Retour sur la théorie de l’effet de serre atmosphérique

Venuspioneeruv

Puisque je reçois parfois des volées de bois vert quand je m’insurge sur la théorie de l’effet de serre il faut mettre les points sur les « i » . L’effet de serre est considéré maintenant comme un « fait scientifique » puisque des millions de personnes adhèrent à ce concept en particulier les « spécialistes de l’IPCC auto-proclamés climatologues », une multitude d’ONGs politisées, courroies de transmission de cette Eglise nouvelle de Scientologie et enfin de nombreux ministres de l’environnement ou de l’énergie de par le monde et en particulier en Europe. L’hypothèse du réchauffement climatique repose sur deux dogmes, l’effet de serre et la contribution du CO2 à cet effet de serre. Ce qui est surprenant et inquiétant est que ce « fait scientifique » ne s’appuie sur aucun principe scientifique pourtant reconnu et incontestable comme les lois fondamentales de la thermodynamique ou l’équilibre gravitationnel de l’atmosphère. C’est sur ce dernier point que je voudrais donc insister dans ce billet car l’interprétation de l’équilibre gravitationnel de l’atmosphère a conduit à des conclusions erronées qui ont été utilisées à tort pour formuler la théorie de l’effet de serre et l’intervention du CO2 dans cette théorie. Je ne reparlerai donc pas de l’équilibre thermique et radiatif de la Terre soumise au rayonnement solaire qui est décrite par les équations de Planck et de Stefan-Boltzmann relatives au corps noir et qui a fait l’objet de longs billets de ce blog mais seulement de la confusion qu’a entrainé l’interprétation tendancieuse et erronée de l’équilibre atmosphérique soumis au champ gravitationnel de la Terre.

À moins de nier la gravitation et de réfuter les observations de Newton ou de Galilée au sommet de la tour penchée de Pise, il faut reconnaître quelques faits. L’atmosphère « pèse » en moyenne dix tonnes par mètre carré au niveau de la mer. C’est un premier fait et les écarts infimes autour de cette moyenne occupent les météorologistes puisqu’il s’agit des variations de la pression atmosphérique, anticyclones, dépressions et autres phénomènes simplement liés à la nature fluctuante de l’atmosphère d’un champ de pression élevée vers une zone de basse pression, des variations somme toute de plus ou moins 3 % ce qui paraît négligeable mais ne l’est pas dans la mesure où d’immenses masses d’air sont en jeu. La densité de l’atmosphère et sa température diminuent en fonction de l’altitude, personne ne peut nier ces faits, demandez à n’importe quel alpiniste il vous le confirmera. La compression gravitationnelle de l’atmosphère établit donc une distribution des températures sur toute la hauteur de la troposphère, c’est-à-dire jusqu’à environ 17 km d’altitude (au niveau de l’équateur) car au delà la raréfaction gazeuse et l’ionisation des molécules par le vent solaire et les rayons cosmiques font que les lois relatives au comportement des gaz ne s’appliquent plus.

Cette corrélation entre altitude, densité de l’air et température est décrite par une loi physique très simple dite « gradient adiabatique » qui a été vérifiée et n’est pas contestable (voir infra). Elle indique que l’atmosphère sec se refroidit de 9,8 degrés par kilomètre et l’air humide de seulement 6,5 degrés pour un même kilomètre en raison de la très forte inertie thermique de la vapeur d’eau. Pour rappel, l’application des lois de la thermodynamique à la Terre indique de manière incontestable que la planète se comporte comme un corps noir à la température de – 18 degrés. L’altitude moyenne où on peut trouver cette température de -18 degrés se trouve être de 5000 mètres. Quand on applique la loi décrivant le gradient adiabatique de l’atmosphère terrestre on trouve une température moyenne au sol de 14,5 degrés (voir infra), ce qui est parfaitement conforme avec toutes les observations effectuées au niveau de la Terre. Naturellement plus on s’approche des pôles plus la température diminue en raison de l’incidence du rayonnement solaire qui diminue mais la loi décrivant le gradient adiabatique gravitationnel de l’atmosphère s’y applique toujours. Et dans les déserts où l’atmosphère est très sec, cette température moyenne est plus élevée le jour et plus faible la nuit car il n’y a pas assez de vapeur d’eau pour amortir cette différence jour-nuit.

La transposition des observations relatives à l’atmosphère de Vénus qui ont conduit à la formulation de la théorie de l’effet de serre est erronée, et pour plusieurs raisons.

Vénus est plus proche du Soleil et reçoit donc plus d’énergie radiative en provenance de l’étoile, cependant son albédo (en un mot le pouvoir de réfléchir le rayonnement solaire) est beaucoup plus élevé que celui de la Terre. La densité de l’atmosphère de Vénus constituée essentiellement de gaz carbonique (CO2) est environ 92 fois plus élevée que celle de la Terre avec une pression au sol de 920 tonnes au m2 (en gros comme si on se trouvait à 1000 mètres sous l’eau sur la Terre) mais les lois décrivant le gradient adiabatique de cet atmosphère sont les mêmes que celles décrites pour l’atmosphère terrestre soit une refroidissement d’environ 9 degrés par kilomètre. Cependant cette densité de l’atmosphère de Vénus (95 kg/m3 au niveau du sol vénusien) est telle que la température au sol conduit selon ces mêmes lois de compression adiabatique à une température de 465 degrés. Pour retrouver les valeurs de pression atmosphérique semblables à celles de la Terre au niveau de la mer il faut se trouver à une altitude de 50 kilomètres dans le dense atmosphère vénusien où la température y est alors voisine de 0 degrés. Il ne faut pas oublier enfin que le jour Vénusien est de 243 jours terrestres mais que les échanges entre la face éclairée et la face sombre de cette planète sont très actifs par convection et que si la face éclairée est « surchauffée » ceci explique que la face sombre de la planète ne se refroidit pas considérablement car des vents très violents répartissent en permanence la chaleur tout autour de la planète.

Pour toutes ces raisons, il n’e peut pas y avoir d’effet de serre sur Vénus, la planète se trouve en effet en équilibre radiatif avec l’espace mais les paramètres de cet équilibre sont différents de ceux existant pour la Terre en raison du très fort gradient adiabatique et du fait de la densité élevée de son atmosphère. S’il y avait « un effet de serre » sur Vénus en raison de son atmosphère riche en CO2 il y a bien longtemps que la surface de cette planète serait en fusion, or ce n’est pas le cas ! Il y a en effet des montagnes et des plaines sur cette planète parfaitement reconnues par imagerie radar et même des volcans et peut-être des « mers » de gaz carbonique liquide supercritique …

La confusion et la transposition à la Terre des observations de Vénus proviennent du fait que l’atmosphère de cette planète est constitué de plus de 95 % de gaz carbonique, d’azote pour le reste et des traces d’oxydes de soufre. Il n’en fallut pas plus pour que les ingénieurs de la NASA, dont James Hansen, ancien spécialiste de l’atmosphère de Vénus, déclarent à tort que le CO2 a un effet de serre parce que la surface de Vénus est chauffée par cet effet de serre à la température de 465 degrés : « Il n’y a qu’à voir ce qui se passe sur Vénus ! », ont-ils déclaré. C’est pourtant totalement faux et contraire aux lois décrivant l’état des gaz ! La théorie de l’effet de serre est donc en violation avec les lois fondamentales de la thermodynamique et également en violation avec les lois décrivant l’état des gaz qui sont d’ailleurs liées, ça fait tout de même beaucoup, beaucoup trop pour n’importe quel esprit critique …

Au risque encore de recevoir encore des volées de bois vert en publiant ce billet sur mon blog, je me demande tout de même pourquoi personne n’ose s’attaquer de front aux tenants de la théorie de l’effet de serre et du rôle indûment attribué au CO2 dans cette théorie à l’aide d’arguments scientifiques prouvés. Les extrapolations acceptées par des gouvernements complètement aveuglés en subissant une propagande parfaitement organisée par l’IPCC et reprise par des ONGs diverses qui n’ont même plus la pudeur de dissimuler leur orientation idéologique malthusienne va conduire de nombreux pays à la catastrophe économique et sociale, tout ça pour une incroyable chimère qui relève du sophisme et de la scientologie, la fausse science dans toute son horreur.

Pour les curieux voici l’équation de l’équilibre adiabatique. La situation thermodynamique d’une colonne d’air se décrit de manière simplifiée ainsi :

Capture d’écran 2014-10-27 à 16.16.00

où U est l’énergie totale, Cp la capacité thermique de l’atmosphère (1004 joules/kg/degré K pour l’air sec, 1012 pour un air humide comprenant en moyenne 0,25 % de vapeur d’eau), T la température de la portion de colonne d’air (en degrés Kelvin), g l’accélération de la pesanteur et h la hauteur ou altitude. Si on dérive cette équation on obtient :

Capture d’écran 2014-10-27 à 16.18.46

qui s’exprime en degrés K/km. On y voit le terme g/Cp appelé « gradient adiabatique » qui décrit l’équilibre entre pression et température de l’atmosphère. Cette équation différentielle peut être réarrangée ainsi :

Capture d’écran 2014-10-29 à 17.00.38

Comme g et Cp sont des grandeurs physiques positives, on voit tout de suite que la distribution des températures dans le champ gravitationnel terrestre, mais c’est valable pour n’importe quelle planète pourvue d’un atmosphère, décroit en fonction de l’altitude.

Cette dernière équation peut être résolue ainsi, en introduisant h « zéro », l’altitude inférieure, au niveau de la mer ou au sommet de la Tour Eiffel par exemple avec T « zéro », la température à cette altitude :

Capture d’écran 2014-10-29 à 17.01.13

Et on trouve alors aisément la température au sol (h-zéro = 0) en introduisant dans le calcul l’altitude de 5 kilomètres pour l’isotherme à – 18 °C correspondant à l’équilibre radiatif du système Terre + atmosphère (tel que décrit par les lois de Stefan-Boltzmann) :

t = – 6,5 (h – 5) – 18 = 32,5 – 18 = 14,5 degrés C, le facteur 6,5 étant la capacité thermique de l’air chargé en vapeur d’eau. La teneur moyenne en vapeur d’eau de l’atmosphère est de l’ordre de 0,25 % .

Note : ces données se trouvent dans n’importe quel cours de physique de lycée et aussi là : http://en.wikipedia.org/wiki/Lapse_rate.

Il reste un petit détail à régler pour convaincre les sceptiques qui auraient encore quelque courage à la lecture de ce long billet. S’il devait y avoir un gaz à effet de serre dans notre atmosphère ce serait à l’évidence la vapeur d’eau pour deux raisons. Il y a dans l’atmosphère plus de 600 fois plus de vapeur d’eau que de gaz carbonique, facteur 600 qu’il faut multiplier encore par 5 puisque la capacité thermique de l’eau est de 4180 joules/kg/°K en comparaison de celle du CO2 qui est de 840 joules/kg/°K. On arrive à un facteur 3000 de différence. Si donc il devait exister un « effet de serre » sur la Terre dû à la vapeur d’eau, il y a bien longtemps que tous les océans se seraient évaporés dans l’espace … Le gaz carbonique est donc accusé à tort !

Encore une fois, comme c’est la philosophie fondamentale de mon blog, je n’ai rien inventé dans ce billet, tout ce qui est cité ici se trouve dans Wikipedia … Photo : Vénus dans les longueurs d’onde ultra-violettes (Wikipedia).

La situation commence tout de même à évoluer timidement:

Meteorologist John Coleman, who co-founded The Weather Channel, says the claim that human activity is leading to global warming is no longer scientifically credible. He wrote: « There is no climate crisis. The ocean is not rising significantly. The polar ice is increasing, not melting away. Polar bears are increasing in number. He wrote: « There is no significant man-made global warming at this time. There has been none in the past and there is no reason to fear any in the future, » says Coleman, who was the original meteorologist on « Good Morning America. »

« Efforts to prove the theory that carbon dioxide is a significant greenhouse gas and pollutant causing significant warming or weather effects have failed. « There has been no warming over 18 years. » Climate expert William Happer, a professor at Princeton University, expressed support for Coleman’s claims. « No chemical compound in the atmosphere has a worse reputation than CO2, thanks to the singleminded demonization of this natural and essential atmospheric gas by advocates of government control [of] energy production, » Happer said.

« The incredible list of supposed horrors that increasing carbon dioxide will bring the world is pure belief disguised as science. »

Lu sur Bloomberg.com ce 27 octobre 2014 que j’insère à l’appui du développement de ma démonstration qui je l’espère sera convaincante pour ceux qui douteraient encore du bien-fondé de celle-ci.

Traduction du passage en anglais :

Le météorologiste John Coleman, cofondateur de « Weather Channel » dit que l’assertion que l’activité humaine conduit à un réchauffement global n’est plus scientifiquement crédible. Il écrit : « Il n’y a pas de crise du climat. Le niveau des océans ne monte pas significativement. Les glaces polaires augmentent et ne fondent pas. Le nombre d’ours blancs augmente ». Il écrit aussi : « Il n’y a pas aujourd’hui de réchauffement global. Il n’y en a pas eu par le passé et il n’y a pas de raison qu’il y en ait dans le futur ». Coleman était le premier météorologiste dans l’émission « Good Morning America ».

« Tous les efforts pour prouver la théorie que le dioxyde de carbone est un gaz à effet de serre significatif et un polluant causant un réchauffement significatif ou des changement météorologiques ont échoué ». L’expert en climat William Happer, professeur à l’université de Princeton a exprimé son soutien aux déclarations de Coleman, en ces termes : « Aucun composé chimique de l’atmosphère n’a une plus mauvaise réputation que le CO2, ceci en raison de la diabolisation ridicule de ce gaz naturel et essentiel (à la vie) par les tenant du contrôle gouvernemental de la production d’énergie. La liste incroyable des horreurs supposées arriver pour le monde si le dioxyde de carbone augmentait est une pure croyance déguisée en science ».

25 réflexions au sujet de « Retour sur la théorie de l’effet de serre atmosphérique »

    • faut justement … wikipedia est dirigée par quelques « grands gourous » caché sous des pseudonymes… essayer donc de poster une fausse information scientifique ou même une vraie qui ne va pas le sens voulu par certains … j’ai hâte de voir si ça sera publié ..vous rêvez , on voit bien que vous n’avez jamais publié quoi que ce soit sur wikipédia !

      • Je ne pense pas que l’article de wikipedia sur le gradient adiabatique soit trafiqué ni les lois de Stefan-Boltzmann sur le corps noir. Il s’agit de lois bien connues … Mes cours de thermodynamique sont enfouis loin dans ma mémoire et je n’ai plus trop d’arguments pour critiquer. J’ai passé le certificat de maîtrise de chimie physique en 1968, c’est dire. Un tiers de cet enseignement était de la thermodynamique …

      • L’orthographe pour argumentation, c’est le niveau des faibles…Vous publiez dans wikipédia, c’est vachement impressionnant ! Wikipédia, relais de la propagande de la pensée unique, bref des gens qui ne réfléchissent pas plus que ça…Faut pas avoir honte.

  1. Depuis la dernière glaciation, le réchauffement actuel est le huitième. Les précédents ont pour la plus part été plus forts que l’actuel, entrecoupés de refroidissements comme le Petit Age Glaciaire dont nous sommes sortis au début de l’ère industrielle. Les réchauffements furent des périodes d’abondance et de développement de l’agriculture et des populations (ex XII siècle multilication de la population par 2 en Europe). Et les refroidissements des périodes de misère et de maladies (peste noire) et de guerres.
    Les refroidissements sont plus à craindre que les réchauffements.
    Le CO2 n’y est pour rien, puisqu’il suit le réchauffement et non le précède (carottes de Vostok).
    Qui nous libérera de l’Eglise de Climatologie ?
    Malheureusement elle est infiltrée partout dans les media et les institutions.
    Cependant il faut lire les commentaires faits par les anonymes dans la presse du net sur les journaux subventionnés main stream, pour se rendre compte que les lecteurs sont loin d’adhérer massivement à la doxa des pastèques.
    Peut-on mentir à tout le monde tout le temps ?

    Wkpd est connu pour avoir été entièrement remanié dans le sens orthodoxe de l’IPCC/GIEC sur tous les articles concernant la climatologie, même notre géographe Leroux y est critiqué du fait sans doute des ses positions cassantes sur le RCA anthropique, Néanmoins l’auteur de ces relectures n’y sévit plus.

    Merci pour votre blog
    G.

  2. « je me demande tout de même pourquoi personne n’ose s’attaquer de front aux tenants de la théorie de l’effet de serre et du rôle indûment attribué au CO2 »

    trop d’argent en jeu, sans compter que c’est un énorme moteur de croissance économique et tant pis si c’est la populace qui doit financer cette gabegie.

    Les médias qui serinent les messages de catastrophisme culpabilisant sont détenus par les mêmes qui possèdent entre autres les fonds des droits à polluer, énorme marché lucratif. Al Gore est le créateur du premier de ces fonds…

  3. Jacques Henry, vous racontez tellement de conneries là encore que vous gênez littéralement tous ceux qui avancent des critiques qui tiennent vraiment la route sur le plan physique de la climatomancie de l’IPCC.

    On peut voir des critiques plus sérieuses et moins ridicules par exemple ici:

    http://www.drroyspencer.com

    • Parce que des lois physiques fondamentales sont des conneries ? Alors toute la physique doit être réécrite à la sauce IPCC pour être politiquement correcte. Si c’est votre opinion, je ne la partage pas.

  4. ce n’est absolument pas convaincant.
    croire que ce petit cours de thermo basique permet d’argumenter sur le sujet me semble d’une démagogie et d’une prétention sans nom.
    les chercheurs sur le sujet ne sont pas des étudiants de prépa. Croire que l’on peut s’opposer à eux sur des arguments aussi simples me semble confondant. je suis agrégé de physique et je ne me le permettrai pas : même si la recherche a ses défauts et souffre parfois de rigidité ou de manque d’indépendance je ne les réduirais pas à ce niveau de physique d’étudiant débutant.
    le GIEC a ses défauts mais n’est pas un vaste complot généralisé …

    Continuez à soutenir ce conspirationnisme de bon ton, très faux-rebelle qui veux se tenir loin des lieux de décisions pour ne pas se salir dans des compromissions de démocrate

    et surtout SURTOUT que l’on ne change rien dans nos modes de vie.

    Vous participez au fait que la pression de l’opinion publique sur les instances politiques à propos des émissions de gaz a effets de serre soit lamentablement si faible.
    Vous insinuez un doute là où il n’y en a pas, ou plus, vu que tout vos arguments ont étés démonté 1000 fois depuis 10 ans et complétement intégré dans toutes les études du GIEC bien évidemment.

    l’industrie du pétrole peut continuer à financer des études sur l’albedo aux états unis .
    merci à eux, merci à vous.
    cette article est une honte.

    • Ce que je reproche dans le débat sur le réchauffement climatique est l’attitude sectaire des membres de l’IPCC et des écologistes. Aucun débat n’est plus possible car qui tente d’argumenter contre les dogmes de l’IPCC est immédiatement insulté, comme vous le faites d’ailleurs dans votre commentaire.
      En d’autres temps les « protestataires » auraient été brûlés vifs. Voilà où on en est arrivé. Si vous appelez cette attitude une attitude scientifique qui consiste à croire ce que des milliers de pseudo-scientifiques ne cessent de répéter (c’est donc que c’est vrai) je ne vous suis pas malgré le fait que vous soyez agrégé de physique …
      Je suis titulaire d’un doctorat de chimie et d’un doctorat d’Etat de sciences physiques et j’estime avoir le droit de contester la validité de la théorie de l’effet de serre qui n’a, que je sache, jamais été prouvée. Si vous avez des preuves fournissez-les clairement !!!

      • la question de notre légitimité respective est sans intérêt. je n’aurai pas du commencer là dessus et signaler mon statut, globalement surestimé d’ailleurs. le votre ne m’intéresse pas non plus, on sait tous qu’il ya des bons et des mauvais partout. on ne résoudra pas cela ici.

        dénoncer une attitude sectaire, c’est une bonne chose.
        je partage votre combat là dessus, je ne sais pas si l4IPPC a vraimenet une attitude sectaire ou non.
        les recherches devraient rester libre de tout choix. mais l’heure est aux subventions fléchées, c’est la crise gnagnagna.

        autour de moi les attitudes sectaires, dans les milieux écolos alternatifs sont clairement anti-sciences : le GIEC est vendu, tout est vendu même la rationnalité qui doit être bannie au profit du « bon sens, des ressentis » etc. ce néo mouvement new age mystique n’est pas marginal malheureusement et a déjà des conséquences notamment sur l’évolution des méthodes contraceptives par exemple.
        Vous allez me dire : quel rapport ?
        et bien le rapport c’est : QUI autour de moi m’envoie des liens vers des blogs comme le votre ?
        ben je suis désole mais c’est SYSTEMATIQUEMENT des gens avides de théories du complot et anti-sciences. Ils utilisent votre blog comme d’autres cherchent une vidéo de portables transformant du mais en pop-corn (hoax notoire) pour tenir un discours simpliste et conspirationniste.
        Et moi qui défends une science avec conscience, zététiste, et responsable des techniques qu’elle engendre … je me sens bien seul face à la puissance de l’envie que chacun peut avoir que les choses soient simples.
        rien n’est simple, mais le doute n’est pas à la mode.

        J’aimerai que ça soit des chercheurs défendant l’indépendance de la recherche qui m’envoie sur votre blog !
        (je fréquente aussi des chercheurs) et ça serait votre objectif non ?

        Alors pour moi, votre combat est nul et non avenu par manque de clairvoyance sur l’état du débt public sur le sujet.
        Si vous voulez combatter pour une recherche libre, alors faire un blog de vulgarisation aux arguments simplistes me semble TRES contre-productif.

        Quant aux preuves, comme vous dites, je pense que vous ne VOULEZ pas les voir. C’est tout et c’est bien plus simple.

        Voila, au vu de mes arguments, je en suis surement pas représentatif de quoi que ce soit. je voulais juste partager mon agacement sur QUI me renvoie vers votre blog et dans quel but, pour quel combat …
        J’espère pour vous être marginal là dessus.
        mais je n’en suis pas sur … le complotisme est à la mode dans des milieux très différents et l’a toujours été.

        je ne vous insulte pas, je reste poli. je suis juste honnête dans ce que je dis, sans fioritures.

  5. J’ai une question bête : qu’est ce qui provoque les changements climatiques si la température est globalement règlé par la pression atmosphérique ? Merci. Sinon idem, le giec est une vaste blague politique et non scientifique.

    • Tout simplement les variations de l’activité solaire qui sont scrutées en détail depuis de nombreuses années. Les physiciens spécialistes du Soleil prédisent, preuves irréfutables à l’appui, que le prochain cycle d’activité solaire (le cycle #25) sera très déficitaire et qu’on s’achemine non pas vers un réchauffement mais vers un refroidissement généralisé. Il est très politiquement incorrect de parler de l’activité solaire et de ses variations car ce paramètre n’a jamais été pris en considération par ces « spécialistes » du climat pour une simple raison : un refroidissement durable sera infiniment plus préjudiciable à l’ensemble de la planète qu’un réchauffement y compris comme celui qui eut lieu aux XIe et XIIe siècles où la température moyenne était d’environ 3 degrés supérieure à celle d’aujourd’hui … On baigne donc dans une immense imposture planétaire. Je suis suffisamment vieux pour ne pas vivre les catastrophes à venir mais mes petits-enfants, eux, endureront l’incurie actuelle de tous les politiciens. C’est désolant et terrifiant !

      • C’est étonnant comme l’astre qui chauffe tout notre système solaire est une donnée minime pour certains scientifiques…Mais c’est vraiment sur qu’ils sont scientifiques ces gens là ? J’en doute de plus en plus.

      • Le climat n’est pas seulement une question de température. mais l’évolution de la température laisse penser que le climat pourrait évoluer en proportion.
        Il y a les facteurs indépendants:
        – inputs solaire qui varient selon plusieurs cycles: quotidiens, annuels, pluriannuel (11 ans, 108 ans, et plus encore)
        – autres rayonnements cosmiques
        – chutes de météorites
        – géologie terrestre: flux géothermiques, éruptions, tectonique
        – activités humaines: combustion de carburants fossiles, production de ciment, aménagement du territoire, émanations de suies et aérosols.
        Il y a les facteurs dépendants, surtout ceux à très longs termes:
        – vents et pluies
        – ouragans et tornades
        – oscillations thermiques et courants des océans (atlantique, pacifique)
        – fontes et progressions des glaciers
        – hausse et baisse du niveau de la mer

        Et bien sûr la température de l’atmosphère, à diverses altitudes, celle au niveau du sol nous intéressant les narines et les pieds.
        Tout ça est complexe et mérite mieux que des analyses partielles telles que vous pratiquez ici.
        Pour ma part j’ai essayé d’en faire un tour plus complet et de me concentrer sur les facteurs les plus pertinents (au vu de ce que l’on peut savoir aujourd’hui, pas hier ni demain).
        Le tout est maintenant accessible sur le site http://climate.mr-int.ch.
        Ceux qui veulent se donner la peine de réfléchir sont invités à l’étudier, ce n’est pas facile. Quant aux autres ils continueront d’avoir des croyances plus ou moins bien fondées.
        Mes conclusions sont assez claires:
        Oui ça se réchauffe, les gaz à effet de serre expliquent cela pour environ 40% dont 30-35 pour le CO2, le réchauffement n’est donc que très peu contrôlable par une diminution des émissions de CO2, la mobilisation générale anti-carbone tient plus d’une idéologie collectiviste que d’une alerte écologique. Le GIEC y joue un rôle équivoque. Les vraies priorités pour le développement souffrent de cette activisme monomaniaque. Il n’y a pas de planète à sauver.
        Cette position n’est ni réchauffiste, ni négationniste (comme la vôtre), ni sceptique: dans le courant politique du temps elle est simplement hérétique.

      • Et le cycle 24 est déjà faible et plus faible que le 23 qui était plus faible que le 22 … et toujours pas de refroidissement en vue …
        Vive madame soleil …

      • Ne pas oublier les cycles de Milankovitch qui explique parfaite les glaciations ainsi que les volcans qui envoient des millier de tonne de poussière dans l’atmosphère et la dérive des continents qui sur des millions d’années ne sont plus à la même place d’où du charbon du pétrole et du gaz naturel en sibérien

  6. Ping : Pour en finir avec la théorie de l’effet de serre atmosphérique | Contrepoints

  7. jacqueshenry ne connais RIEN du fonctionnement du GIEC
    jacqueshenry est prompt à critiquer les recherches sur le climat mais mon petit doigt me dit qu’il ne fait certainement pas la même chose avec la science médicale, l’astronomie ou les mathématiques.
    jacqueshenry n’a certainement pas fait de biblio depuis longtemps puisqu’il cherche encore les « preuves » de l’effet de serre.
    jacqueshenry est un illuminé qui croit dur comme fer que ses petites équations à 2€ plus de 50 ans de recherches sur le climat.
    jacqueshenry est un imposteur dangereux.

    • Le GIEC c’est pas le truc qui a tout faux dans toute ses prévisions et qui essaie d’effacer des données ? Qui inclut des scientifiques qui ne font pas parti de cette belle organisation ? Les intégristes religieux du GIEC dont vous faites parti sont le plus grand danger de cette terre. L’imposteur il me semble que c’est vous, pas ceux qui cherchent réellement sans vouloir tromper les gens.

      D’ailleurs on le voit de suite au vu des réponses plus que sommaires que font les personnes adhérant à votre secte.

      • Le GIEC ne fait aucune prévision. Ce sont les centres de recherche mondiaux qui produisent des projections climatiques pour le siècle en cours et les derniers millénaires passés. En France, il s’agit du CNRM et de l’IPSL. Toutes les grandes nations participent à l’exercice.
        Donnez nous un seul exemple de données « effacée » par le GIEC qui soit un fait avéré.
        Oui le GIEC inclut des scientifiques indépendant. C’est même ça l’idée forte. Ils sont plusieurs milliers de toutes les nations.
        « L’intégrisme religieux » du GIEC sur un nombre considérable de publications scientifiques que vous n’avez pas lu, ce qui ne vous empêche pas de « croire » bêtement à tout ce qui est copié/collé sur les blogs climatonégationistes.
        En parlant de réponses sommaires, nous attendons tous des arguments scientifiquements de votre coté.
        Commencez par vous bulber les 1000 pages de l’AR5-WP1 et ensuite on en rediscute.

      • « Le GIEC ne fait aucune prévision » : Je m’arrête là devant tant de mauvaise foi, pas la peine de répondre à des fanatiques aveugles et idiots.

  8. Évidemment cette histoire de réchauffement climatique, voir de dérèglement climatique lorsque cela ne colle pas , est une gigantesque arnaque qui permet à certain de s’enrichir et surtout à gouverner la population mondiale par la peur, ce qui permet d’imposer n’importe quoi , les gens qui ont peur ne réfléchissent plus et accepte tout, pareil pour le covid19.
    Juste une petite réflexion sur l’effet de serre et sans thermodynamique complexe. Chacun en France a pu observer qu’en automne et au printemps le matin lorsqu’il faut gratter le pare brise à cause d’une gelée blanche c’est que la nuit précédente le ciel était sans nuage et donc que la chaleur est repartie dans l’espace en absence de nuage et donc de vapeur d’eau ………………….

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