Depuis que le coronavirus s’est presque évaporé non pas à la suite d’une thérapie génique de masse mais parce que le virus a muté, muté à nouveau et est devenu anodin, au mieux un gros rhume, alors resurgit la crise du réchauffement du climat. On va rôtir comme des toasts, il faut faire quelque chose, c’est urgent. On ressort l’adolescente scandinave, Alexandria Ocasio-Cortez et bien d’autres figures qui prédisent l’apocalypse climatique. Les « experts » de l’IPCC ressortent leurs poncifs éculés et montrent des courbes d’évolution des températures moyennes supposées être fidèles et honnêtes. Malheureusement ces évolutions ont été modifiées pour la grande cause et il faut être totalement intoxiqué par la propagande politique pour y croire.
À la fin des années 1970 un article paru dans la revue National Geographic rappelait fort à propos de que l’on qualifiait à l ‘époque d’épisode tropical qui affecta l’Europe occidentale et l’Amérique du Nord entre 1920 et 1960. De même que ce fut le cas pour la période chaude dite d’optimum climatique médiéval les graphiques d’évolution des températures moyennes ont été manipulés de telle façon que ces optima n’apparaissent plus et que seul le réchauffement moderne est pris en compte. Les fonctionnaires onusiens travaillant à l’IPCC ont en effet reçu comme instruction d’insister par tous les moyens, y compris les plus malhonnêtes, sur ce réchauffement moderne.
Le graphique du National Geographic est pourtant indéniable :

Néanmoins la NOAA, administration américaine dédiée à l’étude des océans et de l’atmosphère publia encore récemment de belles courbes montrant que cet épisode chaud qui prévalut entre 1920 et 1960 n’existe plus si on reporte le nombre de jours, au moins aux Etats-Unis, durant lesquels une température égale ou supérieure à 35°C a été relevée et on remarque que cet épisode chaud n’est plus qu’un petit résidu qui dura à peine dix années :

Enfin le refroidissement qui suivit cette période chaude récente durant les années 1950-1980 a été tout simplement supprimé :

Il s’agit là d’une illustration sans équivoque de la malhonnêteté de ces fonctionnaires mais également de la NOAA. Les conséquences de cette propagande mensongère sont immenses puisque dogmatiquement ce réchauffement est le fait des émissions de CO2 consécutives à l’activité humaine. Plus d’investisseurs pour la recherche de nouveaux gisements de gaz et de pétrole, mise en place de programmes délirants d’énergies dites renouvelables, mesures d’isolation des logements dans le but de réduire le chauffage, mise en place d’un programme dévastateur pour certaines économies nationales consistant à remplacer les véhicules propulsés par des moteurs à combustion interne par des véhicules électriques, et enfin réduction de la part de l’énergie nucléaire dans la production d’électricité, la vieille obsession des écologistes depuis la fondation de Greenpeace.
Pour dissimuler ce mensonge qu’est le dogme liant le climat et le CO2 toutes les mesures relatives à la température à la surface de la Terre sont manipulées pour cacher un mensonge par un autre mensonge. Et cette réthorique mensongère a été tellement souvent répétée qu’elle est devenue une réalité. Les pays occidentaux ont préparé minutieusement leur ruine, la disponibilité en énergie étant l’unique facteur de leur croissance économique.
Qui est l’auteur de cette diabolique machination à laquelle échappent pourtant de nombreux pays autres que ces pays occidentaux en particulier européens ? L’histoire remonte bien avant la création de l’IPCC lorsque Maurice Strong commença à construire une intrigue car il voulait se venger de l’industrie pétrolière. Par un stratagème encore mal éclairci aujourd’hui il organisa sans jamais paraître au grand jour avant le début des festivités la première réunion internationale relative à l’environnement à Stockholm en 1972. Il fut ainsi reconnu par les Nations-Unies comme un fin diplomate. L’apothéose de sa carrière fut l’organisation du sommet international sur la Terre à Rio de Janeiro en 1992. Les débuts très troubles de la carrière de Strong font plutôt penser à un aventurier qui trempa à diverses reprises dans des activités à la limite de la légalité. Toujours est-il qu’il arriva à séduire les grands du pétrole canadien, sans jamais avoir acquis une quelconque formation de géologue ou de chimiste, pour enfin exploiter son entregent et sa rage de séduire afin d’être reconnu comme irremplaçable auprès des instances dirigeantes de l’ONU. On peut qualifier Maurice Strong comme l’un des plus extraordinaires escrocs du vingtième siècle.
De cette soif de vengeance en est sorti l’imposture de l’effet du CO2 sur le climat. Personne n’ose ternir l’image de cet imposteur qui berna jusqu’au Secrétaire Général des Nations-Unies. L’oeuvre dévastatrice de Maurice Strong explique ce que les pays occidentaux traversent aujourd’hui : une crise énergétique qu’ils ont eux-mêmes créé par des décisions dont la motivation sous-jacente était et est toujours la réduction des émissions de CO2, un gaz qui ne représente pourtant que 0,04 % du mélange de gaz de l’atmosphère. Pour illustrer enfin la tendance au « réchauffement » actuel du climat une simple observation contredit toutes les prévisions échafaudées par les spécialistes onusiens : la tendance de la surface enneigée de l’hémisphère nord de la Terre croit depuis cinquante ans :

Les glaciers dans le même hémisphère nord ont cessé de reculer, les ours blancs prospèrent et il serait malhonnête de continuer à réfuter ces faits.
Inspiré d’un article de Tony Heller paru sur son blog.