Réchauffement climatique d’origine humaine : une pure fiction selon deux équipes de géophysiciens !

À 48 heures d’intervalle, deux équipes de géophysiciens, l’une finlandaise et l’autre japonaise, passent à la contre-attaque et dénoncent les mensonges répétés de l’IPCC. La question qu’il est opportun de se poser avant d’entrer dans les détails de ces publications est la suivante : l’IPCC a-t-il été mandaté pour ne considérer que l’effet du gaz carbonique sur la sensibilité du climat à l’exclusion de tout autre paramètre ? Si la réponse est oui, alors qui est le mandataire (ou les mandataires) et pour quelles raisons ? Si la réponse est non, alors je n’aimerais pas me trouver, en tant qu’ancien scientifique, dans la peau d’un quelconque des membres de ce groupement de fonctionnaires internationaux qui accumule les mensonges « par omission » depuis sa création, attitude qui l’oblige à inventer encore plus de mensonges.

En effet les variations du climat terrestre ne dépendent pas que des variations de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère, ce que ces deux équipes de géophysiciens démontrent clairement. L’IPCC a « oublié » (ou omis) de mentionner les variations de l’activité solaire. L’IPCC au aussi – et surtout – oublié la présence de vapeur d’eau et de nuages dans l’atmosphère. Personne ne peut nier qu’il y a des nuages dans le ciel, à moins d’aller chercher un bédouin au milieu du désert d’Arabie ou au milieu du Sahara qui témoignera que : « oui il n’y a jamais de nuages ici », alors ces quelques personnes confirmeront le fait que l’IPCC n’a jamais pris en compte ce paramètre central dans l’évolution du climat. Ces prétendus scientifiques de haut niveau qui osent donner des conseils aux gouvernements de tous les pays du monde, tous les membres des Nations-Unies, ont avoué, la bouche en coeur, que modéliser la formation et les mouvements des nuages, c’était trop compliqué, alors ils ne l’ont pas envisagé ! On croit rêver …

Entrons d’abord dans le vif du contenu du travail publié par des géophysiciens de l’Université de Kobe (doi : 10.1038/s41598-019-45466-8). Ces universitaires ont reconstruit les changements climatiques concernant le régime des moussons durant les périodes de la fin du Pléistocène et de l’Holocène en s’intéressant aux plateaux du nord de la Chine recouverts de loess, ces poussières apportées par les vents depuis les déserts, et où allaient ces poussières portées par les vents lors des moussons. Il se sont rendu compte que, dans le passé, quand le champ magnétique terrestre faiblissait puis s’inversait, le régime des moussons d’hiver, comme des moussons d’été, était profondément affecté. Durant le changement de direction du dipôle magnétique de la Terre, changement qui survient tous les 400000 ans environ, les variations concomitantes des régimes de mousson qui en résultaient étaient dues aux variations de la couverture nuageuse – sans nuages, pas de mousson – et que cette variation était directement liée à l’intensité du rayonnement cosmique atteignant les plus basses couches de l’atmosphère. Les travaux de cette équipe ont été focalisés sur les variations du régime des moussons telles qu’elles ont pu être évaluées par des carottages des sédiments dans les baies d’Osaka et de Tokyo. La conclusion de ces travaux est sans appel : lors du changement de polarité du champ magnétique terrestre l’intensité du champ magnétique diminue dramatiquement pour atteindre une valeur d’environ 25 % seulement de celle normalement relevée au cours d’un cycle normal de ce champ magnétique terrestre. Il en résulte une formation beaucoup plus fournie de nuages provoquée par le conflit normalement existant entre l’air froid sibérien entrant dans la région de l’archipel nippon qui se confronte avec l’air chaud et humide océanique provenant du sud de l’archipel. Cette situation a pour effet de favoriser un effet d’ombrelle nuageuse plus important que la normale en raison de l’intensité du bombardement cosmique, le champ magnétique terrestre n’étant plus assez efficace pour atténuer l’effet de ce bombardement cosmique sur la formation de nuages.

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On peut constater qu’il s’agit d’une vérification indirecte des hypothèses formulées par Svensmark sur l’influence combinée des champs magnétiques solaire et terrestre sur la protection de la Terre vis-à-vis des rayons cosmiques et de leur effet sur le climat. L’IPCC n’a jamais mentionné ce type de paramètre dans leurs nombreux modèles d’évolution de la température moyenne de la Terre, et pour cause, c’est tout aussi compliqué à modéliser que les nuages … Cette « ombrelle nuageuse » comme les géophysiciens japonais l’ont appelée a eu pour résultat une série d’épisodes de refroidissement du climat sur la période 1 million d’années – 200000 ans avant l’ère commune qui a fait l’objet de ces études.

Quelle horreur ! Remonter des centaines de milliers d’années en arrière pour expliquer le climat terrestre actuel qui préoccupe le monde entier doit paraître une hérésie profonde car la science climatique infuse est exclusivement du domaine de l’IPCC puisque pour cet organisme il suffit de « modéliser » pour savoir quel temps il fera en 2100. Et il faut croire cet organisme de fonctionnaires internationaux richement rémunérés par les impôts des contribuables du monde entier, nous n’avons plus le choix, c’est ce que ne cessent de répéter inlassablement tous les gouvernements des pays développés, dont en particulier les ministres des « transitions énergétiques », naturellement tous encartés aux partis verts locaux qui ont voué leur carrière politique à la cause climatique, quelques que soient leurs agissements privés par ailleurs : ils sont les seuls à détenir le savoir, point barre.

Et pourtant ces travaux ont mis indirectement en évidence le fait que les nuages, indépendamment de la cause de leur abondance relative au cours du temps, sont le paramètre naturel majeur de la sensibilité du climat comme cela va être exposé ci-après.

Venons-en donc maintenant aux travaux de Kauppinen et Malmi, deux Docteurs en géophysique de l’Université de Turku en Finlande. Les choses se compliquent sérieusement pour l’IPCC obsédé depuis sa création par le CO2. Le titre de leur publication est évocateur sinon provocateur : « Pas d’évidence expérimentale en faveur d’un changement du climat d’origine humaine » (arXiv : 1907.00165v1 [physics.ao-ph] 29 juin 2019, via Cornell University). Il existe une très large incertitude dans la communauté scientifique en ce qui concerne la sensibilité du climat, c’est-à-dire la résultante des divers facteurs affectant le climat, sensibilité qui se mesure en degrés Celsius. Certains modèles affirment que cette sensibilité est proche de zéro alors que d’autres modèles prédisent des augmentations de température pouvant atteindre 9 degrés C en cas de doublement de la teneur atmosphérique en CO2. La plupart de ces modèles utilisent une théorie dite « modèle de circulation générale » pour leurs estimations. Les modèles considérés comme plausibles par l’IPCC prévoient des sensibilités entre 2 et 5°C mais il y en a d’autres qui n’arrivent pas à dégager une quelconque sensibilité :

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Pour se faire une opinion de ce qui se passe dans la réalité il est nécessaire pour analyser l’anomalie de température par rapport à une moyenne, ce qu’indiquent les modèles, de faire la distinction entre les facteurs naturels et les gaz à effet de serre. Le rapport AR5 de l’IPCC stipulait que les facteurs naturels ne pouvaient pas expliquer l’évolution récente des températures comme l’indiquait en résumé la figure ci-dessous où les observations sont matérialisées par un trait noir, le facteur anthropogénique avec ses incertitudes en rose et les « facteurs naturels en bleu :

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L’un des facteurs naturels influant sur la température moyenne est la couverture nuageuse qui est disponible à partir des observations satellitaires. En rassemblant sur un même graphique les données relatives aux températures moyennes observées, plutôt leur écart par rapport à une moyenne fixée à 15°C, et les variations de la couverture nuageuse exprimées par rapport à une superficie égale à 26 % de la surface terrestre, on peut constater de cette représentation que quand il y a beaucoup de nuages, les températures ont tendance à diminuer et inversement quand cette même couverture nuageuse diminue l’écart des températures par rapport à la moyenne augmente positivement. On ne peut qu’en déduire que les nuages bloquent l’énergie solaire qui atteint moins efficacement la surface du sol ou des océans et par conséquent la température qui y est mesurée diminue :

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Dans cette figure le zéro de l’ordonnée pour les températures est 15°C et le Δc est la fraction exprimée en pourcentage correspondant au changement de la couverture nuageuse par rapport à la moyenne globale de 26 % de couverture nuageuse basse sur l’ensemble de la surface de la Terre.

Or, les modèles utilisés – forcing naturel seulement ou forcing naturel + forcing anthropogénique – devraient en toute logique se superposer autour de la courbe noire des observations si le forcing naturel considéré dans ces modèles prenait correctement en compte la contribution des nuages bas (voir la figure précédente figurant dans le rapport AR5 de l’IPCC. Force est de constater qu’il n’en est rien.

Mais si on superpose l’anomalie des températures observées entre l’été 1983 et l’été 2008 avec les observations globales de la couverture nuageuse, on va remarquer, bien qu’il y ait un « bruit de fond » important, que si on multiplie les données de couverture nuageuse exprimées en pourcentage de la moyenne sur cette période, un nombre sans dimension physique, par « moins » 0,11°C / % (-0,11) on retrouve grosso modo la même courbe que celle décrivant l’anomalie des températures :

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Les valeurs « zéro » pour chacune de ces grandeurs ΔT (en degrés) et Δc ( en %) sont respectivement, il est important de le rappeler encore une fois, de 15°C et 26 % pour les deux graphiques. Ce facteur multiplicatif -0,11 introduit une valeur physique, des degrés centigrades, à la couverture nuageuse exprimée en pourcentage qui peut alors être corrélée à la sensibilité climatique elle-même exprimée en degrés C.

Nous allons découvrir que ce facteur multiplicatif de « moins 0,11 °C » n’est pas sorti comme par magie d’un chapeau. Force est de constater qu’il existe une remarquable concordance entre ces deux courbes. Qu’est-ce que cela signifie ? Les anomalies de température telles qu’indiquées en rouge dans la première figure tiennent compte des facteurs naturels et de l’effet des gaz à effet de serre sur la sensibilité climatique, alors que dans cette première figure la courbe bleue n’indiquait que le facteur naturel qu’est la couverture nuageuse. Il est opportun de rappeler ici que cette couverture nuageuse est mesurée 24/24 heures à l’aide de radars installés sur des satellites et que les températures sont appréciées par thermométrie infra-rouge également avec l’aide de satellites. Cette concordance signifie tout simplement qu’il n’y a pas lieu de considérer un quelconque effet des gaz dits à effet de serre puisque températures et couverture nuageuse sont directement liées !

Les contradicteurs pourront toujours arguer du fait que le laps de temps indiqué dans ce travail est trop court. Il a pourtant été tenu compte des données satellitaires homogènes disponibles. Toute disparité dans ces observations aurait nécessité des corrections pouvant prêter à contestation. D’autres remarques seraient du genre : mais puisque l’IPCC affirme que l’évolution des températures entre 1983 et 2008 est uniquement explicable par l’augmentation de la teneur en CO2 atmosphérique de 343 à 386 ppm, donc c’est vrai, point final. Effectivement, la température moyenne globale, une notion, certes, contestable sur le plan strictement physique, a augmenté durant cette période de 0,4 °C. Conformément à la théorie développée par ces mêmes auteurs ( arXiv:1812.11547v1, décembre 2018 via Cornell University) et le résultat illustré par les deux courbes ci-dessus directement déduit de cette théorie, si la concentration en CO2 augmente de Co à C et double ( C = 2Co) le ΔT obéit à la loi suivante :

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où ΔT2CO2 est le changement global de la température et Δc le changement de la couverture nuageuse. Le premier terme de l’équation décrit l’effet du CO2 sur la sensibilité du climat et le second terme l’effet naturel – les nuages – indépendamment du CO2. En replaçant ΔT2CO2 par la valeur de la sensibilité du climat au CO2 qui est de 0,24 °C alors selon le premier terme de l’équation ci-dessus la contribution du CO2 n’est que de 0,04 °C. C’est la raison pour laquelle cette minuscule augmentation est invisible dans le deuxième graphe ci-dessus. Ce même calcul peut être transposé en tenant compte non plus de la couverture nuageuse de basse altitude mais de l’humidité ou teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère, une grandeur également mesurable à l’aide de satellites et les auteurs sont arrivés aux mêmes conclusions.

Ces résultats conduisent donc à la révélation surprenante qui est la surévaluation de la sensibilité climatique au CO2 d’un facteur 10 par l’IPCC car la rétro-action négative des nuages sur la température a tout simplement été ignorée. De plus la contribution de l’activité humaine à l’accroissement du CO2 atmosphérique total étant de l’ordre de 4 % alors on ne peut que conclure que le réchauffement climatique d’origine humaine n’existe tout simplement pas ! Durant les dernières 100 années la température globale moyenne a augmenté de 0,1 °C et la contribution humaine, c’est-à-dire l’augmentation du CO2 atmosphérique n’a été que de 0,01 °C dans la sensibilité du climat. La couverture nuageuse contrôle donc principalement la température.

Le fait que l’équipe japonaise ait mis en évidence un rôle majeur des rayons cosmiques dans la formation de la couverture nuageuse constitue une explication d’une grande importance pour la compréhension des changements du climat, passés mais aussi à venir. Oublions l’inversion des pôles magnétiques terrestres qui est un processus s’étendant sur des centaines de milliers d’années. Il faut rappeler que sur une échelle de temps de l’ordre de quelques dizaines d’années le facteur naturel ayant une influence prépondérante sur les variations de la couche nuageuse est l’activité magnétique solaire. La Terre évolue dans le champ magnétique solaire et le rôle protecteur de ce champ magnétique contre les rayons cosmiques dépend directement de son intensité (voir note en fin de billet). La faiblesse du cycle solaire (#24) finissant et les prévisions plutôt pessimistes pour le cycle solaire suivant (#25) ne sont pas encourageantes pour la « sensibilité climatique », en d’autres termes pour la température moyenne qui sera ressentie durant les années à venir.

Notes. Le facteur multiplicatif -0,11 n’est pas une vue de l’esprit mais le résultat d’une longue étude qui a été publiée en 2018 et mentionnée ci-dessus. Je suggère à ceux de mes lecteurs qui voudraient contester le contenu non pas de mon billet mais celui des travaux de J. Kauppinen et P. Malmi de lire les deux articles cités en référence ou encore de s’adresser directement à ces auteurs dont voici l’ e-mail : jyrkau@utu.fi

Note. Le champ magnétique solaire est beaucoup plus puissant et étendu que celui de la Terre. Ce champ dévie les rayons cosmiques, j’ai écrit de nombreux billets à ce sujet. Le champ magnétique terrestre dévie également certains rayons cosmiques mais son rôle majeur dans la protection de la vie sur la Terre est de piéger les particules émises par le Soleil qui constituent le vent solaire.

15 réflexions au sujet de « Réchauffement climatique d’origine humaine : une pure fiction selon deux équipes de géophysiciens ! »

  1. Merci pour votre billet sur ces 2 articles, qui montrent après tant d’autres études l’inanité de la grande peur climatique millenariste

    Un petit désacord lorsque vous écrivez:
    De plus la contribution de l’activité humaine à l’ACCROISSEMENT du CO2 atmosphérique total étant de l’ordre de 4 %

    Il me semble plus correct de dire:
    De plus la contribution de l’activité humaine au TAUX de CO2 atmosphérique total étant de l’ordre de 4 % .

    (Sur les 100 ppm d’augmentation depuis 1958 il n’y a pas seulement 4 ppm anthropique (4%), en revanche sur les 410 ppm du taux de CO2 , on peut admettre que 20 à 30 ppm sont anthropiques, soit de 4 à 8%.)

  2. Si j’ai bien compris, et, en simplifiant à peine, les « scientifiques » de l’IPCC avaient « oublié » qu’il faisait plus frais à l’ombre (sous les nuages) qu’au soleil (sous un ciel bleu).

    Misère!

  3. Monsieur ou madame le désinfectant,
    Ce que j’apprécie au plus haut point c’est cette injure.
    Que je vous dise en le répétant, je préfèrerais mille fois un réchauffement climatique à un refroidissement, sauf à ce que vous doutiez des fait historiques, mais avec les élucubrations de l’époque, je suis près à tout entendre et lire.
    Quoi qu’il en soit, de me considérer comme une saleté ou un microbe pathogène montre à quel point la profonde maladie mentale qui a envahi les esprits de l’époque est poignante et prégnante, et ma foi, vous en semblez fort bien atteint.
    De fait, cette affaire de réchauffement, qui à mon sens, n’est pas réellement d’une grande importance puisqu’elle s’inscrit dans un ensemble de présupposés plus ou moins symptomatiques de cette perte importante d’esprit de raison, est l’une des très nombreuses composantes d’un ensemble de démences qui traversent en ce moment les populations.
    Démence, je ne pense pas que le mot soit trop fort, ceci doublé d’un arrêt quasiment complet des découvertes fondamentales, et n’allez pas me blablater que telle chose ou telle autre furent, sauf à ce que le mot même de fondamental vous soit inconnu, ce dont je doute, vous le comprenez fort bien.
    Ce qui est le plus important de comprendre c’est la projection psychanalytique des porteurs principaux de cette folie contemporaine, ainsi de vous dire antisceptique, le microbe, c’est vous, et vous le savez très bien!

    • Étant à Phmon Phen pour les vacances je viens de visiter le camp S21.
      Leur surnom de Khmer vert prend tout son sens et cela fait peur.
      Bonne journée

      • Quand j’y suis passé en tant que Français ils m’ont bien expliqué que Pol Pot et sa clique avaient été formés par le parti communiste français.

  4. comme relevé par rpf cette phrase fout tout en l’air
    «  » » » De plus la contribution de l’activité humaine à l’accroissement du CO2 atmosphérique total étant de l’ordre de 4 % alors on ne peut que conclure que le réchauffement climatique d’origine humaine n’existe tout simplement pas «  » » » » »
    Les données isotopiques indiquent clairement que toute l’augmentation du CO2 depuis le début de l’ère industrielle est liée à la combustion des fossiles

    • C’est ce que prétend l’IPCC mais la communauté scientifique dément cette affirmation mensongère. Relisez les billets de mon blog à ce sujet comme par exemple celui mis en ligne le 11 novembre 2015.
      Nonobstant le fait que la théorie de l’effet de serre est en contradiction avec le deuxième principe de la thermodynamique, l’IPCC continue à faire de la « fake-science » car cet organisme est mandaté pour cette mission (cf. un prochain billet sur ce blog).

  5. Tout en vous lisant, mon imagination s’est mise à divaguer. J’ai vu des usines avec des cheminées grattant le ciel dont l’unique dessein était de produire des nuages …

  6. Moi aussi j’ai pensé à vous car aujourd’hui chez nous (Pyrénées Atlantiques), il y avait des entrées d’air maritime, qui fait que les températures étaient de 26°C au lieu de 32°C vers Bordeaux ou Dax.
    L’usine à nuages ça c’est joli !!!
    En pompant l’eau en trop des océans qui montent !!
    Un peu de poésie !!!

  7. Une petite remarque sur le GIEC/IPCC, loin de moi l’idée de les défendre, mais :
    le « I » veut dire Intergouvernemental, c’est donc bien un organisme politique et pas scientifique.
    Certes « des » scientifiques interviennent dans l’élaboration du rapport, spécialement celui du WG1 (environ 1500 pages)
    Ce WG ne fait que collationner des articles, tous parus, en principe (lol) dans des revues à comité de lecture, et choisit les plus « pertinents » (ne pas oublier dans les statuts même du GIEC qu’il faut évaluer/prouver que les méchants humains sont responsables de la maison qui brûle).
    Interrogée à ce sujet, Valérie Masso-Delmotte (VMD pour les intimes), actuelle vie-présidente du WG1, succédant à,Jean Jouzel, a affirmé qu’il fallait évidemment faire un choix, mais qu’on retenait les « bons » articles scientifiques, dont acte (re lol).
    Autre point, la structure « fonctionnaires » du GIEC est relativement peu étoffée.
    Enfin, comme par hasard, ce sont des géophysiciens qui remettent en cause la sainte doctrine, tiens donc, rappelez-moi la spécialité de Claude Allègre et de Vincent Courtillot ?

    • François Gervais avec qui j’ai eu des échanges de mails a fait la même expérience. Il est (il fut, il est à la retraite) géophysicien également … Il ne croit pas un seul iota de ce que soutient l’IPCC. Le paléoclimatologue F. Djinjian du Muséum a conclu une de ses conférences organisées par le musée de l’homme et disponible sur Youtube en disant que si on présente à des politiciens un prétexte lui paraissant crédible pour augmenter les impôts il saute sur l’occasion. Il parlait naturellement du changement climatique. Or comme l’IPCC est un organisme politique qui s’est affublé d’un vernis scientifique pour publier un document à l’intention des décideurs politiques, ceci explique cela …

  8. Bonjour
    Je ne m’explique pas les énormes divergences des « spaghettis » des modélisations sur votre première figure.
    Par ailleurs comment a-t-on pu accepter que l’IPCC retienne la moyenne de ces courbes!
    C’est contraire à toute rigueur scientifique. Cette courbe moyenne n’a aucun sens.

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