La thérapie génique contre le SARS-CoV-2 aurait-elle atteint son but ?

Lorsque le Docteur Jessica Rose (MD, PhD) entreprit d’analyser les données de l’organisme qui centralise les données relatives aux effets indésirables des vaccins en général et maintenant de la thérapie génique susceptible de protéger contre le SARS-CoV-2 elle découvrit que les données de cet organisme (VAERS- CDC) étaient caviardées. Elle examina alors les données centralisées par Département de la Défense américain. Elle découvrit que la banque de données VAERS sous-estimait d’un facteur 49 les fausses-couches provoquées par l’injection d’ARN messager codant pour la protéine spike-1 du coronavirus. Rassemblant ces données le Docteur Rose conclut que le nombre de fausses-couches provoquées par le « vaccin » avait en réalité atteint 416186 aux Etats-Unis depuis la mise en place de la « vaccination » anti-coronavirus.

La vérification indirecte a été apportée par une clinique pratiquant des fécondations in vitro à Singapour. Normalement, en routine, une ponction ovarienne permet de disposer d’une quarantaine d’ovules et la fécondation in vitro conduit alors, toujours en routine, à trois à cinq embryons qu’il faut implanter ensuite dans l’utérus de la mère car introduire un seul embryon réduit presque à néant les chances de réussite, un fait clinique encore inexpliqué. Sans avoir questionné les couples ayant été contraints de choisir ce protocole de fécondation in vitro au sujet de leur statut « vaccinal » contre le coronavirus, devant les échecs répétés les médecins ont alors élargi leur enquête et ils se sont rendu compte que toutes les femmes avaient reçu au moins deux injections de « vaccin ». Ils en déduisirent qu’il y avait peut-être une relation entre ces échecs répétés et le fait que la majorité des embryons n’étaient plus viables in vitro au delà de 4 jours, du jamais vu. De plus les implantations dans l’utérus étaient suivies de fausse-couche dans pratiquement tous les cas.

Les médecins de cette clinique de Singapour ont contacté divers autres établissements similaires en Amérique du Nord qui ont confirmé leurs observations. Ce qui paraissait mystérieux était la très faible viabilité des embryons en dépit du strict respect du protocole. D’autre part le défaut d’implantation dans l’utérus restait mystérieux. Les personnels de ces cliniques n’aiment pas du tout rendre publiques de telles informations et si une personne rapportait ce genre d’information elle serait immédiatement mise à pied. Pour se protéger les biologistes de la clinique de fécondation in vitro de l’Université nationale de Singapour publia un article (lien ci-dessous) infirmant toute relation de cause à effet entre leurs bévues et le statut vaccinal des couples consultant pour une fécondation in vitro. La publication scientifique était visiblement malhonnête et masquait la relation de cause à effet pourtant observée entre la « vaccination » et les problèmes rencontrés.

La supercherie s’explique par le protocole de dosage de la présence d’anticorps dirigés contre la syncytine, une protéine vitale pour l’implantation de l’embryon dans l’utérus et possiblement dans les processus de maturation des gamètes, voire dans le mécanisme de fécondation lui-même. La présence d’anticorps anti-syncytine est mesurée à l’aide de la technique dite ELISA. Pour bien comprendre la mystification utilisée pour masquer la cause des échecs répétés rencontrés dans cette clinique il faut se pencher sur la technique ELISA elle-même et la signification du seuil de positivité fixé par le fabricant. L’illustration ci-dessous illustre cette mystification.

D’abord l’évaluation de la présence d’anticorps neutralisants est exprimée en pourcentage avec un seuil de positivité fixé à 30 %. Pourquoi dans le cas de la recherche de réactivité croisée avec la syncytine les résultats sont exprimés en unités d’absorption à 492 nanomètres, la couleur qui se développe après ajout du second anticorps anti-anticorps humains auquel a été adjoint un enzyme qui développe une coloration à cette longueur d’onde ? Et enfin pourquoi le seuil de positivité est arbitrairement fixé à 0,9 unités d’absorption à cette longueur d’onde ? Bien des questions se posent et laissent perplexes ceux qui connaissent cette technique. Les auteurs de l’article ont délibérément choisi de ne pas montrer clairement le risque considérable qui apparaît après une « vaccination » avec l’ARN messager, en l’occurence à Singapour la mixture de Pfizer.

Contrairement à ce qui est affirmé par les médias et les gouvernements cette technique nouvelle d’immunisation n’est pas anodine, en particulier sur la reproduction. Il faut espérer que les quelques milliards de personnes soumises souvent sous la contrainte à cette thérapie auront un taux d’anticorps croisant avec la syncytine qui décroitra avec le temps afin de retrouver une situation normale dans leurs fonctions de reproduction. Dans le cas contraire la stratégie de « vaccination » aura atteint son but : provoquer une diminution brutale de la population, une sorte de génocide dissimulé par des prétextes sanitaires. Il faudra attendre quelques années pour observer si oui ou non les taux de natalité chutent ou restent normaux. Bill Gates se réjouit peut-être trop …

Source : https://unglossed.substack.com/p/what-happened-in-singapore et

doi: https://doi.org/10.1101/2021.05.23.21257686

Note. Je me sens bien placé pour analyser les travaux relatés dans ce billet. À l’époque où je poursuivais mes travaux de recherche au sein d’un laboratoire du Salk Institute sous la direction d’un Prix Noble de Médecine la technique ELISA n’existait pas et le deuxième anticorps était « marqué » avec de l’iode radioactif. Il s’agissait des radio-immuno-essais, ancêtres des ELISA. Cette technique était extraordinairement sensible, l’iode étant un facteur d’amplification de la réponse liée à la fixation du deuxième anticorps « marqué » avec de l’iode, l’isotope 125 hautement radioactif. Cette technique a été abandonnée lorsque ce deuxième anticorps a été modifié par greffage d’un enzyme permettant de quantifier sa présence à l’aide d’une réaction colorimétrique, l’iode radioactif étant plutôt dangereux. Je ne suis pas du genre à être leurré par des articles scientifiques visiblement truqués.

8 réflexions au sujet de « La thérapie génique contre le SARS-CoV-2 aurait-elle atteint son but ? »

  1. Bonjour,
    juste pour préciser, naissances aux USA par an 3.6 millions, en baisse ces dernières années !
    416186 fausses couches, ça parait très élevé!
    On saura rapidement avec la publication des stats ds les mois qui viennent (ou pas ?)

  2. Le Nüremberg 2.0 approche à grands pas, on dirait. La vérité finit toujours par sortir et les rats commencent à quitter le navire dès que ça sent un peu trop le roussi (Cf le retournement de veste de Karine Lacombe et consorts).

  3. Losqu’on parle de but il faudrait le distinguer d’un objectif. La pandémie est, à mon sens, un objectif dans une stratégie dont le but pourrait être le post humanisme.
    Il appert alors qu’il y aurait plusieurs objectifs avant d’atteindre ce but tel que l’entendrait Davos par exemple.
    Il ne serait pas inintéressant de constater que le cabinet Mc Kinsey est très largement répandu dans les instances politiques des pays européens tel qu’en Allemagne en découvrant leur présence au sein du ministère des Armées mis en place par Ursula van der Leyen.
    Dans cette vidéo on se rend que bien des secteurs sont impliqués avec chacun leurs objectifs.

    L’organisation fédérale de l’Europe, avec les eurorégions, est une approche qui mérite d’être pris regarer de plus près dans la politique de l’immigration par des peuples à gouvernance musulmane.
    Je dis bien gouvernance musulmane car les lois ou éthique de cette religion empiètent sur nos modes occidentaux fondés sur la chrétienté. L’islamiste est un « soumis », par définition, car devant croire à l’Ecriture du Coran.
    Sous un tout autre regard,et comme le signalait (enfin) Raoult le port du masque est clairement un acte d’obéissance. En rapprochant, ces manières de se soumettre nous pouvons aussi mieux comprendre toutes les séries policières à l’américaine, dont la sociologie nous indique qu’elles sert au respect de l’ordre (sans parler des séries à l’Hôpital stigmatisant l’émotionnel au détriment de la raison et ouvrant sur l’obéissance à l’Autorité -de la blouse blanche).
    Ainsi nous percevons la tactique d’affaiblir une société ou plus exactement l’homme dans sa dimension tant psychologique (en rajoutant la persécution du Covid dans les séries décisionnelles dites chaotiques) que physiologique par injection d’un produit à contenu inconnu (donc « troublant ») à fort effets secondaires et dont les répétitions renforcent l’anxiété de la population.
    Ces convergences semblent mettre en relief une lutte des gens de pouvoir (élites, ou cartels ou multimilliardaires, chacun ses intérêts) pour conserver et accroître leur puissance comme si la fuite en avant de la croissance était leurs seules manières d’exister.
    L’effondrement des civilisations montre, à l’instar du gigantisme des dinosaures, que la rupture peut se faire d’une manière drastique mais que la vie, le biologique, reprend vite le dessus par des adaptations aux mécanismes qui ne sont pas seulement régies par la sélection naturelle de type darwinien (ou selon la théorie synthétique pour les spécialistes).
    Je pointerai du doigt, pour essayer de cerner le but à travers les objectifs qui servent d’étapes, le terme de biologique car l’homme est un animal aux réactions culturelles. Il provient d’un socius dont la croissance s’appuie sur le développement de son cerveau et il est préférable de comprendre qu’il est 100% culturel dans ses réactions plutôt que de continuer à maintenir une fausse dualité nature/culture que les tenants du « gènes égoïste » et autres croyants à la théorie affiliée pourraient discutailler.
    Cet aspect est indéniable en regardant l’effort que mettent nos « élites » à nous faire obéir, à nous soumettre, à nous déstructurer jusqu’à introduire une novlangue, une culture Woke.
    Comprenons ainsi que le but, en nous affaiblissant par déstructuration mentale et physiologique, est de réduire l’homme à une forme de néant. Et cette direction est perverse.
    L’évolution humaine passe par les croyances religieuses fondées sur la peur pour s’en libérer dans une Connaissance de soi qui dénonce justement les deux besoins : de sécurité (sous tendu par la peur) et de reconnaissance de soi (sous tendu par la paresse mentale – et pas que :un esprit sain dans un corps sain !).

    Je prétends donc que la soumission et l’obéissance par aveuglement est une perversion dans la mesure où la vie démontre une dynamique expansive et créative que la pensée uniformisante et unique tente d’opposer.
    Je prétends aussi qu’une poignée des « grands de ce monde » conduisent l’humanité à sa perte par pur orgueil … Ma prétention, qui n’est qu’avertissement, serait-elle de l’orgueil ? 😉

  4. « Dans le cas contraire la stratégie de « vaccination » aura atteint son but : provoquer une diminution brutale de la population » en occident, devriez-vous ajouter. J’ignore si c’était le but, mais au regard de la vaccination en Afrique j’ai l’impression qu’on risque un écart de natalité qui n’avait vraiment, vraiment pas besoin de cela.

    Bien à vous.

    Al.

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