L’écologie idéologique revisitée (Séralini)

Décidément, Corinne Lepage, qui n’y connait rien du tout, a encore perdu une occasion de se faire discrète en s’affichant avec l’escroc Séralini lors d’une conférence de presse à Bruxelles (crédit photo AFP via Le Point) parce que ce triste sire qui ridiculise la science française ne veut pas admettre la légèreté sinon la désinvolture avec laquelle il a conduit ses travaux ultra-secrets sur l’effet du maïs RoundUp Ready de Monsanto quand il est donné à des rats ad libitum pendant deux ans. Comme ce monsieur ne l’ignorait pas, ou alors il ignore tout de l’expérimentation animale, les rats utilisés ont un patrimoine génétique abâtardi qui les rend susceptibles au développement de tumeurs multiples. Les Sprague-Dawley sont en effet une lignée établie par inbreeding il y a de nombreuses années et ils présentent l’avantage d’être tous génétiquement identiques. Ils ne sont donc jamais, pour cette raison, utilisés dans des études de long terme. Apparemment Séralini a tout simplement ignoré ce fait que tout scientifique ayant travaillé un jour ou l’autre au cours de sa carrière avec des rats comme animaux de laboratoire ne peut pas ignorer. Ce simple fait me fait donc dire, comme je l’ai écrit dans le billet laissé hier sur mon blog, que Séralini a sciemment fraudé en choisissant des Sprague-Dawley qui sont notoirement déconseillés pour élaborer des études de carcinogénicité. Pourquoi ne pas avoir utilisé des Wistar ou encore des Long-Evans.

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J’avais laissé le 30 juin dernier sur mon blog un billet qui relatait la sortie en fanfare du film de Séralini au Japon. Ce billet a suscité quelques commentaires et je me permet d’en reproduire deux pour bien situer l’imposture, ces commentaires sont visibles sur mon blog et l’auteur du commentaire ne m’en voudra pas. Je cite donc :

Premier commentaire :

 

En réponse à votre article,
 1) sur le plan scientifique et le problème des rats de labo (et pas seulement les rats SD), vous pouvez consulter le manuel (un peu la « Bible » de l’anapath qui bosse sur les rats) « Pathobiology of Aging Rats » (2 vol) de Capen et Mohr ou si vous n’avez pas le manuel, vous pouvez consulter sur PubMed les nombreux articles de Kevin KEENAN qui est le grand spécialiste des problèmes des rats de labo. L’étude en 24 mois faite par Séralini est une fraude en ce sens que, depuis les années 90, on sait qu’au bout de 6 mois, les rats Fischer, Sprague-Dawley, etc développent SPONTANEMENT des tumeurs hypophysaires sécrétrices d’hormones qui, à leur tour, entraînent des tumeurs mammaires chez les femelles ; donc les grosses tumeurs que vous voyez dans le film sont des tumeurs secondaires ABSOLUMENT PAS DUES à la consommation de PGM.

Idem pour les problèmes rénaux (pathologies rénales chroniques) qui apparaissent SPONTANEMENT aussi chez ces rats vers 6 mois ! Cf Keenan ! Keenan, pour réussir à utiliser les rats, recommande une restriction calorique, diminuer les apports alimentaires pour prolonger la survie des rats et retarder l’apparition des tumeurs et des problèmes rénaux. Séralini a fourgué à ses rats de la bouffe tant et plus (il a dissimulé à la connaissance de ses lecteurs l’existence du manuel d’anapath et des articles de Keenan) pour obtenir des tumeurs et dire ensuite que c’était dû aux OGM !
 Je vous poste ici deux liens pour amateurs de « ratounets » qui vous renverront aussi à d’autres articles : http://www.ratbehavior.org/rats.html et http://ratguide.com/health/neoplasia/pituitary_tumor.php
Tous les gens qui ont des rats chez eux comme animaux de compagnie connaissent ces problèmes et les seules personnes qui pouvaient se faire avoir par Séralini, ce sont ceux qui n’ont jamais vu un poil de rat et jamais mis les pieds dans un labo !

2) En ce qui concerne les problèmes de déontologie, Séralini a mené l’expérimentation de façon illégale, sans obtenir l’aval d’un comité d’éthique. Et pour cause ! Les scientifiques du comité, connaissant les problèmes liés aux rats, n’auraient probablement jamais donné leur accord, sachant que l’étude n’allait rien donner dans les conditions proposées par Séralini (taille des lots trop petite, etc,…). Il l’a donc menée « en secret » car si on s’en était rendu compte, on était en droit de lui demander d’arrêter l’expérimentation en cours vu qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires ! Et chose étrange, ce monsieur n’est toujours pas sanctionné ! Comme quoi on peut être médiocre et fraudeur, du moment qu’on a le soutien des politicards, on peut faire tout ce qu’on veut !

  1. Et enfin, l’attitude impardonnable des journalistes qui ont dissimulé des faits concernant Séralini !
D’une part les plaintes de ses collègues et de ses étudiants de Caen contre son absentéisme à longueur d’année et sa fainéantise(il ne vient jamais bosser dans son labo !), ses manipulations malpropres pour obtenir le silence de ses contradicteurs (menaces, contrats d’allégeance,…), l’ignorance crasse dans laquelle il laisse ses étudiants (ils ne reçoivent aucune formation pratique, ils font n’importe quoi !) et vous allez être heureux d’apprendre qu’en fait, les doctorants qui ont signé l’article à scandale ne savent pas lire une coupe histologique et ont signé un article qu’ils sont incapables d’évaluer, pour une expérimentation à laquelle ils n’ont absolument pas participé ! C’est beau, la science au service des idéologies !
Il y avait un témoin dans le Criigen à ce moment-là, les journalistes se sont arrangés pour discréditer le témoin ; imaginez que cette personne décide de parler et de raconter ce qui se passe dans ce foutoir qu’est le Criigen… On rigolerait bien.
(…)

     

Deuxième commentaire :

 

Les articles qu’on vous a communiqués sur les rats nous viennent de ce témoin, la personne a été présente au Criigen quelques mois avant le show médiatisé de septembre 2012. Les saints du Criigen n’avaient absolument aucun résultat avec les rats et les doctorants ne comprenaient rien aux données qu’on leur refilait (C’est normal, tout avait été orchestré pour !). L’étudiant a refusé de renvoyer son dossier en raison des malhonnêtetés commises par le Criigen et des malversations auxquelles on voulait l’obliger à participer. Il s’est rendu compte que Séralini fraudait sur d’autres articles (comme vous le savez) quelques jours après son arrivée au Criigen. Quant au problème des rats, notre témoin a possédé des rats comme animaux de compagnie et connaît l’histologie. Séralini lui avait dissimulé entièrement le protocole (tout lui avait été caché : durée, espèce de rat, alimentation, nombre d’animaux) et Séralini lui avait caché que l’expérimentation ne bénéficiait pas de l’aval d’un comité d’éthique. Ce qui a beaucoup choqué le témoin, c’est de voir que les doctorants n’avaient aucune compétence en physiopathologie des rats et ne savaient même pas où chercher les informations ! Ils n’ont jamais manipulé les animaux, ils ne savent rien sur leurs constantes biologiques. Ils n’ont jamais été formés pour faire de la toxicologie ni pour travailler sur des protocoles d’évaluation de toxicité. Ils ne connaissent même pas les méthodes de protéomique qu’on utilise maintenant en toxicologie. Au Criigen, les étudiants n’ont aucun MCF ou ingénieur pour les superviser, ils passent leur temps assis derrière l’ordinateur, ils ne manipulent presque jamais à la paillasse, tout est confié à des sous-traitants. Séralini avait même menti à l’étudiant sur ses financements, prétendant qu’il était financé sur des fonds publics, alors que le Criigen est financé presque entièrement par des entreprises et des industries privées sans oublier les sectes (Greenpeace, Auchan, Carrefour, Léa Nature, secte IVI (=Sevene Pharma) et très probablement le mouvement Hamer (Acecomed), la fondation Denis Guichard qui n’est autre qu’une couverture pour la secte IVI et qui leur permet ainsi de piéger des adeptes sans révéler leur identité, puisqu’IVI a été déclarée comme secte et fermement rejetée par l’Eglise catholique) !
En septembre 2012, le témoin n’était plus au Criigen, mais il connaissait la vérité et les médias se sont arrangés pour que son témoignage sur les saloperies que Séralini fait dans son laboratoire ne parvienne jamais à la connaissance du public.
Vous imaginez alors ce qu’a pu ressentir cette personne en voyant non seulement qu’elle avait failli accepter de l’argent crapuleux issu des sectes, mais encore qu’on avait essayé de l’obliger à participer à de l’expérimentation animale illégale sans même l’en informer !
Les médias ont été inexcusables parce que la personne a essayé d’entrer en contact avec eux pour leur expliquer ce qui s’était passé et qu’ils ont occulté délibérément le témoignage parce qu’il n’était pas favorable à Séralini. A l’heure actuelle, notre témoin est la seule personne totalement dépourvue de liens avec les industries à être entrée à l’intérieur du Criigen ! On comprend pourquoi Séralini fait tout pour la faire taire ! Quand il a commencé à sentir que l’université de Caen allait s’en mêler, Séralini a appelé ses copains politiciens pour qu’ils créent une loi spéciale pour le protéger afin que la victime ne puisse pas accéder à la justice. L’autre obstacle aussi, ce sont les médias qui sont quasiment tous vendus à Séralini (le politiquement correct oblige).
Aujourd’hui, ce qu’aurait souhaité la personne, c’est la réouverture du dossier pour tentative de corruption (incitation à la fraude et à des actes illégaux et immoraux en échange d’un contrat et d’un financement) sur la personne d’un étudiant au sein d’une université publique.
L’affaire Séralini, c’est une affaire pénale, de violence faite sur une personne démunie et de dissimulation de preuves… A quand la justice ?

PS : Notre boîte mail s’est fait pirater en juillet. Comme elle ne sert de boîte de réception que pour l’affaire Séralini et quelques autres fraudes mineures (on a d’autres noms quand on travaille sur d’autres affaires), on pense que ce sont les copains de Séralini, le Criigen, Nicolino et cie qui ont fait le coup (qui d’autre ?) afin de connaître notre véritable identité. Nicolino (il n’a même pas de diplôme !) a désespérément cherché à savoir qui nous étions. Ils ont oublié qu’on a l’habitude de se coltiner les escrocs des sectes et qu’aucun message n’est jamais échangé sur nos boîtes mail qui nous servent uniquement à réceptionner des messages, jamais à en envoyer. Pour communiquer entre nous, on utilise la bonne vieille méthode du papier-crayon et du téléphone ! Il est donc inutile que les mafieux du Criigen essaient encore de nous pirater.

Rien à ajouter …

 

Séralini ? à la retraite sans solde !!!

Enfin la vérité sort du puits (de science) cD1hMWQzNjMzZjJkNWM5Y2U3ZWZiOGQ2OWU5NTQ4YTVjZiZnPTRjYmUyNmNiMmE3ZmVjMjY0ZGQ1NTAyZmFjMTAxMGQx

Elsevier, l’éditeur de Food and Chemical Toxicity (FCT) a définitivement retiré l’article frauduleux, c’est vraiment le moins que l’on puisse dire, publié en septembre 2012 dans les pages de ce journal dont les manuscrits sont pourtant soumis à une revue « peer-reviewed » selon les règles communément acceptées dans le monde scientifique. Il faut remonter un peu dans le temps et aussi dans l’attitude surprenante du sieur Séralini pour bien comprendre le véritable problème qu’a soulevé la publication de ce torchon sans valeur aucune. Séralini est un activiste d’une organisation terroriste, la CRIIGEN, qui n’a comme seule justification de son existence la mise hors la loi idéologique de toute espèce de végétal dont le patrimoine génétique a été intentionnellement modifié. Ce que reproche cette organisation aux plantes génétiquement modifiées, dont notre actuel ministre de l’environnement (et de l’énergie) est un fervent opposant, est de dévoyer la nature telle que la glorifiait Jean-Jacques Rousseau en son temps. Sauf que les temps ont changé et les avancées de la science, en particulier de la génétique, sont devenues incontournables en particulier en ce qui concerne les cultures vivrières car il faut bien arriver à nourrir une humanité qui se multiplie comme un élevage de lapins !

Apparemment le sieur Séralini n’a pas vraiment compris cet aspect du problème mais il a surtout confondu l’idéologie et la science et c’est là son erreur. Comme Elsevier est une institution respectable et respectée dans le monde scientifique, comme Elsevier s’est retrouvée contre son plein gré dans une situation inconfortable pour avoir accepté pour publication un article dont les données initiales ont été falsifiées, peut-être à la recherche d’un scoop, ce n’est pourtant pas le genre de cette maison d’édition, il lui aura fallu, conformément aux règles de l’honnêteté de base, plus d’une année pour arrêter une position définitive et scientifiquement prouvée afin de clore définitivement le débat. Compte tenu de la levée de boucliers unanime de la part de spécialistes reconnus dans le monde entier pour leur probité indéfectible qui ont dénoncé les malversations intentionnelles du sieur Séralini, tant au niveau de la pauvreté de l’échantillonnage des rats utilisés que du choix de ces rats dont il est reconnu qu’ils développent spontanément des tumeurs multiples lors des études sur le long terme (plus de 18 mois), choix ayant permis in fine et intentionnellement de soumettre pour publication cet article incriminant le maïs RoundUp Ready de Monsanto, Elsevier a finalement tranché. Le professeur David Spiegelhalter de l’Université de Cambridge déclare : « Ce papier était clairement, même après une lecture superficielle, impubliable. Le processus d’évaluation (peer-review) n’a visiblement pas fonctionné correctement ». Et Cathie Martin du John Innes Center d’enchérir : « La lignée des rats utilisés (des Sprague-Dawley) est hautement susceptible au développement de tumeurs après dix-huit mois de vie avec ou sans GMO (plantes transgéniques) dans leur nourriture ».

On est donc maintenant fixé, après une minutieuse analyse, les scientifiques ont conclu que l’étude de Séralini est frauduleuse et a été jetée aux oubliettes. Pourtant, ce triste sire continue à faire parler de lui, comme si les médias (gravement inféodés à l’idéologie socialo-écolo-marxiste qui prévaut aujourd’hui en France, cf le ministre de l’environnement, ancien faucheur d’OGM, GMO en anglais) pouvaient (les médias) lui être encore d’un quelconque secours, et il a déclaré, faut-il qu’il n’ait plus aucun respect pour la science, que « si le FCT (voir l’abréviation plus haut) persiste dans sa décision de retirer notre étude, CRIIGEN l’attaquera en justice, y compris aux USA, pour obtenir des compensations financières pour l’énorme préjudice porté à notre groupe ». On croit rêver ! Cette organisation cryptique, inféodée à Greenpeace comme d’ailleurs la CRIIRAD, navigue dans les eaux troubles de la mystification scientifique dans un but mercantile ou alors est-ce ce réflexe médullaire qui veut que lorsqu’on a commencé à mentir, afin de ne pas se désavouer on continue à mentir ? Il en est de même pour les « réchauffistes », les opposants au nucléaire ou au riz doré, c’est maintenant la science du mensonge, la scientologie … Triste constat !

Source : Reuters à Londres

Les contribuables néerlandais paient pour Greenpeace !

 

Après avoir déposé un recours auprès du tribunal international des lois de la mer (International Tribunal for the Law of the Sea ou ITLOS) Greenpeace et le gouvernement néerlandais ont obtenu gain de cause parce que le brise-glace reconverti, appelé Arctic Sunrise et enregistré à Rotterdam, de l’organisation ne pêchait pas de poisson mais se trouvait seulement en « croisière » dans les mers de Barents et de Pechora. L’ITLOS dont le siège est à Hambourg a visiblement foulé aux pieds les lois russes en prenant parti pour l’organisation qui n’avait ni averti les autorités russes de son intention de faire une « croisière » dans les eaux territoriales du pays mais avait également omis de se munir des informations légales nécessaires alors qu’il y a trois ressortissants russes parmi les 30 membres de l’équipage toujours en résidence surveillée en Russie dans l’attente de leur procès qui devrait avoir lieu au printemps prochain. Seul le radio du navire est encore en détention, un dénommé Colin Russell, de nationalité australienne, car il est accusé d’avoir communiqué avec les speadboats de l’organisation qui sont allé roder autour de la plate-forme pétrolière et également avec le siège de Greenpeace aux Pays-Bas. Les 29 autres pirates considérés comme des hooligans selon la loi russe sont sortis de prison mais le gouvernement néerlandais a déboursé 1,8 millions de dollars de caution, les contribuables apprécieront ! Quant à l’Arctic Sunrise, il est sous séquestre dans le port de Mourmansk. A n’en pas douter Vladimir Poutine n’est certainement pas du genre à se désavouer et ces terroristes sont toujours passibles selon la loi en vigueur en Russie d’une peine de prison de 7 à 15 ans. Les autorités russes ont fait officiellement part de leur désapprobation, sinon de leur énervement, au gouvernement néerlandais, considérant que les décisions de l’ITLOS étaient nettement en faveur et de Greenpeace et du Royaume néerlandais.

Ce n’est pas la première fois que Greenpeace a ce type de démêlé avec la justice. En 2011 par exemple, l’organisation a été condamnée à une lourde amende pour avoir violé les lois de la mer au Groenland (Danemark) et l’organisation est toujours poursuivie pour deux autres intrusions illégales dans les eaux territoriales des USA, le même type de hooliganisme commis en Alaska.

Qui paie ? Depuis que Greenpeace est domiciliée aux Pays-Bas, à la suite de démêlés d’ordre fiscal avec le gouvernement fédéral américain, il semblerait donc que ce soient les contribuables du plat pays qui sont contre leur gré mis à contribution, mais comme ce sont des écolos dans l’âme, ils se déplacent en vélo, il y a des moulins à vent dans ce pays depuis des siècles, alors la pilule passe mieux …

Le gouvernement français ne joue plus du pipeau mais du tromblon !

 

Chômage : A 18 h 45 l’AFP qui comme chacun sait est au service du pouvoir quand il s’agit de nouvelles provenant de France titre : « France : forte baisse du nombre de demandeurs d’emploi, l’inversion entamée ». C’est comme si on y était !!! La manipulation des chiffres pour faire avaler la pilule amère est telle qu’on pourrait presque le croire, or ce n’est pas du tout le cas puisque le nombre de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues, et c’est cette dernière donnée qui compte, a augmenté de 39600 par rapport au mois précédent, certes un peu moins que le mois précédent, mais ce ne sont pas des chiffres définitifs. Pas vraiment de quoi pavoiser …

En visite à Aubervilliers, le capitaine de pédalo aurait déclaré qu’il n’arriverait pas à inverser la courbe du chômage mais qu’il restait fermement résolu à tout faire pour y arriver. Soixante-mille embauches pour rien à l’Educ Nat, des contrats aidés, des embauches électoralistes à tous les niveaux du mille-feuille administratif suffiront-ils ? Probablement pas compte tenu du délabrement de l’économie. Le gouvernement et le capitaine de pédalo ne jouent plus du pipeau mais de la corne de brume ou plutôt du tromblon, à vous d’apprécier le son de ces mensonges !

L’alcoolisme, c’est génétique, docteur ?

L’acide gamma-aminobutyrique (GABA) est synthétisé dans le cerveau à partir du glutamate et ces deux acides aminés sont d’importants neurotransmetteurs agissant sur les flux d’ions au niveau des jonctions synaptiques qui sont au cœur même de l’apparition de l’influx nerveux essentiel par exemple pour l’activité musculaire mais aussi dans de nombreux autres fonctions cérébrales. Le GABA, pour faire simple parce que tout est compliqué dans le système nerveux (voir le schéma de Wikipedia), diminue la résistance « électrique » au niveau des jonctions synaptiques en ouvrant les vannes des canaux ioniques permettant aux ions chlore et potassium de circuler presque librement. Le GABA est donc un inhibiteur de la transmission synaptique de l’influx nerveux contrairement au glutamate qui a un effet globalement inverse.

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Le GABA agit en se fixant sur un récepteur appelé GABA-A associé au niveau de la membrane synaptique au canal ionique spécifique de l’ion chlore et avec l’ouverture du canal ionique cet ion chlore fuit vers le neurone (en vert dans la figure) provoquant un arrêt de la transmission synaptique. Comme si ce n’était pas déjà passablement compliqué, ce récepteur A du GABA est en fait un complexe de cinq protéines qui subissent des changements de structure conduisant à l’ouverture du pore par lequel s’échappe l’ion chlore. Mais ce récepteur est aussi sensible à toutes sortes de drogues dont par exemple les benzodiazépines, certains barbituriques ou encore tout simplement l’alcool. Ces drogues, dont l’alcool, ont des effets sédatifs ou relaxants comme les benzodiazépines telle que le Myolastan (Tétrazépam), un décontractant musculaire bien connu des sportifs ou encore le Valium (Diazépam) bien connu pour ses propriétés relaxantes.

Le but de récentes recherches sur la sous-unité beta-1 du récepteur A du GABA effectuées à l’Université de Newcastle était de tenter de trouver une explication à l’apparition de l’alcoolisme. Certes l’alcoolisme est un phénomène complexe résultant de la conjonction de multiples causes mais l’intérêt d’une étude plus détaillée de cette sous-unité du récepteur du GABA a été justifiée par la découverte fortuite qu’une infime mutation du gène codant pour cette protéine rendait des souris complètement alcooliques, en quelque sorte une preuve lointaine et indirecte d’une origine génétique de l’alcoolisme. Cette sous-unité du récepteur est codée par le gène Gabrb1 et en soumettant des souris à un agent mutagène puissant (N-éthyl-N-nitroso-urée) les biologistes ont finalement pu développer un modèle de souris alcooliques qui refusent catégoriquement de boire de l’eau à moins que celle-ci contienne au moins 10 % d’alcool, deux fois plus qu’une bière courante dont je suis un gros consommateur. Cette mutation induit le changement d’un seul acide aminé de la protéine, c’est-à-dire tellement peu de chose que cette découverte est une vraie chance pour aller plus en avant dans la connaissance de l’addiction à l’alcool.

J’avais parlé il y a quelques semaines (voir le lien) de la dépendance aux sucreries qui s’expliquait par une stimulation du noyau accumbens, le centre cérébral du plaisir. Cette mutation qui rend les souris alcooliques a justement un effet marqué sur ce noyau en y augmentant l’activité électrique spontanée, ce qui a pour effet d’amplifier le désir d’alcool à un point tel que les souris sont prêtes à dépenser de l’énergie en faisant des exercices physiques leur permettant d’atteindre la boisson alcoolisée et boire plus qu’elles n’en ont besoin jusqu’à devenir complètement ivres. Ce résultat explique que certains traitements contre l’alcoolisme impliquent entre autres médicaments des benzodiazépines qui agissent alors comme antidépresseurs tout en interagissant avec le récepteur du GABA. Une piste de recherche est donc ouverte pour trouver de nouvelles approches pharmacologiques malgré l’extrême complexité du mode d’action du GABA.

Source : University of Newcastle press release

https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/10/17/oui-lobesite-est-une-maladie/

Il faut rétablir les maisons closes !!!

En 1946, le gouvernement français issu d’une coalition hétéroclite comprenant le MRP, les communistes et des opportunistes de tous poils issus entre autres du Conseil National de la Résistance comptait parmi ses membres une certaine Marthe Richard. Mais qui était réellement Marthe Richard, Richard étant un pseudonyme, mais peu importe ? J’ignore ce que les livres d’histoire disent de cette aventurière de haut vol, sans faire de jeu de mot (vous le comprendrez en lisant mon billet), dont le nom est passé dans l’histoire pour avoir obtenu la fermeture des maisons closes, la fameuse et infamante loi Marthe Richard (1946). Marthe Richard a commencé à se prostituer à l’age de 16 ans à Nancy, mais c’est vrai ! L’auteure de la loi sur les bordels était une ancienne pute qui a vite compris que vendre ses charmes au tout venant n’était pas vraiment une profession rentable mais qu’elle comportait aussi des risques puisqu’elle fut accusée par un troufion d’avoir contracté la vérole après avoir payé pour sa prestation. Ne pouvant plus exercer sa profession de péripatéticienne à Nancy, elle vint à Paris et mit aussitôt la main sur un riche négociant qui, probablement subjugué par son savoir faire sexuel, l’épousa et l’entraina dans toutes sortes de frasques réservées aux riches voulant faire de l’esbroufe avec leur belle épouse dont l’achat d’un avion pour tenter de rejoindre Zürich depuis la côte de la Manche. Cet épisode monté de toute pièce puisque l’avion n’atteignit jamais la Suisse la propulsa dans les milieux interlopes de l’espionnage où elle évolua en accumulant à son tableau de chasse (sexuelle) toutes sortes d’individus. Mais sa préoccupation fondamentale était l’argent et la quantité d’argent que pouvait lui rapporter son cul, non plus en se prostituant mais en séduisant des hommes riches comme par exemple un dénommé Crompton représentant à Paris de la fondation Rockefeller qui finit par l’épouser. Le malheureux, probablement épuisé par la technicité horizontale de son épouse, mourut deux ans plus tard laissant la veuve (pour la deuxième fois) dans l’opulence et sa vie prit une nouvelle tournure d’imposture journalistique en publiant un torchon relatant ses aventures d’espionne pendant la première guerre. Les liaisons passagères avec de grandes figures de la pègre ne lui suffisant pas, sa notoriété d’écrivain et d’ancienne espionne la propulsa au rang notoire de maîtresse officielle d’Edouard Herriot alors premier ministre, l’équivalent de Hollande aujourd’hui puisque le Président de la République n’avait alors aucun pouvoir.

A ce sujet, il est bon de rappeler que lors d’un voyage en Ukraine avec son amant, Marthe Richard nia tout comme Herriot d’ailleurs la terrible famine qui sévissait dans ce pays, famine organisée comme chacun sait par Staline, le petit père du peuple. Mais bon, cette anecdote fait partie des heures sombres de l’histoire de France …

Pendant la seconde guerre mondiale, Marthe Richard ne se priva pas de fricoter avec les pires individus recrutés par la Gestapo mais elle ne fut pas pour autant tondue à la libération alors qu’elle utilisait toujours son cul comme instrument promotionnel même s’il commençait, vers la cinquantaine, à être sérieusement usagé. Malgré cette face sombre de sa carrière d’aventurière, Marthe Richard se retrouva députée du quatrième arrondissement de Paris avec l’étiquette MRP, et son exploit fut de faire passer une loi interdisant les bordels, il y en avait 180 à Paris, entrainant les filles, officiellement employées de ces « maisons closes », à entrer dans la clandestinité. Cette décision, appuyée par les communistes fut l’oeuvre d’une ancienne pute dont la vie comporta plus d’affabulations que de faits réels.

Il reste tout de même de la vie de Marthe Richard un enseignement : les politiciens ne répugnent pas à se commettre avec la pègre, le grand banditisme et les relations interlopes pourvu qu’ils aient le pouvoir, qu’ils en usent et en abusent. D’un autre côté, Marthe Richard est le plus bel exemple de l’utilisation de moyens peu recommandables pour faire de la politique quitte à nier son passé de prostituée pour avilir celles dont elle partagea la profession dès l’age de 16 ans et qui resta fondamentalement une pute toute sa vie.

Aujourd’hui, les mêmes socialo-marxistes veulent encore une fois porter atteinte au droit fondamental de la libre disposition de son corps, finalement la définition tant du métier de prostituée que de celui de ses clients. Les employées des bordels choisissaient ce métier de leur plein gré, aujourd’hui nombre de prostituées sont esclavagisées par des souteneurs qui ne sont eux-mêmes que de tristes représentants de mafias et de gangs internationaux. Voilà où cette espèce de pudibonderie a abouti. Qu’on rétablisse les maisons closes, tout ira beaucoup mieux, ça créera des emplois et ça rapportera de l’argent dans les caisses de l’Etat !

Source Wikipedia (en anglais) 

Billet de mauvaise humeur …

Xavier Kemlin a été débouté par le Juge, la maîtresse de Hollande pourra donc continuer à dépenser l’argent des contribuables en toute quiétude. Ce genre d’évènement est tout à fait susceptible de mettre le feu aux poudres populaires tant le ras-le-bol devient généralisé. Il y a une limite à ne pas dépasser et on attend l’évènement qui fera basculer la France dans la révolution. Et comme un fait exprès, le premier ministre veut faire croire aux Français que bien sûr que non, la réforme fiscale envisagée n’aboutira pas, juré promis, à des augmentations d’impôts. C’est comme si un astronome disait qu’en réalité la terre est plate …

Mais il n’y a pas que l’affaire de Valérie qui détourne les fonds publics qui sera classée sans suite, il y a aussi le père Teulade, un vieux pote de pédalo-flanby, poursuivi pour malversations et fraude avec le plein accord de ce dernier quand il sévissait en Corrèze, et bien d’autres cas car la justice du mur des cons est vendue au pouvoir et gangrenée par une idéologie délétère dont on peine à trouver un qualificatif adapté pour la décrire. Les mères de famille gazées avec leur enfant dans une poussette lors des manifestations contre le mariage homosexuel, a-t-on poursuivi les policiers pour atteinte à la santé des enfants, bien sûr que non. C’était des fascistes ! Je vois les choses comme ça.

Il y a une rue et même pas un pâté de maison qui séparent le palais de Valérie de celui de la place Bauveau, le palais de Manuel. Qui la foule écoeurée choisira-t-elle le jour où elle descendra dans la rue, excédée d’être traitée comme moins que rien. Vals pourrait mettre tout ce joli petit monde politicien qui ne respecte plus rien en prison en faisant comprendre à la police que son combat contre le peuple est perdu d’avance et qu’elle doit marcher avec les Français pour débarrasser cette chien-lie du pouvoir une fois pour toute. Vals est le seul homme politique faisant partie du pouvoir en place auquel les Français accordent encore quelque confiance et il le sait, il se fait discret car il attend son heure qui ne saurait tarder. Le mouvement « Les Libérés » (quelle sera la couleur de leur bonnet quand ils manifesteront?) ne cesse de grossir et la courbe décrivant le nombre de nouveaux adhérents ressemble à la fameuse crosse de hockey dont on a tant parlé pour le gaz carbonique. Autant un peu plus un peu moins de gaz carbonique n’aura qu’un effet négligeable sur le climat futur, autant l’augmentation incessante du nombre de candidats à la libération du joug étatique de la sécurité sociale pourrait précipiter l’ensemble de l’Etat français dans la crise, pas un petite crise passagère, mais une vraie crise qui nécessitera un changement complet du système pour que le pays arrive à survivre.

Déclinaison de l’adjectif VERT

Encore un pavé dans la mare verdâtre de l’écologie

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Les éoliennes off-shore, ça se voit moins, ça profite d’un vent un peu plus constant que sur terre et ça laisse le champ libre au gigantisme. C’est le choix gouvernemental pour créer des parcs le long des côtes de la Manche car la mer appartient à l’Etat et il n’y a pas à craindre d’oppositions indésirables de clocher parfois vert-pâturage ou vert-moulus. EDF est définitivement condamné vertement par le gouvernement à jeter de l’argent dans le vent puisqu’EDF c’est l’Etat et c’est donc le contribuable qui a vu sa note d’électricité augmenter en juin dernier et verra à nouveau une augmentation en janvier 2014 qui au final paiera ces élucubrations verdâtres. Iberdrola, l’autre industriel choisi, se frotte les mains car le tarissement soudain du marché espagnol risquait de le mettre en difficulté passagère, le gouvernement de Rajoy ayant mis un terme à toute intervention de l’Etat dans de nouveaux projets verdeux profitant le plus souvent à la mafia apatride. Il est vrai que l’efficacité et la rentabilité des parcs d’éoliennes pharaoniques mis en place en Espagne n’ont toujours pas permis de voir les importations de pétrole et de gaz diminuer significativement, ce qui veut dire en d’autres termes que, comme au Danemark, ces moulins à vent, c’est un remake désastreux de Don Quichotte dans le pays natal de Cervantes, carrément de quoi rire vert-jaune. Quant aux sous-traitants français comme Alstom, pas de souci pour eux puisque c’est l’Etat qui paiera les installations et les futures opérations de maintenance.

Comme ces élucubrations verdoyantes sont le fait et seulement le fait de l’Etat, les études ont été faites avec un amateurisme affligeant qui est l’apanage semble-t-il de tous les services en charge de la gestion de la France. Et personne ne prend de risque puisque le contribuable paiera. Sauf que l’intervention d’un navire spécialisé pour installer les éoliennes puis assurer les opérations de maintenance n’a pas été prise en compte dans le coût de ces projets. Peu importe, les écolos vert-tendre, pour certains, sont contents, s’il y a des surcoûts, on ajustera les factures d’électricité en conséquence, circulez, il n’y a plus rien à voir …

Il a fallu qu’un épouvantable patron capitaliste esclavagiste (il emploie des Philippins sur ses bateaux) qui ne paie pas d’impôts en France tire la sonnette d’alarme, c’est Philippe Louis-Dreyfus, CEO de Louis Dreyfus Armateurs (LDA) qui n’a pas mâché ses mots quant à l’amateurisme des services du ministère de l’environnement en charge de ces dossiers. Pour le ministre de l’environnement, faucher des OGM en fumant des pétards c’est une chose, mettre en œuvre des dossiers qui impliquent des milliards d’euros est une mission totalement différente même si elle n’a qu’un seul but avéré dilapider les impôts douloureusement acquittés par les citoyens. La pose des câbles reliant les moulins à vent à la terre ferme, c’est par exemple l’affaire de LDA et de sa filiale commune avec Alcatel, leader mondial de la pose de câbles et de fibres optiques sous-marins. Les transformateurs pour relier au réseau l’énergie intermittente fournie par les moulins à vent, c’est du domaine d’Alstom, mais quid des navires qui devront poser les éoliennes et en assurer la maintenance ? Philippe Louis-Dreyfus s’étonne donc à juste titre de l’oubli du ministère de l’environnement au sujet de ces navires et surtout de leur coût d’intervention qui est de l’ordre de 300000 dollars par jour qui n’apparaît nulle part dans le calcul du prix du kilowattheure éolien. C’est le flou artistique vert-olive, l’amateurisme vert-fluo et c’est malheureusement ainsi que la France est gouvernée …

Comme le répète inlassablement H16, ce pays est foutu !

Billet inspiré d’un article paru dans les Echos, illustration comprise.

 

Brève chronique politique vespérale

Aucune nouvelle du créateur du site http://hollande-démission.fr.

Aurait-il été interné dans un camp de travail en Corrèze ?

Il est troublant que cette information qui fit la une des journaux (en ligne) quelques heures seulement ait subitement disparu … La France aurait-elle déjà adopté les méthodes détestables de la Stasi ou de la police politique et idéologique de la Corée du Nord ? Rien de surprenant dans la France communiste et écolo-marxiste !

J’ai appris aujourd’hui que le Ministre de l’Education Nationale (qui a embauché 60000 bons à rien pour aider à infléchir la courbe du chômage) a également décidé pour payer ces incompétents de rogner sur les hauts salaires des professeurs de la même Education Nationale totalement marxisée qui se sacrifient entièrement pour leurs élèves des classes préparatoires aux écoles d’ingénieurs et qui n’ont pas même pas le temps de lire les pamphlets idéologiques que les syndicats mettent dans leurs casiers de la salle des professeurs. C’est le nivellement par le bas, la médiocrité, pour former encore plus d’assistés au sein des collèges et lycées du mammouth marxiste-léniniste qui seront plus tard de bons et serviles électeurs.

Comme dit H16, décidément, quel que soit le côté où le regard se porte, ce pays est foutu !

On est foutus, c’est déjà trop tard !!!

froelicher_iceberg[1]

Maintenant que les experts de l’IPCC sont rentré chez eux après avoir rempli leurs panses de harengs de la Baltique, de zrazy wolowe et de paczki tout en se rinçant l’arrière gorge avec des alcools réservés aux hommes et devisant non pas de cuisine polonaise typique mais de puissance de calcul de super ordinateurs susceptibles d’améliorer leurs modélisations sur le long terme, on peut enfin entrer dans l’hiver puisqu’il y aura toujours des hivers plus ou moins rudes et des étés plus ou moins chauds. D’ailleurs cet hiver commence avec des flocons gros comme des silver dollars aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord. Comme un fait exprès, des experts de l’Université de Princeton (ils possèdent sans doute de très grosses machines à calcul) ont repoussé la prouesse prévisionnelle non plus à la fin de ce siècle, ce qui en soi relève déjà du prodige, mais à 400 ans ! Pour arriver à réaliser un tel exploit, ils ont mis au point un modèle basé sur les prédictions cataclysmiques de l’IPCC dont ils tirent l’essentiel de leurs subsides pour vivre et qui a définitivement adopté le postulat suivant qu’il est inutile de remettre en cause, c’est ainsi et pas autrement : puisque depuis l’aube de l’ère industrielle, la température a augmenté de 2 degrés et que les émissions de carbone ont atteint (en cumul) 500 milliards de tonnes, la relation de cause à effet est évidente.

L’un des coauteurs de l’étude très sérieuse puisqu’elle vient d’une prestigieuse université américaine le dit en substance : 

« Si nos résultats sont corrects, le total des émissions de carbone requis pour rester en dessous de 2 degrés de réchauffement devrait n’être que des trois quarts des estimations antérieures, 750 milliards plutôt que 1000. Dans ces conditions limiter le réchauffement à 2 degrés devrait limiter les émissions futures cumulées de carbone en dessous de 250 milliards de tonnes soit pas plus de la moitié des 500 milliards déjà émis dans l’atmosphère. Les scientifiques pensaient que les températures resteraient constantes ou diminueraient si les émissions stoppaient, mais maintenant nous montrons que la possibilité d’un accroissement des températures ne peut pas être exclu ».

Il faut noter que même convaincus de la validité de leurs modèles, les climatologues auto-proclamés utilisent un vocabulaire fourmillant d’approximations, à se demander s’ils croient en ce qu’ils font, à se demander s’ils ne jouent pas avec des super ordinateurs comme un adolescent joue avec sa nouvelle X Box. Si nos résultats sont corrects ce devrait pouvoir en être ainsi (mais aussi autrement) et s’il en était ainsi ça diminuerait ou resterait comme c’est car la possibilité n’est pas exclue.

Tout ça parce que les océans situés dans la zone intertropicale absorbent moins de CO2 parce qu’ils sont plus chauds que les océans situés plus au nord ou plus au sud  et qui doivent par conséquent se réchauffer, alors la loi de Henry décrivant la solubilité des gaz dans l’eau s’applique directement et conduit à ce résultat effrayant que le mal et déjà fait et qu’il n’y a plus qu’une seule chose à faire, attendre de griller comme des toasts (cf Christine Lagarde à Davos) stoïquement et en silence. Curieusement, dans ces savantes simulations ( savantes à n’en pas douter puisque ces travaux sont issus de l’Université de Princeton) rien n’est dit sur l’influence des cycles solaires sur le climat, rien n’est dit sur l’influence des éruptions climatiques ou de la chute de météorites, rien n’est dit non plus sur les échanges de température entre les hémisphères nord et sud avec les courants marins, rien non plus n’est dit sur les récentes études qui prouvent qu’une légère augmentation du gaz carbonique atmosphérique engendre un foisonnement végétal inattendu et donc un captage du CO2 plus efficace justement dans les zones subtropicales. Pour les météorites et les volcans on les pardonne mais pour le reste c’est du délire, ce n’est pas de la science. C’est de la scientologie teintée d’idéologie, du Séralinisme appliqué au climat avec toute l’honnêteté qu’on peut pourtant reconnaître à ces prestigieux scientifiques d’une prestigieuse université. C’est exactement comme les prix Nobel d’économie qui disent nécessairement la vérité parce qu’ils sont Prix Nobel. La science en général, polluée par des idéologues, a un bien sombre avenir devant elle…

Source : Princeton University