La nouvelle technique vaccinale utilisée pour la mise au point d’un vaccin anti-SARS-CoV-2 peut être considérée comme une thérapie génique. Cette approche dite de thérapie génique préoccupait déjà la firme Goldman Sachs en 2018. Un analyste de cette firme financière se posait la question très préoccupante : Guérir les patients est-il vraiment un business model attractif ? Si les patients sont guéris c’est terminé, ce ne sont plus des « clients » et à terme les profits disparaissent. C’est ce qui est arrivé à Gilead avec le sofosbuvir, son médicament leader pour le traitement de l’hépatite C. Il faut noter que cette molécule fut mise au point par le laboratoire Pharmasset racheté par Gilead pour étoffer son portefeuille d’antiviraux à la suite du fiasco du Tamiflu, initialement découvert par Gilead et dont la firme Roche acheta la licence. Le Tamiflu s’est révélé être d’une médiocre efficacité pour traiter la grippe saisonnière à Influenza. Depuis la mise sur le marché du sofosbuvir qui guérit 90 % des patients souffrant d’hépatite C mais n’ayant pas développé de cirrhose, c’est important de le rappeler, les profits réalisés par Gilead n’ont jamais cessé de diminuer, passant de 10 à 4 milliards de dollars par an. Pour l’analyste Salveen Richter de Goldman Sachs il est préférable qu’un médicament ne guérisse pas les malades pour que le marché soit maintenu dans des volumes suffisants pour réaliser de substantiels profits. En d’autres termes si un médicament guérit les malades son marché disparaît surtout quand il s’agit d’une maladie virale.
Ce n’est pas le cas pour les traitement contre les cancers mais il reste des pépites à exploiter pour les thérapies géniques comme par exemple le traitement contre l’hémophilie dont le marché représente environ 10 milliards de dollars dans le monde avec un chiffre d’affaire en croissance de 6 à 7% chaque année. Les autres terrains d’exploitation potentiellement très profitables sont les atrophies musculaires provoquées par une dégénérescence des neurones de la moelle épinière et toutes les cécités d’origine génétique. Cependant ces domaines d’investigations sont très complexes et il faudra attendre une ou deux décennies pour voir apparaître sur le marché de nouveaux médicaments.
La poule aux œufs d’or
La mise au point de vaccins à ARN messager anti-SARS-CoV-2 constitue une opportunité financière que les plus grands laboratoires pharmaceutiques (et Goldman Sachs) n’imaginaient même pas à la fin de l’année 2019. Devant la catastrophe sanitaire annoncée à grands renforts d’alertes médiatiques reprenant les prévisions apocalyptiques de scientifiques à l’intégrité discutable comme Neil Fergusson (pour ne citer que cet individu) les laboratoires pharmaceutiques se sont lancé tête baissée dans la mise au point ultra-rapide d’une thérapie génique vaccinale dont le fondement est un ARN messager codant pour la protéine Spike-1 du coronavirus. Les essais cliniques ont été bâclés mais la poule aux œufs d’or n’est pas morte puisque le SARS-CoV-2 présente la particularité commune à tous les virus à ARN simple brin de muter sans arrêt. Par conséquent le marché est assuré puisqu’il faudra mettre sur le marché d’autres versions du vaccin à ARN tant que le virus n’aura pas totalement disparu. Les analystes de Goldman Sachs qui ont misé gros sur certains laboratoires pharmaceutiques se frottent les mains.
Tout a été ficelé pour que les grands groupes financiers qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques réalisent d’immenses profits dont l’unité de compte en dollars est désormais un 1 suivi de 9 zéros, le jack-pot ! Les pouvoirs politiques ont été maîtrisés par une intense corruption de la part des laboratoires pharmaceutiques afin d’inculquer la peur dans les populations et de surtout interdire tout médicament générique susceptible de soigner et guérir les malades puisque ces génériques, la bête noire des grandes firmes pharmaceutiques, ont été très tôt montrés comme étant particulièrement efficaces par les biologistes chinois. Cette information a conduit à une intense propagande contre la Chine à laquelle a succombé le Président américain, lui-même probablement corrompu par le lobby pharmaceutique.
Quand le Professeur Raoult de Marseille, l’un des plus grands infectiologues dans le monde, a montré clairement que la thérapie préconisée par la Chine était excellente pour traiter au stade précoce les malades du SARS-CoV-2 et surtout pour diminuer très rapidement la charge virale chez ces malades qui, de fait, ne devenaient plus contagieux, alors les politiciens français, corrompus jusqu’au plus haut niveau comme chacun sait, ont tout fait pour « pourrir » les travaux du Professeur Raoult en s’entourant de médecins, eux-mêmes corrompus par les grands laboratoires pharmaceutiques, pour faire passer le message. En effet, il ne fallait surtout pas circonscrire l’épidémie en autorisant ces médicaments mais au contraire la laisser amplifier d’elle-même en prenant des mesures erratiques et inutiles de contrôle des populations. Et ça a très bien marché, trop bien quitte à mettre en péril l’économie de la France (dans le cas de la France et de Raoult) mais également de tous les autres pays de l’Union européenne ! L’Europe est en effet le premier marché ciblé par les « BigPharma ». Comme le déclarait l’analyste de Goldman Sachs en 2018, ce n’est pas un bon plan de guérir les malades … surtout pour les actionnaires.
Znfin, je ne crois pas aux délires néo-nazis de Klaus Schwab du World Economic Forum, c’est le lobby pharmaceutique occidental qui est, en premier lieu, aux manettes depuis le début de l’épidémie, mais je peux me tromper …
Source : https://www.cnbc.com/2018/04/11/goldman-asks-is-curing-patients-a-sustainable-business-model.html
Note en complément. En ce qui concerne la France, déclarer du jour au lendemain que l’hydroxychloroquine est toxique alors des plusieurs milliards de personnes se traitent chaque jour avec cette molécule pour se prémunir contre la malaria et que des malades se traitent également quotidiennement avec cette même molécule pour le lupus et la polyarthrite rhumatoïde était d’un ridicule achevé. Pour rebondir les « sommités médicales » gravitant autour du Président Macron ont avancé l’argument fallacieux que l’hydroxychloroquine n’avait pas fait l’objet d’essais cliniques en double aveugle contre un placebo. Cet argument était téléphoné par le cartel des « BigPharma » qui ont eux-mêmes mis en place ce type d’essai pour valider l’efficacité de nouvelles molécules en regard des vieux médicaments qui étaient satisfaisants à quelques % près pour les breveter, les mettre sur le marché et réaliser de copieux profits. Ce seul fait met en évidence l’intervention directe du lobby de la pharmacie auprès du gouvernement français …