Réchauffement climatique ? Non, un virus …

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Comme quoi les effets du supposé réchauffement climatique sont progressivement battus en brèche. Depuis plusieurs années on accuse le réchauffement climatique et l’augmentation du CO2 atmosphérique provoquant une acidification (paraît-il spectaculaire) des océans d’être la cause du blanchissement des coraux de par le monde. Cette relation de cause à effet a semble-t-il été imaginée par des scientifiques n’arrivant pas à trouver de sources de financement pour leurs travaux car qui dit « réchauffement climatique » dans un programme de recherche dit « crédits » et donc recherche possible sur n’importe quel sujet, qu’il soit cryptique ou pouvant emporter le soutien des politiciens et du public. Et c’est le cas des coraux qui blanchissent. On a observé ce phénomène dans de nombreux points de la grande barrière de corail au large des côtes orientales de l’Australie, mais aussi dans la mer des Caraïbes ou encore autour de la Papouasie-Nouvelle Guinée. De nombreuses publications ont fait état de la diminution du pH de l’eau en raison de l’augmentation de la teneur atmosphérique en CO2 sans jamais vraiment quantifier une relation précise entre le phénomène de blanchissement des coraux et les variations infimes d’acidité de l’eau de mer et il en est de même pour l’augmentation de la température moyenne de la surface océanique qui en de rares endroits atteint parfois mais non durablement l’extraordinaire valeur de 0,2 degrés, c’est dire la difficulté rencontrée par les chercheurs pour justifier honnêtement leurs travaux. Mais qu’à cela ne tienne … Pourtant les membres de la communauté scientifique qui se singularisent par leur positionnement politiquement incorrect accumulent des résultats qui vont à l’encontre des a priori décrétés par les experts du GIEC et les activistes des chapelles écologistes comme Greenpeace qui a fait grand cas de la mort annoncée des récifs coralliens sans jamais d’ailleurs apporter de preuves susceptibles d’étayer ses déclarations tonitruantes. Les résultats d’une équipe de biologistes de l’Université de l’Oregon à Corvallis prouvent qu’il n’en est rien, CO2 et réchauffement n’ont rien à voir avec le blanchissement des coraux qui est tout simplement dû à une attaque virale des algues unicellulaires vivant en symbiose avec le corail qui sont communément appelées le « zoox ». Ces dinoflagellées habitent à l’intérieur des cellules du corail et par photosynthèse fournissent à leur hôte les nutriments dont il a besoin, ce dernier leur apportant des sels minéraux et pour utiliser un terme commun, un domicile. Ces algues unicellulaires colonisent aussi des éponges, des anémones de mer ou encore des vers marins d’aspect verdâtre qui sont les seuls réels animaux mouvants et capables de vivre grâce à la photosynthèse de ces algues parasites ou symbiotiques. On connaissait l’existence d’un virus vivant dans le corail, dont l’un est proche du virus de l’herpès, très courant chez l’homme, n’est semble-t-il pas pathogène pour le corail, on savait aussi que certaines algues brunes étaient sensibles à divers virus de la famille des Phycodnaviridés, de gros virus apparentés aux virus géants découverts par une équipe de biologistes de Marseille appelés d’ailleurs « Marseilleviridés » trouvés dans des sédiments marins et des boues d’estuaire. Le virus qui attaque et tue l’algue vivant en symbiose avec le corail est un virus géant nucléocytoplasmique (NCLDV) dont la présence a été formellement identifiée dans les coraux en voie de blanchissement et uniquement dans ces derniers par séquençage de l’ADN extrait des coraux entiers en voie de dépérissement. Les biologistes de l’Université de l’Oregon parlent de « peste blanche » car les dégâts occasionnés par ce virus sont extrêmement dommageables non seulement pour les coraux eux-mêmes mais la mort des récifs coralliens signifie aussi la mise en danger des populations humaines vivant sous la protection des barrières de coraux, la fragilisation des biotopes marins conduisant à la raréfaction des poissons de récif et enfin, accessoirement la fuite des touristes passionnés de vie marine. Bref, un simple virus qui peut modifier l’équilibre fragile de nombreuses contrées de par le monde. Et cela n’a rien à voir avec le prétendu réchauffement climatique.

Note: première illustration, algues symbiotiques dans une méduse (Wikipedia), dernière illustration: madrépore blanchi (OSU).

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Source : Oregon State University   

Une réflexion au sujet de « Réchauffement climatique ? Non, un virus … »

  1. Je ne m’y connais pas trop (pas du tout) sur la question mais je me souviens qu’a l’epoque on pensait que ce phenomene etait du a un episode particulierement intense d’el nino, on avait pas forcement (forcement pas) le recul et c’etait une hypothese, une hypothese qui s’est transforme en verite, c’etait pas mal de dire au gens qui roulaient en voiture en Europe qu’a cause d’eux on allait crever de faim au Viet-Nam ou a Madagascar, a l’epoque on expliquait aussi que les coraux allaient mettre des centaines d’annees pour revenir si ils revenaient un jour, que les recifs fragilises allaient etre detruits par les cyclones (ou les typhons) et que ca allait etre la super merde.
    En fin de compte les coraux ont recommence a pousse beaucoup plus vite que prevu et le blanchiment n’etait pas du a un nino trop fort provoque par le rechauffement, ca avait permis a l’epoque de nous foutre les jetons et de nous faire culpabiliser et rallier des gogos a la bonne cause. Avancer des explications qui ne sont encore que des hypotheses c’est de bonne guerre, les ecolos sont en guerre contre l’humanite, ils pretendent vouloir prendre notre defense a tous mais la premiere conclusion quand on suit leur raisonnement c’est qu’on est trop sur Terre, si on est trop j’imagine qu’il va falloir faire diminuer la population, vu l’urgence de la situation on ne va pas pouvoir attendre que la population humaine parasite se regule toute seule, du coup je me demande qui sont les bons humains, ceux qui sont bien « developpement durable »

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