Brève. Encore (et toujours) l’imposture du CO2 et du climat !

Je suis plongé dans la lecture d’un article paru il y a quelques semaines ( http://dx.doi.org/10.13140/RG.2.2.12156.00641 ) qui remet en cause toutes les allégations mensongères avancées par le « consensus » relatif à la perturbation du climat d’origine humaine.

Afin de clarifier les idées voici quatre points abordés dans cet article :

• Le CO2 ne peut absorber que 10% de tout le rayonnement dans les bandes IR spécifiques que le CO2 affecte. Le CO2 « n’absorbe absolument rien à toutes les autres longueurs d’onde IR », de sorte que le CO2 n’a aucun effet sur l’IR dans 90 % des bandes d’absorption.

• Le CO2 ne peut absorber l’IR que dans les 300 premiers mètres, soit 0,3 km, de la surface de la troposphère, qui fait 10 km d’épaisseur. Ainsi, le CO2 ne peut affecter que 10% de l’IR dans 3% de la surface troposphérique, où le changement climatique se produit.

• En raison de ses effets extrêmement faibles, le doublement des concentrations de CO2 ne peut entraîner qu’un changement de température de surface de 0,015 °C, tout au plus. Il faut comprendre que « cet effet ne serait même pas mesurable ».

• L’incertitude dans le bilan radiatif de la Terre est de 17 W/m². Le déséquilibre de rayonnement estimé est de 0,6 W/m², ce qui est « des ordres de grandeur » plus petit que l’incertitude dans sa dérivation. Ainsi, le « bilan global des flux énergétiques… ne peut être dérivé des flux mesurés »… et cela « affecte profondément notre capacité à comprendre comment le climat de la Terre réagit aux concentrations croissantes de gaz à effet de serre ».

Il apparaît donc que la fausse science du climat répandue par les instances onusiennes répond à un agenda dissimulé au public dont la perméabilité intellectuelle est maintenant préparée par la peur du changement du climat répandue par une propagande incessante. L’humanité toute entière devra se plier aux injonctions onusiennes et rétrograder son style de vie avant l’ère industrielle un peu comme les Amish qui n’ont pas évolué depuis le XVIIe siècle. Malheureusement les scientifiques honnêtes réfutent la propagande de l’IPCC mais ils sont pourchassés par les gouvernements et les médias. Cette attitude n’est-elle pas le signe de l’installation d’un système totalitaire à l’échelle mondiale (hors zone intertropicale) dont les conséquences sur la vie quotidienne sont encore difficiles à évaluer. Comme je l’ai mentionné souvent sur ce blog le climat s’achemine vers un nouvel âge glaciaire et comme l’indique l’illustration ci-dessous la véritable cabale montée de toute pièce par cet IPCC, une organisation qui sème la terreur dans le monde entier, n’est basée que sur un détail parmi les fluctuations naturelles du climat :

Un minuscule échantillon sur lequel se base toute la propagande : peut-on appeler cela de l’honnêteté scientifique ? Près de l’Europe le Sahara est redevenu un désert, il s’agit du premier signe du refroidissement. (Source de l’illustration : Poyet P. (2022) The Rational Climate e-Book, 2nd edition en accès libre). Je ne vivrai certainement pas assez longtemps pour assister à la prise de conscience des peuples qui comprendront qu’ils ont été pris pour des idiots depuis les années 1980 …

10 réflexions au sujet de « Brève. Encore (et toujours) l’imposture du CO2 et du climat ! »

  1. Je viens de prendre connaissance d’une dépêche intitulée : « Un scientifique renommé de l’Arctique réfute l’idée d’une crise climatique et prévient qu’une ère glaciaire se profile à l’horizon ». Le scientifique en question s’appelle Andrey Fedotov, docteur en sciences géologiques et minéralogiques, et est le directeur de l’institut limnologique de la branche sibérienne de l’académie des sciences de Russie.
    Il a déclaré : « Le réchauffement est sur le point de prendre fin. La cause n’en est pas l’homme, mais l’interaction entre le Soleil et la Terre. Actuellement, nous sommes dans une période favorable, mais nous passerons inévitablement à une période défavorable (froide) vers 2030-2035. Lorsque l’ère glaciaire arrivera, vous le sentirez immédiatement ».
    Source : https://www.aubedigitale.com/un-scientifique-renomme-de-larctique-refute-lidee-dune-crise-climatique-et-previent-quune-ere-glaciaire-se-profile-a-lhorizon/

  2. Concernant les évolutions majeures du climat au niveau de la planète, les paramètres influents sont de mon point de vue :

    les cycles du soleil qui n’est pas un radiateur thermostaté immuable et dont on ne parle quasiment jamais.

    Les cycles de Milankovitch (ou théorie astronomique des changements climatiques) largement validés par l’expertise des carottes de glace du forage de Vostock et qui nous prédisent une prochaine glaciation.

    Les éruptions volcaniques majeures comparable aux volcans massifs du Deccan.

    L’impact d’un astéroïde massif.

    Je m’interroge sur les possibles les variations de la circulation thermohaline et sur le phénomène El Niño …..

    Localement l’homme peut avoir un impact en déforestant ou en plantant des arbres, en aménageant certains territoires mais cela reste local.

    Le reste n’est que manipulation pour engendrer peur, profit, pouvoir, influence ect ………..

    • J’ai échange plusieurs messages avec la mathématicienne Valentina Zharkova qui en étudiant les éruptions solaires a mis en forme un modèle permettant d’analyser et expliquer les variations de l’activité solaire, le SEUL paramètre commandant l’évolution du climat terrestre sur le court terme, et les cycles de Milankovitch relevant d’une cyclicité de cent mille ans : personne n’est là pour raconter comment s’est déroulé le dernier optimum du climat il y a cent mille ans ! Le modèle de Valentina prévoit une accentuation du refroidissement du climat vers 2040-2050, d’autres modèles prévoient une lente diminution de l’activité solaire jusqu’en 2100, après c’est l’inconnu mais une chose est certaine on est entré dans un nouvel âge glaciaire, il y aura encore des instabilités, un nouvel optimum comme vers l’an mille ou un nouveau « petit âge glaciaire », qui sait ?

  3. Petit lien vers le billet de Marc Henry où un tableau montre clairement l’indépendance de la variation des températures de la teneur en CO2 à l’échelle géologique (sinon on parle de météo et pas de climat de la planète) ; ensuite, et plus intéressant pour les agro et biologistes, la nécessité de différencier les étapes chimiques de la photosynthèse dans la production d’eau : importance des populations bactériennes avant l’étape de synthèse des sucres par les plantes. D’où un impact différent dans les régions sèches.
    https://marchenry.org/2022/07/02/73mensonges-verite-et-survie/

  4. Extrait du blog :
    L’acide carbonique se décompose par la chaleur. En été, alors que la vie végétale a le plus d’activité, la chaleur est presque toujours assez élevée pour décomposer l’acide carbonique de l’atmosphère. C’est parce qu’en été tout l’acide carbonique jeté dans l’air par les animaux et par les foyers de combustion est promptement décomposé et rendu à son état primitif, que l’air est pur, tandis qu’à basse température cette décomposition ne s’opère pas ; donc, en hiver l’air est moins pur.
    Les partisans des causes finales expliquent l’apparition des végétaux sur la terre avant celle des hommes et des animaux par la nécessité de purifier l’atmosphère par leur respiration, en lui enlevant l’acide carbonique qu’ils supposent y avoir régné, et en fabriquant des tissus qui puissent servir de nourriture aux herbivores, lesquels, plus tard, pourront servir de nourriture à l’homme. Donc, pour eux, il existe un Créateur qui, dès l’origine du monde, a eu en vue la création de l’homme, but et fin de toutes choses, qui a préparé, longtemps à l’avance, cette création ultime par une série de création préparatoires, qui a façonné un monde pour pouvoir, un jour, inviter cet être privilégié à venir en prendre possession.
    Et pour soutenir de pareilles extravagances, on invoque des faits scientifiques, on torture la pauvre science qui sert de prétexte à tant de divagations.
    C’est pour soutenir cette idée absurde qu’on a imaginé de dire qu’il fallait des végétaux pour enlever à l’air un excès d’acide carbonique que l’on a inventé pour la circonstance, afin que l’homme et les animaux pussent venir, plus tard, vivre dans cette atmosphère primitivement impure.
    Tout cela est de la fable et constitue la mythologie scientifique des modernes.
    « CLIMARNAQUE » :
    Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    Le FEM a précisément pour objet de prêter de l’argent aux pays les plus pauvres afin qu’ils atteignent les objectifs fixés dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, la Convention sur la diversité biologique, etc. L’idée est que l’argent du FEM retourne ensuite pour rembourser les donations de nos gouvernements en prêts (c’est-à-dire nos impôts). Mais lorsqu’un pays ne peut rembourser ses emprunts au FEM, il doit céder une partie de son territoire aux banquiers : FEM, FMI, Banque Mondiale. La superficie totale des terres concernées peut atteindre 30% de la surface de la Terre. Si la terre ne peut être offerte en garantie, on fait en sorte que le pays meurt de faim : telle est la véritable origine de la pénurie alimentaire ayant eu lieu en Argentine et à Haïti, entre autres, en 2007 et 2008.
    Le coup de génie des banquiers fut donc d’avoir fait passer leur FEM par le biais du système des Nations Unies, lors du « Sommet de Rio », grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays, entérinant ainsi le vol du monde.
    Notons au passage que le FEM est en réalité l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale numérique que les élites bancaires globalistes souhaitent contrôler, et qui devrait, s’ils ne sont arrêtés avant, déboucher sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
    À l’origine, le FEM est issu du 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par le président de la Banque privée Edmond de Rothschild, le Baron Edmond de Rothschild lui-même, et parrainé par l’« International Wilderness Foundation » dont il était l’un des administrateurs. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès présidé par l’homme d’affaires, homme politique et multimilliardaire canadien, Maurice Strong (1929-2015), agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, et Directeur de l’« Earth Council », créé par lui en 1992 au Costa Rica pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », élaborés au sein du « Sommet de Rio » ; un « Earth Council », dont, rappelons-le, Klaus Schwab, président du World Economic Forum de Davos (« Mr Grand Reset »), est membre-fondateur.
    Maurice Strong, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement, et membres fondateurs du Groupe « d’experts » Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) créé en 1988, a été visé personnellement par l’enquête sur le scandale du programme « Pétrole contre nourriture » de l’ONU en Irak.
    NB : On observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Mais cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote. L’Azote (appelé « Ether » dans l’antiquité, « Akâsha » chez les Hindous ou « Akéréné » dans la Science de l’A-Vesta) est une substance qui n’est pas seulement dans notre atmosphère, mais au-delà, partout, et dans l’univers entier, sous des états de condensation ou de raréfaction qui dépendent du milieu dans lequel elle s’épand :
    – Si la pression des radiations devient moins forte, l’Azote se dilate dans l’atmosphère ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur ;
    – Si la pression devient plus forte, l’Azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid ;
    – Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent ;
    – Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’Azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
    Ainsi donc tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
    Terminons cette « Remarque » en rappelant que la lumière blanche engendrée par la radiation solaire, les lumières colorées engendrées par les radiations stellaires et l’azur céleste produit par l’Ozone, forment un ensemble de couleurs que nous voyons plus ou moins pendant le jour. Mais, dans l’hémisphère nocturne on ne voit plus rien, tout s’efface, toutes les couleurs disparaissent et « le noir » forme le fond de notre horizon. Cette couleur noire, qui couvre tout en l’absence des étincelles qui font la lumière, est celle de l’Azote qui remplit l’espace.
    Cordialement.

    • Il est plus précis d’utiliser le terme gaz carbonique dans votre commentaire. C’est un gaz, le CO2, qui combiné à l’eau forme l’acide carbonique H2CO3. Dans les océans l’acide carbonique est directement utilisé par le phytoplancton alors que les plantes terrestres utilisent le gaz directement qui se combine également dans la plante avec l’eau car un gaz non chargé (comme l’azote) n’est pas assimilé par la plante. Vous évoquez le cas de Maurice Strong, une personnalité fascinante par son dégré d’escroquerie intellectuelle porté à son paroxisme.
      Strong était un autodidacte qui fit fortune dans des manoeuvres malhonnêtes avec l’industrie pétrolière canadienne puis américaine. Il est difficile d’expliquer l’ascension de ce triste individu jusqu’aux plus hauts postes de responsabilité onusienne. C’est dire à quel point cette organisation est malhonnête par nature ! Comme vous le dites très justement elle est contrôlée par les grands argentiers occidentaux et les grands groupes industriels.
      Si vous tenez un blog je serais heureux d’en connaître l’adresse électronique …

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