L’Occident sombre dans le totalitarisme fasciste

Avant-propos. Le qualificatif nazi est une contraction des mots nationalisme et socialisme. Il ne s’applique donc pas à l’Union européenne qui est une sorte de magma de pays très divers qui ne peuvent pas revendiquer un quelconque nationalisme puisqu’ils ne sont plus des États souverains dans la mesure où ils ont abandonné leur monnaie nationale (dans la zone euro) et également abandonné une partie de leurs réglementations propres et pourtant mises au point avec patience pendant des siècles. Tous ces États faisant partie de l’Union européenne ont adopté des attitudes sociales afin de maîtriser les classes laborieuses pour le plus grand profit du monde de la finance qui est l’unique ordonnateur de cette organisation supra-nationale qu’est dans les faits l’Union européenne. Les directives européennes sont claires : tout doit être privatisé ! Les irréductibles seront pénalisés ! C’est ainsi que l’Allemagne ne peut pas tolérer les monopoles d’État comme EDF en France et ce pays n’a cessé d’oeuvrer afin de fragiliser le fleuron de l’énergie électrique qui fait partie du trésor français constitué par les impôts des citoyens de l’Hexagone. Dans la mesure où tout doit être financiarisé et privé on rejoint alors les conditions idéologiques de l’Italie de Mussolini qui construisit son système politique sur la base des corporations ou « fascio » en italien qui lors de l’apparition du fascisme italien autour des années 1920 étaient toutes la propriété de grandes familles de capitalistes. Il pourrait paraître contradictoire d’affirmer qu’il n’existe pas de différence entre fascisme et nazisme puisque toutes les grandes corporations allemandes étaient contrôlées par des banquiers d’affaires y compris nord-américains. À mes yeux le fascisme à la Mussolini peu ou pas du tout raciste contrairement à l’idéologie d’Hitler paraît plus acceptable.

Et ce racisme allemand qu’on retrouve aussi bien en Ukraine qu’aux États-Unis : la haine des slaves russes d’un côté et la haine des afro-américains et des « chicanos » ou des Amérindiens de l’autre, est, pour un ancien biologiste, une aberration scientifique. Les quelques 200 races de chiens présentent la particularité d’être génétiquement homogènes à plus de 99 %, ce qui n’est pas le cas par exemple entre des afro-américains et des « hispaniques » car leur homogénéité génétique ne dépasse pas 85 %. Le racisme qui est intégré dans l’idéologie nazie n’a donc aucun fondement biologique. Donc il serait préférable de parler de fascisme en Europe et utiliser le terme totalitarisme englobe cette idéologie dénuée, on peut le souhaiter, de l’exécrable racisme.

Propos du présent article. L’entrevue de Jérôme Blanchet, auteur et journaliste québecois, rédacteur en chef de « Libre Média » sur la chaine d’information alternative « Tocsin » créée par Clémence Houdiakova avec beaucoup de courage et de ténacité démontre clairement que Justin Trudeau, « Young Leader », a résolument choisi d’établir un régime totalitaire (liens en fin d’article). On se souvient de l’affaire des camionneurs canadiens avec la suspension des comptes bancaires des manifestants. Il s’agit clairement d’une première mise en œuvre concrète du pouvoir que veulent se réserver les décideurs politiques avec les CBDC (central bank digital currency), l’outil imparable qui soumettra le peuple au bon vouloir de ces dirigeants politiques. Le contrôle de la parole et des écrits doit, selon Trudeau, être préventif y compris dans la sphère privée afin d’éviter tout débordement potentiel de la liberté de parole ou d’écrit avec un encouragement à la délation. La faisabilité de cette évolution idéologique date de l’épidémie de coronavirus au cours de laquelle Justin Trudeau comme les gouvernements australien et néo-zélandais se sont remarquablement illustré en décidant de mesures de privation de liberté jamais imaginées depuis le régime soviétique stalinien. Klaus Schwab, le gourou du progressisme socialiste mondial, s’était félicité de cette fenêtre d’opportunité pour établir un nouveau monde.

Le coronavirus a alimenté la peur et quand les peuples ont peur ils deviennent dociles et perméables à n’importe quelle propagande mensongère. Le réchauffement du climat « ne paie plus » puisque cet hiver 2023-2024 a connu des taux d’enneigement jamais constatés depuis … depuis les années 1950-1960 de l’ouest de la Russie jusqu’à la Sierre Nevada dans le sud de l’Espagne sans oublier les Rockies et les plaines centrales des USA jusqu’à Tokyo, ville localisée dans une plaine littorale à une latitude identique à celle d’Alger qui a connu trois épisodes neigeux cet hiver, et enfin jusqu’à la banquise antarctique totalement reconstituée quoiqu’en pensent les membres de la mafia climatique supra-nationale (deuxième lien en anglais). Il a été envisagé par l’OMS l’apparition d’une nouvelle épidémie déjà appelée X probablement créée de toute pièce comme ce fut le cas pour le SARS-CoV-2 et ses vaccins à ARN messager tueurs qui ont été mis sur le marché avec la complicité des gouvernements occidentaux sans qu’ils aient été testés en respectant les protocoles pourtant admis et imposés internationalement. L’ « urgence vaccinale » était un leurre pour mettre en place toutes ces mesures de privation des libertés individuelles et bafouer puis punir les médecins prescripteurs et tous les professionnels de santé refusant d’être injectés par un produit expérimental.

Aujourd’hui les politiciens, à court d’arguments, brandissent la menace nucléaire pour régler le conflit ukrainien. Il reste cependant une grande consolation et une immense lueur d’espoir : l’Occident représente 1/8e de la population mondiale et sa production de richesse atteint à peine 30 % de celle de tous les autres pays réunis. L’arrogance idéologique et la volonté hégémonique de l’Occident sont condamnées au déclin. Tous les marqueurs de la décadence occidentale, LGBT, idéologie woke, mariage entre homosexuels hommes ou femmes, théorie du genre, désaffection des religions traditionnelles, bref une déconnection entre ces idées fantasmatiques occidentales et la réalité de la vie à laquelle sont confrontés les 7/8es restants de la population de la planète, en Afrique, en Asie et la majeure partie de l’Amérique latine … Le renouveau de l’humanité émergera de la « jungle » que mentionnait Josep Borrel et le « jardin occidental » deviendra un roncier à l’abandon et impénétrable !

Complément. L’entrevue d’Annie Lacroix-Riz datant de quatre années décrit les raisons pour lesquelles l’idéologie totalitaire fasciste progresse aujourd’hui dans les pays de l’Occident global, c’est-à-dire l’Europe, l’Amérique du Nord hors Mexique, la Corée, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon, ce dernier pays étant gouverné par le même parti politique, le Parti Libéral Démocrate, depuis la fin de la guerre et sous tutelle des Américains, il faut nommer par son nom la réalité : https://www.youtube.com/watch?v=RYG80xxDRnc&ab_channel=caudevillenicolas

2 réflexions au sujet de « L’Occident sombre dans le totalitarisme fasciste »

  1. « … ce qui n’est pas le cas par exemple entre des afro-américains et des « hispaniques » car leur homogénéité génétique ne dépasse pas 85 %. »

    Je ne comprends pas.

    A ce qu’en disent les scientifiques, le génome du chimpanzé ne diffère que de 2 à 3% de celui de l’Homme. Comment le génome de deux humains pourrait-il différer de 15% ?

    L’expérience montre qu’afro-américains et hispaniques sont fertiles entre eux, alors que humains et chimpanzés…

    • C’est dans le groupe des Hispaniques que cette homogénéité ne dépasse pas 85 % alors que la race des dogues français par exemple l’homogénéité génétique est de 100 %. Ce sont les chasseurs, les bergers, les citadins … qui ont créé ces races pures et beaucoup d’entre elles ne sont plus interfertiles ce qui n’est pas le cas pour le genre humain. C’est d’ailleurs ce qui explique cette faible homogénéité génétiques à l’intérieur des groupes ethniques. Le métissage fait partie des moeurs. Deux de mes petits-enfants sont des métis et à Tahiti le nombre de métis chinois-polynésiens est très élevé : il peuvent presque constituer un groupe ethnique à part entière tout en présentant une diversité génétique qui exclut de parler de race.

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