Un refroidissement imminent du climat serait-il devenu officiellement admis ?

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La NASA vient de prévenir les autorités américaines que l’année 2020 marquera le début d’un petit âge glaciaire qui devrait durer au moins 35 ans. Cette constatation remet en cause le projet de la NASA d’envoyer un homme et une femme sur la Lune dans quelques années, respect de l’égalité des genres oblige. En effet l’activité du Soleil diminue à tel point – du jamais vu depuis plus de 200 ans – que le champ magnétique de l’astre sera trop faible pour protéger efficacement les deux explorateurs lunaires des radiations cosmiques. C’est donc du très sérieux. Pire encore, les experts de la NASA prévoient une chute brutale des températures moyennes pouvant atteindre un degré, seulement au cours de l’année 2020, après c’est l’inconnu. Certes, penserez-vous, un degré ce n’est rien … et pourtant la NASA insiste sur le fait qu’il serait prudent de se préparer à des pénuries de nourriture à l’échelle mondiale, n’osant pas se prononcer sur les conséquences d’une telle situation. D’ailleurs ce n’est pas dans le cadre de la mission de cette administration américaine.

Depuis 3 ans déjà l’activité du Soleil est au point mort et curieusement la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère a tendance à rester stable ou du moins à ne plus augmenter conformément aux modèles de prévision de l’organisme onusien en charge de surveiller et prévenir le changement du climat, l’IPCC. La stagnation de l’économie mondiale a de ce fait été immédiatement invoquée comme étant responsable de cette soudaine situation totalement imprévue par ce même organisme compte tenu des prédictions de ses modèles mathématiques comptant parmi les plus sophistiqués que l’on peut se permettre d’imaginer. Puisque la croissance économique stagne il semble normal que la consommation d’énergie stagne également. Par voie de conséquence les émissions de CO2 diminuent. Pourtant cette approche peut être contestée.

Le Docteur Valentina Zharkova, interviewée par le journal britannique The Sun, a rappelé que depuis quelques années des gelées tardives et des chutes de neige en avril et en mai ont ruiné la production de légumes tant en Espagne qu’en Grèce et qu’au cours de l’année 2019 près de 20 % de la récolte de maïs a été perdue aux USA dans certains Etats ainsi qu’au Canada en raison de conditions climatiques calamiteuses. Selon cette spécialiste de l’activité magnétique du Soleil il est opportun de rapprocher ces évènements météorologiques ponctuels avec la très faible activité de cet astre dont les effets consécutifs à sa profonde torpeur se manifestent déjà.

Et si la NASA en rajoute c’est donc bien du très sérieux. Mais alors pourquoi cette atténuation de la teneur en CO2 ne serait-elle pas aussi liée à cette activité solaire déprimée et non pas à une « déprime » de l’économie globale ?

C’est tellement simple à comprendre que personne ne semble avoir eu l’idée de rapprocher ces diverses informations. Si le « refroidissement » annoncé par la NASA et Madame Zharkova a déjà commencé comme ces observations semblent le confirmer alors il est normal que les océans, se refroidissant, même imperceptiblement, solubilisent plus de CO2 que prévu et comme ces océans recouvrent les trois quarts de la Terre alors beaucoup plus de ce gaz y est piégé selon une loi très simple dite loi de Henry qui stipule que la solubilité des gaz dans l’eau, qu’elle soit salée ou non, est inversement proportionnelle à la température de cette eau.

Faites l’expérience vous-même : prenez un verre rempli de bière et laissez-le sur votre table et prenez aussi un même verre de bière et mettez-le au réfrigérateur. Attendez deux ou trois heures puis faites une comparaison. La bière restée à la température de la pièce (ici elle est en ce moment le 7 février de 25 degrés toutes fenêtres ouvertes, je ne dis pas n’importe quoi : j’habite dans l’archipel des Canaries) alors cette bière s’est transformée en ce breuvage que connaissaient nos ancêtres les Gaulois alors que le verre soigneusement rangé dans le réfrigérateur à environ 4°C est restée pétillant de … CO2.

Devant une telle situation les tenants de la théorie de l’effet de serre de ce gaz essentiel à la vie devront revoir leur copie quand ils affirment qu’heureusement le CO2 – avec son effet de serre magique – sauvera l’humanité du refroidissement annoncé parce que selon l’IPCC il est là et bien là pour réchauffer le climat. Pas de chance ! Ça ne fonctionnera pas ainsi. Réfléchissez un instant : ce CO2 censé préserver l’humanité de la froidure à venir va « trop » se dissoudre dans les océans, l’horreur ! Les années à venir vont donc être plus froides, peut-être même bien plus froides, et on assistera alors à l’écroulement du dogme du réchauffement climatique d’origine humaine, la plus grande escroquerie jamais imaginée par l’homme qui s’est pris pour le Soleil, le dieu de nos ancêtres. Mais nous allons tous souffrir et nous battre pour un bout de pain ! J’espère ne pas vivre encore trop longtemps pour endurer cette terrible situation à venir …

Inspiré de loin d’un article paru sur le site themindunleashed.com , illustration wikimedia.

11 réflexions au sujet de « Un refroidissement imminent du climat serait-il devenu officiellement admis ? »

  1. Perso, j’espère bien que non,même si je suis un « climato réaliste ».
    Cependant, les prédictions « apocalyptiques » l’agacent fortement, qu’elles soient dans un sens ou dans l’autre (en l’occurrence les températures).
    Qu’il y ait, dans les prochaines années ou décennies un « refroidissement » plus ou moins marqué, et peut-être pas généralisé, je veux bien en admettre la possibilité.
    Pour le reste…

  2. Jancovici – un climato alarmiste pour la cause du nucléaire – a fait une présentation au sénat.
    Dans cette vidéo, pour convaincre son auditoire du risque à défaut d’urgence climatique, il fait observer que les grandes glaciations se sont produites avec une différence de -5c, -8C par rapport à la « température moyenne mondiale ». On en déduit que les +5C prévu du GIEC ferait logiquement de la Terre un désert de sable, si -5C en a fait un désert de glace.

    Je ne suis pas convaincu qu’une différence de 1° en froid est équivalent à l’inverse en chaleur.
    D’abord, le froid s’arrête à -270°, ce qui fait une proportion déséquilibrée entre 1° négatif et positif.
    Ensuite si on ne peut vivre au pôle ou les déserts chauds qu’à proximité de l’océan, c’est plus facile dans ce cas. Enfin, la vapeur d’eau évaporé des mers a un fort impact sur la tempérance de la chaleur, alors qu’elle est quasi nulle par temps froid.

    • Est-ce que les – 5c, – 8c et + 5c par rapport à la  » température moyenne mondiale  » sont pris en compte dans cette fameuse moyenne mondiale ?
      J’ai cru comprendre, d’autre part, que cette moyenne n’avait pas beaucoup de sens !
      Ce matin, il faisait – 3c au lever du jour, chez moi ; + 9c dans l’après midi. La moyenne de + 3c ne signifie pas grand chose : elle n’est restée que quelques minutes. La journée a t’elle été chaude ou froide pour la saison ?
      Climatiquement vôtre. JEAN

      • On ne peut parler de moyennes de températures que dans des cas très particuliers quand il s’agit de « proxys » comme les pollens pour reconstituer l’évolution des températures. Ces proxys ont été calibrés sur des échelles de temps longues et ne donnent qu’une approximation – au dixième de degré tout de même – comme dans le cas des carottages glaciaires. Parler d’une moyenne des températures dans un lieu donné ou à l’échelle d’un pays n’a aucune signification. (cf. un prochain billet un peu complexe à ce sujet)

  3. @jacques Henry
     » j’espère ne pas vivre trop longtemps pour ne pas endurer cette situation.. » : Au contraire!! cela vous donnera le bonheur et l’immense satisfaction d’avoir eu raison malgré l’énorme propagande et la complicité de quantité de spécialistes chercheurs, medias, etc…!
    Vous pourrez vous regarder dans la glace avec fierté et , dans les Canaries, vous ne souffrirez peut être pas tant que cela du froid!

  4. Je ne sais pas dans quelle mesure cela se réalisera, mais ce qui me trouble, c’est de voir les températures en Sibérie qui poussent jusqu’à -50. Si le réchauffement était de +10 comme on peut parfois l’entendre, alors la Sibérie devrait se réchauffer d’autant en hiver. Comme cela n’est pas le cas, pas de réchauffement.

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