Cyclones, typhons et autres ouragans : la panique sciemment organisée

Le mot désignant le phénomène météorologique le plus violent est le cyclone, synonyme de basse pression atmosphérique engendrant un mouvement tourbillonnaire puissant qui peut durer jusqu’à trois semaines. Les Océans Atlantique nord, Indien et Pacifique nord et sud sont le siège de cyclones. Leur rotation est soumise à la loi de Coriolis et elle donc dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère sud et dans le sens contraire dans l’hémisphère nord. L’énergie accumulée d’un cyclone (ACE) est mesurée à l’aide d’une grandeur proportionnelle au carré de la vitesse des vents enregistrées toutes les six heures au cours de la durée du phénomène. Cette vitesse est exprimée en nœuds nautiques soit 1852 km/heure. La somme de ces vitesses mesurées et élevées au carré est ensuite divisée par 10000 pour exprimer plus commodément l’énergie cinétique de l’ensemble du phénomène ( cf. pour plus de détails le lien en fin de billet). Il est en effet plus proche de la réalité d’exprimer cet indice en fonction de la vitesse du vent maximal pour se faire une idée du potentiel destructeur d’un cyclone puisque l’énergie cinétique de la masse de nuages constituant le cyclone est proportionnelle à la vitesse de rotation de l’ensemble. Cet indice a été défini par William Gray de l’Université de l’Etat du Colorado.

Le département de cette Université dédié à la météorologie tropicale dispose des statistiques relatives à cette énergie des cyclones depuis plus de cinquante années et l’examen de ces statistiques est riche d’enseignements. Par exemple en faisant la somme de toutes les énergies des cyclones ayant été enregistrées depuis 1991 dans le seul hémisphère nord et en la divisant par le nombre de cyclones les statistiques de l’Université du Colorado sont en total désaccord avec les prévisions des climatologues qui, de leur côté, ont estimé cette énergie en utilisant des modèles climatiques qui ne reflètent en aucun cas la réalité mesurée :

L’ACE telle que définie plus haut est aujourd’hui mesurée par les satellites d’observation météorologique. Cette somme des énergies mesurées pour chaque mois durant ces années au cours desquels de tels phénomènes ont été enregistrés est moyennée pour chaque mois Elle s’exprime donc en kt2. Inutile de nier que cette ACE stagne en ce qui concerne les cyclones de la fin de l’été qui sont réputés, selon les climatologues, comme étant les plus imprévisibles et les plus dévastateurs. Il en est de même pour les cyclones dans l’hémisphère austral. La même statistique existe depuis 1971 ( http://tropical.atmos.colostate.edu/Realtime/index.php?arch&loc=northernhemisphere ) :

La propagande climatique suggère, mais n’apporte aucune démonstration crédible, que le changement climatique va provoquer des évènements météorologiques dévastateurs comme les cyclones. Or depuis 50 ans il est très difficile, considérant l’ACE des cyclones répertoriés telle qu’elle est calculée à l’Université du Colorado, de considérer qu’il y ait une quelconque augmentation de cette ACE. Ces résultats contredisent donc clairement le concept politique erroné de l’alarme climatique clamant que le monde entier est en état d’urgence climatique ou qu’il traverse une crise climatique dont il est l’instigateur de par les rejets de CO2 dans l’atmosphère. Ces affirmations sont totalement fausses et de surcroit mensongères, la réalité étant toute autre.

Et puisque j’ai l’occasion d’en dire un mot ici, tous les prêches au sujet d’une mise à la diète en énergie, on va en avoir un avant-goût cet hiver en Europe, pour sauver le climat précipitera l’effondrement des pays européens avant toute autre région du monde. Les Européens vont vivre une sorte de répétition générale de l’apocalypse à venir que les Occidentaux ont soigneusement préparé avec par exemple la transition énergétique dont le but initial était le sauvetage du climat. Je souhaite que l’Europe souffre prochainement d’un black-out d’une dizaine de jours. Les décideurs politiques comprendront que leurs prévisions climatiques sont erronées et que leurs choix énergétiques le sont tout autant. Source WattsUpWithThat. Lien :

https://en.wikipedia.org/wiki/Accumulated_cyclone_energy#Calculation

Climat : La peur, toujours la peur …

De même que l’épidémie de coronavirus a été utilisée pour répandre la panique et la peur afin de maîtriser le peuple et lui faire avaler toutes les couleuvres imaginables, de même la psychose climatique est là depuis plus de 30 ans pour alimenter la même panique et instiller dans le mécanisme déjà complexe de la finance internationale encore plus de régulations appelées critères ESG. Ces critères interdisent aux investisseurs disposant de capitaux à la recherche de rentabilité d’investir dans toute entreprise qui, par exemple, dégage du CO2 car ce gaz est mauvais pour le climat … Et quoiqu’il arrive il faut entretenir cette peur auprès du public, des autorités gouvernementales et des entreprises. On en arrive ainsi à un tarissement des financements de la recherche pétrolière et le contre-coup de cet état de fait se concrétisera dans quelques années par un renchérissement considérable de l’énergie carbonée. Comme chacun sait les décisions politiques sont dictées par des idéologues au mépris de toute réalité économique, sociale et plus grave encore scientifique.

Le Time Magazine consacre ainsi un numéro spécial à paraître le 23 mai 2022 dont le sujet est une fonte des glaces polaires et une montée dramatique du niveau des océans atteignant jusqu’à 200 pieds, c’est-à-dire 45 mètres. Selon le Time il est grand temps de prendre les choses au sérieux. Pour les anglophones voici le lien : https://time.com/6174966/north-south-pole-melting-climate-change/ . Et pourtant plusieurs stations scientifiques de l’Antarctique ont enregistré ce dernier hiver austral des températures jamais aussi basses, jusqu’à moins 61 degrés C. Les banquises tant au nord qu’au sud se portent bien, merci. Le passage du nord-ouest n’est plus praticable depuis plusieurs années, quant à la route du nord, longeant les côtes de la Sibérie, elle nécessite des brise-glace en permanence pour qu’elle puisse être praticable, y compris en plein été. Pour les propagandistes du climat c’est difficile à admettre mais c’est un fait : l’étendue des banquises nord et sud se trouve dans la moyenne 1981-2010. En d’autres termes il n’y a pas de fonte notoire des banquises qui d’ailleurs n’affectent pas le niveau des océans. La banquise antarctique montre une stabilité surprenante compte tenu de la propagande réchauffiste incessante :

Alors qui croire ? Les observations satellitaires et sur le terrain ou les journalistes du Time ? Le 24 juin 1974 ce même Time titrait : « Another Ice Age » (https://web.archive.org/web/20060812025725/http://time-proxy.yaga.com/time/archive/printout/0,23657,944914,00.html ). En conséquence il ne faut pas croire aux oiseaux de malheur et surtout pas en ce qu’écrivent des journalistes qui ne savent pas de quoi ils parlent. Le climat est dépendant de deux paramètres : l’activité solaire et la mécanique céleste à laquelle est soumise la planète Terre. Et ces deux paramètres sont indépendants de la volonté humaine. Depuis le Dryas récent l’humanité a parcouru plus d’un dixième de la durée d’un épisode glaciaire et il ne faut pas faire les clowns cette évolution vers un refroidissement du climat est inexorable. Certes la folie humaine peut accélérer ce processus naturel comme par exemple un échange d’engins explosifs nucléaires entre la Russie et les forces otaniennes qui conduirait à un hiver nucléaire dont l’ensemble de l’humanité ne se remettrait pas. C’est sur ce seul point que l’humanité peut durablement modifier le climat, car pour le gaz carbonique il ne s’agit que de conjectures sans aucune évidence scientifique.

Les alarmistes du genre IPCC croient les yeux fermés en la modélisation du climat. Il faut avoir la foi, comme on disait autrefois, pour admettre que tous ces modèles peuvent prédire l’avenir mais il faut reconnaître que leur puissance de prédiction est limitée. Après la période d’accalmie qui suivit la grande vague de réchauffement des années 1930-1940 la modélisation a occupé les esprits et pratiquement aucun modèle n’a été satisfaisant pour décrire la réalité ( https://doi.org/10.1029/2022GL097716 ) comme on peut le constater avec l’illustration ci-dessous :

Pour dire vrai la science climatique actuelle est une fausse science manipulée par le pouvoir politique dont l’objectif est de continuer à terroriser les peuples en présentant des prédictions apocalyptiques, « nous allons tous griller comme des toasts », les ours blancs vont disparaître, les coraux vont mourir, des dizaines de milliers d’espèces animales et végétales vont également disparaître, des villes côtières seront submergées par les flots, la météorologie deviendra chaotique, oui certes des animaux volants vont disparaître avec les moulins à vent qui déciment les oiseaux migrateurs et les chauve-souris, mais quoi de plus ?

La parabole du football

Un match de football met en scène 11 joueurs par équipe. Lors d’un match il y a, disons, 5 remplaçants par équipe. Ajoutons les arbitres, disons 8, et des soigneurs qui ne sont pas visibles pour le public. Il y a donc approximativement 30 personnes qui se démènent sur la pelouse et 10 remplaçants qui font quelques exercices physiques pour se maintenir en forme. Autour de la pelouse il y a 100000 personnes assises qui profitent du spectacle. Ce sont tous des fanatiques de ce sport, ils sont complètement subjugués par le spectacle, ils crient, font du bruit avec des petites trompettes, c’est le délire à chaque action spectaculaire : 40 personnes sont capables de tenir en haleine, de surchauffer cent mille spectateurs. Changez la donne : les 22 joueurs, leurs remplaçants et les arbitres quittent la pelouse, se rhabillent et vont se disperser dans l’anonymat des 100000 spectateurs. Ils deviennent non reconnaissables dans cette foule. Que se passe-t-il alors ? La foule devient muette et elle se désintéresse du spectacle puisqu’il n’y a plus de spectacle.

Mes lecteurs doivent être circonspects surtout en ayant lu le titre de ce billet. Aurais-je perdu la tête ? J’avoue que je ne suis pas du tout un amateur de football et que je préfère de loin le rugby. Je m’explique donc maintenant. Les joueurs, les arbitres et les remplaçants, soit 40 personnes, représentent la teneur en CO2 de l’atmosphère : 40/100000 = 400 ppm. Les 22 joueurs et les arbitres sont capables d’exciter une foule de 100000 personnes d’une manière démesurée. C’est exactement ce qui se passe pour le CO2 : tout le monde en parle en continu, les uns alarmistes, les autres fatalistes et ceux qui veulent réaliser des fortunes avec les énergies nouvelles, de même que les chaines de télévision réalisent des fortunes avec la retransmission des matchs de football.

Quand tous ces acteurs ont disparu, 40 au total, dispersés parmi les 100000 spectateurs, l’hystérie collective retombe instantanément. C’est exactement comme si on dispersait 40 molécules de CO2 dans un mélange de 100000 molécules d’oxygène, d’azote et de vapeur d’eau : il ne se passe plus rien ou si peu. Mais quand ces 40 molécules sont rassemblées elles font la une de toutes les télévisions. Voilà dans une version footballistique ce qui se passe pour le climat : l’opinion se focalise sur les 400 parties par million de ce CO2 présent dans l’atmosphère. Cette opinion a tellement été forgée en répétant sans cesse le même discours que tout le monde a fini par acquiescer sans prendre la peine de réfléchir un instant. La science a toujours progressé avec le doute et la remise en cause des théories et des résultats expérimentaux. Dans le cas du climat, la « science climatique » est restée figée au stade du dogme de l’effet de serre du CO2 d’origine humaine décrété une fois pour toutes. Par conséquent ce n’est plus une science mais une relique du passé.

La propagande climatique a fait de véritables ravages dans les esprits et dans les pays aveuglés par cette propagande qui vont détruire leurs économies dans la poursuite d’une chimère. Par exemple, j’écoutais il y a peu une émissions rassemblant 4 protagonistes autour de Frédéric Taddeï, un des très rares journalistes laissant parler ses interlocuteurs sans les interrompre sans arrêt, au sujet des enjeux économiques de l’eau. L’un des intervenants a sorti son couplet sur les sécheresses qui menaceraient de nombreux pays en raison du réchauffement climatique. Ineptie totale ! Si les températures moyennes augmentaient de 2,5 degrés, ce qui fut le cas lors de l’optimum climatique médiéval, les océans s’évaporeraient plus intensément, il se formerait plus de nuages et il y aurait plus de précipitations donc une végétation plus abondante et même des pâturages verdoyants dans des régions où il n’y a aujourd’hui que des steppes arides à la suite de 6 siècles de climat plutôt froid. C’est précisément ce qui permit à Gengis Khan d’atteindre l’Europe occidentale au XIIe siècle. La propagande climatique est tellement intense que des spécialistes, droits dans leurs bottes, affirment des idioties tout en croyant à ce qu’ils disent. Je déteste le football mais je déteste aussi la fausse science …

La propagande climatique en plein essor ? Depuis déjà longtemps …

En Colombie britannique, plus précisément à Vancouver et dans sa banlieue, un décret datant de 2013 oblige les distributeurs de carburants pour automobiles à apposer un signal sur la poignée que l’on introduit dans le tube de la voiture pour faire le plein d’essence qui précise que l’utilisation de l’essence contribue à changer le climat et par voie de conséquence à provoquer des sécheresses et des famines dans le monde.

Ce n’est pas un hasard si cet exemple de propagande a été noté par des journalistes dans la province de Colombie britannique puisque le mouvement Greenpeace est justement né dans cette province (lien sur ce blog). Il y a deux affirmations erronées sur cette poignée. 1. personne n’a jamais pu démontrer que le CO2 produit par l’utilisation de combustibles fossiles contribuait à « changer le climat ». Je reprendrai ici une comparaison utilisée dans ses exposés par le Professeur François Gervais : dans un stade de 100000 places il y a 40 personnes habillées de noir dispersées parmi tous les autres spectateurs aux tenues colorées. Croyez-vous que qui que ce soit va prêter attention à ces 40 personnes et croyez-vous qu’elles vont influer sur la réaction de toute cette foule ? Il faut être fou pour le croire …

L’autre erreur dont le but est de culpabiliser les automobilistes est d’affirmer que le changement du climat, sous-entendu vers un réchauffement provoqué par l’effet de serre du climat, va provoquer des sécheresses et des famines. C’est exactement le contraire qui se produirait si le climat se réchauffait globalement. Les pluies deviendraient plus abondantes en raison d’un accroissement de la pluviométrie. Les paléo-climatologues, qui sont des scientifiques sérieux, ont bien montré que lors de la dernière grande glaciation qui a concerné en particulier l’Europe le Sahara est devenu un désert en raison d’un déficit considérable de la pluviométrie alors que cette immense étendue de sable et de roches était ponctuée par des lacs et des rivières lorsque le climat était « plus chaud » il y a une cinquantaine de milliers d’années et que l’évaporation des océans était plus intense.

Donc sur ce poignée il y a deux fausses informations. L’automobiliste culpabilisé par cette propagande mensongère a-t-il conscience que sa voiture émet chaque année 0,00000000006 % de la totalité des émissions de CO2 et que la totalité des émissions de CO2 d’origine humaine ne représente que 3,6 % de la totalité de ces émissions en considérant celles qui sont d’origine naturelle, je ne suis pas l’auteur de ce chiffre c’est l’IPCC ( https://www.ipcc.ch/report/ar4/wg1/ ). A contrario si le climat venait à se refroidir alors la situation deviendrait préoccupante. Mais ce ne sera pas encore pour 2021, fêtez donc la fin de cette année dans la joie …

https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/06/24/greenpeace-un-ramassis-de-marginaux-devenu-la-plus-puissante-ong-du-monde/

Les mois de janvier à Augsburg dans le sud de l’Allemagne …

Les mois de janvier à Augsburg dans le sud de l’Allemagne …

Bien que la ville d’Augsburg au sud de la Bavière ait été bombardée par l’aviation américaine le 28 avril 1945 l’abbaye de Saint-Etienne située dans la vieille ville est restée intacte ainsi que sa petite station météorologique située au milieu du grand cloître et à l’abri de la ville environnante qui abrite l’usine de robots Kika et une usine Airbus Industries. Cette station météo est unique au monde et pas seulement en Allemagne car elle est restée inchangée depuis 138 ans c’est-à-dire depuis 1879. Les relevés de température ont toujours été effectués avec deux thermomètres inchangés également, l’un à mercure et l’autre pour les basses températures à alcool.

Un moyen peut-être contestable de visualiser la variation des températures est de réaliser une moyenne des relevés au cours d’un mois (les points noirs pour les mois de janvier dans la représentation ci-dessous) au cours de cette période puis d’exprimer les relevés en dixièmes de degrés par rapport à cette moyenne qui se trouve être de – 1°C. Il ne fait pas terriblement chaud (en moyenne) dans cette contrée en janvier …

Et voilà ce que donne cette représentation :

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Remontons donc dans le temps. À l’évidence les hivers à la fin du XIXe siècle ne furent pas particulièrement « chauds ». Durant cette période l’ensemble des glaciers alpins avancèrent notoirement. Ensuite la première moitié du XXe siècle ne fut pas particulièrement clémente non plus, du moins à Augsburg, et enfin dès le début des années 1970 il est évident que les températures moyennes de janvier sont restées durablement au dessus de cette moyenne générale : il s’agit là de l’optimum climatique moderne. Tous mes lecteurs remarqueront que la moyenne des températures du mois de janvier de l’année 2017 a atteint la valeur inégalée depuis 1963 de moins 8°C. Certes la petite station météo de l’abbaye d’Augsburg n’est pas représentative de l’évolution globale des températures mondiales car elle est sujette à des variations météorologiques locales mais elle est presque unique au monde en termes de pérennité et donc de fiabilité des mesures. Dire qu’à Augsburg le mois de janvier 2017 a été le plus chaud depuis … depuis 20 ans, ce serait tout simplement contredire les observations minutieuses et quotidiennes des moines et ce serait aussi un abus de langage malgré le fait que l’année 2017 a été officiellement déclarée l’année la plus chaude depuis, depuis … :

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Source et illustration : via le blog de Pierre Gosselin, illustration finale : NASA Goddard Institute for Space Studies (GISS) via berkeleyearth.org/global-temperature-2017/

Climat. Le Forum de Davos maintient la pression : retour du « Hockey Stick »

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J’ai pris soin d’enregistrer le lien du document émanant du WEF (World Economic Forum) alias Forum de Davos toujours au sujet du changement climatique d’origine humaine pour ne pas faire nerveux certains de mes lecteurs. Il faut maintenir la pression sur les esprits en particulier sur ceux des politiciens et des financiers car il y a très gros à gagner. Et ce n’est pas un hasard si cette institution basée à Genève comme l’IPCC continue sa propagande presque obscène sur ce sujet en se référant d’ailleurs à des documents qui n’ont rien de scientifique (voir les liens). Les contribuables et consommateurs de kWh apprécieront en constatant que leur consommation d’énergie va leur coûter toujours plus et qu’ainsi ils contribuent en silence à l’enrichissement des riches, eux les pauvres qui n’ont pas droit à la parole. Voici donc la traduction mot pour mot de ce nouveau pamphlet paru le 20 décembre 2017 en liaison avec le site Business Insider qui s’appuie sur une publication récente dans le périodique scientifique Nature que je n’ai pas pris la peine d’aller lire, me limitant à lire quelques-uns des 485 articles scientifiques publiés en 2017 qui nient toute cause humaine dans ce réchauffement que pourtant le Forum de Davos continue à mettre en avant ainsi que la presse main-stream.

« La Terre se réchauffera bien au delà de la limite cruciale fixée par l’Accord de Paris à ne pas dépasser »

« Il y a 2 ans le monde s’est réuni à Paris pour signer un accord remarquable dans le but de mettre un terme à l’augmentation dangereuse de la température. Pourtant une récente étude du groupe de recherche indépendant Climate Tracker nous sommes très loin de la voie permettant de satisfaire le but de l’accord de Paris. Cet accord pousse les nations à diminuer leurs émissions de carbone et de méthane afin d’éviter que la température globale de la Terre augmente de plus de 2°C par rapport aux valeurs préindustrielles. Chaque pays a donc soumis son programme de réduction de ses émissions qui font que l’atmosphère emprisonne plus de chaleur. Mais si tous les signataires remplissent leurs objectifs – et c’est un gros « si » – les températures augmenteront tout de même de 3,2°C par rapport à ces températures préindustrielles à la fin du XXIe siècle selon le dernier rapport de Climate Tracker (voir les liens en fin de billet).

Le Président Trump s’est engagé à retirer les USA de l’Accord de Paris invoquant qu’il nuirait à l’industrie américaine et si les Etats-Unis se retirent de cet accors ce sera le seul pays au monde à le faire.

Qu’est-ce qui pourrait arriver si la planète dépasse la limite de 2°C ?

Selon l’IPCC (lien) si l’augmentation de température dépasse 2 degrés les risques liés au climat comme les incendies, la montée du niveau des océans et les catastrophes agricoles augmenteront. Cette limite de 2°C fut établie en 1970 par un économiste et non pas un climatologue et cette étude (lien) a prouvé son utilité en ralliant la communauté internationale. D’autre part les scientifiques ont insisté sur le fait que des émissions continues pourraient conduire à la fonte totale des glaces du Groenland (lien) au cours des prochains siècles ce qui conduirait à une montée de 7 mètres du niveau des océans submergeant des villes comme New-York ou Miami. Dans certaines régions une augmentation des températures de 2°C pourrait diminuer le rendement des cultures de 25 % et tous ces effets s’accroissent à mesure que la température augmente. Il faut cependant noter que la modélisation du climat est un processus très complexe et qu’en conséquence tous ces effets sont probables mais pas absolument certains.

L’éventuel renoncement des USA aux accords de Paris augmenterait la température globale de 0,3 degrés, toujours selon l’étude de Climate Tracker aux alentours de l’année 2100. Ce rapport note aussi qu’en dépit d’une diminution des émissions de CO2 ces dernières années il est trop tôt pour considérer que les émissions globales ont atteint leur maximum. Cette étude table sur une augmentation des gaz à effet de serre de 9 à 13 % au cours de la décennie 2020-2030 en se basant sur les tendances actuelles. Pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris il faut que d’ici 2020 ce pic soit atteint et qu’ensuite les émissions chutent rapidement.

malgré tout il y a quelques signes positifs. Climate Tracker considère que les politiques énergétiques décidées en 2017 permettent de réduire dès aujourd’hui les prédictions d’augmentation de la température de 0,2 degrés par rapport aux prédictions de 2016. L’Inde et la Chine ont déjà pris des engagements dans ce sens. Néanmoins Climate Tracker constate qu’au cours de la décennie 2020-2030 les émissions de l’Inde et de la Chine augmenteront respectivement de 7 et 51 %. Et ce rapport note enfin que la modélisation climatique est un travail complexe qui comporte une très grande marge d’erreurs. Enfin une étude paru récemment dans la revue Nature (lien) précise que le monde sera plus chaud de 15 % en 2100 que les prévisions de l’IPCC ne le prétendent alors que les travaux de l’IPCC ont servi de base aux Accords de Paris. Ce qui signifie que l’ensemble de l’humanité devra réduire ses émissions encore plus rapidement pour éviter de dépasser le seuil arrêté par les Accords de Paris sur le climat. »

Illustration : figurant dans ce document du WEF dont je n’ai pas pu retrouver l’origine (peut-être issue de l’article de Nature, voir le doi) … Le retour du Hockey Stick !

Source et autres liens :

https://www.weforum.org/agenda/2017/12/earth-will-likely-warm-way-beyond-the-crucial-tipping-point-that-the-paris-agreement-was-meant-to-avoid-634d280d-d2fb-4714-8274-ea952badb08c?utm_content=buffer927ef&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

http://climateactiontracker.org/assets/publications/briefing_papers/CAT_2017-11-15_Improvement-in-warming-outlook.pdf

http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar5/wg2/ar5_wgII_spm_en.pdf

http://pure.iiasa.ac.at/365/1/WP-75-063.pdf

http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar5/wg2/ar5_wgII_spm_en.pdf

http://www.businessinsider.com/climate-may-be-15-warmer-than-previously-thought-by-2100-2017-12

doi : 10.1038/nature24672

Le passage du Nord-Ouest

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Le Crystal Serenity, un bateau de 820 pieds, 13 ponts, six restaurants et des piscines, chauffées pour l’occasion, va tenter de joindre l’Alaska à New-York par le fameux passage du Nord-Ouest ! il s’agit de la croisière la plus périlleuse des temps modernes mais qui va ouvrir à la circulation ce fameux passage, réchauffement climatique oblige. Il faut en effet prouver au monde entier que ça se réchauffe et l’armateur Crystal Cruises, basé à Los Angeles a mis le paquet pour cette démonstration. Le nombre de touristes très spéciaux s’élève à 1089 et ils ont embarqué à Anchorage mardi dernier pour ce périple prévu pour durer 32 jours mais qui risque bien d’être périlleux. Pour parer à toute éventualité le bateau est accompagné d’un brise-glaces et d’un porte-hélicoptère pour évacuer les richissimes écologistes au cas où les glaces l’emprisonnent et qu’il sombre dans les profondeurs arctiques tel une coquille de noix sans valeur. Chaque passager s’est acquitté de la somme minimale de 22000 dollars (120000 en première classe) avec en supplément une prime d’assurance de 50000 dollars au cas où … Le Pentagone, qui scrute avec passion cette aventure réservée à la jet-set, s’est arrangé pour procéder à des manoeuvres de sauvetage dans le grand nord canadien.

Sans parler des quelques cent tonnes d’oxydes de soufre qui seront déversés dans l’atmosphère lors de ce périple ultra-luxueux et les 200 millions de litres d’eaux usées directement rejetées dans des eaux vierges de toute pollution, sans parler non plus du CO2, on ne peut que constater avec une certaine amertume que l’écologie politique conduit à toutes les extravagances.

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L’observation en direct des ours polaires est garantie malgré le fait qu’ils disparaissent en raison du réchauffement. Le bateau fera une brève escale le 27 août à Ulukhaktok dans le grand nord canadien, une bourgade d’à peine 150 habitants mais disposant d’un minuscule aérodrome … au cas où cette croisière totalement idéologique se terminait mal, voire très mal.

Force est de constater que cette histoire de réchauffement climatique ne profite ostensiblement qu’aux riches. D’ailleurs c’était prévu depuis le début de cette mascarade mais personne n’ose encore protester contre cette prise en otage de l’opinion, du citoyen lambda et de son porte-monnaie. Jusqu’à quand cela va-t-il durer ?

Source : slate.com

Crise climatique : la propagande bat son plein !

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L’Organisation Météorologique Mondiale, un organisme onusien basé à Genève ne peut pas décemment contredire les prévisions climatiques apocalyptiques de l’IPCC puisque dans le cas contraire il y aurait comme un désordre au sein des Nations-Unies dans la mesure où l’IPCC est une émanation de l’OMM. L’OMM a donc déclaré le mois de juin dernier le mois le plus chaud depuis le début de l’année 2016 et le quatorzième mois le plus chaud de la série consécutive à l’évènement météorologique El Nino de 2015. Comme l’OMM tient ses informations directement des satellites météorologiques de la NASA, cette dernière agence lui a fourni l’information fatidique : durant les six premiers mois de 2016 les températures ont été de 1,3 degrés C supérieures aux températures moyennes de l’ère préindustrielle (sic) selon l’Agence Reuters (21 juillet 2016, depuis Genève où se trouve l’OMM). Il faudrait demander à des Berlinois, des Parisiens ou des Londoniens ce qu’ils en pensent …

Depuis 70 ans jamais les températures moyennes n’ont pu atteindre celles observées dans les années 1930 :

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Ceci est conforme aux observations réalisées à Lincoln en Virginie depuis l’année 1900 :

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La même agence du « machin » onusien avait prédit que les passages du nord-ouest et du nord-est seraient libres de glace cet été. Pas de chance pour les centaines de bateaux en tous genre des activistes écolo-climatologistes de pacotille, ils sont tous bloqués par les glaces depuis le début du mois de juin !

Comme c’est maintenant le rôle de l’OMM d’alimenter la propagande climatique, il était également prévu qu’en cette année 2016, la plus chaude depuis que James Watt a inventé la machine à vapeur, il y aurait une multitude d’évènements météorologiques extrêmes. Pas de chance, pour le moment le seul événement notoire a été le typhon annoncé comme super-typhon qui est passé au dessus de l’île de Taiwan rétrogradé la veille de son « atterrissage » en catégorie 2. Pour l’instant de par le monde (ce lundi 25 juillet) il y a un seul ouragan vraiment actif (15 N – 125 W) répondant au doux nom de Georgette qui est classé en catégorie 2 et va s’évaporer dans quelques jours dans la région d’Hawaii (illustration en début de billet, source http://tropic.ssec.wisc.edu ). Pour les évènement météorologiques exceptionnels, l’OMM devra revoir sa copie.

D’ailleurs, pour les cyclones, typhons et autres ouragans, il suffit de voir l’illustration ci-dessous qui cumule l’énergie de tous ces évènements depuis 1970. Force est de constater que ces évènements perdent de leur énergie depuis que le Soleil est entré dans une phase durable d’inactivité. N’est-ce pas là la plus évidente démonstration de l’effet direct de la chute récente de l’activité solaire, El Nino ou pas ?

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L’OMM n’en a cure, il faut alimenter la propagande climatique semant la peur dans le peuple qui doit par conséquent occulter les terrifiantes nouvelles géopolitiques et économiques qui affluent de tous les coins de la planète. La peur climatique doit faire oublier aux contribuables de tous les pays (qui seront lourdement mis à contribution pour la cause du réchauffement) les risques de guerre mondiale, la crise économique à venir, le virus Zika, la malaria, les réfugiés, les famines … alors qu’il y a près d’un milliard de chiens de compagnie richement nourris dans le monde, les attentats divers et variés et pourquoi pas les accidents de la circulation et de la route … Autant dire, pour conclure, que l’agence Reuters n’est plus, comme l’AFP, qu’un organisme de propagande vendu au « Deep State » pour qui la crise climatique est une opportunité unique d’asservir l’ensemble des populations.

Sources : Reuters et Sir Christopher Monckton of Brenchley

Le Figaro fait dans la désinformation, ce n’est pas nouveau …

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Il m’arrive parfois, après avoir parcouru les titres, de lire un article du Figaro en ligne. Cet exercice est devenu de plus en plus rare car le Figaro, membre de la presse main-stream française subventionnée par les contribuables, est devenu incolore, inodore et sans saveur, en d’autres termes insupportablement politiquement correct au risque de se voir privé de subventions. Ce jeudi 12 février de l’an de grâce 2015, j’avoue que je suis resté ébahi par le niveau d’idiotie propagandiste qu’a atteint le Figaro qui titre sans retenue :

Le réchauffement climatique perturbe les temps de vols transatlantiques

Naturellement l’article n’est pas signé, décidément il n’y a plus aucune déontologie journalistique dans cette corporation d’écrivassiers d’une ignorance et d’une désinvolture surprenantes comme je l’ai découvert à la lecture de l’article. La première phrase commence par un conditionnel, il vaut mieux, au cas où le réchauffement climatique n’arrive jamais … La lecture devient pour le moins croustillante. Je cite à propos des jet-streams, ces courants venteux violents existant entre 25 et 40000 pieds : « Ce vent d’altitude, qui souffle d’Est en Ouest au dessus de l’Atlantique Nord, est à l’origine du record battu début janvier par un vol 114 de la British Airways. Parti de New-York, le Boeing 777 a rallié Londres en l’espace de seulement 5h16. Ce trajet prend habituellement environ 7 heures et 10 minutes. Ce jour-là, alors que le jet-stream soufflait à près de 400 km/h, l’appareil a flirté avec le mur du son, une première pour un avion de cette catégorie. » Si vous n’êtes pas convaincu relisez une deuxième fois ce passage fidèlement tiré de l’article dont le lien figure en fin de billet. Le journaliste qui a pondu cette pige devait être « à l’ouest » … Il y a un premier lézard : comment un vent soufflant d’est en ouest peut-il contribuer à la vitesse de vol d’un avion volant globalement d’ouest en est. New-York serait-il situé à l’est de Londres ? Le pigiste a lui-même largement franchi le mur du Çon (néologisme tiré du Canard Enchainé) puisque l’avion a en moyenne volé à une vitesse relative au sol et non à l’atmosphère lui-même en mouvement à plus de 1300 km/h. Ce pigiste calamiteux, subventionné, ne sait à l’évidence pas de quoi il parle. Mais qu’à cela ne tienne … Un petit aparté sur l’activité de refueling dans les aéroports de Goose Bay et de Bangor, ça m’a rappelé des souvenirs anciens à l’époque où le jet-stream existait déjà avec probablement la même puissance voire pire encore puisqu’il m’est arrivé de faire escale à Shannon (Irlande) puis Bangor (Maine, USA) pour rallier Paris à Chicago en Boeing 707, il est vrai. Mais à quelques mois d’intervalle j’avais volé dans le même aéronef de Paris à New-York sans escale technique. Cette pige est donc un grand concert de pipeau solo.

Ensuite c’est un florilège de désinformations qui se succèdent. En un an, 

entre décembre 2012 et décembre 2013, la durée moyenne de traversée de l’Atlantique Nord s’est allongée de 19 minutes. Cela suffit pour échafauder toutes sortes d’hypothèses dont justement le réchauffement climatique qui serait la cause première de cet allongement extraordinaire et palpable pour qui aurait en effet un rendez-vous urgent à l’arrivée. Pas en reste le journaliste anonyme en remet une couche en citant, mais il l’a certainement interviewé, après tout il est subventionné par ça, Jennifer Francis de l’Université Rutgers, spécialiste de l’Arctique et donc des ours polaires, climatologue de son état qui déclare, « convaincue », je cite, que « le changement extrêmement rapide, matérialisé par la fonte de la banquise a un impact sur le jet-stream ». C’est à ne plus rien comprendre puisqu’au début de son article ce journaliste, très professionnel puisqu’il confond l’est est l’ouest, il faut déjà le faire, définit « le jet-stream comme un courant d’altitude formé par la différence de température opposant l’Arctique et les tropiques », sic. Si les glaces fondent on est en droit d’imaginer que cette différence de température diminue et par voie de conséquence l’intensité des jet-streams diminue.

Pour se prémunir contre toute bavure journalistique, le pigiste termine son papier en citant un autre « expert du climat », un dénommé James Screen de l’Université d’Exeter qui parle de « certains modèles » qui montrent que la trajectoire du jet-stream « pourrait » changer et que sa vitesse « pourrait » s’accélérer dans un climat plus chaud. Heureusement que ce dernier expert fait preuve de prudence en répondant aux questions de l’AFP, l’Agence Française de Propagande (climatique), que, je cite, « les observations actuelles ne sont pas suffisantes pour dégager une tendance ». On est rassuré ! Il n’en reste pas moins que dans leur fougue idéologique les journalistes de l’AFP en oublient de relire les torchons qui sont repris mot pour mot par des journalistes amateurs trop pressés d’exposer des scoops que les lecteurs abrutis goberont sans même se poser la moindre question. Le temps presse ! Dans 10 mois ce sera la grand-messe de la grande prêtresse de l’Eglise de Scientologie Climatique, je veux parler de Mademoiselle Ségolène Royal et il ne reste que la méthode Coué pour asseoir le bien-fondé de cette énième conférence ultra-coûteuse sur le climat que naturellement les contribuables paieront. Quelle mascarade en perspective !

http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/02/12/01008-20150212ARTFIG00013-le-rechauffement-climatique-perturbe-les-temps-de-vol-au-dessus-de-l-atlantique.php