Gaz à effet de serre = évènements climatiques catastrophiques ? La réponse est non !

J’écrivais hier sur mon blog hier quelques mots sur le rôle alarmiste du GIEC, cet organisme autoproclamé compétent pour décréter que le gaz carbonique est une nuisance qui précipitera le désordre planétaire car un changement climatique est inéluctable. Le GIEC et son aréopage de savants également autoproclamés climatologues, c’est-à-dire sévissant au sein d’une des sciences les plus entachées d’incertitude ont prédit à maintes reprises des évènements météorologiques extrêmes dans leur ampleur et leur gravité destructrice. Ce qui est arrivé hier au sud d’Oklahoma City pourrait leur donner raison si ce genre de phénomène se reproduisait souvent. Or il n’en est rien, c’est même le contraire. Et pour étayer mon propos je conseille à mes lecteurs de se reporter à l’article de The Atlantic qui argumente en détail le pourquoi et le comment des fréquentes tornades qui frappent les états du Middle-West américain et en particulier l’Oklahoma, un état situé dans une zone critique où les courants d’air froid et sec arrivant des Rocheuses rencontre l’air chaud et humide remontant du Golfe du Mexique. Les « experts » du GIEC vont encore une fois incriminer le gaz carbonique, qui par son effet de serre avéré, etc, etc augmente significativement les événements météorologiques hors norme comme celui d’hier. Et ils iront palabrer, si ce n’est déjà fait, sur un plateau de télévision pour bien répéter leurs propos incantatoires du genre « on vous avait prévenu » ou « c’est la faute aux gaz à effet de serre ». Pourtant il n’en est rien comme l’illustre la figure ci-dessous tirée de l’article en référence de The Atlantic (voir le lien ci-dessous) :

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Depuis 1875 et jusqu’en 1955, le nombre de tornades était beaucoup plus élevé que ces 68 dernières années avec naturellement des sursauts, en 1964, 1974 et 2011. Mais il n’y a aucune augmentation spectaculaire pouvant être corrélée honnêtement avec l’augmentation du CO2 atmosphérique qui suit cette fameuse courbe en crosse de hockey supposée être la preuve de tous nos malheurs à venir. Rien de tout cela, ce sont de pures hypothèses mais je doute que les alarmistes du GIEC osent reproduire dans leurs rapports papier de toilette ce type de données incontestables. Si vous êtes alarmiste et surtout si vous avez votre carte du syndicat de la peur, je veux parler de Greenpeace, alors vous ne pourrez que vous rendre à l’évidence, on vous a pris pour un con.

Pour preuve, cette dépêche d’agence datée d’hier peu avant la tornade qui a dévasté la ville de Moore au sud d’Oklahoma City.

Réchauffement extrême de la planète moins rapide que prévu  Un réchauffement extrême de la planète est moins probable ces prochaines décennies, après le ralentissement de la hausse du mercure depuis le début de ce siècle, selon une équipe d’experts de l’Université d’Oxford. Mais une hausse supérieure à 2 degrés Celsius menace toujours. Le phénomène du réchauffement climatique se poursuit, soulignent-ils, et les gouvernements devront prendre des mesures énergiques s’ils veulent limiter à moins de 2 degrés la hausse des températures par rapport à l’ère pré-industrielle. « Les taux de réchauffement les plus extrêmes selon les simulations réalisées sur cinquante ou cent ans semblent moins probables », précisent les chercheurs d’Oxford dans la revue « Nature Geoscience ».

Ralentissement

Après de fortes hausses dans les années 1980 et 1990, le rythme du réchauffement mondial s’est en effet ralenti, même si les dix années les plus chaudes depuis le milieu du XIXe siècle ont toutes été constatées depuis 1998. Depuis la révolution industrielle, les températures ont augmenté d’environ 0,8°C. Les scientifiques s’interrogent sur les raisons de ce ralentissement. Les émissions de gaz à effet de serre n’ont en effet cessé de croître ces dernières années, en raison notamment de l’essor industriel de la Chine. En étudiant l’évolution des températures, les experts estiment qu’un doublement des concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère par rapport à l’ère pré-industrielle – peut-être dans le milieu de ce siècle si on se fonde sur les tendances actuelles – provoquerait une hausse des températures entre 0,9 et 2 degrés Celsius.

Estimations inférieures à celles du Giec

Ces estimations sont inférieures à celles présentées en 2007 par le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), qui tablait dans son quatrième rapport d’évaluation sur une hausse de 1 à 3 degrés Celsius. Pour la première fois depuis le début de relevés réguliers en 1958, la teneur en dioxyde de carbone de l’atmosphère a atteint ce mois-ci la barre des 400 parties par million (ppm) dans une station d’observation de Hawaï qui fait référence. Quatre cents parties par million signifie qu’il y a 400 molécules de dioxyde de carbone pour chaque million de molécules dans l’air.    (ats / 20.05.2013 21h57)

 https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/05/20/encore-une-autre-supercherie/

http://www.theatlantic.com/technology/archive/2013/05/tornadoes-in-america-the-oklahoma-disaster-in-context/276063/

Note : pour une meilleure vision de l’illustration je vous conseille de vous reporter au lien ci-dessus.

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