Introduction et remarques de votre serviteur traducteur. L’article ci-dessous trouvé sur le site Epoch Times a été traduit par les soins de votre serviteur pour démontrer que la propagande des défenseurs de la nature, opposés à tout progrès technique, ne s’appuie sur aucune évidence scientifique. Il s’agit des radiations électromagnétiques qui sont des photons dont l’énergie est inversement proportionnelle à leur longueur d’onde. Pour rappel les rayons gamma, X, et UV sont constitués de photons très énergétiques puis dans les longueurs d’onde plus grandes on rencontre la lumière visible puis les infra-rouges et enfin les micro-ondes et les ondes radio. Les rayonnements UV, X et gamma sont suffisamment énergétiques pour être considérés comme « ionisants » et susceptibles de détruire des molécules chimiques voire des tissus vivants. Les néophytes assimilent les radiations électromagnétiques, c’est-à-dire des photons, avec les champs magnétiques. Il s’agit de deux domaines de la physique différents. Dans cet article on assiste à une confusion malhonnête entre ces deux approches. Tout se complique lorsque les téléphones portables et « leurs émissions d’ondes » qui seraient cancérigènes ! Or les signaux électromagnétiques émis et reçus par les téléphones portables sont des ondes hertziennes, c’est-à-dire encore des photons mais de grande longueur d’onde et donc très peu énergétiques. Au pire l’effet ressenti peut être un échauffement superficiel de la peau, encore faut-il se trouver très près de la source émettrice mais compte tenu de la puissance de l’émission de ces signaux électromagnétiques il y a peu de chance de ressentir un tel échauffement local comme par exemple le pavillon de l’oreille si on reste longtemps avec son téléphone collé sur ce dernier.
La seule mention du CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer, IARC) une administration onusienne qui ne fait pas de recherche mais se contente de collecter des informations et d’en déduire des conclusions alarmistes et le plus souvent malhonnêtes reprises par la presse toute dévouée à la cause environnementale et écologiste participe comme l’IPCC au maintien d’une sorte d’angoisse ou pire de terreur au niveau de la population qui globalement n’y comprend rien. En conclusion cet article est un tissu de propagande confus que je soumets à mes lecteurs pour la simple raison que j’ai consacré un peu de temps à le traduire. J’ai donc décidé de ne plus consulter le site Epoch Times que je classe désormais dans la catégorie de la presse de caniveau. Ce texte est un salmigondis éloigné de la science comme savent en écrire des idéologues ignorants qui confondent par exemple champ et onde, c’est dire à quel point ce texte est médiocre …
Beaucoup de gens savent que les rayons ultraviolets et les rayons X peuvent causer le cancer.
Ce sont des champs électromagnétiques ionisants (CEM) à haute fréquence. Les CEM ionisants sont considérés comme cancérigènes, tandis que les CEM non ionisants, tels que le Wi-Fi, les signaux Bluetooth et les champs des appareils électroniques, ne le sont généralement pas. Cette perception prévaut dans l’esprit du public depuis des décennies. Cependant, il y a une connaissance limitée du fait que certains CEM non ionisants sont également classés par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) comme cancérogènes de classe 2B — une catégorie indiquant le potentiel cancérogène pour l’homme.
Le Dr David Carpenter, professeur de santé environnementale à l’Université d’Albany et titulaire d’un doctorat en médecine de la Harvard Medical School, a fait remarquer que la radiofréquence, un type de rayonnement non ionisant utilisé dans les télécommunications, pourrait finir par être classé dans la classe 2A, ce qui dénote un cancérogène humain probable.
Oxydation, modifications de l’ADN et cancer
Le cancer est généralement causé par une mutation ou des changements de l’ADN. Des facteurs comme les infections virales, les radiations et les toxines environnementales peuvent modifier les séquences d’ADN. Les CEM ionisants endommagent directement l’ADN. Les ultraviolets, les rayons X et les rayons gamma éliminent les électrons de l’ADN, provoquant des mutations. Les mutations accumulées mènent à la malignité cellulaire.
Le rayonnement non ionisant n’a pas assez d’énergie pour endommager directement l’ADN. Pourtant, diverses études ont établi un lien entre l’exposition aux CEM non ionisants et la rupture de l’ADN. Les cellules des animaux exposés aux CEM et des utilisateurs de téléphones ont montré des dommages génétiques.
Le cancer peut aussi être provoqué par le stress seul, par exemple l’amiante et l’arsenic, qui causent le cancer en l’absence de dommages à l’ADN.
Pour cette raison, M. Carpenter suggère que les CEM peuvent être cancérigènes simplement en induisant des « espèces réactives de l’oxygène » qui stressent l’environnement cellulaire par oxydation. Il a été démontré que l’oxydation générée par les CEM brise l’ADN dans les spermatozoïdes humains et les fibroblastes, ce qui indique des risques potentiellement cancérigènes.
Le professeur émérite Martin Pall, spécialisé en biochimie et en sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington, a expliqué que les CEM sont compliqués en ce sens que des CEM plus forts ne signifient pas nécessairement plus de dommages à l’ADN. Au lieu de cela, seules des fréquences et des intensités spécifiques provoquent un effet. Cela a été démontré dans une étude récente de l’Université du Colorado, qui a révélé qu’à une fréquence de 4,2 MHz, les mitochondries de fibroblastes et de fibrosarcomes humains augmentaient en masse, induisant un stress cellulaire. Cet effet était absent aux fréquences supérieures et inférieures.
Selon le CIRC, les CEM non ionisants potentiellement cancérigènes comprennent :
1. Les CEM à très basse fréquence (ELF, extremely low frequency) se trouvent généralement à des fréquences de 50 à 60 Hz émises par les lignes électriques, les fils électroniques et pratiquement tous les dispositifs électriques.
2. Radiofréquence CEM émis par les appareils sans fil comme les téléphones, les modems Wi-Fi, les téléviseurs et les tours de téléphonie mobile utilisées dans les télécommunications. Ils sont également utilisés en imagerie par résonance magnétique (IRM).
La recherche indique une rupture chromosomique après les séances d’IRM.
Le CIRC a classé la radiofréquence dans la classe 2B plutôt que 2A, l’une des raisons étant le manque de preuves établissant un lien avec le cancer dans les études sur les animaux. Par contraste, l’étude de 2018 du National Toxicology Program des États-Unis des années 1990 a présenté des « preuves évidentes » de tumeurs cardiaques induites par radiofréquence chez les rats, ainsi que « certaines preuves » de cancers du cerveau et des surrénales. L’étude de 2018 de l’Institut Ramazani a également découvert des tumeurs cardiaques et cérébrales chez les rats, s’alignant sur ces résultats.
CEM et cancer du cerveau
Kjell Hansson Mild, consultant principal en sciences de la radiation à l’Université d’Umeå en Suède, a déclaré au Epoch Times que le lien entre l’exposition aux CEM et le cancer du cerveau et les tumeurs est bien établi. Une étude des années 1980 a révélé un risque de cancer du cerveau de 39% plus élevé chez les opérateurs de radio amateurs en raison des CEM. « Les gliomes cérébraux associés aux téléphones portables sont les plus étudiés. Les gliomes apparaissent après 10 ans d’utilisation modérée du téléphone portable, principalement des cancers ipsilatéraux (cancer du même côté de la tête où vous tenez le téléphone portable) », a déclaré le professeur émérite Magda Havas à The Epoch Times par courriel. Les gliomes sont des cancers du cerveau.
Une étude de 2017 a établi un lien entre l’utilisation ipsilatérale à long terme des téléphones mobiles et un risque accru de gliome à croissance lente de plus de 40 %. Une vaste étude française menée entre 2004 et 2006 a révélé que les personnes ayant une « forte utilisation du téléphone mobile » présentaient un risque accru de gliome après des années d’utilisation.
En 2004, l’oncologue et professeur Lennart Hardell de l’Université d’Örebro en Suède a publié une étude impliquant plus de 1600 patients atteints de tumeurs cérébrales bénignes. Ses recherches ont révélé une probabilité 30% plus élevée de tumeurs cérébrales chez les utilisateurs de téléphones sans fil. Ces tumeurs se sont principalement développées sur le côté de la tête en contact avec le téléphone, avec un risque plus de 60% plus élevé après 10 ans d’utilisation du téléphone. Les tumeurs bénignes ne deviennent généralement pas cancéreuses; elles se développent plus lentement et n’envahissent pas les tissus voisins ou d’autres zones du corps. Une autre étude suédoise de 2004 n’a indiqué aucune augmentation initiale du risque de neurome acoustique (tumeur cérébrale bénigne) associée à l’utilisation du téléphone au cours de la première année. Cependant, à la 10e année, le risque a bondi à 90 %. D’autres recherches sur les tumeurs cérébrales ont émergé d’études d’exposition professionnelle.
Les expositions aux CEM et leur lien avec les tumeurs cérébrales. (The Epoch Times).
À la fin des années 1990, une étude a examiné environ 880 000 membres de l’armée de l’air américaine ayant au moins une année de service. Cette étude a détecté 230 cas de cancer du cerveau potentiellement liés à l’exposition aux radiofréquences, révélant un risque accru de 39 pour cent par l’exposition professionnelle. En 2001, une revue ( https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1240626/pdf/ehp109s-000911.pdf ) a démontré que les personnes travaillant avec l’électricité étaient exposées à un risque de cancer du cerveau jusqu’à 20 % plus élevé que le grand public. Pourtant, les chercheurs ont conclu que le risque était trop faible pour justifier une discussion sur sa causalité. Malgré l’exposition accrue du public aux radiofréquences dans l’environnement, les principales préoccupations de M. Hansson Mild sont les lignes électriques et les expositions professionnelles.
Il a noté que les téléphones utilisés dans les études précédentes émettaient des signaux plus forts que les téléphones d’aujourd’hui.
« Aujourd’hui, il suffit d’atteindre 200 mètres jusqu’à la prochaine station réceptrice et émettrice. Mais hier, il fallait 35 kilomètres pour atteindre la station de base », a expliqué M. Hansson Mild. Bien que les téléphones émettent des rayonnements plus forts dans le passé, Mme Havas a souligné que les rayonnements radiofréquences posent toujours un risque pour la santé, étant donné leur prévalence plus élevée aujourd’hui.
Tout le monde ne possédait pas un téléphone dans le passé, mais la plupart des gens ont aujourd’hui un téléphone sans fil.
« Beaucoup de gens utilisent maintenant des téléphones portables, et ils émettent encore beaucoup plus d’énergie que nécessaire, et les tumeurs cérébrales (gliomes) augmentent dans la population », a déclaré Mme Havas. « De nombreux appareils sans fil émettent maintenant des rayonnements de radiofréquence en plus des téléphones portables, comme le Wi-Fi, les compteurs intelligents, les téléphones sans fil, les modules de surveillance pour bébé sans fil, les montres intelligentes, etc., et ils sont actifs 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, dans la plupart des foyers, des écoles et des milieux professionnels. »
CEM et leucémie infantile
Certaines des premières recherches établissant un lien entre les champs électromagnétiques non ionisants et le cancer proviennent d’études sur la leucémie. « Nous savons qu’à Hiroshima et à Nagasaki… que la [latence de la leucémie] peut être de cinq à sept ans, mais dans le cas du cancer du cerveau, lorsqu’on examine l’exposition aux rayonnements ionisants ou aux produits chimiques, le délai entre l’exposition et la détection des cancers est habituellement de 20 à 30 ans », a déclaré le Dr Carpenter. Cette latence plus courte facilite la recherche, a-t-il expliqué. La leucémie a été fortement liée aux expositions aux CEM ELF par les lignes électriques et le câblage domestique. Le flux d’électricité crée de puissants champs magnétiques qui peuvent pénétrer les murs et le verre.
L’une des premières études sur ce lien provient d’un article de 1979 sur la leucémie au Colorado. Les auteurs ont constaté qu’entre 1976 et 1977, le cancer infantile dans la région était disproportionnellement trouvé dans les familles vivant près des lignes électriques transportant des courants électriques élevés.
Les risques semblaient également liés à la dose; par exemple, les enfants qui n’avaient pas bougé présentaient le risque de cancer le plus élevé. Des études menées au début des années 2000 ont révélé que les enfants exposés à des champs magnétiques de 0,3 à 0,4 microtesla présentaient un risque jusqu’à deux fois plus élevé de leucémie infantile que les enfants exposés à des champs magnétiques de moins de 0,1 microtesla. La limite de sécurité officielle pour les champs magnétiques est de 100 microteslas.
Les CEM et le cancer du sein
Le cancer du sein, en particulier le cancer du sein œstrogène positif, qui utilise l’hormone œstrogène pour se développer, a été bien lié aux CEM ELF.
Des recherches publiées depuis les années 1990 montrent que les CEM de 50 à 60 Hz favorisent la croissance du cancer du sein en culture cellulaire en bloquant l’action de la mélatonine, un agent antitumoral qui empêche la croissance tumorale. ELF EMF a également été montré comme inhibant le tamoxifène, un médicament contre le cancer du sein, dans les cultures cellulaires humaines. Des études épidémiologiques sur les femmes et les hommes ont montré que les CEM augmentent le risque de cancer du sein chez les deux sexes. La radiofréquence des téléphones portables a également été associée au cancer du sein.
Une étude taïwanaise de 2020 sur les femmes atteintes d’un cancer du sein a révélé que celles qui utilisaient habituellement un smartphone avant le coucher avaient un risque 43% plus élevé de cancer du sein.
Les femmes qui mettent régulièrement leur téléphone portable contre leurs seins peuvent également être soumises à un risque plus élevé. Cela a été illustré dans une étude américaine de 2013 portant sur quatre cas inhabituels de cancer du sein chez des femmes de moins de 40 ans sans antécédents familiaux ni prédisposition génétique. Le cancer du sein survient généralement chez les femmes de 50 ans ou plus ayant des antécédents familiaux ou certaines prédispositions génétiques. Les auteurs, par conséquent, ont cherché d’autres raisons et constaté que toutes les patientes portaient régulièrement leur smartphone directement contre leurs seins dans leur soutien-gorge jusqu’à 10 heures par jour pendant plusieurs années et développaient des tumeurs dans les zones de leurs seins immédiatement sous les téléphones.
Recherche difficile
Il a été difficile de prouver si les CEM provoquent des cancers, selon le Dr. Carpenter. En raison de l’utilisation généralisée de l’électricité et des télécommunications à l’échelle mondiale, il est devenu presque impossible de trouver un groupe non exposé à des fins de comparaison dans les études sur les taux de cancer. Un autre problème est que la biologie est très compliquée; toutes les cellules ne répondent pas aux CEM, et tous les CEM ne provoqueront pas une réaction biologique. Les cellules peuvent se comporter très différemment selon les processus biochimiques dans la cellule au moment de l’exposition. Même des échantillons de la même lignée cellulaire provenant des mêmes laboratoires peuvent réagir différemment aux CEM.
Il existe également des travaux publiés menés par des chercheurs inexpérimentés dans la recherche sur les effets des CEM. Par exemple, les chercheurs qui testent des champs magnétiques sur des cultures cellulaires dans des incubateurs pourraient ignorer que l’incubateur lui-même pourrait émettre des champs magnétiques plus forts, rendant l’étude invalide. Les motivations financières au sein de l’industrie pourraient également contribuer à des liens non concluants entre les CEM et le cancer. Des recherches indépendantes menées par le Dr Carpenter et le professeur émérite Henry Lai de l’Université de Washington ont révélé que les études financées par l’industrie ne révèlent souvent aucun lien entre les CEM et les effets sur la santé. En revanche, la recherche indépendante et financée par le gouvernement tend à identifier une association. « Vous ne pouvez toujours pas trouver d’effet si vous concevez une étude défectueuse », a déclaré M. Carpenter. « Je pense qu’à bien des égards, l’industrie des télécommunications a délibérément brouillé les cartes en appuyant la publication de résultats qui sont conçus pour ne pas avoir d’effet ». « Par conséquent », a-t-il poursuivi, ils affirment que les résultats sur les CEM causant le cancer « sont incohérents et non concluants ».
Conclusion de cet article : faut-il vivre comme les Hamishs ainsi que le préconisait Emmanuel Macron !