Climat : toujours et encore la grande fraude NASA-NOAA !

Tony Heller est irremplaçable pour ses analyses minutieuses des données brutes issues des observations des stations météorologiques sur le territoire des 50 Etats américains contigus. Les Européens comme les Chinois diront que cette cuisine de fraudes américaines ne les concerne pas. Pourtant la climatologie est essentiellement adossée à l’observation sur le long terme ou le moyen terme des données météorologiques qui permet de faire ressortir des tendances. La doxa « admise par 99 % des scientifiques » dit – et il faut le croire – que le climat se réchauffe. Par conséquent si les données météo ne sont pas conformes à cette doxa, qu’à cela ne tienne, les « experts » de la NOAA (National Ocean and Atmosphere Administration) les modifient pour les rendre plus convaincantes. C’est aussi simple que cela. Des personnalités mal intentionnées comme Tony Heller sur son blog (realclimatscience.com) existent heureusement et dénoncent ces fraudes omniprésentes. C’est ce que j’essaie de faire modestement sur ce blog depuis près de dix ans.

Le premier graphique ci-dessus est un relevé de l’ensemble des données brutes comprenant le pourcentage des stations météo où, entre 1895 et 2021, ont été enregistrées des températures ayant atteint ou dépassé la température de 100°F soit 37,8°C sur le territoires défini plus haut. On remarque un épisode relativement chaud s’étalant entre 1910 et 1950 puis une chute du nombre de stations ayant enregistré une telle température jusqu’à aujourd’hui. Le tracé en rouge représente la moyenne du nombre de stations météo ayant enregistré ce pic de température lissée sur 5 ans. Il ne s’agit pas de moyennes de températures mais de moyennes du nombre de stations, c’est très différent comme nous allons le découvrir.

La NOAA, reprenant les mêmes données brutes des mêmes stations ne s’est pas embarrassée de scrupules. Les « fins climatologues » de cette administration ont d’abord réalisé des moyennes des températures puis ont fait une deuxième moyenne glissante sur 5 ans. Autant dire que toutes les manipulations les plus inavouables ont été faites avec une bonne conscience dont le but était d’ « homogénéiser » ces relevés de températures afin de les rendre compatibles avec le réchauffement du climat. Sur quels critères ? Personne n’en saura jamais rien. Toujours est-il que le but recherché a été atteint : depuis la fin des années 1940 les températures augmentent et elles ont accéléré le rythme de réchauffement. Comme on peut le constater la NOAA n’a pas représenté le nombre de station ayant enregistré des températures égales ou supérieures à 100°F mais les températures « finales » ajustées collectées par le réseau climatologique historique (USHCN) :

Belle preuve de fraude et personne n’ose dire que ces administrations américaines dont le fonctionnement est assuré par les contribuables mentent effrontément. Il est vrai que dans un pays où le mensonge a envahi la vie quotidienne et est pratiqué à grande échelle par le monde politique plus personne ne s’étonne. Pour ne pas être taxé d’anti-américanisme primaire j’affirme ici que le mensonge est pratiqué à grande échelle en Europe. Dans une vraie démocratie (un peu autoritaire) attachée à sa Constitution comme le Japon si un homme politique ment il se retrouve immédiatement en prison.

Source : https://realclimatescience.com/2021/08/extreme-fraud-at-noaa/

Un autre cygne noir ? Un géocroiseur anéantissant toute vie sur la Terre

La NASA a déployé une série de télescopes d’observation couplés à de puissants ordinateurs pour prévoir les trajectoires de l’ensemble des corps célestes susceptibles d’atteindre la Terre. Il existe un site dédié à ces études : https://fireballs.ndc.nasa.gov et les prévisions ne sont pas alarmantes pour l’instant. La découverte d’un vaste cratère d’impact au nord-ouest de la péninsule (actuelle) du Yucatan qui provoqua une extinction massive des espèces vivantes terrestres, dont les dinosaures, est à l’origine d’une vague d’angoisse planétaire : et si un tel événement arrivait demain ? Le 31 juillet 2021 un objet de 135 mètres de diamètre survolera la Terre mais à une distance égale à 4 fois la distance Terre-Lune. Ce ne sera pas pour cette fois. Chaque jour des cailloux circulent à proximité de la Terre, tout étant relatif.

Pour entretenir un semblant de panique la NASA a déclaré lors de son dernier communiqué qu’il y avait tout de même 2200 objets célestes circulant près de la Terre ce 14 juillet 2021 et chaque jour le réseau de caméras de la NASA en découvre de nouveaux. D’où proviennent tous ces gros cailloux, parfois très gros comme celui qui passera près de notre planète le 21 août 2021 et dont le diamètre est estimé être de 655 mètres ? De la ceinture d’astéroïdes de Kuiper et du nuage de Oort, des restes solides de l’explosion de l’étoile qui donna naissance au système solaire tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Faut-il vivre dans une angoisse permanente en raison du risque d’impact dévastateur d’un de ces objets sur notre Terre ? L’administration américaine appelée NASA veille et nous n’avons rien à craindre. D’ailleurs si un très gros objet survenait de l’espace et devait selon les observations finir sa trajectoire venue d’ailleurs sur notre Terre la NASA est déjà sur le qui-vive pour tenter de détruire une telle menace, on ne sait pas trop comment mais c’est rassurant …

Retour sur l’effet de serre

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Dans le magnifique schéma de la NASA décrivant le bilan énergétique de la Terre et introduisant le réchauffement radiatif de sa surface en raison de l’effet de serre des gaz dont en particulier le CO2 si on prend une calculette on se trouve très vite désorienté parce qu’il y a deux gros problèmes que je vais tenter d’exposer aussi clairement que possible pour mes lecteurs. Si la Terre n’était pas en équilibre thermique avec l’espace ou bien elle accumulerait de l’énergie thermique et au quel cas elle se réchaufferait, ou bien elle perdrait de l’énergie et alors elle se refroidirait. Certes, au cours du passé le climat terrestre a alterné entre des épisodes froids et des épisodes chauds. On sait aujourd’hui que ces alternances sont dues à deux facteurs : les variations de l’activité solaire sur des périodes relativement courtes, des dizaines jusqu’à des centaines d’années, et les lentes modifications de l’orbite de la Terre autour du Soleil associées à la précession des équinoxes sur des dizaines de milliers d’années.

Examinons donc ce schéma de la NASA dans lequel les flux d’énergie sont standardisés en Watt/m2. Il y a donc tout ce qui arrive à la surface de la Terre, 163,3 W/m2 directement du Soleil et 340,3 W/m2 de « rétro-radiation » en raison de l’effet de serre, total : 503 W/m2. Ensuite il y a tout ce qui est émis depuis la Terre : 22,9 (la flèche jaune) + 398,2 (la grosse flèche rouge) + 18,4 due à la conduction thermique par convection + 86,4, la chaleur perdue par le changement d’état de la vapeur d’eau, total 525,9 W/m2. Il y a donc un premier problème grave : le bilan thermique global est négatif puisque l’énergie perdue par la surface de la Terre est supérieur au total de l’énergie reçue et ce déficit n’est pas du tout négligeable puisqu’il est de 23 W/m2.

La deuxième erreur – je devrais dire plutôt supercherie – présentée dans ce schéma de la NASA réside dans les grandeurs respectives des trois grosses flèches rouges. Si on fait un bilan séparé pour ces trois flux d’énergie (sous forme de rayonnement infra-rouge) on ne peut que rester perplexe : 340,3 W/m2 reçus par rétro-radiation, 398,2 W/m2 émis par la Terre et 239,9 W/m2 perdus dans l’espace. Le bilan fait ressortir une production ex nihilo de 340,3 – (398,2 – 239,9) = + 182 W/m2 « ex nihilo » c’est-à-dire à partir de rien.

Je n’arrive pas à comprendre comment les « spécialistes » de la NASA ont laissé passer ces erreurs puisque ces bilans indiquent une chose : la Terre devrait se refroidir or c’est tout le contraire qui est avancé par l’IPCC ! Et pour faire en sorte de dissimuler cette supercherie la NASA a donc inventé ce concept de production d’énergie à partir de rien en précisant qu’il s’agit bien de flux de rayonnement infra-rouge distincts des conductions thermiques ou des changements d’état de la vapeur d’eau ( relire sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/21/la-magie-de-leau/ ). Mais où se trouve la différence entre rayons infra-rouges et chaleur latente de vaporisation de l’eau ? Il n’y a pas de différence. Dans un sauna la chaleur ressentie est la conséquence directe du mouvement brownien des molécules de l’air chauffé par une chaudière ou une résistance électrique et par le rayonnement infra-rouge provenant de ces molécules vibrant en raison de l’énergie qui leur a été transmise par le système de chauffage selon la formulation de Planck décrivant le rayonnement électromagnétique du corps noir ( https://en.wikipedia.org/wiki/Planck%27s_law ). Un point c’est tout.

Alors que la théorie de l’effet de serre provoqué par le gaz carbonique sert de plateforme politique pour atteindre une « neutralité carbone » afin de sauver le climat agite les esprits dans le monde entier, dans la réalité tout est adossé sur une théorie fausse inventée de toutes pièces par la NASA pour servir les intérêts de l’organisme onusien ad hoc en charge du sauvetage du climat qui publie des résumés à l’intention des décideurs politiques. Et c’est là tout le problème. En effet, cette supercherie est devenue une réalité scientifique au fil des années, largement reprises par les mouvements écologistes : le sauvetage du climat est devenue une idéologie dont la base n’est qu’une conjecture, un mythe contraire aux principes les plus fondamentaux de la thermodynamique. C’est la définition même du fanatisme …Illustration : NASA. Suite de cette réflexion dans un prochain billet.

La NASA premier comploteur climatique

Il existe des dizaines de milliers de stations météo dans le monde et toutes les données provenant de celles-ci sont collectées par la NASA et un autre organisme américain, la NOAA. Depuis de nombreuses années – sur ordre ? – la NASA reprend les données brutes de relevés de température et les ajuste puis les homogénéise. On ne connaît pas quels sont les critères qui autorisent ces modifications flagrantes des données brutes mais le but final de ces manipulations est à l’évidence d’obtenir des résultats « arrangeants » pour présenter des arguments justifiant la terreur planétaire du réchauffement climatique. La blogueuse japonaise Kirye, très attachée à l’éthique scientifique, a donc repris les données brutes disponibles concernant 6 stations météo du Middle-West américain et les a comparées à celle produite par la NASA après ajustement et homogénéisation tenant compte, et on constate là son honnêteté, de l’indice de luminosité de ces stations. La NASA dispose en effet d’images de l’ensemble de la Terre prises la nuit. Et si une station météo se trouve dans une zone très claire provenant de l’éclairage urbain il faut alors considérer avec précaution les données datant au moins des 50 dernières années. En d’autres termes cette station météo se trouve probablement dans un îlot de « réchauffement urbain » provenant des surfaces bétonnées ou goudronnées réchauffant localement l’atmosphère au niveau du sol.

Examinons particulièrement à la station située dans une zone rurale près de la bourgade de Conception Junction dans l’Etat du Missouri, 196 habitants, à plus de 15 kilomètres de toute agglomération :

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Entre les années 1910 et 1960 la NASA a systématiquement sous-évalué les températures minimales et également sous-évalué les températures maximales et pour dissimuler ce trucage les manipulations effectuées sur les données brutes sur la période 1980-2018 sont probablement à dessein moins claires. Quel était le but de ce « bidouillage » honteux des données brutes ? Il apparaît qu’il fallait absolument dissimuler l’optimum climatique qui eut justement lieu à peu près au cours des 50 premières années du vingtième siècle clairement visible sur ce graphique : pendant 50 ans les températures moyennes annuelles ne sont jamais descendues en dessous de 10,5 °C. Dissimuler cet optimum climatique permettait de faire apparaître un « réchauffement » plus récent dont on tente toujours de justifier l’existence à l’aide de toutes sortes de fausses observations et de fausses nouvelles. Cette attitude contraire à tous les principes scientifiques s’appelle d’ailleurs en anglais du « cherry-picking », la cueillette des meilleures cerises de l’arbre foisonnant d’informations dont on dispose à l’ère d’internet.

La fonte des glaciers et des calottes glaciaires observée ces 50 dernières années est la conséquence, avec une latence d’environ 50 ans également, de cet optimum climatique de la première moitié du vingtième siècle. Pour l’effet sur les océans c’est plus compliqué car cette latence est plus longue mais l’effet est également mesurable avec l’augmentation constante de la teneur en CO2 dans l’atmosphère qui provient du dégazage de ces océans puisque la contribution de l’activité humaine dans ce CO2 n’est que de 5 %. Les climatologues partisans de la thèse du réchauffement du climat d’origine humaine ont d’ailleurs soigneusement dissimulé ce dernier point.

La NASA est donc un organisme auquel on ne peut plus faire confiance. La NASA participe à l’évidence à la dissémination de la peur climatique. Sans même en être conscients les techniciens de la NASA participent à cette escroquerie planétaire du réchauffement du climat tellement bien ancrée dans le cerveau des décideurs après des décennies de propagande que la situation ne pourra que s’acheminer vers une gouvernance mondiale coercitive. Et tout cela est basé sur de la fausse science …

Source : https://notrickszone.com/2020/06/12/dtata-show-rural-american-midwest-cooled-over-past-100-years-until-nasa-fudged-the-data-to-show-warming/

Brève. Et pourtant la NASA croit toujours au réchauffement du climat …

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Nonobstant les alertes lancées par la NASA au sujet de l’effondrement de l’activité magnétique du Soleil cet organisme ose encore rendre publics ses trucages relatifs aux relevés de température au moins sur le territoire états-unien. Voilà ce que rendit public la NASA en 1999 :

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Les températures caniculaires de l’année 1934 qui provoquèrent de fameux dust-bowl sont bien présentes (point cerclé de rouge). Cet épisode hors de l’ordinaire inspira John Steinbeck pour écrire son fameux roman « Les raisins de la colère » et conduisit JD Roosevelt à mettre en œuvre le New Deal. Ces températures moyennes annuelles ont-elles vraiment évolué vers des valeurs hautes depuis 1920 ? Difficile de l’affirmer.

Mais pour mieux enfoncer le clou toutes ces données issues de moyennes et d’écarts de ces moyennes par rapport à une autre moyenne de référence telles qu’elles furent publiées en 1999 comme n’étant pas conformes à la « réalité » du réchauffement contemporain du climat un petit ajustement fut alors nécessaire et ce qui a été rendu public par la NASA est reproduit ci-dessous :

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Ainsi l’année 1998 a pu être déclarée comme la plus chaude depuis mémoire d’homme (ou presque) et la terrible canicule de 1934 a été rétrogradée. Les moyennes de moyennes ont ainsi bien fait ressortir un réchauffement du climat qui maintenant ressemble presque à une crosse de hockey, et chaque année depuis cette date est déclarée comme la plus chaude depuis, depuis … incroyable n’est-il pas ?

Un refroidissement imminent du climat serait-il devenu officiellement admis ?

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La NASA vient de prévenir les autorités américaines que l’année 2020 marquera le début d’un petit âge glaciaire qui devrait durer au moins 35 ans. Cette constatation remet en cause le projet de la NASA d’envoyer un homme et une femme sur la Lune dans quelques années, respect de l’égalité des genres oblige. En effet l’activité du Soleil diminue à tel point – du jamais vu depuis plus de 200 ans – que le champ magnétique de l’astre sera trop faible pour protéger efficacement les deux explorateurs lunaires des radiations cosmiques. C’est donc du très sérieux. Pire encore, les experts de la NASA prévoient une chute brutale des températures moyennes pouvant atteindre un degré, seulement au cours de l’année 2020, après c’est l’inconnu. Certes, penserez-vous, un degré ce n’est rien … et pourtant la NASA insiste sur le fait qu’il serait prudent de se préparer à des pénuries de nourriture à l’échelle mondiale, n’osant pas se prononcer sur les conséquences d’une telle situation. D’ailleurs ce n’est pas dans le cadre de la mission de cette administration américaine.

Depuis 3 ans déjà l’activité du Soleil est au point mort et curieusement la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère a tendance à rester stable ou du moins à ne plus augmenter conformément aux modèles de prévision de l’organisme onusien en charge de surveiller et prévenir le changement du climat, l’IPCC. La stagnation de l’économie mondiale a de ce fait été immédiatement invoquée comme étant responsable de cette soudaine situation totalement imprévue par ce même organisme compte tenu des prédictions de ses modèles mathématiques comptant parmi les plus sophistiqués que l’on peut se permettre d’imaginer. Puisque la croissance économique stagne il semble normal que la consommation d’énergie stagne également. Par voie de conséquence les émissions de CO2 diminuent. Pourtant cette approche peut être contestée.

Le Docteur Valentina Zharkova, interviewée par le journal britannique The Sun, a rappelé que depuis quelques années des gelées tardives et des chutes de neige en avril et en mai ont ruiné la production de légumes tant en Espagne qu’en Grèce et qu’au cours de l’année 2019 près de 20 % de la récolte de maïs a été perdue aux USA dans certains Etats ainsi qu’au Canada en raison de conditions climatiques calamiteuses. Selon cette spécialiste de l’activité magnétique du Soleil il est opportun de rapprocher ces évènements météorologiques ponctuels avec la très faible activité de cet astre dont les effets consécutifs à sa profonde torpeur se manifestent déjà.

Et si la NASA en rajoute c’est donc bien du très sérieux. Mais alors pourquoi cette atténuation de la teneur en CO2 ne serait-elle pas aussi liée à cette activité solaire déprimée et non pas à une « déprime » de l’économie globale ?

C’est tellement simple à comprendre que personne ne semble avoir eu l’idée de rapprocher ces diverses informations. Si le « refroidissement » annoncé par la NASA et Madame Zharkova a déjà commencé comme ces observations semblent le confirmer alors il est normal que les océans, se refroidissant, même imperceptiblement, solubilisent plus de CO2 que prévu et comme ces océans recouvrent les trois quarts de la Terre alors beaucoup plus de ce gaz y est piégé selon une loi très simple dite loi de Henry qui stipule que la solubilité des gaz dans l’eau, qu’elle soit salée ou non, est inversement proportionnelle à la température de cette eau.

Faites l’expérience vous-même : prenez un verre rempli de bière et laissez-le sur votre table et prenez aussi un même verre de bière et mettez-le au réfrigérateur. Attendez deux ou trois heures puis faites une comparaison. La bière restée à la température de la pièce (ici elle est en ce moment le 7 février de 25 degrés toutes fenêtres ouvertes, je ne dis pas n’importe quoi : j’habite dans l’archipel des Canaries) alors cette bière s’est transformée en ce breuvage que connaissaient nos ancêtres les Gaulois alors que le verre soigneusement rangé dans le réfrigérateur à environ 4°C est restée pétillant de … CO2.

Devant une telle situation les tenants de la théorie de l’effet de serre de ce gaz essentiel à la vie devront revoir leur copie quand ils affirment qu’heureusement le CO2 – avec son effet de serre magique – sauvera l’humanité du refroidissement annoncé parce que selon l’IPCC il est là et bien là pour réchauffer le climat. Pas de chance ! Ça ne fonctionnera pas ainsi. Réfléchissez un instant : ce CO2 censé préserver l’humanité de la froidure à venir va « trop » se dissoudre dans les océans, l’horreur ! Les années à venir vont donc être plus froides, peut-être même bien plus froides, et on assistera alors à l’écroulement du dogme du réchauffement climatique d’origine humaine, la plus grande escroquerie jamais imaginée par l’homme qui s’est pris pour le Soleil, le dieu de nos ancêtres. Mais nous allons tous souffrir et nous battre pour un bout de pain ! J’espère ne pas vivre encore trop longtemps pour endurer cette terrible situation à venir …

Inspiré de loin d’un article paru sur le site themindunleashed.com , illustration wikimedia.

La NASA s’inquiète du refroidissement de l’atmosphère !

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J’avais laissé sur ce blog un billet, le 9 Octobre 2018, qui faisait état d’un refroidissement à venir du climat en raison de l’activité déclinante du Soleil. Les études réalisées au Langley Research Center de la NASA en Virginie sous la direction du docteur Marti Mlynczak viennent de confirmer que les phénomènes de changement du climat se passent très au dessus de nos têtes, c’est-à-dire dans la partie la plus externe de l’atmosphère appelée la thermosphère, et ils vont avoir une incidence, quoiqu’il se passe par ailleurs au niveau du plancher des vaches, sur le climat dans les prochaines années. En suivant l’évolution de la température de la thermosphère et de la dissipation d’énergie vers l’espace à l’aide d’un détecteur infra-rouge à bande large les dernières données indiquent que cette partie de l’atmosphère s’est brutalement refroidie.

La NASA s’intéresse tout particulièrement à ce qui se passe dans la thermosphère en raison du risque que fait courir ce refroidissement aux nombreux satellites artificiels qui circulent justement dans cette région et il y en a beaucoup de la NASA ! Si la thermosphère se refroidit elle se contracte et la densité des gaz la constituant augmente. Cette augmentation de densité accroit le frottement des satellites sur les molécules de gaz et peut alors compromettre le fonctionnement de ces derniers.

À l’aide des détecteurs infra-rouge satellitaires embarqués dans le satellite TIMED il a pu être montré que la contraction de la thermosphère est beaucoup plus importante pour le cycle solaire #24 qui se termine que pour le cycle #20, relativement faible en intensité magnétique, qui culmina en 1970 en considérant l’indice climatique de la thermosphère (TCI, Thermosphere Climate Index). Les deux composants atmosphériques les plus efficaces pour provoquer ce refroidissement de la thermosphère jusqu’à 250 km d’altitude sont le CO2 et l’oxyde d’azote NO. L’énergie radiative dissipée par ces deux gaz est mesurée pour le CO2 à la longueur d’onde de 15 microns et pour le NO à 5,3 microns, ce qui revient à dire aussi que le NO est trois fois plus efficace dans la contribution au refroidissement de la thermosphère par ces deux gaz. Mais comme il y a environ 10 fois plus de CO2 que de NO la contribution de ce dernier gaz au refroidissement de la thermosphère est plus faible mais loin d’être négligeable.

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Les mesures étalées sur plus de 4000 jours de mesures ont permis d’évaluer la quantité d’énergie dissipée vers l’espace exprimée en Watts pour l’ensemble de l’atmosphère, quantité égale à celle reçue du Soleil, ce n’est pas moi qui l’affirme mais les auteurs de l’étude. Cette dissipation est directement corrélée à l’énergie incidente solaire exprimée en Joules par seconde par mètre carré et par Hertz communément quantifié à la longueur d’onde de 10,7 centimètres (onde radio) et à l’intensité du champ magnétique terrestre. Le refroidissement de la thermosphère et par conséquent sa contraction, donc une augmentation de l’abondance de NO par unité de volume, provoque la formation de nuages à haute altitude (voir un autre prochain billet à ce sujet). Ce phénomène complexe peut constituer une autre explication de la dépendance du climat terrestre vis-à-vis de l’activité du Soleil.

Source et illustration : https://doi.org/10.1016/j.astp.2018.04.004 et 10.1002/2016GL070965 , articles aimablement communiqués par le Docteur Mlynczak

Selon la NASA c’est officiel le climat entre dans un épisode « glaciaire »

Il y a une information très importante et passée totalement inaperçue qui est sortie au moment même où le raout climato-financier de Paris avait lieu la deuxième semaine de ce vénérable mois de décembre 2017. Le Chicago Mercantile Exchange où se négocient la plupart des denrées alimentaires est en pleine effervescence mais pas du tout en raison du climat, encore que … Les traders impliqués en particulier dans le marché du maïs prennent depuis quelques semaines des positions à terme (on dit des « futures ») en pariant sur une forte hausse des cours des céréales depuis l’annonce officielle faite par la NASA – mais du bout des lèvres – au début du mois de décembre d’un refroidissement généralisé du climat dans les toutes prochaines années et ce dès 2018-2019. En a-t-on parlé à Paris ? Certainement pas tant les affairistes de tout poil mettaient la dernière main à l’organisation de leur main-mise sur les économies occidentales et leur racket systématique des pauvres idiots de contribuables et de consommateurs savamment drogués par une propagande incessante leur annonçant quotidiennement que s’ils ne mettent pas la main à la poche ce sera la fin torride du monde.

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Très curieusement donc la NASA a fait cavalier seul car il reste probablement encore quelques scientifiques honnêtes au sein de cet organisme qui ont encore le courage de dire ce qu’ils pensent dans leur for intérieur. Force est donc de constater que l’activité magnétique du Soleil dont les traces visibles sont les taches solaires s’affaisse dangereusement. Pour donner un aperçu en quelques chiffres de ce qui se passe il est éloquent de rappeler ceci : en 2015 il n’y a pas eu un seul jour sans aucune tache solaire. En 2016 il y eut 33 jours sans aucune tache solaire et en cette année 2017 (les dernières données datent de la première semaine de décembre) il y a eu déjà 98 jours sans taches solaires aucunes.

Comme le Soleil tourne autour de lui-même en 25 jours le comptage exact des taches solaires est visualisé par le diagramme en ailes de papillon (illustration ci-dessus, source NASA) tout au long d’un cycle solaire car les taches ont tendance à migrer des pôles vers l’équateur du Soleil (voir par exemple https://en.wikipedia.org/wiki/Sunspot) au cours d’un cycle de 11 ans.

Le présent cycle solaire est le plus déficitaire en taches solaires depuis la période de faible activité qui sévit au début du XIXe siècle et appelée le Minimum de Dalton (1790-1830). Les températures moyennes en Allemagne chutèrent de 1°C et il y eut pour aggraver la situation la fameuse année sans été en 1816 dont la cause fut l’éruption explosive cataclysmique du Mont Tambora en Indonésie. Durant cette période de plus de 30 ans les températures et les proxys (croissance des arbres par exemple) parfaitement bien documentés indiquent que le monde entier vécut une période anormalement froide. Comme le relevait le rapport de la CIA de 1974 (voir un précédent billet sur ce blog), tout refroidissement du climat conduit à une instabilité politique, et celle-ci peut devenir incontrôlable car elle est provoquée par ce qu’il y a de plus vital chez les êtres humains, la nourriture.

L’avertissement ou plutôt le constat de la NASA n’est pas passé inaperçu à la Bourse de Chicago, c’est le moins qu’on puisse dire. Et comme le cycle solaire #25 est, selon les astrophysiciens spécialistes du Soleil, prévu pour être encore plus faible en termes d’activité magnétique, il n’est donc pas étonnant que les traders de Chicago parient déjà sur les années 2020-2030 ! Le premier véritable « choc » céréalier mondial d’importance est prévu selon eux pour 2024 avec une chute spectaculaire de la production de riz. Le maïs, culture sensible aux baisses de température puisque sa production a lieu dans des zones géographiques (USA par exemple) plus exposées à un refroidissement du climat que pour le riz, céréale essentiellement cultivé dans des régions plus méridionales, serait impacté dès les années 2018-2019. Comme on sait que plus du tiers du maïs américain est utilisé pour produire de l’alcool combustible additif anti-détonant pour les véhicules automobiles aux USA il faudra choisir entre sa voiture et ce que l’on a dans son assiette, du moins dans ce pays, une petite révolution écolo-incompatible à venir.

Si en plus de la faiblesse solaire les volcans s’en mêlent l’humanité toute entière risque de beaucoup souffrir. Le volcan Bezymianny à l’extrême est de la Russie vient d’exploser (20 décembre 2017) en propulsant à plus de 15 km d’altitude des millions de tonnes de poussières, en attendant celui de Bali …

Sources : lewrockwell.com, Bloomberg, NASA

Voir aussi : https://youtu.be/kBKJkU06ICQ (NASA) et

https://youtu.be/4_hug-L_LbQ (Bezymianny)

Prochain billet sur ce thème : l’activité magnétique solaire et le refroidissement généralisé du climat, explication.

Le Soleil est entré en léthargie

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Entre le 14 et le 18 novembre 2016, la surface du Soleil était totalement uniforme, c’est-à-dire sans aucune tache. Les taches solaires sont la signature de l’intensité du champ magnétique de l’astre. Comme le Soleil tourne autour de lui-même en 25 jours il faudra attendre encore une semaine pour avoir la confirmation qu’il est entré dans un période de sommeil magnétique prolongée. D’abord le cycle #24 se termine – il a culminé en 2014 – avec une pauvreté en taches solaires jamais observée depuis la fin du XVIIIe siècle et les prévisions de plusieurs équipes d’astrophysiciens indiquent que le prochain cycle solaire sera ponctué de seulement quelques manifestations timides d’activité magnétique. La Nasa (source de l’image) se perd en conjectures puisque depuis le mois de juin passé l’activité solaire est anormalement faible. Déjà en 2014 les spécialistes du Soleil de la NASA s’inquiétaient de ce soudain sommeil de l’astre source de toute vie sur Terre. Et il avouent n’avoir aucune explication à donner au sujet de ces observations alors que le minimum inter-cycle ne devrait être atteint qu’en 2021 … Tout au plus ils déclarent que l’activité solaire est hautement imprévisible. Le Docteur Valentina Zharkova, dont j’ai relaté les travaux à plusieurs reprises sur ce blog, va certainement apprécier !

Crise climatique : le gros « hiatus » qu’il n’est plus possible de nier

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Après les mensonges et les fraudes organisées par la NOAA à la demande d’Obama pour conforter les arguments de l’IPCC lors du grand raout mondain du Bourget au mois de décembre dernier, on revient progressivement à la réalité. Selon le Washington Post qu’on ne peut pas considérer comme un véhément supporter de la théorie du réchauffement et de l’effet de serre, de plus en plus de scientifiques mondialement reconnus admettent aujourd’hui que depuis près de 20 ans la température globale moyenne de la Terre n’a pas évolué. Certains vont même jusqu’à affirmer, données brutes à l’appui, que la surface de la Terre a tendance à se refroidir.

Le lièvre de la supercherie a été levé dans un commentaire paru dans « Nature Climate Change ». Bien que les auteurs de cet article, en particulier le docteur John Fyfe de l’Université Victoria en Colombie Britannique, se gardent bien de le reconnaître, le « non-réchauffement » observé ces dernières années provient du choix de la température de référence. La méthode de calcul fallacieuse pour faire ressortir un réchauffement du climat consiste à choisir la référence qui sera la plus favorable pour atteindre ce résultat.

La notion de température globale moyenne est purement statistique et elle induit au départ une incertitude ouvrant la porte à toutes sortes de manipulations. Les données au sol provenant des stations météorologiques ne sont pas honnêtement considérées car la NOAA aux USA ainsi que les organismes similaires de nombreux pays « choisissent » les données favorables à la mise en évidence d’un réchauffement. Quant aux données satellitaires qui ne datent que de la fin des années 70 de manière fiable, elles ne peuvent être corrélées qu’aux mesures effectuées avec des ballons ou des bouées marines. Or, encore une fois, ces données sont choisies afin d’accentuer le réchauffement. Enfin les données brutes ne sont que très difficilement accessibles au commun des mortels comme vous et moi.

Les climatologues auto-proclamés de l’IPCC ont estimé à l’aide de modèles l’évolution du climat dès la fin des années 90 or les observations tant satellitaires qu’au sol ne vérifient pas ces modèles. Prenons un exemple d’observation au sol depuis 110 ans, la station météo de Socorro dans le Nouveau-Mexique. L’évolution des températures des mois de juin à aout est présentée dans la figure ci-dessous.

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Il faut d’abord noter qu’il s’agit d’anomalies par rapport à la température moyenne calculée entre 1894 et 2015. la courbe bleue représente donc une différence entre les températures mesurées à la station météo de la ville de Socorro et cette température moyenne. La courbe en rouge est une représentation moyennée sur 7 points consécutifs et reflète donc la tendance générale de cette évolution. Le site Climate Central ( http://www.wunderground.com/) a repris ces données et a déclaré que le Nouveau-Mexique était classé premier Etat des USA au palmarès du réchauffement, avec une tendance pouvant atteindre dans certaines localités jusqu’à 12 degrés par siècle ! Comment Heidi Cullen, membre du staff de Climate Central, a-t-elle pu obtenir un telle figure pour la station météo de Socorro ? Tout simplement en choisissant l’année 1970 comme référence et en tirant un trait jusqu’en 2015 … Il se trouve qu’en cette année 1970 la température observée conduisait à une anomalie négative de 1,2 degrés.

Quant à la fraude généralisée de la NOAA, il suffit d’examiner les courbes suivantes retraçant la moyenne des températures de toutes (lesquelles ?) stations météo américaines depuis 1920 remoyennées sur 5 ans. Le tracé en bleu représente les données brutes et le tracé orangé les données recalculées et corrigées à partir des données satellitaires recueillies entre 1995 et 2005.

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Cela ne veut rien dire car les satellites mesurent les émissions dans l’infra-rouge de l’oxygène de l’air et la NOAA, sur la base des données brutes des stations au sol et des ballons météo, a cru utile d’effectuer ces corrections. La tendance au réchauffement passe alors de 0 degrés par siècle à 1,6 °C après un tel ajustement totalement injustifié. La fraude devient évidente quand on jette un oeil sur les données brutes – satellites et ballons – comme indiqué dans cette dernière illustration qui remonte aux premières observations et analyses par satellite :

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Où est le réchauffement ?

Sources : Washington Post (24 février 2016), Nature Climate Change (volume 6, Mars 2016) et blog de Steven Goddard