Est-il déjà trop tard ? (suite et fin)

Les effets de la propagande « vaccinale » des gouvernements resteront imprimés dans le cerveau des peuples durablement. Cette propagande a été instillée dans les esprits en état de sidération profonde, la peur rendant impossible tout jugement et toute réflexion. Les techniques de propagande de Goebbels ont été remarquablement bien appliquées par les démocraties occidentales (ou ce qu’il en reste aujourd’hui) pour conforter le pouvoir des politiciens sur les peuples. Une citation de Goebbels admirablement appliquée depuis le début de la pandémie en Europe et d’autres pays occidentaux est la suivante : « C’est l’un des droits absolus de l’Etat de présider à la constitution de l’opinion publique ». Lorsque ma fille est venue profiter du climat de Tenerife durant la semaine de Noël je lui ai demandé pourquoi elle, son époux et ses enfants s’étaient pliés à la thérapie génique expérimentale qui ne dispose toujours que d’une autorisation temporaire d’utilisation. Elle m’a renvoyé deux arguments significatifs. D’abord elle a accordé toute sa confiance au gouvernement et ensuite avec le « vaccin » et le QR-code elle est libre de ses mouvements comme ses enfants et son époux. Ma fille aurait pu me répondre qu’elle ne voulait pas être sans arrêt emmerdée si elle refusait de se faire vacciner … Sans commentaire. Le gouvernement a appliqué à la lettre la citation de Goebbels. Ma fille ignore tout de la biologie puisqu’elle est mathématicienne, elle ne s’est posée aucune question et a fait confiance en l’Etat.

Il est vrai qu’encore aujourd’hui on maintient la peur dans la population malgré le fait que le mutant « omicron » n’est pas plus dangereux qu’un gros rhume et il ne tue pas plus de personnes qu’une grippe saisonnière habituelle, plutôt moins en réalité. Cette peur est entretenue parce que des tests sont réalisés systématiquement malgré le fait que ces tests ne sont pas fiables comme l’a souligné l’OMS. Et, mutant omicron ou delta, les traitements précoces connus mais toujours interdits pourraient encore sauver des vies. À ce sujet je me demande si une pilule d’Ivermectine ne serait pas un moyen de traiter un rhume presque instantanément puisque tous les rhumes sont provoqués par des coronavirus.

J’en viens donc à l’autre aspect de ces interdictions de l’HCQ et de l’Ivermectine en citant mon cas personnel, je me moque en effet du secret médical en ce qui me concerne, pour mettre en évidence l’effet pervers des décisions gouvernementales au niveau des praticiens hospitaliers et de ville. En avril 2020 tout était prêt pour que je me soumette à une radiothérapie supposée venir à bout d’une petite tumeur de la prostate. Quand l’oncologue m’a dit que je devais me soumettre à un test PCR chaque lundi j’ai dit que ce serait inutile car j’avais été infecté par le coronavirus quelques semaines auparavant et que si j’avais survécu c’était uniquement parce que je m’étais traité avec de la chloroquine. Il s’est levé de son siège furieux. J’ai cru qu’il allait m’agresser. J’ai quitté son bureau et je n’ai pas donné suite à la radiothérapie … Je suis toujours en vie. 

L’autre situation vécue a révélé l’indigence intellectuelle des médecins y compris les spécialistes. Le coronavirus avait provoqué des thromboses aux pieds et également au niveau de mes mains. Deux médecins généralistes du centre de santé dont je dépendais (je n’y ai jamais remis les pieds) m’ont prescrit des antibiotiques sans même me demander si j’avais une inflammation inguinale ou si j’avais de la fièvre, alors que des cas de thrombose étaient déjà décrits dans la littérature médicale au sujet du coronavirus. Pire encore au service d’urgence le médecin, considérant que je souffrais d’une infection monstrueuse, a incisé le dessus de mon pied gauche et y a injecté de la betadine : un vrai geste de « professionnel ». Je ne suis pas encore atteint par le gâtisme et j’ai lu des centaines d’articles scientifiques au sujet du coronavirus et j’ai également consulté les monographies de divers hôpitaux américains. J’ai pu diagnostiquer ce dont je souffrait et dont je souffre toujours. Il s’agit d’un urticaire géant chronique d’origine auto-immune : traitements par des stéroïdes ou … de l’hydroxychloroquine mettant à profit les propriétés immuno-modulatrices de cette molécule.

Quand par trois fois (je n’entre pas dans les détails) des médecins vous traitent presque de terroriste pour avoir osé s’administrer sans ordonnance de la chloroquine, la conclusion est claire, ils ont été littéralement imbibés par la propagande gouvernementale qui a interdit ces produits ici en Espagne comme dans de nombreux pays européens. Enfin l’indigence intellectuelle de tous ces médecins est affligeante. Ils n’ont toujours aucune idée des formes secondaires que revêt l’infection par le coronavirus car ils n’ont pas le temps de s’informer et les services publics n’ont pas fait leur travail de formation. Il est évident que lorsqu’une nouvelle maladie apparaît le devoir d’un médecin est de s’informer. Certes les médecins généralistes en première ligne ont été privés des traitements précoces mais, tout de même, examiner de loin un malade sans lui poser de questions et ne pas examiner les analyses sanguines constituent des manquements graves à leur profession. « Prenez du paracétamol et rentrez chez vous », tel était le mot d’ordre du gouvernement, ici, en Espagne comme en France. Et maintenant c’est : « si vous n’êtes pas vacciné vous êtes un hors-la-loi ».

Enfin, comme une sorte d’apothéose de l’image de la médecine étatique, ici en Espagne comme en France, un médecin, une femme, m’a examiné à l’hôpital pour réaliser un « doppler » des artères des jambes. Elle a fait son travail et m’a annoncé que mon artère vertébrale droite présentait un déficit de plus de 50 % du flux sanguin. Je lui ai répondu que je le savais depuis plus de 20 ans et qu’elle était censée réaliser un doppler des artères descendantes des membres inférieurs. Étonnée par ma remarque elle m’a déclaré que l’état de ma peau qu’elle avait entrevu lorsque j’avais ôté ma chemise n’avait rien à voir avec la circulation sanguine, qu’elle était d’origine psychosomatique et que je devrais consulter un psychiatre. Depuis ce jour je ne suis plus jamais allé revoir un médecin et pour être presque aussi grossier que le Président Macron je les considère tous comme des imbéciles incompétents et c’est certainement aussi le cas en France dans la majorité des cas : des médecins qui ne travaillent que pour payer leurs impôts, les tailleurs Chanel de leur épouse et les pneus de leur Porsche. L’avenir de la médecine est tout à fait réjouissant.