Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?

Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.

Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.

Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg

Il est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna. L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.

Le caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf

Nouvelles du japon : « vaccination anti-covid » et rappels historiques

Quand le gouvernement japonais conseillait aux citoyens du pays de consentir à se faire injecter ce « vaccin » innovant constitué d’un ARN messager synthétique codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, cette population considéra qu’il était essentiel de suivre ces conseils. Le gouvernement du Japon ne pouvait pas obliger son peuple à se plier à cette thérapie génique car une telle décision aurait été contraire à la Constitution. Le docilité des Japonais les a conduit à en arriver à décider par eux-mêmes de subir jusqu’à deux rappels lorsque les derniers sursauts épidémiques dévastateurs furent les plus importants, et pour cause : ces injections de pseudo-vaccins ont fragilisé les défenses immunitaires de l’organisme provoquant alors un plus important nombre de cas graves et de décès.

Cette apparente passivité, ou fatalité, des Japonais commence à inquiéter certains hommes politiques. Des voix discordantes osent maintenant présenter les faits. Toutes causes confondues il y a eu 1,58 millions de décès en 2022, année traversée par trois vagues épidémiques coronavirales alors que les premières injections de pseudo-vaccins avaient débuté durant la première moitié de l’année 2021. La thérapie génique provenait essentiellement des laboratoires Pfizer. Si on détaille ce nombre de morts toutes causes confondues entre 2021 et 2022 le nombre supplémentaire de morts a atteint 140000 et par rapport à l’intervalle 2020-2022 ce nombre est de 210000 morts. Une cause supplémentaire de décès est donc évidente si on compare ces chiffres avec un effet accru au cours de l’année 2022. tous les statisticiens japonais curieux se sont heurtés au manque criant de données, le système de signalement des effets indésirables de la thérapie génique étant très mal organisé, à dessein peut-être.

Sur seulement 260 cas étant considérés comme pouvant être liés à la « vaccination », 52 d’entre eux ont été étudiés en détail après autopsie et confirmés comme étant probablement induits par cette « vaccination » par un comité mis en place par le gouvernement et appointés par ce dernier, constitué par un ensemble de personnalités dont l’incompétence a été dénoncée par certains médias japonais sans insister car au Japon la coutume consiste à ne pas blesser une personne par des propos directs : on utilise plus volontiers des périphrases sibyllines plutôt que des arguments chocs. Ce comité ad hoc a simplement déploré le manque d’informations et déclaré qu’il lui était impossible de se faire une opinion, une belle démonstration de l’adage « il ne faut froisser personne »… Par conséquent sur ces 52 cas mentionnés ci-dessus un seul a été dûment classé comme un décès directement lié à l’injection de l’ARN messager.

Cette attitude évasive adoptée par les autorités gouvernementales japonaise est un reflet du comportement du peuple japonais. Il m’est donné ici l’occasion de répéter que le Japon est une colonie des Etats-Unis depuis la capitulation sans conditions de l’Empereur Showa le 2 septembre 1945 à bord de l’USS Missouri mouillant dans la baie de Tokyo. Cet empereur, 124e du nom, descendant des dieux est plus connu en Occident sous le nom de Hirohito. Avoir été humilié ainsi par les Américains faisait partie de la stratégie de ces derniers de continuer à toujours humilier le peuple japonais jusqu’à aujourd’hui. Toutes les décisions politiques de portée internationale choisies par la Diète doivent recevoir l’agrément des Etats-Unis, ce qui paraît assez surréaliste mais c’est pourtant la vérité. Il y a plus de 60000 personnels de l’armée américaine au Japon et toute protestation des japonais eux-mêmes n’est pas de mise. En ce qui concerne ces escroqueries vaccinale en 77 ans, trois générations, les Japonais ont acquis l’habitude de se plier aux injonctions autoritaires des Américains, qu’il s’agisse de faits de société, de négociations commerciales ou politiques et dans bien d’autres domaines. Le « parapluie militaire américain » est devenu caduque puisque autant la Chine que la Corée du Nord disposent maintenant de vecteurs hypersoniques indestructibles, un « petit » détail qui revêt une importance capitale.

Je me suis rendu à plusieurs reprises dans le sanctuaire de Yasukuni ainsi qu’au Musée Edo à Tokyo. Om peut y voir de nombreuses évocations de l’ampleur des destructions effectuées par les Américains au cours des années 1944-1945 en particulier à Tokyo. Les deux tiers de la ville furent rasés par des bombardements américains incessants et aveugles. Quelque part dans la mémoire collective japonaise il reste encore aujourd’hui un mélange de peur mêlée de ressentiment qui ne transparaît pas car fondamentalement les Japonais sont respectueux et ne veulent en aucun cas créer de conflit avec l’occupant américain.

Lien : https://www.bitchute.com/video/pwTP8sEN90Ew/

Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Le scandale des « vaccins » Pfizer/BioNtech au grand jour

Le Professeur Michel Chossudovsky résume la situation ainsi :

« Des profits se chiffrant en milliards de dollars étaient la force motrice de ce programme diabolique, « Tuer est une bonne affaire ». Ce dont nous sommes témoins est un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent, affectant la vie de toute la population de notre planète ».

Je conseille vivement à mes lecteurs de visionner cette présentation de Chossudovsky en français auprès d’un site québecois et éventuellement de se munir d’un VPN à cette fin :https://rumble.com/v2b2pc2-michel-chossudovsky-vaccin-pfizer-profits-vs-mortalit.html (Chossudovsky est censuré par youtube). Il a eu la communication du dernier rapport financier de Pfizer qui indique que cette société a réalisé 100 milliards de profit pour l’année fiscale 2022, l’exercice fiscal se clôturant le 31 mars. Il a également eu entre les mains le rapport de Pfizer sur la morbidité et la mortalité du « vaccin » à ARN messager émanant également de Pfizer. Un rapport arrêté le 28 février 2021, c’est-à-dire 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination ». Voici ce qui figure dans ce rapport :

Selon Chossudovsky à la vue de ces données toute injection de cet ARN messager aurait du être immédiatement arrêtée en vertu du Code de Nuremberg ( https://en.wikipedia.org/wiki/Nuremberg_Code ). L’injection d’ARN messager constitue en effet une violation de l’ensemble des dix points de ce Code, en particulier l’utilisation d’êtres humains pour l’administration d’un produit expérimental sans leur consentement et sous la contrainte, et qu’aucune étude sérieuse n’ait été réalisée au préalable. Toujours selon Chossudovsky l’ensemble des décideurs politiques a été corrompu par Pfizer pour accepter cette violation du Code de Nuremberg. La société Pfizer a réitéré son attitude de publicité mensongère pour laquelle elle a été déjà condamnée à une lourde amende de plus de 8 milliards de dollars car en ce qui concerne cette thérapie génique à base d’ARN messager il s’agit bien d’une publicité mensongère soutenue par les décideurs politiques.

L’interdiction des traitement précoces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine a été exigée par Pfizer et Moderna auprès des décideurs politiques corrompus dans le seul but de consolider leurs perspectives de profit.

Des scientifiques comme Malone, Ioannidis et bien d’autres combattent sur le plan scientifique mais Chossudovsky n’était qu’un professeur d’économie et il se bat contre l’aspect économique de ce scandale. Parce qu’il est d’origine russe il est traité par le mépris par la presse de grand chemin occidentale, en particulier américaine. C’est dans l’air du temps. D’amples « class-actions » s’organisent aux Etats-Unis et au Canada pour poursuivre Pfizer, Moderna et d’autres fabricants d’ARN messager, les Européens doivent le faire, c’est urgent. Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne mais ce n’est pas suffisant. Il faut des actions de grande ampleur émanant des citoyens eux-mêmes qui ont été bernés depuis le début et ont servi d’animaux de laboratoire pour Pfizer et Moderna. Les gouvernement dissimulent soigneusement les statistiques relatives aux nombreux effets secondaires de cette « vaccination ». « Il y a un loup » et il faut le pourchasser. Selon diverses estimations le nombre de morts provoquées par cette illégale injection d’ARN messager atteindrait 2 millions dans les pays dits occidentaux, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée, Australie et Nouvelle-Zélande. Ces injections non seulement ne protègent ni d’une nouvelle infection par le coronavirus, ni de la transmission par des personnes infectées à d’autres personne mais font apparaître des anticorps facilitant une nouvelle infection, phénomène appelé ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement » décrit dès le début des campagnes de « Vaccination », une situation qui a encouragé les décideurs politiques à procéder à de multiples « rappels » qui arrondissent les profits de Pfizer. Il s’agit d’une situation machiavélique de laquelle le public ne peut plus échapper en raison des décisions du pouvoir politique corrompu.

J’ai l’occasion ici de rappeler le désastre de Sanofi aux Philippines avec un vaccin expérimental contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 4000 enfants, ce vaccin expérimental entrainant l’apparition d’ADE conduisant à une néo-infection de dengue mortelle. Ce scandale a disparu des banques de données, c’est l’attitude coutumière des laboratoires pharmaceutiques. Un autre cas d’ADE peut être mentionné (je n’ai pas effectué de recherches approfondies). Il s’agit du vaccin tétravalent contre le papillomavirus, la cause première des cancers du col de l’utérus. Ce vaccin est administré aux jeunes filles en Suède depuis 2006. Or on assiste à une forte recrudescence de ce type de cancer. Est-ce une coïncidence ou un effet du hasard. Toujours est-il que les parents qui font vacciner leurs filles devraient réfléchir (source :https://www.lelibrepenseur.org/explosion-de-cas-de-cancers-du-col-de-luterus-chez-la-femme-suedoise-a-partir-de-lintroduction-du-gardasil-en-2006/ ). Si les peuples continuent à accepter d’être traités comme des animaux alors la civilisation occidentale est vraiment décadente …

Lien : https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-pfizer-un-bilan-de-deux-rapports-largent-contre-la-mortalite/5675419 (en français et à lire absolument).

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Nouvelles du Japon : « vaccination » anti-coronavirus

Mon fils vit au Japon depuis 18 ans et ses enfants et lui-même ont été contaminés par la souche delta du SARS-CoV-2. À l’appui d’un certificat médical ils ne sont donc pas assujettis à la « vaccination » conseillée par le gouvernement mais non obligatoire. Ceci ne les a pas protégés contre une nouvelle infection puisque mes deux petits-enfants franco-japonais ont été à nouveau contaminés par un mutant de la souche omicron du virus, preuve que le système immunitaire devient inefficace rapidement après une première infection. Je me trouvais à Tokyo à ce moment-là et j’ai moi-même été infecté par cette forme gastro-entéritique entrainant des complication administratives car mon visa de touriste arrivait à expiration étant positif par test RT-PCR. Il apparaît clairement que le système immunitaire est fortement perturbé par le virus. Peut-être que l’explication se trouve dans la simple observation de la lymphocytopénie consécutive à l’infection qui a été largement observée comme l’un des effets du coronavirus. Mais je me hasarde dans des spéculations n’ayant comme appui que mes propres analyses sanguines après l’infection dont je fus victime à la fin du mois de mars 2010 par la souche dite « Wuhan ».

Le choix de l’épouse de mon fils qui est Japonaise m’a un peu dérouté. Elle s’est pliée récemment à une quatrième injection de cette thérapie génique de toute évidence totalement inutile et potentiellement dangereuse. Les statistiques sont « arrangées » pour maintenir l’information non prouvée que cette thérapie protège contre les formes graves de l’infection. Encore faut-il connaître précisément quelle est l’incidence de cette thérapie sur le développement de ces formes dangereuses. Il existe peu de données statistiques dans les pays occidentaux à ce sujet, au contraire les décideurs politiques tentent de dissimuler le fait qu’il n’y aurait aucun bénéfice de la thérapie génique quant à la protection contre les formes dangereuses. Les analystes en sont donc réduits à se contenter des données publiques disponibles.

Les données rassemblées par la John Hopkins’s University et Our World in Data confirment que la thérapie génique ne protège en rien contre une première ou une nouvelle infection :https://www.francesoir.fr/societe-sante/japon-mortalite-covid-professeur-masanori-fukushima-plainte . À tel point qu’un médecin japonais a osé déposer une plainte contre le gouvernement japonais qui selon lui est criminel. En effet, alors que la mortalité par coronavirus diminue dans le monde entier et le Japon se particularise toujours par une forte incidence du nombre de cas positifs (toujours par RT-PCR que l’on sait ne pas être fiable) et surtout par la mortalité qui ne décroit que faiblement. Les données les plus récentes datant du 17 février 2023 sont sans ambiguité ( https://www.worldometers.info/coronavirus/country/japan/ ), contrairement à tous les autres pays du monde le Japon continue à alimenter l’épidémie et sa mortalité avec la « vaccination » :

L’analyse de ce graphique montre à l’évidence que depuis la mise en place de la thérapie génique avec ARN messager codant pour la sous-unité 1 de la protéine spike du virus l’augmentation du nombre de décès a été soutenue alors qu’avant cet événement la mortalité avant l’instauration de cette thérapie plaçait le Japon parmi les meilleurs du monde. On ne peut que conclure que cette pratique ne présente aucun bénéfice sanitaire, bien au contraire. Et la conclusion est évidente : il faut bannir toute « vaccination » car elle est inefficace et dangereuse si on veut mettre un terme à cette épidémie.

SARS-CoV-2 : la bombe à retardement va bientôt exploser !

Le 15 mars 2022 j’expliquais sur ce blog que le SARS-CoV-2 avait été intentionnellement modifié pour obtenir un gain de fonction en introduisant dans son matériel génétique, de l’ARN monocaténaire, une douzaine de nucléotides codant pour la séquence proline-arginine-arginine-alanine située au milieu de la séquence totale de la protéine spike. Ce site est celui du clivage par la furine de cette protéine en deux sous unités rendant la première sous-unité capable lors d’une infection par le coronavirus d’envahir après sa libération l’ensemble de l’organisme et de se fixer sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine des cellules épithéliales tapissant en particulier les vaisseaux sanguins. Une recherche “blast” avait montré que cet insert faisait partie d’une séquence de 19 nucléotides ayant fait l’objet d’un brevet déposé par la firme Moderna en 2016 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ ). L’article original décrivant une manipulation évidente en laboratoire du virus parent le plus proche du SARS-CoV-2, la souche RATG13. Les codons de l’arginine introduits avaient été naïvement choisis comme ceux communément rencontrés chez les mammifères mais très rarement présents chez les coronavirus. Ce simple détail signait à l’évidence une manipulation du matériel génétique du virus pour obtenir un gain de fonction. Article original : doi : 10.3389/fviro.2022.834808 .

La question qui se posait alors était la suivante : qui avait procédé à cette manipulation, les Américains ou les Chinois ? Comme j’ai personnellement tendance à considérer que les Américains mentent maladivement dans tous les domaines, il restait donc l’hypothèse des trois laboratoires P3 et du laboratoire P4 de Wuhan, ville chinoise d’où partit le coronavirus. Encore une fois considérant les Américains comme des menteurs compulsifs et des spécialistes avérés de coups tordus en tout genre, il fallait trouver une preuve que la manipulation de gain de fonction provenait des USA. Rebondissement spectaculaire la semaine dernière lorsque Project Veritas a mis enligne une interview avec caméra cachée d’un biologiste haut placé de la firme Pfizer qui affirmait sur un ton humoristique que les laboratoires de recherche et développement procédaient à des travaux de mutagenèse dirigée sur le même coronavirus avec pour objectif non dissimulé d’obtenir un nouveau SARS-CoV-2 modifié de telle façon que son pouvoir infectieux soit encore plus exacerbé que la souche dite “wuhan” nécessitant la mise au point d’un nouveau “vaccin” spécifique. Comprenez que la firme Pfizer envisage de répandre dans le monde un virus ultra-modifié dont elle aura déjà en production cette nouvelle préparation d’ARN messager pour soit-disant protéger les populations risquant une nouvelle infection par ce coronavirus modifié. Lien : https://www.projectveritas.com/news/pfizer-executive-mutate-covid-via-directed-evolution-for-company-to-continue/ . Comme l’a déclaré à plusieurs reprises le Docteur Robert Malone, l’inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager, cette approche pour “vacciner” des sujets bien portants n’a jamais été couronnée de succès. Les seuls essais cliniques entraient dans le cadre de traitements en dernier recours contre des cancers incurables. Tous les essais sur des animaux s’étaient révélés catastrophiques y compris lors des essais en phase II entrepris par la firme Pfizer qui s’est bien gardé de rendre ces résultats publics. Jamais une autorisation de mise sur le marché de cette solution d’ARN messager de Pfizer ou de Moderna n’aurait été accordée si les autorités de sureté sanitaire n’avaient pas été achetées par ces deux firmes. Corruption donc … https://lemediaen442.fr/fox-news-explication-de-tucker-carlson-sur-les-revelations-dun-cadre-pfizer-piege-par-project-veritas/

Les médias de grand chemin européens ont-ils fait part de ces informations ? Bien sur que non puisqu’ils ont tous été achetés par ces firmes pharmaceutiques ainsi que les décideurs politiques et les agences d’homologation des médicaments et à tout ce petit monde il faut aussi ajouter l’Organisation Mondiale de la Santé. Que représente une centaine de millions de dollars pour corrompre tout ce beau monde, aux USA comme en Europe, au Japon, en Corée, en Afrique du Sud ou en Israël alors que les bénéfices nets attendus se comptent en plusieurs dizaines de milliards de dollars ?

Vous voulez une preuve ? La Présidente de la Commission européenne, dont l’époux est le PDG d’une firme de biologie proche de Pfizer car impliquée dans la production d’ARN messagers, a pris l’initiative personnellement d’acheter 5 milliards de doses à un tarif compris entre 10 et 20 dollars la dose. Etait-ce le volume extravagant de cette commande pour laquelle l’Union Européenne aurait alors obtenu en tarif préférentiel disons de 10 dollars la dose ? Même si tel est le cas les contribuables européens ont payé sans aucun pouvoir démocratique de s’y opposer la coquète somme de 50 milliards de dollars. Il est dès lors évident que Pfizer et Moderna dans un moindre mesure n’ont pas hésité à corrompre tous les décideurs politiques et dans ce lot le président français est en bonne place. Les révélations du biologiste de Pfizer Jordan Tristan Walker sont une preuve supplémentaire de la marchandisation de la médecine et des malades par les firmes pharmaceutiques qui se moquent des règles les plus fondamentales de l’éthique. Regardes l’intervention de Tucker Carlson sous-titrée en français ici :https://lemediaen442.fr/fox-news-explication-de-tucker-carlson-sur-les-revelations-dun-cadre-pfizer-piege-par-project-veritas/ .

Il est venu le temps où la justice de tous les pays occidentaux cités plus haut prenne conscience de l’urgence d’organiser une vaste enquête pour corruption organisée à l’échelle internationale car non seulement il y a eu à l’évidence corruption des élites dirigeantes mais crime contre l’humanité compte tenu de la toxicité de cette sous-unité 1 de la protéine spike libérée par la furine dans l’organisme des sujets infectés par le coronavirus, celle-là même codée par l’ARN messager utilisée comme pseudo-vaccin. Va-t-on devoir porter à longueur de journée non plus un masque en tissu ou en matière non tissée dont l’efficacité a été prouvée comme étant nulle mais un masque NBC (nuclear-biological-chemical) pour se protéger ? 

Cette révélation par un cadre de recherche de Pfizer exonère en quelque sorte la Chine au sujet de laquelle je n’ai jamais cru en la culpabilité, les Américains étant tellement habitués à mentir … Une belle bombe à retardement et à fragmentation qui fera à n’en pas douter un instant de gros dégâts. Rien qu’en France le président de la République devrait démissionner et présenter ses excuses au peuple français, la présidente de la Commission européenne devrait se retrouver en prison pour prise illégale d’intérêts et abus de pouvoir … la liste de tous ceux qui devraient se retrouver en prison est gigantesque de même que la liste des morts par “vaccin” ou victimes d’effets secondaires incurables à la suite de cette thérapie génique sans aucune efficacité l’est également. Le Global Times (Chine) s’est ému du silence des médias occidentaux et à juste titre puisque la Chine a été pointée du doigt dès le début de l’épidémie comme étant le pays fautif numéro 1 ( https://www.globaltimes.cn/page/202301/1284446.shtml ). Cette histoire me plait beaucoup mais malheureusement il est tellement facile aussi d’acheter la justice à coups de millions de dollars … Sans autre commentaire.

Le « vaccin » contre le coronavirus est un effort intentionnel en vue d’un génocide mondial

Paul Craig Roberts, 8 janvier 2023

Jamais auparavant il n’y a eu autant d’excès massifs de décès après une campagne de vaccination. Jamais auparavant il n’y a eu d’enfants, de jeunes adultes, d’athlètes dans la fleur de l’âge, d’artistes, de morts pour des « causes inconnues » après une vaccination.

Il est évident que la cause est connue. Les principaux médecins et scientifiques médicaux de notre époque, qui excluent les bureaucrates de l’Agence de la santé, comme Fauci, qui servent d’agents de marketing pour les grandes sociétés pharmaceutiques et les conseils médicaux d’État et les organismes de sécurité sociale et de protection de la santé, corrompus et politisés, n’ont jamais expliqué pourquoi et comment les « vaccins » à ARNm, qui ne sont pas des vaccins, tuent, détruisent le système immunitaire et provoquent des dommages pour la santé. Ce qu’on ne sait pas, c’est pourquoi certains meurent immédiatement après avoir reçu la substance mortelle, d’autres un mois plus tard, et d’autres restent, jusqu’à présent, en vie et en apparente bonne santé. Certains chercheurs pensent que le contenu des « vaccins » est très différent selon les lots de fabrication, et d’autres pensent que certains flacons étaient des placebos dans le but de produire un ensemble de personnes indemnes pour vanter la sécurité des injections. 

Le professeur Michel Chossudovsky a rassemblé ici –https://www.globalresearch.ca/the-covid-killer-vaccine-people-are-dying-all-over-the-world-its-a-criminal-undertaking/5800358 un certain nombre de vidéos documentant les souffrances et les décès généralisés des personnes vaccinées. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui meurent « mystérieusement » partout dans le monde. Ce sont les personnes vaccinées. Pourtant, la dissimulation continue. Les médias occidentaux – une collection de putes (sic dans le texte : « whores ») travaillent à se couvrir, ainsi que pour Fauci, Biden, Bill Gates, Big Pharma, la FDA, les NIH, le CDC, et la profession médicale totalement corrompue et irresponsable. Big Pharma et la FDA continuent de pousser les bébés à être injectés avec le « vaccin » tueur, et il y a encore des parents tellement stupides et insouciants qu’ils participent au meurtre de leurs propres enfants.

Avec des gens partout dans le monde si stupides et si aveuglément confiants en l’autorité, nous pouvons voir pourquoi le supranational du satanique Gates et du satanique Klaus Schwab sont confiants qu’ils peuvent réussir à réduire la population mondiale et à effectuer leur Grand Reset. Que veux-je dire quand je dis que Gates et Schwab sont sataniques ? Pensez-y de cette façon. De temps à autre, lorsqu’on discute du sujet, quelqu’un dira que les gens peuvent être si horribles qu’ils peuvent comprendre pourquoi certains voudraient les exterminer massivement. Je leur demande s’ils seraient prêts à appuyer sur le bouton du génocide, et ils répondent « non ». Ils comprennent qu’ils n’ont pas le droit de causer la mort de personnes au nom de leur opinion ou d’un programme climatique ou idéologique. La différence entre eux et Bill Gates et Klaus Schwab, c’est que Gates et Schwab sont prêts à appuyer sur le bouton du génocide. Ce qui est si horrible, c’est que cette volonté a acquis une haute position morale. Exterminer les gens est devenu le moyen de sauver la planète.

Les auteurs de ce meurtre de masse sont convaincus que leur crime est trop important pour être reconnu comme tel. Les populations naïves ne croiront tout simplement pas que « leurs » gouvernements leur feraient cela. Personne ne veut admettre qu’ils ont exécuté les membres de leur propre famille et leurs propres enfants en faisant aveuglément confiance aux « autorités » qui avaient annoncé leur programme de génocide à l’avance. 

Aux États-Unis, seul un faible pourcentage de la population a une idée de ce qui se passe. Le temps et l’énergie de la population sont utilisés pour joindre les deux bouts en fin de mois et se divertir. Ils s’émeuvent pour un crime évident puis un autre, les faits divers. Peu importe l’annonce du gouvernement – l’assassinat du président John Kennedy, l’assassinat du sénateur Robert Kennedy, la machination du golfe du Tonkin, les attentats du 11 septembre, les armes de destruction massive de Saddam Hussein, la pandémie de COVID, le vaccin « sûr et efficace » contre la COVID. Ils n’apprennent jamais. 

Maintenant, ils font face au génocide, et ils n’ont toujours pas appris. 

Les auteurs du génocide de masse sont toujours sous contrôle.

Si ce n’est pas un génocide, dites-moi ce que c’est lorsque d’éminents médecins se réjouissent d’avance au sujet du « vaccin » à ARNm et qu’ils sont censurés et punis s’ils dénoncent du danger, lorsque l’inventeur du « test de COVID » par PCR affirme que le test n’indique pas la présence du virus et qu’il est ignoré. lorsque les preuves des effets nocifs du « vaccin » sont tenues secrètes par Pfizer et la FDA, lorsque les médecins sont empêchés de traiter l’infection avec des remèdes connus comme l’ivermectine et la HCQ, lorsque les pharmacies refusent de remplir les ordonnances des médecins pour ces remèdes, lorsque des mandats illégaux et inconstitutionnels sont utilisés pour forcer des citoyens menacés de perdre leur emploi à se soumettre à une injection, lorsqu’aucune attention officielle n’est accordée à l’augmentation massive des décès excédentaires chez les personnes vaccinées, lorsque les médias mènent une campagne trompeuse de mensonges et de propagande ?

Les Américains – en fait le monde occidental dans son ensemble – sont confrontés à une monstrueuse entreprise criminelle. Ont-ils la force et l’intelligence de la reconnaître ? Vont-ils faire quelque chose ?

Note de votre serviteur. Les dernières estimations font état de 540000 décès aux USA seulement à la suite du début de la campagne d’injections répétées de « vaccins » à ARNm et ce document en lien ci-dessus qui passe en revue à la date du 28 juin 2022 tous les effets secondaires et décès provoqués par les « vaccins » à ARN messager. Cette estimation de 540000 décès provient des statistiques des actuaires des compagnies d’assurance américaines croisées avec celle des entreprises de pompes funèbres et en ne prenant pas en compte les décès officiellement répertoriés « covid19 ». 

Il faut également rappeler que le Docteur Robert Malone, inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager, a toujours précisé que cette thérapie n’a jamais été couronnée de succès et n’a été utilisée à titre expérimental que dans les cas extrêmes de traitements de dernière chance avec des malades en phase terminale de cancers réfractaires à tous les traitements connus. En conséquence les propos de Paul Craig Roberts doivent considérés avec un sérieux extrême.Enfin le Docteur Mullis, inventeur de la technique d’amplification de l’ADN par PCR affirmait quelques années avant sa disparition que cette technique ne pouvait pas être utilisé en diagnostic car elle introduit trop de faux positifs.

SARS-CoV-2 : le bout du tunnel ?

Il reste encore trop de zones d’ombre au sujet de la pandémie de coronavirus qui débuta il y a 3 ans quelque part à Wuhan en Chine juste au moment où se déroulaient les jeux olympiques militaires internationaux, trop de zones d’ombre pour s’en désintéresser. De nombreux athlètes regagnèrent leur pays atteints d’une maladie mystérieuse et inconnue qui ne fit l’objet d’aucune « une » dans la presse jusqu’à l’apparition de foyers infectieux en particulier en Savoie et en Italie centrale. Ce qu’on ignorait à l’époque, du moins ce que les médias ignoraient, était le fait que tout était déjà plié : le mécanisme international de corruption allait prendre en main la suite des évènements avec l’appui bienveillant de l’OMS et du NIH, entre autres organismes. Le moindre petit grain de sable dans les rouages de cette manipulation internationale issue des Etats-Unis devait être éliminée, je vais revenir sur ce point dans le suite de ce billet.

Ce qui m’a déterminé à revenir à nouveau sur cette pandémie est une transcription d’un exposé du sénateur australien Gerard Rennick qui en quelques minutes détruit point par point la machination de la « vaccination », conséquence de la pandémie de SARS-CoV-2 : https://crowdbunker.com/@leLibrePenseurOrg . Ne tentez pas de visualiser cette intervention du sénateur australien sans sous-titre, son accent du Queensland profond est inaudible y compris pour un anglophone comme votre serviteur. L’autre fait qui m’a également motivé est une retransmission d’une table ronde organisée par la Vaccine Safety Research Foundation paru ce 13 décembre 2022 sur Rumble dont voici le lien : https://rumble.com/v20gj44-bret-weinstein-robert-malone-md-and-steve-kirsch-save-the-world-in-3-steps-.html et celui permettant de sélectionner les interventions de chacun des participants à cette table ronde :https://rumble.com/c/VaccineSafetyResearchFoundation .

J’aborderai le premier fait révélateur de la machination sous-jacente qui accompagna cette pandémie jusqu’à ce jour. Il s’agit du traitement précoce de l’infection par le SARS-CoV-2 avec l’hydroxychloroquine préconisé très tôt par le Professeur Didier Raoult. Il appliqua ce type de traitement à la fin des années 1990 pour traiter la fièvre Q en associant la chloroquine à un macrolide ou d’autres antibiotiques comme la doxycycline, une tétracycline (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1529-8019.2009.01244.x ). L’utilisation de la chloroquine (600 mg par jour) pour traiter la fièvre Q et d’autres rickettsioses découlait de l’observation que cette molécule alcalinise les lyzosomes et favorise donc la mort du parasite intracellulaire obligatoire, un peu comme un virus qui peut être également considéré comme un parasite intracellulaire. Les premières observations cliniques du Professeur Raoult démontrèrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour réduire en quelques jours la charge virale en SARS-CoV-2 chez des patients infectés par ce virus. Quelle ne fut pas la véritable chasse aux sorcières dont fut victime le Professeur Raoult car il était le « grain de sable » pouvant bloquer tout le complot qui prenait forme autour de la pandémie. En effet la séquence de l’ancêtre le plus proche du SARS-CoV-2, RaTG13, comparée à celle de ce dernier révélera par la suite que ce virus avait été modifié au niveau du gène codant pour la protéine spike par l’insertion d’une séquence de 19 nucléotides qui avait fait l’objet d’un brevet déposé par la société Moderna en 2019 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ et https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fviro.2022.834808/full ). Ce qui était troublant dans cet article était la présence de deux codons CGG codant pour l’arginine qui sont extrêmement rares dans toutes les séquences de coronavirus connues. Ce simple fait signe une manipulation dans un laboratoire. Donc les grandes firmes pharmaceutiques étaient déjà prêtes à produire un « vaccin » basé sur de l’ARN messager dérivé de celui du virus codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike partant du principe trompeur que si l’organisme recevant cet ARN messager synthétisait cette protéine, alors elle servirait à induire une réponse immunitaire et protégerait ainsi contre une infection par le SARS-CoV-2.

Le grain de sable, la bête noire à pourchasser devenait de facto l’animal nuisible à pourchasser. Tout fut fait pour persécuter cet éminent scientifique parce qu’il contrecarrait les projets des grandes entreprises pharmaceutiques. Une telle série d’évènements laisse des traces indélébiles dans la mémoire et le simple exposé que je viens de brosser ci-dessus prouve indirectement la culpabilité de ces grandes entreprises pharmaceutiques. Dès le retour des athlètes de Wuhan le virus se répandit dans le monde entier et il devenait donc urgent de mettre les grands moyens en œuvre pour ouvrir le marché de cette thérapie génique. À ce jour près de 5 milliards de personnes ont reçu au moins deux doses de cet ARN messager dans le monde avec un succès proche de zéro, j’y reviendrai. Le deuxième grain de sable qui subit le même traitement médiatique et politique fut l’ivermectine qui apparut dans ce mécanisme diabolique fomenté par les laboratoires pharmaceutiques mais quelques mois plus tard.

Le docteur Robert Malone a bien résumé ce que je viens d’écrire (https://rwmalonemd.substack.com/p/irreparable-vaccine-induced-harm ) et il a ouvert le débat au sujet de l’imprévisible désinvolture des grands laboratoires pharmaceutiques occidentaux. Le cas de l’interdiction de l’ivermectine a fait l’objet de nombreux débats dont celui mené par le Docteur Pierre Kory par exemple ici : https://www.lewrockwell.com/2022/10/joseph-mercola/the-war-on-ivermectin/ .

Je reviens donc ici sur le problème de la stoechiométrie vaccinale qui a été éludée par ces firmes pharmaceutiques. Un vaccin contre un virus classique est constitué de ce virus obtenu après culture dans des œufs ou des cultures de cellule puis désactivé pour qu’il perde ses propriétés pathogènes. On injecte à un sujet une quantité connue de particules virales et le résultat prouvé après de longues études est une immunité acquise satisfaisante. Au cours de ces longues études tous les effets secondaires possibles et déjà répertoriés pour d’autres vaccins sont explorés en profondeur au cours d’essais cliniques longs et coûteux. L’énorme différence avec la thérapie génique utilisée dans l’espoir d’immuniser les sujets est que dans ce dernier cas cette stoechiométrie n’est pas contrôlable. L’organisme du receveur va synthétiser avec sa machinerie cellulaire un nombre de copies inconnu d’une protéine, la sous-unité-1 de la protéine spike codée par l’ARN messager synthétique injecté, qui s’est révélée par la suite toxique car c’est précisément elle qui confère au virus sa toxicité en particulier au niveau circulatoire sanguin. Confrontés à ce problème très grave sinon criminel ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont organisé auprès des gouvernements une sorte d’omerta en ce qui concerne ces effets secondaires. Sur les quelques 4 à 5 milliards de personnes dans le monde ayant reçu de gré ou de force et sans aucune information cet ARN messager le nombre d’effets secondaires toutes causes confondues n’a jamais été corrélé à ces injections, et pour cause il fallait en dissimuler l’ampleur. Les estimations font état de 45000 sujets ayant fait l’objet de rapports détaillés transmis aux organismes ad hoc nord-américains ou européens, 45000 tous effets confondus y compris les morts subites quand celles-ci étaient prises en compte. La mise en forme d’un dossier « effets secondaires » est tellement laborieuse que les médecins traitants négligent de faire remonter les informations dont ils disposent. Outre ces complications administratives les autopsies de patients ayant succombé subitement après ces injections ont été découragées voire interdites. C’est dire à quel point les laboratoires pharmaceutiques se sentent gênés ! Bref, moins de 1 % des dossiers sont remontés auprès des instances administratives dédiées. On peut donc raisonnablement considérer que ce nombre d’effets secondaires pourrait atteindre 5 millions de patients seulement dans les pays occidentaux. Et le nombre de morts consécutifs à une injection d’ARN messager est difficilement comptabilisable malgré le fait qu’on découvre peu à peu une surmortalité « inexplicable » dans de nombreux pays occidentaux, de la Nouvelle-Zélande au Québec en passant par Israël, pays qui ont rendu cette « vaccination » obligatoire alors que cette obligation est contraire au droit international.

En conclusion de cette longue prose il faut que des personnes courageuses, comme par exemple Madame Virginie Joron, députée européenne, qui tente vainement de soumettre la présidente de la Commission européenne à un interrogatoire devant l’Assemblée parlementaire européenne, que des élus de ces instances européennes et des élus de divers pays décident de faire toute la lumière sur ce scandale, sur ce crime organisé par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité des instances sanitaires internationales et nationales et encouragés par les médias et les décideurs politiques. Il y a comme une forte odeur de corruption, pensez-donc : au minimum dix à 15 ­ milliards de doses à 15 dollars en moyenne l’unité c’est un gigantesque profit pour ces entreprises sans foi ni loi, la plupart d’entre elles déjà condamnées par le passé pour comportement frauduleux ou mensonger.

Le coronavirus perturbe les mécanismes de la reproduction !

Chez la femme comme chez l’homme l’estradiol est nécessaire au bon fonctionnement des organes impliqués dans la reproduction. On retrouve en effet les récepteurs de cette hormone sexuelle chez la femme dans l’utérus, les ovaires, les glandes mammaires, et chez l’homme dans les tubules séminifères des testicules, bien que le taux d’estradiol soit beaucoup plus important chez la femme. Enfin l’estradiol se fixe à ses récepteurs situés dans les noyaux cellulaires de l’hypothalamus, de l’hypophyse, du foie, de la rate, des poumons, des reins et du tissu adipeux. L’estradiol est d’une nécessité absolue pour la formation du corps jaune qui est lui-même le facteur central de la maturation de l’ovocyte en vue de la fécondation. Après ce petit rappel, il faut ajouter que l’estradiol se fixé sur son récepteur ER-alpha dont le rôle, une fois activé va réguler l’expression d’un certain nombre de gènes en agissant directement sur l’ADN nucléaire. Cet ensemble de connaissances relatives au récepteur ER-alpha est bien connu mais le problème qui apparaît maintenant est le total manque d’informations accumulées par les laboratoires pharmaceutiques qui ont dans la hâte élaboré ce qu’ils appellent abusivement des vaccins avec leur ARN messager codant pour la protéine de la spicule du SARS-CoV-2.

Une équipe du NIAID, l’Institut dépendant du NIH et dirigé par Antony Fauci, ( ! ) a réalisé une gigantesque investigation dont le but était de déterminer sur quelle protéine du corps humain cette protéine « spike » se fixait préférentiellement. Plus de 8000 protéines différentes ont été séparées par électrophorèse et les répliques sur des films de nitrocellulose ont été incubées avec cette protéine spike complète obtenue par désactivation du site de clivage furine et non la sous-unité-1 de cette protéine issue du clivage par la furine avec le virus SARS-CoV-2 modifié quelque part dans un laboratoire américain pour obtenir un gain de fonction. La sous-unité-2 de cette protéine se fixe également sur la membrane cellulaire mais pas comme l’autre moitié qui se fixe sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine ACE2.

Cette protéine spike entière a été marquée avec de l’iode-125 (ça me rappelle des souvenirs lointains) afin de détecter la moindre protéine « allumée » par cet iode. Et quelle ne fut pas la surprise de constater que la principale protéine fixant cette protéine spike complète est … le récepteur ER-alpha de l’estradiol !. Pire encore seule la sous-unité-1 de la protéine spike du SARS-CoV-2 présente cette propriété alors que la sous-unité-2 ne se fixe pas sur ce récepteur de l’estradiol mais seulement sur une autre protéine membranaire des cellules épithéliales. Je ne romance pas l’article paru dans la revue Science et je suggère aux curieux de lire cet article passionnant dont voici le lien d’accès libre : https://www.science.org/doi/full/10.1126/sciadv.add4150 ou DOI : 10.1126/sciadv.add4150 

Parmi l’immense corpus de ce travail se trouve un graphique qui a particulièrement attiré mon attention. Lorsque la protéine la plus « affine » pour la protéine spike a été identifiée une étude détaillée des paramètres de fixation tant de la spike que de l’estradiol par l’ER-alpha a été étudiée en détail et le résultat est particulièrement inquiétant pour un biologiste comme votre serviteur. J’ai en effet au cours de ma carrière de recherche étudié de nombreuses molécules inhibant l’activité de nombre d’enzymes qui sont comme l’ER-alpha des protéines. Et le graphique ci-dessous mérite un commentaire détaillé :

La technique d’obtention de ces courbes d’interaction de l’ER-alpha avec l’estradiol consiste à mesurer le taux de fixation de ce récepteur sur l’ADN nucléaire directement extrait de cellules en culture adaptées pour ce type d’essai. La partie A de l’illustration est une représentation du taux de fixation de l’ER-alpha sur l’ADN cellulaire en fonction de la quantité de protéine S (spike) virale ajoutée lors de l’incubation. Cette quantité de protéine S est exprimée en logarithme de la concentration (molaire) de cette protéine. Je n’ai pas fait le calcul des microgrammes que cela représentait pour une concentration de 10-8,5 moles/l, le point d’inflexion de la courbe permettant d’en déduire l’affinité de S pour l’ER-alpha mais la partie B du graphe est beaucoup plus explicite et inquiétante. En effet pour une quantité fixe de protéine S ajoutée lors de l’incubation correspondant au point d’inflexion de la courbe A on remarque immédiatement une profonde perturbation de l’effet de l’estradiol sur la capacité de fixation de l’ER-alpha sur l’ADN nucléaire en présence de protéine S. Le point d’inflexion de cette courbe A se situe vers 140 nanogrammes/ml de protéine S. L’affinité de l’ER-alpha pour l’estradiol n’est pas significativement modifiée (10-9,5 moles/l ou approximativement 125 picogrammes/ml) mais le taux maximal d’ER-alpha fixé sur l’ADN est significativement diminué passant de 100 % à moins de 75 %. La protéine S perturbe donc profondément la fonction de l’ER-alpha. Ainsi tous les organes cités plus haut sont affectés puisque cette protéine (la sous-unité-1) codée par l’ARN messager expérimental utilisé comme vaccin se retrouve partout dans l’organisme après injection de ce pseudo-vaccin.

Si les auteurs de cette étude magistrale n’ont pas abordé le problème soulevé par ce résultat je me charge ici de livrer ma propre interprétation. La protéine spike perturbe donc la fixation du récepteur AR-alpha sur l’ADN, c’est incontestable, sans pourtant modifier l’affinité de ce dernier pour l’estradiol. Quelles peuvent être les conséquences d’un tel effet de minoration de l’interaction de l’AR-alpha avec l’ADN nucléaire ? C’est justement ce qui a été observée directement par de nombreuses femmes : perturbation du cycle menstruel, avortements spontanés, enfants mort-nés, et chez les hommes : diminution de la spermatogenèse et réduction de la mobilité des spermatozoïdes car l’activation de la transcription de l’ADN en ARNs messagers devient moindre. Alors les conséquences sur l’équilibre hautement sophistiqué du système reproductif sont évidentes. Un tel résultat paradoxalement réalisé dans l’institut du NIH après la commercialisation massive de la thérapie génique à base d’ARN messager codant précisément pour la sous-unité-1 de la protéine spike du SARS-CoV-2 aurait normalement été mis en évidence bien avant la production massive des ingrédients de cette thérapie génique mise en oeuvre sous prétexte qu’il y avait une urgence à satisfaire. Il faut en moyenne une dizaine d’années pour évaluer en détail un nouveau vaccin. À l’évidence ce ne fut pas le cas pour cette épidémie car non seulement on ne « vaccine » pas les personnes au cours d’une épidémie mais également parce que cette technologie n’a pas été suffisamment étudiée en détail, alors le pseudo-vaccin présentait vraiment des effets indésirables en particulier au niveau du récepteur ER-alpha de l’estradiol, la clé de voute de la reproduction humaine. Etait-ce le but recherché ? J’émets quelques doute bien que la publication citée en référence ne fait pas état de la date de début des investigations. Le monde entier a été berné par Pfizer et Moderna. Ces entreprises sont criminelles et elles devront rendre des comptes un jour devant le peuple pour leur désinvolture scientifique caractérisée et uniquement motivée par la soif de profit.