Didier Raoult : un gravier dans la chaussure du VRP de Pfizer

Il faudra bien rendre publique un jour la vraie raison des prises de décisions délirantes du gouvernement français dès le tout début de l’épidémie de SARS-CoV-2. Une véritable salve de décisions mettant à l’évidence en danger les malades : pour les vieux (ils ne servent plus à rien et ils coûtent cher à la société) du Rivotril, ça les tue, très bien. Pour les moins vieux : restez chez vous et prenez du paracétamol mais n’allez surtout pas voir votre médecin généraliste et si vous vous sentez mal, très mal, appelez une ambulance pour être hospitalisé à l’article de la mort. Les médecins généralistes ont été interdits de prescription d’un médicament hors AMM pourtant, dès le début de l’épidémie, décrit par les Chinois comme très efficace pour traiter l’infection par le SARS-CoV-2 au stade précoce. Il s’agit de la chloroquine ou de son dérivé l’hydroxychloroquine. Même interdiction de prescrire l’Ivermectine lorsqu’il fut prouvé que ce produit était très satisfaisant pour soigner l’infection virale. Du jamais vu depuis l’élaboration du code de Nuremberg qui stipule que les médecins, en leur âme et conscience, ont le droit de prescrire des médicaments hors AMM s’ils jugent que ces produits peuvent améliorer les conditions de leur malade sans nuire à leur santé.

Les médecins de plateau télé français, encouragés par le Président de la République, tous aussi corrompus les uns que les autres, ont ensuite fait la promotion de la thérapie génique comprenant un ARN messager capable de diriger les cellules humaines vers la synthèse d’une des protéines de surface du SARS-CoV-2 afin que le système immunitaire produise alors des anticorps supposés protéger les « vaccinés ». Aucune étude de moyen terme et encore moins de long terme n’a été effectuée quant aux effets secondaires potentiels de cette thérapie génique. Il y avait un caractère d’urgence et dans l’urgence la santé du public passe au second plan. La véritable urgence était et est toujours d’une toute autre nature : le profit ! Tous les conseillers du Président français et le Président lui-même, mais pas seulement en France, ont été achetés par les laboratoires pharmaceutiques pour qu’ils écoulent des centaines de millions de doses de cette thérapie génique.

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a décidé d’acheter pour 1 milliard d’euros un produit inutile et toxique pour les reins, probablement grassement payée par le laboratoire Gilead. Non contente d’avoir bénéficié d’une aumône de ce laboratoire comme Karine Lacombe en France qui vantait le caractère magique du Remdesivir, Ursula s’est rendu aux USA, fastueusement reçue par l’Atlantic Council, pour chaleureusement remercier le CEO de Pfizer, Albert Bourla, ou plutôt pour que ce dernier la remercie chaleureusement pour avoir accepté de signer les contrats de fourniture de thérapie génique à l’Europe, contrats que jamais personne n’a pu consulter. Etrange de constater qu’Ursula et Albert étaient sur le point de se faire rouler un patin en public, tout le pognon derrière les agissements de Madame von der Leyen valait bien une belle embrassade …

Il est apparu ensuite que cette thérapie ne protégeait pas les sujets, qu’ils pouvaient souffrir de l’infection à SARS-CoV-2 et en mourir. Affirmer que cette thérapie réduit les risque de formes graves est du foutage de gueule, excusez cette expression de cour de récréation. Car ces tristes personnages qui constituent les gouvernements jouent comme des gamins dans la cour de récréation, leur jeu favori étant d’amasser le plus de commissions de la part des laboratoires pharmaceutiques.

L’apparition de mutants du SARS-CoV-2 a compliqué la situation. Le Professeur Raoult a été l’un des tout premiers scientifiques à alerter sur cette apparition de mutants. Il a fait la promotion de l’hydroxychloroquine contre vents et marées gouvernementales orchestrés par des ignorants dans l’entourage du Président de la République. Ce n’est pas terminé car il faut faire durer cette situation, ça peut encore rapporter gros ! Toutes les mesures prises sans aucune évidence scientifique ont considérablement réduit voire annihilé, peut-être irréversiblement, les libertés individuelles. La dernière en date est la forme déguisée de l’obligation de « vaccination » avec le pass sanitaire qui viole lui-même le secret médical. L’un des très rares pays européens à avoir déclaré le pass sanitaire illégal est l’Espagne. L’Espagne est également l’un des rares pays européens à avoir toujours respecté la séparation du pouvoir exécutif et du pouvoir judiciaire.

Cette épidémie est donc depuis son apparition une mascarade organisée par un pouvoir politique corrompu. Il faut que le peuple exige que tous les acteurs de ce jeu de cours de récréation soient poursuivis devant la justice, si tant est que cette justice prendra ses responsabilité, et ils devront rendre compte de leurs agissements devant le peuple. À ce stade de l’imposture je ne dirai pas que le pays France est foutu (cf. H16) mais qu’il est urgent de faire la révolution.

13 réflexions au sujet de « Didier Raoult : un gravier dans la chaussure du VRP de Pfizer »

  1. Au début de l’épidémie, les Chinois ont produit une étude qui montrait l’efficacité de l’hydroxychloroquine in vitro seulement. Passer d’in vitro à in vivo est quelquefois source de déception.

    On ne connaît pas les effets à long terme des vaccins, mais on n’en sait pas davantage sur ceux du SARS-CoV-2. Peut-être peut-il déboucher sur un cancer, comme les hépatites B ou C ? Par contre, on connaît les effets à cour terme de la maladie.

  2. On sait depuis les travaux de Liguo Zhang et al (PNAS, May 2021) que l’ARN du Sars-CoV2 peut migrer dans le noyau, être rétro-transcrit, s’intégrer à l’ADN de cellules humaines mises en culture, et peut continuer à s’exprimer par la suite dans les tissus dérivés du patient.
    On vient d’apprendre récemment par une équipe de chercheurs travaillant en Suède (Jiang & Mei) que l’ARNm de la protéine de pointe (celui-là même utilisé dans les vaccins anti-Covid de Pfizer/BioNTech et Moderna) peut à son tour altérer les systèmes de réparation de l’ADN humain et agir de façon négative sur les gènes responsables de l’immunité adaptative (inhibition de la recombinaison V(D)J : voir https://doi.org/10.3390/v13102056).
    D’où mon interrogation : la vaccination anti-Covid Pfizer/Moderna aura-t-elle pour effets secondaires, notamment chez les personnes âgées, d’aggraver les cancers et de rendre les patients encore plus immunodéprimés d’ici quelques années ? On sait déjà que ces vaccins entraînent des syndromes rares mais graves comme le TIPIV : thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par la vaccination.
    Plus inquiétant : dans le rapport soumis à la FDA le 26 octobre 2021, Pfizer indique que les tests réalisés sur des enfants de 5 à 12 ans avec le Comirnaty (BNT162b2 : 2 doses de 10 microgrammes à 3 semaines d’intervalle) ne sont pas suffisants pour écarter tout risque de myocardites/péricardites chez l’enfant et que seule une étude sur 5 ans pourra permettre de le savoir.
    Bref, quelque part, j’ai la désagréable impression qu’on joue à la roulette russe sur le long-terme avec les patients. Cerise sur le gâteau : 10,000 Australiens viennent de réclamer des dédommagements à leur gouvernement pour les effets secondaires qu’ils ont subis avec ces produits, selon le Sydney Morning Herald Tribune du 16 novembre 2021.
    Mon petit doigt me dit que tout cela ne fait que commencer.

    • L’expert en recherches sur les « gains de fonctions » du SARS-CoV2 est le Dr Ralph Baric (University of North Carolina, Chapel Hill). Il a travaillé en collaboration avec Fort Detrick (USAMRIID = United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases = l’organisme en charge de produire des germes pathogènes militarisés pour les USA). Il a évidemment travaillé pour le NIAID (dont le directeur est le Dr Anthony Fauci) et pour des laboratoires pharmaceutiques dont ModerRNA à qui il aurait fait transmettre la séquence de l’ARNm de la protéine Spike avant que la maladie n’éclate à Wuhan en Chine.
      Il vient de recevoir le prix O. Max Gardner pour ses travaux sur les coronavirus : https://www.northcarolina.edu/news/ralph-baric-receives-o-max-gardner-award-for-coronavirus-research/
      Ce prix récompense les professeurs qui ont « apporté la plus grande contribution au bien-être de la race humaine ». 🙂

      • ça ne repond pas à la question….pourquoi chercher des « gains de fonction »..?
        Faire un virus plus dangereux ou eventuellement un outil medical..
        encore une fois le pire cotoie le meilleur mais avec l’usarmy dans le coup je pencherais plutot vers le pire..

  3. Petit bonus. Le paracétamol n’est pas du tout indiqué. C’est même une contrindication:
    https://www.aimsib.org/2021/08/22/pas-de-paracetamol-dans-la-covid-erreur-therapeutique-majeure/
    Quant aux cancers, ils sont bien au rendez-vous, ce qui n’est pas étonnant au vu de la dépression immunitaire engendrée par ces injections. Activation des dormants et réactivation des rémissions. Dr R.COLE :

    Dr Dr RYAN COLE alerte sur l’augmentation de cancers liés à la vaccination COVID .


    L’action sur les télomères, accélère le vieillissement :
    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-sars-cov2-accelererait-lage-biologique.
    Le Dr Montagné confirme l’apparition de symptômes de Creutzfeld Jacob suite au franchissement de la barrière hémato méningée par la spike et sa conformation en prion.

  4. @Ecir : Merci pour ces liens 🙂
    On peut rajouter plus modestement qu’une étude du statisticien et économiste Pierre Lecot démontre que la politique de santé menée en France depuis 30 ans a été et est de supprimer au maximum les places à l’hôpital. Cette stratégie -calculée au poil de fion près- implique que l’hôpital n’a plus les moyens d’absorber la totalité du soin en période de pointe et c’est l’absence de soins qui a provoqué une grande partie de la mortalité imputée faussement au Covid-19 pendant les périodes de confinement dont le Pr Raoult disait que cela ne servait à rien :
    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pierre-lecot-3-histoire-du-covid

    • Merci pour ce lien précieux 🙂
      Si j’ai bien compris, les deux produits les plus étudiés dans le monde, les plus efficaces en termes de rapport coûts/bénéfices et les plus homologués sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine en traitement précoce.

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