Le « vaccin » anti-coronavirus est une loterie : 5 % de chances de mourir ou d’être gravement malade !

Le vieux Paul C. Roberts ( https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Craig_Roberts ) m’étonnera toujours à l’âge de 84 ans. Il doit statistiquement, comme votre serviteur, souffrir de problèmes de glande typiquement masculine qui ne sert que pour avoir des enfants, ce qui fut mon cas seulement trois fois. Bref, comme Seymour Hersh qui a le même âge ces deux phénomènes remuent la fange et je les en félicite profondément. Voici donc la première partie de deux papiers de Paul C. Roberts datée du 11 mais 2023 relatif à la « vaccination » anti-covid traduite par mes soins aussi fidèlement que possible par respect pour le vieux Paul. Bonne lecture ! Quelques commentaires en fin de papier et dans le cours du papier lui-même notes en caractères italiques et en parenthèses. 

« Il s’agit d’un meurtre de masse intentionnel, prémédité. Cela ne fait absolument aucun doute, car rien d’autre n’a de sens. Nous allons les coincer » (avocat Reiner Fuellmich).

Un chercheur a découvert que 5 % des lots de « vaccins » contre le SARS-CoV-2 sont responsables du grand nombre de décès et de blessures liées à la « vaccination » aux États-Unis. De plus, les analystes ont conclu que l’étiquetage séquentiel des lots selon les niveaux de toxicité constitue une preuve de violation intentionnelle de la réglementation fédérale exigeant l’uniformité des doses. Pour Pfizer, 4 % des lots de vaccins représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Pfizer et 5 % des doses de Moderna représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Moderna. La toxicité de certains lots explique pourquoi certaines personnes ont été tuées ou ont été blessées par le vaccin contre le SARS-CoV-2, tandis que d’autres, du moins jusqu’à maintenant, n’ont subi aucune réaction indésirable. 

Le chercheur a constaté que les lots hautement toxiques avaient une répartition entre les États, et on se demande si la distribution était principalement dans les États rouges (note : il s’agit d’Etats à majorité démocrate). Mais la conclusion la plus troublante du chercheur est que la différence très inhabituelle de toxicité et le schéma inhabituel de distribution indiquent un « crime important » qui « doit faire l’objet d’une enquête ».

Reiner Fuellmich, qui a enquêté avec des milliers d’avocats et de scientifiques réunis dans le Comité d’enquête allemand Corona sur la toxicité du vaccin, a recueilli d’énormes preuves que le vaccin est toxique. Le casse-tête est la raison pour laquelle certains ont été tués ou blessés et d’autres non. La réponse est l’incohérence des lots de vaccins. Des experts, comme l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et l’ancien chef du Comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodran, ont conclu que « des actes criminels sont commis » et que « un crime grave est aussi évident ». Vous pouvez lire le rapport ici : https://www.globalresearch.ca/small-percent-vaccine-batches-responsible-large-number-adverse-reactions-analysts-claim/5767604 . Je vous encourage à le faire. Je vais maintenant parler de ses répercussions.

Nous savons pertinemment que la « pandémie de coronavirus » a été orchestrée par la peur et qu’aucun aspect du protocole de traitement n’était efficace ou logique. Les masques ne protègent pas. Le confinement a fait plus de mal que de bien. Les droits de la personne ont été violés par des vaccinations forcées non volontaires avec une substance non testée et utilisées en vertu d’une autorisation d’urgence qui exigeait qu’il n’y ait aucun traitement ou remède connu. L’exigence d’utilisation d’urgence signifiait que les remèdes connus utilisés avec succès dans d’autres pays, comme le Brésil et l’Inde, devaient être refusés et interdits d’utilisation aux États-Unis et dans d’autres parties du monde occidental. Les autorités de santé publique des États-Unis et les « presstitutes » ont menti à travers leurs dents que l’ivermectine et la HCQ étaient des médicaments dangereux et non approuvés. L’ivermectine était considérée comme une médecine du cheval dangereuse pour les humains. En fait, les deux médicaments avaient été approuvés depuis longtemps pour usage humain et avaient de nombreuses décennies d’utilisation et des dossiers d’innocuité parfaits. L’ivermectine est couramment utilisée pour prévenir la cécité des rivières dans les régions d’Afrique où le parasite est répandu, et la HCQ est depuis longtemps utilisée pour prévenir le paludisme.

Il aurait été juste de dire que ni l’ivermectine ni le HCQ n’ont été approuvés par la FDA pour le traitement du coronavirus, mais que la maladie était nouvelle et qu’il n’y avait donc pas eu de demande pour les années d’essais qui font partie du processus d’approbation. Toutefois, dans la pratique médicale aux États-Unis, c’est aux médecins de juger lorsqu’ils cherchent des moyens d’aider leurs patients. Pourtant, les médecins qui ont sauvé des vies avec l’Ivermectin ou l’HCQ ont été punis. S’ils étaient des employés de la médecine d’entreprise, ils ont été congédiés. S’ils exerçaient de façon indépendante, des efforts ont été faits pour leur retirer leur licence médicale. De nombreuses pharmacies ont été empêchées de remplir les ordonnances d’ivermectine et de HCQ.

Ce que nous savons maintenant, c’est que pratiquement personne n’est mort du coronavirus, sauf les personnes atteintes de morbidité qui se sont vu refuser un traitement. N’oubliez pas le protocole relatif au SARS-CoV-2. Si tu tombais malade, tu devais rester à la maison, et si tu avais des problèmes respiratoires, tu devais aller à l’hôpital où ils t’ont tué avec des respirateurs. Apparemment, le protocole voyait les problèmes respiratoires comme une pneumonie, mais le vrai problème était que le virus artificiel empêchait les globules rouges de transporter de l’oxygène. Rappelez-vous également que les hôpitaux ont été incités à maximiser les décès liés au coronavirus, car ils ont reçu environ 39000 $ pour chaque décès lié à ce coronavirus. Par conséquent, presque tous les décès ont été signalés comme étant des décès liés au coronavirus, même des accidents de moto, ce qui a maximisé le taux de décès lié à ce virus et conduit les gens à la vaccination. N’oubliez pas que l’inventeur du test a dit que le test PCR utilisé pour diagnostiquer cette maladie était incapable de le faire. Le test PCR a produit jusqu’à 97 % de faux positifs, exagérant ainsi énormément la pandémie.

Rappelez-vous aussi que l’explication initiale de cette maladie était la viande de chauve-souris infectée vendue dans un marché chinois. Nous savons maintenant que le SARS-CoV-2 était un virus artificiel et que l’aspect « gain de fonction », qui le rendait contagieux et dangereux, a été financé par les NIH de l’Université de Caroline du Nord et que, lorsque des critiques ont été formulées en raison de préoccupations, il a violé la Convention sur la guerre biologique. le financement a été transféré à Wuhan, en Chine. Rappelez-vous aussi que la DARPA était impliquée dans la fabrication du virus. La nouvelle, c’est que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan, mais que des personnes plus alertes croient que le virus a été libéré intentionnellement.

De nombreux scientifiques indépendants n’ayant aucun conflit d’intérêts avec les grandes sociétés pharmaceutiques considèrent le « vaccin » non seulement comme plus mortel que cette maladie elle-même, mais aussi comme une arme biologique. De toute évidence, le fait que 5% des doses représentent les effets indésirables implique un motif et une intention. Cela doit être étudié par des scientifiques et des organisations indépendants. Il est difficile et peu probable de s’attendre à ce que le Congrès, même si ses membres dépendent des fonds de la campagne Big Pharma, et les organismes de santé publique de réglementation, la FDA, les NIH, les CDC, les organismes qui sont des agents de marketing Big Pharma à porte tournante, enquêtent honnêtement sur la « pandémie de SARS-CoV-2 » et les lots toxiques du « vaccin ».

S’il n’y a pas d’enquête ni de rendu honnête de comptes, on peut s’attendre à de pires pandémies orchestrées dans un proche avenir (cf. mon commentaire en fin de billet). Il y a des indications que les États-Unis ont essayé de militariser le virus Ebola, et au cours des deux dernières années, j’ai signalé que des flacons de variole mortelle avaient été découverts deux fois présentés sur des comptoirs au lieu d’être sous clé. Les gens de ma génération ont été vaccinés contre la variole, et une campagne mondiale a éradiqué la maladie, mettant ainsi fin à la vaccination des populations. Pour une raison quelconque, les cultures du virus étaient gardées sous clé dans des laboratoires prétendument hautement sécurisés.

La variole est naturellement très contagieuse. Si elle devait s’échapper ou être libérée, le taux de mortalité serait beaucoup plus élevé qu’avec le coronavirus. Les protocoles d’urgence mettraient essentiellement fin à la liberté humaine, et la population humaine serait considérablement réduite. À cause du retour de flamme (conséquences sur l’armée assaillante si elle ne dispose pas d’antidote ou de vaccin efficace et spécifique), les armes biologiques sont essentiellement inutiles comme armes de guerre à moins qu’elles ne puissent être conçues pour attaquer uniquement l’ennemi. Vous vous souvenez peut-être qu’il y a quelque temps, il y avait plusieurs rapports, dont un de Russie, selon lesquels la CIA recueillait des informations génétiques russes. Les scientifiques russes spéculaient que Washington était engagé dans la recherche sur les armes biologiques ciblant les Russes. La recherche sur les armes biologiques est satanique et contraire à la Convention sur la guerre biologique. Que les États-Unis poursuivent cette recherche illégale est un danger pour tous les Américains et pour le monde entier. En outre, cette recherche montre une insouciance téméraire de la part du gouvernement américain et de ses scientifiques pour le droit et la vie. 

Les organismes gouvernementaux qui opèrent secrètement en dehors de la loi peuvent mentir éternellement au Congrès et peuvent invoquer « la sécurité nationale », une vache sacrée pour le Congrès, et échapper à la responsabilité. Nous observons actuellement le FBI et le ministère de la Justice continuer leur protection de Joe et Hunter Biden tout en poursuivant le président Trump avec de fausses accusations. La guerre nucléaire est une réelle possibilité. L’hostilité des néoconservateurs envers tous les pays capables de faire obstacle à l’unilatéralisme américain, ainsi que la tolérance sans fin du Kremlin aux provocations, conduisent à une guerre nucléaire.

Nous faisons face au même risque d’extermination que la militarisation des virus mortels par le gouvernement américain. Ce travail se poursuit sans obstruction et justifié avec toutes sortes de faux arguments. « Nos ennemis le font, alors nous devons aussi nous protéger ». Ou comme le prétendent Fauci, Gates et d’autres, nous devons fabriquer des virus mortels pour les étudier afin de pouvoir nous pré-vacciner. Ces arguments sont faux. De plus, les conséquences pour l’humanité et toute la vie de la guerre nucléaire et des armes biologiques sont si horribles qu’elles font de la poursuite de la paix le but ultime de tous les objectifs. Mais Washington poursuit l’hégémonie, ce qui est une garantie de guerre.

Le danger de notre situation ne peut être exagéré. Seule la responsabilité pour la pandémie orchestrée par le coronavirus peut rétablir la vie humaine comme étant plus importante que les profits des grandes sociétés pharmaceutiques et sauver la vie de la tyrannie.

Commentaires de votre serviteur. Comme cela a été signalé à plusieurs reprises sur ce blog l’Organisation Mondiale de la Santé aidé financièrement par la Fondation Bill Gates (je ne mentionne plus Melinda qui a divorcé de son époux après les révélations de pédophilie de Bill qui abusait de jeunes filles que Jeffrey Epstein mettait à la disposition des grands de ce monde pour ensuite les faire chanter avec des vidéo du genre porno pédophile confiées au Mossad. La collusion entre ce triste individu et l’OMS donne le ton de l’état de pourrissement des institutions internationales caviardées de l’intérieur par des personnages peu recommandables. La prochaine épidémie sera organisée à dessein par les Etats-Unis voire un autre pays, mais on ne situe pas clairement lequel pourrait tenter d’asseoir son hégémonie par ce biais totalement immoral foulant les lois fondamentales de l’éthique en en violation totale du Code de Nuremberg. J’ai exposé sur ce blog le fait qu’accuser la Chine d’avoir répandu le virus après son étude dans le laboratoire P4 de la ville Wuhan est selon mon point de vue un mensonge grossier organisé par les Américains. M’accuser d’anti-américanisme primaire me laisse indifférent. Les Américains sont un peuple sans foi ni loi et ils seraient bien avisés de s’occuper de leurs affaires intérieures car avec 4 Etats (Nevada, Nouveau-Mexique, Texas et Floride) qui envisagent une sécession le pouvoir fédéral risque de s’effondrer car une vraie guerre civile fera oublier les visées impérialistes de ce pays que je méprise de plus en plus et je n’ai aucune honte à l’écrire …

Source : https://www.paulcraigroberts.org/2023/05/11/the-covid-deception-the-dire-consequences-of-the-lack-of-accountability/

« Il est clair que quelque chose a mal tourné » …

Article de Jeffrey Tucker paru sur le site Dailyreckoning.com le 28 avril 2023

Considéré comme l’entrevue la plus approfondie à ce jour, le New York Times a publié un très long article qui contient des acquiescements, des revendications et des positions défensives plutôt surprenantes d’Anthony Fauci, au sujet des confinements et des obligations « vaccinales » entrés en vigueur lors de la pandémie de SARS-CoV-2.

L’auteur de l’article du NYT qui a reçu Anthony Fauci est David Wallace-Wells, qui, avant le coronavirus, s’est spécialisé dans l’écriture d’articles sur les changements climatiques, invoque tous les tropismes prévisibles. Il y avait donc un sentiment dans lequel cette interview était une sorte de retrouvaille entre ces deux personnages et pourtant Wallace-Wells a obtenu quelques résultats intéressants. Voici les prises de position les plus marquantes de Fauci.

Premièrement Fauci déclare : « Il est clair que quelque chose a mal tourné. Et je ne sais pas exactement ce que ce fut. Mais la raison pour laquelle nous savons que cela a mal tourné, c’est que nous sommes le pays le plus riche du monde et que, par habitant, nous avons fait pire que pratiquement tous les autres pays ». Cela semble prometteur, mais on se rend vite compte qu’il y avait comme une sorte de vérité non démontrable chez les responsables des confinements. Ils avaient tout à fait raison et ils en étaient convaincus. Le problème n’était pas la centralisation, la planification préalable ou les ressources. De plus, il y a eu aux Etats-Unis trop de désinformation et de non-conformité, ce qui a entraîné un faible taux de vaccination comparativement à d’autres pays. Les vaccins sont le miracle et la plus grande réalisation de la pandémie, un point sur lequel ils n’admettent aucun argument. C’est aussi la conclusion d’un document intitulé « The Covid Crisis Group » (financé principalement par les fondations Charles Koch et Rockefeller), qui a publié le nouveau livre « Lessons from the Covid War » : An Investigative Report. Il n’y a pas de pdf, Il faut l’acheter. L’auteur principal est le médiateur bien connu Philip Zelikow, qui a écrit le rapport de la Commission 9-11. Parmi l’équipe, il y a nul autre que Carter Mecher, qui assume plus de responsabilités pour les fermetures d’écoles que quiconque. Il y a aussi Rajeev Venkayya, l’ancien fonctionnaire de l’administration Bush qui est largement reconnu pour avoir inventé le concept même de confinement. C’est leur histoire et ils s’y tiennent.

Deuxièmement, Fauci au sujet de l’obligation de vaccination : « Je pense que, presque paradoxalement, vous aviez des gens qui hésitaient à se faire vacciner. Pourquoi forçaient-ils à le faire ? Et cette tendance de belle indépendance dans notre pays devient contre-productive. Et vous avez ce sentiment d’anti-science cachée et une division qui est palpable politiquement dans ce pays ». Si vous ne pensiez pas avoir besoin du vaccin ou que vous ne lui faisiez pas confiance, Fauci affirme que vous êtes responsable de la division et du sentiment anti-science. La « tendance indépendante » s’appelle la liberté, ce qui est pour lui le vrai problème. La leçon pour la prochaine fois ? Difficile à savoir. Il pense peut-être que les obligations auraient dû être appliqués avec plus d’énergie.

Quatrièmement. Fauci sur la raison pour laquelle il n’est pas responsable de quoi que ce soit : « Quand les gens disent : « Fauci a entravé l’économie », ce n’était pas Fauci. C’est le C.DC qui a formulé ces recommandations. J’ai été perçu comme la personnification des recommandations. Mais montrez-moi une école que j’ai fermée et une usine que j’ai fermée. Jamais. Je ne l’ai jamais fait. J’ai fait une recommandation de santé publique qui faisait écho à la recommandation du CDC, et les gens ont pris une décision en fonction de cela. Mais je n’ai jamais critiqué les gens qui devaient prendre les décisions de quelque manière que ce soit ».

De plus, ils n’ont même pas appris de l’expérience du SIDA. Ce ne sont pas les vaccins qui ont freiné l’épidémie. C’était la thérapeutique innovante dans l’expérience clinique. Au lieu de cela, Fauci a arrêté toutes les traitement précoces pour attendre les vaccins. Le faire plus tôt aurait été encore pire !

Huitièmement Fauci sur l’énorme gradient d’âge du risque médicalement significatif : « Avons-nous dit que les personnes âgées étaient beaucoup plus vulnérables ? Oui. Est-ce que nous l’avons répété à maintes reprises ? Oui, oui, oui. Mais, d’une façon ou d’une autre, le grand public n’a pas eu l’impression que les personnes vulnérables sont vraiment, vraiment très attachées aux personnes âgées. Comme 85 % des hospitalisations sont là pour le prouver ».

« Non, le vaccin antigrippal ne nécessite pas de recherche sur le gain de fonction. Le développement de vaccins contre la grippe implique généralement d’étudier le comportement du virus et de ses souches, d’identifier les souches les plus courantes et de prédire laquelle sera la plus répandue dans la saison à venir. Le vaccin est ensuite mis au point à l’aide de versions inactivées ou atténuées du virus, qui ne nécessitent pas de recherche sur le gain de fonction. La recherche sur le gain de fonction, qui consiste à modifier génétiquement des virus pour les rendre plus infectieux ou mortels, est parfois utilisée pour étudier le virus de la grippe, mais elle n’est pas nécessaire pour la création de vaccins contre la grippe ».

Si ce n’est pour le vaccin contre la grippe, quel est le but du gain de fonction? La création d’armes biologiques et de vaccins pour les combattre ? Le bilan de tout ça semble horrible.

Fauci et ses amis continuent d’essayer de clore le récit sur l’épisode du coronavirus. Ils se sont entendus sur le message et font tout ce qui est en leur pouvoir pour le boucler en espérant que tout le monde ira de l’avant. Les grands médias veulent aussi passer à autre chose. Tous les coupables de ce chavirage veulent faire de même, en particulier les élites de tous les secteurs qui ont poussé et célébré la violation massive des Droits de l’Homme. Ils ont tort. Le dossier n’est pas clos et ne le sera pas tant que nous n’aurons pas obtenu des réponses honnêtes.

Commentaire de votre serviteur. Fauci est un menteur. Il savait parfaitement que l’armée américaine travaille depuis de nombreuses années sur la recherche de gains de fonction et pas seulement sur le SRAS et le MERS depuis 20 ans mais également sur d’autres virus. En toute logique, et c’est la préoccupation d’une armée, si un virus manipulé génétiquement pour être plus infectieux et au mieux mortel, de disposer de vaccins de même que les armées disposaient d’antidotes pour les agents innervants dont l’utilisation n’est que théoriquement interdite. Fauci s’est esquivé en prétendant mensongèrement que cette recherche de gain de fonction faisait partie des travaux de mise au point des vaccins anti-grippaux. Il ne reconnaitra jamais qu’il a lui-même encouragé ce type de recherche. Ses remarques sur les masques sont triviales et non recevables. Enfin il a esquivé maladroitement soutenu l’interdiction de l’utilisation de traitements précoces connus du corps médical chinois depuis l’épisode du SRAS, interdiction émanant de l’OMS et dont la promotion a été faite en France par le Professeur Raoult.

Pour Fauci les « vaccins » à ARN messager ont été un meilleur choix ! On reconnaît là la mauvaise foi d’un haut fonctionnaire dévoué aux intérêts des grands groupes pharmaceutiques. Tout sent le faux, la fuite, l’esquive dans ce récit. L’origine de la dispersion du coronavirus génétiquement manipulé pour obtenir un gain de fonction dont la finalité était avant même le début de cette pandémie de commercialiser mondialement cette thérapie génique à ARNm dont l’efficacité n’avait jamais été prouvée en tant que « vaccin » mais réservée à des cas cliniques très particuliers avec des résultats très décevants. Fauci savait, il est donc un criminel, il devrait si la justice américaine faisait correctement son travail, terminer ses jours en prison …

Pour réchauffer l’humeur regardez cette magnifique entrevue du Professeur Raoult, le plus célèbre infectiologue mondial : https://www.youtube.com/watch?v=B4hGh8Av6Es&ab_channel=BFMMARSEILLE et celle-ci par André Bercoff https://www.youtube.com/watch?v=J5mliSyi7C0

Nouvelles du Japon et d’ailleurs : encore le coronavirus !

Le gouvernement japonais fait preuve de psychorigidité. Alors que la pandémie de coronavirus est terminée dans le monde entier comme l’avait prédit quelques semaines après son apparition, en mai-juin 2020, le Professeur Didier Raoult, les autorités japonaises ont décidé en ce début de mois d’avril 2023 de maintenir une véritable barrière sanitaire pour protéger le pays contre toute intrusion du SARS-CoV-2 dans l’archipel nippon. En effet se référant aux épidémies passées de virus à ARN la durée de vie d’une épidémie dépasse rarement trois années car ces virus présentent la particularité de posséder une machinerie de copie de leur ARN génomique peu fiable. Il en résulte que l’accumulation d’erreurs de copie, en d’autres termes de mutations, diminue le pouvoir infectieux du virus et sa disparition progressive. C’est exactement ce à quoi on a assisté dans le monde durant la dernière année écoulée.

Malgré ces évidences les autorités japonaises maintiennent une protection sanitaire qui se matérialise par l’obligation d’un certificat de moins de 72 heures précisant que l’on n’est pas porteur du virus pour être autorisé à débarquer dans l’un des aéroports internationaux du pays, qu’il s’agisse de Tokyo-Narita, Tokyo-Aneda, Osaka ou Sapporo. Selon le lien ci-dessous il semble que ce bouclier sanitaire ne s’applique qu’aux passagers chinois en provenance de Chine. Or ce n’est pas le cas puisque cette mesure s’applique également aux Japonais eux-mêmes revenant de l’étranger, quelle que soit leur provenance.Pour ce qui concerne ces Chinois, ceux en provenance d’Hong-Kong ou de Macao ne sont pas inclus dans ce processus de contrôle, allez comprendre pourquoi !

Bref, comme je prends un vol Tahiti-Auckland-Tokyo Narita ce soir 18 avril, je dois me plier à un test et pas n’importe lequel. Deux tests sont proposés, un test « PCR », et les lecteurs de ce blog connaissent mon opinion au sujet de la déviation vers un but de diagnostic de cette technique, ou un test dit « antigénique quantitatif ».

Inutile de réfléchir il s’agit d’un test ELISA destiné à quantifier la présence du SARS-CoV-2 dans les fosses nasales. Ce type de test présente au moins l’avantage par rapport au « test PCR » d’être relativement spécifique en réduisant les réponses faussement positives ou faussement négatives. Coût de l’opération 12000 francs pacifique, à la louche 120 euros. La question que l’on peut alors se poser est la suivante : cette arnaque organisée par les décideurs politiques profite à quelqu’un. Combien d’entreprises de fourniture de réactifs pour les tests dits RT-PCR sont sur ce coup, combien de milliards de dollars, d’euros, de yens … ont-elles empoché ? Dix, vingt, quarante milliards ? Pas une information n’a filtré sur ce point. On parle en Europe des malversations évidentes de la Présidente de la Commission européenne mais quels « copains » de cette femme éminemment corrompue ont-ils tout de suite été mis sur le coup ? Parmi les acteurs de ce business très juteux on retrouve, il fallait s’y attendre, une entreprise allemande. Je soulève donc le perdreau et si un journaliste courageux décide d’enquêter il aura des surprises … https://www.vjw.digital.go.jp/main/#/vjwplo001

Après le coronavirus l’OMS prépare un traité coercitif de prévention des pandémies

Tant qu’on ne me présentera pas de preuves factuelles que le SARS-CoV-2 est un virus provenant de chauve-souris, qu’il s’est adapté à un animal dont on ignore l’identité le rendant infectieux pour l’homme et transmissible aisément entre les êtres humains, je persisterai en soutenant qu’il s’agit d’un virus manipulé expérimentalement pour obtenir un gain de fonction puis répandu dans la ville de Wuhan lors des jeux olympiques militaires qui eurent lieu au cours de l’automne 2019 dans cette ville. J’ai imaginé un scénario dans un article publié il y a quelques jours qui avait pour sujet les avancées cliniques récentes utilisant l’outil CRISPR-cas9 (voir note en fin de billet). Ce scénario est parfaitement plausible mais il reste à déterminer quel laboratoire privé ou public a procédé à la manipulation conduisant à ce gain de fonction. Par voie de conséquence la pandémie de SARS-CoV-2 déclarée comme telle par l’OMS est la conséquence préméditée de cette manipulation du virus. Il existe donc un agenda bien précis pour contrôler les populations et surtout pour que « l’Etat profond apatride » élargisse son pouvoir sur les peuples. C’est dans ce cadre que l’OMS prépare un traité international coercitif de prévention des pandémies. Il est évident que des organismes non gouvernementaux comme le Forum économique mondial, autre appellation du « Club de Davos », a déclaré selon son président fondateur Klaus Schwab que cette pandémie coronavirale était une « fenêtre d’opportunité » pour mettre en place une gouvernance mondiale relative à toute nouvelle préoccupation sanitaire affectant le monde entier.

De nombreux infectiologues de réputation mondiale ont déclaré que ce coronavirus n’avait pas vraiment provoqué une pandémie mortelle comme ce fut le cas par le passé lorsqu’il n’existait aucun traitement pour combattre par exemple la peste qui tuait parfois la moitié de la population. À la louche sur quelques 8 milliards d’être humains il y eut seulement 6 ou 7 millions de morts, soit un taux de létalité inférieur à 1 mort pour 1000 personnes à l’échelle mondiale : c’est négligeable ! J’ignore quels sont les critères choisis pour déclarer une pandémie mais ce chiffre me paraît ridiculement bas. Cette remarque conforte donc le fait que tout était préparé pour que l’« État profond apatride » décide de contrôler les populations.

Dans ce registre la pression exercée par les laboratoires pharmaceutiques pour soumettre des milliards de personnes à un traitement expérimental dont l’efficacité n’était même pas prouvée faisait partie de ce processus, les bons élèves du grand maître Schwab, les « Young leaders », mettant en œuvre une politique inquisitoriale afin de priver de liberté des populations entières avec des gadgets tels que les identifications par QR-code, les pass vaccinaux, les confinements, les mises à pied des personnels pour refus de « vaccination » font tous partie intégrante de cet agenda. Des pays comme la France, la Nouvelle-Zélande, le Canada, tous gouvernés par des politiciens « Young leaders » adoubés par Klaus Schwab, ont décidé de mesures sévères privant les citoyens de leur liberté mais, bien pire encore, ces mesures bafouaient les principes fondamentaux de Code de Nuremberg et du droit de chaque individu à disposer de son corps et à ne prendre de décision que si l’homme de l’art, c’est-à-dire le médecin, l’avait dûment informé ce qui ne fut pas le cas.

L’autre volet de ce coup monté de toute pièce est l’interdiction soudaine et non justifiée de l’hydroxychloroquine qui avait pourtant été montrée comme étant efficace lors des épidémies coronavirales précédentes, SRAS et MERS, au cours des années 2000. Cette interdiction surréaliste compte tenu du fait que des milliards de personnes utilisent quotidiennement ce médicament pour se protéger et atténuer une infection par la malaria faisait partie de ce coup monté. En effet quand un médicament existe pour traiter une nouvelle infection virale, selon un protocole défini, la mise au point d’un vaccin n’est pas requise. Et pourtant tout s’est déroulé sans tenir compte de ce principe. Et pour cause ! Simultanément aux manipulations en laboratoire du SARS-CoV-2 pour obtenir un gain de fonction, c’est maintenant clairement prouvé, les laboratoires pharmaceutiques travaillaient déjà sur la mise au point de « vaccins » expérimentaux dont le principe consistait à injecter aux sujets un ARN messager lu par la machinerie cellulaire pour synthétiser la protéine virale supposée les protéger contre l’infection virale après une réaction hypothétique de leur système immunitaire. C’est ainsi que l’OMS et les agences nationales ou supra-nationales du médicament ont autorisé l’utilisation à grande échelle de ce traitement pourtant toujours expérimental. Il s’agit là encore d’une violation des principes de base de la médecine puisque qu’aucun effet adverse de ce type de traitement n’avait été étudié en détail. Il y avait urgence, « on était en guerre » contre ce virus. La collusion entre les grands groupes pharmaceutiques et l’OMS ainsi que l’influence de personnalités comme Bill Gates ont fait le reste.

La santé des citoyens d’un État fait partie du domaine régalien du gouvernement de cet État au même titre que la protection des frontières ou du maintien de l’ordre public. Aucune entité internationale ne peut imposer à un gouvernement quelconque des mesures qui interféreraient avec ce domaine régalien. Et pourtant l’OMS travaille aujourd’hui à la mise en place de mesures coercitives qui seront imposées aux pays, quels qu’ils soient, pour maîtriser le plus autoritairement possible une possible pandémie.

Le champ d’application d’un tel traité international ne se limite pas à une pandémie virale et c’est là le problème. En effet, le pouvoir décisionnel qui sera accordé à l’OMS par tous ses membres, il y en a 196 !, permettra à cet organisme d’interférer avec la politique de santé de chaque pays. Par exemple la véritable pandémie d’obésité pourra donner lieu à la mise en place de mesures contraignantes pour combattre ce fléau au niveau national. Les maladies cardio-vasculaires pourront également faire l’objet de mesures coercitives … inutile d’insister pour comprendre l’intérêt que portent les laboratoires pharmaceutiques à la mise en œuvre d’un tel traité. Je suppose qu’il sera soumis à l’Assemblée générale des Nations-Unies et devra être ratifié ensuite par chaque État. Cela prendra beaucoup de temps mais je voulais alerter mes lecteurs sur ce qui se trame sous l’impulsion de l’« État profond apatride » et contre lequel tous les pays devront se soumettre. Il y a dix ans presque pour jour l’OMS a émis une directive relative à l’éducation sexuelle des enfants et tous les pays ayant signé une sorte de pacte de soumission à cet organisme ont été contraints d’appliquer cette décision. On ne peut que constater aujourd’hui quelles sont les dérives de la mise en place de cette directive dans les écoles à qui on enseigne à des gamins de 8 ans quel est le « genre » et ce qu’il faut faire si on ne se sent pas bien dans sa peau avec le sexe biologique dont on, l’enfant de 8 ans, peut être victime de par le patrimoine génétique dont il a hérité … 

Enfin l’informatisation de la médecine avec des robots qui établiront un diagnostic en lieu et place d’un médecin généraliste comme le préconisent des fous comme Laurent Alexandre fait partie de ce complot mondial. La financiarisation de la médecine est redoutable et il faut que les peuples de bonne volonté s’insurgent vivement contre ce tournant que prend l’OMS à l’insu de chacun, c’est extrêmement préoccupant.

Liens :

https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/coronavirus/pandemic-treaty/ et https://www.kla.tv/25686

Note. Je rappelle le passage relatif au coronavirus paru sur un billet précédent de ce blog : « ll existe un preuve récente évidente de la manipulation de l’ARN du SARS-CoV-2 qui a été modifié par insertion d’une séquence codant pour le site de clivage de la furine et cette édition de gène très ponctuelle a probablement été effectuée après avoir converti l’ARN viral en ADN double brin afin d’utiliser les outils existants dont le CRISPR-cas9, plus simple à utiliser que des enzymes de restriction, pour introduire cette petite séquence. Cet ADN modifié a ensuite été converti en ARN avec de l’ARN polymérase produite par génie génétique avec des bases non naturelles comme la pseudo-uridine pour produire l’ARN « vaccinal » mais aussi et surtout en 2019 pour produire le virus lui-même reconstitué par multiplication sur des cultures de cellules compétentes pour le disperser à Wuhan lors des JO militaires. Une telle approche demande quelques mois de travail pour un groupe d’expérimentateurs chevronnés, au pire une année et les dates concordent entre la date de dépôt de brevet de cette séquence artificielle par Moderna et le tout début de l’apparition des premiers cas de premiers malades de syndrome respiratoire aigu chez des athlètes dès l’automne 2019 ».

Brève. Coronavirus encore et toujours …

En complément au billet précédent voici une nouvelle intéressante qui révèle la position des « démocraties occidentales » au sujet de la campagne mondiale de « vaccination » organisée par ce même occident. En Allemagne environ 192 millions de doses de « vaccin » anti-coronavirus ont été injectées à la population de gré ou de force à ce jour. Supposée être efficace à 99 % cette thérapie génique était également considérée comme sans effets secondaires. Les faits ont prouvé le contraire et pourtant les autorités allemandes refusent de reconnaître ces faits pourtant prouvés par la science et malgré la quasi disparition de l’épidémie continuent à encourager l’injection de rappel au cas où un nouveau variant apparaitrait. Selon un sondage incluant 1700 participants pris au hasard plus de 52 % des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires dont 23 % ont souffert d’effets secondaires graves. Selon ce sondage il ressort que 36,6 % des 18-29 ans et 45 % des 30-39 ans ont fait l’expérience d’effets secondaires sévères de cette « vaccination ». Cette proportion diminue avec l’âge puisque moins de 30 % des personnes âgées de 70 ans et plus ont souffert d’effets secondaires seulement légers.

Enfin ce sondage a révélé un étrange résultat : les effets secondaires du « vaccin » semblent dépendre de la religion pratiquée par les personnes contactées puisque 79,8 % des musulmans ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires alors que 55,2% des catholiques et 51,7 % des chrétiens protestants ont rapporté des effets secondaires. Ce sondage a été effectué entre le 10 et le 15 mars 2023 et 84,9 % des personnes contactées ont déclaré avoir reçu au moins une dose de « vaccin ». Ce sondage a été organisé par INSA Meinungstrend, un organisme indépendant du pouvoir. Source : notrickszone.com. Conclusion : qui ment, le sondage ou les autorités politiques allemandes ?

Deux brèves : Francis Boyle et les plus vieilles traces d’outils il y a 3 millions d’années

Francis Boyle : un gros pavé dans le marigot des institutions internationales, en particulier l’OMS !

Interviewé par Xavier Azalbert, ce juriste américain, une grosse pointure, expose dans cet exposé son point de vue au sujet de la pandémie de coronavirus et la position de l’OMS, de la DARPA, Fort Dietrick, le P4 de Wuhan, et bien d’autres institutions et personnalités dont Antony Fauci dans cette sombre histoire qui prit sa source il y a de nombreuses années avec les manipulation de germes pathogènes par les armées pour mettre au point des armes biologiques. Avec la pandémie coronavirale le monde entier a été, à son corps défendant plongé dans cette problématique. Le rôle de l’OMS, pour Boyle l’organisme international le plus corrompu, est majeur et va amplifier dans les prochains mois. Je conseille vivement mes lecteurs à se plonger dans l’audition de ce debriefing. Je salue au passage Xavier Azalbert qui est à la tête d’un des rares médias français choisissant des sources d’information que tous les autres « informateurs » négligent sur ordre des autorités politiques. Faites vite car cette entrevue a toutes chances d’être censurée !

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier

Bien avant l’apparition d’Homo sapiens sapiens nos lointains ancêtres mi-hommes mi-singes …

Des fouilles d’archéo-paléontologie effectuées au bord du Lac Victoria au Kénya débutées en 2016 ont montré la présence d’un site de boucherie organisée pour débiter des hippopotames et toutes sortes d’autres gibiers. Le site a été précisément daté par la technique uranium/thorium/hélium à environ 3 à 2,8 millions d’années avant l’ère commune. Des éclats de silex ont été retrouvé sur ce site ainsi que des traces de feu et tous ces restes prouvent que nos lointains ancêtres maîtrisaient le feu, la confection d’outils de boucherie et l’abattage de gros animaux qui devait être le résultat d’une chasse collective organisée. À quoi ressemblait cet ancêtre correspondant à celui qui est appelé Homo parenthropus, que mangeait-il ? Pour la chasse au gros gibier il est clair que les femmes (femelles?) restaient à l’écart, c’est à peu près tout ce que l’on peut imaginer. La confection d’outils de découpage de la viande et de décharnement des os devait être du ressort des hommes mais pour l’entretien du feu il s’agissait probablement d’une tâche partagée.

L’étude minutieuse du site a permis de retrouver deux dents « humaines » et l’étude isotopique de ces dents a clairement indiqué que ces hommes se nourrissaient essentiellement de viande avec un petit détail tout de même, le rapport entre les isotopes 12 et 13 du carbone étudié dans les deux uniques molaires a indiqué que les animaux abattus étaient des animaux brouteurs compte tenu du fait qu’il est possible de différencier par l’étude de ces deux isotopes de quel type de plantes ces derniers se nourrissaient.

La forme des molaires retrouvées montre enfin que le maxillaire était robuste et la dentition bien adaptée pour mastiquer des aliments de consistance solide et robustes. Le travail de boucherie a été bien précisé avec l’étude des entailles de ces outils rudimentaires sur les os des animaux tandis que la récupération de la moelle des os long était méticuleusement effectuée, ces os long étant systématiquement brisés en petits fragments permettant d’atteindre avec facilité cette moelle. D’autres sites du même type étudiés en Ethiopie dans la région du triangle des Afars ont été également datés avec précision. Ils sont tous postérieurs de près de 400000 ans à celui de Nyayanga dans la péninsule de Homa, diverticule du Lac Victoria, le site de la présente étude. La culture Oldowan dérivée des découvertes dans la région de la gorge d’Olduvai en Tanzanie est maintenant « déclassée » par cette découverte la plus ancienne connue à ce jour.

Une telle découverte conforte la thèse maintenant admise que l’homme moderne est le fruit d’une lente évolution à partir d’un ancêtre commun avec les grands singes et cette évolution fut relativement rapide, une dizaine de millions d’années, mais cette dernière remarque de ma part est purement spéculative. Et j’en assume l’entière responsabilité …

Illustrations : Smithonian Institution, et liens suivants :https://www.science.org/doi/10.1126/science.abo7452?adobe_mc=MCMID%3D23240271894792280002703349530301608848%7CMCORGID%3D242B6472541199F70A4C98A6%2540AdobeOrg%7CTS%3D1677098931et pour les lecteurs exigeants un exposé sur la datation U/Th/He :https://www.geo.arizona.edu/~reiners/arhdl/longer.htm

Nouvelles du Japon : « vaccination » anti-coronavirus

Mon fils vit au Japon depuis 18 ans et ses enfants et lui-même ont été contaminés par la souche delta du SARS-CoV-2. À l’appui d’un certificat médical ils ne sont donc pas assujettis à la « vaccination » conseillée par le gouvernement mais non obligatoire. Ceci ne les a pas protégés contre une nouvelle infection puisque mes deux petits-enfants franco-japonais ont été à nouveau contaminés par un mutant de la souche omicron du virus, preuve que le système immunitaire devient inefficace rapidement après une première infection. Je me trouvais à Tokyo à ce moment-là et j’ai moi-même été infecté par cette forme gastro-entéritique entrainant des complication administratives car mon visa de touriste arrivait à expiration étant positif par test RT-PCR. Il apparaît clairement que le système immunitaire est fortement perturbé par le virus. Peut-être que l’explication se trouve dans la simple observation de la lymphocytopénie consécutive à l’infection qui a été largement observée comme l’un des effets du coronavirus. Mais je me hasarde dans des spéculations n’ayant comme appui que mes propres analyses sanguines après l’infection dont je fus victime à la fin du mois de mars 2010 par la souche dite « Wuhan ».

Le choix de l’épouse de mon fils qui est Japonaise m’a un peu dérouté. Elle s’est pliée récemment à une quatrième injection de cette thérapie génique de toute évidence totalement inutile et potentiellement dangereuse. Les statistiques sont « arrangées » pour maintenir l’information non prouvée que cette thérapie protège contre les formes graves de l’infection. Encore faut-il connaître précisément quelle est l’incidence de cette thérapie sur le développement de ces formes dangereuses. Il existe peu de données statistiques dans les pays occidentaux à ce sujet, au contraire les décideurs politiques tentent de dissimuler le fait qu’il n’y aurait aucun bénéfice de la thérapie génique quant à la protection contre les formes dangereuses. Les analystes en sont donc réduits à se contenter des données publiques disponibles.

Les données rassemblées par la John Hopkins’s University et Our World in Data confirment que la thérapie génique ne protège en rien contre une première ou une nouvelle infection :https://www.francesoir.fr/societe-sante/japon-mortalite-covid-professeur-masanori-fukushima-plainte . À tel point qu’un médecin japonais a osé déposer une plainte contre le gouvernement japonais qui selon lui est criminel. En effet, alors que la mortalité par coronavirus diminue dans le monde entier et le Japon se particularise toujours par une forte incidence du nombre de cas positifs (toujours par RT-PCR que l’on sait ne pas être fiable) et surtout par la mortalité qui ne décroit que faiblement. Les données les plus récentes datant du 17 février 2023 sont sans ambiguité ( https://www.worldometers.info/coronavirus/country/japan/ ), contrairement à tous les autres pays du monde le Japon continue à alimenter l’épidémie et sa mortalité avec la « vaccination » :

L’analyse de ce graphique montre à l’évidence que depuis la mise en place de la thérapie génique avec ARN messager codant pour la sous-unité 1 de la protéine spike du virus l’augmentation du nombre de décès a été soutenue alors qu’avant cet événement la mortalité avant l’instauration de cette thérapie plaçait le Japon parmi les meilleurs du monde. On ne peut que conclure que cette pratique ne présente aucun bénéfice sanitaire, bien au contraire. Et la conclusion est évidente : il faut bannir toute « vaccination » car elle est inefficace et dangereuse si on veut mettre un terme à cette épidémie.

Caprices de la météorologie …

Ce jeudi, puisque la Polynésie ne change de date que quand il est une heure de l’après-midi en France le lendemain, j’ai joué au chat et à la souris avec les gros nuages et les averses, pas le petit crachin breton mais les bonnes pluies tropicales, pour tenter d’aller me ravitailler au sec dans la petite supérette près de l’endroit où je réside à Papeete. J’ai scruté le ciel et vers 18 heures la pluie a cessé momentanément, juste suffisamment pour remplir mon réfrigérateur. Conséquence de cette occupation de tous les instants je n’ai pas eu le loisir d’écrire quoi que ce soit sur mon blog. Pour néanmoins donner du grain à moudre à mes fidèles lecteurs j’ai trouvé cette entrevue du Général Dominique Delawarde et le québecois Guy Boulianne, bonne vidéo !

Néonicotinoïdes, nucléaire, changement du climat, coronavirus : les écolos ne savent pas de quoi ils parlent !

Les « chevaux de bataille » des écologistes sont toujours invariablement le nucléaire, les pesticides et les plantes vivrières génétiquement modifiées, ainsi que le changement du climat d’origine humaine. L’ONG maintenant tentaculaire et supranationale Greenpeace fut créée dans le but de s’opposer aux essais nucléaires planifiés pour être mis en œuvre dans des îles désertes du sud-ouest de l’Alaska. Le mouvement prit naissance en Colombie britannique en rassemblant quelques hippies fumeurs d’herbe qui eurent le génie d’organiser leur propagande. Le mouvement attira la sympathie de toute une population se reconnaissant dans ce combat, l’utilisation du nucléaire à des fins militaires n’offrant pas vraiment de perspective réjouissante. À ce propos je suis moi-même opposé à l’usage de l’atome à des fins de destruction massive. D’ailleurs aucun pays « nucléarisé » n’osera utiliser ce type d’armement car en quelques heures ce serait l’apocalypse et la fin de l’humanité.

Bien que consciente de ce fait Greenpeace a continué à militer cette fois contre le nucléaire civil pendant de nombreuses années car cette organisation n’a jamais voulu assumer un changement de doctrine contestataire au sujet de l’atome. C’est ainsi que cette organisation non gouvernementale accompagnée de bien d’autres mouvements activistes comme le Sierra Club et une myriade d’autres groupes tels que Les Amis de la Terre ont orienté leurs actions vers les énergies dites renouvelables puis par extension l’écologie en général, la protection de l’environnement et des écosystèmes. Ainsi l’écologie, organisée politiquement en partis dits « verts » très puissants et influents, a maintenant la main-mise sur de nombreuses décisions gouvernementales, le monde politique étant devenu l’otage de ces mouvements pour des raisons bassement politiciennes et électoralistes.

Prenons le cas de l’Europe occidentale dont l’actualité est occupée par les problèmes d’énergie qui concernent l’ensemble de la population et la totalité du tissu économique. Les partis politiques écologistes ont gagné leur pari consistant à détruire l’économie de ces pays en infléchissant leur politique énergétique, en particulier l’Allemagne et la France, outre Rhin en exigeant l’abandon total de l’énergie nucléaire depuis l’accident de la centrale nucléaire nippone de Fukushima-Daiichi et en France en exigeant et obtenant avec succès la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim et l’abandon d’une grande partie du parc nucléaire de l’Hexagone au profit des énergies renouvelables. Les cadres de ces organisations écologistes savent pourtant parfaitement que les économies avancées ne peuvent pas fonctionner avec des sources d’énergie peu fiables et de faible intensité. Un laminoir, une unité de production d’aluminium ou une cimenterie ne peuvent pas fonctionner si la source d’énergie est intermittente ou de faible intensité.

Un simple exemple illustre la totale inadaptation des énergies intermittentes dites renouvelables pour alimenter l’un des processus industriels le plus énergivore. Il s’agit de la production d’aluminium par le procédé Héroult-Hall qui nécessite un courant continu de 5 volts avec une intensité de 300000 ampères pour électrolyser la cryolite, un fluorure mixte d’aluminium et de sodium, obtenue à partir de la bauxite. Combien faudrait-il de moulins à vent et de panneaux solaires pour alimenter une seule cuve d’électrolyse ? Aucun organisme écologiste ne peut répondre à cette question, ni d’ailleurs les décideurs politiques qui autorisent l’implantations d’éoliennes y compris dans des biotopes protégés. Il faut en effet disposer de redresseurs de puissance alimentés par du courant électrique alternatif à haute tension. En outre de nombreuses applications industrielles et commerciales de l’aluminium contiennent du magnésium. Or le procédé de production de ce métal fait également appel à une électrolyse à haute température du chlorure de magnésium obtenu par un procédé chimique classique.

Les mouvements écologistes ont, au cours des années, diversifié leur domaine de lutte anti-civilisation. L’agriculture fait aussi partie de l’un de leurs chevaux de bataille, un véritable cheval de Troie pour tromper les peuples et les réduire à la famine. L’utilisation de pesticides, de plantes génétiquement modifiées et d’engrais azotés de synthèse fait partie de leurs cibles. Tous les arguments anti-scientifiques aussi fallacieux et mensongers les uns que les autres ont été avancés pour convaincre le grand public qui n’y connait fondamentalement rien contrairement à votre serviteur. J’ai en effet travaillé pendant près de 15 années au sein de RP-agrochimie et 3 ans dans l’énergie nucléaire auprès d’EDF. Les progrès de l’agrochimie réalisés depuis la fin de la seconde guerre mondiale dans tous les pays développés ont été rendus possibles par la recherche tant universitaire qu’industrielle. Ces progrès ont permis à une main d’oeuvre rurale d’alimenter le secteur industriel car le nombre d’exploitants agricoles a considérablement diminué dans ces pays, ce secteur industriel étant acteur de cette immense reconversion en participant à la mécanisation de l’agriculture tant au niveau de la production agricole elle-même que de l’élevage. Les pays occidentaux développés sont ainsi devenus exportateurs nets de denrées alimentaires vers des pays dont ce secteur de production était et est souvent toujours traditionnel. Grâce à ces progrès considérables le monde peut aujourd’hui nourrir 10 milliards de personnes sans aucun problème. Malheureusement cette simple constatation déplait aux écologistes qui se sont enduits d’un vernis malthusien sous prétexte de sauver la planète et les écosystèmes, l’homme étant considéré comme un animal nuisible.

Puisque j’ai pris les exemples de l’aluminium et du magnésium pour démontrer la non-faisabilité des énergies renouvelables dans diverses applications industrielles, je prendrai donc un exemple relatif aux pesticides. D’abord il faut que les esprits soient clairs. Une « peste » pour un agriculteur englobe les mauvaises herbes aussi appelées adventices (ne pas confondre avec adventistes), les champignons phytopathogènes, certaines bactéries et les insectes ravageurs. À cette liste il faut ajouter les maladies infectieuses dites zoonoses pour les éleveurs, domaine dans lequel d’immenses progrès ont été réalisés avec la mise au point de vaccins et d’antibiotiques dédiés au combat contre ces zoonoses. Dans le domaine agricole stricto sensu deux pesticides préoccupent les écologistes : les herbicides et les insecticides. Selon les écologistes il s’agit de graves perturbateurs des écosystèmes. Or l’utilisation de ces produits est strictement règlementée et les protocoles d’utilisation doivent être scrupuleusement respectés pour atteindre une agriculture dite raisonnée. Les engrais azotés de synthèse n’entrent pas dans ce cadre puisqu’ils sont considérés comme ne perturbant pas sensiblement les écosystèmes mais ils ne doivent pas non plus être utilisés abusivement.

Comme c’est leur stratégie habituelle les écologistes utilisent des arguments fallacieux pour obtenir l’interdiction de tel ou tel produit phytosanitaire. L’exemple emblématique est le glyphosate, l’herbicide le plus efficace actuellement connu et le plus économique à produire. Les écologistes, par un stratagème scandaleux et opaque, ont obtenu la classification de ce produit parmi les produits cancérigènes. Qui dit produit cancérigène sous-entend un défaut de la duplication de l’ADN au cours de la division cellulaire. Les molécules les plus mutagènes connues sont capables de s’intercaler entre les bases puriques et pyrimidiques de l’ADN provoquant ainsi des défauts lors de la duplication de l’ADN. Or le glyphosate est une petite molécule chargée négativement et ne peut en aucun cas interagir avec l’ADN ni directement ni indirectement, l’ADN étant également chargé négativement. Clamer que le glyphosate est cancérigène est une incroyable « fake-news » !

Quant aux néonicotinoïdes la position des écologistes qui veulent à nouveau interdire son utilisation en agriculture ne s’appuie sur aucune justification, qu’elle soit scientifique ou environnementale. Les progrès de la chimie ont permis une telle diminution de leur apport par hectare, passant d’une dizaine de kilo à quelques grammes par hectare, qu’ils n’ont plus qu’un effet systémique durable dans la plante elle-même puisque ces progrès ont été permis par l’enrobage systématique des semences pour industrialiser l’ensemencement des champs à l’aide de machines qui peuvent plus aisément utiliser ces semences enrobées. Au niveau des fleurs ou des graines la teneur en ces insecticides est tellement faible que le combat mené par les écologistes est purement idéologique et ne s’adosse sur aucune évidence scientifique, je le répète, car c’est leur manière mensongère d’agir habituelle …

Pour terminer ce plaidoyer en faveur du progrès technique il est inutile de revenir sur la fermeture de l’usine NERSA de Creys-Malville dont la finalité était de se débarrasser des déchets des centrales nucléaires à haute activité constitués de transuraniens fissiles à durée de vie longue. Lorsque Jospin, alors premier ministre sous la présidence de Chirac, fortement influencé par les écologistes soutenus par Corine Lepage, avocate activiste à la solde des écologistes allemands, décida de la fermeture de Super-Phénix la France avait 20 ans d’avance sur tous les autres pays du monde en ce qui concerne la gestion de ces déchets de haute activité. Outre le fait que l’on pouvait produire de l’électricité avec ces derniers, la France pouvait se débarrasser avantageusement de ces déchets pas très encombrants mais dangereux. NERSA était un projet européen et d’autres pays étaient intéressés par cette technologie mais les écologistes ne l’entendaient pas de cette oreille parce qu’ils ne comprennent rien à cette problématique comme d’ailleurs en ce qui concerne l’agriculture.

En conclusion la position des écologistes en ce qui concerne les plantes transgéniques me consterne profondément : pourquoi ces écologistes ne se sont pas unis contre l’utilisation de la thérapie génique à ARN messager supposée protéger contre le coronavirus. Il s’agit pourtant d’une modification de l’appareil cellulaire d’êtres humains pour produire une protéine étrangère comme c’est le cas pour les plantes transgéniques ? En effet le maïs de Monsanto résistant au glyphosate sur-exprime la cible de cet herbicide, le produit de Pfizer ou Moderna, peu importe, induit une sur-expression par les cellules du sujet qui a subi cette injection de la protéine spike du coronavirus pour hypothétiquement le protéger contre ce virus, n’y a-t-il pas un parallèle troublant avec la plante transgénique de Monsanto ? Je serais très intéressé par la réponse des écologistes à cette question alors qu’ils sont restés sans voix à ce sujet !

Nouvelles peu rassurantes

L’article de H16 est illustratif du but recherché par l’injection d’ARN messager supposé « vacciner » contre le coronavirus : agir sur la fertilité humaine : Lien :https://h16free.com/2022/10/28/72001-cette-etrange-sous-natalite-occidentale

Il y a de nombreuses semaines le Professeur Didier Raoult avait montré au cours d’une de ses interventions en direct de l’IHU de Marseille que les anticorps dirigés contre la protéine spike du virus croisaient avec la syncytine, une protéine présente dans les muscles, la membrane basale et divers autres organes du corps. Cette démonstration faisait appel à une technique dite Western Blot. Brièvement il s’agit de séparer les protéines par électrophorèse puis d’appliquer un film de nitrocellulose sur le gel d’électrophorèse pour adsorber ces protéines sur le film. Ensuite on procède à un contact entre celui-ci et une dissolution d’un sérum dont les anticorps présents reconnaissent la sous-unité 1 de la protéine spike du virus, celle-la même codée par l’ARN contenu dans ce qui est appelé abusivement vaccin. Après rinçage on révèle la présence d’anticorps fixé sur la membrane de nitrocellulose à l’aide d’un anticorps anti-anticorps humain. C’est ainsi que la réactivité croisée avec la syncytine a été montrée.

La syncytine est absolument nécessaire pour l’implantation du placenta dans l’utérus, elle est également nécessaire pour la régénération des muscles et la formation des fibres musculaires issues de la fusion de plusieurs cellules musculaires ne contenant qu’un seul noyau en cellules multinuclées. Elle est enfin présente dans les gonades. Il est dès lors tout à fait évident que la présence d’anticorps anti-spike-1 chez les sujets dits « vaccinés » va provoquer des avortements, une diminution de la production de spermatozoïdes et probablement des enfants morts-nés car le placenta n’a pas été correctement arrimé à l’endomètre utérin et enfin des troubles au niveau du muscle cardiaque au sein duquel la régénération des fibres musculaires est constante au cours du temps.

Ce n’est pas un délire de ma part mais une simple constatation tout à fait troublante. Il suffit de franchir un tout petit pas pour comprendre la vraie finalité de cet ARN messager injecté à des centaines de millions de personnes sous un faux prétexte, celui de protéger contre le coronavirus. Je doute que qui que ce soit puisse obtenir les données corrélant le statut « vaccinal » des femmes ayant mis au monde un enfant mort in utero ou à la naissance. Je doute que le monde médical corrompu par les fabricants de ce pseudo vaccin avouent être complices de ces assassinats de masse, des troubles du cycle menstruel chez les femmes, de la baisse de la qualité du sperme ou encore des arrêts cardiaques imprévisibles. Merci Pfizer, merci Moderna, vous avez obéi le doigt sur la couture aux injonctions des fous qui veulent gouverner la planète entière, je veux parler et je n’ai pas peur de l’écrire des Klaus Schwab, des Bill Gates et de bien d’autres personnalités politiques.