Paradoxe !

Le Plaquenil, alias HCQ, alias hydroxychloroquine, a été interdit d’utilisation hors autorisation officielle (AMM) par les autorités politiques dans le monde entier en traitement précoce contre l’infection par le SARS-CoV-2. Son utilisation hors AMM a valu au Professeur Didier Raoult une multitude de déboires en particulier de l’ordre des médecins, un organisme créé par la France de Pétain. On se serait cru 80 ans en arrière avec des dénonciations anonymes incriminant cet éminent infectiologue respecté dans le monde entier, ce qui m’a conduit à ne plus faire de distinction entre la France de Vichy et la France d’aujourd’hui.

Comme mes lecteurs l’ont appris au cours de ma prose parfois très personnelle, j’ai été infecté par ce virus à la fin du mois de mars 2020, il y a donc 2 ans et demi et je souffre toujours des séquelles de cette infection, ce que l’on appelle un « covid long ».

Je me faisais un peu de souci pour ma santé ces dernières semaines et je me suis donc décidé à consulter un autre médecin cet après-midi du vendredi 14 octobre à Papeete. Depuis quelques semaines en effet des douleurs articulaires aux épaules m’empêchaient d’avoir un sommeil serein, des douleurs aux niveau des genoux et des hanches rendaient ma démarche incertaine et ces mêmes douleurs atteignaient quelques doigts des mains. Comme les stéroïdes que je prenais depuis plus de deux ans n’avaient fondamentalement procuré aucune amélioration de l’urticaire géant chronique dont je souffre j’avais cessé d’en prendre.

Ce médecin m’a écouté, compris mon propre diagnostic et a abondé dans mon sens car, fait exceptionnel, il avait fait de la bibliographie au sujet des séquelles du coronavirus sur le long terme. Il m’a donc prescrit de l’hydroxychloroquine pendant trois mois pour voir si les effets de cet anti-malaria reconnu pour présenter des effets immunomodulateurs allaient mettre un terme à cet urticaire et à ces douleurs articulaires naissantes. En effet, il est connu que l’HCQ permet de soigner le lupus, certaines formes de psoriasis et la polyarthrite rhumatoïde, trois affections d’origine autoimmune. J’ai d’ailleurs exposé à ce médecin mon hypothèse.

Les anticorps dirigés contre la protéine spike du coronavirus croisent avec la syncytine, une protéine abondante au niveau du derme profond, des articulations où on rencontre des cellules possédant plusieurs noyaux comme dans les muscle et en particulier le coeur, au niveau des ovaires et des testicules et est absolument nécessaire pour l’implantation du placenta dans l’utérus. Ce dernier point explique l’inimaginable fréquence actuelle des fausses-couches, cette fois en raison de la « vaccination » et aussi pour la même raison la perte de poids que j’ai constaté en ce qui me concerne, 15 kilos maintenant. En effet les cellules musculaires, les myoblastes, fusionnent pour former les fibres constituant les muscles. De là à expliquer les crises cardiaques inexpliquées à la suite de la « vaccination » et en ce qui me concerne cette perte de masse musculaire conséquente. Ces observations expliquent cela.

Je suis donc allé acheter pour l’instant deux boites de Plaquenil (HCQ) à la pharmacie en déclarant à l’employé que je voulais un médicament interdit ! D’ailleurs à ce sujet les informations de corruption à tous les niveaux du système de santé mondial ou national font surface, FDA, Agence européenne du médicament, OMS, etc. Ce gigantesque scandale consistant à interdire l’HCQ en traitement précoce contre le coronavirus va à terme, et j’en suis convaincu, se terminer par de la prison pour un certain nombre de décideurs politiques ainsi que leurs acolytes. Cette histoire sent très mauvais.

Bref dans trois mois j’aurai quelques indications qui je l’espère seront rassurantes. Paradoxal n’est-ce pas ? Soigner les séquelles d’une infection virale avec de l’HCQ alors que l’agent infectieux aurait pu être éliminé précocement par ce même produit …

La thérapie génique contre le SARS-CoV-2 aurait-elle atteint son but ?

Lorsque le Docteur Jessica Rose (MD, PhD) entreprit d’analyser les données de l’organisme qui centralise les données relatives aux effets indésirables des vaccins en général et maintenant de la thérapie génique susceptible de protéger contre le SARS-CoV-2 elle découvrit que les données de cet organisme (VAERS- CDC) étaient caviardées. Elle examina alors les données centralisées par Département de la Défense américain. Elle découvrit que la banque de données VAERS sous-estimait d’un facteur 49 les fausses-couches provoquées par l’injection d’ARN messager codant pour la protéine spike-1 du coronavirus. Rassemblant ces données le Docteur Rose conclut que le nombre de fausses-couches provoquées par le « vaccin » avait en réalité atteint 416186 aux Etats-Unis depuis la mise en place de la « vaccination » anti-coronavirus.

La vérification indirecte a été apportée par une clinique pratiquant des fécondations in vitro à Singapour. Normalement, en routine, une ponction ovarienne permet de disposer d’une quarantaine d’ovules et la fécondation in vitro conduit alors, toujours en routine, à trois à cinq embryons qu’il faut implanter ensuite dans l’utérus de la mère car introduire un seul embryon réduit presque à néant les chances de réussite, un fait clinique encore inexpliqué. Sans avoir questionné les couples ayant été contraints de choisir ce protocole de fécondation in vitro au sujet de leur statut « vaccinal » contre le coronavirus, devant les échecs répétés les médecins ont alors élargi leur enquête et ils se sont rendu compte que toutes les femmes avaient reçu au moins deux injections de « vaccin ». Ils en déduisirent qu’il y avait peut-être une relation entre ces échecs répétés et le fait que la majorité des embryons n’étaient plus viables in vitro au delà de 4 jours, du jamais vu. De plus les implantations dans l’utérus étaient suivies de fausse-couche dans pratiquement tous les cas.

Les médecins de cette clinique de Singapour ont contacté divers autres établissements similaires en Amérique du Nord qui ont confirmé leurs observations. Ce qui paraissait mystérieux était la très faible viabilité des embryons en dépit du strict respect du protocole. D’autre part le défaut d’implantation dans l’utérus restait mystérieux. Les personnels de ces cliniques n’aiment pas du tout rendre publiques de telles informations et si une personne rapportait ce genre d’information elle serait immédiatement mise à pied. Pour se protéger les biologistes de la clinique de fécondation in vitro de l’Université nationale de Singapour publia un article (lien ci-dessous) infirmant toute relation de cause à effet entre leurs bévues et le statut vaccinal des couples consultant pour une fécondation in vitro. La publication scientifique était visiblement malhonnête et masquait la relation de cause à effet pourtant observée entre la « vaccination » et les problèmes rencontrés.

La supercherie s’explique par le protocole de dosage de la présence d’anticorps dirigés contre la syncytine, une protéine vitale pour l’implantation de l’embryon dans l’utérus et possiblement dans les processus de maturation des gamètes, voire dans le mécanisme de fécondation lui-même. La présence d’anticorps anti-syncytine est mesurée à l’aide de la technique dite ELISA. Pour bien comprendre la mystification utilisée pour masquer la cause des échecs répétés rencontrés dans cette clinique il faut se pencher sur la technique ELISA elle-même et la signification du seuil de positivité fixé par le fabricant. L’illustration ci-dessous illustre cette mystification.

D’abord l’évaluation de la présence d’anticorps neutralisants est exprimée en pourcentage avec un seuil de positivité fixé à 30 %. Pourquoi dans le cas de la recherche de réactivité croisée avec la syncytine les résultats sont exprimés en unités d’absorption à 492 nanomètres, la couleur qui se développe après ajout du second anticorps anti-anticorps humains auquel a été adjoint un enzyme qui développe une coloration à cette longueur d’onde ? Et enfin pourquoi le seuil de positivité est arbitrairement fixé à 0,9 unités d’absorption à cette longueur d’onde ? Bien des questions se posent et laissent perplexes ceux qui connaissent cette technique. Les auteurs de l’article ont délibérément choisi de ne pas montrer clairement le risque considérable qui apparaît après une « vaccination » avec l’ARN messager, en l’occurence à Singapour la mixture de Pfizer.

Contrairement à ce qui est affirmé par les médias et les gouvernements cette technique nouvelle d’immunisation n’est pas anodine, en particulier sur la reproduction. Il faut espérer que les quelques milliards de personnes soumises souvent sous la contrainte à cette thérapie auront un taux d’anticorps croisant avec la syncytine qui décroitra avec le temps afin de retrouver une situation normale dans leurs fonctions de reproduction. Dans le cas contraire la stratégie de « vaccination » aura atteint son but : provoquer une diminution brutale de la population, une sorte de génocide dissimulé par des prétextes sanitaires. Il faudra attendre quelques années pour observer si oui ou non les taux de natalité chutent ou restent normaux. Bill Gates se réjouit peut-être trop …

Source : https://unglossed.substack.com/p/what-happened-in-singapore et

doi: https://doi.org/10.1101/2021.05.23.21257686

Note. Je me sens bien placé pour analyser les travaux relatés dans ce billet. À l’époque où je poursuivais mes travaux de recherche au sein d’un laboratoire du Salk Institute sous la direction d’un Prix Noble de Médecine la technique ELISA n’existait pas et le deuxième anticorps était « marqué » avec de l’iode radioactif. Il s’agissait des radio-immuno-essais, ancêtres des ELISA. Cette technique était extraordinairement sensible, l’iode étant un facteur d’amplification de la réponse liée à la fixation du deuxième anticorps « marqué » avec de l’iode, l’isotope 125 hautement radioactif. Cette technique a été abandonnée lorsque ce deuxième anticorps a été modifié par greffage d’un enzyme permettant de quantifier sa présence à l’aide d’une réaction colorimétrique, l’iode radioactif étant plutôt dangereux. Je ne suis pas du genre à être leurré par des articles scientifiques visiblement truqués.

Coronavirus : que se passe-t-il en Israël ?

Je sais que je ne vais pas me faire d’amis avec ce billet mais il est important d’attirer l’attention des lecteurs de ce blog. Israël est le pays le plus « vacciné » dans le monde dit occidental. Tant qu’il y aura des « cas » et des hospitalisations dues à une infection par le coronavirus, quel que soit le mutant, l’ensemble de la population résidente devra subir des rappels. Malgré les évidences scientifiques indiquant que les anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus reconnaissent également la syncytine, les autorités israéliennes continuent à encourager par des moyens souvent coercitifs cette injection d’ARN messager codant pour la protéine dite Spike. De plus la protéine produite par les cellules du sujet ayant subi cette injection perturbe profondément le système immunitaire, provoque des thromboses et des péricardites souvent mortelles et rend paradoxalement les sujets plus sensibles aux infections par le coronavirus. Mais il ne faut pas en parler car ça énerve les dirigeants des grandes firmes pharmaceutiques ainsi que les dirigeants politiques.

Le cas de la syncytine est plus préoccupant car l’administration de cet ARN messager provoque chez les femmes devenues enceintes après cette injection un risque de fausse-couche dont la fréquence inquiétante et jamais observée auparavant est soigneusement dissimulée par les gouvernements. Il n’existe aucune statistique précise et fiable à ce sujet y compris en Israël. Pourtant le gouvernement de ce pays doit être aujourd’hui très inquiet car si les femmes israéliennes qui ont déjà à ce jour subi en moyenne 4 injections de ce poison ne peuvent plus porter un enfant en toute sécurité il en va de l’avenir du pays. Et c’est sur ce point précis qu’il est intéressant de rapprocher une autre information également en provenance d’Israël.

La loi israélienne vient d’être modifiée en ce qui concerne les mères porteuses pour autrui (surrogacy en anglais). Jusqu’au 11 janvier 2022, date à laquelle la nouvelle loi concernant les mères porteuses a été mise en application, les dispositions légales israéliennes étaient très strictes. D’un seul coup elles viennent d’être libéralisées en élargissant le service des mères porteuses aux femmes célibataires, aux couples homosexuels quel que soit leur sexe et aux couples non mariés officiellement. L’aspect financier ne tardera pas à apparaître car un mère porteuse c’est aussi le service d’une clinique de fécondation in vitro ainsi que le suivi de la santé de la mère porteuse. La facture s’élève à environ 50000 dollars, somme partagée pour moitié respectivement entre la mère porteuse et la clinique. S’il faut une donneuse d’ovules ou un donneur de sperme, la facture augmente, c’est normal.

Il est intéressant de rapprocher cette information de la frénésie de « vaccination » que connaît depuis une année l’Etat d’Israël. Si l’injection de cet ARN messager risque de provoquer des fausses-couches autant ne pas prendre de risque au sujet de la pérennité du pays lui-même. Partant du principe que les gamètes sont à l’abri, ce qui n’est pas encore prouvé, alors le recours à une mère porteuse est tout à fait indiqué. Des pays comme le Mexique, le Portugal ou encore l’Ukraine proposent ce genre de service en toute légalité.

Pour conclure ce billet je voudrais à nouveau insister sur le fait que les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas effectué une recherche élémentaire sur le plan technique au sujet des éventuelles réactions croisées entre les anticorps anti-Spike et d’autres protéines humaines. Il suffisait de réaliser un « western-blot », une technique connue de tous les laboratoires de biologie depuis des années. C’est incompréhensible. Il est certain que des biologistes israéliens ont lancé l’alerte auprès de leur gouvernement afin de prendre des mesures sérieuses pour sauver le « Peuple élu ». Bienvenue dans un monde hostile à la Bill Gates, un individu peut-être opposé à la prospérité de l’Etat d’Israël … mais je m’égare.

Lien : https://www.health.gov.il/English/Topics/fertility/Surrogacy/Pages/default.aspx

SARS-CoV-2 : La vérité apparaîtra bientôt et ce sera dévastateur …

À la suite de la lecture du livre de Philippe Aimar « Enquête sur un virus » j’ai tenté de comprendre quel était le message caché que recelait cet ouvrage très journalistique. J’ai compris que Aimar ne voulait pas entrer dans le vif du sujet qui préoccupe ceux, comme votre serviteur, qui ne sont pas disposés à se laisser intoxiquer par la propagande gouvernementale française, allemande ou européenne dans son ensemble. Le fait est que le gouvernement français est allé trop loin dans ses mesures liberticides et qu’il est maintenant incapable de rétro-pédaler. Si Macron et ses affidés décidaient d’assouplir ces mesures liberticides ils se ridiculiseraient et lors de chaque réunion du fameux « conseil de guerre » de nouvelles décisions sont prises, c’est en quelque sorte le maelström du pire qui engloutit tout point de vue raisonnable. Il existe dans ce conseil de défense plusieurs scientifiques : ils ont été aspirés par ce maelström et ainsi devenus incapables de raisonner.

La France s’enfonce donc dans le totalitarisme et, curieusement, les Français acceptent toutes les vexations que leur infligent ces incapables qui les dirigent. Aucun citoyen français ne comprend l’enjeu de ces mesures vexatoires, contraires à la Constitution, car il s’agit de transformer tous le peuple en individus asservis, en dehors, à l’évidence, de la caste dirigeante. Le pass sanitaire est devenu un pass vaccinal, introduisant de fait un apartheid en France, le pays des droits de l’homme. Dans quelques mois il y aura aussi le pass climatique qui pourra être appelé « pass carbone » ou « pass vert » et personne n’échappera à toutes sortes de punitions et de taxes si les règles écologistes de sauvetage du climat ne sont pas respectées. Quelle que soit l’issue de l’élection présidentielle du printemps prochain je suis convaincu que ce type d’outil de contrôle du peuple sera institué au plus tard en 2023.

En ce qui concerne le coronavirus, il tue toujours (très peu) mais le nombre de « cas » en hausse constante constitue un blanc seing pour le gouvernement qui vient de décider d’interdire l’azithromycine, l’un des antibiotiques le plus vendu dans le monde pour les infections respiratoires. C’est à croire que le gouvernement français veut encore plus de morts après l’interdiction de l’hydroxychloroquine suivie de celle de l’ivermectine ! Dans le but de maintenir un état de sidération maximale du peuple, on assiste ainsi à une vraie propagande nazie ou nazifiante, comme vous voudrez. Je disais à ma fille ce dimanche 26 que je ne remettrai jamais les pieds sur le sol français. Il est pour moi évident que les agissements du gouvernement français sont orientés vers encore plus de « vaccins » et parallèlement encore moins de possibilités pour les médecins traitants de sauver des vies. À croire que les membres de ce conseil de guerre sont tous à la solde du lobby pharmaceutique et qu’ils se moquent totalement de la vie des Français. Je suis stupéfait enfin que le Conseil Constitutionnel ne réagisse pas … Décidément la France n’est plus une démocratie et les Français sont tous devenus des zombies consentants décérébrés, ce qui est la définition même d’un zombie. Et leur condition s’aggravera quand la « grande remise à zéro » si chère à Klaus Schwab sera adoptée par la France ou plutôt quand la France sera contrainte de mettre en œuvre un véritable régime totalitaire en raison d’une forte inflation, d’un endettement hors de contrôle et d’une augmentation inéluctable des taux d’intérêts de référence des bons du trésor à dix ans. Bel avenir pour l’ensemble du peuple de France et en particulier pour mes petits-enfants à qui je transmets un message de survie : fuyez la France dès que vous le pouvez, ne restez pas dans ce pays !

L’ouvrage de Philippe Aimar élude les évidences biologiques relatives à la thérapie génique abusivement appelée vaccin et il n’y a pas lieu de le lui reprocher. Cette frénésie de « vaccination » et de rappels, maintenant tous les 3 mois en France, signifie que la France et également les autres décideurs politiques occidentaux ont décidé de limiter la population conformément au souhait de Bill Gates. En effet cet ARN messager code pour la protéine de la spicule du coronavirus. Cette protéine s’accumule dans les gonades, ovaires et testicules, et personne ne connait les effets sur le long terme de ce phénomène. D’autre part les anticorps dirigés contre cette protéine interagissent avec la syncytine, une protéine essentielle pour l’implantation du placenta dans l’utérus mais également dans la maturation tant des ovules que des spermatozoïdes. Ce phénomène de « cross-reactivity », réactivité croisée, peut aussi induire des troubles neurologiques variés. À l’heure actuelle aucun des fabricants de cette thérapie génique n’a étudié les possibles effets sur une longue durée du seul fait du faux caractère d’urgence puisqu’il existait depuis le début de l’épidémie des traitements peu coûteux efficaces quand ils sont prescrits précocement. Dans dix ans, peut-être, les pays qui ont « vacciné » avec frénésie leur population jeune constateront que leur taux de fertilité s’est effondré en raison de cette thérapie génique. En quelque sorte les pays occidentaux, y compris Israël ce qui est surprenant, sont en train de se suicider.

Je conseille très vivement à mes fidèles lecteurs anglophones de consacrer 3 heures à écouter attentivement le Docteur Robert Malone, l’inventeur de la technologie de la vaccination par ARN messager pour traiter les personnes infectées par le HIV :https://open.spotify.com/episode/3SCsueX2bZdbEzRtKOCEyT . Le Docteur Malone répond à toutes les facette du livre de Philippe Aimar que je subodorais. Via :https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-ivermectin-and-mass-formation-psychosis-dr-robert-malone-gives-blistering-interview