Brève. Les fondement de la dictature sanitaire en Europe occidentale

Après avoir mis dans l’embarras de nombreux gouvernements et en particulier l’Union européenne mais également la France en déconseillant l’administration de Remdesivir (Gilead) comme traitement curatif du SARS-CoV-2, l’OMS enfonce le clou en dénonçant le peu de fiabilité des tests RT-PCR pour la détection des « cas » de SARS-CoV-2. En effet, afin de « gonfler le nombre de cas positifs » pour justifier les mesures coercitives imposées aux populations le test RT-PCR (reverse transcriptase-polymerase chain reaction) le nombre de cycles d’amplification préconisé par les autorités de santé gouvernementales est ridiculement élevé. Au delà de 25 cycles les résultats ne sont plus fiables, comprenez ils ne veulent plus rien dire, du genre Seralini si on peut dire les choses ainsi. Les laboratoires d’analyse ne sont pas équipés pour détecter la « vraie » présence du virus et le protocole utilisé pour ces tests nécessite un grand nombre de cycles d’amplification pour que la présence d’ARN viral puisse être effectivement détectable. Lorsque j’ai utilisé cette technique PCR au cours de mes travaux de recherche la confirmation finale de l’amplification était réalisée par électrophorèse qui permettait d’évaluer la taille de l’ADN amplifié ainsi que sa teneur dans l’échantillon initial par extrapolation. C’est la raison pour laquelle le Docteur Kary Mullis qui fut nobélisé pour sa découverte et la mise au point de la PCR (c’est bien féminin car il s’agit d’une réaction enzymatique !) mettait en garde les utilisateurs devant les faux positifs qui apparaissaient proportionnellement au nombre de cycles d’amplification et qu’en aucun cas un test PCR pouvait être considéré comme un diagnostic médical. C’est du « lourd » et Mullis l’a répété de nombreuses fois.

Mais l’augmentation astronomique du nombre de « cas » détectés par PCR arrange bien les gouvernements qui peuvent ainsi museler les récalcitrants et maintenir des populations entières dans un état de peur permanente pour mieux les manipuler et les dominer. Jamais je n’aurais imaginé il y a 30 ans que le test PCR servirait un jour d’instrument pour mettre en place des dérives politiques dictatoriales à la limite du fascisme. Il est possible que l’OMS se soit rendue compte de cet état de fait et a finalement décidé dans un bref communiqué en date du 14 décembre 2020 d’avertir ces mêmes autorités politiques en charge des questions de santé qu’ils en faisaient « un peu trop » ( https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users ). Déjà en 2009 les auteurs de manuscrits de recherche scientifique et médicale étaient mis en garde contre les possibles mauvaises interprétations des tests PCR mais visiblement les autorités politiques ont pris soin de l’ignorer pour mieux tromper les populations. Il faudra bien que ces malfaisants répondent de leurs actes un jour ou l’autre ( https://www.gene-quantification.de/miqe-bustin-et-al-clin-chem-2009.pdf ) car il s’agit de tromperies grossières.

L’apparition d’une nouvelle souche de SARS-CoV-2 d’origine britannique cette fois, ça change de la Chine, a réchauffé les velléités des gouvernements européens de réduire encore une fois les libertés individuelles des citoyens. Mais laissez-moi rire de ce nouveau psychodrame qui ébranle toute l’Europe à quelques jours des fêtes de fin d’année. L’IHU de Marseille, l’organisme de recherche médicale à la pointe des recherches mondiales relatives au SARS-CoV-2, a dénombré par moins de 6 souches nouvelles de ce même virus dont une petite épidémie locale provenant d’Afrique du Nord qui a disparu en quelques semaines.

Avec le gonflement artificiel du nombre de morts estampillés « coronavirus », l’utilisation abusive des tests PCR et l’apparition presque magique de nouvelles souches du virus pour raviver la peur des populations avec le relais des médias « main-stream » qui ont toujours un os à ronger, celui des subventions gouvernementales, cette pandémie est-elle finalement toujours aussi réelle qu’on veut bien nous le dire ? Tout à fait réel néanmoins est l’appétit insatiable des « Health Majors », comprenez « Big Pharma » qui a décroché le gros lot avec les vaccins, pas pour moi :

Source partielle : Off-Guardian.org et pour les curieux cet exposé de Reiner Fuellmich sous-titré en français : https://www.youtube.com/watch?v=asSSfQGd_u4 et l’extraordinaire exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel « Covid-19, anatomie d’une crise » https://www.youtube.com/watch?v=8WGOobEHOos

5 réflexions au sujet de « Brève. Les fondement de la dictature sanitaire en Europe occidentale »

  1. Une dictature qui ressemble à une tyrannie* dont le résumé (par un psychiatre) interpelle :
    Tautologie entre « la dictature est en marche » (cité dans le texte) et La République en Marche = LREM = Le Roi Emmanuel Macron

    https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/12/20/covid-19-un-virus-et-des-hommes-petit-essai-de-psychopathologie-apocalypti.html

    *Tyrannie dans les chantages…dont la dernière est celle du blocus Européen à l’Angleterre : No Brexit ! => chaos social in England

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