Ukraine : quatre-cent, cinq-cent mille morts ? Ce n’est rien en comparaison des morts par « vaxxination » avec ARN messager !

Le but recherché par les malthusiens tels Bill Gates, David Rockefeller, George Soros ou encore Klaus Schwab (lien en fin de billet et https://hls.ted.com/project_masters/918/manifest.m3u8?intro_master_id=2346 ) avec le coronavirus, la « fenêtre d’opportunité » pour changer le monde, est de réduire la population mondiale.

(Bill Gates, mai 2009) et aussi Dennis Meadows du Club de Rome :

https://youtu.be/4aVw5I7EJAo Dès l’apparition du virus alors que pourtant les médecins chinois avaient identifié dès le début des années 2020 l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de l’Ivermectine pour traiter le SRAS, ces deux derniers médicaments furent interdits ! Par qui et pour quelle raison ? Pas de réponse. Ce nouveau virus, manipulé dans un laboratoire (lequel et où?) avec introduction artificielle d’une séquence de nucléotides codant pour un site de clivage par l’enzyme appelé furine a catalysé la mise en place à l’échelle mondiale d’un pseudo-vaccin dont le principe scientifique est nouveau et n’a jamais été couronné de succès au cours des récentes années puisque cette modification de l’ARN de ce virus devait introduire un gain de fonction infectieuse. La nouvelle approche technologique vaccinale repose sur l’introduction dans l’organisme d’un ARN messager modifié pour ne pas être dégradé trop rapidement et combiné à des lipides synthétiques pour faciliter sa dissémination dans tout l’organisme dans le but d’assurer son efficacité thérapeutique.

Dans le cas du coronavirus et dans le but d’éventuellement assurer une protection immunitaire des patients ayant subi une injection de cet ARN le problème qu’ont toujours redouté les biologistes prudents et honnêtes est la totale absence de contrôle de ce que l’on appelle la stoechiométrie de ce geste de vaccination. Brièvement, lorsqu’on utilise un vaccin classique comme par exemple le virus désactivé de la rougeole, la dose injectée est constituée d’une nombre connu de particules virales, nombre invariable selon le protocole de production du produit. Dans le cas de l’ARN messager la situation est différente : l’ARN code pour la production par les cellules du patient de la substance supposée remplir les propriétés d’un antigène catalysant la réponse immunitaire contre la maladie considérée comme dans le cas du SARS-CoV-2. Mais la capacité de chaque individu à produire cette substance, dans le cas présent la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, est totalement incontrôlable. Certains patients ne développeront jamais d’anticorps alors que d’autres patients en mourront.

Les tenants de cette nouvelle approche technologique de vaccination défendent celle-ci en se retranchant derrière le caractère aléatoire de la réponse de chaque individu et en insistant sur le fait qu’il s’agit d’un progrès technologique permettant de mettre au point un nouveau vaccin en un temps record. Le cœur du problème n’est pas la supposée toxicité de la protéine « spike », de la spicule du virus, mais l’induction d’un désordre immunitaire pourtant connu depuis le début de l’épidémie coronavirale : une chute de la réponse immunitaire que les spécialistes appellent lymphocytopénie, symptôme non pas provoqué par la « vaxxination » mais par le virus lui-même. Cette protéine produite par le patient lui-même en l’absence du virus qui a subi une injection de l’ARN messager se lie au récepteur naturel du virus sur la membrane cellulaire, l’ACE (angiotensin-converting-enzyme) qui intervient dans le processus de coagulation sanguine. De plus cette même protéine induit une perturbation de la réponse immunitaire en rendant les lymphocytes T incapables de mémoriser sa présence. L’un des critères de suivi de l’effet de cette liaison protéine spike-ACE est l’augmentation du taux de D-dimère dans le sang et pour l’autre effet la perturbation de la formule lymphocytaire est un bon reflet du caractère toxique de cette protéine. Cette technique de « vaxxination » avec ARN messager reproduit donc les deux pires effets du coronavirus : perturbation du processus de coagulation sanguine et désordre immunitaire : l’idéal pour tuer !

Comme les gouvernements des divers pays occidentaux ont installé une véritable censure sur le signalement des effets indésirables de cette technique d’approche vaccinale à l’aide d’ARN messager – moins de 1 % des cas indésirables sont réellement analysés et pris en considération, en particulier les décès – alors un calcul raisonnable permet d’évaluer le nombre de morts provoqué par cette « vaxxination » à plus de dix millions (peut-être vingt millions), pour l’instant, car le drame évolue toujours et il est de plus en plus question de procéder à de nouvelles campagnes de « vaxxination » supposées protéger contre le dernier mutant en date du virus. Les criminels occidentaux malthusiens veulent continuer leur campagne de dépeuplement de la planète, qu’ils s’arment de patience car cette « vaxxination », en réalité une arme biologique, continuera à tuer dans les années à venir. En effet la protéine « spike » va se fixer préférentiellement dans les gonades (ovaires et testicules) et provoque de surcroit divers problèmes lors des grossesses conduisant à des avortements spontanés ou des morts-nés. La perturbation du système immunitaire provoque l’apparition de « turbo-cancers » (lien ci-dessous) en particulier chez des sujets jeunes, du jamais vu auparavant sauf chez les personnes immuno-déprimées ( SIDA/AIDS ou à la suite d’une greffe d’organe), et combiné à la baisse de fertilité déjà observée le but malthusien est (ou sera) atteint pour la plus grande satisfaction de cette minorité élitiste de criminels qui veulent diriger le monde avec la complicité même pas dissimulée de l’OMS !

Pour conclure cet article je dirai que si on m’accuse de « complotisme » je répondrai simplement qu’au contraire je dénonce un complot contre l’humanité organisé par les élites qui veulent dominer le monde mais qui ont exclu une dérive nucléaire du conflit ukrainien car il y a aussi pour elle des limites : transformer la plus grande partie du monde en zone interdite invivable type Tchernobyl sera préjudiciable pour leur confort alors le développement de nouvelles armes biologiques comme ces « vaxxins » d’un type nouveau pourra toujours satisfaire leur grand dessein de domination du monde entier. La technique de « vaxxination » avec un ARN messager ayant été admise, imposée par la loi et donc de facto validée au mépris de toute règle d’éthique élémentaire, une nouvelle maladie issue d’un laboratoire ayant reçu l’agrément de l’élite mondialiste malthusienne, sera immédiatement traitée avec la même approche : dissémination du nouveau virus, déclaration de pandémie par l’OMS, obligation vaccinale avec un ARN, etc … Mais il ne faudra pas s’y méprendre, la réussite de l’opération sera à la mesure des efforts déployés dès à présent, ne vous bercez par d’illusions : peut-être cent à deux-cent millions de morts … pourquoi pas un ou deux milliards. Autres liens :

https://thehighwire.com/ark-videos/is-the-covid-vaccine-causing-turbo-cancers/ Et aussi cet article de Michel Chossudovsky qui relate le dessein malthusien du « Good Club » : https://www.globalresearch.ca/secret-may-2009-meeting-of-the-good-club-billionaire-club-in-bid-to-curb-overpopulation/5742626

12 réflexions au sujet de « Ukraine : quatre-cent, cinq-cent mille morts ? Ce n’est rien en comparaison des morts par « vaxxination » avec ARN messager ! »

  1. Le Nobel de médecine consacre les avancées sur le vaccin ARN messager contre le Covid
    Le prix Nobel de médecine a consacré lundi les travaux de la chercheuse hongroise Katalin Kariko et de son collègue américain Drew Weissman dans le développement de vaccins à ARN messager, décisifs dans la lutte contre le Covid-19.

    Les deux scientifiques, cités parmi les grands favoris, ont été distingués « pour leurs découvertes concernant les modifications des bases nucléiques qui ont permis le développement de vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19 », a annoncé le jury.

    « Les lauréats ont contribué au développement à un rythme sans précédent de vaccins à l’occasion d’une des plus grandes menaces pour la santé humaine dans les temps modernes », a-t-il ajouté.

    En mars 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qualifie le Covid-19 de « pandémie ». En décembre de cette même année, les vaccins à ARN messager reçoivent une autorisation de mise sur le marché. Des milliards de doses ont depuis été injectées à travers le monde.

    La biochimiste Kariko et le médecin immunologiste Weissman, collègues de longue date de l’université de Pennsylvanie (Etats-Unis) et âgés respectivement de 68 et 64 ans, ont déjà remporté plusieurs récompenses prestigieuses pour leurs recherches, dont le prix Lasker Award en 2021, souvent considéré comme un précurseur du Nobel.

    En récompensant le duo, le comité Nobel sort de sa pratique habituelle de distinguer des recherches datant de plusieurs décennies.

    Leurs découvertes décisives remontent à 2005 mais une avancée particulière en 2015 sera cruciale, un peu plus de quatre ans plus tard, pour la fabrication des premiers vaccins à acide ribonucléique messager (ARNm) contre le Covid-19 par les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna.

    En pleine pandémie, de nombreuses personnes ont été familiarisées au principe de ces vaccins: ils se concentrent sur une petite partie du virus — dans le cas du SARS-CoV-2, la protéine dite « Spike » — et visent à injecter dans l’organisme des brins d’instructions génétiques, appelés ARN messager, ordonnant au corps de fabriquer cette protéine.

    Inoffensive en elle-même, cette « spicule » du coronavirus est ensuite détectée par le système immunitaire qui va produire des anticorps.

    Vidéo associée: Nobel de médecine : deux spécialistes de l’ARN messager récompensés (Dailymotion)

    Treizième femme distinguée
    Pour Katalin Kariko, treizième femme à obtenir le Nobel de médecine, cette distinction consacre de longues années de recherche passées dans l’ombre, sans reconnaissance de ses pairs.

    Elle a dit penser à sa mère à l’annonce de la récompense.

    « Il y a déjà dix ans, elle écoutait (les annonces du comité Nobel), alors que je n’étais même pas encore professeure. Elle me disait +peut-être que ton nom sera prononcé, j’écouterai quand ils feront cette annonce+ », a-t-elle déclaré à la radio publique suédoise SR.

    « Année après année, elle a écouté. Il y a cinq ans malheureusement, elle est décédée à l’âge de 89 ans. Peut-être a-t-elle écouté depuis le ciel ».

    Drew Weissman a de son côté d’abord cru à un canular lorsque sa collègue, « Kati », lui a annoncé la nouvelle par téléphone.

    « Nous nous demandions si quelqu’un était en train de nous faire une farce », a-t-il confié à l’AFP.

    « Je suis sûr que tous les scientifiques du monde y pensent: c’est le prix ultime, impossible à obtenir », a-t-il ajouté. « Au cours des 30 à 35 dernières années en tant que scientifique, je n’ai jamais imaginé que l’on envisagerait de me décerner un prix Nobel ».

    Réactions inflammatoires
    Mme Kariko a employé une bonne partie de son temps dans les années 1990 à postuler pour des financements pour ses recherches centrées sur l’acide ribonucléique messager, des molécules qui donnent aux cellules un mode d’emploi afin qu’elles produisent des protéines bienfaisantes pour notre corps.

    La biochimiste pensait que l’ARN messager pourrait jouer un rôle clé dans le traitement de certaines maladies, par exemple en soignant les tissus du cerveau après un AVC.

    Mais l’ARN messager n’était pas dénué de problèmes: il suscitait de vives réactions inflammatoires, étant considéré comme un intrus par le système immunitaire.

    Avec son partenaire de recherche Weissman, Katalin Kariko parvient progressivement à introduire d’infimes modifications dans la structure de l’ARN, le rendant plus acceptable par le système immunitaire.

    Ils franchissent un nouveau palier, en réussissant à placer leur précieux ARN dans des « nanoparticules lipidiques », un enrobage qui lui évite de se dégrader trop vite et facilite son entrée dans les cellules. Leurs résultats sont rendus publics en 2015.

    Pour les lauréats du millésime 2023, le chèque sera de onze millions de couronnes (920.000 euros), la plus haute valeur nominale (dans la devise suédoise) dans l’histoire plus que centenaire des Nobel. La Fondation Nobel avait annoncé mi-septembre avoir relevé le montant de cette dotation grâce à sa meilleure situation financière.

    02/10/2023 15:46:40 – Stockholm (AFP) – © 2023 AFP

  2. Empoisonnement de l’humanité, euh non, des peuples en Occident. Une partie de la planète a refusé les vaccins ARNm (ou n’avait pas les moyens). Ils vont recommencer, c’est très possible. Merci encore pour ce blog.

  3. Lu ce jour (lundi 2 octobre 2023) dans la presse Web :
    « Le prix Nobel a été remis à l’Américano-Hongroise Katalin Karikó et l’Américain Drew Weissman pour leurs découvertes qui ont permis le développement des vaccins à ARN messager. (…). Les découvertes décisives de Katalin Karikó et Drew Weissman remontent à 2005 et les premiers vaccins à ARN messager contre le Covid-19 ont été ensuite fabriqués par les laboratoires Pfizer/BioNTech et Moderna. En pleine pandémie, de nombreuses personnes ont été familiarisées au principe des vaccins à ARN messager : ils se concentrent sur une petite partie du virus – dans le cas du SARS-CoV-2, la protéine dite « Spike »- et visent à injecter dans l’organisme des brins d’instructions génétiques, appelés ARN messager, ordonnant au corps de fabriquer cette protéine. Inoffensive en elle-même, cette « spicule » du coronavirus est ensuite détectée par le système immunitaire qui va produire des anticorps ».
    Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/prix-nobel-de-medecine-2023-qui-sera-recompense-decouvrez-le-en-direct_174162
    La phrase choquante dans cet entrefilet de Sciences et Avenir est : « Inoffensive en elle-même, cette « spicule » du coronavirus est ensuite détectée par le système immunitaire qui va produire des anticorps. »
    Wouah, c’est génial, ces clowns à roulettes n’ont toujours pas compris la toxicité de la protéine Spike, sans compter le fait qu’elle a été modifiée du fait des gains de fonction nuisibles programmés par un certain Ralph Baric et ses équipes de l’université de Caroline du Nord. Pour qui connaît un peu le sujet, on marche clairement sur la tête.
    Ces deux idiots fraîchement « nobélisés » sont déjà et seront responsables indirectement de millions de morts à cause de leurs produits expérimentaux frelatés et non testés » et boum, ils reçoivent le prix Nobel !
    Elle est pas belle la vie, non ? 🙂

    • À l’évidence il s’agit d’un prix Nobel politique du genre : « rendez vous à l’évidence : ils ont eu le prix Nobel, donc vous n’avez rien à craindre avec ces vaxxins d’un nouveau genre ».
      J’aimerais savoir ce qu’en pense le Docteur Robert Malone …

  4. On aurait voulu grand remplacer la population occidentale par une population non (ou moins) vaccinée qu’on n’aurait pu mieux s’y prendre. Effet ciseaux garanti.
    Les lecteurs de ce blog observent-ils ce que j’observe dans mon entourage : davantage d’effets indésirables (plus ou moins) graves (cancers, AVC, arythmie cardiaque…) que de formes graves du Covid ?

  5. Des chercheurs japonais auraient démontré que le variant O Micron est artificiel
    https://www.alertadigital.com/2023/10/01/importante-virologo-japones-advierte-sobre-una-cepa-omicron-fabricada/
    L’etude de tous les variants o-micron montre une evolution du virus qui ne suit pas les lois naturelles, mais qui suit les lois de la recherche expérimentale.
    Les mutations ne suivent pas une evolution aléatoire, avec la majorité des variants a peine differentes de l’original et donc sans valeur ajoutée. Au contraire presque tous les variants présentent des differences notables avec fort effet sur l’efficacité. Il s’agit clairement d’une évolution choisie, d’une sélection par l’humain. De plus des variants disparaissent puis reparaissent, ce qui est impossible, sauf expérimentation scientifique.
    La revue par les pairs de l’article aurait été refusée du fait de l’opinion virulente exprimée dans la conclusion par un des chercheurs.

  6. l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine ont été interdits car la procédure de validation accélérée des vaccins n’est possible que si aucun traitement n’existe.

    • Donc il y a eu une pression des laboratoires pharmaceutiques et l’argument d’interdiction de ces deux « vieilles » molécules étaient alors qu’elles étaient toxiques. Or la chloroquine ou l’hydroxychloroquine ont été prescrites à des milliards de personnes dans le monde sans aucun effet secondaire notoire et l’Ivermectine par exemple était gratuitement à la disposition des villageois au Vanuatu quand j’habitais à Port-Vila. Il suffisait d’aller à la pharmacie pour avoir deux pilules quand on souffrait de gardiase. Il y a donc bien eu la mise en place d’un complot à l’échelle mondiale. Et ce complot est d’origine occidentale puisque les travaux des Chinois sur le SRAS ont été ignorés à dessein.
      Un seul point permet de modérer mon propos : la toxicité de la protéine de la spicule du virus n’était pas clairement connue quand les premiers flacons de sont sortis des usines de Moderna et de Pfizer …

      • Vu les constants échecs de ce traitement durant les 30 années de recherche, il n’y avait aucun doute sur sa dangerosité.
        Secondairement je pense toujours qu’il s’agit avant tout d’une affaire de gros sous, et non d’un genocide.

  7. Bonsoir.
    1/ Selon moi, ce n’est pas seulement une affaire de gros sous, car ils en seraient restés à la séquence covid/confinements/arrêt de l’économie mondiale/injection de pognon par les banques centrales *3. En effet, en prenant en exemple la zone euro, durant l’année 2020, pour une baisse de 1 point de PIB, il y a eu impression d’argent de 3 points environ.
    2/ il y a eu en plus la séquence injections ARNm qui a été très violente (pour obliger les gens, vous connaissez l’histoire), donc ce n’est pas le pognon qui a été le moteur, mais bien d’injecter un poison à petite dose (rappelez vous, Ursula La Hyène avait acheté l’équivalent de 10 doses par personne pour l’Europe), ils avaient prévu que la crise dure plus longtemps, le temps d’injecter en 10 fois leur poison, à petite dose. Omicron a sauvé les naifs, car ils ont enfin compris que le covid, c’était de la rigolade.

  8. Réflexion supplémentaire. Nous savons ici sur ce blog (et quelques autres blog résistants) qu’il y a un sacré paquet de preuves contre les covidistes, pour les foutre en taule, et que cela sortira, mais je suis conscient que cela peut sortir très très tardivement. On peut donc imaginer que, parce qu’ils sont déjà trop mouillés dans cette affaire criminelle, génocidaire, qu’ils poursuivent leur sale besogne. Bill Gates avait annoncé -10% ou -15%. Je pense qu’il faut vraiment prendre au sérieux cet ordre de grandeur annoncé. Et sachant que Bill Gates est vieux (comme Klaus Schwab), on peut imaginer qu’ils souhaitent aller vite pour le voir de leur vivant. Quelle bande de tarés !!

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