Opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Explications

En prélude au premier anniversaire de l’opération spéciale russe dans le Donbass, Christelle Néant dresse un tableau du déroulement des évènements sur son site Donbass-Insider que je reproduis ici. Christelle Néant est une journaliste française vivant dans le Donbass depuis les évènements de Maïdan. Elle n’a jamais cessé de dénoncer les crimes commis par l’armée ukrainienne depuis ce coup d’État à l’encontre des populations civiles russophones en bombardant et détruisant des cibles civiles avec de l’artillerie à longue portée et des fusées. J’ai choisi de faire figurer cet article sur mon blog après avoir écouté de longs passages du discours de Vladimir Poutine sur l’Etat de la nation russe. Voici donc une copie de son article paru sur Donbass-Insider paru le 19 février 2023.

« Opération militaire spéciale russe en Ukraine – une année de révélations ».

Il y a un an, l’armée ukrainienne augmentait brusquement ses bombardements contre le Donbass, prélude à une future attaque contre la RPD et la RPL (Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk). Quelques jours plus tard, l’armée russe entrait sur le territoire des deux républiques populaires afin de les protéger. En un an, l’opération militaire spéciale s’est avérée être un catalyseur de révélations, tant pour la Russie que pour l’Ukraine, ainsi que sur le plan international.

Le 24 février 2022, la Russie lançait l’opération militaire spéciale en Ukraine, et toute la presse occidentale a hurlé comme un seul homme à l’agression injustifiée de Moscou contre son voisin. Comme atteints d’amnésie, les médias occidentaux ont totalement occulté la guerre qui ravageait le Donbass depuis 2014, et surtout ont fermé les yeux complaisamment sur les bombardements de l’armée ukrainienne avant le déclenchement de l’opération militaire russe en Ukraine.

Très vite, la montée du néo-nazisme en Ukraine, la corruption endémique du pays, les crimes de guerre de l’armée ukrainienne depuis 2014 dans le Donbass, la torture systémique dans les geôles du SBU et des bataillons néo-nazis, tout ce qui pouvait nuire à l’image de Kiev, a été méthodiquement caché sous le tapis par les médias occidentaux. Et très vite, ces mêmes médias occidentaux ont commencé à relayer sans plus aucun contrôle la propagande ukrainienne, se vautrant avec elle dans la russophobie la plus crasse et les mensonges les plus éhontés.

Si avant le 24 février 2022, la propagande occidentale se contentait de garder un silence coupable sur les bombardements réguliers de l’armée ukrainienne, et les crimes de guerre de Kiev, et qu’elle accusait constamment la Russie de ne pas respecter les accords de Minsk au lieu de se pencher sur leur non respect par l’Ukraine, tout en accusant Vladimir Poutine d’être un dictateur, le lancement de l’opération militaire spéciale a montré le visage hideux des médias occidentaux, qui n’ont pas hésité à relayer la propagande russophobe la plus immonde.

L’opération militaire spéciale a révélé à quel point ces médias occidentaux qui se prétendent objectifs et neutres, ne sont que des relais de propagande de l’OTAN, prêts à rapporter n’importe quelle fausse information, ou à approuver les crimes les plus ignobles pourvu que cela soit contre la Russie. Massacre de Boutcha, accusation de viols de masse contre les civils ukrainiens, y compris des enfants ou des personnes âgées, distribution de viagra aux soldats russes, approbation d’une future épuration ethnique en Crimée pour en évincer les Russes, tous les relents de fosse sceptique publiés dans les médias ukrainiens, ont été repris par les médias occidentaux.

Cette année d’opération militaire spéciale a aussi été un catalyseur de révélations pour la Russie, les faux patriotes ont montré leur vrai visage en fuyant le pays, les failles de l’armée russe ont été révélées au grand jour, lui permettant de corriger ses erreurs et de se renforcer, des unités comme celles de la milice populaire, les bataillons Akhmat ou Wagner ont, via leurs succès sur le terrain, montré la voie à suivre en matière de combat au 21e siècle, les journalistes russes ont montré l’exemple sur ce que devrait être le 4e pouvoir, en faisant remonter les problèmes jusqu’au sommet de l’État, permettant ainsi de les résoudre, et prouvant à tous les propagandistes occidentaux, qu’il y a bien plus de liberté d’expression en Russie qu’en Occident, et enfin, l’écrasante majorité du peuple russe a montré que le patriotisme russe est toujours bien vivant.

En Ukraine, l’opération militaire spéciale a révélé toute l’horreur du régime de Kiev. La mobilisation à marche forcée de toute la population masculine du pays, l’utilisation des soldats ukrainiens comme de la vulgaire chair à canon, la dissimulation massive des morts parmi les soldats ukrainiens pour ne pas payer les compensations aux familles, les mauvais traitements voire l’exécution pure et simple des prisonniers de guerre, les meurtres des civils des villes récupérées par l’armée ukrainiennes au moindre soupçon d’avoir reçu ne serait-ce que de l’aide humanitaire russe, l’utilisation des civils comme boucliers humains par les soldats ukrainiens, la destruction systématique de tout ce qui est russe dans le pays, les plans d’offensive ukrainienne contre le Donbass, l’utilisation d’armes chimiques, les bombardements de la centrale nucléaire de Zaporojié, au risque de provoquer une catastrophe, et surtout la divulgation du travail extrêmement dangereux de dizaines de laboratoires biologiques ukrainiens, financés et dirigés par les États-Unis.

Enfin, cette année d’opération militaire spéciale russe en Ukraine aura été riche de révélations à l’international. Les preuves de la compromission de l’OSCE avec l’armée ukrainienne et les autorités de Kiev ont été trouvées lors de l’avancée des forces russes, l’Allemagne et la France ont avoué que les accords de Minsk n’avaient pas été signés pour rétablir la paix dans le Donbass, mais pour donner du temps à l’Ukraine pour se réarmer (justifiant ainsi pleinement l’opération militaire spéciale russe en Ukraine), les États-Unis ont révélé leur nature prédatrice (y compris envers leurs soi-disant alliés) et terroriste, en détruisant les gazoducs Nord Stream 1 et 2, l’Union Européenne a démontré qu’elle n’était qu’un laquais de Washington, en prenant des sanctions contre la Russie qui ont détruit l’économie européenne, et en déshabillant ses armées nationales pour fournir à l’Ukraine de plus en plus d’armes, dont elle se sert pour commettre des crimes de guerre.

L’Occident a aussi démontré toute l’étendue de ses doubles standards et de ce que valent ses « valeurs humanistes » en fermant les yeux sur ces crimes de guerre ukrainiens commis avec des armes occidentales, tout en organisant une hystérie russophobe qui a viré à la censure pure et simple de tout ce qui est russe, allant des médias jusqu’aux sportifs et artistes russes.

L’Occident a enfin clairement révélé durant l’année écoulée ses plans visant à dépecer la Russie en plus petits États, démontrant ainsi le danger qui planait non seulement pour le Donbass, mais pour la fédération de Russie elle-même. Et le cynisme des pays occidentaux, qui utilisent l’Ukraine comme terrain de combat, et sa population comme chair à canon, a montré toute l’hypocrisie de cet Occident qui se prétend défenseur de la souveraineté du pays.

Au contraire, les véritables alliés de la Russie se sont révélés lors de cette année, aidant Moscou à mener son opération militaire spéciale, et à contourner les sanctions occidentales, isolant ainsi de plus en plus les pays occidentaux sur la scène internationale. D’ailleurs lors de l’année écoulée plusieurs pays, entre autre africains, ont commencé à tenir tête de plus en plus fermement aux pays occidentaux, l’opération militaire spéciale russe en Ukraine ayant révélé toutes les faiblesses de cet Occident qui se prend pour la communauté internationale toute entière.

Malheureusement, à l’heure où j’écris ces lignes, l’armée ukrainienne a bombardé cet après-midi le centre de Donetsk, tuant une civile et en blessant onze autres dont une enfant de neuf ans. L’opération militaire spéciale russe en Ukraine n’est pas encore terminée, mais les forces russes continuent d’avancer petit à petit pour libérer le territoire du Donbass et faire cesser ces crimes de guerre de l’armée ukrainienne.

En un an d’opération militaire spéciale russe en Ukraine, de nombreux civils ont été tués par les bombardements ou les techniques de combat de l’armée ukrainienne, qui les utilise comme des boucliers humains. Cette année fut la plus sanglante et la plus terrifiante des sept que j’ai vécues dans le Donbass. Celle où j’ai le plus pleuré devant les corps de civils, devant les corps d’enfants tués par des obus et des roquettes fournies par l’Occident, fournies par mon pays natal, la France. Si jusque là j’étais indignée du silence complice des autorités françaises qui fermaient les yeux sur les crimes de guerre et le non respect des accords de Minsk par l’Ukraine, durant l’année écoulée cette indignation s’est transformée en honte, de voir mon pays natal fournir à Kiev des armes qui ont tué des civils, dont des enfants, dans ce Donbass, cette Russie, qui est devenue ma patrie.

Les révélations de cette première année d’opération militaire spéciale russe dans le Donbass ont montré que cette dernière était nécessaire pour éviter l’attaque de la RPD et de la RPL par l’armée ukrainienne, et le génocide pur et simple de la population civile qui s’en serait suivi. Ce qui s’est passé à Boutcha, Izioum, ou Koupiansk, lorsque les forces ukrainiennes ont assassiné purement et simplement ceux qui avaient travaillé avec les Russes, ou simplement accepté de l’aide humanitaire ou de la nourriture russes, a révélé ce qui attendait les habitants du Donbass, si l’armée ukrainienne n’avait pas été empêchée de mener son plan d’attaque prévu pour le mois de mars 2022.

Et la révélation des plans ukrainiens et occidentaux, ainsi que du travail dangereux des laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine, a montré que la Russie elle-même était en danger, et devait agir si elle voulait tout simplement continuer d’exister en tant qu’État souverain et uni.

Il faut maintenant mener le processus à son terme, et terminer la dénazification, et la démilitarisation de l’Ukraine, afin de protéger non seulement le Donbass, mais aussi la Russie toute entière.

Christelle Néant

Lien : https://www.donbass-insider.com/fr/2023/02/19/operation-militaire-speciale-russe-en-ukraine-une-annee-de-revelations/

Deux enfants de putes !

Depuis que j’ai laissé sur ce blog un article intitulé “Fils de pute …” en octobre 2016 je me sens libre de relater mes impressions sur la géopolitique actuellehttps://jacqueshenry.wordpress.com/2016/10/03/fils-de-pute/ en des termes crus. En ce début d’année qui n’augure vraiment rien de bon je voudrais établir un parallèle entre le prix Nobel de la paix Obama et le couple d’enfants de pute que sont Merkel et Hollande. Consécutivement Merkel et Hollande ont déclaré qu’ils n’avaient jamais soutenu les accords ni de Minsk-1 ni de Minsk-2 dont ils étaient garants avec le président russe et le Conseil de sécurité des Nations-Unies. La raison de leur mépris pour ces accords était claire : laisser à l’Ukraine le temps de s’armer et de s’organiser pour parer à l’évidence d’une invasion de la Russie dont le but était défendre, protéger et libérer les populations civiles russophones de l’est et du sud de l’Ukraine soumises à des bombardements incessants et des séries de décisions vexatoires mises en place par le gouvernement de Kiev depuis le coup d’Etat de Maïdan fomenté par la CIA et Victoria Nulland. Les estimations font état de 15000 à 30000 morts civils dans le Donbass depuis les évènements de Maïdan. Le choix de la population de la péninsule de Crimée d’être rattachée à la Fédération de Russie à la suite d’un référendum démocratique a conforté le gouvernement ukrainien à intensifier ses efforts de fortification du “front” défini comme la frontière ethnique entre les ukrainophones et les russophones.

Le Président de la Fédération de Russie espérait que ces accords de Minsk éviteraient un conflit qui, à ses yeux, allait devenir inévitable si la situation des populations du Donbass continuait à empirer. Merkel et Hollande trainèrent les pieds pour faire respecter par Kiev ces accords de Minsk comme ils l’ont déclaré tout récemment. Ces deux fauteurs de guerre, sous les ordres de Washington et de son bras armé l’OTAN, sont donc restés lamentablement inactifs. Ce sont eux les responsables du conflit actuel qui se terminera sans aucun doute par une destruction de l’Ukraine et sa partition en diverses entités comprenant la partie très majoritairement russophone du Donbass jusqu’à Odessa, une rétrocession des territoires anciennement parties intégrantes de la Hongrie à la fin de la première guerre mondiale, de des territoires la Pologne à la suite du redécoupage des frontières à l’époque de Staline et de la Roumanie dépossédée de la Moldavie devenue une république soviétique à l’issue de la seconde guerre mondiale également selon la volonté de Staline. Ces trois pays ont affirmé leurs revendications territoriales car les frontières actuelles sont pour le moins artificielles.

Durant l’occupation allemande la grande moitié sud-ouest de l’Ukraine fut nazifiée et il en reste aujourd’hui un noyau dur de nationalistes qui ne cachent pas leur sympathie pour l’ancien régime nazi, les bandéristes du nom de leur chef et inspirateur Stepan Bandera, l’un des pires criminels de guerre du vingtième siècle, dont l’idéologie criminelle a été reprise par les bataillons Azov par exemple qui se sont fait un plaisir de massacrer de sang froid les civils innocents du Donbass.

Ceci étant écrit l’objectif présent du Président de la Fédération de Russie est d’affaiblir le potentiel humain de l’armée ukrainienne et de détruire systématiquement les équipements militaires qui ont été fournis par l’Occident pour alimenter ce conflit dans le but d’affaiblir la Russie. On assiste aujourd’hui à une aide militaire massive de la Chine, de l’Iran et même de la Corée du Nord apportée à la Russie pour renforcer son potentiel destructeur afin de mettre un terme à ce conflit. La guerre d’usure mise en place par Moscou avec l’appui des Républiques du Donbass consiste à réduire le potentiel humain de l’armée ukrainienne. On parle de près de 1000 combattants mis hors d’état chaque jour tués et blessés, près des “chaudrons” fortifiés situés à l’ouest de Donetsk, dans les localités d’Artemiosk et Soledar. Le nombre de combattants qui seront pris au piège dans ces chaudrons dont l’encerclement est en bonne voie est estimé à plus de 70000 ! Lorsque ces “citadelles” fortifiées imbriquées dans le paysage urbain seront tombées alors les bombardements qui ont débuté en 2015 sur la ville de Donetsk cesseront et les civils pourront reprendre une vie normale.

Depuis que j’ai laissé sur ce blog un article intitulé “Fils de pute …” en octobre 2016 je me sens libre de relater mes impressions sur la géopolitique actuellehttps://jacqueshenry.wordpress.com/2016/10/03/fils-de-pute/ en des termes crus. En ce début d’année qui n’augure vraiment rien de bon je voudrais établir un parallèle entre le prix Nobel de la paix Obama et le couple d’enfants de pute que sont Merkel et Hollande. Consécutivement Merkel et Hollande ont déclaré qu’ils n’avaient jamais soutenu les accords ni de Minsk-1 ni de Minsk-2 dont ils étaient garants avec le président russe et le Conseil de sécurité des Nations-Unies. La raison de leur mépris pour ces accords était claire : laisser à l’Ukraine le temps de s’armer et de s’organiser pour parer à l’évidence d’une invasion de la Russie dont le but était défendre, protéger et libérer les populations civiles russophones de l’est et du sud de l’Ukraine soumises à des bombardements incessants et des séries de décisions vexatoires mises en place par le gouvernement de Kiev depuis le coup d’Etat de Maïdan fomenté par la CIA et Victoria Nulland. Les estimations font état de 15000 à 30000 morts civils dans le Donbass depuis les évènements de Maïdan. Le choix de la population de la péninsule de Crimée d’être rattachée à la Fédération de Russie à la suite d’un référendum démocratique a conforté le gouvernement ukrainien à intensifier ses efforts de fortification du “front” défini comme la frontière ethnique entre les ukrainophones et les russophones.

Le Président de la Fédération de Russie espérait que ces accords de Minsk éviteraient un conflit qui, à ses yeux, allait devenir inévitable si la situation des populations du Donbass continuait à empirer. Merkel et Hollande trainèrent les pieds pour faire respecter par Kiev ces accords de Minsk comme ils l’ont déclaré tout récemment. Ces deux fauteurs de guerre, sous les ordres de Washington et de son bras armé l’OTAN, sont donc restés lamentablement inactifs. Ce sont eux les responsables du conflit actuel qui se terminera sans aucun doute par une destruction de l’Ukraine et sa partition en diverses entités comprenant la partie très majoritairement russophone du Donbass jusqu’à Odessa, une rétrocession des territoires anciennement parties intégrantes de la Hongrie à la fin de la première guerre mondiale, de des territoires la Pologne à la suite du redécoupage des frontières à l’époque de Staline et de la Roumanie dépossédée de la Moldavie devenue une république soviétique à l’issue de la seconde guerre mondiale également selon la volonté de Staline. Ces trois pays ont affirmé leurs revendications territoriales car les frontières actuelles sont pour le moins artificielles.

Durant l’occupation allemande la grande moitié sud-ouest de l’Ukraine fut nazifiée et il en reste aujourd’hui un noyau dur de nationalistes qui ne cachent pas leur sympathie pour l’ancien régime nazi, les bandéristes du nom de leur chef et inspirateur Stepan Bandera, l’un des pires criminels de guerre du vingtième siècle, dont l’idéologie criminelle a été reprise par les bataillons Azov par exemple qui se sont fait un plaisir de massacrer de sang froid les civils innocents du Donbass.

Ceci étant écrit l’objectif présent du Président de la Fédération de Russie est d’affaiblir le potentiel humain de l’armée ukrainienne et de détruire systématiquement les équipements militaires qui ont été fournis par l’Occident pour alimenter ce conflit dans le but d’affaiblir la Russie. On assiste aujourd’hui à une aide militaire massive de la Chine, de l’Iran et même de la Corée du Nord apportée à la Russie pour renforcer son potentiel destructeur afin de mettre un terme à ce conflit. La guerre d’usure mise en place par Moscou avec l’appui des Républiques du Donbass consiste à réduire le potentiel humain de l’armée ukrainienne. On parle de près de 1000 combattants mis hors d’état chaque jour tués et blessés, près des “chaudrons” fortifiés situés à l’ouest de Donetsk, dans les localités d’Artemiosk et Soledar. Le nombre de combattants qui seront pris au piège dans ces chaudrons dont l’encerclement est en bonne voie est estimé à plus de 70000 ! Lorsque ces “citadelles” fortifiées imbriquées dans le paysage urbain seront tombées alors les bombardements qui ont débuté en 2015 sur la ville de Donetsk cesseront et les civils pourront reprendre une vie normale.