Quarante cinq déclarations sur le contrôle de la population humaine (première partie)

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En prolongement d’un billet récent sur ce blog, voici un florilège de déclarations relatives au contrôle des naissances et du problème induit par le volume de la population de la planète sur l’évolution du climat analysé par les élites mondiales. Cet état d’esprit existait bien avant l’apparition du réchauffement global et du changement climatique. Beaucoup de personnalités au sommet de la pyramide sociale mondiale rêvaient d’abattre le troupeau humain de manière spectaculaire. Voici les 23 premières déclarations ( source : themostimportantnews.com). Suite dans un autre billet.

1. Charles Darwin (son oeuvre est à la base de beaucoup de théories scientifiques actuelles) : « Dans une époque future pas très éloignée si on la mesure en siècles, les races humaines civilisées, selon toute certitude, extermineront et remplaceront dans le monde entier toutes les races sauvages. Simultanément les grands singes anthropomorphiques, comme l’a remarqué le Professeur Schaaffhausen, seront sans aucun doute exterminés. La césure se sera élargie, plus que si elle intervenait entre l’homme caucasien civilisé comme on peut l’espérer et des singes aussi vulgaires que le babouin plutôt que comme à présent entre des nègres ou des Australiens (aborigènes) et les gorilles ».

2. Bill Gates : « Le problème est que la population croit d’autant plus rapidement là où les gens sont le moins capables de s’en rendre responsables. Ainsi c’est dans les contrées les plus pauvres que la population triplera vers 2050 (…) et nous devons nous assurer d’aider ces peuples avec des moyens leur évitant d’avoir dans le futur une situation impossible ».

3. Bernie Sanders : « Dans les pays pauvres où les femmes n’ont pas forcément envie d’avoir beaucoup d’enfants et où elles peuvent avoir accès à des moyens pour contrôler le nombre d’enfants qu’elles veulent avoir, je soutiens entièrement ce type d’action ».

4. Boris Johnson : « Le principal défi auquel notre espèce est confrontée est la reproduction de notre espèce elle-même. Il est grand temps d’avoir une discussion au sujet du nombre optimal d’êtres humains dans notre pays mais aussi sur la planète entière. Il est évident que nous avons les moyens de réduire la croissance de la population et la pauvreté en promouvant l’alphabétisation, l’émancipation des femmes et l’accès au contrôle des naissances ».

5. Sir David Attenborough, présentateur à la télévision britannique : « On ne peut plus laisser croître la population humaine de manière incontrôlée. Si nous ne prenons pas en charge la taille de notre population, la nature s’en chargera ».

6. Paul Erlich, ancien conseiller scientifique de George W. Bush : « Résoudre le problème de la population ne résoudra pas les problèmes de racisme, de sexisme, d’intolérance religieuse, de guerres, d’inégalité économiques évidentes. Mais si vous ne résolvez pas le problème de la surpopulation, vous ne résoudrez aucun de ces problèmes. Quel que soit le problème qui vous préoccupe, vous ne pourrez le résoudre que si vous résolvez également le problème de la population ».

7. Dave Foreman, fondateur de Earth First : « Nous les humains sommes devenus une maladie, l’ « humanpox » (la variole humaine) ».

8. Ted Turner, fondateur de CNN : « Une population totale de 250 à 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 % par rapport au niveau actuel, serait l’idéal ».

9. Taro Aso, vice-premier ministre du Japon à propos des patients atteints de maladies graves : « On ne peut pas bien dormir quand on pense que tout ça est payé par le gouvernement. Cela ne sera résolu que si vous les laissez vite mourir ».

10. David Rockefeller : « L’impact négatif de la croissance démographique sur tous nos écosystèmes planétaires devient de plus en plus évident ».

11. Richard Branson : « La vérité est la suivante : la Terre ne peut pas fournir suffisamment de nourriture et d’eau potable à 10 milliards de personnes sans parler des maisons, des routes, des hôpitaux et des écoles ».

12. Roger Martin, militant écologiste : « Sur une planète finie la population optimale offrant la meilleure qualité de vie pour tous est clairement beaucoup plus petite que la population maximale assurant une simple survie. Plus nous sommes nombreux moins il y a à partager, moins de gens signifie une vie meilleure ».

13. Bill Maher (HBO) : « Je suis favorable au choix, je suis pour le suicide assisté, je suis pour le suicide tout court, je suis pour tout ce qui permet de faire bouger les lignes, voilà ce pour quoi je suis. Il y a trop de monde sur la planète, elle est surpeuplée, et nous devons faire la promotion de la mort ».

14. Al Gore : « Ce que nous pourrions faire pour la planète c’est changer les technologies, réduire la pollution, stabiliser la population, et sur ce dernier point il faut éduquer les jeunes filles et les femmes. Nous devons mettre en place un contrôle des naissances omniprésent pour que les femmes puissent choisir le nombre d’enfants qu’elles désirent avoir et espacer les naissances. Il faut éduquer les filles et rendre les femmes autonomes. C’est le facteur d’effet de levier le plus efficace et lorsque cela se produit la population commence à se stabiliser et alors les sociétés commencent à faire de meilleurs choix plus équilibrés ».

15. Penny Chisholm, professeur au MIT : « Le vrai truc pour tenter de stabiliser la population mondiale à 9 milliards est de faire chuter les taux de natalité dans les pays en voie de développement aussi vite que possible. Cela déterminera alors le niveau auquel les humains se stabiliseront sur Terre ».

16. Julia Whitty, chroniqueuse pour Mother Jones : « La seule solution connue au dépassement écologique consiste à ralentir la croissance de notre population plus rapidement qu’elle ne le fait aujourd’hui, puis à inverser la tendance. En même temps nous ralentissons et inversons la vitesse avec laquelle nous consommons les ressource de la planète. Le succès de ces deux projets résoudra nos problèmes mondiaux les plus pressants : changement climatique, pénurie alimentaire, approvisionnement en eau, immigration, soins de santé, destruction de la biodiversité, voire conflits armés. D’un côté nous avons déjà réalisé des progrès sans précédent en réduisant la fécondité mondiale de 4,92 enfants par femme en 1950 à 2,56 aujourd’hui, une réussite de nombreuses tentatives parsemées d’erreurs parfois brutales, mais aussi une réussite au niveau des femmes prises individuellement pour faire leurs propres choix. La vitesse de cette révolution de la natalité qui s’oppose encore à la programmation biologique est peut-être notre plus grand exploit collectif à ce jour ».

17. Philip Cafar, professeur à l’Université du Colorado, dans un article intitulé « Ethique du climat et politique de la population » : « Mettre fin à la croissance de la population humaine est presque certainement nécessaire (mais non suffisante) pour prévenir un changement climatique catastrophique à l’échelle mondiale. En effet, réduire significativement la population humaine est peut-être nécessaire pour qu’il en soit ainsi ».

18. Eric R. Pianka, professeur à l’Université du Texas à Austin : « J’ai deux petits-enfants et je veux qu’il héritent d’une Terre stabilisée. Mais j’ai peur pour eux. Les Humains ont surpeuplé la planète et ont ainsi créé un terreau idéal pour que les bactéries et les virus se développent et prospèrent. Nous nous comportons comme des bactéries qui se développent sur une boite de gélose, en plein essor jusqu’à ce que les limites soient atteintes ou jusqu’à ce qu’un autre microorganisme les colonise et prenne le relais, les utilisant alors comme source de nourriture. Outre notre densité de population extrêmement élevée, nous sommes sociaux et mobiles et ce sont exactement les conditions qui favorisent la croissance et la propagation des microorganismes pathogènes. Je pense que ce n’est qu’une question de temps avant que les microbes assument de nouveau leur rôle de contrôle de la population humaine car nous ne pouvons ou ne voulons pas les contrôler nous-mêmes. Les écologistes souscrivent à cette idée depuis au moins 40 ans, ce n’est pas nouveau, mais les gens ne veulent tout simplement pas les écouter ».

19. Kofi Annan, Secrétaire générale des Nations-Unies de 1997 à 2006 : « L’idée que la croissance de la population garantit une vie meilleure – financièrement ou non – est un mythe et seuls les vendeurs de couches pour bébés, de poussettes et d’articles similaires ont le droit d’y croire ».

20. Thoraya Ahmed Obaid, secrétaire général adjoint des Nations-Unies de 2000 à 2010 : « Nous ne pouvons pas faire face aux défis énormes de la pauvreté, de la faim, des maladies et de la destruction de l’environnement si nous ne réglons pas les problèmes de santé de la reproduction de la population ».

21. Bill Nye : « En 1750 il y avait environ un milliard d’êtres humains dans le monde. Maintenant il y en a plus de 7 milliards. Ce nombre a plus que doublé durant ma propre vie. Tous ces gens qui veulent vivre comme nous dans les pays développés produisent beaucoup plus de dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre qu’il y a deux siècles. C’est la vitesse de ce changement qui va poser problème à beaucoup de ces populations concentrées dans divers pays du monde ».

22. Cameron Diaz (actrice) : « Je pense que les femmes ont peur de dire qu’elles ne veulent pas d’enfants parce qu’elles vont être déconsidérées. Mais je pense que cela change maintenant. J’ai plus de copines qui n’ont pas d’enfants que de copines qui en ont. Et, honnêtement, nous n’avons plus besoin d’enfants, il y a beaucoup trop de gens sur cette planète ».

23. Steven Rattner, stratège démocrate : « Nous avons besoin de conférences de la mort. Pas exactement des comités de la mort, certes, mais si nous ne commençons pas à cibler les soins de santé avec plus de discernement, à les rationner – appellons les choses par leur nom – le coût de l’assurance-maladie submergera le budget fédéral américain ».

21 réflexions au sujet de « Quarante cinq déclarations sur le contrôle de la population humaine (première partie) »

  1. Autant on peut légitimement se poser la question d’une urbanisation anarchique, de l’accès à l’eau et à l’assainissement, à l’éducation, la santé et un « minimum » de protection sociale, et pas seulement dans les pays « du Sud », autant la plupart de ces déclarations émanant pour la plupart d' »Hommes » blancs de pays « riches » est scandaleuse?
    Ah pour sûr ma pauv’dame, si qu’on était que quelques millions sur la Terre, ah que on profiterait mieux de toutes ses richesses (c’est mathématique).

    • Tout-à-fait. Dans les facteurs limitant la croissance de la population, on a aussi les guerres, les cataclysmes naturels (volcanisme, tsunamis, chutes de corps célestes massifs sur la terre comme ceux qui auraient décimé les dinosaures), les accidents technologiques majeurs (des silos de bombes atomiques qui pètent dû à la vétusté des installations américaines -par exemple- qui utilisaient jusqu’à il y a peu des disquettes « molles » de 8 pouces et des programmes informatiques archaïques développés au début des années 60), des germes résistants à tout traitement et qui provoquent une pandémie mondiale incontrôlable (genre grippe espagnole qui a fait selon les dernières estimations 100 millions de morts, soit plus de morts que la première guerre mondiale elle-même), un tarissement inattendu de ressources critiques (par exemple une chute soudaine de la production des gaz et pétroles de schistes américains), voire pourquoi pas un refroidissement climatique brutal qui réduit de moitié la production mondiale de céréales et provoque des famines monstrueuses, un black out généralisé de très longue durée en Europe dû à un excès d’énergies intermittentes sur le réseau…

      • Aux « facteurs limitant la croissance de la population », on peut ajouter les choix politiques. Un exemple :

        L’anomalie vers 1960, c’est le « Grand Bon en Avant » de Mao !

  2. A lire les phrases on pourrait croire que le phénomène est planétaire, alors qu’il n’en est rien : l’explosion démographique est un problème uniquement Africain + quelques autres pays d’Asie. ( surtout musulmans).
    L’autre problème est que ce sont les parents les moins capables et les moins intelligents qui font le lus de gosses. Il y a une perte de capacités, génération après génération. Beaucoup de femmes très capables n’ont même pas un enfant alors que des femmes incapables en ont 6 ou 7.
    Il faudrait au moins maintenir le nombre en valeur absolue ( puisqu’en relatif c’est impossible) de gens les plus capables.

    • La transmission de l’intelligence est-elle sous le contrôle de l’hérédité ? Si oui, parle-t-on de l’intelligence logico-mathématique ou des autres formes de l’intelligence actuellement répertoriées par les sciences humaines (8 au total) ?

  3. L’économiste anglais Thomas Robert Malthus avait en son temps (tout début du 19ème siècle) postulé que la population humaine suivait une croissance exponentielle illimitée en fonction du temps, un peu comme une population de bactéries ou de souris toujours bien alimentées sans problèmes héréditaires. On a appelé ça le modèle de Malthus.
    Les eugénistes se réfèrent à ce modèle pour proposer des actions drastiques pour limiter la croissance des populations.
    Le mathématicien belge Pierre-François Verhulst a montré au milieu du 19ème siècle, donc quelques décennies après Malthus, qu’il n’en était rien et que la courbe de croissance d’une population suivant une courbe sigmoïde qui se tasse après son point d’inflexion : il y a une limitation naturelle qui provient entre autres facteurs des ressources du milieu :
    – accès à l’énergie et à l’eau
    – les maladies et notamment les maladies infectieuses
    – les altérations génétiques, dont celles liées à la consanguinité
    – accès à la nourriture et indirectement l’accès au travail
    – l’accès à l’éducation
    – les systèmes politiques et sociaux
    – etc..
    Compte-tenu de la complexité du sujet, il convient de rester très prudent et éviter les affirmations à l’emporte-pièce et autres fausses bonnes solutions simplistes. Il faut également se méfier des projections alarmistes des économistes et autres écologistes politiques qui ont toujours l’art et la manière de se planter dès qu’il s’agit de prévoir le futur.

  4. Dans un livre publié en anglais en 1966 et traduit en français en 1971, Edward T.Hall, « La dimension cachée », y est postulé que quand une société quelconque se retrouve avec une masse de population qu’elle ne sait pas anthropologiquement gérer, s’y met en place ce qu’il nomme un comportement cloacal dû au stress social important qui s’y développe.

    • Les gens font les poubelles, des émeutes de la faim éclatent, il y a développement de marchés noirs (trafics de nourriture, de drogues, d’armes, d’êtres humains, d’organes et de devises), les prix à la consommation s’envolent, des gangs prennent le contrôle de zones désertées par les autorités, les maladies anciennes reviennent, l’approvisionnement en eau et en énergie devient intermittent, la criminalité grimpe en flèche, les décès explosent et l’espérance de vie chute brutalement.
      Cela ressemble pas mal à ce qu’il se passe actuellement dans certaines zones ponctuelles du continent africain.

      • Ces facteurs externes expliquent qu’une population ne peut croître indéfiniment et que sa régulation s’opère par « les contraintes du milieu ».

      • Notre problème, à mon sens, est double pour résoudre un tel type de déchéance:
        1) que la majorité de la population soit consciente de la situation exacte sans verser dans un sens ou dans l’autre extrême;
        2) faire que les voyages spatiaux deviennent efficients, soit que nous dépassions le seul moteur fusée qui, depuis cinq décennies, avait déjà atteint le maximum de ses capacités.
        Vu que quoi qu’il en soit nous n’en sommes en rien d’adopter ces deux types de solutions, bien sûr qu’il ne peut qu’y en avoir d’autres.
        Nous poursuivrons donc, de ce fait, la marche vers une baisse drastique du nombre d’humain sur terre.
        Comprenez bien que je ne suis en rien malthusien, tout au contraire, mais que ce que j’observe à l’aune de ce que Mr. Thall montrait dans son ouvrage, et qui pour moi ne fut que la confirmation de ce que je pressentais.
        Ainsi en est-il de ce présupposé réchauffement climatique, comme de ce qui se fait appeler la théorie du genre, de la déliquescence d’une élite économique sous la forme d’une oligarchie financière autant débilitante que délirante, du délaissement des services publics comme de ceux dédiés à la santé, tout comme de la double élection, de Trump en tant que réformateur impérial, tout comme de celle de Macron en tant que président de la république française.
        Ces projets qu’il faut bien nommer exterminateurs, réfléchis et, peut-être, concoctés dans je ne sais quelle officine étasunienne, en étant pour moi comme en étant une preuve supplémentaire..
        Du fait de l’effondrement de la population européenne et japonaise, il est probable que quand les instabilités mondiales en viendront à générer un processus de catastrophe, que les USA et l’UE ne seront plus, ce soit donc à cet ouest de l’Eurasie que la folie actuelle se calmera, après, il est vrai, moult d’aléas.
        A tout le moins, il est toutefois de réaliser que deux pays, de ce que j’en sais, souffrent infiniment moins que la grande majorité des autres de cette pathologie anthropologique dès lors quasiment généralisée, la Russie et l’Islande.

  5. en partie oui ( au moins 30%) , en tout cas pour la  » logico mathématique » c’est assez clair .Bien sûr aucune étude en France ( tabou) mais voir les études USA …Cela dit je ne faisais pas référence à la génétique mais aux capacités globales qui intègrent aussi l’éducation, l’environnement, la possibilité d’être stimulé et d’exploiter son potentiel, la culture de l’effort et de l’amélioration etc…

    • +1 pour la culture de l’effort…je me souviens de cette citation d’un prof (grosse pointure universitaire) qui disait souvent quelque chose comme : « le génie suit la loi de Paréto : c’est souvent 80 % d’huile de coude, et de persévérance (acquis), et le reste provenant d’une génétique particulière qui produit un cerveau plus performant (inné) ».

      • …et si on se réfère à la théorie de Lamarck ( réhabilité maintenant avec l’épigénétique) l’effort modifie les caractères ( qui deviennent donc acquis) et que ces modifications se transmettent aux générations ultérieures ( ainsi c’est l’effort des girafes qui a fait augmenté petit à petit la longueur de leur cou).

    • Merci pour cette liste d’aphorismes qui en disent plus sur les intentions de leurs auteurs que sur la réalité scientifique de l’état de la planète. Cette citation du Club de Rome est très révélatrice de la volonté de ses membres de prendre le contrôle du pouvoir au niveau mondial :
      « Democracy is not a panacea. It cannot organize everything and
      it is unaware of its own limits. These facts must be faced squarely.
      Sacrilegious though this may sound, democracy is no longer well
      suited for the tasks ahead. The complexity and the technical nature
      of many of today’s problems do not always allow elected
      representatives to make competent decisions at the right time. »
      Traduction perso en Français :
      « La démocratie n’est pas une panacée. Ce système de gouvernance ne peut pas tout organiser et
      ignore ses propres limites. On doit faire face à ce problème sans faux semblants.
      Pour aussi sacrilège que cela puisse paraître, la démocratie ne convient plus pour les tâches à venir. La complexité et la nature technique de nombreux problèmes actuels ne permettent pas toujours aux élus de prendre les bonnes décisions au bon moment.  »

      On voit bien ici l’agenda totalitariste des mondialistes dont la première préoccupation est de trucider la moitié de l’humanité pour le prétendu bonheur du plus grand nombre.

  6. Bof, l’humanité est programmée pour disparaître comme il est déjà arrivé plusieurs fois que disparaissent les espèces qui ont peuplé la terre avant nous. Nous ne pourrons pas nous enfuir de notre planète, nous ne coloniserons pas d’autres planètes même si elles sont des milliards. Nous n’inventerons pas la téléportation et connaître le poids du neutrino nous servira à quoi ? La science fiction nous a imaginé de belles histoires qui ne sont que des vues de l’esprit.

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