auront assez et qu’ils prennent, surtout, leur sort entre leurs mains, ce qui signifie que l’Etat, à terme, ne sera plus l’ « Etat providence ».

Guerre contre le Covid-19 : Une quintuple et cinglante défaite des pays membres de l’OTAN

Article du Général Dominique Delawarde

Dans la journée d’hier deux événements, passés inaperçus, m’ont conduit à faire l’analyse de la guerre contre la Covid-19, telle qu’elle a été conduite par les 30 pays membres de l’OTAN.

1- Les USA ont franchi hier le cap symbolique du million de décès déclarés à eux seuls.

2- Madeleine Albright, ex secrétaire d’État US qui assumait pleinement la mort de 500 000 enfants irakiens en déclarant que « ça en valait la peine », est décédée et passe aujourd’hui devant le tribunal de Dieu (et celui de l’Histoire). Elle rejoint donc son petit camarade Colin Powell, le menteur mondialement connu, à l’origine de la deuxième guerre d’Irak, guerre soutenue et approuvée par 14 pays de l’OTAN, et dont les morts n’ont pas ému les opinions publiques occidentales…

Avec un taux de mortalité de 4,4 fois supérieur à celui du reste du monde, le monde otanien n’a pas brillé dans sa guerre contre la Covid-19. Il a enregistré 5 défaites qui ne seront pas sans conséquences sur son avenir et sur celui de la planète. Chiffres à l’appui, mon analyse fait apparaître les cinq défaites de l’OTAN dans sa guerre à la Covid-19. D’où le titre de cette analyse : Guerre à la Covid-19 : Une quintuple et cinglante défaite des pays membres de l’OTAN

Dans leur guerre à la Covid-19, les pays membres de l’Organisation atlantique ont enregistré une quintuple défaite : une défaite sanitaire, une défaite scientifique, une défaite économique, une défaite sociale et sociétale et une réduction non négligeable de leurs capacités militaires. Ces cinq « défaites », s’ajoutant au prudent recul de l’OTAN face à la Russie dans la crise ukrainienne, sont observées et interprétées par de nombreux pays du tiers monde (Amérique latine, Afrique, Asie) comme le résultat d’une grande faiblesse, accentuant l’image d’un occident en déclin.

1- Une défaite sanitaire

En choisissant, à l’imitation de leur « modèle » états-unien, la stratégie unique du tout « expérimentation vaccinale » pour tenter de contrôler l’épidémie, et en s’opposant à l’alternative des traitements précoces efficaces, les pays membres de l’OTAN pourraient bien avoir commis une énorme erreur d’appréciation initiale. Ils ont mis en lumière l’ampleur de la collusion et de la corruption de certains politiques, de certains scientifiques et des lobbies pharmaceutiques. Ils ont fait preuve d’un jusqu’au boutisme stupide et meurtrier dans leur stratégie de gestion de crise en persistant dans l’erreur sans dévier d’un pouce. Pétries de certitudes, les élites occidentales ne peuvent évidemment admettre aujourd’hui qu’elles se sont trompées.

Après quinze mois de vaccination de masse, les résultats de cette gestion otanienne (et mondialiste) sont consultables sur le tableau ci après : « On peut débattre de tout sauf des chiffres ». Ils sont calamiteux pour la quasi totalité des pays membres de l’OTAN. Le chef de meute états-uniens a déclaré, à lui seul, plus d’1 MILLION de décès.

Les pays membres de l’OTAN dont la population représente 12% de la population de la planète ont enregistré 38% des pertes de la Covid-19. Leur taux de mortalité (2,42 décès pour mille habitants) est de plus de 4,4 fois supérieur à celui du reste du monde (0,55 pour mille habitants). Seuls 2 des 30 pays de l’OTAN (L’Islande et la Norvège) déclarent un taux de mortalité inférieur à la moyenne du reste du monde. Les USA, modèle et moteur occidental, caracolent dans le peloton de tête des plus mauvaises gestions de la crise sanitaire au monde.

Compte tenu de leur taux déjà très élevés de vaccination, il leur devient de plus en plus difficile d’insister lourdement  sur le FAKE slogan : « Tous vaccinés, tous protégés », d’autant que les données concernant les effets secondaires des vaccins commencent progressivement à faire surface et viennent s’ajouter aux pertes Covid ; que le nombre de décès déclarés Covid a augmenté très fortement, et non régressé, entre 2020, sans vaccin, et 2021, avec vaccin, et enfin que la situation ne s’est pas vraiment améliorée dans le premier trimestre 2022 dans les pays membres de l’OTAN (voir tableau ci dessous).

Et pourtant, certaines gouvernances, dont celles de la France et du Canada, persistent dans la pratique, désormais chronique, de la corruption, du mensonge, des dérives autoritaires, voire totalitaires, du bla-bla-bla inefficace avec l’appui des médias mainstream, subventionnés et contrôlés par un gang de milliardaires, qui ne songent pas une minute à reconnaître leurs erreurs.

L’inefficacité de ces gestions « otaniennes » et « mondialistes » de la crise sanitaire s’est incontestablement traduite par un bilan beaucoup plus lourd que dans le reste du monde (rapporté à la population) : 4,4 fois plus de décès par million d’habitants dans le monde « otanien », prétendument  « développé », que dans le reste du monde (non otanien), et cela, malgré des taux de vaccination bien supérieurs, en moyenne. Cette première défaite « sanitaire » des pays membres de l’OTAN dans la guerre à la Covid-19 a pû être observée par les populations et les gouvernances du monde entier qui sauront en tirer les conséquences pour faire évoluer leurs allégeances futures.

2- Une défaite scientifique

La science « occidentale » semblait, pour les gouvernances « otaniennes », seule capable de contrôler l’épidémie en mettant sur le marché un ou plusieurs vaccins efficaces dans des délais raisonnables. L’indispensable course contre la montre s’est rapidement transformée en une monstrueuse course aux profits entre les laboratoires pharmaceutiques « occidentaux ». Pour aboutir plus vite des études ont été bâclées. La présentation des résultats de ces études a été souvent biaisée, si ce n’est falsifiée, pour promouvoir des produits vaccinaux, toujours expérimentaux, et obtenir des autorisations temporaires de mise sur le marché. Les éventuels effets secondaires ont été minimisés. L’efficacité des produits vaccinaux a été très largement surévaluée ainsi qu’en témoigne la hausse sensible des pertes en 2021 et/ou en ce début 2022 dans tous les pays membres de l’OTAN.

Les laboratoires pharmaceutiques occidentaux étaient si peu confiants dans l’efficacité de leur produit qu’ils ont exigé et obtenu de la part des gouvernements une clause de non responsabilité en cas d’effets secondaires graves.

Les gouvernances, quant à elles, voulaient tellement montrer à leurs populations qu’elles agissaient  pour les protéger, qu’elles ont privilégié la rapidité sans être trop regardantes sur la qualité et la réelle efficacité des produits vaccinaux, dont la composition ne leur a, d’ailleurs, même pas été communiquée. Pour être sûr de garder le monopole des vaccins, et de maximiser leurs profits, les laboratoires pharmaceutiques ont obtenu des gouvernances occidentales de ne pas autoriser les mises sur le marché des vaccins russes et chinois, ce qui éliminait d’emblée la concurrence, quitte à ralentir le rythme de la campagne de vaccination en raison des cadences insuffisantes de production des produits injectables.

Mieux, ces mêmes laboratoires, ont obtenu des politiques, qu’ils interdisent les traitements précoces efficaces qui pouvaient concurrencer ou se substituer aux vaccins. De fausses études scientifiques, de sources occidentales, ont été produites pour obtenir ces décisions d’interdiction (Lancet gate = collusion de Big Pharma et des grandes revues scientifiques occidentales). Ce véritable fiasco scientifique occidental et surtout de « science frauduleuse » a été observé avec beaucoup d’attention par de nombreux pays du tiers monde qui ont réalisé, avec consternation, au fil du temps et avec le recul , que l’objectif des laboratoires et des « conseillers scientifiques et politiques occidentaux corrompus » n’était pas tant de sauver des vies que de faire de l’argent …

3- Une défaite économique

Bien qu’elle ait été largement occultée par le recours massif à l’emprunt et le bla-bla-bla dont nos politiques et nos médias ont le secret, pour minimiser leur incompétence dans la gestion de cette crise, la défaite économique des pays membres de l’OTAN est bien réelle. Les confinements à répétition, longs et souvent inefficaces, entraînant la mise en sommeil de pans entiers des économies, ont plus durement affecté les pays occidentaux que le reste du monde. Les mesures de soutien aux secteurs les plus touchés ont largement contribué à faire exploser la dette dans la quasi totalité des pays membres de l’OTAN. Aux USA, la dette fédérale se creuse désormais de 5 milliards de dollars/jour et a dépassé les 30 000 milliards en janvier 2022. Le déficit budgétaire US est aujourd’hui de 2750 milliards de dollars, le déficit commercial est de 990 milliards de dollars dont 370 milliards (déficit en forte croissance en 2021) avec la Chine …. https://www.usdebtclock.org

Les USA, comme leurs vassaux européens, ne restent à flot que parce que les planches à billets tournent à plein régime pour fabriquer, sans compter, des monnaies qui ne reposent plus sur rien d’autre qu’un océan de dettes.

Cette situation d’explosion de la dette et des déficits en tout genre est à peu près la même en Europe avec l’enchaînement des plans dit « de relance » et de « résilience ». Le citoyen lambda est, bien évidemment, maintenu dans l’ignorance, voire entretenu dans l’euphorie initiale que peut procurer la vie à crédit et le surendettement, avant que le couperet ne finisse par tomber. Les beaux discours des ministres des économies qui parlent inlassablement, pour des raisons électorales, du retour d’une croissance forte, sont évidemment bien trompeurs. Les seules croissances avérées dans le monde otanien sont la croissance de la dette, celles des coûts de l’énergie, de l’alimentation et celles de l’inflation et des faillites d’entreprises, rachetées à bas prix par des « profiteurs de guerre ». Les chèques généreusement distribués en périodes pré-électorales pour compenser les pertes de pouvoir d’achat, ne sont provisionnés que par un surcroît de dettes sur lesquels politiques et médias restent muets et que les générations suivantes devront rembourser. (ne pas voir, ne pas dire …).

La part du PIB otanien dans le PIB mondial ne cesse de se réduire et c’est dans cette situation peu reluisante qu’une l’OTAN, devenue clairement agressive, cherche querelle à la Russie en avançant toujours plus à l’Est, depuis 30 ans, son contrôle des pays, ses bases, ses missiles de croisière, le tout étant financé, bien sûr, par un simple surcroît de dette, dans une monnaie qui ne repose sur rien, depuis longtemps, mais qu’on imprime sans compter.

La Chine se frotte les mains et voit s’affaiblir ses deux principaux rivaux. C’est elle qui empochera la mise. Cette défaite économique, liée initialement à la Covid-19, affectera bien davantage la composante européenne de l’OTAN, poussée par les USA à un jusqu’au boutisme russophobe qui va lui coûter cher. Les USA se réjouiront sans doute de cet affaiblissement d’une UE qui ne fait qu’accroître sa dépendance à leur égard.

4- Une défaite sociale et sociétale

En temps de guerre, le rôle des dirigeants est de créer les conditions de la cohésion et de l’unité nationale pour accroître l’efficacité des stratégies mises en œuvre. La confiance entre gouvernants et gouvernés est cruciale. Elle repose sur la pédagogie et l’honnêteté reconnues des dirigeants et ne peut s’accommoder du mensonge, de la corruption, de la contrainte, des volte-faces, de la menace et de l’application permanente de sanctions.

Dans les pays membres de l’OTAN, des mesures de contraintes, souvent incohérentes, ont été mises en place d’emblée, des changements de directions et de discours allant, pour les exécutifs, jusqu’à prôner l’inverse de ce qu’ils affirmaient la veille, ont émaillé la première année de la pandémie. C’est sur un socle de confiance déjà très « ébranlé » qu’a été mise en place une stratégie excluant, voire interdisant les traitements précoces efficaces et faisant la promotion d’une stratégie « du tout vaccinal ». Le vaccin, encore expérimental, devait être « occidental » pour être validé par les pays de l’OTAN, selon l’idée que seul ce qui est « occidental » est efficace et bon pour la planète. Les moyens utilisées pour justifier la stratégie et pousser les populations vers la seringue n’ont connu aucune limite (contrainte, fausses études comme le Lancet gate, propagande médiatique anxiogène et omniprésente, censure quasi totale de toute opinion divergente). Les autorités se sont appuyés sur des taux de couverture vaccinale obtenus sous la contrainte pour tenter de faire croire à l’opinion qu’il y avait adhésion d’une majorité à leur stratégie vaccinale. Ce qui pouvait rester de confiance a fini par s’évaporer pour un grand nombre de citoyens.

Tout cela a conduit, au sein d’une majorité des pays membres de l’OTAN, à une division des populations bien plus profonde que ne peuvent l’imaginer les autorités. Forte dégradation des conditions du vivre ensemble (mise à mal du secteur associatif et des lieux de convivialité), délitement et sous encadrement de l’hôpital par évictions de personnels soignants non vaccinés et fermetures de lits, ruine de pans entiers des économies (tourisme, salles de sport, restaurants), mise à mal de l’enseignement et de l’éducation nationale, division au sein des familles, stigmatisation d’une part non négligeable de la société … etc

Cette forte dégradation des relations sociales et des conditions de vie sociétale dans la quasi totalité des pays membres de l’OTAN constitue une quatrième « défaite » dans la guerre contre le Covid. Elle a aussi exacerbé des divisions qui existaient déjà entre deux camps. Celui plutôt mondialiste des gouvernances, des élites, des médias, de la finance, des GAFAM et de certains lobbies occidentaux et transnationaux (Big Pharma, mais pas que …) et celui plus populaire, mais tout aussi déterminé, des souverainistes, évidemment qualifiés de « complotistes » par les premiers. Ces divisions ont atteint leur paroxysme dans certains pays (Canada, USA, France). Elles ont pu être observées par les citoyens monde entier et ont affaibli les pays qui ont été les plus concernés. Elles ont dégradé sérieusement leur image et déconsidéré le « modèle démocratique occidental » (Canada, USA, France …) aux yeux d’une large fraction de l’opinion mondiale.

5- Une perte de capacité militaire

On doit aussi évoquer ici la perte de capacité militaire de l’OTAN, liée à l’obligation de participer à l’expérimentation vaccinale imposée à des personnels, très majoritairement jeunes et en bonne santé, ayant une probabilité extrêmement faible de faire des formes graves de la maladie.

Entre le départ des forces armées de militaires refusant le vaccin et les effets secondaires moins négligeables qu’annoncés, les USA ont perdu plus de 200 000 hommes selon une déclaration sous serment de médecins militaires US lors d’une audition en commission sénatoriale. Ce nombre est supérieur à celui des effectifs russes engagés en Ukraine et quatre fois supérieur aux pertes des 7 ans de guerre du Vietnam (50 000 morts). Dans les autres pays de l’OTAN, les mêmes causes ont produit les mêmes effets, à divers degrés, bien sûr, et cela dans un silence assourdissant des responsables de tous niveaux hiérarchiques et des médias. En France, par exemple, un témoignage récent rapporte qu’une compagnie, prévue pour partir en opération extérieure, a du être remplacée au dernier moment parce que de trop nombreux personnels, ayant juste reçu leur troisième dose, n’étaient plus en état de pouvoir être déployés … Ces évolutions récentes s’ajoutant à celles liées aux fameux « dividendes de la paix » tirés depuis trente ans (réduction de moitié ou des deux tiers des budgets de défense/PIB, des effectifs, des matériels majeurs, de la maintenance de ces matériels, de l’entraînement, abandon du service national, quasi-disparition des réserves …etc), expliquent clairement la situation actuelle.

L’OTAN, devenue une addition de faiblesse, un conglomérat de forces armées nationales en état de décomposition avancée, n’est plus capable de mener une guerre conventionnelle de haute intensité sur le théâtre européen.

Ceci veut dire que la guerre menée par les pays de l’OTAN ne peut être qu’économique (sanctions) et, en cas d’insuccès, d’escalade et/ou de menaces immédiates jugées vitales par les membres de l’OTAN, c’est à dire par les USA, NUCLÉAIRE. Cette grande faiblesse en moyens humains et matériels conventionnels devient donc particulièrement dangereuse.

Que dire, en conclusion, de cette guerre à la Covid-19 menée par les pays membres de l’OTAN, parfaitement alignés sur un « modèle (??) » US, qui s’est avéré désastreux et qui a pu être observée par une « communauté internationale » élargie au 7 milliards d’habitants non otaniens ?

1 – Les pays membres de l’OTAN ont-ils raison de suivre aveuglément et en toutes choses, comme ils le font désormais, un modèle états-unien en déclin rapide ? La gestion de la crise sanitaire et le jusqu’au boutisme vaccinal dont les chiffres révèlent, avec le recul, qu’ils ont été inefficaces, voire contre-productifs, incitent à penser que non. Rappelons que le modèle états-unien, devenu, de fait, otanien, a généré un taux de mortalité moyen (2,42/1000h) 4,4 fois plus élevé que le taux de mortalité du reste du monde (0,55/1000h). « On peut débattre de tout sauf des chiffres ».

2 – Dans l’état où se trouve aujourd’hui, après deux ans de guerre contre le Covid-19, cette « coalition occidentale », l’OTAN, qui ne compte que 12% des habitants de la planète mais qui se prend encore pour  le seul maître du monde et dont les états membres s’autoproclament, à eux seuls, « communauté internationale », est-elle bien avisée d’avoir cherché querelle à la Russie en poussant toujours plus à l’Est, ses « annexions », ses bases, ses missiles, pour tenter de prendre le contrôle de l’Ukraine ? Était-ce bien opportun ? Était-ce aussi innocent que l’ont dit nos politiques et nos médias ?

Ce n’est pas sans une certaine satisfaction, qu’un grand nombre de pays dans le monde (Afrique, Asie, Amérique latine), derrière des déclarations de façade, ou des votes à l’ONU contraints, voit décliner rapidement une alliance agressive (l’OTAN) qui s’ingère toujours plus dans des affaires qui ne sont pas les siennes, en coalition de circonstance ; qui s’arroge le droit de définir ce qui est bien et ce qui ne l’est pas sur la planète, pour servir les seuls intérêts du chef de meute US ; une alliance qui utilise l’arme de la sanction économique, fondée sur l’extra-territorialité du dollar, et la guerre de l’information pour réduire à merci, ceux qui tentent de lui résister ; une alliance qui génère, depuis 1990, plus de chaos que de paix sur la planète ; une alliance qui a largué plus d’un million de bombes dans de multiples guerres non déclarées depuis 1990 et qui a provoqué, de manière directe ou indirecte, la mort et/ou la mutilation de plusieurs millions d’êtres humains dans un silence assourdissant de nos médias mainstream. Il est vrai qu’il y a deux sortes de morts pour l’occident. Ceux qui méritaient leur sort, victimes des exactions de l’OTAN, commises en toute impunité, et les « pauvres innocents », souvent instrumentalisés par l’OTAN, mais victimes des adversaires de l’OTAN ; adversaires qu’il convient absolument de sanctionner pour n’avoir pas compris la règle du jeu otanienne, en rajoutant, si nécessaire, de la guerre à la guerre …

Cette période de domination sans partage de l’occident et de l’OTAN s’achèvera probablement grâce à la crise ukrainienne et au déclin économique du monde occidental. Nous aurons donc demain moins d’ingérences, moins de chaos, moins de victimes de l’OTAN et de ses manigances sur la planète. À quelque chose malheur est bon.

Source : Dominique Delawarde, données statistiques : Worldometer et Our World in data.

La Vénus de Willendorf revisitée

La très célèbre statuette d’une hauteur de 11 cm découverte en Basse-Autriche en 1908 rassemble tous les symboles de la fertilité. Elle a été datée du Gravettien à 30000 ans avant l’ère commune. Elle a été taillée dans un calcaire appelé oolithe qui ne se trouve pas dans la région de Willendorf et ce détail, si l’on peut dire, a occupé l’esprit des anthropologues pendant plus d’un siècle. Le Docteur Gerhard Weber de l’Université de Vienne a soumis la statuette à une micro-tomographie atteignant une résolution de 11,5 microns pour en révéler la composition interne. Faisant appel aux connaissances de géologues spécialistes des oolithes des échantillons de cette roche provenant de toute l’Europe, de la France à la Russie occidentale et de l’Allemagne à la Sicile ont été examinés pour tenter de trouver l’origine de l’oolithe de la Vénus de Willendorf.

L’oolithe est une roche sédimentaire composée de dépôts marins d’origine planctonique se présentant sous forme de globules (ooïdes) dont la partie interne se dissous avec le temps rendant la roche particulièrement facile à sculpter. Par tomographie et surtout microscopie en fluorescence sous éclairage UV l’origine de l’oolithe de la Vénus correspond parfaitement avec celle trouvée près de Lac de Garde sur le versant sud des Alpes. À cette époque la chaine des Alpes était probablement recouverte de glaciers infranchissables et les communautés humaines se déplaçaient sans cesse pour trouver du gibier. La voie la plus probable empruntée par ces chasseurs-cueilleurs était celle d’un contournement des Alpes par l’est le long des rivières sans jamais être obligés d’emprunter des itinéraires à des altitudes supérieures à 1000 mètres car seules les plaines étaient habitables et giboyeuses en raison des rigueurs du climat. Pour se rendre du Lac de Garde à Willendorf il s’agissait d’un périple d’environ 700 kilomètres passant la la plaine du Po, la Slovénie actuelle, la Bulgarie, les côtes ouest de la Mer Noire jusqu’à l’embouchure du Danube. Cette observation montre l’incroyable mobilité des groupes humains à cette époque. Pour rappel l’homme d’Ötzi retrouvé récemment dans les Alpes effectua la traversée du massif montagneux il y a 5300 ans c’est-à-dire lors de l’Holocène bien après le Dryas qui marque la fin de la dernière glaciation de l’Europe.

Source : doi : 10.1038/s41598-022-06799-z

Scandale républicain à trois semaines de l’élection présidentielle !

Il s’agit d’un véritable scandale mais les grands médias n’en parleront pas. L’avocate au barreau de Paris Virginie de Araujo-Recchia a été arrêtée à son domicile ce mardi 22 mars 2022 et transférée dans les locaux de la DGSI à Levallois. Que lui reproche-t-on ? Spécialiste du droit constitutionnel Maître Araujo-Recchia a déposé une plainte contre les parlementaires faisant partie de la Commission mixte paritaire Sénat-Parlement ayant voté la loi du 5 août mettant en place le pass vaccinal pour non respect de la Constitution. Elle a également déposé une plainte au CSA contre les journalistes Emmanuel Lechypre et Martin Blachier pour affirmations mensongères sur les plateaux des grands médias au sujet de la « vaccination » devenue obligatoire pour plusieurs catégories professionnelles.

Maître Araujo-Recchia est également membre d’un collectif européen d’avocats mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich pour tenter d’élucider le scandale de la « vaccination » par ARN messager contrevenant aux dispositions du Code de Nuremberg. L’arrestation de Maître Araujo-Recchia a suscité une grande émotion dans de nombreux pays européens et au delà puisque des associations québecoises et même australiennes ont manifesté leur surprise et leur consternation.

La « vaccination » de masse avec un produit expérimental entre dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux laboratoires pharmaceutiques produisant ces supposés vaccins constitue une grave anomalie juridique et éthique­. Au fur et à mesure que les informations permettent de reconstituer cette conspiration internationale il apparaît que l’objet de cette « vaccination » criminelle a pour but de réduire la population mondiale. À court terme les effets secondaires (mais sont-ils vraiment secondaires?) de cette thérapie génique a déjà conduit au décès de 14000 personnes seulement eu Europe. Or comme le signalement de la relation entre la « vaccination » et ces décès ne dépasse pas 1 %, les médecins étant réduits au silence sous la menace, le nombre de « morts par vaccin » serait plus proche de 1,4 million … et beaucoup de pays, dont la France, ont déjà planifié des injections de rappel. Sur le long terme il pourrait s’agir d’une chute vertigineuse de la fécondité. Pour plus d’indications afin de comprendre l’action de Maître Araujo-Recchia :https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/virginie-araujo-recchia-plainte-parlementaires

Note. Pourquoi ce fait divers révèle un énorme scandale ? Tout simplement parce qu’il montre que la France n’est plus une démocratie. Arrêter un journaliste ou dans le cas de ce que relate ce billet un avocat relève des pratiques communes dans l’Allemagne nazie ou la Russie soviétique. Sabs oublier les censures sur ordre du gouvernement. Je trouve comique qu’on mette en avant les algorithmes de Facebook ou de Google qui décrèteraient eux seuls ces censures. Ces censures sont demandées par le gouvernement car il a beaucoup trop de choses à dissimuler avec la mise en place de la « vaccination » et aussi la gestion de la crise sanitaire. En d’autres termes pour le gouvernement français Maître Araujo-Recchia se mêle de ce qui ne la regarde pas. Si Maître Araujo-Recchia ne réapparait pas rapidement alors le régime politique français entrera dans le domaine de l’arbitraire totalitaire, et Macron, réélu, se fera un plaisir de continuer son œuvre totalitaire.

Plus d’infos qui ne sont pas reprises par la presse occidentale …

À propos de l’opération russe en Ukraine :

https://crowdbunker.com/v/gdMYUfGPsS

Et d’autres points de vue :

ou encore ceci : https://www.donbass-insider.com/fr/2022/03/20/donbass-les-civils-evacuent-marioupol-et-revelent-les-methodes-de-combat-des-neo-nazis-du-regiment-azov/ et enfin :

Les pays occidentaux se sont enfoncés dans le déni et la plus extrême propagande anti-russe, changeant le nom d’un lycée portant celui de Soljenitsyne aussi incroyable que cela puisse paraître, interdisant la présence de tout athlète ou tout artiste sur le sol de quel pays occidental que ce soit, et enfin bloquant ou gelant (comme vous voudrez) les avoirs de personnes physiques russes mais plus inquiétant encore les avoirs de la banque centrale russe.

L’explication est simple. Alors que ce sont les pays occidentaux qui ont créé la situation actuelle en Ukraine après les évènements de Maïdan et mis en place un président lourdement imprégné d’idéologie néo-nazie, ces mêmes pays occidentaux ont financé et armé des groupes ouvertement nazis qui se sont incorporés à l’armée ukrainienne pour en finir avec les populations russophones du Donbass, comprenez pour harceler jusqu’à ce que mort s’en suive des populations civiles dont la seule erreur était de parler russe. Poroshenko, le président ukrainien mis en place par les Américains, avait déclaré en 2015 que ces russophones étaient des sous-hommes qu’il fallait les éliminer. La journaliste Anne-Laure Bonnel a réalisé plusieurs films au sujet de la situation dans le Donbass en 2015 et un autre film plus récent dans ce même Donbass. Ils ont été censurés. C’est dire à quel point l’Occident se sent vraiment très mal dans cette histoire.

Pour l’opinion occidentale ce ne sont pas les commandos néo-nazis ukrainiens qui bombardent et tuent des civils russophones mais les Russes ! Poutine est un ogre mangeur d’enfants, il doit être éliminé. Il ne faut plus acheter ni pétrole ni gaz russe pour mettre l’économie russe à genoux. Poutine est atteint de sclérose en plaque et il devient fou. La propagande occidentale organisée par l’OTAN et les Etats-Unis a atteint un tel degré d’intensité qu’elle constitue une explication nette de l’échec de l’Occident dans son projet d’intégration de l’Ukraine dans cette organisation criminelle qu’est l’OTAN. Les Occidentaux vont payer très cher leurs mensonges …Autres liens : https://www.youtube.com/watch?v=rDcISXdWhkc&ab_channel=Maisonrussedessciencesetdelaculture%C3%A0Paris