Brève : climat à Tokyo ce 28 avril 2019

DSCF6475.jpg

En ce dimanche 28 avril, à zéro heure et quelques minutes la température extérieure est de 6,8 degrés.

Soit il s’agit d’un effet pervers du réchauffement climatique d’origine humaine, soit il s’agit d’un complot de Vladimir Poutine puisque les vents arrivent directement de Sibérie.

Le muguet du petit jardin de mon fils avait pour habitude de fleurir quelques jours avant le premier du joli mois de mai. En cette année du cochon dans le calendrier bouddhiste, il ne fleurira qu’avec au moins deux semaines de retard. Par contre les cerisiers ont fleuri très légèrement en avance mais leur floraison a anormalement duré en raison des vagues de froid répétées, conséquence directe du réchauffement climatique … Illustration : en arrière plan un fruit de pandanus cueilli à Ishigaki Jima

Je suis un « climato-hérétique » et fier de l’être !

Capture d’écran 2019-01-04 à 20.57.36.png

Le changement climatique aussi appelé réchauffement climatique d’origine anthropique est une croisade religieuse. Les médias, les prêcheurs religieux dans les églises et les temples, les écoles, les entreprises et les gouvernements insistent tous sur le fait que quelque chose de dangereux nous menace et qu’il faut agir vigoureusement.

Toute personne osant s’opposer à cette doctrine est considérée comme hérétique. En d’autres temps elle aurait été brûlée vive sur la place publique. Aujourd’hui les « climato-sceptiques » (dont votre serviteur fait partie) restent confinés dans des moyens de communication confidentiels. Certains d’entre eux ont été quasiment injuriés lors de présentations publiques et d’autres ont été forcés de renoncer à leur intime conviction pour pouvoir encore bénéficier des subsides publics afin de tout simplement survivre quand il s’agissait d’universitaires. Il apparaît donc vraisemblable que les climato-sceptiques représentent une minorité nageant contre la marée tout en étant scrutés de toutes parts par des médias qui les désapprouvent et que pourtant ils contredisent avec leurs arguments.

Ceux qui osent penser indépendemment de l’opinion généralement admise n’ont pas nécessairement besoin d’obtenir l’approbation de cette même opinion qui s’épanche quotidiennement dans les journaux comme le New-York-Times, The Guardian, La Tribune de Genève, l’Asahi Shimbun ou Le Monde dans les lignes desquels ils sont villipendés tous les jours de l’année. Il y a cependant une différence essentielle entre un entourage médiatique qui est fondamentalement hostile et une minorité favorable aux opinions de ces sceptiques. Et pourtant, normalement en tous les cas pour ces médias, d’autres minorités sont respectées comme par exemple les minorités religieuses, ethniques, raciales, sexuelles et bien d’autres. En 2018 le Prix Nobel d’économie Paul Krugman a déclaré dans un éditorial du Times du haut de son aura de nobélisé d’économie que les climato-négationnistes étaient tous des dépravés.

Cet illustre personnage a soigneusement évité de prononcer le terme sceptique en choisissant plutôt l’émotionnel. Pour lui, on ne peut pas mettre en doute ses clartés d’analyse, déclarer que quelqu’un est un négateur du changement du climat est synonyme d’une tentative délibérée d’instiller une dose de doute dans les prédictions totalement erronnées et non fondées de l’IPCC sur l’avenir de populations qui ont pourtant dans un passé récent souffert de massacres massifs en raison de conflits principalement fomentés par les Etats-Unis. Ça laisse rêveur … Dans la même veine Ellen Goldman, une fameuse éditorialiste américaine, avait déclaré il y a une dizaine d’années que ceux qui nient le changement climatique sont assimilables à ceux qui nient l’extermination des Juifs par le régime nazi.

Capture d’écran 2019-01-06 à 11.01.45.png

Krugman insiste aussi en déclarant : « Il n’y a pratiquement aucun climato-sceptique de bonne foi, ils ne sont que des opportunistes motivés par leur ego et leurs ressentiments« . Quelle honte ! Cet individu, tout prix Nobel qu’il soit, méprise tout simplement les centaines de millions de personnes de par le monde qui nient en privé ou publiquement la politique engagée par leurs gouvernments au nom du changement climatique. En 2009 ce même individu accusa les climato-négationnistes de traitres envers la planète et en 2013 il déclara que « ils méritent d’être punis après leur mort pour leurs fautes presque inimaginables » (sic). On se trouve ici dans un contexte quasiment religieux extrémiste, une sorte de bigoterie outrancière. Krugman s’est comporté comme un enfant qui tape du pied en hurlant que quiconque n’est pas d’accord avec lui est un misérable.

Dans d’autres circonstances de la vie quotidienne on s’efforce de traiter les minorités avec respect et courtoisie. La majorité des peuples est convaincue qu’il y a beaucoup d’autres problèmes plus urgents que le changement du climat à prendre en considération et qui pensent que les politiciens ont fait un usage abusif et dévié de la science à leur profit bien que convaincus, néanmoins, que d’autres prédictions apocalyptiques par le passé n’ont jamais été vérifiées.

Je fais partie des climato-sceptiques, je sais que je fais partie d’une minorité exposée à la vindicte populaire soutenue par le pouvoir politique et je suis fier de l’assumer tout au long des lignes des billets de ce blog.

Inspiré d’un article de Donna Laframboise, journaliste canadienne (nofrackkingconsensus.com)

Réchauffement climatique global : James Hansen jette un pavé dans la mare !

Capture d’écran 2018-07-08 à 18.57.25.png

Comme je l’ai relaté sur ce blog il y a 30 ans James Hansen (Goddard Institute (GISS), NASA) fut invité à présenter ses travaux sur l’évolution du climat au Sénat américain. Les doutes s’accumulent, aujourd’hui, dans la communauté scientifique au sujet de ce réchauffement tant attendu et presque espéré par divers groupes financiers mais qui ne se concrétise toujours pas et Hansen vient de parler et ses confidences vont faire beaucoup de bruit ! L’audition devant le Sénat américain fut organisée en 1988 par le dénommé Al Gore, alors sénateur de son état, pour produire des modèles scientifiques basés sur divers scénarios qui pourraient impacter le climat de la planète.

Selon Hansen Al Gore prit les données relatives au « pire scénario » et les transforma pour les renommer « réchauffement global », ce qui lui permit par la suite d’amasser une fortune se comptant en dizaines de millions de dollars. Toujours selon Hansen le modèle qu’il avait appelé « scénario B » ne prenait pas en considération un certain nombre de facteurs critiques et il était loin d’être le reflet du monde réel. Néanmoins Al Gore ignora sciemment ce détail et il organisa une véritable campagne d’intoxication qui trompa des centaines de millions de personnes dans le monde. Hansen a reconnu que son scénario B n’avait pris en compte que le gaz carbonique intervenant dans ce qu’il avait appelé le forcing radiatif, une notion qui, depuis, a été largement remise en cause par de nombreux spécialistes de l’atmosphère. De plus le scénario B de Hansen incluait également les CFCs et le méthane dont les effets sur ce forcing radiatif furent également largement surestimés à l’époque. De plus Hansen a admis qu’il avait négligé d’inclure les effets du phénomène cyclique El Nino sur les températures globales enregistrées ce qui le conduisit à formuler des prédictions totalement erronées.

Hansen vient donc de faire amende honorable et a reconnu qu’il n’était pas l’auteur du « réchauffement climatique » comme le monde entier l’a reconnu mais que les manipulations subséquentes d’Al Gore, soutenu par le monde politique, relevaient de la pure fiction. Ce dernier point a été parfaitement exposé par le Docteur Ross McKitrick, Professeur d’économie à l’Université de Guelph et le Docteur John Christy, Professeur de sciences de l’atmosphère à l’Université de l’Alabama à Huntsville. Comme l’ont reconnu ces deux personnalités toutes les observations contredisent les prévisions alarmistes pour ne pas dire apocalyptiques d’Al Gore. McKitrick fut aussi considéré comme l’instigateur du « réchauffement climatique » et il a également reconnu ses erreurs d’appréciation largement influencées par l’orchestration planétaire de la propagande « réchauffiste ».

Capture d’écran 2018-07-08 à 18.56.58.png

Finalement toute cette histoire de climat est, comme disent les anglo-saxons, un « hoax », en français un canular, qui aura coûté et coûtera encore des centaines de milliards de dollars ou d’euros à tous les contribuables de la planète et en particulier des pays de l’OCDE directement concernés par les accords frauduleux dits de Paris-COP21, qui aura forcé des centaines de milliers de scientifiques à mentir et des dizaines de milliers de politiciens à profiter de cette opportunité pour asseoir leur pouvoir sur les peuples et enfin à d’innombrables ONGs qui se sont engouffrées dans cette problématique pour réaliser des profits monstrueux tout en endoctrinant les populations de façon mensongère. C’est la plus grande « fake news » de la fin du XXe siècle aux conséquences désastreuses et durables.

Il restera à constater si les médias contrôlées par de grands groupes financiers de par le monde vont rendre publique cette information car les enjeux financiers sont tellement importants et planétaires, un « canular » tellement bien inculqué dans les cerveaux de tous les citoyens de tous les pays, et chez les enfants dès l’école primaire, alors il faudra beaucoup de mois sinon d’années pour que les contribuables finissent par se rendre compte qu’ils ont été roulés dans la farine et qu’ils mettent à la retraite tous les politiciens qui les ont abusé, sans oublier les banquiers qui profitent à outrance des naïfs qui ont choisi de placer leur épargne dans les obligations « vertes » (voir un prochain billet sur ce blog). Tous les politiciens et leurs soutiens privés, je pense à diverses associations, devront un jour rendre des comptes aux peuples. Merci Al Gore …

Sources : https://www.westernjournal.com/ct/researchers-father-of-global-warmings-theory-devastated-by-actual-data/ http://dailycallernewsfoundation.org/2018/07/03/far-from-settled-another-analysis-shows-the-godfather-of-global-warming-was-wrong/

et sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/06/23/il-y-a-30-ans-le-rechauffement-gorebal-dorigine-humaine-du-climat-etait-officialise/

Illustrations : James Hansen, Ross McKitrick (source : principia-scientific.org)

Réchauffement climatique : Le Japon gèle !

IMG-7109.JPG

Après un lundi de neige en début de semaine – jusqu’à 35 centimètres par endroit – la température a chuté à Tokyo atteignant moins dix degrés dans certains quartiers de la lointaine banlieue. Mon fils puiné habite Tokyo à 25 minutes en train du centre-ville si on peut dire qu’il y a vraiment un centre-ville dans cette immense agglomération. Il a eu la douloureuse surprise de constater que les canalisations d’eau extérieures de son système de chauffage avaient gelé dans la nuit de mardi à mercredi. Un désastre !

Tokyo est situé à la latitude d’Alger et tout près de l’Océan alors il est rare qu’il neige aussi abondamment (illustration : le jardin de mon fils lundi soir) puis que les températures chutent aussi bas : du jamais vu depuis 48 ans ! Et l’hiver n’est pas terminé.

Cet évènement météorologique est probablement la conséquence du réchauffement climatique d’origine humaine. Sans autre commentaire.

Avis à mes lecteurs

Capture d’écran 2017-10-29 à 11.28.50.png

En raison du réchauffement climatique global d’origine humaine le typhon Saola, le deuxième en une semaine sur le Japon, arrivera vers Tokyo durant l’après-midi de ce mémorable dimanche 29 octobre 2017. Il fait un temps à ne pas mettre le nez dehors et mon cerveau surchauffé, bien que la température extérieure ne soit que de 14 degrés, n’est pas capable d’écrire un quelconque billet. Rendez-vous demain lundi pour d’autres péripéties …

Le « réchauffement climatique » a bon dos !

Cette semaine Macron a fait un discours percutant au G20. Il a déclaré que le terrorisme était une conséquence directe du réchauffement climatique. Si on suit son analyse, les réfugiés qui affluent de Syrie, de Libye et d’Irak sont des « réfugiés climatiques » alors qu’ils fuyaient tout simplement les zones de guerre, des guerres fomentées par les Américains et la CIA avec l’honteuse complicité des pays de l’OTAN et pour la Libye avec l’aide très spéciale de Sarkozy. Macron, un affidé du Club de Bilderberg, n’a pas pu s’empêcher de faire cet amalgame invraisemblable car il faut bien qu’il répande la propagande climatique, l’une des préoccupations majeures de ce club d’ultra-initiés, je veux parler de Bilderberg, qui a organisé en très grande partie cette paranoïa relative au climat car il y a gros à gagner pour l’élite mondiale, les 0,1 % dont Macron fait maintenant partie.

Quant aux « printemps arabes » ils furent le résultat d’une soudaine augmentation des cours mondiaux du blé qui n’avaient strictement rien à voir avec le climat. Des mécontentements populaires furent alors exploités par la CIA avec l’aide d’ONGs qui ne cachaient même pas leur affiliation à cet organisme américain et il en résulta ce que l’on sait : la mise en place de groupes terroristes en Libye s’opposant à Khadaffi, un fait qui fut notamment exploité par BHL et repris par Sarkozy pour bombarder Tripoli et assassiner le « Colonel ». Et en Egypte comme en Syrie ce furent des scénarios sensiblement identiques mais Assad se rebiffa – il fallait donc détruire la Syrie par d’autres moyens pas très légaux – alors que l’Egypte est devenue ensuite une dictature militaire avec le soutien de la CIA et ainsi un vassal de Washington. Tout ça parce que le climat se réchauffe, selon Macron …

Macron nous prend tous pour ces cons uniquement bons à payer des taxes :

https://mobile.twitter.com/BFMTV/status/883694855662297089/video/1

Crise climatique : le hiatus vraiment embarrassant

Capture d’écran 2017-06-13 à 18.56.02.png

Incroyable mais vrai des climatologues inféodés à l’IPCC – car il leur faut justifier des demandes de crédits de recherche et donc être en accord avec la théorie de l’effet de serre – viennent de reconnaître que les lois de Stefan-Boltzmann étaient trop complexes pour être appliquées à l’effet de serre, rien que ça !!! Ce sont trois spécialistes du climat de l’Université de Nanjing en Chine qui l’affirment tout en constatant que la température moyenne globale de la Terre ferme n’a pas significativement augmenté depuis 1992 ! Il suffit de l’illustration ci-dessus pour être maintenant persuadé que toute cette histoire de réchauffement est une vaste fumisterie organisée par les puissances financières de l’ombre pour organiser une mise à sac des pays riches – les contribuables et les consommateurs – en mettant en place le plus légalement possible toutes sortes de taxes pour expier nos fautes de bipèdes trop peu vertueux.

En examinant les trois graphiques représentant l’évolution de l’anomalie de l’effet de serre, il faut y croire pour comprendre que les paramètre Gsa et Gaa décrivent l’anomalie de l’effet de serre et quand ce n’est pas conforme aux modèles de l’IPCC, c’est alors une anomalie, trop simple … Il est facile de remarquer que les océans, compte tenu de l’inertie thermique de l’eau, ont continué à se réchauffer depuis 1992. Quant à la surface terrestre le graphique présenté a tendance à brouiller les esprits puisque la référence est différente des deux premières représentations. La résultante globale (graphique du haut) est un très léger réchauffement se traduisant par un dissipation de 0,2 watt/m2 en 22 ans soit 9 milliwatts/m2 d’augmentation par an … Malgré toutes ces évidences les tenants du réchauffement climatique vous affirmeront qu’à brève échéance on va tous griller comme des toasts.

Mais au fait, où se trouve dans ces graphiques l’effet de serre si on met en parallèle cette évolution et l’énergie provenant du Soleil qui est en moyenne d’environ 1350 W/m2 dans l’espace intertropical ? Une différence aussi infime justifie-t-elle l’alarmisme international depuis que le Président américain a dénonçé l’accord de Paris sur le climat ? Encore une fois il s’agit d’une histoire de gros sous montée en épingle par des scientifiques, dont je mets en doute l’intégrité, pour préserver leur gagne-pain suivant en celà des milliers d’organisations parasites et d’entreprises trop promptes à réaliser des bénéfices éhontés avec des fonds publics généreusement distribués par des copains politiciens piégés par l’idéologie anti-scientifique de l’IPCC.

Source et illustration : Nature scientific reports, doi : 10.1038/srep33315

Capture d’écran 2017-06-17 à 17.53.04.png

Selon les dernières nouvelles une expédition internationale au nord de la Baie d’Hudson, BaySys, d’un coût annuel de 4 millions de dollars est immobilisée dans une banquise de 5 mètres d’épaisseur, invraisemblable au milieu du mois de juin puisque le climat est censé se réchauffer ! Les brise-glace canadiens ont eu fort à faire en secourant dans la région des pêcheurs car cette expédition ne fait pas partie de leur priorité. En attendant, ces activistes restent bloqués au milieu des glaces. Sans blague de ma part l’embarcation s’appelle « The Ship of Fools III », littéralement le bateau des fous. Espérons qu’ils finiront par se poser quelques questions pertinentes en attendant que la banquise fonde, il serait temps … (source et illustration : breitbart.com le 17 juin 2017)

Réchauffement climatique : encore un délire (suisse) !

Capture d’écran 2017-06-02 à 19.55.56.png

Comme chacun sait puisque les médias main-stream le répètent depuis maintenant plus de 20 ans (et qu’il faut les croire sur parole), c’est le CO2 produit par la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui est responsable du réchauffement climatique global. Nous sommes donc tous coupables et devrons nous repentir avant de griller comme des toasts. Cette stratégie de la peur et de la culpabilisation a été très bien rodée par la chrétienté pendant des siècles : nos ancêtres achetaient des indulgences pour la paix de l’âme et c’est ainsi que le Vatican a accumulé dans ses caves des richesses extravagantes. À ce propos une de mes amies ayant un passeport diplomatique a pu visiter ces caves, brièvement, et ce qu’elle a retenu est qu’on se croirait à Fort Knox en plus grand. En ce qui concerne cette histoire de climat, montée de toute pièce et basée sur des mensonges au mépris des lois les plus fondamentales de la physique, il s’agit comme le fit le Vatican durant des siècles d’enrichir les riches au détriment des moins riches et des pauvres en les assénant de taxes diverses pour soit disant sauver le climat. Les relents malthusiens mis en avant par le Club de Rome et ouvertement repris par le Club de Bilderberg contribuent également à amplifier cette culpabilisation globale car si l’humanité produit trop de CO2 c’est tout simplement (aussi) parce que la croissance de la population est devenue hors de contrôle. Réduire la consommation d’énergie, juguler la croissance de la population et par voie de conséquence appauvrir l’ensemble de l’humanité pour le plus grand profit d’une élite qui prépare déjà la mise en place d’un système totalitaire au niveau planétaire, tel est en réalité l’objectif jamais clairement avancé de toute cette histoire de climat.

L’homme n’y est pourtant pour rien, ce ne sont pas quelques ppm de CO2 de plus ou de moins (voir un billet précédent sur ce blog, lien) qui modifieront quoi que ce soit dans l’évolution du climat car c’est le Soleil et seulement le Soleil dont l’activité fluctue au cours du temps qui influe sur le climat de la planète Terre. C’est pourtant dans ce registre des « parties par million » que s’est lancée l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich en concevant un projet en tous points délirants de capture du CO2 atmosphérique dans la ligne de la plus pure idéologie climatique. La société Climatworks basée également à Zürich travaille pour le climat comme son nom l’indique. Elle a construit une usine de captage du CO2 directement dans l’atmosphère, un challenge auquel aucune autre société n’a voulu s’attaquer tant la rentabilité de ce processus est dérisoire. Rendez vous compte : en une année cette usine captera 900 tonnes de CO2 atmosphérique soit à peu près ce que produisent 200 voitures roulant tous les jours durant la même année. Que faire de ce CO2 ? Il servira à enrichir en ce gaz nullement toxique des serres pour accélérer la croissance de plantes (illustration).

Que certaines sociétés s’intéressent à la capture de CO2 à la sortie des cheminées d’une centrale électrique à charbon ou à gaz, c’est une chose, mais aller capter le CO2 directement dans l’atmosphère de la campagne en est une autre ! Selon cette société, pour capturer 1 % de tout le CO2 atmosphérique – soit 4 ppm – il faudrait installer 250000 usines de ce genre dans le monde. Le coût de capture du CO2 atmosphérique a été estimé à 1000 dollars/tonne soit plus de dix fois le prix de capture du CO2 sorti des chaudières d’une centrale électrique.

Comme l’industrie (hors production d’électricité), le chauffage et les transports engloutissent 60 % de l’ensemble de l’énergie primaire, quand devra-t-on équiper les véhicules automobiles consommant de l’essence d’une sorte de pot catalytique piégeant le CO2 ? Combien coûteront un tel équipement et sa régénération périodique ? Car un jour ou l’autre chacun devra payer une taxe proportionnelle à ses émissions personnelles de CO2, espérons-le hors respiration, c’est inéluctable selon la politique surréaliste de sauvetage du climat. Quant aux voitures électriques – avec ou sans chauffeur – il faudra les alimenter en énergie : que de l’énergie propre ? Il ne faut pas rêver …

Source et illustration : Science magazine

Relire aussi : https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/03/30/crise-climatique-les-derniers-rales-delirants-de-la-bete-immonde-5/

Note 1 : Le concept d’effet de serre du CO2 fut introduit au milieu des années 1980 (DOE/ER 0237 de décembre 1985) dans une note émanant du département de l’énergie américain par F M Luther et R G Ellington. Il s’établit alors un large « consensus » promouvant la véracité de ce concept qui fut ensuite largement utilisé dans les divers rapports de l’IPCC. Un « consensus » ne signifie en aucun cas une preuve scientifique et la validité de la théorie de l’effet de serre a été largement contestée. Relire également sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/01/17/reflexion-sur-la-theorie-de-l-effet-de-serre/ et https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/09/19/changement-climatique-episode-8-quest-devenue-lintegrite-des-scientifiques-climatologues/

Note 2 : Le coût global des Accords sur le climat de Paris est estimé à 80 000 milliards de dollars soit 10000 dollars par habitant de la totalité de la planète pour atteindre en 2025 les objectifs fixés par cet accord … Le délire technologique suisse fait partie de ce gaspillage monstrueux !

Note 3 : Pour rappel, la Suisse a décidé lors d’une votation récente l’abandon de la filière nucléaire, suivant ainsi l’ineptie politique de l’Allemagne.

 

Brève : Donald Trump a dénoncé l’accord sur le climat de Paris

Capture d’écran 2017-06-01 à 23.09.13.png

Depuis maintenant deux ans je dénonce le caractère odieux de l’accord sur le climat mis au point lors de la COP21 qui eut lieu à Paris. Ni la Chine, ni le Japon, qui a violé le protocole de Kyoto depuis le grand tremblement de terre du 11 mars 2011, ni enfin des pays comme l’Arabie Saoudite ou le Qatar ne peuvent respecter cet accord inique et inapplicable. Il faut enfin reconnaître que l’économie américaine ne peut se passer ni de pétrole ni de gaz ni de charbon et c’est cet argument qui a conduit sagement le Président américain à dénoncer cet accord. Sans énergies fossiles l’économie américaine serait vouée à une mort certaine. Madame Merkel qui oeuvre pour ruiner l’économie allemande en optant aveuglément pour les énergies renouvelables en a profité pour cracher son venin en déclarant que cet accord sur le climat était essentiel ! Essentiel, mais c’est bien sûr ! Tout simplement pour accélérer la main-mise sur le peuple par les forces occultes de l’argent qui, seules, sont les principaux bénéficiaires de cet engouement pour les énergies renouvelables, l’enfant chéri des écologistes qui vivent des mensonges récurrents de l’IPCC organisés par cette mafia gravitant autour du club de Bilderberg, de Greenpeace et de bien d’autres organismes. Merci Monsieur Trump !

Source et illustration : AFP

Manger du pain : c’est mauvais pour le climat !

Capture d’écran 2017-04-06 à 17.36.01.png

En Grande-Bretagne, pays où a été réalisée l’étude relatée ici, il se vend chaque jour 12 millions de miches de pain. Le pain constitue en effet l’une des bases de la nourriture outre-Manche dès le petit-déjeuner avec oeufs brouillés et bacon puis la marmelade irremplaçable pour le palais d’un Briton. Le Docteur Liam Goucher du Centre Grantham pour le « Futur Renouvelable » de l’Université de Sheffield s’est penché sur l’impact carbone du pain, il fallait y penser ! Et comme de bien entendu cet institut au nom ronflant a accouché d’un pamphlet de couleur verte rappelant celle des champs de blé au début du printemps. Le pain c’est mauvais pour le climat, point barre.

Le seul nitrate d’ammonium épandu dans les champs de blé représente à lui seul 43 % de l’empreinte carbone du pain, le reste ce sont les fours pour la cuisson, le transport, les emballages … et la respiration des consommateurs. Goucher s’étonne que le public ne s’intéresse qu’à sa santé et non au bien-être des animaux dont la viande sert de nourriture quand il s’agit d’alimentation, oubliant totalement le climat. En plus d’être grosse consommatrice d’énergie la production d’engrais azotés pour faire pousser du blé émet également des gaz à effet de serre dans les champs lors de la dégradation de ces derniers. J’avoue que j’ai tenté de comprendre comment le nitrate d’ammonium pouvait émettre des gaz à effet de serre, je n’y suis pas arrivé.

Cet institut de recherche prône un changement total des habitudes de culture afin de réduire drastiquement la production de gaz à effet de serre par l’ « industrie agricole » qui utilise des fertilisants uniquement pour réaliser des profits sans se soucier de l’environnement un seul instant, il parle (cet institut) alors pompeusement d’agriculture raisonnée … C’est quoi au juste ? Lorsque j’étais encore un enfant les paysans des fermes de mon hameau natal épandaient le purin et le fumier dans les champs, c’était moins coûteux que les engrais azotés. Ça sentait mauvais, certes, mais c’était très efficace. Cette pratique ancestrale très commune en polyculture qui, malheureusement, a pratiquement disparu a été interdite par des bureaucrates de la Commission Européenne, qui n’ont jamais touché de la terre à pleine main de leur vie, pour des raisons environnementales et sanitaires. Aujourd’hui les agriculteurs pratiquant la polyculture ou l’élevage entassent le fumier au bout d’un champ mais n’ont plus le droit de l’épandre. Le purin doit être évacué par des entreprises spécialisées pour être traité comme une vulgaire eau d’égout urbain alors qu’il représente une source d’azote unique. Les agriculteurs sont donc obligés en raison de toutes ces régulations stupides d’acheter des engrais azotés de synthèse.

L’un des objectifs à long terme de cet institut parasite qui ne vit que de « subventions climatiques » est de créer un blé qui fixerait tout seul l’azote atmosphérique. On en est loin dans la mesure où toute tentative de modification génétique du blé s’est heurtée à un veto instantané des autorités de régulation, elles aussi caviardées par les mouvement écologistes, comme l’est d’ailleurs l’Université de Sheffield, mais aussi des agriculteurs et des consommateurs. Du blé génétiquement modifié, quelle horreur ! Bienvenue dans un monde meilleur sans fertilisants de synthèse avec un pain dix fois plus cher et surtaxé comme toutes les denrées alimentaires rares … La bêtise humaine n’a, de toute évidence, pas de limite connue.

Source : Université de Sheffield