Climat : l’imposture criminelle toujours d’actualité

Le grand coupable du supposé changement du climat vers un réchauffement insupportable est le gaz carbonique. Or cet accroissement de la teneur en ce gaz indispensable à toute forme de vie sur terre et dans les océans est un sous-produit de l’activité humaine. Par conséquent il faut réduire les émissions de ce gaz et il n’y a pas d’autre choix que de réduire l’activité économique. Il s’agit d’un postulat définitif, non, un dogme, qu’il est interdit de remettre en cause. Chacun appréciera à sa mesure ce que cela signifie pour sa vie quotidienne : en un mot la misère. L’organisme onusien transmet aux décideurs politiques de fausses informations et il est important de rappeler deux faces de cette propagande dénuée de preuves scientifiques. L’effet de serre du gaz carbonique, s’il existe réellement, ne peut qu’être négligeable compte tenu de sa très faible teneur dans l’atmosphère. De plus l’existence indéniable de l’effet du champ gravitationnel de la Terre sur l’atmosphère remet en cause toute la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique, en d’autres termes ce qui est appelé le gradient adiabatique auquel est soumis notre atmosphère obéit à des lois physiques qui sont incompatibles avec la théorie de l’effet de serre. D’aucuns mentionnent la vapeur d’eau comme candidat à un effet de serre, c’est peine perdue car la vapeur d’eau n’est pas un gaz parfait car ce gaz a pour propriété de changer d’état en fonction de la température et il est directement soumis au gradient adiabatique qui dit que pour chaque 100 mètres en altitude l’air se refroidit de 0,65 °C et 0,6 °C si cet air est riche en vapeur d’eau et cette vapeur d’eau est un puissant véhicule pour évacuer vers l’espace l’énergie solaire atteignant la surface de la Terre et des océans, en particulier des océans.

Pourtant l’observatoire de la NOAA sur l’île de Hawaii note une augmentation continue de cette teneur en gaz carbonique avec un réchauffement moyen qui ne suit pas le rythme de cette augmentation et personne n’ose en parler franchement, certainement pas l’IPCC qui refuse d’admettre l’évidence : le CO2 n’a rien à voir avec les variations du climat terrestre. Voilà la gigantesque « imposture climatique » dans laquelle on est plongé. Et pourtant il existe une explication mais l’IPCC ne veut pas en entendre parler non plus. Toutes les études des glaces remontées par forage dans l’Antarctique et au Groenland ont montré sans ambiguïté que ce n’est pas le gaz carbonique qui a provoqué par le passé des épisodes de déglaciation mais que la cause de ces épisodes interglaciaires était une conséquence de la mécanique céleste conduisant à ces épisodes de climat optimal d’une périodicité d’environ 100000 ans. Ces études ont confirmé que cet échauffement généralisé du climat provoquait une augmentation de la teneur en CO2 atmosphérique entre 1000 et 1500 années consécutives au début de ce réchauffement toujours brutal, parfois en seulement quelques centaines d’années. On ne peut que constater que l’IPCC a menti sur la durée de cette latence d’apparition du CO2 après la fin d’un épisode glaciaire car plus près de notre temps présent il y eut ce qui est appelé l’optimum médiéval du climat qui dura presque 300 ans, entre l’an mil et l’an 1300 de l’ère commune. Depuis les années 1950, alors que l’augmentation de la teneur en CO2 dans l’atmosphère a été mesurée en continu et n’a cessé de croître, elle n’est due qu’au dégazage des océans qui a lieu aujourd’hui mais dont la cause est cet optimum médiéval du climat en raison de la robuste inertie thermique des océans. Nier ce fait contredirait les observations des glaciologues qui ont étudié avec d’infinies précautions les carottes de glace. Donc l’IPCC ment sur ce point : ce n’est pas l’activité humaine qui provoque cette augmentation du CO2. Étant parfaitement informé de cet état de fait l’IPCC a falsifié ses courbes d’évolution du climat en effaçant l’existence même de cet optimum médiéval !

Enfin le dernier mensonge et non des moindres est la dramatisation de l’effet putatif du CO2 sur le déséquilibre du climat, sa perturbation, sa désorganisation, appelez cela comme vous voudrez. Le tableau tiré du dernier ouvrage de Patrice Poyet montre à quel point l’IPCC amplifie cet alarmisme et cette peur qu’il est chargé de répandre inlassablement dans toutes les couches de la société, urbi et orbi comme dirait le locataire du Vatican, alors qu’il n’en est rien :

La Chine, le plus important émetteur de CO2, n’aura contribué en 2050 (sans réduire ses émissions actuelles de ce gaz) qu’à une augmentation de la température de 0,03 °C et la France dont la majeure partie de la production d’énergie primaire est d’origine nucléaire et hydraulique ne contribuera qu’à hauteur de 0,00095 °C et pourtant il faut plonger tout le monde dans la misère pour réduire ces « émission de carbone ». Toutes les organisations supra-nationales impliquées dans cette thématique du changement du climat d’origine humaine sont donc des criminels, il ne faut pas avoir peur des mots !

La propagande climatique omniprésente

J’apprécie les entrevues organisées par Olivier Berruyer sur son site Elucid pour deux raisons : le choix de ses interlocuteurs est de grande qualité et malgré le fait que toute entrevue diffusée sur un canal vidéo est plus ou moins préparée Berruyer n’interromp pas la personne qui se trouve devant lui à chaque phrase. La récente entrevue avec Monique Pinçon-Charlot m’a particulièrement choqué dans la mesure où cette personne, que je respecte par ailleurs puisque j’avais déjà eu l’occasion d’écouter ce qu’elle racontait au sujet de son étude sociologique des « ultra-riches », mais en présence de Berruyer elle a « placé » à six reprises au cours de cet entretien le réchauffement climatique sans aucun rapport avec le sujet de cette discussion. J’ai envoyé un message à Berruyer pour lui faire part de ma surprise sans attendre de réponse de sa part (je n’ai d’ailleurs jamais de retour). Il est donc évident que la propagande incessante relative au dérèglement d’origine anthropique du climat est devenue omniprésente et elle provoque parfois des éructations compulsives.

Comme je l’ai expliqué à Berruyer dans mon message je me suis intéressé au climat dès 2014 et j’ai vite découvert qu’il apparaissait une très grossière erreur scientifique dans les allégations des fonctionnaires onusiens de l’IPCC au sujet de « l’effet de serre » du CO2 atmosphérique. Certes il faut avoir suivi des cours universitaires de thermodynamique pour comprendre la supercherie mais je ne suis certainement pas le seul à avoir compris que l’affirmation répandue dans le monde entier que le CO2 déstabilise le climat ne repose sur aucun argument scientifique solide.

Pourquoi Madame Pinçon-Charlot a tenu à placer le réchauffement ou la déstabilisation du climat au cours de cet entretien ? Tout simplement parce qu’elle est incapable de faire preuve de sens critique dans la mesure où elle n’a jamais suivi le moindre cours de thermodynamique, elle est pardonné puisqu’elle est sociologue … Personnellement j’ai fait l’effort de me documenter et je lis la deuxième version de l’extraordinaire ouvrage de Patrice Poyet au sujet du climat que je conseille aux lecteurs de ce blog et dont le lien pour facilement le télécharger en entrant sur n’importe quel moteur de recherche les mots Patrice Poyet. Inutile de demander à n’importe quelle personne pourquoi l’existence du gradient adiabatique auquel est soumise l’atmosphère détruit le concept théorique de l’effet de serre du CO2 ou du méthane, ce que j’ai exposé ici sur ce blog à plusieurs reprises, car il faut avoir soit fait des études universitaires, soit faire l’effort de se documenter en lisant des articles scientifiques le plus souvent en langue anglaise, ce qui complique les velléités d’un débat honnête et objectif.

Venons-en maintenant aux prémisses d’une ruine de cette propagande climatique, ces fameux critères ESG en particulier.

L’histoire débute en Allemagne car les citoyens allemands ont enfin compris que l’état délabré de l’économie de leur pays était la conséquence non pas de Vladimir Poutine mais des délires obsessionnels du parti Grünen qui, après l’accident de Fukushima-Daiichi au Japon, a clamé que toutes les installations électronucléaires d’Allemagne devaient être remplacée par des moulins à vent. La France de son côté s’est inspiré de la politique énergétique débile des Allemands pour investir en pure perte 135 milliards d’euros pour également installer des moulins à vent en obligeant EDF à acheter au prix fort cette électricité intermittente pour la revendre à bas prix, une entourloupe économique inimaginable dont le but était de fragiliser EDF.

Progressivement les Allemands et aussi d’autres pays occidentaux sont descendu de leur nuage idéologique et sont confrontés à la dure réalité.

Le capitalisme vert en retraite ? Blackrock et d’autres poids lourds se retirent de Climate Action 100+ par AR Göhring, 24 février 2024. Selon sa propre déclaration, « Klima-Aktion 100+» (Climate Action 100+) est une « initiative menée par les investisseurs pour s’assurer que les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde prennent les mesures nécessaires pour protéger le climat ». Plus de 170 entreprises et sociétés de renommée mondiale sont membres de l’organisation, y compris des entreprises plus controversées telles que BlackRock et JP Morgan. Et bien d’autres, dont certains TRÈS surprenants :

A.P. Møller – Mærsk A/S
Air France–KLM S.A.
Airbus SE
ArcelorMittal S.A.
BASF SE
Bayer AG
Bayerische Motoren Werke AG (BMW)
The Boeing Co.
BP
Carrefour S.A.
Caterpillar Inc.
Chevron Corp.
Colgate-Palmolive Co.
Danone S.A.
Delta Air Lines, Inc.
Dow Inc.
E.ON SE
Exxon Mobil Corp.
Ford Motor Company
Gazprom PAO
General Electric Co.
General Motors Company
Heidelberg Materials AG Cement

[et 146 autres entreprises …]

Quiconque refusant de croire que les fournisseurs de services financiers comme Blackrock s’intéressent sérieusement à la protection de l’environnement et à l’amélioration de la coexistence dans le monde finit par le comprendre de toute façon. Mais la publicité verte a toujours du succès aux yeux du public, et c’est pourquoi Larry Fink, le directeur de Blackrock, par exemple, a décidé il y a trois ans d’investir dans les « ESG». Cela signifie que les projets « sociaux, écologiques et de gouvernance » devraient être prioritaires lors d’une décision d’investissement. Cela semble bien, mais le lecteur libertaire ou simplement critique soupçonne naturellement que l’entreprise est plus intéressée par l’argent des impôts toujours en circulation collecté par des moyens coercitifs, que les politiciens des pays occidentaux aiment gaspiller ces impôts que paie le peuple sur l’autel ESG pour financer des « pistes cyclables pour le Pérou ».

D’un point de vue commercial, cela a du sens, car il faut présenter des appâts sur le marché qui plaisent aux nombreux poissons – dans un environnement étatique, on n’a plus à offrir un produit sensé, il suffit de « convaincre » un politicien [comme c’est le cas pour les moulins à vent]. L’adhésion à « Climate Action 100+ » peut être donc vue sous cet angle : privatiser les profits, socialiser les coûts. Cependant, comme l’ONG derrière elle veut maintenant serrer un peu les rênes (« Phase 2 »), le ratio coûts-avantages pour Blackrock, J.P. Morgan Asset Management et State Street Global Advisors est devenu défavorable, ce qui explique pourquoi les trois sociétés, qui gèrent ensemble environ dix-mille milliards de dollars, se sont retirées en tout ou en partie. À cela s’ajoute la décision des États conservateurs des États-Unis de ne plus attribuer de contrats publics à des entreprises « vertes ».

L’apocalypse climatique n’est plus prise au sérieux. Le retrait des géants de l’industrie est-il un signe avant-coureur à l’encontre du capitalisme « vert » ? La conférence sur le climat à Dubaï a déjà montré à travers le comportement et les déclarations des participants importants que l’histoire du jugement dernier n’est plus prise au sérieux par les décideurs et n’est bonne que comme un récit de propagande. Bien que les entreprises et les milliardaires comme Elon Musk continueront à empocher avec bonheur les paiements de transfert imposés par l’État pour les « certificats climatiques » ou autres, le « climat » semble être devenu progressivement obsolète en tant que sujet pour les grandes entreprises. Il est temps que l’histoire des « forêts mourantes » [pluies acides disparues de l’idéologie climatique] soit inventée par un professeur en 1979 et perpétuée par les politiciens et les médias pendant une dizaine d’années. C’était une histoire semblable aux contes de fées sur le « trou dans la couche d’ozone » ou « le pétrole va bientôt s’épuiser ».

Le « climat », d’autre part, a été promu par des demi- et des pseudo-scientifiques comme Hoimar von Ditfurth depuis la fin des années 1970, et a été mis en œuvre dans le monde entier après la conférence de l’ONU en 1992. Le thème de l’« ère chaude causée par le CO2 » a donc été abordé dans les pays occidentaux depuis plus de 40 ans – un temps étonnamment long par rapport aux autres histoires d’arnaques alarmistes. Étant donné que, dans le cadre de la mondialisation et de l’autodestruction des pays occidentaux, l’air du temps occidental avec son commerce d’éco-indulgence devient de plus en plus impopulaire dans le monde entier, il n’est pas surprenant que les entreprises mondiales le fuient de plus en plus pour ne pas sombrer.

La conclusion est limpide : la propagande climatique, les critères ESG et les délires des écologistes comme le tout électrique (avec des moulins à vent !), la transition énergétique, les cités « 15 minutes », l’isolation thermique des logement, l’économie circulaire, l’abattage des bovins, les taxes carbone et la neutralité carbone (je n’ai jamais été capable de comprendre ce concept), la haine du nucléaire, la disparition des ours blancs et le blanchiment des coraux, la fonte des glaciers et la montée du niveau des océans et leur acidification, bref tout ce fatras est remis en cause par le peuple, la sagesse du peuple, dont la souveraineté est méprisée par les politiciens … car finalement ce seront toujours les contribuables, les peuples, qui paieront ! Et c’est sur ce point que M. P.-C aurait été avisée d’intervenir en déclarant que ce sont ces « ultra-riches » qui sont les auteurs de cette mise en place des critères ESG et de l’entretien de la propagande climatique car il y a des milliers de milliards de dollar en jeu. Note. L’article traduit ici et en caractères italiques a été mis en ligne sur le site notrickszone.com . Liens : https://elucid.media/societe/qui-sont-les-riches-et-que-veulent-ils-monique-pincon-charlot et ce lien pour télécharger le traité sur le climat de P. Poyet :

https://www.researchgate.net/publication/347150306_The_Rational_Climate_e-Book_2nd_Edition/link/633d566eff870c55ce02574e/download

Des scientifiques tentent des expériences risquées dans l’air et l’eau dans l’espoir d’arrêter le changement climatique !

Traduction d’un article de Mish Shedlock paru sur son site https://mishtalk.com . Les inserts entre crochets précisent quelques points et ne sont pas de Mish mais de votre serviteur.

Les scientifiques qui cherchent désespérément à enrayer ou à renverser le changement climatique déversent des produits chimiques dans l’océan et pulvérisent de l’eau salée dans l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? Je parle du court et du long terme.

Rejeter des produits chimiques dans l’océan ? Pulvériser de l’eau salée dans les nuages? Injecter des particules réfléchissantes dans le ciel ? Les scientifiques recourent à des techniques autrefois impensables pour refroidir la planète parce que les efforts mondiaux pour contrôler les émissions de gaz à effet de serre échouent.

Ces approches de géo-ingénierie étaient autrefois considérées comme taboues par les scientifiques et les régulateurs qui craignaient que le bricolage avec l’environnement pourrait avoir des conséquences involontaires, mais les chercheurs reçoivent maintenant des fonds publics et des investissements privés pour sortir du laboratoire et tester ces méthodes à l’extérieur.

Modifier le climat

Augmenter la brillance des nuages marins. Des chercheurs à bord d’un navire au large de la côte nord-est de l’Australie, près des îles Whitsunday [d’Airlie Beach, Queensland, située au fond de la baie Pioneer des bateaux sont disponibles pour aller voir la Grande Barrière de corail], pulvérisent un mélange saumâtre à travers des buses haute pression dans l’air afin d’essayer de rendre plus lumineux les nuages de basse altitude qui se forment au-dessus de l’océan. Les scientifiques espèrent que les nuages plus grands et plus brillants refléteront la lumière du Soleil loin de la Terre, ombrageront la surface de l’océan et rafraîchiront les eaux autour de la Grande Barrière de corail, où le réchauffement des températures océaniques a contribué à la mortalité massive des coraux [encore une remarque issue de la propagande car le blanchissement des coraux est provoqué par des attaques virales qui apparaissent et disparaissent sans explication]. Le projet de recherche, connu sous le nom d’éclaircissement des nuages marins, est dirigé par l’Université Southern Cross dans le cadre du programme de restauration et d’adaptation des récifs, d’une valeur de 64,55 millions de dollars, soit 100 millions de dollars australiens.

Solutions Stardust : En Israël, une startup appelée « Stardust Solutions » a commencé à tester un système pour disperser un nuage de minuscules particules réfléchissantes à environ 60000 pieds (20000 km) d’altitude, réfléchissant la lumière du Soleil loin de la Terre pour refroidir l’atmosphère dans un concept connu sous le nom de gestion du rayonnement solaire, ou SRM (solar radiation management).

Jeter de la soude dans l’océan : Au Massachusetts, des chercheurs de la Woods Hole Oceanographic Institution prévoient de verser cet été 6000 gallons d’une solution liquide d’hydroxyde de sodium (soude) dans l’océan à 10 miles au sud de Martha’s Vineyard. Ils espèrent que la base chimique agira comme un gros comprimé pansement réduisant l’acidité d’une parcelle d’eau de surface et absorbant 20 tonnes de dioxyde de carbone de l’atmosphère, le stockant en toute sécurité dans l’océan. Cela me rappelle une idée ratée des années 1960 dont nous avons discuté à l’école primaire. À l’époque, l’idée était de vaporiser du charbon de bois sur la glace de l’Arctique pour arrêter le refroidissement mondial.

A-t-on besoin des volcans ? Les expériences visant à refroidir l’atmosphère en réfléchissant la lumière du soleil loin de la Terre sont une tentative d’imiter ce qui se passe quand un volcan entre en éruption. En 1991, le mont Pinatubo, un volcan actif aux Philippines, a déversé du soufre et des cendres dans la haute atmosphère, abaissant la température de la Terre d’un demi degré Celsius pendant toute une année. Mais jusqu’à il y a quelques années, de nombreux scientifiques s’opposaient aux interventions humaines, craignant une pente glissante qui permettrait à la société d’éviter de prendre des décisions difficiles sur la réduction des émissions et pourrait finalement se retourner contre l’humanité.

Oui, jetons de la cendre en l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? De la soude dans l’océan ? Pourquoi pas ? Si on a trop de cendre dans l’air et de soude dans l’océan, on peut l’enlever, non ?

Lignes directrices de la Maison-Blanche

Ne vous inquiétez pas, le président Biden a des lignes directrices sur la modification du rayonnement solaire : https://www.whitehouse.gov/wp-content/uploads/2023/06/Congressionally-Mandated-Report-on-Solar-Radiation-Modification.pdf . Le présent plan de recherche a été préparé en réponse à une exigence énoncée dans l’exposé des motifs conjoints qui accompagne la section B de la Loi de 2022 sur les crédits consolidés et dirige le Bureau de la politique des sciences et de la technologie (OSTP, Office of Science and Technology Policy) avec le soutien de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), pour fournir un plan de recherche pour « les interventions solaires et autres interventions climatiques rapides ». Non seulement nous avons besoin de nuages plus brillants, mais nous avons besoin de plus de cendres dans le ciel pour l’assombrir. Je suis certain que si nous pouvons dépenser des milliards de dollars pour éclaircir les nuages en pulvérisant de l’eau salée dans l’air tout en assombrissant le ciel, tout ira bien. Plus sérieusement, quelqu’un pense-t-il vraiment que cette idée peut éventuellement s’étendre à l’échelle mondiale? À quel prix ?

Risques à court et à long terme

Ironiquement, le risque à court terme est que l’un de ces plans soit effectivement couronné de succès. Et gardez à l’esprit que les données seront manipulées pour montrer le succès, ne serait-ce que pour obtenir plus de financement. Ensuite, nous augmenterons les dépenses à hauteur de dizaines de milliards de dollars, en jouant avec mère nature, pour ensuite faire face au risque à long terme. Le risque à long terme, c’est que nous faisons quelque chose de vraiment stupide, comme jeter du charbon de bois dans l’Arctique, comme on l’a proposé dans les années 1960, pour faire fondre la glace dans l’Arctique.

Autres nouvelles liées au climat…

Pourquoi les panneaux solaires sont-ils 44 pour cent moins chers en Chine qu’aux États-Unis?

https://mishtalk.com/economics/why-are-solar-panels-44-percent-cheaper-in-china-than-the-us/ Le 6 février, j’ai remarqué que les coûts réels de la carboneutralité deviennent impossibles à cacher : https://mishtalk.com/economics/the-true-costs-of-net-zero-are-becoming-impossible-to-hide/

Bloomberg annonce une hausse de 48% des coûts Les plans d’énergie éolienne de Biden sont admirés mais morts dans l’oeuf. Même avec des subventions massives, ces projets ne sont pas économiques.

Le plus gros outil de Biden

Le porte-parole de la Maison-Blanche, Michael Kikukawa, a déclaré que M. Biden « a utilisé tous les outils disponibles pour faire progresser l’industrie éolienne offshore américaine en pleine croissance ». En effet! Son plus grand outil de persuasion est un paquet de mensonges commençant par une affirmation que ces projets sont moins chers et vont se payer eux-mêmes.

Commentaire contrarien de votre serviteur. Puisqu’il a été question dans cet article de Mish Shedlock, analyste financier de son état, de l’Océan qui est le « puits de CO2 » majeur sur notre planète, le règne végétal arrivant loin derrière, et puisqu’il a été également évoqué les éruptions volcaniques une façon de modifier le climat en intervenant au niveau des océans existe déjà ! Il s’agit d’un objet de débats vifs alimenté par les écologistes qui ne comprennent définitivement rien. Il y a des dizaines de milliers de bateaux qui sillonnent les océans jour et nuit. Ces bateaux sont propulsés par de gigantesques moteurs diesel mis au point pour utiliser un résidu pétrolier dont on ne sait que faire. Lors d’un trajet à bord d’un porte container de 270 mètres de long entre Le Havre et Pointe-à-Pitre en Guadeloupe j’ai pu visiter la salle des machines de cet énorme navire. C’était passionnant. Le responsable des machines m’a expliqué dans les moindres détails le fonctionnement de ces moteurs entrainant un arbre d’hélice d’une vingtaine de mètres de long. Il y avait deux moteurs et deux arbres d’hélice et une multitude de groupes électrogènes pour alimenter en particulier les groupes frigorifiques maintenant des températures adéquates dans un multitude de containers. De mémoire les moteurs diesel deux-temps de propulsion comprenaient six cylindres en ligne d’une cylindrée totale de plus de 500 litres. Ils sont couplés directement à l’arbre d’hélice et la vitesse de rotation ne dépasse par deux-cent tours/minute (toujours de mémoire). Les dizaines de mètres-cube d’huile de lubrification du carter sont centrifugés en continu, l’une des utilisations essentielles des groupes électrogènes.

La controverse liée à ces très gros navires concerne la nature du carburant et les dégagements de fumées (et naturellement de CO2). Puisqu’il s’agit de moteurs deux-temps inévitablement les gaz de combustion contiennent des poussières et la combustion du carburant est loin d’être parfaite. Par conséquent le navire ne peut pas être « propre ». Le carburant est constitué d’une fraction visqueuse riche en soufre (jusqu’à 5 % en poids) que seuls ces moteurs diesel sont capables d’utiliser comme carburant car ils ont été conçus pour l’usage spécifique d’un tel carburant qui doit être maintenu à une température suffisante, 50 à 60 °C, pour ne pas « figer ». Pour les obsédés du réchauffement du climat ce carburant présente pourtant des avantages que Shedlock n’a pas mentionné et pour cause : les écologistes ne veulent pas en entendre parler et c’est là que leur stupidité se révèle. La combustion de ce carburant dégage des quantités massives de poussières et également des oxydes de soufre. Il a été question de poussières dans l’énumération de Shedlock et des éruptions volcaniques. Très bien mais la question est la suivante : tous les navires en circulation sur les océans ne représentent-ils pas, réunis, à une importante éruption volcanique continue chaque jour de l’année ? Ah ! Mais les éruptions volcaniques sont des phénomènes naturels alors que ces gros bateaux sont des destructeurs d’origine humaine de l’environnement. Et pourtant ils contribuent au refroidissement du climat …

La dendrologie, une méthode d’étude des climats passés ?

Les techniques permettant de se faire une idée de l’évolution du climat sont variées, depuis l’évaluation de la teneur de oxygène-18 dans les carottes glaciaires de l’Antarctique qui ont permis de remonter dans le temps jusqu’à 800000 ans jusqu’aux travaux d’Emmanuel Leroy-Ladurie étudiant l’évolution du prix du blé et par conséquent du pain durant le dernier millier d’années. Ces 1000 années passées sont très riches en informations et elles ont été complétées par l’étude des sédiments marins et lacustes couvrant cette période de mille années et de remonter avec une précision satisfaisante jusque 2000 ans avant l’ère commune complétée par les forages au Groenland (GISP2 par exemple) ont permis d’obtenir une reconstitution très fine de l’évolution du climat. Cependant la dendrologie est restée le parent pauvre de ces études car il n’existait pas d’exemples permettant de valider cette technique au moins localement. C’est ce qui vient d’être réalisé par une étude effectuée en Allemagne dirigée par le Docteur Tobias Kluge réunissant une équipe des Université d’Heildelberg et de Karlsruhe. Le but de cette étude était en réalité d’étudier les évènements météorologiques passés pour tenter de prévoir des évènements extrêmes dans le futur, une motivation un peu surprenante en raison de la nature chaotique de la météorologie.

La dendrologie ou étude des cernes de croissance des arbres procure des renseignements très précis sur les conditions de températures et de précipitations durant les printemps et étés en Europe. L’étude a consisté à reconstituer dans des stalagmites, la partie montante des spéléotèmes, la teneur en oxygène-18 combinée à une datation par le carbone-14 vérifiée par l’approche uranium/thorium, stalagmites prélevées dans une partie de l’ensemble sous-terrain Teufelshöhle du massif karstique de Franconie au nord de Nuremberg. Et cette étude a été rapprochée des archives de la ville impériale libre de Nuremberg et surtout d’une étude dendrologique très complète concernant le bassin de la rivière Main ( DOI:10.5194/cp-15-1677-2019 ) et rassemblant des chênes de bâtiments récents, historiques ainsi que provenant de fouilles archéologiques couvrant les deux derniers millénaires de l’ère commune. Le résultat combiné de l’étude des stalagmites et de cette dendrologie montre une parfaite concordance. Elle valide donc l’approche par dendrologie des aléas météorologiques, eux-mêmes décrits par les archives de la ville de Nuremberg. L’illustration ci-dessous utilise les z Scores, une manière de standardiser les données qui nivelle les données brutes. Elle a été utilisée dans cette étude comparative pour valider la dendrologie, et réciproquement, dans cette région particulière d’Europe centrale.

Cependant elle ne peut pas mettre en évidence une quelconque variation du climat. Le z score se définit ainsi : z = (x – μ)/σ où μ est la moyenne de toutes les données x et σ la déviation standard. Dans ces conditions inutile de chercher dans cette illustration une quelconque variabilité au cours du temps. Les zones en grisé représentent les périodes de faible activité solaire (Spörer et Maunder), les 20 étés les plus humides sont représentées par des étoiles oranges et les 20 étés les plus secs par des rayures obliques bleues. D’ailleurs le but de cette étude n’était pas de retrouver les variations du climat telles qu’elles ont été révélées avec précision par les forages du Groenland comme l’indique l’illustration suivante :

Les données fournies les forages GISP2 montrent clairement une périodicité des périodes dites « chaudes » séparées de 1200 ans environ. Cette illustration indique également la lente (mais certaine) diminution des températures depuis le maximum de l’Holocène indépendamment des variations de l’activité solaire car il s’agit d’une conséquence de la mécanique céleste. En effet les variations du barycentre du système solaire n’ont toujours pas pu être corrélées avec les variations de l’activité magnétique du Soleil qui est très complexe. Les planètes gazeuses mais géantes, Jupiter, Saturne et Neptune induiraient des effets de marée sur les mouvements internes de matière solaire. La modélisation illustrée sur la figure ci-dessus est la résultante de tous les données dont on dispose aujourd’hui. Cependant tous les climatologues honnêtes affirment que le temps de l’abondance solaire dont l’humanité profite depuis la fin du « petit âge glaciaire » semble révolu.

Source : https://doi.org/10.1016/j.epsl.2023.118458 aimablement communiqué par le Docteur Kluge sur ma demande.

Note critique. Il est déroutant que ces analyses ne fassent pas ressortir les fluctuations du climat bien identifiées par les études réalisées sur les carottages au Groenland. La région de Nuremberg serait-elle isolée de ces fluctuations et aurait pu effectuer ces travaux ? Personnellement je soupçonne que les auteurs n’ont pu se permettre de publier des résultats contraires à la science officielle du climat car le risque d’un refus de publication par un éditeur d’articles scientifique comme par exemple Elsevier qui obéit aux ordres et pour un laboratoire de recherche ne pas publier présente des risques de rupture de financements, eux-mêmes surveillés par la police organisée pour censure les travaux non conformes à la science définitive et figée du climat. Il s’agit d’un exemple parfait de politisation de la science mais je peux naturellement me tromper malgré le fait que dans les travaux mentionnés dans le premier lien apparu dans cet article, l’optimum médiéval incontestable du climat a disparu alors que l’IPCC a fait tout ce qui était nécessaire pour effacer cet épisode gênant sans oublier l’optimum moderne 1920-1950

Nouvelles du Japon. 2023 année la plus chaude à Tokyo ?

Tokyo est une immense ville dont le centre n’est défini que par la ligne de chemin de fer circulaire Yamanote et à peu près équivalent à Paris « intra muros ». Compte tenu de la population, de la densité des rues, des trains, des autoroutes urbaines, de la circulation automobile, Tokyo devrait être une ville « chaude », plus chaude que n’importe quelle autre ville petite ou moyenne située en bord de mer comme Tokyo, à la même latitude.

En réalité ce n’est pas le cas, les données officielles du service japonais de météorologie (JMA, Japan Meteorological Agency) ont été analysée par Kirye ( @KiryeNet ). Cette bloggeuse a additionné tous les relevés des températures réalisées dans la préfecture de Tokyo pour chaque année et obtenu une moyenne par année en divisant par 365. Ce n’est pas un procédé présentant une réalité physique puisque la température est une grandeur physique vive et ne peut pas être manipulée ainsi mais n’importe qui pourra arriver exactement au même résultat. Bref, rien n’a été manipulé, seulement une addition suivie d’une division. On constate qu’une régression linéaire appliquée à toutes ces moyennes fait ressortir une tendance « baissière » comme disent les analystes financiers. L’honnêteté de Kirye n’est pas contestable puisque l’année « la plus chaude », dans ce résultat, est bien confirmée comme étant l’année 2023 :

Kirye a affiné ses analyses en choisissant comme référence l’île de Hachijo Jima, dans l’archipel des Izu, à 280 kilomètres au sud de Tokyo, une destination très prisée par les Japonais car la température n’est ni froide l’hiver en raison du courant marin chaud arrivant des Philippines ni étouffante en été en raison des vents d’ouest dominants :

Et qu’observe-t-on ? Une relative stabilité des températures depuis 1977dont le différentiel de variation n’est que de quelques degrés. Dans le cas de cette île les températures sont nivelées par l’environnement océanique en raison de l’inertie thermique de l’océan. Pour l’anecdote cette île se trouve aussi sur le trajet de beaucoup de typhons. Cependant la fréquence des typhons de haute intensité diminue également depuis le dernier épisode El Nino. Force est de constater que le climat, ou plutôt la météorologie, montre une tendance vers un refroidissement, certes faible mais significatif, des températures. Si de telles approches analytiques étaient appliquées à un pays comme la France on aurait des surprises politiquement incorrectes … car oser écrire que la catastrophe climatique est une vue de l’esprit pourrait devenir un délit condamnable et c’est sur ce point parmi d’autres que l’élite mondialiste a débattu à Davos ce qui revient à dire que l’Occident dérive vers vers un totalitarisme qui ne veut pas dire son nom.

Source : notrickzone.com

Grondements inquiétants du culte du changement climatique

Il y a de nombreuses raisons de mettre un terme à l’élimination des combustibles fossiles. La charge pour les énergies renouvelables n’est pas rationnelle, c’est le fanatisme d’un culte quasi-religieux. Article de Mark Hendrickson paru le 30 décembre 2023 sur le site The Epoch Times.

Dans le passé, j’ai parlé des alarmistes climatiques bien financés, bien organisés, mais scientifiquement vides, comme d’une « cabale » avec un programme explicitement socialiste. En effet, dans un contexte politique, c’est exactement ce qu’ils sont, mais dans un contexte religieux, ils sont une secte qui promeut fanatiquement un dogme rigide. Le dogme du changement climatique est à peu près le suivant : La concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère terrestre a augmenté de façon marquée au cours du dernier siècle (c’est vrai), les activités humaines ont contribué à cette augmentation (c’est vrai), la Terre s’est réchauffée de plus d’un degré depuis qu’elle a échappé au rude Petit Âge glaciaire au 19ème siècle (aussi vrai, Dieu merci !), les températures continueront d’augmenter à des niveaux dangereux, provoquant des catastrophes (non prouvés et improbables) à moins que la société humaine ne soit radicalement transformée par une réduction drastique de l’utilisation humaine des combustibles fossiles (un programme de recherche du pouvoir qui infligerait un appauvrissement et une souffrance généralisés à des milliards d’êtres humains).

En ce qui concerne le spectacle annuel des Nations Unies récemment terminé dans la propagande et l’hystérie sur les changements climatiques, la COP28, l’alarmiste de longue date Al Gore (qui veut encore aujourd’hui la « transformation déchirante » de la société qu’il a réclamée dans son discours de 1992 « La Terre en équilibre ») déplore le fait que certaines personnes soient en fait en désaccord avec les prédictions alarmistes follement spéculatives (suppositions) que lui et ses collègues alarmistes font sur l’avenir. Il a reproché aux médias sociaux et aux algorithmes de diffuser ce qu’il considère comme de la désinformation (en termes plus neutres : différences de perception et de compréhension) sur le changement climatique.

Selon NoTricksZone.com, cela est dû à « une réduction spectaculaire des émissions d’aérosols (polluants) refroidissant le climat » et « parce que les émissions d’aérosols ont un impact climatique relativement plus important en reflétant le rayonnement à ondes courtes, l’effet net de la transition vers les énergies renouvelables sera d’augmenter « considérablement » les températures de la Terre au cours des prochaines décennies » !

Les exemples ci-dessus d’études scientifiques allant à l’encontre de l’orthodoxie sectaire du changement climatique indiquent que la science entourant la question est tout sauf réglée en faveur des alarmistes. Passons de la science à l’économie de la transition de l’utilisation des combustibles fossiles. Si le culte du changement climatique parvient à supprimer radicalement l’utilisation des combustibles fossiles, les sociétés humaines seront beaucoup plus pauvres. Ce serait une tragédie aux conséquences potentiellement mortelles. Alors que les êtres humains ne peuvent pas plus dompter le climat que le légendaire roi Canute pouvait contrôler les marées, le fait est que c’est la prospérité qui permet le mieux aux êtres humains de faire face aux événements météorologiques défavorables qui nous assaillent périodiquement, que le monde se refroidisse ou se réchauffe.

Les combustibles fossiles ont non seulement l’avantage d’être beaucoup plus fiables et stables que l’énergie éolienne et solaire, mais ils sont également plus efficaces et économiques. Toujours aussi astucieux, Rupert Darwall a calculé : « Grâce à l’utilisation accrue [de la Grande-Bretagne] des énergies renouvelables, 13,6 GW (15,6 %) de plus de capacité de production [en 2020 par rapport à 2009] ont produit 64,5 TWh (17,1 %) de moins d’électricité ». C’est une voie vers l’énergie et donc vers l’appauvrissement de la société. L’économie de l’énergie éolienne est brutale pour les contribuables. Jonathan Lesser a calculé que « la subvention moyenne pour chaque emploi vert créé sera de plus de 2 millions de dollars par année ». Il est clair qu’il y a beaucoup de raisons de ralentir, sinon d’arrêter, la course frénétique à l’élimination des combustibles fossiles. La charge pèle-mèle vers les énergies renouvelables n’est pas rationnelle, c’est plutôt le fanatisme d’un culte quasi religieux. Liens :

https://www.zerohedge.com/political/al-gore-warns-people-having-access-non-mainstream-information-threatens-democracy

https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/02626667.2023.2287047 (disponible sur researchgate.net en entrant le titre de l’article)

https://www.nature.com/articles/s41612-023-00367-6

https://www.realclearenergy.org/articles/2023/12/20/britains_net_zero_disaster_and_the_wind_power_scam_1000250.html

https://www.realclearenergy.org/articles/2023/12/05/the_crippling_economic_costs_of_green_energy_subsidies_997062.html

Commentaire de votre serviteur. Non seulement le réchauffement du climat d’origine humaine est une escroquerie scientifique mais la propagande incessante qui l’incruste dans les esprits jusqu’à la mise en place d’une censure conduira les peuples occidentaux vers un appauvrissement inévitable alors que la caste des ultra-riches s’enrichira au détriment des 99,9 % du reste des peuples. Cette escroquerie, fort heureusement, ne concerne que les Occidentaux. Les pays faisant partie des BRICS+ s’en moquent ainsi que la totalité des peuples constituant les pays situés dans la région intertropicale de la planète. Les Occidentaux préparent minutieusement leur suicide collectif tandis que la Chine et la Russie ont déjà décidé d’intégrer dans leurs plans, il s’agit d’économies planifiées comme ce fut le cas au cours des « 30 glorieuses » en France, le développement d’énergies alternatives fiables économiques comme l’énergie nucléaire. La Grande-Bretagne dont cet article mentionne le fiasco des énergies dites renouvelables développe l’énergie nucléaire en partenariat avec EDF et des ingénieurs et techniciens chinois. La Russie développe la surrégénération et la Chine explore les réacteurs à haute température dans le but d’intégrer cette technologie vers la production d’hydrogène. Les ressources en uranium sont infinies puisque les avancées technologiques ont validé la « récolte » de ce métal dans l’eau de mer. Pour des raisons idéologiques les Occidentaux s’enferrent dans les énergies dites renouvelables et les peuples doivent subir cette politique suicidaire …

CO2 or not CO2, that is the question !

Depuis le début des années 1970 le gaz carbonique, alias CO2, s’est retrouvé diabolisé à la suite de l’opportunisme délirant d’un escroc par ailleurs autodidacte Maurice Strong. Cet individu échappa à la prison au Canada pour se retrouver dans les petits papiers de U Thant, alors Secrétaire général des Nations-Unies par magie si on peut qualifier son périple ainsi. Son coup d’éclat fut d’associer l’effet dangereux des fluoro-carbones sur la couche d’ozone en haute altitude et d’initier le concept d’effet du gaz carbonique sur le climat sans préciser quel pouvait être celui-ci. Cela se passait au grand sommet sur l’environnement à Rio de Janeiro qui consacra la notoriété de cet aventurier. Strong avait trempé dans des escroqueries impliquant des sociétés pétrolières au Canada et aux Etats-Unis, peut-être voulait-il se venger des producteurs de pétrole … Il faudra cinquante années pour que ce CO2 entre dans le comportement quotidien des Occidentaux grâce à une propagande incessante alimentée par les écologistes et des fonctionnaires onusiens dont l’unique mission est de reprendre les obsessions de Maurice Strong maintenant solidement formalisées par une fausse science acceptée unanimement. Il persiste néanmoins un doute au sujet de la validité des thèses avancées par les pseudo-climatologues appointés par les Nations-Unies : pourquoi les contestataires (comme votre serviteur) risquent-ils d’être censurés et mis au ban de la société s’ils osent exposer leurs propres opinions dans les grands médias papier, électroniques ou télévisuels ? L’ Occident a mis en place une structure, nommément l’IPCC, pour répandre cette fausse science et il faut remonter au retentissant procès de Galileo Galilei en 1616 pour retrouver les premiers défenseurs de la fausse science. À l’époque de Galilée la Terre, conformément aux écritures saintes, se trouvait au centre de l’Univers et Galilée avait accumulé un nombre suffisant de preuves pour émettre une hypothèse contraire après avoir observé les phases de Vénus avec sa lunette, qu’il avait construit lui-même, et quatre des satellites de Jupiter. Cette dernière observation le conduisit à imaginer que la Terre tournait autour du Soleil et non pas l’inverse, de même que ces satellites de Jupiter tournaient autour de cette planète. Les phases de Vénus ne pouvaient trouver d’explication que si ce corps céleste tournait autour du Soleil et était sphérique. L’Inquisition le poursuivit et ce n’est que sur les conseil du Pape que ce grand savant échappa au bûcher en se rétractant.

Aujourd’hui le monde occidental est revenu dans son comportement anti-scientifique aux années du procès de Galilée. Les motifs de ce retour vers l’obscurantisme sont différents car cette histoire du réchauffement du climat d’origine humaine ne s’appuie plus sur la Genèse biblique mais sur un tout autre objectif beaucoup plus terre à terre : ruiner les économies en décidant de mesures contraignantes dont le but ultime est d’asservir les peuples en les culpabilisant car ce sont eux qui sont les coupables ! Encore une fois l’Occident qui a toujours voulu être le maître sans partage veut imposer ses idées au reste du monde avec par exemple les critères ESG qui interdisent tout investissement dans les pays en développement relatif à la production d’énergie électrique comme s’ils n’avaient eux-mêmes rien à se reprocher. Et pourtant ce réchauffement qu’on appelle maintenant pudiquement perturbation du climat (par l’activité humaine) est loin d’être prouvé et de nombreux spécialistes de haut niveau de par le monde sont heureusement là pour le prouver par leurs travaux. Ces auteurs prennent soin de ne jamais conclure leurs publications par une dénonciation de la fausse science onusienne car ils se limitent à l’interprétation lapidaire de leurs observations.

Voici deux exemples de publications datant de l’année 2023 l’une aboutissant à la reconstruction des températures couvrant la période s’étendant de moins onze mille ans avant l’ère commune à nos jours par l’étude des pollens en Europe centrale et orientale ( https://doi.org/10.5194/cp-19-2093-2023 ) et l’autre dans le même but effectuée au Japon par l’analyse des concrétions calcaires dans trois grottes répandues dans l’archipel ( https://doi.org/10.1016/j.chemgeo.2023.121390 ). Les conclusions sont identiques, superposables, et elles attestent que malgré un taux de gaz carbonique atmosphérique ne dépassant pas 300 ppm il y eut à la fin du Dryas récent (fin de la dernière glaciation) une longue période de climat « faste » avec des températures jusqu’à cinq degrés supérieures à celles observées aujourd’hui à des latitudes similaires. L’écueil rencontré au cours de ces travaux fut de déterminer, outre celle de la température, l’exacte pluviométrie dont l’incidence sur l’apparition des pollens est critique et également critique en ce qui concerne la croissance des stalactites. Néanmoins les résultats sont là et ils contredisent les assertions mensongères de l’IPCC : durant l’Holocène s’il y avait eu un quelconque effet de serre provoqué par la présence de gaz carbonique alors cette théorie, jamais formellement prouvée de manière satisfaisante, devrait conduire aujourd’hui à des températures tropicales en Europe centrale et orientale ainsi qu’au Japon. Or ce n’est pas le cas puisque la reconstitution des températures durant l’Holocène montre clairement que les températures étaient de plus de 3,5 degrés supérieures à celles observées aujourd’hui. Les auteurs de ces études ne mentionnent naturellement pas la conclusion que l’on peut obtenir et qui est exposée ici sinon ils seraient interdits de publication ! Voilà l’état dans lequel se trouve la science climatique : comme Galilée les vrais scientifiques sont confrontés au mur de la propagande et de la désinformation. À l’époque de Galilée il s’agissait de la papauté avec son bras droit l’Inquisition, aujourd’hui il s’agit de la censure et de la collusion entre les organismes onusiens, les médias de grand chemin, diverses organisations non gouvernementales subventionnées par les gouvernements (cherchez l’erreur) occidentaux en grande majorité, qui obéissent aux injonctions de la finance de l’ombre pour laquelle ce dérèglement du climat est une opportunité de profits astronomiques et il n’y a pas besoin de lunette dite de Galilée pour le constater.

Note. Plus personne ne parle du fameux trou d’ozone car les fluctuations de ce « trou » restent largement inexpliquées. Une illustration relative à la reconstruction des températures au cours de l’Holocène jusqu’à nos jours à partir de l’étude des pollens dirigée par le Docteur Esmeralda Cruz-Silva à l’Université de Reading en Grande-Bretagne indique que l’évolution des températures durant les mois les plus chauds (MTWA) et les mois les plus froids (MTCO) selon les approches d’analyse (TRACE-21K I ou II) depuis l’optimum de l’Holocène continuent à évoluer.

Les températures durant les mois les plus chauds continuent à évoluer vers un refroidissement depuis un peu moins de 10000 ans et celles des mois les plus froids ont tendance à se stabiliser vers un maximum, en d’autres termes les mois les plus froids ne se réchauffent plus. Quelles conclusions paraissent évidentes ? On s’achemine lentement vers un nouvel âge glaciaire … 2035 comme l’ont indiqué des études au Lac Baïkal mentionnées sur ce blog ou 2050 comme le montre le modèle de la mathématicienne Valentina Zharkova spécialiste du champ magnétique solaire ? Personne n’en sait rien mais ce qui est certain est que la mécanique céleste ne peut être remise en cause, CO2 ou pas de CO2, ce n’est plus une question existentielle, pour paraphraser Hamlet …

Respirer est-il perturbateur pour le climat ?

Comme les lecteurs de ce blog le savent bien je continuerai à dénoncer l’escroquerie du dérèglement du climat par l’activité humaine ainsi que les visées totalitaires de l’OMS qui désire contrôler la santé des citoyens de toute la planète. Vivant maintenant depuis dix-huit mois à Tahiti parler de réchauffement du climat ici est une blague et en ce qui concerne la santé des Polynésiens, certes ils ont payé un lourd tribut lors de l’épidémie de coronavirus, pour des raisons génétiques et alimentaires, des aliments tels que les bananes à cuire le fruit de l’arbre à pain ou encore les patates douces sont très riches en sucre et comme ceci a été prouvé maintes fois c’est le sucre qui provoque un sur-poids et non les graisses animales. Puisqu’il est question d’alimentation les diététiciens répètent et répètent encore qu’il faut déguster des mets riches en fibres supposées faciliter le transit intestinal. Voilà une riche idée ! Une récente étude parue dans la revue PlosOne a jeté un pavé dans la mare de la certitude des diététiciens. L’étude a consisté à analyser les exhalaisons d’un échantillon de personnes soumises à un régime carné, un régime n’incluant de la viande que deux fois par semaine et un régime végétarien strict. Il n’y avait aucune corrélation dans la teneur des exhalaisons ( respiration normale) pour ces trois groupes en ce qui concerne les teneurs en méthane ou CO2 alors que la teneur en oxyde d’azote N2O semblait être liée à la propreté de la dentition ! L’étude s’est donc focalisée sur les exhalaisons de méthane et de gaz carbonique qui sont considérés comme particulièrement dangereux pour le climat.

En effet (!) la teneur en méthane dans l’air rejeté lors de la respiration outre le CO2 varie entre 12 et 20 ppm, c’est énorme, c’est une catastrophe pour le climat … tandis que les émissions d’oxyde d’azote restaient stables à un petit détail près, elles augmentent avec l’âge. L’être humain n’est pas directement fautif dans cette histoire, ce sont les bactéries intestinales qui font leur travail, tout simplement. Et si l’homme dégage du méthane c’est une conséquence de la dégradation par ces bactéries d’aliments contenant de longues chaines carbonées, l’excès de méthylènes et de méthyles étant éliminés sous forme de méthane. Il est opportun de rappeler que lors d’une expiration normale la teneur en CO2 est de l’ordre de 4,4 % soit 10000 fois plus que dans l’atmosphère. Ce CO2 provient de tous les mécanismes d’oxydation produisant dans la cellule de l’énergie comme par exemple le glucose : C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O. Sans ces mécanismes d’oxydation toute vie est impossible car non seulement les être humains en dépendent mais également tous les animaux, toutes les bactérie et tous les champignons ainsi que les végétaux au cours de la nuit. Va-t-on instituer une « taxe-carbone » en raison de cette exhalaison de CO2 ? Cela serait synonyme de taxe sur la vie, et un tel raisonnement explique le penchant malthusien des responsables onusiens du climat reprenant les thèses du Club de Rome.

Il reste une petite consolation pour les hommes : ils dégagent statistiquement moins de méthane que les femmes et ceci ne peut que s’expliquer par une différence de microbiome intestinal entre l’homme et la femme. Il faut toutefois rester optimiste car cette étude mentionne que tout le CO2 exhalé par les britanniques ne représente que 0,05 % de l’ensemble des émissions de ce même gaz répertoriées dans le Royaume et pour le méthane seulement 0,1 % par ce même calcul. Pour conclure sur une note d’optimisme le massacre de tous les bovins britanniques et des mesures vexatoires de taxation de la vie n’auront strictement aucun effet sur l’évolution naturelle du climat. Source : https://doi.org/10.1371/journal.pone.0295157

Météo et climat : il faudra choisir entre asservissement et liberté

La température chute en Europe, en Amérique du Nord ainsi qu’au Japon, 7 degrés ce dimanche 26 novembre. Si ma mémoire est exacte, je crois qu’elle l’est, lorsque j’étais jeune adolescent la rentrée des classes avait lieu le premier octobre et souvent elle coïncidait avec les premiers frimas d’automne et parfois les premières et timides chutes de neige. Les paysans de mon hameau natal avaient commencé les vendanges et les vaches seraient bientôt à l’étable. Il s’agissait bien sûr de météorologie et non d’une variation du climat, le cycle normal des saisons. Au cours de l’optimum médiéval du climat qui dura tout de même trois siècles il y eut également des fluctuations météorologiques très bien analysées par Emmanuel Leroy-Ladurie en étudiant les fluctuations année après année du prix du blé et par conséquent du pain. Et ce prix du blé était l’indicateur du bien-être des populations. Cet optimum médiéval était ponctué de variations météorologiques qui par voie de conséquence perturbaient la vie quotidienne. Il y avait comme aujourd’hui des catastrophes, des évènements météorologiques violents, des inondations, des sécheresses …

Les glaciologues qui ont mis en évidence les cycles glaciaires réapparaissant avec une périodicité d’environ 100000 ans en reconstituant l’évolution des températures des océans soit de l’Atlantique Nord soit de l’Océan Antarctique avec le « proxy » oxygène-18 plus lourd que l’isotope 16 donc s’évaporant un peu plus facilement si la température est plus élevée, ces glaciologues, donc, ont déduit que les périodes de glaciation se succédaient : il s’agissait de climatologie et non de météorologie. L’étude des cernes de croissance des arbres ne concerne que la météorologie car cette croissance est sensible à ce que l’on pourrait appeler la qualité du printemps et de l’été favorisant cette croissance. Un été pourri ou un printemps trop froid affectent cette croissance des arbres et il paraît hasardeux d’en tirer des conclusion relatives au climat. C’est d’ailleurs ce que les vrais climatologues ont affirmé.

Si l’optimum médiéval du climat a été sciemment éludé par les fonctionnaires de l’IPCC il s’agit d’une omission sur commande ou d’une faute scientifique grave, je pencherais pour ces deux raisons reprises sans cesse d’où est née l’idéologie dogmatique du changement du climat et la confusion est entretenue et reprise par les grands médias, sur ordre de l’IPCC, par une interprétation abusive de faits presque quotidiens relevant de la météorologie que ces fonctionnaires attribuent faussement à un dérèglement du climat. Comme si l’alternance des saisons était une conséquence du changement du climat ou comme si les grandes marées de pleine ou nouvelle lune étaient des conséquence de cet hypothétique changement du climat. Ainsi l’homme ose interpréter à sa manière la rotation de la Lune autour de la Terre et le fait que l’axe de rotation de la Terre sur elle-même n’est pas perpendiculaire au plan de l’écliptique. Enfin les fluctuations de l’activité solaire ne sont jamais prises en considération car elles contredisent ce dogme du changement du climat. Il est assourdissant de constater que ces stupides fonctionnaires de l’IPCC croient que l’humanité, dans la mesure où elle interprète faussement ces phénomènes astrophysiques, peuvent avoir une influence sur l’évolution non seulement de la météorologie mais également du climat est très présomptueux ou relève de la démence intellectuelle …

Les périodes les plus froides de l’année sont décalées d’environ six semaines par rapport aux solstices : le mois le plus froid est habituellement février et le plus chaud août dans l’hémisphère nord, il y a des gelées prolongées en février ou des sécheresses voire des orages violents et des inondations en août et le climat n’a rien à voir avec ces événement météorologiques. Tout est donc faussé par des raisons qui nous échappent mais suivent des ordres issus des puissances financières qui ont trouvé que le climat était un excellent moyen de rançonner tous les fainéants qui refusent de faire le moindre effort pour réaliser que leur avenir est en danger non pas à cause du climat mais de la volonté de leur domination (par ces financiers) sur la totalité de l’humanité. Les « 0,1 % » veulent dominer le monde : l’essai, comme au rugby fut le coronavirus et il va être transformé avec cette légende du changement du climat provoqué par l’activité humaine. Nous devrons expier ce deuxième péché originel, notion religieuse à laquelle je ne crois absolument pas, pas plus que ce changement, dérèglement, réchauffement … du climat. On peut ainsi écrire que manifester un doute au sujet de cette nouvelle religion du climat relève de l’hérésie et s’il fallait brûler en Place de Grève un de ces hérétique, je serais volontaire car à mon âge être brûlé vif m’importe peu car j’ai déjà dépassé l’espérance de vie officielle des Français !

Je redoute en effet de vivre encore plusieurs années pour assister à la terrible décadence et l’insupportable misère sans espoir de jours meilleurs auxquelles mes petits-enfants seront confrontés à cause des élucubrations des fonctionnaires de l’ONU, encouragés par les puissances financières de l’ombre et repris par les organisations écologistes également aux ordres de ces mêmes puissances financières. Il faudrait que les jeunes générations de tous les pays se préparent à la révolution et massacrent au sens littéral du terme tous ces malfaisants : c’est leur avenir qui se joue déjà car ce processus deviendra irréversible dans peu de mois. En Europe la Commission organise une censure contre les climato-sceptiques et c’est très significatif d’un coup monté qu’il faut dissimuler, la Commission met en place la carte européenne d’identité numérique comprenant des données bancaires, de santé avec la complicité de l’OMS et les données de style de vie avec dans peu de temps un « pass-carbone » répertorié automatiquement pour chaque personne physique qui oserait voyager en avion ou utiliser son véhicule automobile avec un moteur à combustion interne, la monnaie numérique permettra un contrôle en temps réel de chaque individu avec les GAFAM+ qui sont contrôlés par ces mêmes puissances financières. Tout est déjà ficelé et il est peut-être déjà trop tard. Je suis trop vieux pour courir afin de fuir la police anti-émeutes aux ordres de gouvernements et comme je suis fondamentalement un non violent je ne me serais, plus jeune, jamais confronté à une police également aux ordres du gouvernement ni à une justice dont le statut d’indépendance vis-à-vis du pouvoir exécutif n’a jamais été aussi battu en brèche.

Tous ces éléments indiquent que les démocraties dites occidentales se préparent à cette grande remise à zéro dont rêve ce fou de Klaus Schwab également aux ordres, consentantes d’approfondir leur asservissement aux puissances financières, tout cela au nom de mensonges et d’anti-science ! L’avenir de l’Occident est donc particulièrement sombre car la grande majorité des autres pays dans le monde ne se préoccupent pas de cette histoire de changement d’origine humaine du climat mais sont pénalisés par les critères ESG qui découragent tout investissement dans les sources d’énergie « carbonée » comme si le péché originel des Occidentaux devait être expié par le Burkina-Faso, le Mali ou le Kenya. Le monde occidental est devenu un monstre inique …

Réponse à Tromby72 et à tous les autres lecteurs de ce blog au sujet du climat.

En 2013 j’ai commencé à lire quelques articles et regarder quelques reportages relatifs au réchauffement du climat dont l’origine était censée être l’activité humaine moderne. Ayant suivi de longues études universitaires pour obtenir une maîtrise de chimie il était inclus des disciplines comme la thermodynamique, la physique nucléaire, la spectroscopie, … J’ignorais tout du climat, du système Terre-atmosphère-océans et en particulier de l’atmosphère ainsi que de la mécanique céleste qui, je le découvris au cours de ces investigations, jouait un rôle fondamental dans l’apparition des longues périodes glaciaires. Ce fut une sorte d’apprentissage et je fus immédiatement interpellé par le fait que si on effectuait une marche en montagne la température diminuait au fur et à mesure que l’on montait. Je fus alors surpris à partir de cette simple observation qu’il devait pourtant exister un effet de serre provoqué par la présence de gaz carbonique ou d’autres gaz qui furent incriminés ensuite. L’effet de serre de ce CO2 consistait à observer un réchauffement des basses couches par celles situées à une altitude supérieure. Cet effet était, selon ce que la presse et les grands médias présentaient à la suite des mises au point réitérées par l’IPCC, un organisme onusien dépendant de l’Organisation Météorologique mondiale, une irradiation de ces basses couches de l’atmosphère et du sol provenant de ces hautes couches de l’atmosphère. Je fus surpris de constater que cette affirmation était dénuée de tout fondement scientifique car elle entrait en contradiction flagrante avec les lois fondamentales de la thermodynamique : puisque l’air en altitude est froid la vibration des molécules constituant l’atmosphère est énergétiquement inférieure à celles situées dans les basses couches de l’atmosphère. Selon la deuxième loi de la thermodynamique, ces photons réémis se perdent en entropie et ne peuvent pas « échauffer » le sol, plus chaud en moyenne. Il n’en est pas de même pour les photons émis en direction de l’espace car l’atmosphère est soumise au champ gravitationnel terrestre et selon le gradient adiabatique décrivant les variations de pression, de densité et de température de l’air en fonction de l’altitude, ces photons réémis vers l’espace pourront éventuellement « échauffer » les molécules de l’atmosphère situées à des altitudes élevées.

La conséquence est que l’affirmation par les fonctionnaires de l’IPCC qu’il existe un effet de serre intrinsèque au sein de l’atmosphère est un non-sens scientifique et ce quelle que soit la nature du gaz considéré. Il reste la vapeur d’eau qui dans certaines conditions de température se conforme aux lois décrivant les gaz parfaits comme l’oxygène ou l’argon. Dans l’atmosphère la vapeur d’eau présente la particularité de changer d’état et du plus chaud au plus froid chaque changement d’état provoque une libération d’énergie thermique. Combinée au gradient adiabatique ces changements d’état se manifestent par la formation de nuages et de couches aux altitudes élevées d’un voile de cristaux de glace renvoyant le rayonnement solaire vers l’espace. Outre les transferts d’énergie à chaque changement d’état physique la vapeur d’eau est un paramètre d’une grande importance dans l’évolution des températures à la surface du sol. Le système Terre-atmosphère est donc d’une complexité redoutable qu’aucun modèle mathématique ne peut reproduire. On se trouve donc dans une situation dans laquelle non seulement la théorie de l’effet de serre du CO2 et d’autres gaz est invalidée par les lois physiques fondamentales, le rôle de la vapeur d’eau est considéré comme mineur à tort comme d’ailleurs celui des aérosols. Il paraît donc pour un scientifique non spécialiste du climat que la pression exercée sur les décideurs politiques relève d’un agenda politique déconnecté des réalités scientifiques.

Pour conclure cette réponse adressée à un certain nombre des lecteurs de ce blog je déclare honnêtement que je ne peux pas m’approprier le droit de mettre en cause toutes les décisions prises par les gouvernements, surtout occidentaux, mais bien que n’étant pas un climatologue je suis en droit de contester l’ensemble de la problématique du changement, du dérèglement, du réchauffement du climat d’origine humaine car il s’agit d’une fausse science. Les conséquences sociétales, économiques et financières tant des mesures de « protection » du climat que de la transition énergétique me paraissent plus de relever du dogme, une idée qui ne peut que faire bondir n’importe quel scientifique et j’ajouterai que la science du climat n’est pas du tout figée (« settled » en anglais) comme toute autre discipline scientifique.