Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?

Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.

Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.

Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg

Il est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna. L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.

Le caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf

Nouvelles du japon : « vaccination anti-covid » et rappels historiques

Quand le gouvernement japonais conseillait aux citoyens du pays de consentir à se faire injecter ce « vaccin » innovant constitué d’un ARN messager synthétique codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, cette population considéra qu’il était essentiel de suivre ces conseils. Le gouvernement du Japon ne pouvait pas obliger son peuple à se plier à cette thérapie génique car une telle décision aurait été contraire à la Constitution. Le docilité des Japonais les a conduit à en arriver à décider par eux-mêmes de subir jusqu’à deux rappels lorsque les derniers sursauts épidémiques dévastateurs furent les plus importants, et pour cause : ces injections de pseudo-vaccins ont fragilisé les défenses immunitaires de l’organisme provoquant alors un plus important nombre de cas graves et de décès.

Cette apparente passivité, ou fatalité, des Japonais commence à inquiéter certains hommes politiques. Des voix discordantes osent maintenant présenter les faits. Toutes causes confondues il y a eu 1,58 millions de décès en 2022, année traversée par trois vagues épidémiques coronavirales alors que les premières injections de pseudo-vaccins avaient débuté durant la première moitié de l’année 2021. La thérapie génique provenait essentiellement des laboratoires Pfizer. Si on détaille ce nombre de morts toutes causes confondues entre 2021 et 2022 le nombre supplémentaire de morts a atteint 140000 et par rapport à l’intervalle 2020-2022 ce nombre est de 210000 morts. Une cause supplémentaire de décès est donc évidente si on compare ces chiffres avec un effet accru au cours de l’année 2022. tous les statisticiens japonais curieux se sont heurtés au manque criant de données, le système de signalement des effets indésirables de la thérapie génique étant très mal organisé, à dessein peut-être.

Sur seulement 260 cas étant considérés comme pouvant être liés à la « vaccination », 52 d’entre eux ont été étudiés en détail après autopsie et confirmés comme étant probablement induits par cette « vaccination » par un comité mis en place par le gouvernement et appointés par ce dernier, constitué par un ensemble de personnalités dont l’incompétence a été dénoncée par certains médias japonais sans insister car au Japon la coutume consiste à ne pas blesser une personne par des propos directs : on utilise plus volontiers des périphrases sibyllines plutôt que des arguments chocs. Ce comité ad hoc a simplement déploré le manque d’informations et déclaré qu’il lui était impossible de se faire une opinion, une belle démonstration de l’adage « il ne faut froisser personne »… Par conséquent sur ces 52 cas mentionnés ci-dessus un seul a été dûment classé comme un décès directement lié à l’injection de l’ARN messager.

Cette attitude évasive adoptée par les autorités gouvernementales japonaise est un reflet du comportement du peuple japonais. Il m’est donné ici l’occasion de répéter que le Japon est une colonie des Etats-Unis depuis la capitulation sans conditions de l’Empereur Showa le 2 septembre 1945 à bord de l’USS Missouri mouillant dans la baie de Tokyo. Cet empereur, 124e du nom, descendant des dieux est plus connu en Occident sous le nom de Hirohito. Avoir été humilié ainsi par les Américains faisait partie de la stratégie de ces derniers de continuer à toujours humilier le peuple japonais jusqu’à aujourd’hui. Toutes les décisions politiques de portée internationale choisies par la Diète doivent recevoir l’agrément des Etats-Unis, ce qui paraît assez surréaliste mais c’est pourtant la vérité. Il y a plus de 60000 personnels de l’armée américaine au Japon et toute protestation des japonais eux-mêmes n’est pas de mise. En ce qui concerne ces escroqueries vaccinale en 77 ans, trois générations, les Japonais ont acquis l’habitude de se plier aux injonctions autoritaires des Américains, qu’il s’agisse de faits de société, de négociations commerciales ou politiques et dans bien d’autres domaines. Le « parapluie militaire américain » est devenu caduque puisque autant la Chine que la Corée du Nord disposent maintenant de vecteurs hypersoniques indestructibles, un « petit » détail qui revêt une importance capitale.

Je me suis rendu à plusieurs reprises dans le sanctuaire de Yasukuni ainsi qu’au Musée Edo à Tokyo. Om peut y voir de nombreuses évocations de l’ampleur des destructions effectuées par les Américains au cours des années 1944-1945 en particulier à Tokyo. Les deux tiers de la ville furent rasés par des bombardements américains incessants et aveugles. Quelque part dans la mémoire collective japonaise il reste encore aujourd’hui un mélange de peur mêlée de ressentiment qui ne transparaît pas car fondamentalement les Japonais sont respectueux et ne veulent en aucun cas créer de conflit avec l’occupant américain.

Lien : https://www.bitchute.com/video/pwTP8sEN90Ew/

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Commission européenne : corruption à tous les étages

Virginie Joron, députée française au parlement européen s’est fixé comme mission d’élucider le scandale européen des vaccins. Et l’ambiance à la Commission européenne affaiblie par le scandale de la corruption d’une des vice-présidente de nationalité grecque par l’Émirat du Qatar n’est pas vraiment réjouissante à l’approche de la nouvelle année. La révélation des scandales va se succéder dès la rentrée parlementaire car il faudra un jour ou l’autre nettoyer les écuries d’Augias. Malgré des requêtes répétées des commissions d’enquête les députés européens membres de cette commission dédiée au problème de l’achat de « vaccins » reste toujours opaque. Le contrat d’achat de ces produits nouveaux est illisible car tous les passages importants du document ont été grisés. Personne ne connait en détail les clauses de ces contrats apparemment conclus directement entre la Présidente de la Commission et le Directeur exécutif de Pfizer selon un protocole digne d’un roman feuilleton. Jamais les messages téléphoniques entre Ursula von der Leyen et le Directeur de Pfizer n’ont été communiqué à la commission parlementaire. Ce que l’on sait à peu près surement est l’achat de 5 milliards de doses à un prix compris entre 17 et 20 euros la dose. Pourquoi 5 milliards de dose ? Pour enrichir Madame von der Leyen qui se prend pour la chancelière du quatrième reich à la tête de la commission européenne …

On continue donc à écouler ces petites fioles de produit toxique et aux conséquences mortelles en répétant inlassablement qu’elles protègent contre le coronavirus et qu’elles préviennent les formes graves et les contaminations. Toutes ces affirmations sont fausses et les nombreux travaux de scientifiques honnêtes non corrompus par Pfizer ou d’autres officines pharmaceutiques apportent des preuves presque quotidiennement. Et pourtant les pouvoirs politiques nationaux ont à nouveau décidé d’encourager un nouvelle injection de ce produit inefficace et dangereux qui, comme les épidémiologistes l’avaient bien prédit, a de nouveau fait son apparition. Malgré sa létalité amoindrie ce nouveau mutant reste mortel et le paradoxe est que le nombre de nouveaux cas et de létalité sont proportionnels au nombre d’injections pratiquées. Voici une illustration parue sur le site covid-factuel.fr qui montre qu’en France la situation est claire : la « vaccination » favorise l’infection par le virus et le nombre de décès augmente d’autant.

Chers compatriotes, ne vous y trompez pas, vous vous soumettez à une quatrième injection par civisme, ignorance, crédulité, voire fatalisme mais vous paierez toutes ces doses avec vos impôts, c’est-à-dire 100 euros !, pour éventuellement en mourir, Madame von der Leyen en a décidé ainsi. Un jour ou l’autre cette personne se retrouvera devant un tribunal pour rendre des comptes aux 450 millions d’Européens qu’elle a trompé. Écoutez les propos de Virginie Joron et penchez-vous sur ce billet de covid-factuel factuel dont voici les liens :

https://www.covid-factuel.fr/2022/12/19/comment-mettre-fin-a-lepidemie-de-covid-19/ et https://www.youtube.com/watch?v=uPn4nnqk8zc

SARS-CoV-2 : le bout du tunnel ?

Il reste encore trop de zones d’ombre au sujet de la pandémie de coronavirus qui débuta il y a 3 ans quelque part à Wuhan en Chine juste au moment où se déroulaient les jeux olympiques militaires internationaux, trop de zones d’ombre pour s’en désintéresser. De nombreux athlètes regagnèrent leur pays atteints d’une maladie mystérieuse et inconnue qui ne fit l’objet d’aucune « une » dans la presse jusqu’à l’apparition de foyers infectieux en particulier en Savoie et en Italie centrale. Ce qu’on ignorait à l’époque, du moins ce que les médias ignoraient, était le fait que tout était déjà plié : le mécanisme international de corruption allait prendre en main la suite des évènements avec l’appui bienveillant de l’OMS et du NIH, entre autres organismes. Le moindre petit grain de sable dans les rouages de cette manipulation internationale issue des Etats-Unis devait être éliminée, je vais revenir sur ce point dans le suite de ce billet.

Ce qui m’a déterminé à revenir à nouveau sur cette pandémie est une transcription d’un exposé du sénateur australien Gerard Rennick qui en quelques minutes détruit point par point la machination de la « vaccination », conséquence de la pandémie de SARS-CoV-2 : https://crowdbunker.com/@leLibrePenseurOrg . Ne tentez pas de visualiser cette intervention du sénateur australien sans sous-titre, son accent du Queensland profond est inaudible y compris pour un anglophone comme votre serviteur. L’autre fait qui m’a également motivé est une retransmission d’une table ronde organisée par la Vaccine Safety Research Foundation paru ce 13 décembre 2022 sur Rumble dont voici le lien : https://rumble.com/v20gj44-bret-weinstein-robert-malone-md-and-steve-kirsch-save-the-world-in-3-steps-.html et celui permettant de sélectionner les interventions de chacun des participants à cette table ronde :https://rumble.com/c/VaccineSafetyResearchFoundation .

J’aborderai le premier fait révélateur de la machination sous-jacente qui accompagna cette pandémie jusqu’à ce jour. Il s’agit du traitement précoce de l’infection par le SARS-CoV-2 avec l’hydroxychloroquine préconisé très tôt par le Professeur Didier Raoult. Il appliqua ce type de traitement à la fin des années 1990 pour traiter la fièvre Q en associant la chloroquine à un macrolide ou d’autres antibiotiques comme la doxycycline, une tétracycline (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1529-8019.2009.01244.x ). L’utilisation de la chloroquine (600 mg par jour) pour traiter la fièvre Q et d’autres rickettsioses découlait de l’observation que cette molécule alcalinise les lyzosomes et favorise donc la mort du parasite intracellulaire obligatoire, un peu comme un virus qui peut être également considéré comme un parasite intracellulaire. Les premières observations cliniques du Professeur Raoult démontrèrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour réduire en quelques jours la charge virale en SARS-CoV-2 chez des patients infectés par ce virus. Quelle ne fut pas la véritable chasse aux sorcières dont fut victime le Professeur Raoult car il était le « grain de sable » pouvant bloquer tout le complot qui prenait forme autour de la pandémie. En effet la séquence de l’ancêtre le plus proche du SARS-CoV-2, RaTG13, comparée à celle de ce dernier révélera par la suite que ce virus avait été modifié au niveau du gène codant pour la protéine spike par l’insertion d’une séquence de 19 nucléotides qui avait fait l’objet d’un brevet déposé par la société Moderna en 2019 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ et https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fviro.2022.834808/full ). Ce qui était troublant dans cet article était la présence de deux codons CGG codant pour l’arginine qui sont extrêmement rares dans toutes les séquences de coronavirus connues. Ce simple fait signe une manipulation dans un laboratoire. Donc les grandes firmes pharmaceutiques étaient déjà prêtes à produire un « vaccin » basé sur de l’ARN messager dérivé de celui du virus codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike partant du principe trompeur que si l’organisme recevant cet ARN messager synthétisait cette protéine, alors elle servirait à induire une réponse immunitaire et protégerait ainsi contre une infection par le SARS-CoV-2.

Le grain de sable, la bête noire à pourchasser devenait de facto l’animal nuisible à pourchasser. Tout fut fait pour persécuter cet éminent scientifique parce qu’il contrecarrait les projets des grandes entreprises pharmaceutiques. Une telle série d’évènements laisse des traces indélébiles dans la mémoire et le simple exposé que je viens de brosser ci-dessus prouve indirectement la culpabilité de ces grandes entreprises pharmaceutiques. Dès le retour des athlètes de Wuhan le virus se répandit dans le monde entier et il devenait donc urgent de mettre les grands moyens en œuvre pour ouvrir le marché de cette thérapie génique. À ce jour près de 5 milliards de personnes ont reçu au moins deux doses de cet ARN messager dans le monde avec un succès proche de zéro, j’y reviendrai. Le deuxième grain de sable qui subit le même traitement médiatique et politique fut l’ivermectine qui apparut dans ce mécanisme diabolique fomenté par les laboratoires pharmaceutiques mais quelques mois plus tard.

Le docteur Robert Malone a bien résumé ce que je viens d’écrire (https://rwmalonemd.substack.com/p/irreparable-vaccine-induced-harm ) et il a ouvert le débat au sujet de l’imprévisible désinvolture des grands laboratoires pharmaceutiques occidentaux. Le cas de l’interdiction de l’ivermectine a fait l’objet de nombreux débats dont celui mené par le Docteur Pierre Kory par exemple ici : https://www.lewrockwell.com/2022/10/joseph-mercola/the-war-on-ivermectin/ .

Je reviens donc ici sur le problème de la stoechiométrie vaccinale qui a été éludée par ces firmes pharmaceutiques. Un vaccin contre un virus classique est constitué de ce virus obtenu après culture dans des œufs ou des cultures de cellule puis désactivé pour qu’il perde ses propriétés pathogènes. On injecte à un sujet une quantité connue de particules virales et le résultat prouvé après de longues études est une immunité acquise satisfaisante. Au cours de ces longues études tous les effets secondaires possibles et déjà répertoriés pour d’autres vaccins sont explorés en profondeur au cours d’essais cliniques longs et coûteux. L’énorme différence avec la thérapie génique utilisée dans l’espoir d’immuniser les sujets est que dans ce dernier cas cette stoechiométrie n’est pas contrôlable. L’organisme du receveur va synthétiser avec sa machinerie cellulaire un nombre de copies inconnu d’une protéine, la sous-unité-1 de la protéine spike codée par l’ARN messager synthétique injecté, qui s’est révélée par la suite toxique car c’est précisément elle qui confère au virus sa toxicité en particulier au niveau circulatoire sanguin. Confrontés à ce problème très grave sinon criminel ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont organisé auprès des gouvernements une sorte d’omerta en ce qui concerne ces effets secondaires. Sur les quelques 4 à 5 milliards de personnes dans le monde ayant reçu de gré ou de force et sans aucune information cet ARN messager le nombre d’effets secondaires toutes causes confondues n’a jamais été corrélé à ces injections, et pour cause il fallait en dissimuler l’ampleur. Les estimations font état de 45000 sujets ayant fait l’objet de rapports détaillés transmis aux organismes ad hoc nord-américains ou européens, 45000 tous effets confondus y compris les morts subites quand celles-ci étaient prises en compte. La mise en forme d’un dossier « effets secondaires » est tellement laborieuse que les médecins traitants négligent de faire remonter les informations dont ils disposent. Outre ces complications administratives les autopsies de patients ayant succombé subitement après ces injections ont été découragées voire interdites. C’est dire à quel point les laboratoires pharmaceutiques se sentent gênés ! Bref, moins de 1 % des dossiers sont remontés auprès des instances administratives dédiées. On peut donc raisonnablement considérer que ce nombre d’effets secondaires pourrait atteindre 5 millions de patients seulement dans les pays occidentaux. Et le nombre de morts consécutifs à une injection d’ARN messager est difficilement comptabilisable malgré le fait qu’on découvre peu à peu une surmortalité « inexplicable » dans de nombreux pays occidentaux, de la Nouvelle-Zélande au Québec en passant par Israël, pays qui ont rendu cette « vaccination » obligatoire alors que cette obligation est contraire au droit international.

En conclusion de cette longue prose il faut que des personnes courageuses, comme par exemple Madame Virginie Joron, députée européenne, qui tente vainement de soumettre la présidente de la Commission européenne à un interrogatoire devant l’Assemblée parlementaire européenne, que des élus de ces instances européennes et des élus de divers pays décident de faire toute la lumière sur ce scandale, sur ce crime organisé par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité des instances sanitaires internationales et nationales et encouragés par les médias et les décideurs politiques. Il y a comme une forte odeur de corruption, pensez-donc : au minimum dix à 15 ­ milliards de doses à 15 dollars en moyenne l’unité c’est un gigantesque profit pour ces entreprises sans foi ni loi, la plupart d’entre elles déjà condamnées par le passé pour comportement frauduleux ou mensonger.

SARS-CoV-2 ou ARN messager : que choisir ?

Selon les dernières statistiques disponibles il y aurait eu dans le monde entier 6 millions de morts provoquées par l’infection avec le coronavirus. Cette estimation globale comprend toutes les souches mutantes qui se sont succédées au cours de cette pandémie, soit un taux de mortalité global conforme aux premières prévisions des épidémiologistes de l’ordre de 0,075 % ou 1 décès pour 1350 personnes ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_deaths ). Pour l’ensemble de l’Europe, Turquie et Russie comprises, le nombre de décès a atteint 1,77 million ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Europe ).

Comparons ces données, au moins pour l’Europe, au nombre d’effets secondaires de la thérapie génique par ARN messager synthétique abusivement appelée vaccin. Malgré une très grande incertitude entourant cette estimation, le chiffre de 5 millions de personnes souffrant d’effets secondaires temporairement invalidant a été avancé. Toutes les études relatives à ces effets secondaires sont entachées d’erreurs dont la source se situe à deux niveaux. D’une part les autorités de santé des divers pays refusent d’admettre une relation directe de cause à effet entre cette thérapie génique et les effets secondaires observés et péniblement reportés dans les statistiques nationales. D’autre part le nombre de décès liés à cette thérapie est tout simplement ignoré voire nié par ces mêmes autorités. Toutes sortes de dispositions législatives ont été mises en place pour faire obstruction à cette remontée des données fournies par les médecins traitants. Menaces, interdictions de pratiquer des autopsies, falsification des causes de la mort dans les certificats de décès, … ont contraint les médecins à ne plus faire remonter l’information auprès des autorités de santé. Tant aux USA avec le système de veille VAERS qu’en Europe avec le système mis en place par l’Agence européenne du médicament, cette collecte des données est très largement sous-estimée. On estime que les statistiques disponibles sont sous-estimées d’un facteur maximal de 25 correspondant à une prise en compte de seulement 4 % des déclarations des médecins traitants.

Pourtant, par d’autres biais on a pu faire une estimation de ce nombre de décès en analysant les informations produites par les compagnies d’assurance et aussi, aussi curieusement que cela puisse paraître, des compagnies de pompes funèbres. De mémoire (j’ai malencontreusement égaré la référence) il y aurait eu en Europe, non comprises la Russie et la Turquie, depuis le début de la mise en place de la thérapie génique supposée protéger la population contre l’infection par le coronavirus, entre 100000 et 250000 décès directement attribuables à cette thérapie malgré les dénégations des autorités de santé nationales et européennes. Il s’agit de l’estimation brute obtenue en interrogeant également plusieurs milliers de médecins traitants choisis au hasard dans divers pays européens sous couvert d’anonymat.

Si on rapproche cette estimation non officielle de la grave sous-estimation des statistiques gouvernementales et européennes, dans l’hypothèse médiane on arrive alors à un nombre de décès consécutifs à cette thérapie génique de 100000 x (25/2) = 1,25 millions de morts dont la cause suspectée est liée à celle thérapie. L’obligation « vaccinale » mise en place par les décideurs politiques de divers pays européens est donc clairement criminelle. La planification d’une nouvelle campagne de « vaccination » à l’aide d’un mélange d’ARNs codant pour la souche originelle dite de Wuhan et pour le dernier en date des mutants de la souche générique omicron s’avère déjà dévastatrice sur le plan des effets secondaires. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il soit mis un terme à toute cette mascarade ? J’utilise le terme mascarade à dessein car les décisions politiques prises tant par la Commission européenne que par les gouvernements nationaux dissimule l’objectif de diminution de la population décidé par des pouvoirs obscurs comme de WEF, le Club de Bilderberg et d’autres instances supranationales reprenant les théories malthusiennes du Club de Rome. Il n’est pas fortuit que l’on fasse en ce moment même grand cas d’une population mondiale qui aurait atteint 8 milliards de personnes. Cette information constitue un alibi pour justifier une nouvelle campagne de « vaccination ». Bienvenue dans un monde meilleur sans surpopulation, sans pollution urbaine, sans changement climatique, sans guerres !

Nouvelles peu rassurantes

L’article de H16 est illustratif du but recherché par l’injection d’ARN messager supposé « vacciner » contre le coronavirus : agir sur la fertilité humaine : Lien :https://h16free.com/2022/10/28/72001-cette-etrange-sous-natalite-occidentale

Il y a de nombreuses semaines le Professeur Didier Raoult avait montré au cours d’une de ses interventions en direct de l’IHU de Marseille que les anticorps dirigés contre la protéine spike du virus croisaient avec la syncytine, une protéine présente dans les muscles, la membrane basale et divers autres organes du corps. Cette démonstration faisait appel à une technique dite Western Blot. Brièvement il s’agit de séparer les protéines par électrophorèse puis d’appliquer un film de nitrocellulose sur le gel d’électrophorèse pour adsorber ces protéines sur le film. Ensuite on procède à un contact entre celui-ci et une dissolution d’un sérum dont les anticorps présents reconnaissent la sous-unité 1 de la protéine spike du virus, celle-la même codée par l’ARN contenu dans ce qui est appelé abusivement vaccin. Après rinçage on révèle la présence d’anticorps fixé sur la membrane de nitrocellulose à l’aide d’un anticorps anti-anticorps humain. C’est ainsi que la réactivité croisée avec la syncytine a été montrée.

La syncytine est absolument nécessaire pour l’implantation du placenta dans l’utérus, elle est également nécessaire pour la régénération des muscles et la formation des fibres musculaires issues de la fusion de plusieurs cellules musculaires ne contenant qu’un seul noyau en cellules multinuclées. Elle est enfin présente dans les gonades. Il est dès lors tout à fait évident que la présence d’anticorps anti-spike-1 chez les sujets dits « vaccinés » va provoquer des avortements, une diminution de la production de spermatozoïdes et probablement des enfants morts-nés car le placenta n’a pas été correctement arrimé à l’endomètre utérin et enfin des troubles au niveau du muscle cardiaque au sein duquel la régénération des fibres musculaires est constante au cours du temps.

Ce n’est pas un délire de ma part mais une simple constatation tout à fait troublante. Il suffit de franchir un tout petit pas pour comprendre la vraie finalité de cet ARN messager injecté à des centaines de millions de personnes sous un faux prétexte, celui de protéger contre le coronavirus. Je doute que qui que ce soit puisse obtenir les données corrélant le statut « vaccinal » des femmes ayant mis au monde un enfant mort in utero ou à la naissance. Je doute que le monde médical corrompu par les fabricants de ce pseudo vaccin avouent être complices de ces assassinats de masse, des troubles du cycle menstruel chez les femmes, de la baisse de la qualité du sperme ou encore des arrêts cardiaques imprévisibles. Merci Pfizer, merci Moderna, vous avez obéi le doigt sur la couture aux injonctions des fous qui veulent gouverner la planète entière, je veux parler et je n’ai pas peur de l’écrire des Klaus Schwab, des Bill Gates et de bien d’autres personnalités politiques. 

Le scandale des vaccins à ARNm prend de l’ampleur

Selon une statistique regroupant l’ensemble des grandes compagnies d’assurance américaines prenant en charge entre autres frais ceux des obsèques l’augmentation du nombre de décès toutes causes confondues rapportées à 12 mois depuis le début de la campagne de vaccination contre le coronavirus a été de 40 % dans la seule tranche d’âge 18-50 ans. Compte tenu du nombre de décès par millier d’habitants des Etats-Unis de 8,38 par an (source CIA, mais il n’existe pas de statistiques concernant cette même tranche d’âge) cette augmentation correspondrait alors à 1,13 millions de décès supplémentaires au maximum. Il est donc difficile d’évaluer précisément ce nombre de décès supplémentaires. Il y a plus alarmant encore, ces mêmes compagnies d’assurance ont constaté une augmentation de 269 % d’infarctus du myocarde, un triplement du nombre de fausses-couches, un triplement des cas de paralysies faciales, 156 % d’augmentation du nombre de malformations congénitales, 467 % d’augmentation du nombre d’embolies pulmonaires, et enfin un triplement du nombre de cancers et de troubles neurologiques. Le nombre de cas d’infertilité féminine en augmentation de 471 % durant cette même période courant sur 12 mois doit être considéré avec précaution car le recul n’est pas suffisant pour atteindre une certitude suffisante.

Et pendant ce temps-là le gouvernement américain vient d’acheter 300 millions de doses de « vaccin » à Pfizer pour la très rondelette somme de 9 milliards de dollars dont une partie a été reformulée pour les enfants de moins de 5 ans. Je trouve qu’il y a comme une forte odeur de corruption car le chiffre d’affaire de Pfizer devrait atteindre en cette fin d’année 2022 quelques 130 milliards de dollars … Quelques dizaines de millions de dollars distribués ici ou là et l’affaire est bouclée. Que représente une vie humaine pour ce super-géant de l’industrie pharmaceutique ? Et, comme en Europe, les décideurs politiques ne veulent pas entendre parler de ces statistiques.

La situation prend une tournure inattendue avec le dépouillement minutieux des documents remis par la firme Pfizer à la FDA qui ont été rendus publiques sur décision de la justice. Au cours des essais dits internes de Pfizer il fut constaté plus de 42000 effets indésirables et plus de 1200 décès. Pourtant la FDA a approuvé cette thérapie génique alors qu’elle aurait été normalement interdite en raison de ces résultats qui devaient rester secrets pendant 75 ans. La FDA comme l’Agence européenne du médicament sont des organismes censés protéger la santé des citoyens. Il n’en est rien et comme je viens de l’écrire plus haut il y a comme une très forte odeur de corruption. Enfin injecter des enfants de moins de cinq ans avec ce poison est un crime qui devra un jour ou l’autre est puni !

Sources : https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/ et aussi : https://nouveau-monde.ca/les-effets-secondaires-graves-des-injections-experimentales-eclatent-au-grand-jour-dans-le-monde-entier/ et encore :https://laplumeducitoyen.org/2022/07/04/effets-secondaires/ puis pour ceux qui sont accrocs aux entrevues télévisuelles : https://www.youtube.com/watch?v=sy4hBJOTolo

Coronavirus : on marche maintenant sur la tête !

Il ne fait maintenant plus aucun doute que la « vaccination » à l’aide d’ARNm est toxique, qu’elle ne protège pas contre l’infection par le coronavirus, qu’elle tue et qu’elle fait apparaître une multitude de symptômes après lesquels certaines personnes deviennent infirmes à vie sans oublier les profondes perturbations du cycle menstruel des femmes et les fausses-couches en cours de grossesse. Tout cela est nié en bloc par les institutions étatiques, fédérales ou communautaires (en ce qui concerne l’Europe). Non ! Il n’y a pas de relation de cause à effet et il n’est pas prouvé que cet ARNm codant pour l’une des sous-unités de la protéine spike du SARS-CoV-2 puisse conduire à une telle multitude d’effets secondaires. On nage aujourd’hui dans le plus incroyable délire. En effet, comme je l’ai encore rappelé dans un tout récent billet sur ce blog les deux molécules génériques utilisées depuis des dizaines d’années pour traiter diverses infections et parasitoses, prescrites des milliards de fois dans le monde entier, ont été interdites d’utilisation par les autorités de santé sous la pression des laboratoires pharmaceutiques, véritables Etats de par leur puissance financière, pour les traitements précoces de l’infection par le SARS-CoV-2. Des molécules efficaces disponibles mais ne rapportant pas le moindre dollar à ces laboratoires pharmaceutiques devaient absolument être interdites. En France ce ne sont pas des clowns comme Buzin, Delfressy ou Véran, ni le chef de l’Etat, qui ont pris cette décision car l’ordre venait de beaucoup plus haut. Et c’est à ce point qu’il faut introduire le billet de Paul Craig Roberts, encore lui, à ce sujet, daté du 28 juin 2022. Cf. le commentaire en fin de billet.

Deux médecins ont trouvé un traitement pour les millions de patients victimes du « vaccin » contre le coronavirus

Officiellement, personne n’a été victime du vaccin. Les autorités corrompues dans la poche de Big Pharma disent que les effets secondaires du vaccin sont une « légende urbaine ». En fait, il y a des millions de victimes de ce vaccin. Comme le système médical corrompu ne reconnaîtra pas cette vérité, des médecins courageux que le système cherche désespérément à détruire développent des protocoles de traitement qui fonctionnent. L’ivermectine, le remède contre la COVID-19 qui a été officiellement interdit afin de faire place à des milliards de dollars de profits avec ces « vaccins », s’est avérée efficace également pour le traitement des effets secondaires provoqués par ce « vaccin ».

Les Américains doivent comprendre que les grandes sociétés pharmaceutiques, les officines médicales et les prétendues « agences de santé publique » des NIH, des CDC et de la FDA, qui sont en fait des agents de marketing corrompus pour les grandes sociétés pharmaceutiques, constituent une menace massive pour la santé publique. De plus, Big Pharma et ses subventions de « recherche » avec les assureurs de santé privés éliminent progressivement la pratique médicale privée, forçant les médecins à jouer le rôle d’employés qui doivent suivre les protocoles élaborés par Big Pharma et ses agents ou être congédiés. De plus en plus, les médecins sont des employés d’organismes de « soins de santé » motivés uniquement par le profit. Ces médecins ont perdu leur indépendance, et cette perte d’indépendance est la raison pour laquelle tant de gens ont été assassinés et meurtris gratuitement par les vaccins à ARNm.

Le fait est que les Américains ne peuvent faire confiance à leur système de santé ou aux organismes « publics » chargés de le réglementer. Le système de santé est entièrement pris en charge par les grandes sociétés pharmaceutiques. Cette vidéo d’un journaliste d’investigation interviewant deux des principaux médecins qui se battent depuis le début pour défendre les traitements dits précoces afin de sauver des vies (selon leurs dires 80 % des décès auraient pu être aisément évités). La prévention du décès par ces injections toxiques de soit-disant vaccin est l’une des sources d’information les plus importantes pour comprendre la corruption totale de la santé publique par l’argent.

J’ajouterai en conclusion un bref commentaire : selon les résultats thérapeutiques de ces médecins, Pierre Kory et Paul Marik, l’Ivermectine présente des effets curatifs incontestables contre les effets secondaires de la « vaccination » par ARN messager. L’Ivermectine ayant été interdite de prescription pour le traitement précoce de l’infection par le virus lui-même il est donc évident que les laboratoires pharmaceutiques feront tout pour nier l’existence même de ces effets secondaires. Enfin, pour rajouter un peu de beurre dans la soupe d’épinards de ce complot « coronavirus-vaccin ARN » une étude basée sur les statistiques des grandes compagnies d’assurance et extrapolée à la population américaine totale fait état d’au moins 600000 décès provoqués par la « vaccination ». Ce sont les actuaires de ces compagnies qui l’on indiqué. En quelques mois l’injection irraisonnée de cet ARN messager a dépassé le nombre de morts en dix ans provoqués par l’usage démesuré de l’oxycodone (Purdue Labs conseillés par McKinsey). On se trouve ainsi en plein surréalisme. Va-t-on devoir se soigner avec de l’Ivermectine pour ne pas risquer de mourir des effets secondaires du « vaccin » ? Ce sera une première mondiale. On marche sur la tête !https://www.redvoicemedia.com/video/2022/05/amazing-new-discoveries-for-treating-the-vaccine-injured-dr-kory-dr-marik-break-down-their-findings-video-interview/

Le jour des Saints Innocents … arrive avec la « vaccination » des enfants

Quelle que soit la foi qu’on accorde à la réalité historique des textes religieux, en soi déjà tissés d’anathèmes et de guerres, la bible relate des épisodes encore plus sombres : craignant l’avènement d’un roi qui contesterait leur trône, Pharaon d’abord, Hérode ensuite, déclenchèrent des massacres d’enfants. Dans les calendriers, selon les cultures, on fête le Jour des Saints Innocents au choix le 28 ou le 29 décembre.

À un moment donné dans ce passé très lointain, il y a eu probablement un (petit) fond de vérité dans ces histoires, et le mythe s’est amplifié au cours des époques.

Si l’espèce humaine existe encore dans cent ans, dans mille ans, que devront écrire nos descendants dans les livres d’histoire, dans les contes de croquemitaines, dans les mythes et légendes à propos de notre époque ?

« Il était une fois un monde si fou, si terrorisé par sa finitude, qu’un jour, à cause d’une maladie qui n’était de loin pas la peste noire, le choléra ou le typhus, ce monde décida une bonne fois pour toutes d’éradiquer cette maladie. Faisant fi de toute rationalité, de toute prudence, de tout effort de réflexion, il se lança dans une croisade contre ce virus inopportun qui le narguait en mutant tant et plus.

Alors qu’une partie de la planète circulait en roulant à gauche et l’autre à droite, alors que coexistaient des milliers de langues et d’alphabets, alors qu’ici on mesurait en mètres et litres et là en yards et gallons, tout d’un coup un consensus international inédit se créa autour de la maladie, poussant tous les gouvernements à entamer en chœur une série de mesures qui, au fil du temps, aboutirent à toutes les démesures les plus honteuses et tragiques.

Dans un temps absurdement court, une panacée illusoire fut découverte, hissée sur un piédestal corrompu : l’injection d’une thérapie génique censée conférer un bouclier indestructible à son porteur.

Las, après quelques mois, des échos venant de tous les vents portèrent la nouvelle : l’injection, non seulement n’était pas un bouclier, mais de plus détruisait le seul bouclier véritable, celui qui se trouvait dans chaque corps humain. L’évolution l’avait fabriqué sur des milliers de générations, ce système de protection infiniment complexe, et il se révélait largement efficace contre toutes sortes de maladie, dont celle-là. De plus, l’injection, déjà incapable d’empêcher la survenue de l’infection et sa transmission, blessait les gens à court terme et plus tard, les rendaient vulnérables à toutes les pathologies qu’ils rencontraient.

L’arrogance des scientifiques, la corruption et la bêtise des gouvernants avaient déjà fait beaucoup de dégâts, sans que cela ne les arrête. Désespérés de voir dénoncée leur forfaiture, dans une éperdue fuite en avant, ils mijotèrent une énième riposte dans la lutte contre la maladie. Ils se serviraient des bambins comme bouclier ultime.

Aussitôt dit, aussitôt fait : sourds à toutes les alertes et alarmes au sujet de la santé des petits, ces « in-humains » décidèrent d’injecter d’abord les jeunes, puis les enfants. Leur plan fut mis en place vers la fin de l’année, avant les fêtes de Noël et le Jour des Saints Innocents. Des slogans nauséabonds virent le jour, comme dans le pays du chef de la chrétienté : « Un vaccin, le plus cadeau de Noël pour les enfants ».

Beaucoup de parents protégèrent leurs enfants, les éloignant des lieux où ils risquaient d’être injectés, même sans leur consentement. Mais d’autres parents, embrigadés, hypnotisés, déposèrent leurs enfants sur l’autel des marchands du temple, dans l’espoir vain de conjurer une malédiction inexistante.

Certains enfants ne se relevèrent pas de l’autel, morts pour le veau d’or, certains en réchappèrent, mais furent marqués à vie dans leur chair et leur âme, d’autres survécurent, mais succombèrent sans progéniture, leurs corps devenus des champs stériles. »

Y aura-t-il un jour dans nos calendriers du futur, une date où on honorera, pour ne pas les oublier, pour ne plus jamais faire « ça », le « Jour du massacre des Innocents » ? Êtes-vous prêts à supporter cela, à l’imaginer, tout en regardant, en cette nuit de la Nativité, vos enfants innocents dormir, bercés par la confiance qu’ils ont en vous ?

• https://nouveau-monde.ca/le-vietnam-suspend-les-injections-de-pfizer-chez-les-adolescents-quatre-deces-et-120-hospitalisations-deja-recenses
• https://www.adnkronos.com/vaccino-5-11-anni-locatelli-e-sicuro-regalo-natale-per-bambini
• https://www.20min.ch/la-chanson-de-trois-virologues-cree-le-malaise
• https://nouveau-monde.ca/laberration-des-injections-geniques-a-risque-de-myocardites-chez-les-enfants-innocents-du-covid
• https://anthropo-logiques.org/avant-que-votre-enfant-ne-soit-injecte-declaration-du-dr-robert-malone-sur-les-vaccins-covid-pour-enfants

Texte de Naëlle Markham publié le 25 décembre 2021 sur le site lesmoutonsenragés.fr