Le rêve climatique des écologistes se terminera très mal

Une très sérieuse équipe de scientifiques de l’Université de Leeds (G-B) vient de publier une étude détaillant les conséquences sur la population états-unienne pour satisfaire les critères arrêtés lors de la conférence sur le climat de Paris, en d’autres termes pour atteindre la limite « autorisée » de 1,5 degrés du réchauffement du climat. Je rappelle que les fameux accords de Paris sur le climat ne sont pas contraignants et les USA n’ont pas ratifié cet accord. L’étude ( https://doi.org/10.1016/j.gloenvcha.2021.102287) très détaillée peut se résumer en quelques lignes et un graphique et c’est ce qu’a réalisé pour une bonne compréhension The Institute for Energy Research (lien en fin de billet).

Pour entrer dans le rang des bons élèves les Américains devront réduire leur consommation d’énergie de 90 %. Ceci signifie qu’ils ne devront consommer que l’équivalent de 7500 kW/h par personne et par an, c’est-à-dire la consommation actuelle d’un Bolivien aujourd’hui alors que la consommation par personne atteint 80000 kW/h. Ceci signifie aussi que chaque américain devra se satisfaire de la moitié de l’énergie que consomme actuellement un Algérien. La consommation de nourriture et de biens de consommation courante comme par exemple les vêtements devra être également parallèlement réduite. Des études antérieures ont indiqué que pour satisfaire les accords de Paris chaque individu sur la planète entière devra consommer au maximum 18 gigaJoules par an, c’est-à-dire 600 litres d’essence ou encore 5000 kW/h. Ces estimations précises n’ont pas pris en compte les technologies de stockage de l’énergie qui sont considérées comme encore spéculatives.

La signification profonde des accords de Paris sur le climat peut se résumer en quelques mots : nous devrons, nous citoyens de pays jouissant de standards de vie décents, adopter le style de vie d’un Zambien moyen. L’illustration ci-dessus est particulièrement explicite car elle a le mérite de dévoiler le caractère irréalisable du fond de commerce des organisations écologistes, véritable pieuvre qui a envahi le monde politique et l’acculant au pied d’un mur virtuel impossible à franchir. Tout le contenu de ces accords n’est qu’un fatras idéologique totalement surréaliste. Ces idéologues qui se sont emparé de la problématique du changement du climat n’ont pas d’autre solution que de forcer les pays à introduire des politiques de contrôle sévère des naissances. On en revient donc aux vieux rêves malthusiens du Club de Rome, la première graine malfaisante semée à la fin des années 1960 pour réduire l’ensemble de l’humanité en esclavage en introduisant une peur millénariste relative au climat reprise ensuite par Maurice Strong, l’initiateur de l’organisation onusienne IPCC qui inonde périodiquement le monde politique de fausses nouvelles toutes plus alarmistes les unes que les autres.

Sur la base de ces affirmations mensongères ces même organisations écologistes ont obtenu la mise en place des critères ESG qui paralysent une multitude d’opportunités d’investissements en amalgamant toutes sortes d’informations pour la plupart fausses ou non vérifiées. Il faut enfin s’attendre au pire avec l’instauration de la taxe dite « carbone », une autre étape pour détruire irréversiblement la santé des économies occidentales.

Source de l’illustration: https://www.instituteforenergyresearch.org/climate-change/study-what-stopping-global-warming-would-require-of-americans/?__cf_chl_captcha_tk__=pmd_162a5e07f16cb6fe33443805db286e784bfd9a64-1627636440-0-gqNtZGzNAw2jcnBszQfi

Brève. Deux petites histoires vécues

Il y a 4 ans l’une de mes petites-filles défila sur les Champs-Elysées devant Trump et Macron, fière d’arborer son uniforme de jeune Polytechnicienne. En 2022 sa sœur se prêtera au même exercice puisqu’elle vient d’intégrer la même école d’ingénieurs. J’ai dit à ma fille que ce ne serait pas Macron qui siégerait dans la tribune officielle. Je pense ne pas me tromper.

La semaine dernière je me trouvais chez une de mes nièces au sud d’Alicante pour me sortir du marasme qui m’envahit depuis plus de 18 mois. J’ai quitté Tokyo le 16 décembre 2019 et je suis privé, en raison des évènements sanitaires artificiellement amplifiés par les politiciens, de visite auprès de mon dernier fils et de sa petite famille adorable. Et cette privation est d’autant plus pesante que j’aime beaucoup le Japon. Bref, me trouvant dans la ville où habite ma nièce, je lui ai demandé de prendre un rendez-vous avec un médecin généraliste francophone. Je lui ai exposé mes problèmes vécus en 2020, toujours persuadé que j’ai subi une infection par le SARS-CoV-2 à la fin du mois de mars de cette année-là. Il n’a pas eu l’air convaincu mais je n’ai pas insisté. Je lui ai cependant posé une question dérangeante : « Avez-vous fait un peu de bibliographie au sujet de ce virus ? ». Il a été très franc avec moi et m’a répondu qu’il n’avait pas le temps. J’avais cru comprendre, mais je dois être très naïf, qu’un médecin généraliste se doit de se documenter lorsqu’apparaît une nouvelle maladie non pas par curiosité mais pour être mieux armé pour soigner voire sauver ses malades. Ce médecin n’est certainement pas une exception. Je pense que j’ai lu plus d’articles scientifiques relatifs au SARS-CoV-2 que tous les médecins généralistes de France, de Navarre et d’Espagne. Et j’en suis fier.

Ce médecin m’a cependant rassuré (à moitié) en examinant l’état étrange de mon épiderme et concluant qu’il s’agissait probablement d’une maladie auto-immune. Quand je lui ai affirmé qu’il devait s’agir de l’apparition d’anticorps anti-sphingolipides perturbant la membrane basale, un effet secondaire bien identifié de l’infection coronavirale, il a été étonné mais je n’ai pas insisté non plus, constatant silencieusement sa totale ignorance de cette maladie. La visite m’a coûté 50 euros cash … naturellement.

Pass sanitaire, cas contact et autres fadaises : ça va mal se terminer pour le Président Macron

Le gouvernement français fait très fort dans la démagogie afin de faire plier les citoyens en leur ôtant, petite touche après petite touche, les quelques libertés qui leur restent. Nous sommes tous en droit de se poser quelques questions à propos des dispositions prises par le gouvernement français relatives à ce pass sanitaire qui ressemble à s’y méprendre au carnet de civisme chinois. La République française est sur le point de mourir, c’est aussi simple que cela.

Je ne mentionnerai pas les zones de non-droit – il y en a 200 en France – mais de la disparition des voix des représentants élus par le peuple à qui le pouvoir a ôté tout possibilité de contrôle législatif et le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel sont à la botte du pouvoir, du jamais vu en France. La loi relative au pass sanitaire est le point culminant de la volonté du gouvernement français d’asservir l’ensemble de la population. C’est une loi inique, contraire aux principes fondamentaux de la Constitution.

Une pensée m’a traversé l’esprit, comme on a coutume de le dire. Pourquoi le Président de la République a pris une telle décision ? Je pense pour ma part qu’il en a reçu l’ordre (ou le conseil appuyé) directement de Klaus Schwab ou bien du lobby pharmaceutique qui veut encore et toujours réaliser des profits, ou des deux sources citées, le pass sanitaire correspondant parfaitement aux projets de nouvel ordre mondial du Forum de Davos (Agenda ID2020). Faites le calcul : en vaccinant toute la population y compris les enfants en bas âge cela représente 60x2x65 millions d’euros, c’est-à-dire 7,8 milliards d’euros au minimum pour seulement la France alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont toujours interdits en France et dans la plupart des pays européens. Emmanuel Macron se moque de constater que le déficit de la sécurité sociale française a atteint plus de 225 milliards d’euros à la fin de l’année 2020. Il est impensable que le Ministre des finances avoue la vérité aux Français. Et Macron a déjà constitué une petite fortune personnelle avec les pots-de-vin dont il a bénéficié par le passé. Il ne faut pas me faire croire qu’il n’a pas été remercié pour la vente d’Alstom-Energie à General Electric alors qu’il était déjà aux manettes du Ministère des finances puis celle de Latecoere ou encore d’Alcatel division câbles sous-marins, leader mondial de la fibre optique sous-marine devenu scandinave. C’est de la trahison, de la haute trahison …

Ne soyons pas impatients, Macron ne se représentera pas à sa propre succession. Il sait que la CIA a constitué un volumineux dossier à son sujet dans lequel figurent par exemple le fait qu’il ait proposé à l’Allemagne de partager sa force de dissuasion nucléaire et également de partager son siège au Conseil de sécurité de l’ONU, ce qui a profondément déplu à la classe dirigeante américaine, qu’elle soit républicaine ou démocrate. On n’agit pas contre les intérêts des USA. La vente d’Alcatel à Nokia n’a pas du tout été accueillie avec enthousiasme par les autorités américaines. Et puis enfin une dernière raison alimentant l’énervement des Etats-Unis réside dans le fait que les deux EPR vendus à la Chine, 30 % du consortium restant entre les mains d’EDF, ont rendus furieux les Américains car toute la technologie a été transférée en bloc à CGN … et les ingénieurs chinois n’ont pas perdu leur temps : les turbines Arabelle seront dorénavant copiées par les ingénieurs chinois hautement qualifiés, et il y en a des centaines de milliers dans ce pays.

Les mois à venir seront ponctués de rebondissements inattendus. Macron a certainement été prévenu, il devra adopter un profil bas. Brigitte n’a pas vraiment apprécié d’être exclue de son escapade polynésienne. Elle est certainement très meurtrie par le sort qui est réservé à son amie de toujours, Mimi Marchand, qui l’a aidée à promouvoir son poulain d’époux, un peu comme Bernadette le fit avec Jacques en son temps. Chirac est mort, plaise aux dieux d’accueillir son âme (s’il en avait une) mais en ce qui concerne Macron la situation est critique : il va devoir rendre des comptes à la Nation, aux Français qui en ont assez aujourd’hui de ses rocambolesques et imprévisibles décisions.

Grammaire française : petites remarques

Oh oui ! Je sais que la grammaire est une discipline rébarbative qui n’intéresse personne bien qu’une de mes cousines fut agrégée de grammaire française et que toute sa carrière professionnelle fut le résultat de ce diplôme qui peut paraître désuet pour beaucoup de jeunes bacheliers qui savent à peine lire et écrire … N’étant pas moi-même un puriste et je l’avoue, je crois que dans ma prose qui compte maintenant plus de 7000 pages, mon blog, j’ai certainement accumulé un nombre considérable de fautes d’orthographe grossières. En ces jours d’incertitude financière plus que sanitaire, je pèse mes mots, il y a une expression revenant sans arrêt et qui me paraît défier les règles grammaticales les plus fondamentales mais je peux me tromper car je ne suis pas agrégé de grammaire. Il s’agit de l’expression « en même temps ».

Je ne regarde pas la télévision, fort heureusement pour ma santé mentale, mais je parie qu’au cours d’un journal l’un ou l’autre des interlocuteurs présents sur le plateau va utilise abusivement l’élocution « en même temps » agrémentée de plusieurs « effectivement ». J’ai de l’estime pour André Bercoff (SudRadio) mais je suis obligé de constater qu’il use et abuse des deux : « en même temps » et « effectivement ». Napoléon disait que si un de ses interlocuteurs utilisait plus de deux adverbes dans une phrase il ne l’écoutait plus et il avait raison parce qu’agrémenter un propos avec des adverbes signifie que ce propos est vide de sens.

Mais j’en reviens au « en même temps ». Je pense qu’il s’agit d’une faute grammaticale, certes légère, pardonnable, mais une faute tout de même. Il serait plus correct de dire : « dans le même temps ». Loin de moi l’idée de contrarier les physiciens qui considèrent que le temps est une notion impalpable et théorique, inventée pour décrire des phénomènes tels que la chute des corps explorée par Galilée puis Newton. Si on approfondit cette approche il ne peut pas exister de « même temps » car le temps est fugitif : l’avenir, à un instant t, n’existe pas encore et le passé n’existe plus. Il est vrai que ce n’est pas très simple à comprendre mais c’est pourtant la réalité. J’écoute en rédigeant ce billet la sonate pour piano n°22 in F, op.5 de Beethoven, chaque note, dans le même temps, est jouée par l’interprète (Claudio Arrau) et je ne peux pas me résoudre à écrire que le pianiste joue en même temps deux notes avec les doigts de ses deux mains, car il existe toujours une infime différence temporelle dans les notes jouées malgré le fait que Arrau soit un immense virtuose.

Donc, et j’insiste, l’expression « en même temps » n’est correcte ni grammaticalement ni physiquement. Les journalistes qui s’en gargarisent doivent dire « dans le même temps » même si la notion « même temps » n’a aucune signification scientifique, et le « en » doit être banni et a minima remplacé par « dans le » pour des raisons d’esthétique. Peut-être que ces expressions utilisés par les journalistes constituent l’une des raisons pour lesquelles je m’intéresse avec de plus en plus de détachement à l’actualité. La seule information qui ait attiré mon attention est une déclaration de Corinne Lepage qui a affirmé que la France était le pays européen le plus exposé aux conséquences du « dérèglement » climatique, c’est dire à quel point les informations volent bas. Dans la problématique du réchauffement, pardon du dérèglement climatique, c’est du « en même temps » systématique, les ours blancs, merci au CO2, ils pullulent, la grande barrière de corail, merci au CO2, elle ne s’est jamais aussi bien portée, quant aux aléas météorologiques c’est aussi du « en même temps », un amalgame fallacieux, car il y eut toujours par le passé des évènements météorologiques exceptionnels. Pour le climat comme pour la crise coronavirale c’est du « en même temps » systématique … pour semer la confusion dans les esprits.

Au cas par cas, au cas où, cas d’école ou cas de force majeure …

Au cas où il y ait une inflation de nouveaux « cas » de SARS-CoV-2-delta, ce qui va arriver puisque ce nouveau mutant a pris la place de tous les autres virus circulants (90 % en Grande-Bretagne) alors le gouvernement prendra des mesures liberticides au cas par cas.

Au cas où le nombre de morts augmente en raison de cette invasion du mutant delta, ce qui n’est pas le cas car il y a beaucoup de cas mais très peu de morts, alors il faudra imposer la vaccination au cas par cas mais pas seulement car les exceptions, qui comme ont dit confirment la règle, seront ignorées, tout simplement. La dernière innovation du pervers narcissique qui gouverne la France est en effet la possibilité de travailler si on n’est pas muni du sésame qu’est le pass sanitaire mais le salarié ne sera pas payé. Je n’invente rien ! Là se profile le permis de citoyenneté à la chinoise. Il faut tout de même beaucoup de points de perdus dans le système chinois pour en arriver à la perte du salaire. Le pervers narcissique à la tête de la start-up nation française veut transformer la France en dictature en ne faisant plus aucun cas de la démocratie et des libertés individuelles, « Moi Je » l’a dit.

Il reste des cas surprenants dans cette politique sanitaire brouillonne. Le petit monarque installé à l’Elysée a décidé dans sa grande magnanimité de ne pas imposer la vaccination aux policiers et aux gendarmes, c’est un cas d’école qui révèle tout simplement que ce monarque a peur du peuple : il ne faut surtout pas énerver ces deux corporations car elles sont censées protéger le monarque. Pour les pompiers, le cas typique des vaccinés obligatoires, on se demande s’ils se déplaceront pour éteindre l’Elysée en flammes quand la foule sera venue y mettre le feu. J’avoue que j’attends cet événement avec impatience. Si les policiers ne sont pas vaccinés ils peuvent cogner et enfumer les non-vaccinés, c’est devenu maintenant leur principale mission pour aider le pouvoir à transformer la France en un cas de dictature que le monde entier devra admirer. Pourquoi le petit chef de l’Etat français n’a pas prévu en revenant de Papeete de faire une escale à PyongYang plutôt qu’à Tokyo-Narita pour rendre visite à son alter ego pervers narcissique, je veux nommer le cas de Kim Jong Un. Bref, dûment vacciné et protégé par un masque dans la chaleur d’Atuona, après son pèlerinage sur les tombes de Brel et Gauguin, ce dernier ayant envérolé une multitude de Marquisiennes dans sa « maison du jouir », des cas-contact très rapprochés dit-on aujourd’hui, le pervers narcissique en location éphémère à l’Elysée rentrera sain et sauf aux frais du contribuable et mandatera quelques hauts fonctionnaires désoeuvrés auprès de l’UNESCO pour que la totalité de l’archipel des Marquises soit étiquetée patrimoine mondial … Ce bref billet est un cas de pamphlet politique que vous pouvez critiquer le cas échéant.

Pour les cas coronaviraux reportez-vous au blog de Gérard Maudrux : https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/26/le-variant-delta-en-chiffres/ .Mais cette nouvelle forme de panique n’est pas le propre de l’Europe, la Chine, l’Iran, la Malaisie et bien d’autres pays sont submergés par les nouveaux cas, les cas-contact, ce qui fait qu’en tous les cas la situation reste confuse mais pas pour les laboratoires pharmaceutiques qui voient là un cas d’opportunité pour réaliser encore plus de profits, en quelque sorte un cas, une fenêtre d’opportunité …

Nouvelles du Japon : Kodokushi

Alors que les JO se déroulent à Tokyo plutôt bien malgré l’arrivée de fortes pluies qui ne dureront que deux ou trois jours le nombre de vieillards mourant seuls chez eux atteindra chaque jour, dans cette ville, une douzaine dans l’indifférence générale. Le kodokushi (孤独死) ou mort solitaire est bien là et JO ou pas il ne perturbe même pas la population. C’est un phénomène normal. En France, lors des gesticulations gouvernementales pour juguler l’épidémie coronavirale, combien de « vieux » sont morts chez eux ou dans les mouroirs pudiquement appelés EHPAD sans avoir revu leurs proches ? On peut presque dire que kodokushi n’est pas unique au Japon.

Le vieillissement de la population japonaise n’explique pas tout. Si en 2003 il n’y eut que 1451 cas de kodokushi à Tokyo, en 2018 il y eut 3882 kodokushi. Les autorités sanitaires japonaises ont suggéré de munir tous les vieillards esseulés d’un bracelet électronique qui transmets les informations en temps réel et qui autorise le porteur du bracelet à alerter les services d’urgence. Ce sont surtout les sociétés qui louent de modestes appartements qui le réclament car les frais de nettoyage après kodokushi sont considérables … Ça laisse songeur. Cependant la loi japonaise interdit d’imposer ce type d’appareil car il s’agirait alors d’une atteinte aux libertés individuelles, sous-entendu si un vieillard veut mourir seul c’est son droit le plus strict. La situation va donc perdurer. Une analyse de ce phénomène a été réalisée et elle indique bien qu’il touche autant les femmes que les hommes ( https://doi.org/10.1186/s12910-021-00657-9 en accès libre). Pour les curieux voici un reportage très éclairant sur ce phénomène de société :

https://youtu.be/gep6UGZm6h4 , source : BioEdge

Fake-news ou réalité ?

J’ai appris hier 22 juillet que les pseudo-vaccins à ARNm n’étaient pas halal car il contenaient un produit présent dans la viande de porc. Cela ne signifie pas que l’un des composants des nano capsules protégeant l’ARN était préparé à partir de porc. L’information a été présentée dans le journal d’information de TVL. Si cette information est exacte c’est une véritable bombe sociétale en Europe …

Cette affaire me rappelle l’histoire des friandises Aribo qui contiennent (ou contenaient) du collagène de porc.

Le SARS-CoV-2Δ est arrivé !

Ce billet s’inspire largement d’un article du Docteur Gérard Maudrux qui sur son blog réalise des prouesses d’analyses relatives à l’épidémie coronavirale occupant outre mesure les politiciens. Ces tristes individus ont trouvé avec cette épidémie un alibi pour dissimuler la gestion calamiteuse du pays dont ils ont la responsabilité depuis la crise des sub-prime de 2008. C’est à cette date en effet que le système économique occidental a été orienté vers sa destruction inévitable. La pandémie est arrivée à point nommé pour divertir l’opinion publique, restreindre les libertés sous prétexte que le virus rodait afin de prévenir tout mouvement de protestation populaire et ainsi permettre à ces dirigeants politiques de se protéger contre toute accusation de leurs exactions répétées tant sur le plan économique que sanitaire.

Quand tout un peuple est paralysé par la peur de la maladie il est alors totalement malléable et le pouvoir politique s’est libéré de toute contrainte démocratique. Il est maintenant fini le temps où ces peuples exigeaient de leurs dirigeants des explications, il est fini le temps où ces peuples osaient demander à leurs gouvernements de dire la vérité. En France nous ne sommes plus en 1789, les temps ont changé et jamais le Président français ne rendra de comptes ni ses prédécesseurs tant qu’ils seront encore en vie. C’est exactement la même situation en Italie, en Espagne, au Portugal et bien d’autres pays européens.

La Grande-Bretagne qui a bien eu raison de quitter ce panier de crabes qu’est l’Union européenne s’est penchée sur l’évolution récente de l’épidémie. En GB la souche prédominante est le variant delta qui provoque une vulgaire rhinopharyngite et parfois une diarrhée de courte durée sans conséquences graves. Mais toute personne ayant contracté cette souche de virus est alors immunisée contre toutes les autres souches, ou mutants, ou variants, plus pathogènes. Boris Johnson, curieux et intelligent contrairement à la majorité des dirigeants des autres pays européens, a tout de suite compris qu’il n’était plus nécessaire d’emmerder son peuple avec des histoires de vaccins, de distanciation, de masques et d’autres misères du genre pass sanitaire. Les Britanniques sont libres de leurs mouvements !

Le Docteur Maudrux l’a parfaitement exposé dans son article paru sur son blog et il mérite le respect. Il semble que les autorités de santé françaises ne s’abaissent même pas à faire un peu de bibliographie pour se faire une idée de la situation. Ils ne se réfèrent qu’à l’OMS qui comme chacun sait est l’un des organismes onusiens les plus corrompus. Le SARS-CoV-2Δ, beaucoup plus contagieux que ses ancêtres mais bénin, un vague rhume accompagné éventuellement d’une diarrhée passagère, va peut-être constituer l’explication tant attendue de la disparition spontanée d’une épidémie, un fait qui a toujours préoccupé les épidémiologistes et les infectiologues …

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/12/le-top-des-vaccins-contre-le-sars-cov-2-est-sorti-precipitez-vous/

Note. Cette prochaine semaine je séjournerai dans la région d’Alicante et je ne suis pas certain de pouvoir assurer mon devoir de bloggeur aussi fidèlement que je souhaiterais.

Le projet fou d’ITER construit sur du sable ?

Le sable dont il est question dans ce titre dérangeant réside dans le fait que beaucoup de questions et de problèmes au sujet du fonctionnement futur de l’usine expérimentale de production d’énergie par fusion nucléaire ne sont toujours pas résolus. Alors que 22 milliards de dollars ont été déjà investis dans ce projet et que le coût total avoisinera 65 milliards pour un résultat déjà prévu comme médiocre, i y a deux points centraux qui ont été dès la phase initiale de ce projet totalement éludés : l’approvisionnement en tritium d’une part et le remplacement des boucliers de protection de la « bouteille magnétique » confinant le plasma à haute température. La meilleure combinaison pour atteindre une fusion est un mélange des isotopes de l’hydrogène appelés deutérium et tritium. La fusion de deux de ces noyaux produit de l’hélium avec une production d’énergie très importante mais aussi l’apparition d’un neutron également de haute énergie (14 MeV). L’énergie récupérable provient donc de l’énergie cinétique du noyau d’hélium (3,5 MeV) produit et de l’augmentation de la température du bouclier de protection par le bombardement neutronique. Par rapport à la fission d’un noyau d’uranium-235 c’est tout simplement ridicule. L’énergie cinétique des produits de fission, krypton-92 et baryum-141, provoque un fort échauffement des barres de combustible. Les neutrons lents non impliqués dans une autre fission chauffent également l’eau de refroidissement dans le cas des PWR ou tout autre fluide caloporteur. Avec le projet ITER il apparaît donc deux gros problèmes non encore résolus. Combien de jours ou d’années le bouclier de protection des circuits magnétiques supra-conducteurs résistera-t-il au bombardement neutronique intense, principale source de chaleur récupérable du système ? La réponse est très claire : on n’en a aucune idée ! Le simple changement de ce bouclier après par exemple 2 ans de fonctionnement satisfaisant, c’est-à-dire en récupérant plus d’énergie qu’il n’en faut pour créer le tore de plasma à très haute température, provoquera la production de 3000 tonnes de déchets radioactifs. Cette technologie n’est donc pas du tout propre comme la propagande le prétend.

Mais il y a un autre problème très préoccupant. Du deutérium il en existe dans l’eau de mer, la production d’eau dite lourde ne pose pas de problème et l’électrolyse de l’eau lourde produit du deutérium. Pour le tritium c’est une toute autre histoire. La plus grande usine au monde de retraitement des combustibles nucléaires provenant de toute une série de pays clients à la Hague en France évacue dans la Manche 11000 Tbq (tera Becquerel) chaque année soit environ 40g de tritium ! On ne va pas très loin avec de telles quantités, environ 120 litres sous forme gazeuse. L’autre technique de production de tritium consiste à bombarder l’isotope léger du lithium (Li-6) présent dans la nature avec des neutrons. C’est économiquement abordable mais complexe à mettre en œuvre. J’ai parcouru le site www.ITER.org mais ces problèmes pourtant majeurs ont l’air d’être résolus puisqu’ils ne sont mentionnés nulle part. J’émets tout de même quelques doutes mais je peux me tromper. Quand on sait qu’avec des surrégénérateurs valorisant l’uranium-238 l’ensemble de l’humanité peut disposer d’électricité à un prix abordable pendant des milliers d’années pourquoi gaspiller des fortunes pour un projet qui risque bien de se terminer par un fiasco total. D’ailleurs les Américains, contributeurs à hauteur de 9 % dans ce projet commencent à se poser de sérieuses questions …

Brève. Quatre-vingt années plus tard …

Dans quelques semaines il y aura deux sortes de citoyens en France, ceux qui auront coûté une soixantaine d’euros par injection à la sécurité sociale (il en faut deux voire bientôt trois, faites le calcul) en se faisant polluer par un morceau d’ARN messager supposé protéger les cobayes humains d’une infection virale, cobayes transformés en organismes génétiquement modifiés. Pourquoi Greenpeace ne s’est pas insurgé contre cette pratique alors que cette organisation a dénoncé la dangerosité des plantes transgéniques pendant des années. Si ce ne sont pas des épinards mais des êtres humains Greenpeace trouve cela normal. C’est renversant ! On assistera donc bientôt à une sorte ségrégation des citoyens comme ce fut le cas en Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid. Serons-nous obligés d’avoir une petite estampille jaune représentant le coronavirus sur le revers gauche de notre veste ?

Emmanuel Macron vient de se vêtir de l’uniforme du Maréchal Pétain, l’homme qui institua une ségrégation entre les citoyens français dans le pays qui écrivit pourtant la déclaration des droits de l’homme. Quand la police, curieusement exemptée de ces mesures bafouant les libertés fondamentales des citoyens, charge des manifestants protestant contre les mesures prises par le gouvernement français on peut se demander si ces chevaliers couverts d’armures en matériau composite n’ont aucune espèce de conscience de ce qui se passe dans leur propre pays ou alors ils ont subi un véritable lavage de cerveau sur ordre du ministre de l’intérieur, de la sécurité intérieure « quoiqu’il en coute ». Les Français comme votre serviteur qui refusent d’être transformés en organismes génétiquement modifiés vont bientôt être traités comme les Juifs sous le régime totalitaire qu’acquiesça Pétain en 1940.

C’est très grave ! Les sbires de ce nouveau Pétain sont Karine Lacombe, Laurent Alexandre, Delfressy, ce freluquet de Véran qui ne sait pas de quoi il parle et cet obséquieux d’Attal nommé « politicien d’avenir » par le Club de Davos …, et, bien que les moyens audio-visuels modernes n’existaient pas en 1940 la propagande du régime de Vichy était tout aussi efficace que celle de TF1, A2, BFM, Le Monde, le Quotidien et une multitude d’autres canaux d’information (tous subventionnés par les contribuables) qui répètent la même chanson tous les jours et celle-ci se décrypte ainsi : il faut enrichir les labos pharmaceutiques, quoiqu’il en coûte pour votre santé, car ils ont acheté tous les pantins, y compris Macron, qui oeuvrent pour cet enrichissement qui a piétiné toutes les directives de l’éthique médicale la plus élémentaire ainsi que la Constitution elle-même. L’heure est grave, le totalitarisme est à notre porte et si personne ne réagit car il nourrit une angoisse injustifiée concernant sa propre santé alors l’avenir de la France est vraiment compromis. Des heures encore plus sombres que celles du régime de Vichy sont à notre porte. Je voudrais ajouter pour me soulager de ma très mauvaise humeur qu’en 1940 si on était juif on était un ennemi du peuple, aujourd’hui en 2021 si on n’est pas vacciné on est un ennemi du peuple. Ce parallélisme idéologique parfait est très inquiétant et montre à quel point Emmanuel Macron est devenu en réalité mégalomane.