« Peter Koenig, analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’OMS, a couvert les récents scandales de l’UE. Son verdict : « Il est grand temps d’abolir l’UE. » Selon Koenig, l’un des principaux objectifs de la « Grande Réinitialisation » et de l’Agenda 2030 est « une réduction massive de la population ». Après un peu plus de deux ans de soi-disant « vaccinations » – dont la plupart étaient obligatoires – il y a déjà « des centaines de milliers, voire des millions de décès et de blessures à vie, ainsi qu’une augmentation rapide des fausses couches et de l’infertilité chez les femmes et les hommes ». Et ce n’est que le début, prédit Koenig. La plupart des crimes auront lieu au cours des cinq à dix prochaines années, alors que personne ne pourra croire que les « vaccins contre le coronavirus » sont responsables de la mort de nombreuses personnes. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer, a mis en garde contre cette éventualité. »
Peter Koenig, analyste de la géopolitique, ancien économiste auprès de la Banque mondiale et de l’OMS, a analysé les récents scandale qui ont secoué l’Union européenne. Son verdict est sans appel : c’est un agenda de longue durée pour détruire l’Union européenne. Selon lui, l’un des buts principaux buts du « Grand Reset » et de l’ « Agenda 2030 » est une réduction massive de la population européenne. Après deux années se soi-disant « vaccinations », la plupart d’entre elles compulsives, trois à quatre rappels puisque l’épidémie n’était pas maîtrisée, il y a plusieurs centaines de milliers de morts sinon des millions et des séquelles qui vont perdurer durant toute la vie ainsi que des avortements spontanés dont le nombre augmente sans cesse ainsi que des problèmes d’infertilité tant chez les femmes que chez les hommes. Koenig prévient que c’est juste le commencement. La grande majorité de ces décès aura lieu dans les 5 à 10 prochaines années lorsque plus personne ne pourra établir une corrélation avec la « vaccination contre le SARS-CoV-2. Michael Yeadon, ancien vice président de Pfizer et ancien directeur de la recherche dans cette société.
Quelques semaines après le début de la « plandémie », acronyme signifiant que tout était déjà organisé pour tuer, et longtemps avant que l’on découvre la disponibilité en « vaccins » Bill Gates, l’un des principaux pourvoyeurs de fonds pour l’OMS déclara qu’il fallait que le monde entier subisse une « vaccination » avec un produit qui n’en était qu’au stade expérimental ( https://youtu.be/oQ664m_1wI8 ). La conjugaison de ces divers évènements conforte l’hypothèse d’un véritable complot à l’échelle internationale.
Tous les pays européens ont suivi les directives de l’OMS et certains gouvernements ont fait preuve de zèle comme par exemple l’utilisation du Rivotril chez les vieillards devenus inutiles et représentant une charge financière pour la société. Hitler avait mentionné cette démarche reprise par Jacques Attali dans le cadre de son projet d’ « économie positive » incluant cette nécessité de réduire le nombre de seniors inutiles pour la société.
Cette sorte de mafia internationale qui ne cache même plus son penchant pour l’eugénisme, depuis les familles royales britannique, belge et néerlandaise, le Club de Bilderberg et le World Economic Forum avec son école d’endoctrinement des Young Leaders dévoués à Klaus Schwab, le nouveau gourou politique mondialiste, cette mafia, donc, veut devenir le club très fermé des maîtres du monde. La diminution de la population entre dans le cadre du sauvetage du climat, un autre « hoax » repris par les médias du monde entier. Que mes lecteurs me permettent de douter de la réussite de ce projet à moins qu’un autre virus manipulé en laboratoire pour obtenir des gains de fonction, ce qui fait partie de l’agenda des malthusiens, les peuples se révolteront. Comme le disait Emmanuel Todd, je suis comme lui trop vieux pour courir dans la rues et faire la révolution dans le but de capturer tous les politiciens vicieux qui haïssent leurs peuples.
Si la Suisse et la Belgique tentent timidement de suivre l’expérience française du pass sanitaire, la Cour suprême espagnole a déclaré cette démarche contraire à la constitution du pays. En réalité la mise en place d’un pass sanitaire est contraire aux lois européennes et contraire aux articles fondamentaux de la Constitution française. Il y a encore plus préoccupant. Ce pass sanitaire, outre le fait qu’il introduit une ségrégation entre les « vaccinés » et les autres, est en réalité un moyen détourné pour obliger toute personne, quel que soit son âge, à subir cette « vaccination ». La Liberté de se faire ARNémiser ou non est violée et l’Égalité entre citoyens est également violée. Quant à la Fraternité, n’en parlons même pas puisque ce pass introduit une ségrégation et par conséquent un antagonisme entre les « vaccinés » et les non ARNémisés.
Il y a un autre point complètement occulté par les médecins de plateau télé qui, tous sans exception, soutiennent la nécessité de la « vaccination », c’est normal ils sont payés pour faire passer le message, est le fait que les autorisations dans l’urgence de mise sur le marché de ces potions de thérapie génique expérimentales ont largement dépassé la date limite de six mois fixée par l’Agence européenne du médicament. En conséquence le corps médical injecte aux citoyens un produit dont la commercialisation est devenue illégale. Le problème est que personne ne sait où en sont les tractations de marchands de tapis qui se déroulent dans les bureaux feutrés de la Commission européenne.
Comme je l’avais mentionné dans un précédent billet sur ce blog passer du pass sanitaire au pass climatique sera le grand « bon en avant » à la Mao pour instituer le carnet de crédit social à la chinoise dans plusieurs pays européens dont par exemple la Suisse (les Helvètes veulent probablement satisfaire les délires du Club de Davos !). Tout est déjà en place et étalé sur les bureaux des décideurs politiques européens, acoquinés qu’ils sont avec Klaus Schwab, le Président du Forum Économique mondial. Éric Verhaeghe avait déjà alerté l’opinion sur l’imminence de la mise en place d’un crédit social à la chinoise en Europe. L’irruption du volcan de la Cumbre Vieja dans l’île de La Palma (Canaries) est là pour rappeler que le changement climatique provoque des éruptions volcaniques. J’ai entendu un commentateur de je ne sais plus quelle chaine de télévision espagnole l’affirmer. Donc pour éviter toute éruption volcanique il faut se conformer aux exigences qui vont être mises en place pour sauver le climat et Gaïa et, afin de contrôler tous les bipèdes qui peuplent l’Europe, il n’y a qu’un seul moyen : le pass climatique, clone direct du pass sanitaire et synonyme de crédit social à la chinoise.
En conséquence les pays occidentaux vont basculer dans le totalitarisme tel que la Chine est arrivée à le mettre en place tout en préservant un semblant d’économie de type consumériste en tous points semblable au fameux « panem et circances » de la pax romana. L’héritage gréco-romain de l’Europe a permis l’émergence de la démocratie en Europe, ce ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir …
Eric Heymann, économiste principal à la Deutsche Bank Research, avertit que le Green Deal européen et son objectif de neutralité climatique d’ici 2050 risquent de créer une méga-crise européenne, conduisant à « une perte notoire de bien-être et d’emplois ». Et il prévient : cela ne fonctionnera pas sans « un certain degré d’éco-dictature ».
L’analyste considère comme frauduleux que le Green Deal soit présenté dans tous les domaines comme « une nouvelle stratégie de croissance » qui permettrait à l’UE de devenir une «société juste et prospère ». Bien que cela puisse paraître bon sur le papier, écrit Heymann, pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, l’économie européenne et l’ensemble de ses systèmes politiques et juridiques devront être fondamentalement modifiés.
Pour le moment, les conséquences révolutionnaires de l’agenda climatique de l’UE sur la vie quotidienne sont « encore relativement abstraites » et pour la plupart des ménages « toujours acceptables ». Bientôt, cependant, la voie vers la neutralité climatique nécessitera des interventions drastiques dans le choix des moyens de transport, la taille des logements, les moyens de chauffage, la possession de biens de consommation électroniques, ainsi que des restrictions dans la consommation de viande et de fruits tropicaux. Et il prévient que ces restrictions et violations de liberté déclencheront inévitablement une « résistance politique massive ».
Certains partis politiques trouveront des arguments contre des mesures strictes de protection du climat si ces dernières conduisent à une augmentation significative des prix de l’énergie ou à des restrictions de liberté personnelle ou de droits de propriété. Mais ne nous leurrons pas : ces partis trouveront des soutiens aurpès des électeurs. Au niveau de l’UE, il y aura des conflits majeurs sur la distribution, qui peuvent contribuer à (davantage) de divisions au sein du bloc. Sommes-nous prêts à faire face à cette polarisation ? Ci-dessous des extraits de l’analyse d’Eric Heymann (Deutsche Bank Research).
Neutralité climatique: sommes-nous prêts pour une discussion honnête ?
Un certain degré d’éco-dictature sera nécessaire
L’impact de la politique climatique actuelle sur la vie quotidienne des gens est encore assez abstrait et acceptable pour de nombreux ménages. La politique climatique prend la forme de taxes et de redevances sur l’énergie plus élevées, qui rendent le chauffage et la mobilité plus chers. Certains pays ont fixé des normes minimales d’efficacité énergétique pour les bâtiments ou des règles similaires dans d’autres domaines. Cependant, la politique climatique ne détermine pas nos vies. Nous prenons des décisions de consommation clés, par exemple si nous voyageons, combien de fois nous voyageons et quels moyens de transport nous utilisons, si nous vivons dans une grande maison ou un petit appartement et comment nous chauffons nos logements, combien d’appareils électroniques nous avons et combien de fois nous les utilisons intensément ou combien de viande et de fruits exotiques nous mangeons. Ces décisions ont tendance à être prises sur la base de nos revenus et non sur des considérations climatiques.
Si nous voulons vraiment atteindre la neutralité climatique, nous devons changer notre comportement dans tous ces domaines de la vie. C’est simplement parce qu’il n’y a pas encore de technologies rentables adéquates pour nous permettre de maintenir notre niveau de vie d’une manière neutre en carbone. Cela signifie que les prix du carbone devront augmenter considérablement pour inciter les gens à changer leur comportement. Une autre option (ou peut-être complémentaire) consiste à resserrer considérablement la législation réglementaire. Je sais que « éco-dictature » est un vilain mot. Mais il se peut que nous devions nous demander si et dans quelle mesure nous serons disposés à accepter une sorte d’éco-dictature (sous la forme d’une loi de régulation) pour aller vers la neutralité climatique. Voici un exemple : que devons-nous faire si les propriétaires ne veulent pas transformer leurs maisons en immeubles à émission zéro, s’ils n’ont pas les moyens financiers de le faire, si cela n’est pas possible pour des raisons techniques ou si les investissements associés ne sont pas rentables ?
Perte de compétitivité ou restrictions au libre-échange
Si l’UE évolue beaucoup plus rapidement vers la neutralité climatique que le reste du monde, les prix du carbone dans l’UE augmenteront également plus rapidement. Cela réduira la compétitivité des entreprises à forte intensité énergétique dans l’UE. Sommes-nous prêts à payer ce prix ? Probablement pas : rappelez-vous qu’en principe personne ne doit être laissé pour compte. Allons-nous donc subventionner ces entreprises pour leur permettre d’utiliser une technologie coûteuse mais respectueuse du climat ? Cette option sera difficile à mettre en œuvre à long terme en raison de contraintes budgétaires. Une discussion honnête devra alors aborder le fait que chaque euro dépensé pour la protection du climat n’est plus disponible pour les dépenses d’éducation, de recherche, de santé publique, d’infrastructure numérique, de sécurité intérieure et extérieure, de réductions d’impôts ou de pensions plus élevées. La Commission européenne prévoit d’introduire un système d’ « ajustement carbone » aux frontières pour résoudre le problème de la concurrence. Pensons-nous vraiment que cela n’obligera pas les pays touchés à introduire des contre-mesures ? Sommes-nous vraiment prêts à abandonner les avantages du libre-échange au profit de la protection du climat ?
Une résistance politique massive à venir
Personne ne doit être laissé pour compte sur la voie de la neutralité climatique. Cette déclaration du Green Deal revient probablement à essayer une quadrature du cercle. Un revirement majeur de la politique climatique entraînera certainement des perdants tant chez les ménages que chez les entreprises. En outre, la prospérité et l’emploi risquent d’en souffrir considérablement. Si tel n’était pas le cas, la protection du climat serait une entreprise impossible à atteindre. Ces développements auront évidemment un impact sur le paysage politique, à la fois au niveau national et européen. Au niveau de l’UE, il y aura des conflits majeurs sur la distribution, qui peuvent contribuer à davantage creuser les divisions au sein du bloc. Sommes-nous prêts à faire face à cette polarisation ? Ou allons-nous ajuster nos ambitions en matière de politique climatique si nous constatons que des politiques climatiques (trop) ambitieuses ne sont pas acceptables pour une majorité ?
Commentaire de votre serviteur. Les visées hégémoniques du World Economic Forum (Klaus Schwab) ne pourront s’appliquer qu’à l’Europe, soumise depuis des décennies à une propagande « climatique » continue dont je dénonce la validité depuis près de dix ans sur ce blog. Cette propagande a instillé la peur du réchauffement du climat dans les esprits afin que les peuples soient plus facilement manipulés (ce qui rappelle étrangement ce qui se passe actuellement avec le SARS-CoV-2). Rappelons le mot de Christine Lagarde : « nous allons tous griller comme des toasts si nous ne faisons rien pour le climat ». Je n’imagine pas que des pays comme la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil, les pétro-monarchies du Moyen-Orient ou encore les Etats-Unis accepteraient de telles mesures. Je ne mentionne même pas les pays africains. Il est grand temps que les peuples européens sortent de leur état d’hallucination collective et réalisent que ce « combat » pour sauver le climat est un leurre. Ce mégalomane dangereux à la tête du World Economic Forum croit apparemment que nous, minuscules êtres vivants sur la planète Terre, sommes capables de modifier le climat par nos ridicules émissions de CO2 qui ont été décrétées comme nuisibles pour le climat alors que des forces infiniment plus puissantes le modifient, à commencer par l’activité solaire. Le Green Deal européen va couvrir des territoires entiers de moulins à vent d’une totale inefficacité, les populations vont-elles rester silencieuses ? Klaus Schwab se prend-t-il pour un dieu ? Je pencherais plutôt sur le fait qu’il se prend plutôt pour un nouvel Hitler qui veut mettre sous sa coupe l’ensemble de l’Europe …
Aujourd’hui les estimations les plus précises indiquent que 4,4 milliards de personnes dans le monde souffrent de problèmes de vision. Ce ne sont pas la dégénérescence maculaire, la cataracte ou le glaucome qui sont en cause mais tout simplement la myopie. Or il est très facilement possible de corriger ce défaut de vision et c’est bien connu depuis près de 700 ans, des moines italiens en charge de copier des manuscrits portaient des verres correcteurs dès les années 1270. On ne connait pas l’inventeur de ces premières lunettes.
En quelques chiffres la myopie est considérée comme la maladie la plus importante dans le monde. En Chine, 4 adolescents sur 5 sont myopes et la plupart d’entre eux ne portent pourtant pas de lunettes correctives. La Chine est le pays du monde où il y a le plus d’accidents de la route mortels provoqués par un défaut de vision des conducteurs : plus d’un million de personnes meurent chaque année pour cette raison. Si vous prenez un taxi à Shanghai assurez-vous que le chauffeur ne souffre pas de myopie en lui présentant la carte de visite de votre contact. S’il s’arrête sur le côté de la rue pour lire la carte il est vivement recommandé de changer de taxi …
En Afrique sub-saharienne il y a un ophtalmologue pour 8 millions d’habitants. Par comparaison il y en a un pour 6000 personnes en moyenne dans les pays de l’OCDE. Il est difficile de comprendre que tant de personnes souffrent de myopie, y compris les ouvriers de l’industrie textile comme en Inde ou au Bangladesh. Plus de 80 % d’entre eux sont myopes. Le rendement des usines de confection dans ces pays pourrait doubler si les personnels avaient des lunettes pour corriger leur vue ! Si l’employeur, en général un sous-traitant d’une grande multinationale du vêtement, investissait dans le contrôle de la vue et des lunettes pour ses employés, en une année il récupérerait dix fois son investissement uniquement du fait de l’amélioration de la productivité de ses ateliers. Et pourtant rien n’est fait car il n’y a pas d’ophtalmologues.
La société Eyenetra a mis au point et commercialise un appareil portable d’un prix accessible qui remplace les équipements complexes et coûteux des cabinets d’ophtalmologues ainsi qu’un accessoire pour téléphones cellulaires capable de procéder à un examen rétinien.
Le problème des défauts de vision concerne surtout les pays pauvres et l’avènement des accessoires pour téléphones portables va révolutionner l’approche ophtalmologique. Reste le coût des verres correcteurs qui peut atteindre plusieurs centaines de dollars. Il semble urgent de casser le monopole de certaines grandes firmes qui contrôlent ce marché et les prix, je pense en particulier à une société française bien connue. Le coût de production de deux verres facturés 200 dollars chacun n’est que de 20 dollars … Ça laisse rêveur. L’ONU, plutôt que de s’occuper de changement climatique, a encore failli à sa mission indépendamment des pertes de productivité simplement occasionnées par la myopie qui s’élèvent à 300 milliards de dollars par an dans le monde.