À la suite du long billet sur ce blog relatif à l’action d’ampleur internationale qu’entreprend le World Economic Forum, forum qui n’a plus rien d’économique mais s’est paré d’une image résolument totalitaire qui semble curieusement illisible pour tous les analystes économiques et politiques, c’est le sujet central de la nouvelle d’Edgar Poe : on refuse de constater l’évidence. Le WEF a tissé sa toile internationale pour disséminer son projet. L’idéologique néo-nazie du Forum économique mondial de Klaus Schwab, c’est-à-dire la mise en place de régimes politiques rabaissant les citoyens à des valeurs marchandes exploitées par des grandes multi-nationales que l’on nomme globalement les GAFAM, outils et clients des visées multinationales du WEF mais pas seulement, cette idéologie, donc, est contraire aux libertés individuelles fondamentales. Pour les hommes de Davos il y aura deux sortes d’êtres humains : les dominateurs, une infime minorité, et les dominés, le reste des peuples, quelle soit le confession religieuse ou la couleur de leur peau.
Cette posture consiste à homogénéiser les peuples en un ensemble facile à soumettre et toutes les techniques que George Orwell avait imaginé seront mises en œuvre pour dominer ces peuples. Puisque l’intégration d’une minorité ethnique ou religieuse est difficile à atteindre, les hommes de Davos ont imaginé une « déshumanisation » de l’individu qui ne sera plus désormais qu’un numéro. Si Hitler était toujours vivant il serait follement partisan d’un tel projet dans lequel chaque individu, donc chaque numéro, est espionné en permanence, sa culture abaissée au strict minimum, c’est ce à quoi on assiste aujourd’hui avec les livres scolaires qui ne sont rédigés que pour endoctriner les jeunes pousses. Zemmour met en avant la nécessité pour chacun de s’approprier la culture du pays, la France, sa langue, son passé littéraire, historique et artistique. Les hommes de Davos ne veulent pas en entendre parler.
Dès l’âge de 11 ans on inculque aux jeunes écoliers la théorie du réchauffement climatique, c’est aussi un objectif des hommes de Davos, un moyen détourné de mieux surveiller la consommation énergétique de chacun avec l’institution de la taxe carbone. Zemmour ne croit pas au réchauffement du climat et il a déclaré mettre un terme à tout nouveau projet éolien qui ne sert qu’à dilapider l’argent public tout en favorisant la corruption et une augmentation incontrôlable du prix de l’énergie électrique. Pour arriver à leur fin les hommes de Davos sont des partisans convaincus de la globalisation. Zemmour veut que la France retrouve sa souveraineté économique. Comme la toile idéologique des hommes de Davos a profondément pénétré la Commission européenne, pour mener à bien son projet d’uniformisation de tous les citoyens européens, le seul point incontournable pour que la France retrouve sa souveraineté est de quitter la zone euro pour s’affranchir des diktats de la Commission européenne. Sera-ce suffisant ? Ce n’est pas du tout évident.
Voici quelques entités influentes du Club de Davos pour vous faire une idée de l’ampleur de la toile de l’organisation de « Monsieur S » : Abbott Laboratories, Astra-Zeneca, Biogen, Johnson & Johnson, Moderna, Merck, Novartis, Pfizer, Serum Institute of India, BASF, Mayo Clinic, Kaiser Permanente, Bill and Melinda Gates Foundation, Wellcome Trust, Blackrock, CISCO, Dell, Google, Huawei, IBM, Intel, Microsoft, Zoom, Yahoo, Amazon, Airbus, Boeing, Honda, Rakuten, Walmart, UPS, Coca-Cola, UBER, Bank of China. Bank of America. Deutsche Bank, State Bank of India, Royal Bank of Canada, Lloyds Banking, JP Morgan-Chase, Equifax, Goldman-Sachs, Hong Kong Exchanges, Bloomberg, VISA, New York Times, Ontario (Canada) Teacher’s Pension Plan … Il est évident de constater que la gestion de l’épidémie de coronavirus a été télécommandée par le WEF. Il fallait habituer les individus à obéir aux ordres gouvernementaux et se soumettre sans protester. Car la mise en place du nouvel ordre mondial ne pourra qu’être facilitée par la docilité des foules. C’est l’une des raisons qui explique la réaction extrême de Trudeau à Ottawa et c’est ce qui explique la censure par Google et Facebook de toutes les voix discordantes.
Et comme Zemmour n’est pas un homme de parti politique ni une personnalité issue du monde économique ou financier, et il n’a pas été adoubé par les hommes de Davos, il n’acceptera pas, contrairement à ses concurrents dans la course à la présidentielle, de se commettre à l’une ou l’autre des entités listées ci-dessus. De plus il n’acceptera pas de voir se fondre dans une identité numérique toutes les tendances religieuses ou ethniques, ce qui est l’un des piliers de l’idéologie des hommes de Davos, car il en sera alors fini de l’identité de la France. Par conséquent Zemmour est le candidat anti-Davos et il ne sera jamais dévoyé par cet organisme néo-nazi et c’est peut-être pour cette raison que ses chances d’être le futur président français sont minces, mais je peux me tromper.