CO2 : les multiples fraudes de l’IPCC

L’IPCC (International Panel on Climate Change, GIEC en français), est un organisme onusien en charge de répandre la bonne parole auprès des décideurs politiques. Il est nécessaire de faire la généalogie de la malhonnêteté de l’IPCC, en quelque sorte sa règle de conduite, pour en comprendre les raisons. Cet organisme onusien a été mis en place à la suite de la Conférence de Stockholm en 1971 quand Maurice Strong cosigna opportunément un rapport onusien qui remporta un succès mondial inattendu : « Only One Earth : The Care and Maintenance of a Small Planet ». Remontons donc à Maurice Strong pour bien comprendre la genèse de la lutte contre le changement du climat. Maurice Strong quitta l’école à l’âge de 14 ans, en 1943, et il survécut de petits boulots jusqu’en 1948, année où il fut embauché comme apprenti dans un cabinet de courtage à Winnipeg, capitale de l’Etat du Manitoba au Canada. Il s’intéressa très rapidement au business du pétrole et fut muté à Calgary dans l’Etat d’Alberta toujours chez le même courtier. Il eut l’occasion de rencontrer des gros bonnets de l’industrie pétrolière et c’est ainsi qu’il devint lui-même un investisseur dans le secteur pétrolier en pleine effervescence durant les années 1950. Il se constitua par la suite un solide carnet d’adresses dans ce milieu de l’industrie pétrolière.

Ceci amena Strong à mettre de côté ses scrupules et à utiliser ce carnet d’adresses pour fonder une entreprise, cette fois dans le Colorado, pour exploiter des aquifères (il devait confondre le pétrole et l’eau) au mépris des règlementations locales de protection de l’environnement. Son entreprise fut mise à mal par un long procès. Elle fut condamnée à de lourdes amendes et Strong l’abandonna pour rebondir rapidement en créant une autre entreprise « bidon » de technologie liée à l’environnement qu’il prétendait être innovante dans le recyclage des déchets dangereux. Strong bénéficia d’aides financières considérables de l’Etat fédéral américain pour le développement de cette entreprise qui en réalité ne fut jamais opérationnelle. Personne n’a pu savoir quelle somme d’argent Strong détourna quand sa société « Molten Metal Technology » fit faillite.

Dès le tout début de son activité professionnelle Strong avait établi des liens avec des officiels des Nations-Unies. C’est ainsi que Strong fut nommé directeur de l’Agence canadienne de développement international alors que parallèlement ses activités industrielles allaient de faillites frauduleuses en faillites frauduleuses. Bref, en 1971 Strong se retrouva à Stockholm puis il monta en grade au sein des Nations-Unies pour se retrouver cette fois à Rio de Janeiro au sommet de la Terre en 1992. Inutile de détailler ensuite sa carrière au sein d’une multitude de commissions et instituts affiliés de près ou de loin aux Nations-Unies et à la Banque Mondiale. Malgré ce vernis respectable, Strong ne put résister à tremper dans le scandale « Pétrole contre Nourriture » par l’intermédiaire de la mafia sud-coréenne qui pilotait les importations « illégales » de pétrole irakien.

Ce qui ressort de ce bref résumé de la carrière de Maurice Strong est qu’il était bien plus qu’un opportuniste, il était en réalité un escroc ! Et pourtant l’IPCC a repris à la lettre ses recommandations de sauvetage du climat sur la base d’un effet direct du CO2 d’origine anthropique, concept formulé pour la première fois par Strong à l’occasion de la Conférence de Stockholm, concept repris par une multitude d’organisations non gouvernementales en les agrémentant de la préservation de l’environnement et en particulier le « développement durable », autre concept qu’il avait formulé au cours de la splendeur de sa carrière au sein des Nations-Unies en relation étroite avec le World Economic Forum, comprenez le Forum de Davos. On peut se demander si toutes ces organisations internationales ne sont pas des nids d’opportunistes issus de la gauche ultra-radicale et d’escrocs de la carrure de Maurice Strong, toujours est-il que cette tradition d’escroquerie a perduré au sein de l’IPCC au sujet du CO2 comme je vais l’exposer brièvement ci-après.

L’IPCC reconnaît que le CO2 issu des activités humaines, essentiellement l’utilisation de combustibles fossiles, ne représente que 5 % de la totalité du CO2 atmosphérique. En conséquence ce rapport devrait être constant au cours du temps. Or l’IPCC clame par ailleurs que ce CO2 produit par les activités humaines représente la totalité de l’augmentation du CO2 atmosphérique au delà de 280 ppm, en gros la valeur « préindustrielle ». Une simple soustraction montre que 130 ppm, soit 32 % du total du CO2 atmosphérique proviendrait de l’activité humaine. L’escroquerie réside dans le fait que l’IPCC réserve un traitement différent pour le CO2 issu de l’activité humaine en regard du même gaz d’origine naturelle, en tous points indiscernable de celui issu de l’usage des combustibles fossiles. Mises à part d’infimes variations isotopiques ces deux gaz carboniques sont indiscernables sur le plan physicochimique. Les modèles prévisionnels de l’IPCC sont adossés à cette escroquerie.

Cette malversation de l’IPCC sert de référence à toutes les politiques énergétiques prônées aujourd’hui par les adeptes d’un ordre écologique nouveau. Mais il y a pire encore. Lorsque les essais nucléaires atmosphériques ont été interdits la teneur en carbone-14, sous forme de CO2 générés par les explosions a suivi une loi de décroissance qui a permis de calculer avec précision un temps de résidence du CO2 de 16,5 ans. D’autres études ont montré une demi-vie du CO2 atmosphérique de quelque source que ce soit de l’ordre de 5 ans. Ces évidences expérimentales viennent contrarier les théories de l’IPCC au sujet de la persistance spécifique du CO2 généré par l’activité humaine. Pour contourner ce problème l’IPCC a inventé de toute pièce une nouvelle propriété nouvelle de ce CO2 d’origine humaine : il provoquerait un blocage spécifique de la dissolution du CO2 par les océans. Il s’agit d’une escroquerie supplémentaire d’un tout autre ordre de grandeur puisque les océans représentent les 4/5e de la surface de la Terre et sont le principal réservoir de CO2 terrestre. Pour faire passer son escroquerie l’IPCC a mandaté toutes sortes d’organisations non gouvernementales pour faire l’information du blanchissement des coraux comme conséquence de l’acidification des océans à cause du surplus de CO2.

Il est donc évident que l’IPCC invente des nouvelles lois physiques qui lui sont propres (inutile de rappeler ici l’effet de serre contraire aux lois fondamentales de la thermodynamique) permettant de faire une distinction physicochimique entre le CO2 naturel et le CO2 « humain », de faire également une distinction entre les différentes variétés isotopiques de ce CO2, ce qui n’a jamais été montré par les études réalisées jusqu’à ce jour. L’IPCC s’est pris les pieds dans le tapis d’escroqueries scientifiques toutes aussi grossières les unes que les autres. C’est bien le digne successeur de Maurice Strong.

Sources : Wikipedia et doi : 10.11648/j.ijaos.20190301.13

33 réflexions au sujet de « CO2 : les multiples fraudes de l’IPCC »

  1. Vous oubliez que Strong, qui a du fuir en Chine, où il a été très actif, est à la base du protocole de Kyoto, qui a permis à la Chine d’engranger +/- 75 % des sommes récoltées par ce biais et qui devaient servir au développement des pays pauvres, avec comme corollaire, la construction d’une flotte de barrages construits à nos frais.
    Il y a une bizarrerie, appelons là comme ça, qui ne semble pas avoir éveillé la curiosité des sauveurs de la planète.
    Nous avons connu une chute de consommation des fossiles sans précédant, estimée à 20 % qui a duré quelques mois, sans que cela n’affecte en aucune façon l’allure de la courbe du CO2 à MaunaLoa?
    curieux non?
    Ce serait ballot que nous détruisions tout notre appareil industriel, que l’on sacrifie nos acquits à tous points de vue, et que cela ne serve strictement à rien?

      • les chinois sont aussi le plus grand marché mondial…ils acheteront eux memes leurs chinoiseries,pendant que nous retourneront dans nos cavernes

  2. Dans la nouvelle science alchimiste on ne transforme plus le plomb en or, mais le CO2 ! Il est certainement complotiste de penser qu’il n’y a qu’une seule organisation internationale apte à maîtriser de façon coordonnée un tel racket et donc capable de protéger et promouvoir ses escrocs…

    • Pour vous répondre je fais un constat effrayant depuis quelques heures.
      J’ai visionné une première fois cette vidéo et je l’ai visionné à nouveau deux fois pour bien constater que je n’avais pas rêvé. Depuis 2 jours tout ce que je lis ou entends ou regarde a pris une couleur différente. Tout ce qu’expose Valérie Bugault a changé mes analyses ! Il est vrai que depuis plusieurs années je dénonce sur mon blog une vaste complot organisé par les puissances financières mondiales pour prendre littéralement possession de la planète mais sans vraiment cerner l’origine de ce complot ni de son agenda. Madame Bugeault m’a ouvert les yeux et j’espère qu’il en sera de même pour vous et pour tous les lecteurs de ce commentaire : https://www.youtube.com/watch?v=EWHBMKa2lEs&feature=emb_rel_end

      • J’ai visionné la vidéo. J’ai eu peur. J’ai cru rêver. Le scénario des banquiers ressemble à celui d’un film de science fiction. Mais je n’ai pas rêvé et on est dans le réel. La peur est toujours en moi. Mon regard se fera désormais en mode encore plus éclairé grâce à madame Bugeault. Merci pour votre « alerte ».

  3. Quelques remarques :
    Panel (IPCC) en anglais se traduit par « panneau », « groupe » ou « comité », en français cela devient un « groupe d’experts…
    Peut-être que cela n’a pas une grand importance, mais :
    Les océans couvrent plutôt 3/4 du globe que 4/5 de la surface du globe;
    Il y a ben une différence isotopique (pourquoi » petite » ,) entre le carbone naturel et celui issu des activités humaines (cependant est-ce grave docteur ?).
    Ce qu’on nomme, assez improprement, « effet de serre », existe bien sur Terre, et heureusement !
    Quant à Maurice Strong, rien à rajouter, sa vie est un vrai roman (noir ? vert ? rouge?)

  4. @Jacques Henry
    Vous devriez sérieusement revoir votre copie concernant le CO2 , son cycle , ses isotopes et les causes de son augmentation dans l’atmosphère ; vous devriez supprimer cet article de votre blog

      • Une fois n’est pas coutume, je suis d’accord avec Fritz, votre article est en contradiction avec la loi de conservation de masse.
        «  » » »Il s’agit d’une escroquerie supplémentaire d’un tout autre ordre de grandeur puisque les océans représentent les 4/5e de la surface de la Terre et sont le principal réservoir de CO2 terrestre » » » »

        Bah non ce n’est pas une escroquerie, tout élève de 1ère S sait que la dissolution du CO2 dans les océans est contrainte par la température de ces derniers, plus elle augmente et moins les océans (qui sont pour le moment un puits net) absorbent.

  5. @Jacques Henry
    Je vois que votre article est basé sur les publications de négationistes comme Humlum et Salby
    Quand vous écrivez
    «  » » » »L’IPCC reconnaît que le CO2 issu des activités humaines, essentiellement l’utilisation de combustibles fossiles, ne représente que 5 % de la totalité du CO2 atmosphérique. » » » » » »
    Le papier dit
    «  » » » » »The United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) agrees human CO2 is only 5 percent and natural CO2 is 95 percent of the CO2 inflow into the atmosphere » » » » »
    Vous avez sans doute manqué la fin de la phrase que je veux bien vous expliquer : les 5% représentent l’ajout des activités humaines par rapport aux échanges ANNUELS qui se font dans la nature
    Les isotopes montrent parfaitement que le CO2 additionnel provient bien soit de la combustion des fossiles soit de la biosphère ; en principe celle-ci est en croissance et ne peux donc fournir de CO2 à l’atmosphère ; si le CO2 provenait soit d’un dégazage des océans , d’une dissolution de carbonates ou du manteau terrestre , l’évolution isotopique du CO2 atmosphérique devrait aller dans le sens inverse de celui qu’on constate
    Un géologue climato sceptique , spécialisé dans les analyses isotopiques pour dater les roches

    • Les grands mots sont lâchés : « négationnistes ». Le point Godwin s’approche. Cette psy-op du réchauffement climatique global anthropique est décidément très bien orchestrée et attaque habilement les cerveaux, y compris ceux de gens apparemment instruits. L’étape suivante sera moins drôle, même pour les soumis.

      • @michel C
        ces 5% sont stables sur 100 ans depuis qu’on en rajoute au même titre que la météo ou le climat et l’augmentation des 2 ppm par an en moyenne

      • Si c’est stable, c’est rassurant.
        Reste à savoir pourquoi la baisse important de la consommation de fossiles ne s’est pas concrétisée à l’observatoire de Mona Loa.

  6. Joubliais
    «  » » » »RESEARCH ARTICLE| DECEMBER 01, 1987
    Rb-Sr and K-Ar Dating of Clay Diagenesis in Jurassic Sandstone Oil Reservoir, North Sea1
    Nicole Liewig; Norbert Clauer; Frédéric Sommer
    AAPG Bulletin (1987) 71 (12): 1467–1474.
    https://doi.org/10.1306/703C80EC-1707-11D7-8645000102C1865D
    J’ai fourni le sujet , le travail de base et encadré la thèse
    ……..et la perméabilité des réservoirs pétroliers était mon autre spécialité
    Frederic dit Fritz

  7. @Jean Claude
    Quand vous dites
    «  » » » » »cette psy-op ……attaque habilement les cerveaux, y compris ceux de gens apparemment instruits . » » » » »
    vous pensez au mien suite à ce que j’ai écrit plus haut , ou vous pensez à celui de Salby , Humlum et de Henry qui retransmet leurs inepties ?

    • Bonjour Jacques Henri,
      Je venais de voir la vidéo que vous signalez, juste avant de venir sur votre blog, et avais une réaction proche de la vôtre.

      fritz, nous ne mettons pas en doute vos savoirs, et comprenons qu’il vous semble important que vous précisiez des éléments de l’article qui pourraient êtres entachés d’imprécisions, d’autant plus s’ils touchent votre spécialité. Toutefois, même s’il y avait des ajustements à apporter, le problème n’est plus là (dans des évaluations de grandeurs, ou de comportements physiques -de toutes façons assez délicats à aborder-) : tout ce qui touche au CO2 et au climat a permis d’initier un mouvement qui s’est auto-entretenu ces dernières années, mais qui est en train de changer de nature sous nos yeux. Ce qui change, c’est qu’on commence à apercevoir qu’autre chose que la science est en jeu, qu’elle pourrait n’être qu’un prétexte ; on pourrait dire qu’on est en train de passer de Stefan et Boltzmann à Alexandre Soljenitsyne, par exemple.

      Peut-être pourrions-nous laisser à certains ‘scientifiques’ le soin d’essayer de nous ramener à des calculs ou considérations techniques de plus en plus indécidables (dans lesquelles ils excellent à nous entrainer), pour commencer à poser les vraies questions ?

      • @panzer en vadrouille
        l’effet de serre du CO2 est une chose , l’origine de son augmentation , une autre ; si cette origine ( pour moi, pour le GIEC et la plupart des physiciens naturalistes ) ne se discute plus , son effet sur l’augmentation des températures depuis le début de l’ère industrielle demande des précisions et des quantifications qui pour l’instant, me paraissent plus que douteuses
        Sinon,OK pour la suite de votre développement; qu’il s’agisse de RCA ou de COVID, la science en prend un coup en ce moment ; je ne comprends pas que les scientifiques ne se rebellent pas plus contre les medias et les politiques qui se fondent sur elle pour faire avaler n’importe quoi à l’humanité

  8. il est tres curieux de constater que le cesium et le strontium des essais nucleaires etaient restés dans l’hemisphere nord….
    alors que le CO2 lui serait aussi bien dans les deux hemispheres alors que la majorité anthropique est largement dans le nord..

  9. le plus comique de toutes ces histoires de CO2 anthropique ,c’est la veneration d’August Arrhenius ,qui aurait prévu et calculé en 1900 avec les moyens du bord ,l’effet de serre du à ce fameux CO2…
    En realité ses calculs s’averent clairement faux puisqu’ils donnaient +5°C en doublant le taux et que le GIec a depuis longtemps admis que la valeur etait entre +2.5° et 4°…en attendant peut etre moins..??
    Autre probleme,Arrhenius etait surtout preoccupé par la consommation exponentielle de charbon et etait persuadé de la prochaine penurie si la consommation continuait à ce rythme…autre erreur de sa part..
    de là a utiliser la meme methode « du feu de l’enfer version scientifique » pour influer une politique il n’y a pas de kilometres.

    • Les mesures de CO2 avant 1940 n’ont pas de comparaison possible avec mauna loa ou l’ile d’amsterdam utilisée à l’heure actuelle..
      les valeurs issue du carottage ou des arbres sont des references tres differentes et plutot douteuses en ce qui concerne les arbres soumis à des conditions multifactorielles.

      L’ecart entre le nord et le sud est de 11 ppm ce qui parait bien peu au rythme de 2ppm par an celà ne represente que 5 ans d’homogeneisation de l’atmosphere..

      En ce qui concerne le CO2 c’est un gaz de 44g molaire donc « lourd » qui reste majoritairement soumis aux alizés donc aux memes difficultés que les aerosols nucleaires ou autres pour changer de systeme hemispherique…

    • la figure 4 est justement tres interessante puisqu’elle montre que la courbe de l’antartique (sans doute ile d’amsterdam) est bien en opposition de phase en terme de variations saisonnieres dues aux vegetaux,mais aussi que l’influence des variations de l’hemisphere nord ne sont pas suffisantes pour empecher la baisse de l’hiver austral.
      que la tendance lente soit la meme ne signifie en rien que la cause en est anthropique..
      d’ailleurs le principal objectif actuel de la station australe est d’etudier le puits de carbone que represente l’ocean indien

      • «  » » » »que la tendance lente soit la meme ne signifie en rien que la cause en est anthropique.. » » » » » »
        J’insiste; mais les isotopes disent que ce CO2 additionnel vient ou de la destruction de la biosphère ou des fossiles ; l’un comme l’autre est d’origine anthropique

  10. Les isotopes trouvés dans le CO2 donnent d’apres la NASA la source du CO2 en question entre terre et ocean..
    Mais en aucun cas ne donnent le taux d’absorbtion des oceans…a savoir si il est en baisse pour une raison ou une autre..
    la seule conclusion c’est que l’exces de CO2 n’est pas relaché par l’ocean.

    • C’est quoi la terre pour vous ?
      «  » » » » »la seule conclusion c’est que l’exces de CO2 n’est pas relaché par l’ocean. » » » » » »
      Donc pas non plus par le manteau et encore moins par la dissolution de carbonate
      Il ne reste donc que la biosphère et le fossile

      • on s’en doutait un peu que c’etait la biosphere et le fossile..
        la question c’est de savoir pourquoi les oceans ne captent pas ce CO2 etant donné que c’est le principal reservoir de stockage.

      • Vouloir avoir raison dans un débat futile n’est qu’une vaine satisfaction de l’égo.
        Ou serait-ce un trolling maladroit ? L’abus de l’usage des ponctuations en est un signe courant.
        J’ai heureusement d’autres chattes à caresser, fouetter les chats étant devenu un délit.
        Les bonnes questions actuelles sont :
        Qu’est ce que le brain-hacking ?
        Quels mass-medias l’utilisent ?
        Quels résultats obtiennent-ils ?
        Qui possède ou contrôle ces médias ?
        Quel est l’agenda de leurs propriétaires ?
        Que deviennent les victimes, dont tu me parais une caricature ?

  11. @dupontg
    Ben la nature et l’ocean a son rythme de stockage et l’homme son rythme de déstockage ; on arrivera dans un futur ( je vous laisse deviner) à un équilibre , c’est certain

    • Pour clore ce débat stérile je trouve tout à fait incroyable que mon article au sujet de Julian Assange et de l’Habeas corpus n’ait pas suscité le moindre commentaire. À croire que les Français ne savent pas ce qu’est l’Habeas corpus ! À croire que les révélations d’Assange sur Wikileaks n’aient aucune importance ! Faut-il en conclure que les Français sont tous des veaux ?
      J’ai honte de mon pays …

      • Désolé , mais personnellemnt et à l’inverse de beaucoup de monde , je ne parle et ne commente que les sujets que je maîtrise
        Cordialement
        fritz

  12. Bonjour,
    Vous dites que « L’IPCC reconnaît que le CO2 issu des activités humaines, essentiellement l’utilisation de combustibles fossiles, ne représente que 5 % de la totalité du CO2 atmosphérique. »

    Pouvez-vous me fournir une source provenant de l’IPCC permettant de vérifier cette affirmation ?
    C’est plusieurs fois repris ici et là sur internet , mais je n’ai pas pu mettre la main sur une tel doc.

    Merci.

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